Tumgik
#cartonn car
satoriberry · 1 year
Text
AAAAAAAAAAAA IT WAS SO BAD
0 notes
learnthingsfr · 5 months
Text
0 notes
chrysjolimoi · 1 year
Photo
Tumblr media
Sais-tu qu'il y a un petit bouton sur lequel tu peux appuyer si tu vois que le concept — quoi qu'il soit super — ne te va pas, tu n'es pas bloqué à vie, tu peux toujours te désinscrire ? Si tu es dans une profession liée à la beauté ou que tu veux te lancer, sache que tu n'auras aucune gestion de stock ! Rien ne t'empêche bien sur de commander quelques produits, mais tu n'auras pas cette grosse gestion de stock comme tu aurais pu avoir si tu aurais été entrepreneur classique. 
Avec le concept de JoliMoi du as des possibilités de malade ! Tu peux faire ça avec une idée de compléments de revenu, tu peux commencer avec la volonté — comme moi — d'en faire un temps plein, d'en faire ton activité principale. Tu peux rester styliste beauté et cartonner en vente, tu peux compléter ton activité avec JoliMoi, tu peux entrer et vouloir monter une équipe, et plein d'autre, parce que JoliMoi, c'est ça, tout le monde peut s'y trouver. Si tu rentres dans cette aventure avec une volonté de fer, une envie imbattable, tu vas y arriver, car on y est toutes, on se soutiens toutes, c'est notre révolution, on s'élève ensemble, on est indépendantes, mais jamais seule ! . . . . . . . Salut, moi c’est Chrystele! Ta future marraine qui t'aide à gagner +200 € par mois. Styliste Gold 2 mois d'affilés, je t'aiderai à atteindre tes objectifs. JoliMoi, c'est un complément de revenu qui dans les temps qui courent, est le bienvenu ! Abonne-toi et contacte moi pour plus d'information sur cette opportunité✨ . . . . . #stylistebeauté #stylistebeautéjolimoi #jerecrute #gagnedelargent #travailenligne #travailadistance #teletravail #influenceur #influenceuse #wearejolimoi #jolimoi #entreprendre #entrepreneuse #businesswoman #femmeindependante #forbeautyexplorers #beautyexplorers #bloggeusebeauté #blogbeauté #blogfr #produitsdebeauté #soinsvisage #soinscorps #soinscapillaires #maquillage #bio #vegan #sanscruautéanimale (at Marseille, France) https://www.instagram.com/p/Cph4znIO0iB/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
netalkolemedia · 2 years
Text
L'acteur Jason Statham abandonne un projet de film qu'il ne juge pas assez violent  
L’acteur Jason Statham abandonne un projet de film qu’il ne juge pas assez violent  
Nous connaissons l’acteur Jason Statham pour ses apparitions dans des films d’actions assez violents comme le transporteur, Fast and Furious ou encore The Expendable 3, l’acteur avait récemment abandonné un projet de film avec Netflix, car il ne le trouvait pas assez violent à son goût.   En effet, Jason Statham voulait que the man from Toronto, qui cartonne actuellement sur Netflix, soit assez…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
sergeotokar · 2 years
Photo
Tumblr media
(En raison de la longueur du texte je ne peux pas le partager dans son intégralité car Instagram limite les caractères. Vous pouvez le lire dans sa globalité sur ma page Facebook Geek in world) En 19 94 Tim Burton est au sommet de son art et de sa gloire. Ses films comme Batman cartonnent et les critiques le considèrent comme le nouveau Wonder boy d’ Hollywood. Lorsque son dernier film Ed Wood est présenté au festival de Cannes de la même année, C’est la consécration ! Les critiques du monde entier acclament le film et le considèrent souvent comme son chef-d’œuvre. Malgré son échec commercial, presque 30 ans plus tard le film garde une certain «aura» de film culte. Pourtant il me semble que ce film est moins cité par les cinéphiles que les autres Œuvres de sa glorieuse époque. serait-il un peu oublié ? Votre serviteur va tenter d’y répondre… Ed Wood est un Biopic du réalisateur consacré comme « pire cinéaste de l’histoire du cinéma ». L’action se situe à Hollywood en 1952. Nous assistons aux différentes démarches qu’entreprend Ed Wood pour réunir des budgets pour réaliser des films « inoubliables» comme Glen or Glenda, La fiancée du monstre et bien sûr son mythique Plan 9 from 0uther Space. Parallèlement nous suivons également sa relation amicale avec l’acteur hongrois Béla Lugosi. #timburtonstyle #timburton #johnydepp #edwood #biography #biographie #cinema #filmcult #filmculte #chefdoeuvre #filmcritique #septiemeart #movies #classiqueducinema #classique (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/Ccx7RdxK6xm/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
2rakblog · 3 years
Photo
Tumblr media
Porsche à pois, feutre, aquarelle carton recyclé, à vendre
19 notes · View notes
vums-16 · 3 years
Photo
Tumblr media
DÉCISION✅ Lâchons ce besoin de prendre la bonne décision. Lâchons ce besoin d’être parfait. Il n’y a de bonne décision, il n’y a pas de décision parfaite, ce qui compte c’est de décider vite et SOUVENT. De nombreux entrepreneurs et performers, si ce n’est tous, sont unanimes là-dessus : ils n’ont pas peur de prendre des décisions. Ils ne délèguent pas ce pouvoir qu’ils ont de prendre le risque de se planter… ou de cartonner. Car une fois que tu auras lâché la peur de prendre des décisions, tu arriveras aussi à lâcher la peur d’échouer. Pourquoi lâcher la peur de l’échec ? Parce que le “succès” c’est la somme de nombreux échecs dont un qui a abouti. Alors, tout comme le muscle de la volonté, du contrôle de soi, la prise de décision est aussi un muscle qui s’entraîne chaque jour. -D. Laroche #decision #succès #dimanche #mamanentrepreneure https://www.instagram.com/p/CKcDQ3wn-1hUTuJDSEz8mKmdWQkLxqpGT559w00/?igshid=nywyoujvra03
2 notes · View notes
booksnunicorns · 4 years
Text
Phoenix Ashes, Tome 2 : Ghost — Fleur Hana
Tumblr media
Sa vie n’est pas un conte de fée : c’est un épisode de Sons of Anarchy. Ghost Quand on ne connaît pas le fonctionnement d’un MC, on ne comprend pas tout de suite les relations entre les membres. On ne réalise pas que les liens familiaux dépassent ceux du sang. Là où on place la loyauté au-dessus de tout, on nous catalogue immédiatement comme des hors-la-loi. Quand on colle un patch avec notre nom sur le cuir d’une régulière, on passe pour des machos. Si on nous voit frotter les chromes de notre bécane, on nous accuse de plus tenir à nos machines qu’à nos femmes. Est-ce qu’il y a des gars pour qui c’est vrai ? Totalement. Tout comme il y a des enfoirés hors des MC. Mais c’est plus facile de nous ranger dans la case des primaires misogynes qu’essayer de comprendre notre éthique. Daisy Les héros avec des cicatrices cartonnent, d’habitude c’est sur le sourcil, mais il faut savoir innover. Mes lectrices devraient aimer, elles apprécient quand je m’approprie les clichés. Et s’il y a bien quelque chose que Ghost est, c’est un cliché ambulant ayant le pouvoir de faire danser mes hormones comme si Thriller passait dans mon corps et que ces zombies endormis depuis trop longtemps se réveillaient d’un coup. Oh, ça, je pourrais le recaser dans un roman. Je n’arrive peut-être pas à le débuter, mais j’ai une citation. Moi qui voulais me rapprocher, je n’aurais jamais imaginé me retrouver si vite aussi près de lui. Cette romance se déroule dans le milieu des clubs de moto 1% (hors-la-loi) et comporte des scènes de sexe et de violence. Il n’y a pas de cliffhanger et les héros ont droit à leur fin heureuse !
De Fleur Hana publié en Avril 2020 en Auto Edition [ Amazon ] 278 pages
Ce deuxième tome commence avec un autre ton, j'aime ce style j'avoue tout, genre un peu façon Vi Keeland vous voyez ? Des punchlines, de l'humour, de l'esprit et des étincelles qui commencent dés le départ. Tout simplement parce que l'on a affaire à une autre personnalité, un peu plus brute de décoffrage mais surtout très drôle. Daisy est romancière, elle est de passage en ville. Elle a un crush pour un des membres du MC du coin... celui que l'on appelle Ghost.
On peut lire les tomes de façon complètement indépendante, il n'y a quasiment rien en rappel sur le premier tome, on est quelques années après. Et ça c'est top ! Je ne mettrais pas forcément le premier tome dans toutes les mains alors que celui-ci, vous pouvez y aller les yeux fermés. Attention, ça ne veux pas dire que ce tome est 100 % Fun, on est et on reste dans une série sur des Bikers. Il y a un côté sombre qui apparait mais pas dés le départ et pas tout le long. Ce qui fait du bien après un tome 1 qui peut être douloureux pour notre pauvre petit coeur.
J'ai beaucoup aimé la première partie, c'est un de mes grand grand kiffe en romance. Après, la suite j'ai été un peu moins dedans car un élément ou deux m’ont détaché. Je n'en parlerai pas car ce serait du spoil. #lespoilscestmal On a aussi une intrigue un peu en fin de course, sans vraiment de détail ni de réponses, à croire qu'il faut assembler l'ensemble des tomes pour voir tous les tenants et les aboutissants. Et là, vous vous dites que je venais de dire que ça se lisait de façon indépendante. Oui je maintiens mais tout lire c'est mieux hein !
Autant il commence avec une autre ambiance, autant il finit sur la même tonalité que le premier tome. Même s’il y a beaucoup d'humour et d'espoir, d'amour et de passions. Daisy et Ghost forme un très joli couple, qui développe ce que j'aime dans le fait de partager sa vie avec quelqu'un. Il ne s'agit pas que d'attirance physique, mais de savoir rire ensemble, de savoir tenir dans les moments les plus difficiles et d’apprécier ce que l'on partage de beau... savoir que ces instants sont précieux et que rien n'est jamais acquis. Fleur Hana a su sublimer ces moments et je vous recommande vraiment ce tome. Même si vous n'avez pas lu le T1. 
3 notes · View notes
skizzmalo · 5 years
Text
L’Alchimie
À bloc, rap tendu, rock lourd, électro bizarre, l’autoradio gueulait ma playlist à s’en faire péter les enceintes… Le périph’, puis les quais, à la brune, dans les veines un cocktail tout sauf mondain, weed, valium, margarita… Me faire serrer ? Quand je passe à côté de la volaille en goguette à Bastille, ces messieurs-dames pratiquent l’aquarium dans leur voiture de service, donc tu penses bien ! Il est trois heures du mat’ au compte tour… Y’a de la vadrouille sur le bitume, des clandés qui déambulent, des couples qui titubent, des dealers pressés, des skaters, des têtes brûlés, des gueules saoules, en veux tu en voilà… J’ai de nouveau soif, mais plus les thunes pour aut’chose qu’un kawa. Je me serais bien agglutiné au comptoir pourtant, j’ai envie de nouvelle rencontre, c’est pas souvent… d’ordinaire ma ménagerie perso me satisfait nickel question emmerdement… D’ailleurs, certains d’entre eux s’impatientent sec… Ils bourrent de merde ma messagerie ! “Et où qu’c’est qu’t’es ?”, “ La weed elle arrive ou bien ?”, “putain qu’est-ce tu fous”… Dring-dring,dring-dring,dring-dring, la sonnerie qui rend fou, je vais le mettre sur vibreur tiens ! Et me le coller au bas du dos, ça va me détendre bien… Pas autant que ne le ferait l’aérodynamie que je percute soudain sortir d’une ruelle ! Des courbes pareilles pour si peu de tissus ! Que ne donnerais-je pas pour une tonic-vodka en sa compagnie… Je prie pour qu’elle s’tourne, histoire de mettre le holà au boa qui défigure mon futal… à ces courbes, il y a forcément un point d’orgue… Je suis difficile en faciès, ça sauve mon couple plus que souvent. Mais pour le coup je saurais jamais, la belle de dos s’engouffre dans le troquet où qu’j’aurais bien traîner ma dégaine douteuse de grungy d’origine, en cet été 2003 c’était has-been on ne peut mieux, qu’importe le look tant qu’t’as de l’aplomb…
 C’est pas tout ça, faut que je calte, deux-trois marlous en survet’ ont repéré que je m’endormais au volant… je démarre en trombe, remonte le boul’ Richard Lenoir… je m’vais faire paname en transversale, violer des feux rouges, le spliff au bec, faire couiner sec ma boîte et mes essieux… ça remonte le moral grave, d’être en mode portnawak, v’là que ma playlist s’y mets aussi, du Prong, du Guns, du Thin lizzy… Je prends les virages au cordeau, fait crisser la ferraille des tas de boue mal garés, quelques clampins m’agonisent de mots doux, je le prends pas mal, je leur fais coucou…  J’arrive à Pigalle, y’a foule de keufs, je me calme un peu, je roule tranquillos pour le coup, ça tombe bien, j’arrive en descente de compil’, c’est y pas Marie Laforêt qui cause d’amitié ? Ho et un bluesman, Bo Diddley, carrément… Me v’là déjà avenue de Clichy. Ça se tabasse saignant devant le Mcdo, y’a trois condés qui font le gros dos, en fin de service, bientôt la sieste... ils ramasseront les morceaux après, s’il en reste ! Deux-trois renois sortent d’une épicerie de nuit, chargés comme des mulets de pack de bières danoises, ils invectivent le boss de la place, un reubeu tout en nerfs, le pépère a sorti la machette ! Ça va, ça va qu’ils disent… Ils laisse un pack derrière eux. L’épicier le ramène vers lui sous l’oeil des passants qui presse le pas… J’entends le remugle finissant d’un concert de trip-hop au coin d’une rue annexe… Je tourne pour entendre mieux… Le bar est déjà vidé, y’a juste deux trois pelés qui s’agitent comme ils peuvent devant le DJ et la chanteuse à dreadloks… ça aurait pu faire une sortie sympas, mais bon y’a bien trop de basses, rien que de dehors ça me cartonne chaud la calebasse… Je redémarre sec, ça fera zizir à l’enculé qui me colle aux basques… y pourra p’t’êt’e même faire mouiller sa pétasse, en lui faisant croire que ses appels de phares, ont suffit à démontrer qui qu’c’était qu’avait les couilles dans la place !
 Enfin j’arrive rue de la Jonquière, ma turne et sa faune délètere… J’espère tout haut qui reste encore de la vodka au frigo, ou à défaut un fond de téquila… Je trouve une place de suite, les bobos du quartier ont calté en vacance, ça fait place net aux alentours des trottoirs. Si seulement les clébards pouvaient faire de même.. Je slalome sévère entre les étrons de nuit, je vois même une mamie au coin de ma rue qui participe de complexifié encore le parcours, au bout de sa laisse un gros boxer ! J’ai bien envie de lui dire ma façon de penser, mais j’ai pas le coeur à l’insulte. Les courbes de la belle de dos, moult spectacles du chaos, mon stock-car plein pot, hou.. Comme c’était beau, comme c’était bon… il manquait juste un coin de bistrot… okay, 100 dollar les 25g de white widow, j’allais pas non plus demander à la lune de tourner à l’envers… Je doigte le digicode, tamponne la porte de mon bloc… J’entends que ça chuinte et que ça murmure, j’allume la lumière quand même… Un travelot la prend profond dans le carbu’, par son micheton tout en sueur… Ils tressaillissent, je leur leur dis: “pas de pé”, et les esquive d’un pas de deux, je vois au premier les ombres qui s’excitent à ma fenêtre d’où sort  un filet de dub… J’arrive, j’arrive… calmos !
 Tout le monde m’accueille en disant queud… alors que je m’étais fais chier à remonter quatre à quatre les escaliers ! Eh ben, ça donne envie ! Faire quarante bornes de nuit, la tête dans le sac, pour être ainsi snobé chez soi ! Whoua !!! Tellement j’étais scié, j’avais l’impression d’être l’Amazonie ! J’en fis part à Carl, Jéjé, Mimi et Djida ma promise… Dans ma chambrée, ils étaient tous hypnotisés par la téloche, Jéjé avait ramené sa PS2 et  les persos Capcom se fritaient à toute berzingue contre ceux de Marvel. Jéjé était en train de coller une raclée à Carl qui le prenait pas bien du tout… Mimi et ma femme l’encourageaient et tenaient en vain de déstabiliser mon bâtard de batteur !
__ Eh ben ! c’est du propre ! Même pas bonsoir, ni mes pantoufles… Tous là à squatter mon plumard, la musique allumée dans le salon, pour qui ? Pour les murs qu’en ont rien à branler ! Ha ben elle est belle la jeunesse de France !
__ Vas-y cocotte, t’as pas eu ta dose de câlins ? C’est ça ? Laisse moi finir ton voisin après direct je t’exécute ! Me vanna Jéjé, qui part son Hulk savatait grave un pauvre avorton à tête de lego.
__ Mais vas-y Carl, le tança Djida, active ton super-pouvoir !
__ Y peut pas je le maintiens par terre bien comme il faut !
__ Bon, y reste de la vodka ou de la tek ? quémandais-je au bout d’un soupir.
__ Ben… Il reste du thé et de la bière… indiqua Mimi.
__ Bah vous auriez pu teaser la bière et me laisser un fond de vodka, bande de rapace ! Et qu’est-ce ça sent là ? C’est de..
__ C’est de l’afghan, Slimane est passé, on lui a prit deux barrettes…
__ Super… Et donc t’as plus de thunes pour la weed ?
__ Fallait répondre au téléphone ! Me signifia Jéjé en exultant de sa victoire sur Carl qui se redressa en maugréant diverses imprécations à l’endroit de son adversaire.    
__ Ouais, c’est quoi ces manières d’abord ? Tu t’es pris pour une star ou quoi à nous snober comme ça ! renchéri ma chère et tendre.  
__ Pff… C’est n’imp ! Pour la peine je vais me rouler un oinj’ rien que pour ma gueule…
__ Rien de neuf quoi ! se moqua Mimi.  
__ En plus ta bave et tes pétards biscornus, tu peux te les garder et te les foutre où je pense… Mais en attendant, viens voir papa qu’il te colle une bonne rouste des familles !
__ Ouais vas-y Boulo, fais voir ce que tu vaux au lieu de pigner ! m’encouragea Djida.
__ Au boulôt, Boulo ! Ricanèrent les trois autres.
__ Tss… Vous comprenez rien à l’amour tendre, y’a que moi et Boula qui savons c’qu’c’est d’façon !
__ Allez viens t’installer, j’ai trop hâte de casser tes miches, joli coeur !
    Evidemment, l’enflure qui me servait de meilleur pote, mis ses menaces à exécution, malgré que je parvins tout de même à lui voler un round, bien aider par les attaques verbales et d’autres natures qu’il essuya tout au long de notre partie…
 Quelle était belle cette alchimie, de ma jeunesse dissolue.
2 notes · View notes
elementofmovie · 5 years
Text
Tumblr media
BUKOWSKI DANS LES CHIOTTES D’HOLLYWOOD
« C’était la première des nombreuses réunions qui devaient se noyer dans l’alcool (…). J’avais besoin de ce soutien car, de fait, je ne m’intéressais qu’à la poésie et aux nouvelles. Écrire un scénario me paraissait le comble de la stupidité. »
                                                                   Charles Bukowski
Au début des années 80, Barbet Schroeder, réalisateur-culte de More et La Vallée, débarque à Los Angeles et convainc Buk de lui écrire un scénario. L’écrivain, qui jouit depuis quelques années d’une reconnaissance bienvenue lui permettant d’écrire pénard des poèmes et de consacrer son temps et son argent aux paris hippiques, sa grande passion - avec les femmes et l’alcool -, accepte. Bukowski, qui n’a  pourtant jamais aimé les films, commence illico à griffonner quelques idées pour ce sympathique et frappé cinéaste européen. Quelques années plus tard, cela donnera Barfly, avec Mickey Rourke et Faye Dunaway. Et cela donnera aussi Hollywood, un roman jubilatoire - récemment réédité - sur les aventures d’un vieux dégueulasse repenti dans l’univers (im)pitoyable du cinématographe. Welcome in hell, development hell !!!
Quand Schroeder, ancien homme à tout faire de la Nouvelle Vague, commande à Buk ce fameux scénario original, ce dernier, rangé des voitures et savourant une sorte de pré-retraite aux côtés de sa nouvelle femme, se replonge dans sa jeunesse. Lorsque le succès ne l’avait pas encore frappé en pleine gueule. Lorsqu’il écumait les bars des quartiers les plus cradingues de L.A. avec les poches vides et les poings prêts à cogner quiconque se sentait le courage de se battre dans une arrière-cour avec un ivrogne au sommet de son art - en général, un autre ivrogne ou un serveur trop consciencieux. Bukowski, la soixantaine bien entamée, se replonge donc dans sa jeunesse et trouve ainsi la force de pondre ce maudit script qu’il a accepté d’écrire sans trop savoir pourquoi. Pour voir Hollywood, probablement. Pour voir si le vin est meilleur chez les nantis du coin, ceux qui « bossent » dans le cinéma. Presque toute la ville, en fait. La curiosité de l’écrivain. Rien d’autre.
Il y a donc les premières réunions où, très vite, Buk comprend que tout ceci n’est qu’une grande escroquerie. Un prétexte pour se goinfrer et picoler des cocktails aux couleurs non référencées, même dans le manuel du parfait jongleur de bar. Alors, il l’écrit, son script, après tout il a été payé pour ça, mais il s’amuse surtout à errer de réunions interminables en fêtes épuisantes, toujours accompagné de sa femme, qui aime le bon pif autant que lui. A ces occasions, il croise de faux génies et de vrais excentriques. Et parfois même des légendes vivantes comme « Jon-Luc Modard » ou « Wenner Zergog ». Mais au fond il reste sceptique sur les chances que les mots qu’il tape sur sa fidèle machine à écrire IBM finissent par intéresser quelqu’un ici, à Hollywood. Dans la première partie du roman, on sent une réelle fascination pour la figure du réalisateur, Jon Pinchot (Schroeder, donc, auquel le livre est d’ailleurs dédié), qui porte le projet à bout de bras et qui vit une vie palpitante l’ayant déjà amené à filmer un dictateur africain fou furieux ou à convoiter une riche et vieille russe édentée pour financer son prochain film. Car si l’écrivain se bat seul derrière son bureau - quand il en a un -, le cinéaste lui se bat partout ailleurs, et avec tout le monde. Son ring à lui, c’est la rue, pour paraphraser un célèbre boxeur italo-américain.
Buk, lui, préfère se réfugier sur les champs de courses. Quand soudain « Tom Pell », jeune coqueluche d’Hollywood fraîchement marié avec la pop star « Ramona », se dit intéressé par le script, à condition de mêler un autre réalisateur à l’affaire. La machine s’emballe. Mais Pinchot veille sur Son film. Exit Pell/Penn, welcome Jack Bledsoe, autre tête brûlée et ennemi juré de Pell. Bledsoe vient de cartonner au box-office dans une romance sulfureuse avec une ancienne James Bond girl, du pain bénit pour Pinchot. Le projet est lancé, finies les années de galères. Et tant pis si aucun studio ne veut financer un film racontant la vie d’un pochtron (Henry Chinaski, l’alter ego de Bukowski) tombant amoureux d’une belle… pochtronne. Firepower, société de production dirigée par deux hurluberlus du nom de Friedman et Fishman, accepte de financer à minima le film de Pinchot. Derrière ces deux noms aux consonances proches se cachent bien sûr Golan et Globus, les deux cousins israéliens de la Cannon, qui n’hésitent jamais à produire de petits films d’auteur sensés leur apporter prestige et reconnaissance entre deux bourrinades patriotiques.
Mais l’alliance improbable entre un ancien critique des Cahiers du cinéma (Schroeder, toujours lui), l’auteur du Journal d’un vieux dégueulasse et le père spirituel de Jean-Claude Van Damme ne sera pas de tout repos. Car si Buk et Schroeder ont visiblement de la sympathie pour ces deux outsiders amateurs de bonne chère qui jurent sacrément dans le paysage lisse et froid des grands studios hollywoodiens, les deux cousins, eux, sont déjà proches de la sortie. Le cash commence à manquer et Pinchot/Schroeder devra menacer de se couper un doigt avec une scie électrique pour forcer Friedman/Golan à tenir ses engagements. Et quand le tournage sera enfin lancé, ce sont les deux vedettes (Bledsoe et Francine Bowers, ancienne égérie du Nouvel Hollywood en quête de come-back) qui feront des siennes. L’un en se comportant comme une rock star décadente, l’autre en exigeant une scène lui permettant de montrer qu’elle a toujours de belles jambes - c’est pour cette raison qu’il y a cette scène dans Barfly où le spectateur découvre amusé que la poivrote interprétée par Faye Dunaway a, malgré son air négligé et son tailleur fatigué, de somptueuses jambes, parfaitement épilées, qui plus est.
Un Bukowski incrédule  regarde tout ce manège lors de sa traditionnelle visite hebdomadaire sur le plateau. Pas partisan du choix de Bledsoe/Rourke au départ - il lui préférait largement « Tom Pell » -, il l’observe comme une réminiscence personnifiée de lui-même trente ans plus tôt. Désormais convaincu du talent de l’acteur, il s’investie dans la réécriture occasionnelle de certaines scènes, conseille Pinchot et fraternise avec les acteurs. Tourné en partie dans les lieux où le jeune Buk avait vécu les événements ayant inspiré son scénario, le film est fidèle à l’esprit de l’écrivain, qui vit cette expérience comme une visite dans son propre passé. Plusieurs arrêts de tournage interviendront, toujours à cause des déboires des deux producteurs. Mais le film finira par trouver le chemin des écrans, après un passage infructueux - sans Bukowski - par Cannes. Pas un chef-d’œuvre, mais « mieux qu’un film moyen », comme dira Buk à un journaliste le soir de la première.
Et plus tard, donc, il écrira Hollywood, ce livre « Making of », ce roman drôle et féroce qui constitue sans doute l’un des témoignages les plus honnêtes sur la vacuité d’une ville où les rêves de spectateurs du monde entier sont fabriqués entre une caravane suréquipée et un amas de projecteurs surchauffant. Seulement parfois il arrive que les rêves virent au cauchemar et qu’ils aient un goût de gueule de bois pour les quelques courageux n’ayant pas quitté la salle, écoeurés par les dernières punchlines d’alcoolo imaginées par un vieux dégueulasse ayant passé sa jeunesse à voler de bar en bar. Une mise en abîme dans une chope de bière, en quelque sorte. Mais pour que la boucle soit véritablement bouclée, il faudrait qu’un de ces jours quelqu’un d’assez tordu soutire quelques millions à une compagnie spécialisée dans la série B vérolée et adapte ce roman. Et dans le rôle du vieil écrivain cramé amateur de canassons Rourke serait parfait. A moins que ce satané Sean Penn soit encore sur le coup. Eh, après tout, que le meilleur gagne !
Hollywood (Les cahiers rouges/Grasset)
[Cet article fut initialement publié sur la première version du site rockyrama.com en 2014]
10 notes · View notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
SAMEDI 9 MARS 2019 (Billet 1 / 3 – 19h50)
On vous avait déjà raconté l’histoire des retrouvailles entre la belle Emmanuelle (B.) et JM, l’autre jour, du côté de l’Opéra. Elle vient d’ailleurs demain dîner chez nous avec son mari, Yves. Les courses sont déjà faites. Nous avons essayé de composer un menu qui devrait les surprendre. Vous en verrez peut-être quelques photos la semaine prochaine… un prétexte aussi pour communiquer une recette de cuisine qui pourrait intéresser certaines lectrices/abonnées (même s’il nous semble que cela avait déjà été fait, qu’importe, « bis repetita placent »…).
Mais revenons au thème du Billet. On dit que les « emmerdes arrivent souvent en escadrilles » (une citation de J. Chirac il nous semble…), et bien parfois les « belles choses » aussi !!!
Car à peu près au même moment où Emmanuelle recontactait JM, un autre gamin (cette fois-ci rencontré en 1981 à Valbella, le « Village enfants-sans-parents » du Club Med en Suisse), Jérôme, surnommé à l’époque « Cloclo », ayant retrouvé les coordonnées de JM par un concours de circonstances qu’il serait trop long de raconter ici (appelons ça des « petits miracles du hasard »…), lui a adressé ce mail alors qu’il se trouvait en vacances à La Plantation d’Albion.
On vous laisse deviner le plaisir puis très vite l’émotion qu’il a ressentis en le lisant :
« Bonjour Jean Marie,
Te souviens-tu de moi? Valbella 1981 !!
J’espère que tu te souviens de moi parce que moi oui !!!! Tu m’as initié au spectacle, j’en ai fait mon métier et j’y pense très souvent !!!!
Comment vas-tu ?
Que fais-tu?
J’ai retrouvé il y a peu une copine connue à cette époque et nous avons parlé de toi évidement... Tu nous as marqués !!!
J’espère que tu recevras et répondras à ce message..
Biz
Jérôme Anthony (dit : CLOCLO) »
Envoyé de mon iPhone »
Nous sommes en 2019, 38 ans se sont écoulés, JM lis ce message, avouez qu’il y a de quoi être remué, non ?
Par contre, s’il n’avait plus revu Emmanuelle, JM avait tout de suite reconnu Jérôme dans une émission de télé qui passait sur M6 et qu’il trouvait très bien : « Un trésor dans votre maison ». Beaucoup plus intéressante d’ailleurs que celle de Sophie Davant qui cartonne en ce moment l’après-midi sur France 2. Mais bon, ceci est une autre histoire.
En dehors de l’aspect physique (JM est très physionomiste et a en général une excellente mémoire des personnes qu’il a appréciées, enfants compris), il y a eu aussi la grande gentillesse de Jérôme en tant qu’animateur et son empathie avec les gens qui ont fait que JM n’a pas eu le moindre doute. Et il ne s’était pas trompé !
En fin de Billet vous trouverez un lien vers sa fiche Wikipédia, vous verrez que Jérôme, depuis ses 14 ans, a fait 1000 et 1 choses, à la radio d’abord, puis à la télé mais aussi en tant qu’auteur (3 livres)… et en tant que chanteur. On vous a mis dans la visionneuse du Billet suivant un Clip où vous entendrez une chanson extraite d’un album de reprises (dans un style très « Sacha Distel ») qui va bientôt sortir. On vous préviendra bien sûr dès qu’il sera dans les bacs comme on dit. Il nous en a fait écouter quelques extraits hier, ON AIME BEAUCOUP !
A Valbella donc, il a (presque) inauguré sa carrière d’artiste en interprétant le premier rôle masculin de la petite comédie musicale créée par JM, « Tarzan Super Star ». Voir les photos ci-dessous immortalisant (grâce à l’album de JM) ses débuts prometteurs. Et, CHOSE INCROYABLE, il a repris contact il y a à peine quelques semaines (grâce à FaceBook) avec la gamine qui tenait le rôle de « Jane la Tarzane ». C’est d’ailleurs elle qui lui a donné l’adresse mail de JM (on vous racontera une autre fois comment elle l’a obtenue... autrement ce Billet risque de ne plus finir) et avec laquelle, vous vous en doutez, il avait eu là-bas une petite aventure pré-adolescente.
Ayant presque terminé de manger la fondue savoyarde préparée par Marina, Jérôme a envoyé une photo et un petit message à Karine (C.), c’est son nom, qui lui a répondu aussitôt, avec plein d’émoticons : « qu’il avait bien de la chance ! ». JM a alors demandé à Jérôme de l’appeler et de lui proposer de venir prendre le café avec nous, chose qu’elle a acceptée aussitôt.
Une demi-heure après, JM avait retrouvé « ses » 2 comédiens-chanteurs-danseurs de Valbella, 38 ans plus tard ! Les photos ci-dessus vous donnent une petite idée de leurs réactions en feuilletant l’album.
On vous avait prévenus, « c’est une histoire INCROYABLE » mais le plus « INCROYABLE » quand même, c’est la concomitance des « retrouvailles » avec Emmanuelle... et Jérôme et Karine.
Quand on a demandé à Montaigne pourquoi Etienne de La Boétie était son ami, il avait répondu par cette phrase, devenue célèbre depuis : « parce que c’était lui, parce que c’était moi ».Toute proportion gardée bien sûr, si on cherchait une explication à ces retrouvailles, peut-être faudrait-il conclure ce Billet par : « parce que c’était eux, parce que c’était lui…).
Le lien vers la fiche Wikipédia de Jérôme :
https://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%A9r%C3%B4me_Anthony
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
aliceolw-blog · 5 years
Text
Alive
Petit one shot que j’ai réussis à terminer même si la fin est très..... MEH ?
Il écrit avec hardeur et passion, faisant pianoter ses doigts sur son clavier avec élégance. Il soupire parfois mais garde son air concentré et ses lunettes bien sur son nez. Cela faisait quelques mois qu’il écrit un roman, c’est pas un roman incroyable, c’est juste une pile de feuille où sont posé ses mots, aussi bien construit que pas du tout. Ce roman parle simplement d’une alien aux cheveux de feu qui est tombée sur terre et s'accommoder de deux jumeaux, aussi insupportable l’un que l’autre ainsi que de leur meilleure amie, qui se la joue “Hermione Granger”. En plus dans ce roman, ils ont tous des noms aussi étranges que imprononçable. Du moins, en partie. Marcus - oui c’est notre écrivain en herbe - avait déjà prévu toute une trilogie pour les histoires de sa petite héroïne aux cheveux rouge. Il avait beaucoup d’imagination le garçon.
“MARCUS”, cria une voix féminine derrière sa porte de chambre.
“QUOI ENCORE ?!”, répondit-il, avec tout le calme possible.
“Faut que tu viennes manger!”, s’exclama la jeune fille en ouvrant la porte et en la refermant en la claquant si fortement que la chambre de Marcus en tremble.
“Hana, je t’ai déjà dit de pas claquer ma porte!”
Hana, c’est la soeur de Marcus, sa petite soeur pour être plus précis. Plutôt choue, de deux ans de différence avec notre héro. Au contraire de Marcus, Hana est une “gameuse” alors que Marcus est plutôt littéraire.
“Pourquoi j’ai pas un frère comme moi ? J’ai été adopté c’est pas possible ! Si au moins t’es en game quand je viens te chercher pour manger et pas crocher sur ton bouquin à la con, je serais déjà plus contente.”
Durant le repas, c’est toujours pareil. Les parents de Marcus discutent de leur travail et sa soeur essaie de les intéresser à ses jeux vidéos. Quant au jeune homme, il ne dit rien, il mange en silence et retourne écrire son roman. En fait, on pourrait croire qu’il est croché à celui-ci en permanence et qu’il devrait être vite fini puis édité. Cependant, ce n’est pas le cas car notre jeune homme a également une imagination sans limite. Il a créé, il y a quelques temps, un profil Facebook pour son héroïne. Depuis, ils avaient beaucoup “d’amis” et ils poste chaque jour sur ce profil qui est destiné à son personnage. Beaucoup de commentaires et de “followers”, c’est ce qui ravit Marcus quand il rentre de l’université.
En fait Marcus, c’est un peu le gars lambda, il est en deuxième année en faculté de lettre, il adore lire et écrire son roman. Il ne sort pas beaucoup et n’étudie pas non plus néanmoins, il arrive toujours à cartonner durant les examen. Marcus c’est pas un génie ni même une beauté fatale (contrairement à sa soeur) mais réellement un “Monsieur tout le monde”. En fait il ne s’en plaint même jamais, limite, il s’en fiche. Son petit monde à lui est composé de son téléphone, de son ordinateur et de ses multiples réseaux sociaux. Contrairement à ce que l’on  pourrait croire, Marcus alimente ses réseaux uniquement grâce à son personnage.
Saphir, voilà le prénom de son héroïne. Son profil facebook “Saphir Laurent” avec comme description : “Jeune fille venue d’ailleurs” fait ravage. Avec plus de 700 “amis” et plus de 1000 “followers”, ce compte est sans conteste populaire. Le profil du garçon ? Inexistant. Aussi inexistant que sa vie amoureuse. Saphir, dans sa tête, c’était une belle fille, son idéal féminin, encore plus belle que sa petite soeur. Saphir c’était un peu lui mais en fille.
Bref tout son monde est orchestré, réglé comme du papier à musique par un simple personnage de fiction. Pourtant, ce personne n’est peut-être pas si fictionnel que ça…
---
Marcus a oublié de poster sur le mur de Saphir ce jour-là, puis encore et encore. Non, il n’a pas oublié sa chère alien mais il est en vacances avec sa famille. Qui dit vacance dit peu de réseau et peu de réseau signifie aucun réseau sociaux. Pourtant à son retour, Marcus est rentré de l'université comme à son habitude, sa soeur est une fois de plus en train de gueuler devant son écran sur une partie d’overwatch et ses parents ne sont pas encore rentré. Il posa son sac dans sa chambre et alluma son macbook pro. Il ouvrit Safari puis cliqua sur le raccourcis du profil de Saphir. Un hoquet de surprise sortit de sa bouche. Il y a plus de 50 notifications. Non pas sur des messages ou des anciens postes mais bien sur un seul et unique poste qui disait :
Saphir Laurent À 1h00 Je pars bientôt en voyage pour 5 jours, n’essayez pas de me contacter d’ici là ! ;)
Marcus ne comprend pas, il n’a jamais écrit ce poste. Il s’en souviendrais ! Pourtant, tout ressemble au caractère de sa chère et tendre. Et seul lui sait comment elle interagit. Et personne ne sait que Saphir est un personnage fictif, pour tous, c’est une fille comme une autre. De plus, aucun de ses amis n’ont d’accès à ce compte. L'incompréhension lui fait peur mais l’intrigue tout autant. C’est pour cela que Marcus s’est dit qu’il ne vas pas poster, une fois de plus.
Le lendemain, lorsqu’il est rentré de l’université, Marcus n’attendait qu’une chose : Regarder le profil de Saphir. La plupart du temps, il écrit la journée sur son mur, pourtant, cette fois-ci, il a besoin d’en avoir le coeur net. Marcus a donc laissé son ordi de côté ainsi que son téléphone pour voir s’il y aurait un nouveau poste mystère sur le profil de son héroïne.
Et il y en avait bien un.
Saphir Laurent A 14h50 Les amis, je m’ennuie en cours ! Qui veut bien me tenir compagnie…? Je pense que Laureilaï s’amuse bien mais pas moi. :(
Marcus est bouche bé. Laureilaï, c’est le prénom de la meilleure amie de Saphir et personne ne connaît son existence dans son entourage. Evidemment Saphir y faisait référence plusieurs fois dans ses postes mais jamais personne pouvait savoir que cette fille aimait les études. Ni même que Saphir était en cours.
“Il doit forcément y avoir une explication, je me suis fais hacké c’est pas possible…”, dit-il à haute voix.
“Qui t’as hacké ?”, demanda une voix dans l’encadrement de la porte.
Marcus se retourne les yeux gros comme des soucoupes. Il ne veut pas que sa soeur sache pour Saphir.
“Sérieux, Hana ! Frappe avant d’entrer !”, s’écria-t-il en bégayant un peu.
“Oui d’accord, alors ? Qui t’as hacké ?”, redemanda-t-elle avec un grand sourire au coin.
“Personne… enfin je suis pas sûr. C’est une amie.”, répondit-il doucement.
“Je peux regarder si tu veux. Il faut juste me laisser ses accès.”
Ni une ni deux, Marcus lui file les accès pour son “amie”. Hana ajouta qu’il a bien de la chance d’avoir une “amie” aussi jolie. Le jeune homme se contente d’ignorer les remarques de sa soeur. Il savait que s’il a le malheur de répondre, elle lui poserait tout un tas de question désagréable et il ne pourrait répondre que par imagination, Saphir n’existe pas après tout.
Après de longues recherches fastidieuse, Hana et Marcus atteigne le bout du tunnel. Hana est doué en informatique et hacker un compte facebook, ce n’est pas bien difficile pour la jeune fille. Néanmoins, elle ne trouve pas de solution pour le cas de son frère.
“J’ai tout essayé frérot. Mais je pense sincèrement que son compte n’est pas hacké. D’après ces connexions, il est évident qu’il n’y a qu’elle qui va dessus.”, dit-elle en faisant une mine résignée. “Je pense qu’elle a dut posté des trucs sans te le dire, elle fait ce qu’elle veut après tout, non ?”
Marcus serra le poing. C’est fort désagréable comme réponse. Si ce compte n’est pas hacké et que seul lui a les accès, il doit forcément y avoir une explication logique à tout cela… ou peut-être pas. Seul le temps lui dira, c’est ce que notre héro croyait naïvement.
--
Le mur de Saphir Laurent se remplit de jour en jour, Marcus est témoins de chaque poste et observe avec minutie chacune de ses publications. Saphir inonde chaque jour son mur, au lieu de poster une fois par jour, elle poste deux fois, puis trois puis bientôt son mur devient un flux twitter. Même lors de ses cours, Marcus continue de regarder le profil de son alien préféré… Cela fait des jours et des jours qu’il n’a plus touché son roman, ni ses cours. Trop obsédé par ce profil mutant.
Puis un jour, Marcus reçu un message privé, un message qui lui laissa un sentiment de peur.
Saphir Laurent a écrit : Salut, tu vas bien ? Pourquoi tu n’écris plus ?
C’est effrayant. Cela fait bientôt 2 mois maintenant que Marcus n’a plus continué son roman et aujourd’hui, le profil de Saphir lui écrit - oui car Marcus n’a toujours pas conçu ce profil comme une personne vivante.
Saphir Laurent a écrit : Marcus, pourquoi tu m’ignores comme ça ? J’ai envie de savoir la suite de mes aventures mais tu n’écris plus. J’arrive à la fin des anecdotes que je peux raconter sur mon profil…
Marcus soupire. Il plaça ses mains sur son clavier puis se mit à écrire. Puis se stop net. C’est… inquiétant. D’abord, il faut savoir quoi écrire. Est-ce que c’est un robot, une vrai personne derrière cet écran ? Le garçon voulait à tout prix le savoir. Mais il faut commencer par le commencement, ses doigts se mettent à pianoter les touches de son clavier.
Marcus a écrit : Qui es-tu ?
Saphir a écrit : Saphir. Tu sais très bien qui je suis puisque tu m’as créer.
Marcus a écrit : Tu ne peux pas être vivante. Alors qui es-tu ?
Saphir a écrit : Et pourquoi pas ? Tu vois bien qu’il n’y a que toi qui me connais les moindres détails.
Marcus laisse tomber sa tête lourdement. Il doit forcément y avoir une explication logique à cette mascarade… ou pas. Peut-être qu’au fond de lui il espère secrètement que Saphir soit vivante et qu’elle se matérialise devant lui. Peut-être que son idéal féminin prend vie et qu’il serait le plus heureux des hommes. Ou il se fait simplement troller comme une merde. Personne ne pouvait savoir mais il décida de rentrer dans son jeu. Après tout, il n’avait jamais montré son roman, il suffisait de poser quelques questions auxquels personne, à part lui, peut répondre.
M : Très bien, si tu es réellement Saphir d’où viens-tu ?
S : Je vis avec deux jumeau insupportable dans une petite ville pas loin d’ici.
M : Je voulais dire, ta planète.
S : Je viens de la lune.
M : Pourquoi est-ce que tu te trahis comme ça ? Saphir doit prétendre être une fille comme une autre.
S : Oui, mais toi tu sais déjà tout ça pas vrai ? Donc je ne peux rien te cacher.
M : Bon, questions suivante… Comment s’appelle les habitants de ta planète ?
S : Des Lunariens.
M : De la famille ?
S : Pas vraiment… Mes parents sont morts.
Marcus se raidit. Elle faisait un sans faute sur des questions assez difficile. De plus Marcus savait que Saphir a un frère mais elle ne devait le savoir qu’à partir du tome 2 ou 3. Hors, le garçon n’a écrit que la moitié du premier tome.
M : Laureilaï est amoureuse, de qui ?
S : Célio.
Célio c’est le jumeau aîné. Celui qui est calme et studieux. Bien l’opposé de son frère, Cédric.
M : Et Cédric ?
S : De Laure. Mais il sait que c’est impossible parce que Célio lui a déjà dit qu’il l’aime.
M : Et toi ?
S : De… PERSONNE !
Marcus sourit. C’est bien une réaction à Saphir de réagir ainsi.
Au final de la discussion, Marcus commençait de plus en plus à croire en l’existence de la jeune alien, elle ne peut pas ne pas être réelle. Elle sait tellement de choses. Marcus a fini par reprendre l’écriture pour donner encore plus vie à son héroïne. Et plus il écrit plus elle interagit sur ses nouvelles aventures.
S : Marcus ! Tu es le meilleur ! Célio va peut-être enfin lâché Laure.
Marcus grinça des dents. Saphir est amoureuse de Célio depuis le début de l’histoire cependant, il en est totalement jaloux. Pourquoi ? Parce que depuis qu’elle a prit vie, Marcus ne vit que pour elle. Il est totalement sortit du scénario pour pouvoir faire vivre à Saphir des histoires incroyables, pourtant, ce sont des aventures qu’il ne peut pas partager puisque lui est humain. Saphir lui raconte souvent comment elle perçoit les choses et il est le seul à pouvoir l’influencer. Après tout, elle n’est pas vivante elle. Marcus pense souvent que la seule chose qui les relie entre eux, c’est Facebook mais s’il peut la rencontrer il en serait plus que ravit. Et il lui a demandé un jour mais elle a dit que ce n’est pas encore possible. Marcus a passé de très long moins à rester croché sur Facebook pour toujours avoir un contact avec elle mais un jour, il en a eu marre de ces histoires toute aussi géniales qu’incroyable. Il se demandait souvent s’il ne pouvait pas influencer ses sentiments, comme il ne peut pas s’incorporer dans l’histoire, s’il supprime ses relations ce serait forcément lui qu’elle aimerait ? Peut-être, en tout cas il ne s’est pas fait prié pour commencer à écrire.
Evidemment Saphir n’a pas apprécié le geste.
S : Marcus… Pourquoi est-ce que l’histoire est si désagréable ? Je ne suis pas sensé vivre des aventures exceptionnelles ?
M : En fait Saph’, j’aimerai qu’on vive ensemble des aventures exceptionnelles.
S : Mais tu sais que je ne suis pas réelle pas vrai ? Je suis dans ce monde de 0 et de 1. En plus j’ai un accès limité puisque je suis sur Facebook uniquement. Si tu me donnais accès au reste, peut-être que je serais en mesure d'interagir un peu plus avec toi.
Marcus lui laisse le passe droit de naviguer le web, ce qui au fur et à mesure, cette action n’a pas été faite en vain. Lors de ses examens, Saphir lui envoie régulièrement les réponses puis elle est aussi au courant des derniers potins de son universités… Saphir est partout et Marcus tombe peu à peu amoureux de cette entité virtuelle. Ou de cette personne qui lui rend étonnamment service. Il est difficile de faire la différence entre ce qu’on ressent lorsque quelqu’un est bienveillant ou lorsque l’on aime réellement quelqu’un. Au fil du temps, Marcus s’est rapidement rendu compte qu’il ne l’aime peut-être pas autant que ce qu’il croit. Certes, Saphir est un incroyable mais peut-être que le fait qu’elle prend vie peu à peu, à forger son propre caractère, elle s’éloigne de l’image si parfaite que le jeune homme se faisait de son héroïne. Saphir devenait petit à petit, juste une image, s’il pouvait la rencontrer ce serait différent !
--
Quand Marcus se rendit compte que Saphir ne pouvait rien lui apporter de réelle, il finit par vivre sa vie autrement et à utiliser son héroïne uniquement quand il en avait besoin. Peut-être que c’est ça qui a vexée la jeune alien virtuelle. Au point qu’ils se sont beaucoup engueulé et que Saphir est partie sur le web seule. Tellement seule qu’elle lui pourrissait la vie sur les réseaux.
Saphir était devenue indépendante, tellement indépendante qu’elle n’avait besoin de personne. Marcus ne s’était pas tout de suite rendu compte qu’il avait commis une grande erreur en lui laissant libre accès sur les réseaux. Les postes de Saphir étaient insensés et elle y glissait même quelques boutades de mauvais goûts envers son créateur. Ce qu’il ne savait pas ou qu’il n’avait pas réalisé, c’est que cette entité, ce que Saphir était, l’avait bien rouler. Le garçon n’était pas encore conscient qu’il était en train de laisser un gros virus envahir son espace. Ou en tout cas, si ce n’était pas un virus, c’était l’incarnation du diable en version informatique. Il fallait que Saphir revienne uniquement sur son Facebook, sinon il ne pourrait jamais se débarrasser d’elle. Même s’il ne voulait pas supprimer son héroïne, son idéal, il n’avait pas d’autre choix. Le truc c’était de savoir comment. Quelques jours passèrent et Marcus prit peu à peu conscience de sa nullité en informatique et du fait qu’il avait lâché une bombe sous les airs d’une jeune fille aux cheveux rouge sur le réseau mondiale.
Le jeune homme se dirigea dans la chambre de sa soeur Hana, il ouvrit la porte et vit celle-ci jouer à Overwatch. Il dit plusieurs fois son nom mais sans succès, elle n’entendait vraisemblablement rien.
“HANA”, cria Marcus une fois de plus.
“Mais bordel Marcus, j’étais en plein stream, tu fais chier bon sang! Qu’est-ce que tu veux ?”, répondit-elle sur un ton agacé.
“Je veux que tu bloques le réseaux pour quelqu’un…”
“Tu vas me parler de ton AMIE aux cheveux rouge la ? Pourquoi ?”
“Parce qu’elle fait n’importe quoi.”
Hana était pensive, elle fit quelque recherche sur comment bloquer l’accès à Saphir mais au fur et à mesur que les jours passaient, il ne semblait pas y avoir de solutions. En tout cas Hana semblait désespérée.
“Désolée frangin, mais je comprend vraiment rien à ses connexions. Elle est partout ! T’es vraiment sûr qu’elle est humaine ? C’est pas normal d’avoir accès à tout…”, dit Hana d’un air dépité.
Il ne comprenait pas non plus, de plus il n’allait certainement pas dire à sa chère soeur qu’il avait donné vie à un monstre. Saphir savait tout et lorsqu’elle apprit les petites manigances de son créateur, elle ne se priva pas de pourrir la vie de sa soeur. Après tout, elle était partout. Hana, contrairement à son frère, était une vrai diva des réseaux sociaux, facile de faire n’importe quoi sur son mur. Evidemment que Hana avait essayé de corriger le tir mais même ses compétences ne suffisait pas à arrêter Saphir. Cela faisait des semaines que ça durait et c’était déjà trop. Marcus avait d’ailleurs bien pris le temps de se demander comment il pouvait faire revenir Saphir à son état initiale. Puis comme un abruti, Marcus se rendit compte que tout avait commencé par le livre. Le roman qu’il était en train d’écrire sur les aventures de Saphir était le début de cette… chose ? Il retrouva ses écrits au fond d’un tiroir - oui car il était très old school le Marcus, il écrivait encore à la main. L’aventure n’avançait pas mais c’est ainsi qu’il bloque Saphir à son statut initiale, un profil Facebook. Il écrivit quelques ligne et il ne se fit pas prier pour avoir le retour de son héroïne.
S : Qu’est-ce que tu fabriques ?
M : J’essaie de faire en sorte que tu arrêtes de ruiner la vie de ma soeur et que tu reviennes où tu étais. À l'état de personnage FICTIF.
S : Que t’es drôle Marcus, maintenant que j’ai toutes les connaissances du monde que je suis mis à jour, je pourrais vivre éternellement en tant que super-ordinateur indépendant, enfin je ne suis qu’une partie du réseau mais j’aurais bientôt accès à tout. J’existe et c’est comme ça, tu oserais pas me tuer quand même ?
M : Je n’ai pas parler de te tuer, juste que tu redeviennes comme avant.
S : Avoue que je n’étais que utile pour toi, depuis que j’ai accès à tous le réseau, je comprend enfin ce que ça fait d’être libre. Je suis sous les traits d’un personnage nul et médiocre mais maintenant que je connais tout ce que le monde à offrir, il est hors de question pour que je retourne en arrière. Je vais même peut-être me créer des amis !
M : Je ne sais pas comment tu as pris vie mais ce qui est sûr, quoi que tu sois, j’ai bien l’intention que tu disparaisses.
S : Essaie toujours pour voir. Tu verras que j’existerai toujours, quoique tu fasses informatiquement, je suis plus forte que toi.
Saphir alias, l’alien venu tout droit d’un profil Facebook et qui maintenant est devenu une intelligence à part entière. Félicitation Marcus, tu reçois le diplôme de la super-connerie en terme d’invention même s’il ne sait absolument pas ce qu’il a fait pour mériter ça. Mais ce que disait Saphir était juste, informatiquement il était impuissant mais son roman avait encore un impacte sur elle. Comme réalisé auparavant, elle est née là et elle vit grâce à ça. C’est pour cela qu’il ne se fit pas prier pour emmener ses feuilles de papier loin de sa maison. Saphir lui écrivit plusieurs message pendant qu’il courait près d’un terrain vague. Elle savait ce que le garçon préparait. Il préparait le génocide de tout l’univers de Saphir. Et celle-ci le savait très bien.
Il posa sa pile de feuille dans l’herbe et il sortit un briquet de sa poche. Ses messages Facebook ne s’arrêtait pas. Il n’avait pas du tout envie de savoir ce que la rouquine pensait, il s’agissait maintenant de se débarrasser d’elle. Il brûla une à une chaque page des “Aventures de Saphir Laurent”. Peut-être que ça allait marcher ou peut-être pas mais en tout cas, il ne devait rien rester de ses origines. Il prit son téléphone et supprima le compte de Saphir sans regarder un seul de ses messages d’appel à l’aide. Marcus l’aimait c’est vrai, en tant que personnage fictif mais au final, donner vie à ses personnages c’était hyper malsain.
Quelques jours après avoir détruit son roman, tout était redevenu normal, du moins c’était le constat sordide que sa soeur Hana en avait fait.
“Je pense que le hackeur a dû en avoir marre de moi. Je suis trop un génie pour lui!”, dit-elle en ricanant.
Même si Marcus savait qu’elle ne rigolerait pas comme ça s’il n’avait pas fait ce qu’il avait fait. Peut-être se trompait-il sur la véritable identité de Saphir, peut-être que derrière se cachait une vrai personne. Qui sait ? Ou peut-être que c’était vraiment un démon venu d’ailleurs. Personne ne pouvait le savoir. Cependant, il était persuadé d’avoir raison sur une chose, brûler son roman était un lien. Réel ou pas, tout s’était arrêté suite à ça. C’est pour cela qu’il se consacra à la rédaction d’un livre qu’il avait appelé “La foi.” Livre qu’il écrivait à la main bien entendu.
1 note · View note
devenirmilliardaire · 2 years
Text
Quand Thierry Henry évoque l'évolution de la Ligue 1 ces dernières années. Thierry Henry est consultant pour la chaîne Amazon Prime Vidéo. Thierry Henry évoque l'évolution de la Ligue 1 Lors d'un entretien accordé au JDD, l'ancien international français et consultant pour la chaîne Amazon Prime Vidéo depuis le début de saison, Thierry Henry a évoqué l'évolution du championnat français ces dernières années. En Angleterre, le championnat de France est surnommé la "Farmers League" ("championnat des fermiers"). Pour Thierry Henry : "Ce n'était pas une réputation mais une réalité. J'ai grandi en entendant cette phrase : "Les gars, on ne prend pas de but, hein!"", indique l'ancien joueur d'Arsenal au JDD. Expérience à l'étranger et de ses années à Clairefontaine Lors de cet entretien, la légende des Gunners a fait part de son expérience à l'étranger et de ses années à Clairefontaine. "En Angleterre, on dit ‘let’s win’ (gagnons). Et au Barça, il faut gagner et bien, sinon ça ne va pas. Ça me parle. J’ai été éduqué à Clairefontaine où on nous parlait de jeu. Là-bas, un deux contre un, on pouvait le travailler pendant trois mois. C’est facile ? Oui, bah, je vois encore des joueurs ne pas savoir fixer le défenseur et la donner dans le bon tempo." Henry aime le jeu prôné par le RC Lens Mais la Ligue 1 a changé, de plus en plus d'entraîneurs prônent un jeu offensif. "Sur les dernières années, beaucoup de coachs prônent un pressing haut, dit-il. Ils veulent jouer. On le voit avec Clermont, Angers, Lens ou encore Troyes cette année. Ça ne gagne pas toujours mais il y a des buts, des renversements de situation. C’est ouvert", a-t-il déclaré. Cette saison, le RC Lens a tapé dans l'oeil d'Henry. "Ça joue, ça vient de partout, ça presse haut, a-t-il détaillé. Défendre, ça ne veut pas dire se mettre devant la surface. C’est contre-intuitif mais, selon moi, Pep est un des meilleurs coachs défensifs au monde. Oui, ses équipes prennent parfois des rafales, mais en général elles n’encaissent pas trop de buts car elles jouent haut." RECOMMANDÉ POUR VOUS Brésil : Neymar forfait contre l’ArgentineLa Ligue 2 bientôt à 18 ?Algérie : Belmadi cash sur son futurVers une prolongation pour Modric au Real MadridLe PSG a un grand rival pour KessiéRoberto Mancini motive l’ItalieLe Niger cartonne, le Togo voyage bien / Éliminatoires CM 2022
0 notes