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#corps de rêve
ficuscircus · 1 year
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HPI rewatch: 207, "55 kilos"
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mega-adam-blr · 6 hours
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Invite moi dans ton lit Je couvrirais ton corps et ses contours De mes lèvres adoucies Du miel de ta peau de velours
Invite moi dans tes insomnies Je les peuplerais de mots fous De rêves, de requiem, de poésie Tatouerais de baisers ton cou
Invite moi dans tes jours de pluie J'ensoleillerais tes chagrins d'oubli De confiture, de sourires, de calembours Je t'apprendrais par cœur mon amour.
-Rosemary Romy
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the unstoppable force of me wanting to give Karin a backstory reveal to the other characters in my post canon vs. the unmovable object that is Karin's determination to not let anyone fucking know about him and his past
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pistre11 · 21 days
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Un corps de rêve, n'est ce pas ?💚
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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sarahluise-breitling · 9 months
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« J'ai, dans ma jeunesse, démesurément aimé, aimé sans retour, profondément, silencieusement. Nuits passées à regarder la lune, projets d'enlèvement et de voyages en Italie, rêves de gloire pour elle, tortures du corps et de l'âme, spasmes à l'odeur d'une épaule, et pâleurs subites sous un regard, j'ai connu tout cela, et très bien connu. Chacun de nous a dans le coeur une chambre royale; je l'ai murée, mais elle n'est pas détruite. »
Gustave Flaubert
Correspondances
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clhook · 29 days
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Post très perso je sais pas si je vais le poster ou s'il va rester longtemps parce que je suis gênée de parler de ça mdr mais j'ai besoin de vider mon sac
j'avais un stérilet au cuivre pendant plusieurs années ça a été graduellement de plus en plus affreux au moment des règles pertes super abondantes douleurs insupportables etc mais je voulais pas l'enlever parce que je veux pas prendre d'hormones donc je serrais juste les dents une semaine et demie par mois mais à un moment j'ai commencé aussi à avoir mal en dehors des règles et surtout mal pendant les rapports je suis allée voir le médecin qui a dit que c'était parce qu'il y avait une mycose donc ok je soigne ça mais j'avais toujours mal je suis allée voir un autre médecin pour avoir un deuxième avis j'ai demandé si ça pouvait pas être de l'endométriose je me suis fait remballer ptdr j'ai fini par retourner voir mon médecin traitant qui a vu que mon stérilet était tombé et que c'était ça qui me provoquait les mycoses donc elle l'a enlevé carrément, elle m'en a prescrit un autre mais j'y suis jamais retournée parce que ça m'a un peu traumatisée et je voulais laisser mon corps trkl pendant un moment mais le fait est plusieurs mois plus tard que rien n'a changé, je suis toujours en pls pendant mes règles et je laisse plus mon mec me toucher parce qu'invariablement à chaque fois qu'on essaye je finis en larmes, pas seulement parce que j'ai mal mais parce que je suis déçue et triste et je culpabilise, impossible de mettre un tampon parce que ça me fait souffrir le martyr, et cerise sur le gâteau j'ai hyper envie d'être enceinte et d'avoir un bébé en ce moment et les gens m'en parlent systématiquement quand je parle du mariage c'est hyper dur de dire "haha on verra plus tard" alors que oui je rêve d'un bb mais je suis en combat constant avec mon corps et je suis fatiguée je pleure tout le temps l'autre jour ma collègue était hyper heureuse de me raconter que son fils va avoir un bébé j'ai tenu la conversation mais après je suis allée pleurer dans les toilettes comme une fragile j'ai pris rdv chez le médecin mais j'ai hyper peur d'y aller parce que j'ai peur d'avoir mal pendant l'examen et j'ai peur qu'elle me dise que j'ai rien et que c'est dans ma tête et que je passe le reste de ma vie comme ça ouin ouin ouin
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lisaalmeida · 2 months
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La fièvre de mon corps et le battement de mon cœur harassé et le frissonnement de mes membres, c’est le contraire d’un incident, car ce n’est rien d’autre, rien d’autre que mon amour pour toi, oui, cet amour qui m’a saisi à l’instant où mes yeux t’ont vue, ou, plutôt, que j’ai reconnu, quand je t’ai reconnue toi...
L'amour n’est rien, s’il n’est pas de la folie, une chose insensée défendue et une aventure dans le mal. Autrement c’est une banalité agréable, bonne pour en faire de petites chansons paisibles dans les plaines. Mais quant à ce que je t’ai reconnue et que j’ai reconnu mon amour pour toi, – oui, c’est vrai, je t’ai déjà connue, anciennement, toi et tes yeux merveilleusement obliques, et ta bouche et ta voix avec laquelle tu parles, – une fois déjà, lorsque j’étais collégien, je t’ai demandé ton crayon, pour faire enfin ta connaissance mondaine, parce que je t’aimais irraisonnablement, et c’est de là, sans doute, c’est de mon ancien amour pour toi que ces marques me restent...
Je t’aime, je t’ai aimée de tout temps, car tu es le Toi de ma vie, mon rêve, mon sort, mon envie, mon éternel désir... Et je m’en ficherais, je me fiche de tous ces Carducci et de la République éloquente et du progrès humain dans le temps, car je t’aime !.
La Montagne magique,
Thomas Mann.
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vhscorp · 5 months
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ALLEZ VIENS…
Qui sera là, matin, pour m’offrir un baiser, effacer mon chagrin d’un sourire apaisé ?
Qui posera sa bouche tendrement sur la mienne pour soulager ma peine quand la douleur me touche ?
Qui m’offrira son corps comme un cadeau des cieux, comme un cadeau des dieux pour conjurer la mort ?
Est-ce toi dont je rêve depuis que nos deux mains, en une étreinte brève, se sont tenues soudain ?
Je n’ai pu oublier ce brasier dans mon corps qui depuis n’a cessé de brûler plus encore.
Je n’ose pas l’avouer mais je nourris l’espoir que tu viennes frapper à ma porte, un beau soir.
À peine aurai-je ouvert, le cœur à découvert, tu me prendras la main et diras : allez, viens…
V. H. SCORP
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p--a--s--s--i--o--n · 4 months
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J'aime d'un amour clandestin. Ce que de toi nul n'a aimé : Le sourd battement enfermé De ton cœur et de ton instinct.
Nul n'a songé avec douleur À ces beaux secrets écorchés Du mouvement intérieur, Puissant, indomptable et caché !
— Mais moi je sais que c'est ton sang Qui te fait net, pur, précieux, Et mon rêve en ton corps descend Comme vers de plus sombres cieux…
~ Anna de Noailles
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coolvieilledentelle · 6 months
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
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jeanchrisosme · 3 months
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Je sais... Je sais comme à l'intérieur tu as mal. Je sais comme parfois tu pleures sans que personne ne le sache. Je sais que tu vis dans la peur d'être jugé. Je sais comme tu attends depuis longtemps des relations profondes et sincères. Je sais comme une parole peut t'impacter telle une balle qui vient trouer ton coeur. Je sais comme dans ce monde tu as déjà beaucoup souffert. Je sais que tu as toujours beaucoup donné, voir trop au point même de ne plus savoir qui tu es. Je sais comme certains, certaines ont cherchés à éteindre ta lumière. Je sais comme tu penses depuis si longtemps que tu seras seul ici toute ta vie. Je sais comme tu es émotionnellement épuisé. Je sais que parfois tu es fatigué de te battre. Je sais comme parfois tu tournes ton regard vers le ciel, implorant de l'aide, qu'on vienne te libérer. Je sais à quel point on a cherché à te changer. Je sais comme on t'a maltraité, comme chaque cellule et chaque parcelle de ton corps ont été fracassées. Je sais qu'il est difficile pour toi de trouver ta place et ta voix. Je sais que tu as peur de souffrir encore. Je sais que tu restes seul parce que tu as peur que personne ne te comprenne et ne t'accueille tel que tu es. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi toi tu fais tout avec le coeur et pourquoi les autres pas. Je sais cette profonde solitude qui vit en toi. Je sais comme tes émotions parfois t'étouffent et te donnent mal au ventre. Je sais comme tu étouffes quand il y a trop de monde dans la pièce ou là dehors. Je sais comme tu aimes aider parfois même au détriment de ton énergie. Je sais comme tu n'oses même plus parler par peur qu'on vienne casser tes rêves. Moi voilà ce que je vois en toi... Je vois ta force de faire face à tant de choses et pourtant être encore en vie ici. Je te vois reconnaître le bon chez les gens et crois moi ce n'est pas donné à tout le monde. Je vois ta lumière, ta capacité d'amour et de pardon. Je te vois inchangé, aligné dans ta bonté quand beaucoup d'autres aurait déjà basculé dans l'obscurité à faire souffrir pour se venger. Je te vois comme fédérant et incarnant ce dont ce monde à le plus besoin. Je vois ton coeur pur et loyal. Je te vois capable d'affronter tous les combats que la vie te donnera, je ne vois pas un seul mal dont tu ne te relèverais pas. Je vois ta foi inébranlable et pourquoi tu mènes tes combats. Je vois comme tu ressens la vérité derrière les mots et les émotions des autres qui te rendent solidaire. Je vois comme ta sensibilité révèle ta qualité d'être. Je vois comme tes pleurs transpirent de vérité. Je vois comme tu pétilles et rayonnes quand tu acceptes simplement qui tu es sans ne plus mener de combat avec toi même. Et quand parfois tu penseras marcher seul, remets en toi à moi et aie confiance en toi.
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Viens avec moi, je t'emmène dans mes rêves les plus audacieux aux confins de la tentation, celle que nous partagerons sans retenue.
L'ivresse des sens nous appartient dans cette passion qui nous anime.
Quintessence de désirs
Effervescence de plaisir.
Chaque sillon de nos corps accords fusionneront dans un précipice d'envies provoquant une réaction cataclysmisque de frissons.
Une caresse, un baiser et toute une alchimie de sensations profondes envahira nos esprits.
Tous droits réservés
SensuElle'ment Toi
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les-portes-du-sud · 4 months
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Je souhaite à tous un miracle pour janvier !
Dès la première seconde et pour toute l'année !
Et pour février - le confort de la maison,
Le bonheur au lit. Et un décollage spirituel.
Venant d'une page de Mars propre
A la veille d’un printemps grisant.
Avril - le farceur peindra des visages,
Un sourire de bonheur ! Contes de fées et rêves.
Aux abricots, jasmin, fleurs de cerisier
Sur les ailes du vent, il apportera Mai à tout le monde !
La chaleur du mois de Juin vous attirera plus près de la mer...
Détendez votre corps et votre esprit cet été !
Compote de cerises, tarte aux framboises,
La chaleur est de plus quarante – c’est tout le mois de Juillet.
Je souhaite à tous la climatisation dans leurs appartements.
Laissez Août apporter le tulle dans la cuisine.
Des arômes magiques de pommes mûres !
Septembre décorera la table avec des légumes,
Et pour qu'Octobre soit velouté et lumineux,
Que le soleil illumine chaque maison !
Et que Novembre ne pleuve pas,
Après tout, l’automne est un petit résultat.
Décembre brillera d'une neige merveilleuse,
Pour fêter la nouvelle année comme dans un conte de fées !
Printemps thaïlandais
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abridurif · 3 months
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Encore ceci où on verra qu’écrire est bien différent de parler. On écrit aussi pour n’avoir plus de visage, pour s’enfouir soi-même sous sa propre écriture. On écrit pour que la vie qu’on a autour, à côté, en dehors, mais ennuyeuse et pleine de soucis, qui est exposée aux autres, se résorbe dans ce petit rectangle de papier qu’on a sous les yeux et dont on est maître. Écrire, au fond, c’est essayer de faire s’écouler, par les canaux mystérieux de la plume et de l’écriture, toute la substance, non seulement de l’existence, mais du corps, dans ces traces minuscules qu’on dépose sur le papier. N’être plus, en fait de vie, que ce gribouillage à la fois mort et bavard que l’on a déposé sur la feuille blanche, c’est à cela qu’on rêve quand on écrit. Mais à cette résorption de la vie grouillante dans le grouillement immobile des lettres, on n’arrive jamais. Michel Foucault, Le Beau danger, Entretien avec Claude Bonnefoy, Éditions EHESS. Paris, 2011
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lerefugedeluza · 1 month
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Je ne sais pas si je suis la seule, mais régulièrement, je me retrouve à me demander ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie. J’ai beaucoup de passions, mais aucune ne me semble vraiment viable, alors je vivote entre différents boulots alimentaires qui ne me plaisent pas vraiment. J’essaie de faire mes petits trucs dans mon coin, de vivre mes passions à fond, de me donner corps et âme dans mes projets. Et puis j’angoisse : et si ça ne marche pas ? Est-ce que je vais devoir me satisfaire de petits jobs toute ma vie ? Et j’angoisse encore davantage : et si ça fonctionne ? Si mes projets décollent ? Qu’est-ce que je vais faire ? À quoi cet inconnu dans lequel je vais me retrouver projetée va ressembler ? Parfois, réussir à réaliser mes rêves m’effraie encore plus que de me dire que je vais rester coincée dans cet état toute ma vie. Je sais que j’angoisse trop, que je suis trop jeune pour m’inquiéter à ce point et pour remettre en question toute ma vie chaque fois que j'ai un moment pour réfléchir. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de penser, toute la journée et toutes les nuits, à me stresser pour des choses qui n’existent que dans ma tête. Cette vidéo c’est un mélange de la vie que je mène et des pensées que j’ai en ce moment. J'espère que vous vous reconnaitrez dans mes mots et mes images et que vous vous sentirez moins seuls. Merci à ceux qui la regarderont et qui la partageront ♡
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