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#courbatures en vue
steff-02 · 7 months
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Enfin les courbatures commencent à passer…bon c’est pas encore ça mais c’est sûr le bon chemin 😄
Ce matin, nous avons décidé d’aller voir l’aquarium des deux océans. Il est vraiment beau. Autant il y a des tout petit bassin avec des anémones, autant il y en a des gigantesque avec des raies, des tortues ou encore des requins 🦈. J’ai même vu mes copines les méduses, elles sont très très belles, mieux dans un aquarium que dans la mer 😂 Il y avait pas mal de monde, surtout pas mal d’école qui venaient faire la visite.
Nous prenons ensuite la route pour Hout Bay ( où on est passé hier avec le bus). On y avait vu un chouette restaurant en passant alors ça y est, on y est. Le cadre est hyper sympa, tout est en bois, on se croirait presque dans un bateau (de pirate, me dit Dan)🛶! On commande tout les deux du poisson. Je voulais un filet mais ils en avaient plus, alors je ne retrouve avec un poisson entier. Mais il était super bon, en plus accompagné d’une sauce au citron, un régal 😊!
Repas terminé, on se rend au parc “World of birds” qui se situe pas loin. On s’attendait à un tout petit parc, en plus l’entrée a couté trois fois rien, mais en fait on est resté bien 3h ! Il y avait des oiseaux traditionnels tel que des paons, des perruches, des hérons, des hiboux ou encore des flamants roses, mais également des espèces plus sud africaines tel que des cacaos à bec jaune, des ibis sacrés ou encore des jaribus d’Afrique. A notre grande surprise, il y avait aussi plein d’autre animaux. Des tortues, des porc-épics, des cochons d’Inde, des alpagas, des chèvres et une multitude d’espèces de singes 🐒! Et le clou du spectacle : the monkey jungle ! Une fois le matin et une fois l’après-midi, pour une durée d’une heure trente, ils ouvrent un très grand enclos à singe au public. Et par petit groupe, nous pouvons entrer durant une quinzaine de minutes pour être au plus près des singes. Ils sont tellement chou ! Ils grimpent sur toi, jouent avec tes cheveux, essaient de savoir ce que tu as dans les poches…ils sont super légers et ils ont les mains toutes douces ! On aimerait presque ( on veut me dit Dan) en adopter un 😍! On ressort du parc il est presque 17h, c’est l’heure de la fermeture 😂. On prend la voiture et direction l’hôtel. On reprend la bouteille de rosé d’hier et on retente notre chance pour voir le couché de soleil. Il y a quelques nuages à l’horizon mais on y croit. Malheureusement le coucher de soleil a lieu pile poile derrière la seule tour devant l’hôtel…🙄 Tant pis on aura quand même pris l’apéro avec une belle vue ;) On a pas trop faim alors on a juste été s’acheter des cuisses de poulets avec un morceau de pain (correction de Dan: j’avais pris un sandwich et quand je l’ai vu revenir avec deux cuisses de poulet qui avaient l’air meilleures. J’ai fait mes yeux doux pour en avoir une (j’ai réussi comme d’habitude) et donc ON a mangé une cuisse de poulet chacun) 😂😂.
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christophe76460 · 3 months
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Si on parlait un peu du paradis ? (2)
“Nous serons transformés, en un instant, en un clin d’oeil...” 1 Corinthiens 15. 51-52
Comment pourrais-je reconnaître mes êtres chers sans leur corps terrestre ? Exactement comme les disciples ont reconnu Moïse et Elie, alors que ceux-ci étaient morts depuis des siècles (Marc 9. 4). Vous serez autant l’enfant de Dieu au paradis que vous l’avez été sur terre, mais sans votre corps terrestre, jusqu’au jour du retour du Seigneur lorsque “nous serons transformés” (1 Corinthiens 15. 51). Continuerons-nous à apprendre et à grandir ? Bien sûr ! La structure de l’atome sera un jeu d’enfant comparé à ce que vous découvrirez au paradis ! Imaginez une étude approfondie de l’histoire humaine vue selon l’angle divin.
Sans oublier la possibilité de voyager dans le passé, non pas à la vitesse de la lumière, mais de l’esprit. Aurons-nous le temps de nous détendre et de pratiquer nos passe-temps préférés ? Le paradis sera un lieu de repos. Vous pourrez planter un jardin sans souffrir de courbature du dos, sans craindre les mauvaises herbes ou la sécheresse. Vous pourrez composer des oratorios ou écrire des poèmes. Vous pourrez sculpter le bois ou peindre un paysage. A la louange de Dieu ? Tout, au paradis sera fait pour Le louer. Aurons-nous des soucis ?
Non. Ni armes, ni bombes, ni crime, ni violence, ni guerre n’y auront place. Les portes n’auront aucune serrure. Tout ce qui, sur terre, rendait la vie dangereuse et effrayante aura disparu. “Il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu” (Apocalypse 21. 4). Comment parvient-on au paradis ? En choisissant d’y aller, pas par chance ! Tout le monde est invité. Encore faut-il accepter l’invitation ! C’est-à-dire en acceptant Jésus-Christ comme votre Seigneur et Sauveur. L’avez-vous fait ?
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andersonykno36 · 6 months
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Yoga pilates basics
Yoga Pilates Basics Le Pilates a été inventé par Joseph Pilate au début du 20ème siècle. Yoga Pilates peut s'avérer d'une grande aide si toutes les règles nécessaires liées aux exercices Pilates sont suivies correctement. Yoga Pilates est un régime d'exercice qui peut être tout aussi bénéfique et agréready. Très simplement, le Pilates est la partie contemporaine des mouvements de Yoga plus anciens. Le nombre d'exercices Pilates peut aller jusqu'à cinq cents exercices qui peuvent être effectués en utilisant seulement cinq devices principaux. Chaque pose de yoga a une grande signification similaire à son équivalent Pilates. Les bases importantes du yoga Pilates que l'on doit maîtriser sont le mouvement de va-et-vient du centre et la rotation autour du centre. Une action régulière laissera certainement un influence profond et positif sur votre vie physique et mentale. Après quelques jours de pratique, vous constaterez que la flexibilité de votre save delivery corps est améliorée. L'étirement impliqué dans le yoga Pilate aide à réduire le risque de blessures. L'un des additionally grands avantages des exercices Pilates est que l'équilibre de votre corps est amélioré. Avec le temps, vos courbatures diminueront également dans une huge mesure. Avec des exercices réguliers, les muscles sont renforcés, ce qui stimule votre endurance, votre endurance et votre niveau d'énergie.
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Une grande selected que vous découvrirez à la suite du yoga Pilates est que vous constaterez que votre corps et votre esprit est beaucoup plus détendu par rapport à la façon dont vous vous sentiez avant. Le yoga Pilates implique certains schémas respiratoires qui aident une personne à se calmer et à se détendre, ce qui se traduit par un sommeil furthermore sain. De nos jours, le Pilates est souvent prescrit par des spécialistes comme les ostéopathes, les physiothérapeutes, les chiropraticiens et de nombreux praticiens holistiques comme principal apprivoisement pratique. processus. Le Pilates occupe en effet la première area dans le classement occidental de la forme physique. Les details de vue des professeurs de Pilates et des instructeurs de Yoga sont un peu les mêmes sur le fonctionnement de l'exercice. Beaucoup considèlease le Pilates comme du yoga sur des devices tandis que d'autres le voient comme une éducation neuromusculaire ou un conditionnement de la pressure. Fondamentalement, le yoga et le Pilates se soutiennent réciproquement : le yoga donne au Pilates souplesse et mobilité tandis que le Pilates offre constance et mobilité dans le mouvement. Lorsqu'elle est unie au yoga, la doctrine Pilates augmente la pratique en mettant en lumière la stabilisation centrale ainsi que l'entraînement et la material pour les postures de yoga (en particulier dans la force à saisir). Étant donné que le Pilates est davantage une concern de longueur et de puissance, le yoga aide à amplifier la capacité de souplesse. Beaucoup de personnes dont le travail exige de s'asseoir à un bureau ou de conduire près de eight heures par jour, gagnent beaucoup du Pilates Yoga. Avec des idées simples de doctrines de silhouette et de posture, il soutiendra la colonne vertébrale et déverrouillera les canaux de punch. Elle édifie la conscience et le centrage, la souplesse et la mobilité. Il s'agit d'une coordination d'exercices associés qui sont également utiles séparément.
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Les danseurs et les athlètes professionnels pratiquent la forme d'exercice Pilate. Cela les aide à atteindre la flexib
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gwada2022 · 1 year
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Troisième volcan et je ne le vois toujours pas
Après la pluie a l’Arenal au Costa Rica et le guide sicilien qui ne voulait pas nous montrer l’Etna, je crois que je peux dire que j’ai la malédiction des volcans.
Réveil de bonne heure et bonne humeur, tenue du randonneur, petit dej en un quart d’heure et direction la station des bains jaune pour le début de l’ascension. Les premiers signaux de la pluie fine et des nuages bas ne sont pas rassurant. Petite escale à notre dame de Guadeloupe (on aurait du poser un brevet de celle qui nous garde) et je peux attaquer la montée sans presque pas me perdre (et oui la visibilité ça se complique) qui est agréable avec un vent à faire rougir le mistral tout en haut quand même.
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On croise toujours un phénomène qui n’est pas du tout habillé pour faire de la rando … on la reconnaît facilement avec ses baskets, sa jupe et son bonnet de mère Noël 🤦🏻‍♂️
Au sommet des 1467m de la soufrière, on ne voit rien à 2 mètres devant mais comme dit orelsan l’important c’est pas l’arrivé c’est la quête. Le retour se fait facilement et je croise beaucoup de monde, en fonction s’ils sont gentils on rigole et je fais des blagues. S’ils sont pas trop sympa, c’est à dire qu’ils ne laissent pas passer ou disent pas merci ou maillot du PSG je leurs mets un peu le stress 🤣. Je finis part un moment de relaxation dans des bains chauds parfait pour les courbatures avant de reprendre la route.
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J’enfile un maillot de bain, un teeshirt et direction le sud de basse terre avec un premier stop à vieux fort un superbe petit village de pêcheur et un phare magnifique en face des saintes pour me détendre et me laisser divaguer quelques minutes.
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En route 3 rivières avec une escale à la pointe de la grande anse pour manger un bout (elle me dit que le poisson c’est de la dorade la serveuse 🤔) et me prendre un bain sur une superbe plage de sable noir avec des vagues de batard, où j’ai plongé comme un gamin la tête la première pendant 20 minutes.
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Une meuf tinder me recommande fortement une ballade magnifique à proximité elle dure 2h30. C’est la que je me dis que j’ai bien fait le moment relaxation courbature au bain jaune! Mais franchement ça en valait la peine. C’est en mode sentier du littoral avec la possibilité de faire une balade culturel bon sans guide mais de croiser des canons, un moulin, des dessins sur des pierres, une cascade à la fin… franchement j’ai adoré ! Super dépaysant, j’ai croisé presque personne (d’ailleurs un peu flippant avec la tombée de la nuit quand même), la vue superbe je l’ai adoré.
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Pour la remercier le soir nous avons mangé ensemble dans un resto dans la marina a goûter des spécialités comme les accras, frite de patates douce et flan coco ! Une soirée agréable car pas mal de conseils pour la suite du séjour, mais rien de plus car entre ses photos et elle il y avait quelques litres de rhum !
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albertinefloyd · 2 years
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Samedi 6 août 2022.
Hier, je disais que j'avais l'impression que mes neurones avaient fondu en deux ans. Qu'avant, j'avais un cerveau tout à fait performant, et qu'aujourd'hui, c'était la décrépitude.
Je suis certaine que nous sommes très nombreux, à n'importe quel âge, à avoir cette sensation.
J'en suis certaine parce que, en vrai, c'est loin d'être la première fois que je ressens un tel engourdissement mental.
Il y avait quand j'étais ado. Que j'avais l'impression d'être "à moitié autiste" tellement je ne comprenais rien à rien (je sais, je sais, l'expression ne veut rien dire, mais c'était comme ça que je le percevais). J'ai cru que j'avais un réel retard mental à un moment.
Il y a eu ensuite des hauts et des bas, et à chaque fois c'était pareil : je recommençais à lire en masse, à apprendre des trucs, à dessiner, à m'intéresser à plein de choses. Et sans efforts, je retrouvais une certaine légèreté et flexibilité mentale.
(Pour donner une idée, ça me faisait la même chose, physiquement, quand je faisais beaucoup de yoga plusieurs fois par semaine et que j'étais très très souple et en bonne santé. Je me sentais à l'aise dans mon corps, je n'avais pas de douleurs, je ne me fatiguais pas, c'était trop bien).
Puis j'ai eu une grosse rechute de dépression à partir de mes 21 ans, qui a mené à mon émigration au Canada et à arrêter toute activité intellectuelle. Pendant un an j'ai rien foutu. Pas moyen d'écrire, pas moyen de lire, mes journées étaient d'une nullité absolue.
Puis j'ai repris des études en psychologie.
Et là, un truc de dingue s'est passé.
Ça m'a fait comme une reprise du sport après une longue période d'inactivité. C'était long, douloureux, mais aussi fun et agréable, comme quand on ressent des courbatures après une bonne séance de sport. Et très rapidement, en un trimestre, j'ai senti mon cerveau se remettre en marche. Ma mémoire s'est développée à la vitesse de l'éclair, j'ai recommencé à avoir des réflexions et des raisonnements sur un tas de sujets, j'ai recommencé à y voir plus clair.
Ça a duré tout le temps de mes études. J'ai eu de petits bugs dans ma 3eme année, quand j'enchaînais cours à temps plein + deux bénévolats dans deux hôpitaux différents + un job sous payé dans une librairie anglophone (jusqu'à 22h30 le soir, y compris le samedi et dimanche) + travail dans un laboratoire de neuropsycho + écriture quotidienne de fiction (2000 mots/jour).
Je crois que je n'ai jamais été aussi productive qu'à ce moment-là. J'ai écrit un bouquin, j'ai eu A+ partout, et j'ai rendu tous mes travaux deux jours avant chaque deadline. Mais j'ai aussi commencé à ressentir des... comment dire... simili troubles cognitifs ?
Je me souviens, un soir, 22h30, Athos est venu me chercher après le boulot (lui-même faisait jusqu'à 100h par semaine à l'époque). Il pleuvait, on marchait. Et d'un coup j'entends qu'il me parle, me dit quelque chose. Je le regarde droit dans les yeux et je ne comprends rien. Je le vois qui s'agite. Je regarde autour de moi, et c'est comme si je vois deux mondes superposés : les rues de Montréal, que je connais, et celles d'une ville que je n'ai jamais vue de ma vie. Comme si j'étais dans un film. Le bruit de la pluie qui tombe me semble très lointain, et en même temps, il assourdit tout ce que j'entends. Je demande à Athos de répéter, et j'entends ses mots, je reconnais le français qu'il emploie, mais j'oublie chaque mot au fur et à mesure qu'il les prononce, je suis incapable de me souvenir du début de sa phrase, et donc d'en comprendre le sens. Il m'indique un truc, par terre, je me retourne et contemple le vide. Les voitures passent, phares allumés, et tout m'a l'air si irréel.
Et finalement, c'est Athos qui ramasse mon téléphone tombé par terre que je contemple sans bouger depuis dix bonnes secondes.
Et d'un coup, tout redevient comme avant, tout redevient évident, et je n'ai aucune idée de ce qui vient de se passer.
Pas la première fois que je ressentais une chose pareille. Je savais qu'il s'agissait d'un signal d'alarme. Bref, je me suis éloignée de mon propos. Un jour faudra que j'apprenne à aller droit au but.
Tout ça pour dire, j'ai l'impression que mon cerveau a été abîmé par ces deux ans de pandémie où j'ai arrêté mes études pour faire un job abrutissant. Mais je sais que c'est réversible, ce n'est pas la première fois que je passe par là.
Bon, le problème, c'est que je ne vais pas en rajeunissant, et que pour l'activité mentale comme pour l'activité physique, le facteur "âge" est exponentiellement un problème. Un jour, on se réveille, et il est trop tard pour devenir athlétique. Des années de mauvaises habitudes ont trop endommagé le capital.
À 30 ans, il n'est pas encore trop tard pour se ressaisir. Mais, tout comme pour le sport, je crois que je ne peux plus me permettre de trop longues périodes d'inactivité, sous peine d'avoir de plus en plus de mal à me bouger ensuite.
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23-24-25-26/06
Après Yosemite, on file sur San Francisco rejoindre notre pote Candice qui travaille là bas cet été. Après avoir fait le check-in et déposé nos valises à l’hôtel, on sort tous les 3 découvrir un peu la ville le soir. San Francisco est une ville beaucoup plus petite que Los Angeles, beaucoup plus taillée pour les piétons que pour les voitures, elle se visite assez facilement à pied ou en transport en commun et surtout elle ressemble beaucoup à une ville européenne (ou même à Sidney selon Zélie), malgré le fait qu’elle soit construite uniquement dans des montées et qu’on a eu des courbatures ! C’est aussi une ville un peu plus sûre que Los Angeles donc on se permet de sortir le soir et de rentrer à l’hôtel dans la nuit.
On part donc passer une 1ere soirée dans la ville, on monte jusqu’à Lombard Street puis on va jusqu’au Pier 39 pour voir les otaries et manger au resto.
Le lendemain on file dans le quartier d’Haights Ashbury, le quartier hippie et Castro, le quartier gay, qui est particulièrement animé aujourd’hui car on est à quelques jours de la Pride ! Beaucoup de touristes sont là pour l’occasion, on croise même des Québecquoises venues pour la Pride. L’après midi on se dirige vers Mission, un vieux quartier issu de l’immigration latine, qui ressemble un peu plus à LA qu’à San Francisco pour le coup.
Le lendemain on passe la journée tous les deux, on va se balader le matin à Chinatown où l’on prend un petit déjeuner que l’on va manger en haut de la colline de la Coit Tower où l’on a super vue sur une bonne partie de la ville, MAIS toujours pas sur le Golden Gate Bridge, qui depuis notre arrivée, est caché par la brume de San Francisco. C’est une ville assez particulière niveau météo, d’une rue à l’autre on perd ou gagne des degrés, et surtout il y a un brouillard permanent qui tourne au dessus de la ville et qui se déplace d’un sommet à l’autre. Malgré tout on se dirige directement vers le Golden Gate Bridge et son parc, afin de le voir de plus près (et de le voir tout simplement). On se balade dans les parcs qu’il y autour de celui ci mais on se fait encore une fois surprendre par la démesure, la taille des parcs et des distances aux usa. Les parcs sont immenses et on est à pied donc on marche beaucoup mais on voit 1/10 de ce qu’il y a à voir. On essaie d’aller dans le jardin japonais du Golden Gate Park mais on se fait encore avoir car l’entrée est payante (chère) et il y a beaucoup de monde (bien trop de monde). Et dès 17h30, Camille s’exclame « désormais c’est moi le chef, tu me suis j’ai un truc à te montrer », et nous voilà dans un bus en direction du Pier 39. On s’arrête à quelques blocs de ce dernier, on longe le Fisherman’s Wharf puis on arrive sur le Pier qui est rempli de monde. Camille fait de mine de rien et garde la surprise (avec le brios qu’on lui connaît) en allant vers le quai J, pour embarquer dans une voilier pour aller regarder le coucher de soleil dans la baie de San Francisco. On passe tout près d’Alcatraz, sous le Golden Gate, près de la côte Est de la baie, on y passe 1h30, il y a beaucoup de vent et il fait assez froid mais ça vaut carrément le coup !! (merci papi et mamie !)
Le Dimanche 26 Juin à San Francisco, c’est le jour du seigneur et de la Pride. On se dirige donc vers Market Street pour admirer le défilé et rejoindre Candice qui nous a eu des places pour faire partie du défilé. On arrive dès le début de la parade, il y a énoooormement de monde, de chars, de voitures, de déguisements, de cortèges, c’est un bazar coloré assez fou. L’événement est très surprenant de par sa taille mais aussi de par les gens qui défile, entre les motards et les différentes associations queers qui font partis du cortèges, on trouve des dizaines de marques comme Mercedez, Amazon, T-Mobile, Google, la SPA ou encore Apple qui avait certainement le plus grand cortège de la parade avec des centaines de personnes qui portaient des t-shirts Apple aux couleurs de la Pride. On était assez perplexe devant tout ça, on avait plus l’impression d’être à un énorme carnaval aux couleurs de la Pride en fait. Finalement Zélie défile avec le cortège européen tandis que Camille continue de se balader sur le côté derrière les barrières.
Après tout ça, une fois le défilé terminé, Zélie s’empresse d’avaler un Panda Express (c’est un fast food, elle n’a pas vraiment mangé un panda), puis on se pose dans un parc, on boit un coup au soleil, puis on reprend notre route vers la Highway 1 et le retour vers Los Angeles.
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Quand on a le temps de faire une séance de renforcement musculaire entre deux inter ...
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A mes deux collègues qui pensaient y aller tranquillou parce que c’était notre dernier matin ... 
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Au final on a bien travaillé ; beaucoup de sueur, un peu de rires et pas mal séries 
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Ici le CupiAnon 👼
(Oui, la St Valentin c'est dans quatre jours, mais c'est pour laisser du temps à ceux qui veulent réfléchir un peu.)
Vite, prend ton ship préféré et décrit moi leur journée de Saint Valentin ! Aussi simple que ça ! Ou juste une journée qu'ils prendraient rien qu'entre eux, pour se retrouver.
Si tu n'as pas de ship préféré ou que tu préfères les relations platoniques ce n'est pas grave, la St Valentin peut représenter plusieurs formes d'amour alors tu peux prendre n'importe quel duo de personnage et me dire comment ces derniers peuvent s'exprimer leur affection, quelle qu'elle soit !
Bonne journée à toi, j'envoie plein de coeurs et d'amour dans ta direction ❤️💞💕❤️
CupiAnon, je suis vraiment désolé mais je suis pas très St Valentin 🤷
De mémoire de l'ai jamais fêté du coup à la place je te propose un smut Pendranievre en offrande sous le cut 🙇🙏
A l'aube, Guenièvre se réveille lentement, la chaleur du corps nu contre sa peau et les courbatures de ses muscles lui rappelant les activités de la veille. Elle sourit tendrement à la vue d'Arthur toujours endormi à côté d'elle. Tout lui revient peu à peu en mémoire, la douceur de ses mains, l'audace de ses baisers et le reste. Ils avaient décidé de faire avancer les choses lentement, prendre leur temps, après tout il voulait faire les choses bien cette fois-ci. Il lui avait dit qu'elle méritait bien plus d'un coup vite fait contre un arbre ou dans le couloir et elle devait avouer que l'attente en avait valu la peine.
Guenièvre essaye de se rallonger, de récupérer un peu du sommeil qu'il lui manque, mais son corps réclame déjà celui d'Arthur. Elle rougit quand elle sent une tension, devenue familière, se diffuser dans son bas ventre et elle se demande si elle peut réveiller son mari pour ça.
Perdue dans ses pensées, elle ne remarque pas Arthur se réveiller à son tour et l'observer à la dérobée. Ce matin, encore plus que les autres matins, il ne regrette pas d'être revenu, il ne regrette pas de se réveiller à côté de cette femme merveilleuse qui fait battre son coeur plus fort. Le rose qui décore ses joues, le sourire niais mais adorable qu'elle ne remarque sûrement pas, ses épaules nues qui dépassent des couvertures, la forme de ses seins qu'il peut deviner sous les draps, les marques rouges qu'il a laissé sur la peau blanche, il n'est pas un homme du matin mais il pourrait vite le devenir si c'est la vision qui l'accueil chaque jours au lever. Il se relève et s'approche, l'envie de la couvrir de baisers se faisant de plus en plus pressante chaque seconde.
"Bonjour."
Guenièvre sursaute et il sourit.
"Ça va ?"
Elle hoche la tête mais détourne le regard, le rouge de ses joues devient plus prononcé. Une petite panique s'empare d'Arthur qui pose une main rassurante sur son bras.
"Vous avez mal ?"
"Non, c'est juste que je… je… "
Elle se relève à son tours, le drap glisse sur sa poitrine et Arthur se félicite d'avoir assez de maintient pour garder ses yeux sur le visage de sa femme, même si c'est difficile.
"J'ai… encore…"
Elle se mord la lèvre, gênée. Il ne dit rien et attend patiemment, il la connaît maintenant, certaine chose lui demande beaucoup d'effort et il est prêt à lui laisser tout le temps dont elle a besoin.
"J'ai envie."
Le peu de retenu qu'il avait s'envole avec l'aveu de Guenièvre qui pousse un petit cris de surprise quand Arthur fait valser les draps et se jette sur la jeune femme. Sa surprise se transforme vite en cris indignés quand des doigts agiles trouvent un point sensible sur ses côtes la faisant rire au éclat. Elle essaye de se dégager, se tortille et se contorsionne pour échapper à ses assaillants mais Arthur est trop expérimenté et il ne desserre pas sa prise, attrape ses bras et les ramènent au-dessus de sa tête pour l'empêcher de trop bouger. Elle essaye de parler mais ses rires l'en empêchent.
"Arrêtez ! Je vous en prie !"
Mais il ne ralentit pas et au contraire mordille la peau de son cou où il sait qu'elle est chatouilleuse.
"Non, pitié… Ahahahahah…arrêtez"
Il s'écarte de son cou sans stopper ses mains, un sourire narquois sur les lèvres.
"C'est pas de ça dont vous aviez envie ?"
"Non !"
"Ah pardon, j'croyais."
Mais il ne s'arrête pas pour autant. Des larmes de joie commencent à se former au coin des yeux de Guenièvre et l'air lui fait défaut, finalement elle s'avoue vaincu.
"Je vous en prie, je ferais tout ce que vous voudrez !"
L'effet est immédiat, il pose sa main à plat quelque part près de ses côtés, pendant que Guenièvre essaye de reprendre son souffle.
"C'est de vous dont j'ai envie."
La vision de sa femme nue, les bras prisonniers au dessus de sa tête, un sourire sur les lèvres, lui donne des frissons de plaisirs. Il observe ses seins monter et descendre quelques instants avant de capturer un téton rose et tendu entre ses lèvres.
"Arthur… "
Son corps ondule sous le sien et la chaleur de ses cuisses contre les siennes manque de lui faire perdre pied. Sa main remonte lentement jusqu'à son autre sein qu'il masse et pince sans retenue. Il se détache de sa poitrine et voyage sur son cou jusqu'à ses lèvres pour lui voler un baiser. Les jambes de Guenièvre s'écartent et Arthur pousse un grognement quand il sent la chaleur et la moiteur de son pubis. Il détache les bras de Guenièvre pour faire glisser sa main entre eux et le monde autour commence à s'effacer peu à peu pour les laisser profiter de leurs plaisirs.
Ce sont les martèlements d'un poing contre le bois de leur porte qui brise le moment. Naïvement Guenièvre resserre ses bras pour le retenir.
"Non, non, pas maintenant."
Il peut entendre le désespoir dans sa voix et à cet instant précis, le plaisir de sa femme est plus important que quoi que soit d'autre.
"Sire ! Sire !"
Il essaye vraiment d'ignorer la voix de Bohort et de se concentrer sur les gémissements de sa femme. Mais le chevalier insiste et les coups reprennent.
"Sire ! C'est une catastrophe !"
Arthur sait que Bohort ne va pas en découdre alors il se lève en vociférant et marmonnant des menaces de mort. Il enfile une paire de braye sans prendre le temps de l'attacher, se fichant éperdument si le tissu ne cache pas toute son anatomie. Il ouvre la porte torse nu et en sueur, le regard assassin et des envies de meurtre.
"Quoi ?!"
Les yeux de Bohort s'écarquillent devant l'état de son roi et il se retourne en rougissant, gêné.
"S... Sire je suis navré, je ne voulais pas vous déranger mais c'est un cas de force majeur !"
"Bin voyons…"
Bohort se redresse et prend son air le plus solennel. Le changement d'habitude de son chevalier met le roi aux aguets.
"Sire. Les Huns sont à nos portes."
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skjaldmo-ulf · 4 years
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Post un peu long où je raconte mes premières semaines au centre de soins !
Je fais enfin un petit post pour raconter mes 3 premières semaines au centre, parce que il y a énormément de choses à dire et j'avais trop hâte de faire ça! Dans un premier temps je poste ici mais je continuerai surement sur mon autre blog, à voir.
J'ai noté au fur et à mesure que les jours passaient mais évidemment pas évident de TOUT raconter, le rythme est très soutenue, la fatigue très présente. Mon but est avant tout de partager mon expérience, informer, éduquer, donc si vous avez des questions je serais ravie d'y répondre!
Ce que je peux déjà dire en premier lieu, c'est que l'équipe est extra, tout le monde est bienveillant et disposé à répondre aux questions quand on ne sait pas. Le centre met doucement en place son organisation donc on est souvent en train de courir partout, mais on s'en sort avec plus ou moins de retard.
Commençons par la première semaine: Je suis arrivée le samedi. J'ai pu me reposer dimanche et faire un peu de ménage. La première semaine a été assez dure moralement car en dehors du centre de soins où je vis ma meilleure vie, rien ne va : soucis d'appart, soucis de voiture, mes animaux qui me manquent, etc. J'ai commencé le 18 mai. Le centre n'était pas encore ouvert. On avait une semaine (4 jours pour nous les services civiques) pour terminer le plus gros des travaux. On a fait de tout. Peinture, poser du faux plafond, nettoyer les congélos, les frigos, les cages, les caisses de transports, terminer les volières extérieurs, et encore un tas d'autres choses. Notre tutrice, F., nous montre comment recevoir les appels pour des animaux en détresse.
Lundi 25 mai, le centre ouvre partiellement. On continue de nettoyer, trier, ranger, aménager. Pendant le week-end, les autres personnes ont aménagés les volières extérieures et le rendu est vraiment cool. Les animaux y seront vraiment bien le temps de retourner à la vie sauvage. Quand je suis arrivée sur place il y avait déjà un jeune rouge queue, 2 oisillons (bergeronnettes) dont un âgé d'un seul jour, il avait éclos le jour d'avant. Il n'est même pas plus gros que mon pouce. Dans la journée on reçoit une nichée de 5 mésanges charbonnières, les parents ont été attrapés par un chat et un des petits a une patte en mauvais état. En fin de journée on reçoit un bébé corneille, quasi sans plume, seulement la base est visible, il ressemble a un petit dinosaure. Et seulement les yeux légèrement ouvert. Je me suis occupée de le placer correctement dans sa boite avec une bouillotte pour le réchauffer.
mardi 26 mai. J'ai fait principalement le nourrissage de 13h30 à 21h. En fin de journée on a reçu un petit rouge-queue. En l'auscultant on s'est aperçu qu'il avait une fracture au tibia. Avant de quitter le centre, j'aide la soigneuse à lui poser une attelle, mais c'est très compliqué de faire ça sur un oisillon de 8,3 grammes. Sur la journée reçu 2 corneilles, une va devoir être euthanasiée. Lors de son auscultation elle sentait assez mauvais, la personne qui l'a gardé l'a nourrit avec de la sardine... elle a une malformation à la patte qui fait que son retour à la vie sauvage est impossible en tenant compte de son état très affaibli (il serait plus tard remarqué qu'elle avait également une perte de vue conséquente). Il s'est avéré que la petite corneille arrivé le jour précédent est en fait une petite pie !
Le lendemain j'étais vraiment épuisée et j'avais beaucoup de courbatures (rester debout toute la journée pour nourrir les animaux c'est pas le top pour le corps). En fin de journée je révise le protocole d'auscultation. Je suis un peu déstabilisée face à toute la masse d'information à absorber et mettre en pratique, mais c'est surement une question de temps, à force de répéter les journées ça viendra surement. De plus, ça sera à moi (et les autres SC) dans quelques semaines de transmettre toutes ces infos aux stagiaires et bénévoles et de les guider éventuellement.
Jeudi et vendredi se sont un peu ressemblés. J'apprends à sonder un pigeon, on nourrit maintenant en plus le bébé hérisson et le bébé écureuil, tout ça jusqu'au soir. Je gère quelques arrivées d'animaux dans la journée. C'est épuisant, pas le temps de prendre de pause car le rythme est trop soutenu (mais la semaine prochaine les bénévoles seront là donc on pourra mieux gérer le nourrissage). Plusieurs pics (vert et épeiches) sont arrivés à l'infirmerie, ainsi que 9 bébés cailles.
Le samedi on a reçu une jeune hermine. Le nourrissage était plus posé car on avait 2 bénévoles avec nous ( un grand merci à elles!!). Je termine ma journée à 22h après avoir ausculté un hibou moyen duc. Il est très faible et on pense toutes qu'il ne passera pas la nuit.
La semaine suivante, j'étais du matin, càd 7h30-14h30 avec normalement ma pause. En arrivant j'étais assez surprise de voir que le hibou était toujours vivant (mais très contente biensûre !!). On essaie de le tenir au chaud, de lui faire prendre du poids. Pour le nourrir, je le glisse entre mes genoux, enroulé dans un linge et lui glisse des petits morceaux de poussins dans la bouche (il est finalement parti dans un autre centre en fin de semaine pour pouvoir faire de la rééducation si tout se passe bien!). Toujours le nourrissage plus les bénévoles à gérer cette fois-ci. On prépare la nourriture pour le lendemain, etc. Entre 2 nourrissage la soigneuse vient me voir discrètement. Un pic épeiche avait disparu de sa boite en carton, heureusement j'ai retrouvé le fugitif derrière un plan de travail. Je commence les soins en salle d'auscultation. On a plusieurs corneilles amputées d'une patte, j'aide à changer les pansements et faire le reste nécessaire. Je termine la semaine hier (vendredi) en aidant à faire les soins d'un jeune pigeon ramier et lui changer son pansement. Dès lundi, F. nous annonce qu'on reçoit 3 faons de chevreuils et un bébé chamois et fin de semaine prochaine, on aura les autorisations pour accueillir les renards.
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370220 · 4 years
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Samedi 28 décembre, les festivités de fin d'année à Angers
Prochaine étape, Angers par l'Ev6 en longeant la majestueuse Loire. La nuit a fait du bien. Malgré les dernières courbatures, le temps est ensoleillé et c'est bien motivant. En plus ce soir on retrouve nos potes d'Angers!
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Bye bye Saumur!
On sort de Saumur et on s'aventure en direction des grands prés de l'École Française d'Équitation. Des chevaux, de la verdure et des routes vélo, nickel.
Bon on fait des allers et retours un peu pour rien car la vallée de la Loire est inondée et plusieurs voies sont infranchissables.
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On passe par la route, qui reste très agréable et pas trop passante. On croise les maisons et caves troglodytiques et on a droit à de beaux panoramas sur la Loire.
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On pique-nique les pieds presque dans l'eau vers Gennes, à côté de l'île de Bessé.
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L'idée est de changer de rive à St Marhurin sur Loire et de rallier les Ponts de Cé. Le franchissement du pont offre une vue assez chouette! C'est con, on a oublié de passer voir le Château de Brissac, paraît qu'il mérite le coup d'oeil... tant pis!
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Sur la rive droite de la Loire, la route nous fait passer par les champs de maraîchers puis par la levée de la Loire, c'est vraiment facile et chouette! On met de la musique, on est à la coule !
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On fait une pause aux Ponts de Cé pour profiter de la sérénité des lieux. Après la route vélo est bloquée par les eaux, alors on remonte à travers ville et on entre dans Angers, direction notre bel hôtel !!! Et oui, en ce dernier moment de périple et pour la fin d'année, on se fait plaisir !
A tiens... un panneau "Nantes à 99 km"...
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On sera donc logés tout en haut d'un petit hôtel situé à côté du Château des Ducs d'Anjou.
Ce soir on mange chez Benoît, Aurore et Daphné et on se détend ! C'est parti pour 4 jours ici...
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completementalest · 4 years
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你好中国 (Bonjour la Chine) - Leshan et Emeishan
Quand jadis (il y a 8 mois) nous voguions nonchalamment entre iles grecques à bord de fieffés navires (de type ferry), nous avions rencontré deux jeunes gens en partance vers les mêmes contrées que nous. Depuis, Edith et Matthieu de leurs prénoms, nous ont toujours précédés de plusieurs semaines sur la route. Mais comme eux avaient décidé de s’attarder dans le Xinjiang pour visiter (et être suivis par des policiers en civil 24h/24), nous avons rattrapé notre retard et les avons retrouvés dans le Sichuan. Nous avons donc passé une semaine ensemble composée de la découverte d’un bouddha géant protecteur de fleuve et de l’ascension d’une montagne sacrée sur 60 000 marches. C’était beau, brumeux et junglique. On a aimé : dormir dans des monastères bouddhistes, manger du brie, rencontrer des singes. On a moins aimé : les courbatures aux fesses, les gens qui donnent à manger aux singes alors que c’est écrit partout que c’est interdit.
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Leshan la brumeuse (au passage c’est dans ce fleuve que de vieux monsieurs faisaient des brasses).
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Un bouddha qu’il est grand, visez plutôt la taille de ses lobes.
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Vin rouge et brie en conserve.
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Déco-chrysanthèmes.
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“Il était super ton prêche Jean-Charles !”
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Bouddha qui joint ses indexes pour signifier la quiétude.
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Très mignon mais très odorant.
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La fois où on s’est levés à 5h pour grimper la montagne.
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Mer de nuages.
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Moment de pas du tout quiétude.
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Une vue correcte.
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Au fond, c’est le Tibet.
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Chauffage d’appoint.
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damnitrickfox · 5 years
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Pour me divertir et dans le but de me faire oublier ma tristesse, Anna a décidé de me raconter ses histoires sur tinder. Elle s’est réinscrite hier, elle swipe peu mais elle a eu 6 matchs en quelques heures, dont un avec un couple et un autre avec un homme qui cherchait uniquement des expériences hards : soumission, deep-throat, fessées, c’était ce qu’il décrivait dans son message d’introduction, auquel elle n’a pas répondu. Je serais curieux de connaître la vie de cette homme, prendre un café avec lui, lui demander s’il a régulièrement des expériences hards, si ses recherches portent leurs fruits. Peut être sort-il d’un chagrin d’amour et souhaite-t-il embrasser des pulsions jusqu’alors dissimulés, tapies derrière une sociabilité de façade. Ou alors il n’avait connu que ça, des expériences hards, et lorsqu’il a rencontré des femmes qui lui demandaient plus de tendresse, il n’a pas compris, comme lorsqu’on communique avec quelqu’un sans parler la même langue. Même la terminologie m’a interrogé : est-ce une convention établie, de parler d’expériences hards? A partir de quel moment une expérience est elle hard? De mon côté, j’essaye aussi vaguement de me divertir : je lis, je regarde la télé, je télécharge les saisons 2 et 3 de Red Oak et l’intégrale de Veep sur la connexion de mes parents. Il n’y a pas la fibre ici, ça prend des heures et étrangement, quasiment à chaque fois que j’ai réussi à obtenir un fichier complet dans le passé depuis cette livebox, mes parents ont reçu une lettre d’Hadopi. La dernière concernait Prism de Katy Perry, dont j’avais voulu acquérir les mp3 pour les diffuser sur les enceinte saturées d’une soirée d’anniversaire. J’ai désormais accès au VPN que Céline avait payé pour sa tournée en Chine, ça devrait couvrir ma pauvre famille qui n’a rien demandé et qui paye ses films en VOD en plus de leur abonnement Canal +. Tout à l’heure, lorsque j’ai allumé la télé, il y avait une émission sur la moto. Les courses de moto plus précisément. Je n’en avais jamais vu, je me suis rendu compte que c’était exactement ce que j’imaginais. Le moment que j’ai regardé consistait en un plan fixe à l’arrière d’un bolide d’environ une minute trente où un concurrent se rapprochait d’un autre petit à petit, s’éloignait à nouveau après un virage, puis revenait toujours plus proche lors de la décélération du virage suivant, et ce jusqu’à le dépasser. Un bandeau précisait que ça avait lieu au dernier tour, que l’homme qui doublait était à ce moment second et que notre vue était celle du premier. La caméra était fixée sous le pot d’échappement et elle restait stable malgré l’inclinaison de l’engin dans les virages. J’ai trouvé ça ironique, ce pot d’échappement qui prenait un tiers de l’image, puis j’ai réalisé que c’est probablement ce qu’on veut voir, lorsqu’on regarde une émission sur les courses de moto. J’ai essayé d’imaginer le système mis en place par les équipes de réalisation pour trouver un plan qui convenait aux fans, qui permettait de s’immiscer dans la compétition et de bien admirer les pots d’échappements, les roues, les motos pleines de couleurs fluos et les virages matérialisés par des peintures rouges et blanches. J’en ai conclu que le système est probablement un rail équipé d’un balancier sur lequel la caméra se promène selon la gravité et la déclivité du cyclomoteur de compétition. A part ça, j’ai roulé aussi, avec le vélo que m’ont offert mes amis pour mes 30 ans, en février dernier. Mardi, je suis allé au Mont Poupet, 115 kilomètres aller-retour. Je ne pense pas, ou en tout cas je pense moins, quand je pédale pendant 5 heures. Je note les villages de mon itinéraire sur un post-it que je scotche à mon cadre avant de partir, puis je repousse à chaque village le moment où je vais m’arrêter demander un sandwich dans une boulangerie. Celle que j’ai trouvé mardi à Salin-les-Bains était décatie et minimaliste. L’étal ne présentait aucun sandwich, mais lorsque j’ai demandé à la tenancière si elle pouvait m’en faire un, elle m’a dit qu’il lui restait un peu de rosette, si j’aimais ça. J’en ai mangé la moitié devant la boulangerie puis l’autre moitié au sommet, quasiment une heure plus tard. En sortant du commerce, j’ai croisé un autre cycliste, un vrai, avec des chaussures à cales et des grosses cuisses calleuses, il m’a salué d’un sourire. Je l’ai ensuite entendu parler au téléphone en italien. Je me suis demandé s’il pensait, lui, en pédalant. En rentrant chez mes parents, les jambes tremblantes aux courbatures térébrantes, je me suis dit que ces 115 kilomètres et 1800m de dénivelé positif dans le spectre de la douleur que je traine en ce moment étaient probablement l’équivalent, pour quelqu’un comme moi, d’une expérience hard.
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andersonykno36 · 6 months
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Mudras pour une bonne santé
Mudras pour une bonne santé Nous présentons quelques mudras brillants, très efficaces et simples, que vous pouvez pratiquer n'importe quand et n'importe où :
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GYAN MUDRA C'est l'un des mudras les plus importants. Il est largement utilisé dans toutes les pratiques de méditation yogique. Joignez le bout de l'index au bout du pouce. Maintenez doucement pendant au moins 15 à half-hour. Avantages Augmente l'intelligence et la sagesse Purifie l'esprit du praticien
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Guérit de nombreux problèmes mentaux Rend joyeux Guérit l'intoxication et les habitudes addictives PURN GYAN MUDRA Ce mudra Free est connu comme le mudra du Seigneur Bouddha, puisqu'il a été propagé par lui. Asseyez-vous les jambes croisées. Gardez les deux mains dans la posture « Gyan Mudra ». Maintenant, gardez la principal droite près de la région de la poitrine. Gardez la most important gauche près de la région du genou. Efface l'aura dans le corps astral subtil Provoque des changements électriques dans l'activité électromagnétique du cerveau conduisant à une clarté et une compréhension accrues Améliore considérablement la mémoire Apaise les tempéraments irritables Améliore l'intelligence et la sagesse ABHAYA MUDRA – Ceci est normalement pratiqué après la récitation du Gayatri Mantra. Levez vos deux mains sur les côtés de votre tête. Touchez l'index au bout du pouce (comme vous le faites dans Gyan Mudra). Tenez la main verticalement droite par les côtés. Rend votre esprit sans peur Vous donne un sentiment de courage et de power DHYAAN MUDRA – Asseyez-vous les jambes croisées. Placez les mains en Gyan Mudra, sur vos genoux. La paume droite doit reposer au-dessus de la paume gauche dans Gyan mudra Vous rend extrêmement paisible et tranquille Aide à augmenter les pouvoirs de concentration Guérit la dépression et d'autres affections mentales Le praticien peut expérimenter l'état remaining de bonheur yogique éternel PRITHVI MUDRA – Touchez la partie antérieure du troisième doigt (l'annulaire) avec le bout du pouce. Aide à équilibrer l'élément terre dans le corps Normalise l'équilibre du corps Vous rend physiquement moreover fort Augmente la tolérance et la patience Aide les praticiens de la méditation spirituelle VARUN MUDRA – Touchez la partie avant du as well as petit doigt avec la partie avant du pouce. Une pratique régulière équilibre l'élément eau dans le corps Améliore l'apparence physique Diminue la sécheresse de la peau et du corps VAYU MUDRA – Pliez l'index (index) sur la foundation du pouce. Appuyez doucement l'index sur le tampon. Gardez les autres doigts éloignés. Aide à tous les difficulties nerveux Améliore l'équilibre de l'élément air dans le corps Utile dans les douleurs et les courbatures Recommandé pour les sufferers atteints de paralysie cérébrale et de la maladie de Parkinson. PRAN MUDRA – Touchez la partie avant du troisième (annulaire) doigt et le bout du quatrième (petit) doigt sur la partie avant du pouce. Réduit la fatigue corporelle et dynamise ainsi tout le corps Améliore la vue Optimise la circulation du courant critical dans tout le corps MRITSANJIVINI MUDRA – Pliez l'index (index) sur le foundation du pouce. Appuyez doucement l'index sur le tampon. Touchez la partie avant du troisième doigt (le furthermore gros) et la partie avant du
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histoiresalouest · 5 years
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Prenez du popcorn, on va en avoir pour un moment. 
 Si on me demandait quelle est la plus grande différence entre le Canada et la Suisse, je dirais sans hésiter la place. N’importe qui qui a déjà vu une carte du monde comprendra immédiatement ce que j’entends par là. Difficile de comparer le micro-pays qu’est la Suisse aux presque 10 millions de km2 du Canada. Il en faut pour tous les goûts. 
Avant mon départ pour les grandes étendues canadiennes, je discutais avec une amie suisse qui avait également été prise à Montréal et nous sommes rapidement arrivées à la conclusion que nous voulions voir des baleines. En effet, le Québec abrite des sites d’observation des mammifères marins très prisés, et par chance le début de l’automne est la saison parfaite pour partir à la recherche des baleines. Et c’est ainsi que commença l’aventure que je m’apprête à vous raconter. 
Etant donné que la destination la plus connue pour les baleines, Tadoussac, est quand même à 6 heures de route, nous avons décidé que quitte à monter si loin au Nord, autant en profiter au maximum. 
Nous voilà donc, par un beau vendredi d’automne, embarquées à quatre (c’est toujours mieux en groupe, alors nous nous sommes bien entourées) dans une voiture louée en route pour Saguenay, à presque 500km de Montréal. Le but de cette première destination: tout à côté se trouve le Parc National des Fjords de Saguenay. vaste forêt offrant des sentiers de randonnée qui n’attendaient que nous. 
Enfin...
Peut-être que cette formulation est un peu une exagération. Je suis presque sûre que les chemins de randonnée ne m’attendaient pas moi. Disons que la randonnée est une activité que j’entreprends rarement. J’ai tout de suite aimé l’idée de faire une marche dans un parc national parce que c’est le genre d’occasion qui ne se présente pas tous les jours, mais ce serait erroné de dire que j’étais préparée à ce qui m’attendait! 
Je commencerai par dire que la décision de sélectionner un sentier de niveau “intermédiaire/avancé” de 4-5 heures n’était pas une décision à laquelle j’ai participé. L'aimable employée du centre d’accueil du Parc m’a néanmoins tout de suite rassurée que le chemin était classé ainsi uniquement parce qu’il était sinueux. En rétrospective, je ne pense pas que cet argument aurait dû me convaincre autant qu’il l’a fait. Nous sommes donc parties, accompagnées par un groupe d’une dizaine d’étudiants de Montréal que nous avions prévu de retrouver au parc. Une bonne petite troupe donc qui entame la randonnée. Je suis personnellement optimiste, me disant que peut-être cette marche éveillera quelque chose en moi, révélera en moins une passion pour les outdoors. Il me faut, disons, dix bonnes minutes pour me rappeler pourquoi les randonnées n’ont jamais été mon truc. Peu importe, me dis-je, c’est une chance de pouvoir explorer ainsi la nature canadienne, et si j’ai fait cet échange c’est bien pour faire de nouvelles expériences. 
Par “randonnée”, j’entendais “promenade tonique en forêt”. Je ne m’étais certainement pas préparée (physiquement, encore moins mentalement) à l’exercice physique intense que représentait en fait cette marche à travers le parc. La première heure s’est passée relativement sans embûche (je pourrais mentionner le fait que j’ai fait une fort élégante chute sur un bout de sentier boueux, mais je n’ai pas trop envie de m’étendre là-dessus). Je reprends confiance, peut-être que j’arriverai au sommet de la falaise en un morceau. C’est alors que commence la grimpe - que dis-je, l’escalade, l’alpinisme - vers le sommet. J’aimerais pouvoir vous raconter comment je me suis dépassée, et comment j’ai atteint notre destination à la tête de la file, le défi relevé haut la main. En réalité, pour que je sois en tête il aurait fallu que tout le monde change d’avis, se retourne et entame la descente. Pour une raison qui m’échappe cela ne s’est pas produit, et me voilà donc en dernière place. 
Petit à petit, “à la fin du peloton” commence à se transformer en “carrément 200 mètres derrière tout le monde”, en étant généreuse. En d’autres mots, j’arrête de fixer mes pieds pour deux secondes, je relève la tête et je constate que je ne vois personne, n’entends personne autour de moi. Il n’y a que moi, la forêt, et l’ours affamé qui attend certainement quelque part dissimulé dans la végétation. Je fais de mon mieux pour oublier le fait que je suis fatiguée, complètement à bout de souffle, absolument couverte de transpiration et parfaitement seule au milieu du monde sauvage, et j’essaie de me rappeler les exercices de réduction du stress que ma psy m’a recommandés. J’arrive à la conclusion qu’il y a pire endroit pour mourir, mais n’arrivant pas à décider si cette révélation est réconfortante ou vraiment alarmante, je me concentre plutôt sur le fait de mettre un pied devant l’autre. J’entends les fougères bouger, j’accélère légèrement. Je passe devant un panneau qui indique le sommet à 0,8 km, et j’aperçois au milieu des arbres un bout du groupe devant moi. Je me rappelle que c’est dans mon sac à dos que se trouve une bonne partie du pique nique, et la perspective du sandwich amplement mérité qui m’attend me donne la force nécessaire. La forêt s’éclaircit, et le dénivelé devient visiblement moins raide. J’entends enfin des voix, et au détour d’un dernier arbre je suis sortie de la forêt et perchée sur un rocher, accueillie par une bonne dizaine de personnes ayant clairement une meilleure cardio que moi et qui n’ont absolument pas l’air inquiètes du fait que je viens tout juste d’échapper à une mort tragique dans les bois. 
Je n’ai aucune difficulté à admettre que la vue en valait la peine. 
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Je vous assure, j’ai apprécié ce pique nique comme jamais. J’ai également beaucoup apprécié la facilité de la descente comparée à la montée. Je suis restée bien au milieu de la file, et cinq heures plus tard nous voilà de retour aux voitures parquées à l’orée de la forêt. Est-ce que j’ai découvert une passion pour la randonnée? Je pense que vous vous doutez que la réponse est non. Est-ce que je regrette d’avoir essayé? Certainement pas, il faut bien que j’aie des choses à raconter sur ce blog. Est-ce que j’ai eu des courbatures le lendemain? Absolument, mais je rétorquerai que je n’étais pas la seule.
(Au cas où ça viendrait à l’idée de quelqu’un de s’inquiéter, non il n’y avait pas vraiment d’ours dans la région. Quoique dans l’état où j’étais je ne suis pas sûre que j’aurais gagné un face à face avec un écureuil) 
Je sais, je sais, je vous avais promis des baleines et je ne fais que me vanter de mes exploits sportifs. 
Nous sommes maintenant bien en milieu d’après-midi, à une heure et demi de route du ferry qui nous déposera à Tadoussac. Il est donc temps de se remettre en route, et après un détour par un autre point de vue (heureusement, seulement 100 mètres de marche cette fois. J’étais néanmoins étonnée de constater que mes jambes suivaient encore les instructions de mon cerveau) nous sommes bel et bien parties pour notre deuxième hôtel. Malgré les efforts déployés, nous ratons le ferry de deux minutes. Quelle chance, il y en a un toutes les vingt minutes. Sans trop attendre nous embarquons donc pour la mini-traversée d’à peine dix minutes jusqu’à Tadoussac. A ce stade, c’est samedi soir, et après un bon resto nous retrouvons tout notre groupe de marche au charmant bar du coin qui ferme à l’heure tardive de 23 heures. Une très agréable soirée tout de même, surtout que je commence à me réjouir de ce qui nous attend demain. C’est ça - c’est l’heure des baleines. 
Dimanche 15 septembre, 10h du matin. Je revêts une combinaison de pompiers, je regrette de ne pas avoir pris de bonnet pour me protéger de l’air du large, j’embarque enfin sur un zodiac d’une trentaine de personnes direction le large du Saint-Laurent. 
Bien sûr, il n’y a aucune garantie de voir des baleines et autres mammifères, c’est pourquoi j’avais fait de mon mieux pour ne pas trop me réjouir, et me satisfaire du fait de faire un tour en bateau dans une magnifique région. Pendant l’été et l’automne les baleines remontent le Saint-Laurent afin de faire du stock de nourriture pour l’hiver, et Tadoussac est un lieu très prisé d’approvisionnement. Statistiquement, il était donc probable de voir au moins une baleine. En tout cas, nous avions mis toutes les chances de notre côté. 
Et finalement, je n’avais aucune raison de m’inquiéter - des baleines, on en a vu, en plus de dauphins, de bélugas et phoques. Tout était absolument magnifique, de la vue aux animaux que nous avons pu apercevoir. Nous avons vu deux différentes espèces de baleines, le rorqual commun (la deuxième plus grande espèce au monde) et la baleine à bosse, connue pour montrer leur nageoire caudale en plongeant. Les bélugas étaient fort impressionnants également. Étonnamment grand et d’un blanc vif, on pouvait les voir de loin. Un béluga a même décidé de venir nous inspecter de plus près, et j’ai bien pu le voir remonter respirer à la surface et alors qu’il passait juste derrière notre bateau, on pouvait voir sa forme blanche sous la surface. A couper le souffle. Il y a plusieurs possibilités de croisière à baleines. normalement un plus gros bateau qui fait régulièrement des tours et accueillent la plupart des visiteurs. L’avantage considérable du zodiac est sa maniabilité: un si petit bateau peut s’approcher plus près des animaux (pas trop bien sûr, ils sont protégés), se déplacer et se positionner afin d’en voir un maximum. C’était assez drôle de grimper sur ma chaise, agrippée à la cabine du bateau, dans ma combinaison imperméable pour essayer de voir le dos de baleine au loin. Malheureusement filmer ce que je voyais était une autre affaire, et souvent ce qui transparaît à l’écran est bien loin (et bien inférieur) à ce que j’ai pu voir en vrai, et c’est pour ça que je n’ai pas grand chose à montrer ici. En plus, nous avons eu de la chance avec le temps, nous avons juste échappé à la pluie. Il ne faisait pas très chaud, mais on va dire que l’air était revigorant. Même en repartant de Tadoussac pour se rediriger vers Montréal, nous avons aperçu depuis le ferry des bélugas. Honnêtement, cela a beau s’appeler une croisière à baleines, les bélugas étaient à deux doigts de voler le spectacle. Je dis “à deux doigts” parce qu’imaginer la masse de 45 tonnes invisible qui se cache sous le jet d’eau d’une baleine est une expérience sans précédent, du moins pour moi. 
La fin de journée approche gentiment, et demain il y a cours. Après plusieurs heures de route nous voilà de retour à Montréal. Je retrouve mon chez-moi, bien fatiguée mais encore émerveillée par tout ce que j’ai vécu en si peu de temps. Je n’ai même pas eu le temps de penser à mes cours, un vrai moment d’évasion avant que le travail de ce semestre ne décolle vraiment. 
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(À suivre: plus de photos)
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Soie Cerise, BatB fic, Chapitre 4
Titre : Soie Cerise (ai-je déjà dit à quel point j’étais nulle pour trouver des titres corrects?)  
Auteur : Yoda-Ben2
Fandom : Beauty and the Beast (2017)
Genre : Cucul. Avec du cul. Avec supplément de guimauve. Mais, genre qui colle aux dents.
Rating : E  
Pairing : LeFou/Stanley, mention de LeFou/Gaston en sens unique  
La famille Laurent avait été réquisitionnée au grand complet pour continuer l’ouvrage. Stanley était le meilleur découpeur et Éloïse la plus rapide des quatre pour assembler, mais ils avaient tous travaillé sans arrêt ce jour-là. Stanley sentait les ampoules douloureuses qui s’étaient développées sur ses doigts à force de jouer des ciseaux, mais n’en avait cure. Dick, Magdeleine et leurs trois aînés étaient aussi venus donner la main. Dick s’en défendait mais cousait fort bien, presque aussi bien que sa sœur. En famille, ils avaient abattu un bon nombre d’ouvrages, et les robes et costumes équipés d’étiquettes étaient emportés ensuite pour être repassés en vitesse, pliés et mis dans des boîtes en carton léger. Les noms étaient ensuite inscrits sur une ardoise à l’entrée pour inciter les clients à récupérer leurs commandes. Lorsque dix heures sonnèrent à la pendule, Madame Laurent décréta l’arrêt du jour. Les plus jeunes comme les plus vieux avaient besoin de sommeil. Chacun se sépara pour aller se reposer. Seul Dick se rendit compte que son frère avait bourré ses poches de fournitures et était monté dans ses quartiers avec plusieurs chandelles fumeuses. Il ne dit rien.
Stanley s’enferma dans sa chambre et alluma une chandelle, puis tira de sous son lit un costume en pièces. À la faible lueur, il examina les points qu’il avait déjà faits, parut satisfait, enfila une aiguille et se mit à coudre.
C’était le costume d’Étienne. Comme il l’avait promis, celui-ci était légèrement différent des autres. Afin de mieux flatter la silhouette du vétéran, Stanley avait opté pour une garniture en longueur, le long de la rangée de boutons, qui l’allongerait, au lieu de celle en collier qui l’aurait tassé. Il avait déjà fixé les ornements en fil doré et le biais de la même couleur, il fallait maintenant assembler les trois parties du vêtement. Il s’y appliqua soigneusement, malgré la fatigue, malgré la douleur ; chaque point était exécuté avec amour. La première chandelle fut presque totalement consumée, il alluma la seconde. Il luttait contre le sommeil, il avait les yeux piquants, les doigts engourdis, mais il était bien décidé à ne pas aller se coucher tant que le gilet ne serait pas prêt, c’était la pièce maîtresse du costume d’Étienne, il fallait qu’il soit parfait.
Lorsque le coq chanta et réveilla Stanley, il se réveilla en sursaut, le nez dans son ouvrage. Le soleil luisait déjà dans la pièce. Il faisait déjà jour ? Il retourna à son ouvrage et se rendit compte que dans sa fatigue, il avait fini le gilet et s’était probablement autorisé à « fermer les yeux cinq minutes ».. Stanley se réprimanda. Il était perclus de courbatures. Il examina son ouvrage et se rendit compte que les points étaient corrects. Bon, il n’avait probablement dormi que trois ou quatre heures, mais il avait tenu parole. Il hocha la tête, se promit de faire la chemise le jour même et fit un brin de toilette pour rejoindre la tablée familiale.
Ce jour-là, il avait fini la totalité des découpes, et il était temps, huit jours seulement restaient jusqu’au bal. Stanley put donc s’atteler à son ouvrage. Pour la chemise d’Étienne, il avait acheté sur ses propres deniers une toile de batiste de qualité, qu’il avait découpée lui-même, et un large ruban de soie rouge cerise, qu’il avait caché pour que ses sœurs ne viennent pas le lui chiper. Il avait cousu le ruban et l’avait transformé en cravate, dans le secret de sa chambre.
La chemise était de coupe classique, il ne fut pas long à la confectionner, c’était un ouvrage de routine. La culotte fut vite prête à coudre elle aussi. Lorsqu’il remonta dans sa chambre, son ouvrage et des chandelles sous le bras, Stanley se rendit compte qu’il restait un bon morceau de ruban rouge. Il songea qu’il aimerait bien en faire quelque chose, mais quoi ?… Stanley savait. Il en ferait quelque chose pour lui. Il savait que cette cravate cerise serait superbe au cou d’Étienne, et il se sentit le besoin irrépressible d’arborer lui aussi cette couleur. Pour… Pour avoir un lien avec lui. Littéralement. Même si pour les galants que comptait le village, il allait passer un message aussi outrancier que s’il l’avait embrassé devant tout le monde, sur la place du village ! Stanley joua un instant avec le ruban. Il savait d’avance qu’il allait tergiverser des heures avant de se décider.
Stanley, à chaque point qu’il avait cousu, chaque moment qu’il avait passé à mettre tous ses soins, toute sa tendresse dans la confection de ce costume, avait senti ses sentiments pour Étienne s’exaspérer à un point qui était presque physiquement douloureux. Il sentait avec une espèce de contemplation horrifiée et passive son propre amour commencer à le consumer doucement, comme une bûche de chêne dans la cheminée. Il avait passé tant de temps à se demander s’il avait la moindre chance d’attirer l’attention du vétéran qu’il en avait oublié d’agir. Il se souvint de toutes ces fois où il avait tenté de lui adresser la parole, de lui dire ce qu’il ressentait, avant de renoncer de peur d’être comparé à un fantôme. Il y avait toujours une bonne raison de renoncer, même au dernier moment.
Il est plus âgé.
Gaston était tellement mieux que moi.
Je n’ai rien d’exceptionnel.
Je ne suis pas aussi flamboyant que Gaston.
Il est probablement courtisé par des hommes bien mieux que moi, et par de belles filles.
Je n’ai fait aucun exploit, au contraire de Gaston.
Je le mettrais en danger.
Et je ne suis pas Gaston.
Le lendemain arriva, après une nouvelle nuit quasiment blanche pour Stanley. Mais ça en valait la peine.
Le costume était prêt. Stanley allait l’apporter pour le repassage, lorsque sa mère l’arrêta. Elle saisit le gilet, l’examina soigneusement. Puis fusilla son fils du regard.
- C’est donc pour ça que mes chandelles ont disparu !
Stanley rentra la tête dans les épaules, se préparant à l’orage. Sa mère prit le ton qu’elle employait toujours pour gronder ses enfants, avant de lui saisir les mains.
- J’en étais sûre. Couvertes d’ampoules ! Tu as dormi combien de temps cette nuit, garnement ?
- Heu…
- Tom est insomniaque, il vient de me dire que ça fait plus d’une semaine qu’il voit ta chambre éclairée jusqu’à quatre heures du matin ! Tu es totalement inconscient ! Et ça, qu’est-ce que c’est ? Cria-t-elle en lui fourrant le gilet sous le nez.
- Un ouvrage en retard, balbutia Stanley.
- Une œuvre d’art, tu veux dire, rétorqua Madame Laurent en s’adoucissant. Viens voir ça, Guillaume. Les filles, venez voir aussi.
De contrit, Stanley devint rouge de gêne. Son père et ses sœurs s’extasièrent sur la qualité du travail. Leur mère était sincèrement admirative. Monsieur Laurent était fier de son fils. La modiste montra les détails à ses filles, les engagea à suivre ce modèle pour la robe de Belle, puis se tourna vers Stanley.
- Et tu as cousu tout ça avec MES chandelles ! Non seulement tu m’as chipé de la lumière, mais tu as abîmé tes beaux yeux, gronda Madame Laurent en pressant le visage de son fils entre ses mains.
- Désolé maman, finit-il par dire, penaud.
- Bon, je vais demander à Dick et Madgeleine de venir nous aider aujourd’hui. Toi, file. Je ne veux pas te voir dans l’atelier de la matinée. Ouste !
Stanley avait néanmoins eu le droit d’aller chez LeFou pour lui apporter son costume. Il déposa dans la boîte l’ouvrage qu’il avait patiemment conçu, découpé, assemblé, orné et repassé lui-même, et la boîte sous le bras, alla sans se presser jusque chez LeFou. Celui-ci n’était pas là, mais laissait toujours sa porte ouverte à tout venant. Le pays était sans danger.
Stanley entra, intimidé. Il ne pensait pas à mal, mais c’était la première fois qu’il pénétrait dans cette maison. Il déposa la boîte sur la table de la cuisine, bien en vue. Puis disparut comme un voleur. Épuisé par sa nuit blanche et par l’effort mental de cette escapade, Stanley retourna dans sa chambre, s’écroula sur son lit, et dormit d’une traite jusqu’à midi.
Lorsque LeFou rentra chez lui, il trouva la boîte, et vit le costume. Il alla l’essayer, et fut impressionné par son propre reflet dans la fenêtre. Il se trouvait presque beau. Il regarda soigneusement s’il y avait la moindre retouche à faire, mais non, il n’y en avait aucune. Il ôta le costume avec mille précautions, se rhabilla et alla chez la modiste. Elle l’accueillit avec une chemise à la main, l’aiguille encore plantée dedans.
- Ah, bonjour LeFou. Tu as trouvé ton costume ?
- Bonjour madame. Oui, je l’ai trouvé.
- Tu l’as essayé ? Demanda-t-elle avec un poil d’appréhension.
- Et aucune retouche ne sera nécessaire, je pense, répondit LeFou avec un sourire.
Il vit les épaules de la modiste se détendre. Les retouches prenaient toujours un temps fou, surtout quand les clients n’avaient pas le temps de venir essayer les costumes.
- En fait, je voulais vous remercier. Le costume est très beau.
- Oh, mais c’est Stanley qu’il faut remercier, mon petit, fit la modiste avec emphase. Figure-toi que ce galopin a passé plusieurs nuits blanches pour le terminer. Je parie qu’il y a utilisé tout son temps libre, soupira-t-elle.
LeFou rougit. Il n’aurait jamais pensé que Stanley se donne autant de mal pour son costume à lui.
- Heu… Eh bien, j’aurais aimé le remercier en personne, dans ce cas.
Madame Laurent eut l’air tiraillée entre deux options. Allait-elle déranger son petit qui devait sans doute se reposer, ou lui permettre une entrevue avec LeFou ? Son cœur de mère lui imposa la première option.
Eliana apparut dans l’encadrement de la porte de l’arrière boutique. Sa mère lui demanda d’aller voir ce que faisait Stanley. Eliana revint presque aussitôt.
- Le pauvre dort comme une souche, dit-elle avec dépit.
- Oh.. Dans ce cas, vous lui transmettrez ma gratitude, dit LeFou. Ne le réveillez pas. Merci encore pour le costume. Au revoir, dit-il en touchant le bord de son chapeau.
- Au revoir, dirent les deux femmes avant de retourner au travail.
Naturellement, Stanley se gourmanda vertement d’avoir laissé échapper une occasion pareille à son réveil. Eliana le rassura en lui annonçant qu’elle et ses sœurs venaient d’attaquer son costume à lui.
- Nous allons te rendre éblouissant, frérot ! Tu seras plus beau que le prince !
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flolea723 · 5 years
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29 mai - Jour 50
Nous partons faire une excursion en Jeep à la demi-journée avec 2 sri lankais.
Nous passons devant le village de pêcheurs ⚓🎣, peu animé l'après midi, où on y trouve beaucoup de crabes morts 🦀 et de déchets sur la plage. Belle vue des bateaux au loin. Ici, ils ont des bateaux semblables à d'énormes bassines ou à des bacs à sable pour pêcher ⛵. Typique!
Ensuite, nous nous arrêtons à Fairy Stream où nous marchons les pieds dans l'eau ensablée au milieu de roches calcaires. Endroit sympa.
Nous continuons ensuite jusqu'aux dunes de sable blanc en Jeep. 20min pour monter jusqu'en haut, pieds nus, dans le sable chaud 🏋️‍♀️. C'est le Sahara vietnamien🏜. Ça va être dur les courbatures demain ! Il faut quand même faire attention aux jeep et aux quad qui roulent à fond dans ce décor. Arrivés en haut nous avons vue sur un lac et le désert . Très dépaysant. On oublie qu'on est en Asie.
Nous finissons par les dunes de sable rouge, plus petites, où nous devons voir le coucher de soleil qui n'est pas au rendez-vous. Nous nous asseyons quand même pour contempler la mer au loin. Mais les dunes restent quand même un endroit trop touristique à notre goût.
Sur le chemin du retour le chauffeur nous arrête près d'une plage pour faire des photos. Il y a beaucoup de monde mais on ne comprend pas pourquoi. En s'approchant nous nous rendons compte qu'une baleine s'est échouée sur la plage🐋⛱. On ne comprenait pas trop si elle était morte, s'ils l'avaient tuée ou s'ils essayaient de la sauver. En nous renseignant plus tard nous avons compris que la baleine s'était échouée et qu'ils lui organisait des funérailles car la baleine est sacrée au Vietnam.
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