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#costumière
chicinsilk · 4 months
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Rear Window 1954
Grace Kelly in a black dress created by the famous costume designer Edith Head for the film "Rear Window" Alfred Hitchcock 1954.
Grace Kelly dans une robe noire création de la célèbre costumière Edith Head pour le film "Fenêtre sur cour" Alfred Hitchcock 1954.
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valerielemercier · 6 months
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Ce matin, François Morel a écrit une lettre pour Valérie Lemercier Chère Valérie Lemercier, Je vous écris cette lettre que je ne vais pas poster vu que je vais directement vous la lire ce matin. Moi, ça m’économise un timbre et peut-être ça fera parler de votre film Aline, qui sans doute n’en a pas besoin, mais quand même le bouche à oreille, c’est encore la manière la plus efficace d’inciter à partager ce qu’on aime et vu que je suis une bouche derrière un micro qui parle à des oreilles qui écoutent la radio, ce serait bête de ne pas en profiter étant donné que je voudrais que tout le monde aille voir votre film vu qu’il est beau, tellement drôle et tellement bouleversant, tellement populaire et tellement singulier.  Valérie, cette chronique n’est pas un exercice de copinage, je vous connais sans vous connaître, je vous ai découvert il y a de ça une trentaine d’année, quand nous étions dans les studios de Boulogne, dirigés par Jean-Michel Ribes, vous étiez Lady Palace et j’étais Alfred le Groom. Je sais, ça ne rajeunit personne. Depuis, nous nous sommes peu vus. Moi, j’allais voir vos spectacles et chaque fois j’étais scié, par votre inspiration, vos talents multiples, votre culot. La dernière fois, c’était au Châtelet, vous traversiez le plateau avec une valise à roulettes et c’était beau comme un dessin de Sempé. Hier, je suis allé vous voir dans Aline. Avant vous, je crois, de ma vie je n’avais jamais pensé à Céline Dion et puis vous m’avez présenté à Aline Dieu et depuis je crois en Dion. Ce que vous avez tourné, ce n’est pas un biopic parce que pendant tout le film on ne voit que vous, Valérie Lemercier. Ce que vous avez filmé, ce n’est jamais une parodie, vous ne vous moquez jamais, vous rigolez pourtant comme on rigole avec ceux qu’on aime.  On ne sait pas si vous êtes Aline ou Céline ou Valérie, ou les trois à la fois mais ça n’a aucune importance. C’est un truc à part que vous avez réalisé, qui parle de plein de choses, de la volonté de chanter qui se confond avec le désir de vivre, du courage, de la famille, du couple, des enfants, de la naïveté, de l’amour, de la vie. Vous êtes toujours là où on ne vous attend pas Il faudrait dire du bien de chaque actrice, de chaque acteur qui vous entoure, de Sylvain Marcel, de Danielle Fichaud, de Roc La Fortune, de Jean-Noël Brouté, d’Elsa Tauveron, de tous les autres, il faudrait citer aussi le nom de la coiffeuse, de la costumière. J’espère que les spectateurs qui iront voir Aline resteront jusqu’au bout du générique en signe de reconnaissance à tous ceux qui ont œuvré pour votre film.  C’est un film tellement épatant, tendre, drôle mais jamais moqueur, complétement premier degré et intégralement subtil. C’est un film France Inter, Laurence Bloch s’engage à rembourser chaque spectateur à qui le film, par erreur, ne plairait pas. Valérie, je vous embrasse. Peut-être qu’on se tutoie, auquel cas, je t’embrasse.
Merci François
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onlybythenightrpg · 11 months
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Vous songez à rejoindre Only by the Night mais vous aimeriez commencer avec une base de lien? Ce post est fait pour vous! Retrouvez ci-dessous notre sélection de pré-liens, en attente de trouver preneureuse.
LIENS FAMILIAUX
(m/f, entre 21 et 35 ans) ⋅ Hartley et Jagger recherchent les trois autres membres de leur famille, autrefois unie.
(m/f, entre 20 et 25 ans) ⋅ Hesna patiente en attendant l'arrivée de sa famille d'enfants abandonnés, unis entre eux.
(m/f, entre 26 et 55 ans) ⋅ Cain recherche sa famille, déchirée par le divorce, les doutes, les infidélités et les secrets. LIENS AMBIGUËS
(m, entre 28 et 45 ans) ⋅ Robin patiente après l'homme capable de lui faire appréhender sa sexualité.
LIENS AMICAUX
(f, entre 28 et 33 ans) ⋅ L'Underworld, cabaret de Nowhere, attend sa costumière/maquilleuse et sa dance captain pour compléter cette famille choisie d'âmes esseulées.
(m/f, la quarantaine) ⋅ Le groupe d'ami d'Alvaro a besoin de ses membres manquant pour former cette bande de mousquetaires inséparables, plongés dans le désert.
(f, entre 26 et 28 ans) ⋅ Lynn attend avec impatience sa meilleure amie, sa ride or die, pour des retrouvailles après un an de séparation.
LIENS DIVERS
(m/f, entre 30 et 45 ans) ⋅ Sheridan recherche l'adelphe de son ex, parsemé de drama familial et de mal d'attention.
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slaygentford · 1 year
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louis! écoute, écoute -- la costumière speaks on madame goncharova's white gown... one thousand crystals, she says -- Louie! comme mademoiselle fenty's swarovski dress...! another bon slav, non, that swarovski? would you like me in crystals mon amour....? comme madame katyushka...? and shall I warm you as goncharova warmed her goncharov? is it for my body alone that the heavy clock of your heart ticks? tickè tocké... tickè tocké... oh louis....
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abdou-lorenzo · 1 year
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Soif d'être femme..
Costumière de ses habitudes,
Coutumière de ses rectitudes,
Sa vie, illusionnée d'un soleil,
Elle ne s'offrait qu'un vie d'abeille...
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Sans le savoir, sur son cargo,
Elle s'était prise, embastillée
D'elle même, de son embargo
Sur l'amour qu'elle falsifiait...
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Elle vivait d'un maniérisme,
En vraie bourgeoise des vieux quartiers.
Ne reflétant que par un prisme,
Aux yeux des autres, sa vraie beauté.
Apeurée, sans même le savoir,
Seule dans sa laideur et son noir,
Elle souffrait de son indignité,
De ne pas être femme en nudité...💞🥀
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ariadnew · 1 year
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CTJL 2021, ROUND 7: PARIS
Archie had lived in Paris once, when he was eighteen. He and three of his closest mates, newly graduated, living out of a predictably small, predictably bohemian apartment in Montmartre while they spent the summer making pocket money teaching English to French kids and exploring their newfound adult freedom to the fullest extent they dared. 
All of this is, naturally, entirely new information to Dot.
Much to her delight, he continues on the Metro. One of his best friends, he tells her, got a job peeling vegetables and washing dishes at a restaurant governed by an Escoffier-trained chef, just to line his pockets. He fell wickedly and firmly in love with the world of the kitchen that summer. They barely saw him. He’s a sous-chef at one of London’s swankiest hotels now. And they still barely see him. Another spent those months honing his already prodigious talent for the social. Their apartment, he relates with a smile that is half-nostalgic, half-bashful, was frequently stuffed to the brim with strangers and friends alike; people found in clubs, markets, parks, cafes, galleries, streets; artists, actors, dancers, dreamers, and anything in between. On particularly notable occasions, their guests included a thalassophobic carcinologist, a Viennese piano technician, a professor of film studies, a diplomat’s (alleged) former mistress, and a fascinatingly cheerful mortician. Mostly, however, he recalls women. Lyndsay had a new girl on his arm every time they saw him, it seemed. Sometimes two. Sometimes two on each arm. Two on each arm, and a few in tow for his single friends. He was- by his own testimony- “unerringly generous” in that regard.
– But those, Archie says, as abrupt as the gentle appearance of colour in his cheeks, are stories for another time. His tone and his haste to depart the Metro tell her that another time is likely code for never. 
* It is to Montmartre he is taking them that morning, to a small cafe tucked between a fromagerie and a shop crammed as ambitiously as it precariously with ceramics. It’s a street of vibrancy, filled with colour and quirkiness and life. Awnings flutter bright against the grey Parisian sky; the numbing autumn air is tinted with the warm, wheaten smell of a busy bakery. They pass a record store painted red and a glacier in shades of orange and ice; beneath signs announcing costumières in flamboyant strokes and bric-à-brac with scraps of rusted metal. Tables and chairs are arranged dutifully outside eateries and are occupied by equally dutiful locals taking their morning coffee and smoking in the drizzle. The gutter underfoot trickles and glistens with overnight rain, crumpled with sodden copper leaves and cigarette butts. A middle-aged man looks away in a display of feigned ignorance while the Bull Terrier at the end of his lead hunches over the pavement. A woman in a long skirt flies by on a bicycle hurling words Dot doesn’t understand but cannot possibly be complimentary. A leaf flutters to the pavement; a distant horn blares. Weak morning light gleams in the wet of the cobbled road.
Agatha has agreed to join them for breakfast, though it is not because she has any real desire for their company.
She has taken the seat to Dot’s right, where she currently sits tall and aloof and dabbing a stray rain drop from her cheek with her sleeve, eyeing the eclectic decor and commenting on the oddly tart-sweet smell of baked, borderline-burned apricots. Clad in stiletto boots and an elegant designer coat that’d cover Dot’s rent for the next five months, she does not look like a woman who frequented colourful cafes squashed within a city’s most offbeat streets and ate crooked, bleeding pastries for breakfast. She looks like a woman who’d be more at home dining in the Four Seasons’ breakfast room, or at one of those famed Belle Epoque brasseries Dot read about in a tourist guide, one of green glasswork and gold and all things art nouveau, with prices as impossible as its waiting list. She imagines her briefly, the heroine of some Jazz Age novel, svelte and sparkling in an evening gown and elbow-length gloves with a cigarette holder perched in a languid, elegant hand; smoking Turkish cigarettes and listening to jazz while men in sharp suits and dapper haircuts line up to bring her expensive champagne and beget her elusive attention. It is not an altogether difficult image to conjure. But Agatha is not at the Four Seasons, nor at one of the most coveted tables among the city’s brasseries (nor, indeed, in another time period). Agatha is here, looking as out of place as a Vermeer hanging in a kindergarten classroom—
And she is here, it turns out, because this is not her first time in Paris. 
Parisians, she has found, are frequently afflicted with sudden and violent bouts of amnesia where the English language is concerned. Manners, too. Thus, a companion fluent in the language whilst in the capital is an incomparable advantage. How convenient it is, then, that Archie– as he has frequently reminded them over the course of their stay– is able to speak the language fluently! It also happens that he is in possession of an unnatural amount of patience, and- even more convenient!- is already on her payroll. Why wouldn’t she take advantage of that? Agatha isn’t in the mood to handle Parisian attitude. True, she isn’t really in the mood to handle English attitude, either, but the devil you know and all that. He might as well work for his wage. Make himself useful. Be worth the trouble. For once. 
It is for this reason alone she has deigned to keep Archie around, even if the cost is having to endure a morning of him flaunting his irritatingly good French, being irritatingly nonchalant about how irritatingly good it is, and being around Archie in general.
Dot knows this, because Agatha has just finished telling her. 
Archie must also know this, because she has not waited for him to leave after handing him a fistful of euros and telling him to order for her. Now. Please. (It makes him go away faster, she’d explained) (again, right in front of him)
Archie looks at Dot, the picture of sangfroid, and holds up Agatha’s euros.
‘Care to join me, Dottie?’ His tone is cool and smooth as the inside of a luxury car; his eyes spark with hidden humour. ‘Order what you like; Agatha’s just offered us our breakfast today. Awfully generous of her.’ ‘I put up w-’ ‘Awfully generous indeed.’ Agatha lowers her phone and looks Dot square in the eye. Having been in her employ longer and more closely than most, one would think she’d have grown accustomed to the unnerving, burning darkness of her mistress’ eyes.
She has not. (... If anything, it’d only gotten scarier)
‘Go with him, Dot.’ Agatha turns her eyes back to her phone, her voice low and bored. ‘And make sure you take your time.’
If Archie is similarly unnerved, he doesn’t show it. He meets Dot’s eye, flashes her a smile, and gestures with a sweep of his arm toward the register, as unconcerned and cheerful as ever.
* Part II of angry breakfast tomorrow. 👉 😎 👉
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Créations inspirées de Christian Dior par la costumière Jenny Beavan dans "Une Robe pour Mrs. Harris" d'Anthony Fabian - adapté du roman "Mrs 'Arris Goes to Paris" de Paul Gallico (1958) - novembre 2022.
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linehachem · 2 years
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C’est quoi ce métier ? - costumière
Portrait en bd paru dans Topo, 2022
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remixinc · 1 month
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LE PAS DE CÔTÉ | TRAILER | SHORT FILM from Bayle Joaquim on Vimeo.
PRAL présente Un film de Joaquim Bayle
Avec Logann Antuofermo Charif Ghattas
Ecrit et réalisé par Joaquim Bayle Produit par Alix
Directeur de production Antoine Watine Directrice de casting Marie Levy Chef opérateur Angelo Marques Costumière Marlène Jacquet 1ère assistant caméra Félix Sulejmanoski Chef opérateur son Olivier Laporte Ingénieur du son Kiêm Pham Chef Électricien Hugo Brossard Régisseur général Robin De Dieuleveult Photographe de plateau Robin Watine Montage Joaquim Bayle Mix & Sound design Raphaël Prat Compositeur Alexander Kelvy Etalonneur Arnaud Laurent Illustrateur Florentin Leblond Graphiste Anaïs Pyrczak
Figuration Monika Klink Jean-Marc Bailloeul Rudi Sénécal Patricia Lhommais Muriel Gottrand Yveline Varré Cyril Desfontaines André Weste Sabine Delbart Valérie Krzych Maryse Le Bot Brigitte Brayel Pascale Diart Faride Kerrar
Remerciements Marie-Henriette & Gérard Vandamme, Robin Watine, Famille Bayle, Marlène Jacquet, Boulangerie Cori, La ville d'Arras, Restaurant L’entre Nous, Martin Sigler, RVZ, Richard Pyrczak.
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chicinsilk · 10 months
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Audrey Hepburn in a little black dress by Hubert de Givanchy during the filming of Funny Face in the Tuileries Garden in Paris in 1956. Photo David Seymour.
For Funny Face, Givenchy made all of Audrey Hepburn's "Parisian" dresses. This ensured that the couturier received the same rating (and an Oscar® nomination) as costume designer Edith Head.
Audrey hepburn dans une petite robe noire signée Hubert de Givanchy pendant le tournage de Funny Face (Drôle de frimousse) dans le jardin des tuileries à Paris en 1956. Photo David Seymour.
Pour Funny Face (Drôle de frimousse), Givenchy a réalisé toutes les robes "parisiennes" d'Audrey Hepburn. Celle-ci s'est assurée que le couturier reçoive la même note (et une nomination aux Oscars®) que la costumière Edith Head.
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proustianlesbian · 4 months
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mon mois de mai était vraiment peut-être le mois que j'ai préféré :
les soirs du 4 et du 5 on a fait nos représentations de la pièce de théâtre avec mon club, j'ai eu deux standing ovations en tant que costumière (et mon comphet crush était venu le premier soir).
j'ai construit pendant tout le mois mon costume d'hedy lamarr, avec des papiers de ferrero rocher notamment.
j'ai regardé monster à partir du 3 avec ma mère, c'était trop bien j'ai adoré (elle l'avait déjà vu en partie quand j'avais 5 ans et c'était bizarre mais amusant de voir les quelques scènes dont il me restait des bribes de souvenirs).
j'ai fait pendant tout le mois mais surtout pendant les derniers jours la fancam/l'édit de mon chanteur préféré, Rachid Taha, pour l'anniversaire d'une amie, que j'ai rencontrée sur twitter, le 25 mais je ne l'ai terminée que le 29.
le 25 c'était ma fête de prénom (c'est Sophie mais on s'en fiche, Sophia compte quand même).
le 26 j'ai passé une très bonne journée, c'était le carnaval, et tout le monde m'a félicité pour mon costume !! c'était trop bien.
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Rosalie Varda : "Agnès avait toujours l'œil malicieux"
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christophe76460 · 6 months
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Samedi 14 Octobre 2023
Les seconds rôles ont leur importance !
“Il (Timothée) est le seul à prendre part à mes préoccupations et à se soucier réellement de vous. Tous les autres s'inquiètent seulement de leurs propres affaires et non de la cause de Jésus Christ.” Ph 2. 20-21
Aux Oscars, lors de la cérémonie de remise de prix, à côté de ceux attribués pour le meilleur directeur, le meilleur film ou le meilleur acteur, d’autres prix sont décernés à diverses personnes pour reconnaître leur contribution au succès de tel ou tel œuvre cinématographique. Par exemple on distingue le meilleur acteur dans un second rôle, la meilleure costumière, le meilleur technicien responsable de la lumière sur le plateau et bien d’autres encore. C’est une manière de reconnaître que sans les “seconds rôles”, sans les techniciens, costumiers, écrivains et dialoguistes, les “stars” n’auraient pas de grands rôles à jouer. Paul, tout “super évangéliste” qu’il ait été, n’aurait pas réussi dans ses nombreuses missions sans le soutien de ceux qui étaient heureux de prendre la seconde place, de s’effacer derrière leur leader. Timothée était de ceux-là.
Paul admettait volontiers qu’il se sentait parfois découragé devant les embûches et l’énormité de la tâche, mais il reconnaissait l’importance du soutien moral de son jeune associé, celui qu’il considérait comme son fils. Et puis il y avait Epaphrodite, “mon frère, mon compagnon de travail et de combat, envoyé par vous pour se mettre à mon service alors que j’étais dans le besoin” (Ph 2. 25). Quand la bataille se faisait plus rude, que l’ennemi l’attaquait de tous côtés, Paul avait besoin d’un frère prêt à lui fournir l’aide pratique dont il avait besoin, de le soutenir dans la prière et dans les encouragements quotidiens. Même malade, Epaphrodite continuait à se battre aux côtés de l’apôtre. Malgré le manque de smartphones, d’ordinateurs et d’internet, Paul se débrouillait très bien pour communiquer l’Evangile autour de lui et jusqu’aux confins des provinces romaines, mais il ne pouvait se passer du soutien physique, moral et spirituel de ses fidèles “frères” en Christ.
Et nous ne sommes pas différents. Certes, nous pouvons voyager plus loin et communiquer plus vite qu’au temps de l’apôtre, mais sans le soutien et les prières de nos frères nous sommes tellement plus vulnérables. Prenez le temps aujourd’hui de remercier Dieu pour ceux qu’Il a mis sur votre chemin précisément pour cela et n’oubliez pas de leur exprimer votre reconnaissance pour leur fidélité à votre égard. Prenez exemple sur Paul !
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yes-bernie-stuff · 6 months
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samedi 14 octobre 2023
Les seconds rôles ont leur importance !
“Il (Timothée) est le seul à prendre part à mes préoccupations et à se soucier réellement de vous. Tous les autres s’inquiètent seulement de leurs propres affaires et non de la cause de Jésus Christ.” Ph 2. 20-21
Aux Oscars, lors de la cérémonie de remise de prix, à côté de ceux attribués pour le meilleur directeur, le meilleur film ou le meilleur acteur, d’autres prix sont décernés à diverses personnes pour reconnaître leur contribution au succès de tel ou tel œuvre cinématographique. Par exemple on distingue le meilleur acteur dans un second rôle, la meilleure costumière, le meilleur technicien responsable de la lumière sur le plateau et bien d’autres encore. C’est une manière de reconnaître que sans les “seconds rôles”, sans les techniciens, costumiers, écrivains et dialoguistes, les “stars” n’auraient pas de grands rôles à jouer. Paul, tout “super évangéliste” qu’il ait été, n’aurait pas réussi dans ses nombreuses missions sans le soutien de ceux qui étaient heureux de prendre la seconde place, de s’effacer derrière leur leader. Timothée était de ceux-là. Paul admettait volontiers qu’il se sentait parfois découragé devant les embûches et l’énormité de la tâche, mais il reconnaissait l’importance du soutien moral de son jeune associé, celui qu’il considérait comme son fils. Et puis il y avait Epaphrodite, “mon frère, mon compagnon de travail et de combat, envoyé par vous pour se mettre à mon service alors que j’étais dans le besoin” (Ph 2. 25). Quand la bataille se faisait plus rude, que l’ennemi l’attaquait de tous côtés, Paul avait besoin d’un frère prêt à lui fournir l’aide pratique dont il avait besoin, de le soutenir dans la prière et dans les encouragements quotidiens. Même malade, Epaphrodite continuait à se battre aux côtés de l’apôtre. Malgré le manque de smartphones, d’ordinateurs et d’internet, Paul se débrouillait très bien pour communiquer l’Evangile autour de lui et jusqu’aux confins des provinces romaines, mais il ne pouvait se passer du soutien physique, moral et spirituel de ses fidèles “frères” en Christ. Et nous ne sommes pas différents. Certes, nous pouvons voyager plus loin et communiquer plus vite qu’au temps de l’apôtre, mais sans le soutien et les prières de nos frères nous sommes tellement plus vulnérables. Prenez le temps aujourd’hui de remercier Dieu pour ceux qu’Il a mis sur votre chemin précisément pour cela et n’oubliez pas de leur exprimer votre reconnaissance pour leur fidélité à votre égard. Prenez exemple sur Paul !
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Une robe inspirée de Christian Dior par la costumière Jenny Beavan dans "Une Robe pour Mrs. Harris" d'Anthony Fabian - adapté du roman "Mrs 'Arris Goes to Paris" de Paul Gallico (1958) - novembre 2022.
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memoriae-lectoris · 7 months
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“Les citoyennes de Strasbourg sont invitées à quitter les modes allemandes, puisque leurs coeurs sont français.”
Cette proclamation du 25 brumaire an II (15 novembre 1793) est signée des deux représentants du peuple à l’armée du Rhin, Saint-Just et Le Bas. Elle s’inscrit dans un ensemble de mesures visant à mettre en réquisition manteaux, chaussures et métaux précieux pour vêtir les armées républicaines. Elle souligne aussi l’embarras des élites face à la diversité costumière française, diversité que refusait leur sensibilité esthétique et leur aspirations politiques à l’unité. En Alsace néanmoins, leur xénophobies anti-allemande leur permet de rendre compte sans embarras de particularismes, qui ne sont pas seulement vestimentaires mais aussi linguistiques, et cela sans toucher au dogme d’un modèle unique et nécessaire de développement culturel pour toutes les provinces françaises.
Jean-Louis Fesquet en l’an VII affirme en effet que “ce pays tient beaucoup à la langue, aux moeurs, préjugés, superstitions et usages allemands. Par les costumes divers et antiques, on peut distinguer les habitants d’un tel ou tel village ; ils les ont presque tous conservés depuis plus de 600 ans, quoiqu’il y ait plus d’un siècle qu’ils sont soumis à la France”. L’étrangeté d’une coutume et plus généralement à l’inconnu, sont au XVIIIe siècle toujours assimilés à des archaïsmes, survivances des temps gothiques et pour cela prétendument aisés à extirper.
Plus précis dans ses description, le savant Antoine Camus insiste sur une des particularités du costume féminin strasbourgeois : ce n’est pas encore le grand noeud (il est réduit sur le devant des coiffes d’artisanes à une minuscule coque de rubans), mais le ” Schnepper*”, coiffe précieuse à trois pointes, recouverte de brocart doré et argenté et rebrodés de fils d’or et de paillettes. Comme pour les Cauchoises de Normandie à la même époque, ce coûteux couvre-chef n’est en fait que l’apanage que des femmes mariées et fortunées. “Le costume des hommes de Strasbourg n’est pas différence en général, de celui de l’intérieur de la France. Quant aux femmes, celles du commun portent le gros corset à baleine, une cravate noire dont le noeud et les pendants sont sur le derrière du cou, bonnet ou toque, soit en or, soit en argent ; une cocarde en rubans au-dessus du front. On peut juger de la multitude et de la valeur de ces toques, par un inventaire de celles qui furent offertes à la Société Populaire de Strasbourg au commencement de la Convention : 1 061 toques en or, estimées 10 540 F ; 424 toques en argent, estimées 2 544 F. Les femmes au-dessus du commun font coupeur leur robes et disposer leur coiffure d’après les descriptions du Journal de Paris : cependant, elles ne sont pas mises à la parisienne.” Le provincialisme est déjà en France une tare.
Il est intéressant de constater que , moins imbus de la supériorité des modes parisiennes, moins exclusivement obnubilés aussi par les modes féminines, les voyageurs étrangers ont été surpris par d’autres éléments de parures locales : le Russe Karamzine n’a vu des Alsaciennes que leur chevelure : “La parure que les femmes portent sur la tête est tout-à-fait étrange. Après les avoir peignés et pommadés, elles assemblent leurs cheveux de devant et derrière sur le milieu de leur tête et attachent au sommet une petite couronne. Rien ne saurait être plus laid que cette parure.” Quant à l’Allemand Storch, il a été surtout sensibles aux odeurs ; il l’a été aussi à la couleur des bas d’une foule, à ses yeux hautaine et riche : “J’ai dû à plusieurs reprises fermer ma fenêtre, parce que les parfums odoriférants, surtout les jours de soleil et de fête, mettaient mon nez à contribution. Les vieillards à cheveux gris portent des habits à la mode et des bas verts, rouges ou couleur d’acier. “
En mai 1789, le Bourguignon Marlin circule, pour ses affaires entre Clermont-Ferrand et Rouen via Saverne, Sedan et Arras. La germanité des modes, des usages et de la langue attire son attention et il se plaît à décrire, malgré la “laideur” de leur toques, la sveltesse, la fraîcheur et la propreté des paysannes des environs de Comlar. Il est frappant de constater que fort prolixe lui aussi sur les coiffures féminines, il n’évoque les tenues masculines que comme preuve de l’aisance de la paysannerie alsacienne : aucune des villageoises “n’a cet air misérable que les femmes de leur condition ont en d’autres provinces. Nos villageois sont presque tous bien vêtus, ; ils portent pour l’ordinaire, un petit gilet rouge sans manches ; les boutons de cuivre ou de métal blanc, sont petits et ronds, ou allongés en poires, et ils en mettent un double rang, moins par utilité que pour une forme plus gracieuse(…). Les villageois vers Solgues sont la plupart vêtus de toile ou d’une mauvaise étoffe de laine, et ont un air souffrance, il y a de pires contrées dans le royaume, et des paysans plus dénudés, mais nous sortons d’Alsace.”
Pellegrin, Nicoles. Les vêtements de la liberté.
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