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#croyances populaires
Les foules représentent des maîtres pacifiques quelquefois, comme l’étaient à leurs heures Héliogabale et Tibère ; mais elles ont aussi de furieux caprices. Une civilisation prête à tomber entre leurs mains est à la merci de trop de hasards pour durer bien longtemps. Si quelque chose pouvait retarder un peu l’heure de l’effondrement, ce serait précisément l’extrême mobilité des opinions et l’indifférence croissante des foules pour toutes les croyances générales. | Gustave Le Bon | Psychologie des Foules (1895) | Limites de variabilité des croyances |
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vinylespassion · 22 days
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Lauri Honko pendant ses années d'études, 1955. Lauri Honko était un professeur finlandais d'études folkloriques et de religion comparée, né à Hanko le 6 mars 1932 et décédé à Turku le 15 juillet 2002. Disciple de Martti Haavio, il a obtenu son doctorat en 1959 à l'Université d'Helsinki avec une thèse sur les explications primitives de la maladie. Honko a été influent dans le domaine du folklore, notamment par ses travaux sur la croyance aux esprits en Ingrie, utilisant des perspectives de l'anthropologie sociale et de la psychologie sociale. Il a également dirigé l'Institut nordique de folklore et contribué de manière significative à la méthodologie de recherche en traditions populaires.
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tournevole · 6 months
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Mon amant Avec ce corps nu sans pudeur Solide sur ses pieds Debout comme la mort Des lignes saccadées Obliques, soulignent Les contours nets De son corps insoumis Mon amant Venu des peuples anciens On dirait Qu’au fond de ses yeux Un Tatar attend en embuscade un cavalier On dirait Un barbare aux dents éclatantes Qui convoite le sang chaud du gibier Mon amant Il s’impose comme la nature Imparable Avec ma défaite Il proclame La loi absolue du pouvoir Il est libre, sauvage Comme une pulsion de vie Au fin fond d’une île déserte Il prend un lambeau de la tente de Madjǔn* Pour nettoyer ses chaussures De la poussière des rues Mon amant Il me semble inconnu Immémorial Comme un dieu dans un temple du Népal C’est un homme des siècles passés Rappelant les beautés nobles Il est Comme l’odeur d’un enfant Qui réveille sans cesse Des souvenirs d’innocence Il est comme la joie d’une chanson populaire Sincère et brutale Il aime simplement Les grains de vie Les grains de terre Les chagrins des gens Les chagrins purs Il aime simplement Les allées des jardins du village Un arbre Un bol de glace Le fil du linge Mon amant Est un homme simple Dans un pays de malédictions et de merveilles Un homme simple Que j’ai caché dans la forêt de ma poitrine Comme le dernier signe d’une croyance fabuleuse Forough Farrokhzȃd, Une autre naissance
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helshades · 9 months
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
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languagestoday · 8 months
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Les runes vikings sont un ancien système d'écriture qui est originaire des cultures nordiques et germaniques pendant l'âge viking (8e-11e siècle). Ces symboles énigmatiques, typiquement inscrits sur des pierres, du bois ou du métal, continuent de captiver le public moderne avec leur beauté mystérieuse et leur riche histoire.
L'alphabet runique, connu sous le nom de Futhark, est composé de 24 caractères, chacun avec son propre nom et le son correspondant. Les premières inscriptions runiques connues remontent au 2e siècle et elles ont été utilisées à diverses fins, allant de la commémoration d'événements importants au marquage de tombes ou de possessions personnelles.
L'un des aspects les plus intrigants des runes vikings est leur signification mystique et divinatoire. On croyait que les runes possédaient des propriétés magiques et étaient souvent utilisées pour des lots ou des divinations afin de chercher des conseils ou d'obtenir des idées sur l'avenir. Les pierres rouges, en particulier, servaient de puissants monuments qui transmettaient des messages, honoraient les défunts ou invoquaient les bénédictions des dieux.
Les runes vikings ne sont pas seulement une forme d'écriture mais aussi une fenêtre sur la culture et l'état d'esprit viking Ils reflètent la profonde connexion des Vikings avec la nature, leurs croyances dans les dieux et le surnaturel, et leur esprit guerrier. L'étude des inscriptions runiques, de leur signification et de leur contexte culturel apporte des idées précieuses sur l'âge viking et éclaire leur langue, leur religion et leur mode de vie.
Aujourd'hui, les runes vikings continuent d'inspirer des interprétations modernes dans l'art, la littérature et la culture populaire, servant de symbole de mystère, d'aventure et d'héritage Que vous soyez un passionné d'histoire, un fan de la mythologie nordique ou simplement captivé par la beauté de ces symboles anciens, plonger dans le monde des runes vikings est un voyage fascinant dans le passé, où les secrets des Vikings attendent d'être découverts et appréciés.
The elder futhark are all magical symbols and not really intended to write with, even though people do. The Younger Futhark was developed for writing which is why most runestones use it.
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lia-ve-art · 1 month
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SORNETTES fanzine - édition artisanale sur les FOLKLORES,
Je suis en train de finir les coutures de ce zine que j'ai choisi d'éditer et fabriquer avec un design hybride inspiré des chimères ! Il rassemble presque 30 contributeurices dans 80 pages de grandes légendes ou petites coutumes, de rituels populaires, d’us et croyances locales avec un dossier entier sur l’eau et les fluides … Sous forme de créations visuelles, témoignages, et articles-recherche, pour une anthrop̶u̶n̶k̶logie sérieusement amatrice. Après des centaines d’heures de mise en page, coordination, insomnie migraineuse, impressions casse-tête et façonnage trop ambitieux par rapport à mes moyens … je suis heureuse de présenter enfin cette tarante de papier ! 👹 SOMMAIRE Histoires d’eaux vives & fluides troubles, créatures de crue, esprits colocataires qui n’aident pas à payer le loyer, crânes dans leurs boites peintes, ode à la magie locale, cloches fouettées pour avoir sonné la révolte, sourcières, horde sauvage, portrait d’une plante d’Artémis, marionnettes, dahu, ville engloutie & +. 🔔 J’ai écrit un très dense article de nerd sur les cloches et grelots qui me passionnent depuis tj + une mise en garde sur l'instrumentalisation identitaire et capitaliste des folklores, des articles sur les monstres des crues, l’ethnobotanique …
Édité à 140 exemplaires dans une édition non-calibrée de 80 pages,  imprimé en riso & jet d’encre sur toutes sortes de papiers, reliure cousue artisanale. Dispo pour 8€ à la soirée de sortie ce vendredi, et bientôt dans les distros locales.
✊🏼 Les bénéfices des ventes iront au soutien d’actions collectives d’accueil de migrant·es.
INFOS : https://absaintes.herbesfolles.org/18/sornettes ________________________________________________________ Chez les éditions @absaintes , je mets mon travail d’éditrice bénévole au service de causes que je défends, en publiant des zines artistiques vendus en soutien à des collectifs pour l'accueil ou l'accès aux soins de personnes précarisées / discriminées – moyen trouvé pour pouvoir les financer en étant très en dessous du seuil de pauvreté tout en créant, fédérant.
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hun-ting-ton · 24 days
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Etude du folklore japonais.
Modoki, personnage participant à la fête de la Neige de Ni'ino (préfécture de Nagano). Le neige annonce des bonnes récoltes selon les croyances populaires locales.
Source : Charles Fréger - Yokainoshima
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Study of Japanese folklore.
Modoki, character participating in the Snow Festival of Ni'ino (Nagano prefecture). Snow announces good harvests according to local popular beliefs.
Source: Charles Fréger - Yokainoshima
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dragees-surprises-rpg · 6 months
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DONS ET SPÉCIFICITÉS MAGIQUES - Descendant de vélane
Créatures du diable pour certains, divinités sacrées pour d'autres, les descendant.e.s de vélanes ont cette particularité de ne laisser personne indifférents. Que vous les trouviez incroyablement séduisants ou que leur beauté vous rende jaloux au possible, vous ne pourrez pas faire comme s'ils n'existaient pas. Lorsqu'ils sont là, les regards sont braqués sur eux, hypnotisant par leur charisme extraordinaire. Attirants, sulfureux, les demi-vélanes ont ce charme qui fait d’eux qu’il est bien souvent difficile de détourner les yeux. Hommes et femmes, peu importe, ils sont aussi fascinants qu’une étoile. Les demi-vélanes sont rares, il n'existe qu'une poignée de familles possédant le gène dans son sang.
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HISTOIRE DE LA VÉLANE
A l'origine, la vélane est une créature magique à l'apparence humaine. Elle prends la forme d'une femme à la beauté enivrante, presque surnaturelle, cachant également en elle une deuxième facette ; celle d'une hideuse harpie qui sort lorsqu'elle ressent une immense colère, déformant ainsi son visage si parfait en un monstre horrible. Le charme des vélanes fait des ravages, faisant perdre tout discernement à la personne qui en est victime. On se souvient notament de la Coupe du Monde de Quidditch de 1994, lors du match Irlande/Bulgarie, où l'arbitre s'était mis à danser en plein match, envoûté par les vélanes présentes sur le terrain.
La Vélane descendrait, de part de nombreuses sources, d'un Esprit Légendaire de la Nature venant d'Europe de l'Est, fée slovaque pouvant prendre la forme d'un oiseau, La Vily
, Esprit ayant également engendré la célèbre sirène.
Dans The Fairy Mythology (Thomas Keightley, 1878), Les Vilas
, telles qu'elles apparaissent dans les légendes serbes, seraient des nymphes alpines, jeunes et belles, vêtues de blanc, avec de longs cheveux flottants. Il est dit que leur voix ressemble à celle d'un pivert. D'après la croyance populaire, elles décocheraient des flèches mortelles aux hommes, et enlèveraient parfois leurs enfants.
Le livre A Field Guide to the Little People décrit les Vily de façon très détaillée. Il s'agiraient des Gardiennes de la Nature, qui prendraient soin des arbres, des cours d'eaux et des fleurs présents sur leur territoire. Elles seraient extrêmement jalouses des belles femmes. Leurs humeurs seraient aussi variables que le temps et elles pourraient à la fois provoquer ou soigner les maladies. Un humain essayant de goudronner leur territoire pourrait être tué par une flèche ou mourir soudainement d'une crise cardiaque, d'un lumbago, ou être emporté par une avalanche. Les Vily auraient le teint clair et des cheveux bruns ou roux et bouclés qui tomberaient à leurs pieds. Elles seraient vêtues des vêtements blancs chatoyants ou des couvertures faites de feuilles vertes.
TRANSMISSION DU GENE
Techniquement parlant, les descendants de vélane ne sont ni plus ni moins que des hybrides. Ayant vu le jour après l'accouplement d'une vélane et d'un sorcier, certains les placeraient même dans la catégorie des créatures magiques. Le gène de vélane étant un gène puissant et dominant, il se transmet presque systématiquement, bien qu'il existe quelques exceptions. Un demi-vélane ayant des enfants avec une sorcière aura donc de très fortes chances de transmettre son gène à sa progéniture.
La raison pour laquelle si peu de demi-vélane existent dans le monde est assez simple, à vrai dire ; réussir à séduire et à enfanter une vélane est en effet quelque chose de quasi-impossible et très très rare sont les sorciers pouvant se vanter d'avoir réussit cet exploit.
EN PRATIQUE
D'un point de vue purement physique et scientifique, les gènes de vélane confèrent à celui qui les détient une beauté aux diapason de leurs origines magiques ; traits parfaits, visage parfaitement symétrique, sourire éclatant... On a du mal à en détacher les yeux. Les réactions face à cette beauté sont diverses et variées : si certains vont bégayer et devenir maladroits, d'autres peuvent ressentir une jalousie profonde, ou encore baver en les voyant. C'est à vous de décider la façon dont cette beauté objective touche votre personnage. Leurs phéromones sont largement plus odorants que ceux des sorciers lambdas et cette odeur est d'ailleurs beaucoup plus remarquée par les loups-garous et les vampires, qui arrivent donc à repérer les demi-vélanes assez rapidement - et à être attirés par eux. Une caractéristique physique est commune à tous les descendant.e.s de vélane ; ils ont systématiquement les yeux clairs.
En principe, le charme des demi-vélanes éclipse les autres personnes présentes, mais il arrive qu'en de rares occasions le demi-vélane soit entouré d’un halo qui rend les personnes autour de lui plus belles et plus rayonnantes.
Les familles possédant le gène de vélane sont censées être obligatoirement recensées au Ministère de la Magie, dans le registre des Êtres
au même titre que les vélanes normales et leurs cousines sirènes, les loups-garous et les vampires. Fait intéressant, c'est pour ne pas être classés avec ces "créatures" que les centaures et les êtres de l'eau ont demandé à être considérés comme des animaux et non pas comme des êtres. On ignore encore d'où cette tension entre les sirènes et les vélanes est née, elles qui sont censées être de la même espèce.
ATOUTS Au même titre que leurs cousin.e.s les descendant.e.s de sirène, les demi-vélane peuvent charmer avec leurs voix mais leur arme principal reste leurs regards. Un regard au fond des yeux, un timbre de voix sensuel, et il y a de fortes chances que le demi-vélane soit en train de vous charmer, volontairement ou non. Attention ; un demi-vélane ne peut pas pousser quelqu'un vers la mort si cette personne n'en a pas l'envie de base. De même, ils ne peuvent pas forcer autrui à avoir des relations sexuelles. Son charme fait cependant ressortir les désirs et les envies
enfoui dans l'inconscient de la personne envoûtée.
L'auteur Bulgare Konstantin Gavrilov Velikov fut le premier et le seul a écrire un ouvrage complet sur son statut de fils de vélane. "Veela", 1345 ap. J.C. Voici un extrait :
"Non content d’attirer le monde à nous, nous possédons un unique don : celui d’hypnotiser qui nous voulons... Pour cela, un regard au fond des yeux, une voix douce, un peu de volonté et n'importe quelle demande peut être exécutée. L'hypnotisé ressent alors un plaisir non feint et veut à tout prix exécuter nos désirs et demandes les plus folles. Nous devenons sa priorité. Pour acquérir ce "don" il faut beaucoup de travail et de concentration car à la moindre défaillance de l'esprit, l'enchantement peut se rompre. Au départ l'hypnose ne dure quelques secondes, puis à force d'entraînement, elle peut s'étendre sur quelques minutes, voir quelques heures pour les demi-vélane plus âgés ayant eut une vie entière pour l'acquérir. Chacun ressent l’hypnose différemment, plus la volonté est forte et plus il est facile d’y résister. Ceux capables de détermination ne ressentiront qu’une légère attirance et pourront se défaire du lien aisément, tandis que d’autres seront sous un contrôle total. Il n’existe que de rares personnes complètement immunisées contre ce don ; celles qui sont capables d’un amour sincère envers le demi-vélane."
De part son ancêtre, le demi-vélane possède également plusieurs domaines dans lesquels il peut exceller ; lorsqu'il danse par exemple, il n'est pas rare que la beauté et la sensualité de celui-ci déborde et que l'on ait du mal à détacher les yeux de lui. Il en va de même pour leurs chants : un demi-vélane chante avec une perfection innée qui vous touche en plein coeur. Leurs cousin.e.s demi-sirène ont particulièrement hérité de cette aptitude.
FAIBLESSES Il y a bien un moment où le charme est rompu, c'est lorsque le demi-vélane est en proie une rage profonde. Ils tiennent encore une fois cela de leur ancêtre vélane, mais lorsque cette colère, cette rage, fait surface, la beauté se brise et le demi-vélane se montre alors sous une autre facette ; la harpie qui sommeille en eux depuis toujours sort de sa léthargie et confère au descendant.e de vélane un apparence effrayante. Grondements profonds, rides de rage, yeux noirs, c'est presque une bête sauvage qui prend possession de ces visages d'ordinaire si parfaits.
Il est, normalement, impossible d'être immunisé aux charmes d'un demi-vélane... à une seule exception. Seuls ceux capables d'un amour vrai et sincère envers l'hybride pourront être en mesure de passer au travers des charmes et des envoûtements. Nous ne parlons pas là d'une amourette de passage mais bel et bien d'un sentiment amoureux profond - avoué ou inavoué.
INTERACTION AVEC LES AUTRES SPÉCIFICITÉS
DEMI-VÉLANE vs ANIMAGUS : Aucune interaction. La personne animagus n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e animagus venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs MÉTAMORPHOMAGE : Aucune interaction. La personne métamorphomage n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e métamorphomage venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de métamorphomage.
DEMI-VÉLANE vs LÉGILIMENS : Le ou la légilimens à une très légère résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra tenter de résister face à un.e demi-vélane débutant.e. Lorsqu'une personne légilimens pénètre ou tente de pénétrer dans l'esprit d'un.e descendant de vélane, elle y percevra une voix charmeuse, s'insinuant en elle comme un lent poison. Si un.e descendant.e de vélane et un.e légilimens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de légilimancie.
DEMI-VÉLANE vs OCCLUMENS : De part son esprit entraîné, l'occlumens peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Il pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e occlumens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'occlumancie n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs VOYANT : De part son esprit souvent sollicité, le voyant ou la voyante peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e voyant.e venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir le 3ème oeil.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-VÉLANE : Dans l'Histoire, il n'a jamais été fait mention de deux demi-vélanes se retrouvant en contact. Dans les faits, si cela devait arriver, la réaction serait pour le moins... explosive. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts. Les gènes se "reconnaissant" entre eux, les demi-vélanes seraient pris d'une attirance inexplicable, ne pouvant que difficilement résister à l'envie d'établir un contact physique. Avec le temps, s'ils se côtoient régulièrement, ils réussiront à contrôler cette attirance, les gènes s'apprivoisant entre eux. Si deux demi-vélane venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 100% de chance d'hériter du gène.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-SIRÈNE : La vélane et la sirène venant du même ancêtre commun, les gènes des deux descendances sont donc issus de la même souche, un peu comme des cousins. Un.e descendant.e de vélane se verra toujours attiré par un.e descendant.e de sirène et vice et versa. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts.  Si un.e descendant.e de vélane et un.e descendant.e de sirène venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur de l'un ou l'autre des gènes.
DEMI-VÉLANE vs LOUP-GAROU : Aucune interaction. La personne atteinte de lycanthropie n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. La personne atteinte de lycanthropie ayant l'odorat plus développé que la moyenne, elle peut cependant être beaucoup réceptive à l'odeur que dégage les demi-vélane et ressentir une attirance par rapport à ça. Cependant, les 3 jours précédents la pleine lune ainsi que les 3 jours suivants, le.a lycanthrope se voit assez affaibli et devient donc bien moins résistant.e à l'envoûtement durant cette petite semaine. Si un.e descendant.e de vélane et un.e lycanthrope venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le gène de loup-garou n'est pas héréditaire. En revanche, si un.e demi-vélane se fait mordre par un loup-garou, sa vie est fortement en danger. Dans l'hypothèse ou cela se produirait, les gènes des deux créatures entreraient dans une lutte acharnée à l'intérieur du système immunitaire du demi-vélane. Dans le meilleur des cas, l'un ou l'autre des deux ADN réussit à prendre l'ascendant ; le ou la demi-vélane aurait donc 50% de chance de rester un.e descendant.e de vélane et 50% d'être contaminé.e par le gène de lycanthropie. Dans le pire des cas, le ou la demi-vélane pourrait succomber de cette morsure si aucun des ADN ne réussissait à battre l'autre.
DEMI-VÉLANE vs VAMPIRE : Contre un jeune vampire, le charme du ou de la demi-vélane fonctionnera plutôt bien, la jeune créature n'étant pas encore "stable". En revanche, contre un vampire de plusieurs centaines d'années, il faudra un.e demi-vélane tout aussi expérimenté.e pour réussir à envoûter à la créature à canines. Tout comme les loups-garous, les vampires ayant un odorat bien plus développé, ils peuvent être beaucoup plus réceptifs à l'odeur qui se dégage du descendant de vélane et ressentir une attraction par rapport à cette odeur. Un.e demi-vélane et un.e vampire ne peuvent pas s'accoupler, le.a vampire n'étant cliniquement pas vivant. Si un.e demi-vélane venait à se faire mordre par un.e vampire dans le but d'une vampirisation, les gènes du vampire prendrait l'ascendant, tuant les gènes de la vélane. Le ou la demi-vélane perdrait donc son don au profit de celui de vampire. Si le ou la demi-vélane se fait mordre sans entamer le processus de transformation en vampire, il ou elle garde son gène de vélane.
DEMI-VÉLANE vs FOURCHELANG : Aucune interaction. La personne fourchelang n'a aucun pouvoir sur le ou la demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e fourchelang venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 80% de chances d'être porteur du gène de vélane et 20%  d'avoir la faculté du fourchelang.
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fortrylletfe · 1 year
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LE PETIT CHAPERON ROUGE : UN RECIT DU MOYEN AGE
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Un des personnages de la littérature occidentale le plus célèbre est le petit chaperon rouge. Le génie d’un Charles Perrault y est sans doute pour beaucoup. Victime de sa générosité et de la compassion qu’elle éprouve pour une grand-mère malade, la fillette manque bien de finir entre les dents du loup (Une version moins connue du conte lui réserve d’ailleurs ce sort malheureux). L’histoire connait, dès sa parrution en 1697, un grand succès. Un succès d’ailleurs tel qu’aujourd’hui encore, elle s’impose comme l’un des récits les plus répandus de la culture européenne. Qui n’a pas frémi, tout enfant, au fond de son lit, à la seule évocation du chaperon rouge s’approchant dangereusement des draps dans lesquels s’est glissé le loup déguisé en vieille femme ?
Doit-on à la seule imagination de Charles Perrault une légende demeurée suffisamment populaire pour franchir le cours des siècles ? Les spécialistes de la question ont tenté d’éclaircir le mystère. Il apparaît probable que l’auteur se soit inspiré d’un récit médiéval très ancien. Vers l’An Mil, un écolâtre (Ce qui pourrait correspondre, au risque de commettre un anachronisme, à l’un de nos instituteurs modernes), Egbert de Liège (né en 972), compose un petit poème d’une dizaine de vers, " La petite fille épargnée par les louveteaux ". Il y rapporte les aventures d’une petite fille partie se promener en forêt. L’enfant a revêtu la robe de laine rouge qu’un parrain attentionné lui a offert le jour de son baptême. Surgit au détour du sentier un loup menaçant. L’animal s’empare brutalement de la malheureuse et regagne son repaire. Une meute de jeunes louveteaux se précipite sur la nouvelle venue mais, plutôt que de s’en rassasier, ils lui caressent tendrement la tête. La fillette déclare : " Je vous défend petites souris de déchirer cette robe que m’a donnée mon parrain à mon baptême ". Egbert achève d’ailleurs son poème sur ces mots : " Dieu, qui est leur auteur apaise les esprits sauvages ".
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Que retenir de ces quelques vers ? Ont-ils réellement inspiré à Perrault son succès littéraire ? Il existe certes une incontestable similitude entre les deux oeuvres. L’écolâtre de Liège a vraissemblablement composé son poème pour mieux avertir ses élèves des dangers de la forêt et d’une imprudence parfois fatale. Néanmoins, la dimension religieuse du récit ne doit pas échapper. Dimension religieuse perceptible à travers plusieurs éléments précis.
D’une part, la tradition catholique du baptême. La cérémonie est essentielle car elle donne l’accès à la communauté chrétienne. Elle établit aussi entre le baptisé, son parrain et sa marraine une parenté spirituelle. Les usages admettent que le filleul reçoive à cette occasion marquante un cadeau de plus ou moins grande valeur selon les famiales : une robe (C’est ici le cas), un animal, un peu d’argent....
D’autre part, le vêtement de la fillette. Sa couleur interroge naturellement. Elle indique sans doute le caractère précieux du tissu. Au Moyen Age, les tenues colorées sont chères (Le noir et le blanc sont davantage marque d’humilité, de simplicité et de sobriété).
Le texte dévoile enfin la puissance infinie de Dieu. Créateur de toute chose sur terre, selon les croyances bibliques, il contrôle à sa guise l’univers du sauvage. Son intervention inspire aux louvetaux une tendresse inattendue et exprime le caractère merveilleux de l’histoire. Ce merveilleux chrétien si cher aux hommes du XI° siècle puisqu’il traduit l’accomplissement de phénomènes divins dont la compréhension humaine ne parvient pas toujours à saisir le sens. Un merveilleux contenu dans la seule robe rouge de l’enfant car celle-ci suffit à appaiser l’agressivité de la meute.
Charles Perrault a sans doute repris pour son conte la trame d’un récit très ancien. Néanmoins, la version de 1697, au delà de ses accents moralisateurs, s’écarte du texte médiéval d’où elle puise une part de son inspiration. En même temps qu’apparaissent les personnages de la grand-mère et du bûcheron ( absents du poème d’Egbert), s’efface ce merveilleux chrétien propre au Moyen Age par lequel Dieu s’imposait aux hommes d’alors.
Texte de Egbert de Liège en latin traduit en français :
DE PUELLA A LUPELLIS SERVATA La petite fille épargnée par les louveteaux
Quod refero, mecum pagenses dicere norunt, Ce que je rapporte, les paysans savent le dire avec moi,
Et non tam mirum quam ualde est credere uerum: Et il faut moins s’en étonner que le croire fermement vrai.
Quidam suscepit sacro de fonte puellam, Quelqu’un tint une petite fille sur les fonts baptismaux
Cui dedit et tunicam rubicundo uellere textam. Et lui donna une robe tissée de laine rouge.
Quinquagesima sancta fuit babtismatis huius, Ce baptême eut lieu à la Pentecôte.
Sole sub exorto quinquennis facta puella; Au lever du soleil, l’enfant, âgée de cinq ans,
Progreditur uagabunda sui inmemor atque pericli, Marche et vagabonde, sans se soucier d’elle-même et du danger.
Quam lupus inuadens siluestria lustra petiuit Un loup s’en saisit, gagna la forêt sauvage et profonde,
Et catulis predam tulit atque reliquit edendam. L’apporta comme gibier à ses petits et la leur laissa à manger.
Qui simul aggressi, cum iam lacerare nequirent, Ils se précipitèrent sur elle, mais, ne parvenant pas à la mettre en pièces,
Ceperunt mulcere caput feritate remota. Se mirent à lui caresser la tête, loin de toute sauvagerie.
'Hanc tunicam, mures, nolite', infantula dixit, " Je vous défends, petites souris, de déchirer cette robe" dit la jeune enfant
'Scindere, quam dedit excipiens de fonte patrinus!' " Que m’a donnée parrain à mon baptême! "
Mitigat inmites animos deus, auctor eorum. Dieu, qui est leur auteur, apaise les esprits sauvages.
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thedarkbelowrpg · 4 months
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Nymphes
Utilisant les éléments de la nature qu’elles regardaient de loin, Sahar et Solair créèrent le peuple des Nymphes. Ces êtres, connus des humains comme des forces naturelles ancestrales, ont le pouvoir de contrôler les éléments avec lesquels les déesses les ont conçus. Parfois d’une violence inouïe ou d’une tendresse incroyable, on connaît ce peuple pour sa versatilité, ne choisissant en général qu’un seul parti : celui de la nature. Depuis toujours, les Nymphes ont toujours été les gardiennes de la religion polythéiste magique, ayant des rôles de prêtresses mais officiant aussi aux enterrements et aux naissances, puisqu’elles sont en lien constant avec la nature et la vie qui les ont vues naître. Elles peuvent entrer dans des fureurs connues de tous les autres peuples quand les choses ne se passent pas comme elles le veulent ou que des dégâts trop grands sont faits à la nature. Tous les peuples magiques sans exception ont peur de ce que les Nymphes sont capables de faire mais tous les respectent grandement, sachant parfaitement que sans elles, le monde ne serait plus vivable. 
Sous leur forme naturelle, les Nymphes sont faites entièrement de leur élément. Les Nymphes de la terre sont généralement faites de terre, de pierres ou de plantes, entrelacées et mêlées. Les Nymphes d’eau sont formées le plus souvent d’eau, cela va sans doute, mais aussi d’écume, voire parfois d’algues. Les Nymphes d’air sont généralement constituées de vapeur ou de courant d’air, beaucoup plus immatérielles que toutes les autres. Enfin les Nymphes de feu sont faites de flammes, aux couleurs différentes selon les individus, ou de fumée. Leurs formes ne sont pas toujours de nature humanoïde, bien que beaucoup d’entre elles gardent une forme proche de celle des Humains. Lorsque les Nymphes prennent une forme humaine, les odeurs le trahissent beaucoup. Ces odeurs sont fortes, parfois omniprésentes quand on est très proche d’une Nympha. Chaque type de Nymphe a une odeur qui rappelle son élément qui lui colle à la peau. Elles ont également souvent des marques de leur élément, souvent dissimulées comme si elles étaient des tatouages. Contrairement à la croyance populaire, les Nymphes ne sont pas uniquement de genre féminin, on en retrouve de tous les genres sans distinction.
Les Nymphes ont le pouvoir principal de pouvoir manipuler les forces et éléments de la nature elle-même. Cependant, une Nymphe ne peut maîtriser tous les éléments. En effet, chaque individu est lié à un élément en particulier, son élément principal qui la constitue, ainsi qu’à un autre, secondaire. Les Nymphes contrôlent à loisir leur élément, et ont un contrôle moyen sur leur élément secondaire. Elles ne choisissent pas elles-mêmes leur élément principal, celui-ci est déterminé à leur naissance, en revanche, elles peuvent faire pencher la balance pour un élément secondaire selon leurs affinités. Les Nymphes de terre peuvent considérer l’eau et le feu comme secondaires, jamais l’air. Les Nymphes d’eau peuvent avoir l’air et la terre en secondaires, jamais le feu. Les Nymphes d’air peuvent être liées à l’eau et au feu en secondaires, jamais à la terre. Les Nymphes de feu peuvent choisir entre terre et air en secondaires, jamais l’eau. Les Nymphes peuvent créer leur élément principal, en étant constituées, mais il est impossible pour elles de créer leur élément secondaire, elles ne pourront que le manipuler. Les pouvoirs des Nymphes influent sur les éléments naturels mais aussi sur des formes transformées de leur élément principal uniquement. Par exemple la glace pour l’eau, la foudre pour l’air, le magma et la lave pour le feu ou les plantes pour la terre. 
Ayant été infusées avec la vie elle-même, les Nymphes ont un certain contrôle sur elle, étant capable de la créer et la redistribuer bien plus facilement que tous les autres peuples. Elles sont surtout connues pour pouvoir créer des êtres semi-conscients faits de leur élément, la plupart du temps ce sont des serviteurs, messagers et autres aides de la vie de tous les jours mais ces créatures peuvent aussi servir à les défendre en cas de besoin. Ces créatures sont connues sous le nom de Golem et peuvent être créées à partir d’absolument tous les éléments sans distinction. De plus, les Nymphes peuvent aussi se servir des éléments naturels pour augmenter leur taille, se nourrissant de leur élément pour se protéger, grandir et également se soigner beaucoup plus rapidement. Lorsque les Nymphes se nourrissent ainsi de leur élément, il est courant pour elles de reprendre une forme complètement naturelle. Si elles sont grandement blessées et le font pour se soigner, cette forme sera immobile, comme un arbre ou un rocher.
Tant qu’elles sont dans de bonnes conditions, les Nymphes ont une espérance de vie relativement longue, allant jusqu’à environ 600 ans. Cependant, les conditions actuelles du monde, la pollution même au sein du monde magique et les villes bâties partout ont beaucoup réduit la longévité des Nymphes, si bien que beaucoup d’entre elles ne vivent plus que jusqu’à 400 ans environ. Il est aussi très facile pour une Nymphe de tomber malade si elle ne prend pas garde, la pollution environnante ayant tendance à leur faire beaucoup de mal et à les affaiblir énormément. Celles qui s’en sortent le mieux sont les Nymphes de feu, subissant beaucoup moins les effets de la pollution. En termes de faiblesse, les Nymphes sont toutes sensibles à leur élément opposé, cela va sans dire. De plus, elles sont très sensibles au sel, qui pourra les brûler et les rendre malade. On ne parle pas de n’importe quel sel mais de ce qu’on appelle le sel gemme, ou halite. Les contacts peuvent brûler les Nymphes, sous forme de brûlures chimiques, et son ingestion entraînera la mort à coup sûr. 
Les Nymphes, grâce à leurs pouvoirs sur les éléments et la nature, sont capables d'insuffler la vie dans des choses inanimées, comme avec les Golems. Mais il y a bien plus que l’on pourrait penser à propos des Golems. En effet, grâce à ces créations magiques, les Nymphes sont capables d’incuber des enfants. Le principe est simple, les Nymphes façonnent un Golem, qui servira de matrice, à l’intérieur duquel elles placent des cheveux ou du sang de deux personnes. Ces deux personnes peuvent être de n’importe quel genre, sans que cela n’ait aucune importance, mais doivent appartenir à la même espèce. L’incubation prend le même temps que les grossesses classiques, à savoir 9 mois. A la fin des 9 mois, les Nymphes “mettent au monde” l’enfant, faisant fondre le Golem lentement grâce à leurs pouvoirs. Ces enfants sont indiscernables de ceux nés de manière classique, ils grandissent et vivent comme les autres. Cette manière de faire permet à tous les couples d’avoir un enfant de leur sang et les Nymphes partagent avec plaisir ce don qu’elles ont.
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Crow(d) & Fool(ed)
Aujourd’hui devant la discussion et l’analyse, toute opinion perd son prestige ; ses angles s’usent vite, et il survit bien peu d’idées capables de nous passionner. L’homme moderne est de plus en plus envahi par l’indifférence. Ne déplorons pas trop cet effritement général des opinions. Que ce soit un symptôme de décadence dans la vie d’un peuple, on ne saurait le contester. Les voyants, les…
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misskaraba · 1 year
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LA PRESSION
Parfois je me demande d'où vient réellement ce besoin chez l'homme de vouloir contrôler la vie de ses semblables.
L'importance qu'une personne accorde a quelqu'un d'autre dépend du lien qui les unit, plus ce dernier est fort plus la préoccupation est grande. C'est reposant de savoir que les autres s'inquiètent pour soi, mais parfois on a l'impression d'étouffer quand on se rend compte que ce qui n'était qu'une saine inquiétude, devient a la limite gênante et oppressante.
Parlant de gêne, pourquoi faut il a tout prix que quelqu'un se mette en couple. Et cette question qui revient a chaque réunion d'anciens camarades, de famille etc... Avec qui tu sors ?
Une vie amoureuse est gratifiante, mais dispensable. Je me dis aussi importante qu'une personne puisse être pour les siens elle ne doit pas se sentir obligée d'être avec quelqu'un. C'est désolant de voir qu'aujourd'hui ces questions font encore sujet de conversation.
Dans la croyance populaire de chez moi, pour une fille, dépasser 25ans sans une promesse de mariage c'est qu'il y a quelque chose qui cloche, la famille et les amis s'affolent, passer le cap des 25 ans c'est comme déboucher sur déclin. Pourtant ce n'est pas le cas du côté des hommes. Ils sont en paix jusqu'a près de 45 ans, ce qui signifie clairement que les calculs ne sont pas bons.
Un homme de 25 voudra d'une fille a partir de 20ans.
Un homme de 30ans penserait a une fille de 25ans.
35 ans à partir de 25ans.
Un homme mûr de 45ans ne dira pas non a une fille de 25 ans.
Ce qui veut dire si a partir de 25ans tu es encore célibataire sans aucune envie de te mettre avec quelqu'un tu es un spécimen bizarre qu'il faudrait étudier à la loupe. Et si a partir 20 ans tu es encore pucelle, c'est le comble des questions déplacées et trop personnelles pour y répondre en public.
Sachant que c'est notre vie a nous pourquoi ils s'en fassent autant, a se questionner sur des choses qui ne les concernent nullement. A croire que tout les moyens sont bons pour trouver l'homme de sa vie. Cette obsession a croire qu'on finira seule nous ralenti dans d'autres parties de nos vies, notre développement personnel et professionnel par exemple, croyant qu'il faut a tout prix avoir une vie amoureuse pour que le reste s'ensuive.
Cependant nous sommes 8milliards d'habitants uniques sur la planète avec une vision différente des choses, et de comment on veut vivre.
Je peux décider de lancer ma carrière professionnelle, d'avoir une stabilité économique et un épanouissement personnel qui ne dépend que de moi, ensuite penser à un potentiel quelqu'un dans ma vie bien rangée.
Tout comme je peux décider de me trouver quelqu'un pour m'aider à atteindre mes objectifs, me soutenant sur le plan professionnel et émotionnel.
Ou encore laisser cette bonne personne me trouver ou la trouver sans aucunes préparations, comme ça, au coin de la rue.
Dans tout les cas , ce qui est certain, si on est destiné pour être avec quelqu'un de bien on le sera au temps propice. Et peu importe la manière que cela s'est produite et l'âge qu'on a, on doit savoir que ça va aller.
Nul ne doit se sentir oppressé et angoissé a l'idée de vivre seul, parceque notre entourage veut nous imposer leur manière de penser et de voir le monde.
Quoi qu'il en soit ça va aller.
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cpartout · 1 year
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14/11/22
Trente-six fois dans la journée je me dis : après, je me fume une cigarette ! Et bah non. Non. Trente-six fois dans la journée, je me lève pour me rassoir. Toujours non. J'ai cherché "combien de jours pour perdre une habitude" sur google. Je savais qu'il fallait presque un mois. "Selon une croyance populaire, il faut 21 ,jours pour changer une vilaine habitude. Mais une étude anglais montre qu'il faut entre 18 et 254 jours. La moyenne serait donc de 66 jours." Deux mois minimum. Je pleure les anglais.
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lesorciercanadien · 2 years
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Bibliography of Scholarly Articles and Books
Abbott, Frank, "The Devil Made Me Do It." Popular Spirituality in a Rural Quebec Parish, 1736-1901." Journal of the Canadian Historical Association/Revue de la Société historique du Canada, vol 27, no. 1 (2016): 1-30.
Abbott, Francis A. "The Body or the Soul? Religion and Culture in a Rural Quebec Paris, St-Joseph-de-Beauce, 1736-1901," Simon Fraser University Thesis, Fall 2012.
Anselme Chiasson. Les légendes des Iles de la Madeleine. Éditions des Aboitaux, 1969.
Anselme Chiasson. Le diable Frigolet et 24 autres contes des Iles de la Madeleine. Éditions de l'Acadie. 1991.
Arseneau, Danielle, "Growing Acadian Medicine: From the Acadian Homeland to Nova Scotia Gardens," Dalhousie University. 8 pages.
Arsenault, Georges. La Chandeleur en Acadie. Éditions La Grande Marée Ltée. 2011.
Arsenault, Georges. Contes, légendes et chansons de l'Ile-du-Prince-Édouard. Éditions La Grande Marée Ltée. 2018.
Arsenault, Georges. Noel en Acadie. Éditions La Grande Marée Ltée. 2005.
Arsenault, Georges. La Mi-Carême en Acadie. Éditions La Grande Marée Ltée. 2007.
Benoit Lacroix. Folklore de la mer et religion. Leméac. 1980.
Bergeron, Bertrand. Contes, legendes et recits du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Trois Pistoles, 2004.
Bergeron, Florence. A force d'amour: biographie de Florida Gilbert. Société d'histoire du Lac-Saint-Jean. 2008.
Bouchard, Russel. L'exploration du Saguenay par J.-L. Normandin en 1732: Au coeur du Domaine du Roi. Journal original retranscrit, commente et annote. Septentrion, 2002.
Dawson, Nelson-Martin. Fourrures et forets metisserent les Montagnais: Regard sur les sang-meles au Royaume du Saguenay. Septentrion, 2011. 322 pages.
E.I. Robson. A Guide to French Fetes. Methuen & Co. Ltd. 1930.
Gaudet, Colby. "Women and Acadian Popular Religious Culture in Southwestern Nova Scotia, 1795-1820," Vancouver School of Theology, thesis submission, March 2018.
Gaudet, Rose-Delima. “La place de l’Église catholique aux Îles-de-la-Madeleine” Sessions d’études: Société canadienne d’histoire de l’Église catholique 46 (1979): 99-106.
Karst, Amanda. 2010. Conservation Value of the North Ameriacn Boreal Forest from an Ethnobotanical Perspective. Canadian Boreal Initiative, David Suzuki Foundation and Boreal Songbird Initiative; Ottawa, ON; Vancouver, BC; Seattle, WA.
Labelle, Ronald. “Native Witchcraft Beliefs in Acadian, Maritime and Newfoundland Folklore” Ethnologies 30, no. 2 (2008): 137-152.
Lapierre-Otis, Rita. Angèle des Iles: Pour la suite de son monde. Jonquière (Impression à Cap-Saint-Ignace), à compte d’auteur, 1997.
Laurendeau, Geraldine. Inventaire des savoirs et des connaissances des Pekuakamiulnuatsh sur les plantes médicinales, rapport final. Ressources naturelles Canada. Mars 2011.
Lavoie, Kathia, Julie Mollen, Agathe Napess, Georgette Mestokosho et Priscilla Mestokosho. "Innu-Natukuna: La cueillette de plantes médicinales par des membres de la communauté d'Ekuanitshit" Recherches Amérindiennes au Quebec, vol. 45, no. 2-3. (2015).
Madeleine Doyon-Ferland. "Folk Dances in Beauce County," Journal of American Folklore vol. 67 no. 264 (April-June 1954): 137-47; "Carnavals et deguisements traditionnels en Beauce." and "Rites et voisinage chez trois populations rurales canadiennes (Beauce, Dorchester et Charlevoix)" in Coutumes populaires du Canada francais (Quebec: Les Presses de l'Universite Laval, 1972). Found at Library Archives Canada, General Collection F5419 F4 1972.
Maison Saint-Gabriel: Musee et site historique. "Capsule Historique: Croyances populaires et superstitions au Quebec ou côtoyer le merveilleux."
Marius Barbeau. The Tree of Dreams. Oxford University Press. 1955.
Marius Barbeau. Le Saguenay légendaire. Librairie Beauchemin Limitée. 1967.
Nicole Belmont. Mythes et croyances dans l'ancienne France. Flammarion. 1973.
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Pearl, Jonathan L. "Witchcraft in New France in the Seventeenth Century: The Social Aspect." Historical Reflections/ Reflexions Historiques, vol. 4, no. 2. (Winter 1977): 41-55.
Pierre DesRuisseaux. Dictionnaire des croyances et superstitions. Éditions Triptyche, 1990.
Podruchny, Carolyn. Making the Voyageur World: Travelers and Traders in the North American Fur Trade. Toronto: University of Toronto Press, 2006.
Podruchny, Carolyn, "Werewolves and Windigos: Narratives of Cannibal Monsters in French Canadian Voyageur Oral Tradition," Ethnohistory vol 51 no.4, 2004.
Ransom, Amy J. "The Changing Shape of a Shape-Shifter: The French Canadian "Loup-garou"." Journal of the Fantastic in the Arts, vol. 26, no. 2 (2015): 251-275.
Robinson, James M. The Nag Hammadi Library: The Definitive Translation of the Gnostic Scriptures Complete in One Volume.
Smallman, Shawn. "Spirit Beings, Mental Illness, and Murder: Fur Traders and the Windigo in Canada's Boreal Forest, 1774 to 1935" Ethnohistory vol 57, no. 4 (Fall 2010): 571-596.
Smith, Isobel. "Man into Animal: Lycanthropy in French and French-Canadian Folklore and Literature." Thesis presented to the University of Alberta, Spring 1985.
Tremblay, Marc. "Le cycle de la chasse-galerie: Etude des variantes significatives, de la diffusion et de la structure d'un conte folklorique canadien-francais." These soumise a l'universite Carleton, Janvier 1996.
Victor-Lévy Beaulieu. Les contes québécois du grand-pere Forgeron a son petit-fils Bouscotte. Éditions Trois-Pistoles. 1998.
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Wintemberg, W. J. “French Canadian Folk-Tales”, The Journal of American Folklore 17 no. 67 Published by American Folklore Society (Oct.-Dec. 1904): 265-267.
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Dionysos est le dieu frénétique. Pour l'amour de lui délirent les Ménades. Ce qui fait question n'est donc pas la raison de leur égarement, mais bien plutôt la signification de la démence divine... Un dieu à l'essence duquel appartient la démence ! Qu'ont vu les hommes, qu'ont-ils senti, que la monstruosité de cette représentation est chargée d'exprimer? La figure de tout vrai dieu est la figure d'un monde. Un dieu dément ne peut exister que s'il y a un monde dément qui s'ouvre à travers lui. Où est ce monde? Pouvons-nous encore le trouver et le reconnaître? À cette tâche personne ne peut nous aider que le dieu lui-même. Nous le connaissons comme l'esprit sauvage de l'antithèse et de la contradiction : de la présence immédiate et de l'absolue distance, de l'extase et de l'horreur, de la vitalité illimitée et de la destruction la plus cruelle. L'élément de joie dans sa nature, le créatif, le bienfaiteur, l'extatique ont part aussi à sa sauvagerie et à sa folie. Ceux-ci également ne sont-ils pas déments parce qu'ils portent déjà en eux-mêmes une dualité, parce qu'ils se tiennent sur le seuil au-delà duquel un pas conduit au démembrement et aux ténèbres? Nous touchons ici une énigme cosmique : le mystère de la vie qui s'engendre elle-même à nouveau. L'amour qui vole à la rencontre du miracle de la procréation est touché par la folie. Ainsi est l'esprit qui est ébranlé par l'impulsion créatrice. [... ]
Qui crée quelque chose de vivant doit s'enfoncer dans les profondeurs primordiales où résident les forces de la vie. Et quand il émerge, une lueur de folie brille dans ses yeux parce que dans ces profondeurs la mort vit ensemble avec la vie. Le mystère originel est lui-même dément — foyer de la dualité, unité du discord. Il n'est pas nécessaire ici de faire appel aux philosophes ; nous pourrions cependant citer beaucoup de passages de Schelling. Tous les peuples et les âges attestent cela par leurs expériences vitales et leurs rituels.
L'expérience des peuples leur dit : partout où il y a des signes de la vie, la mort, elle aussi est proche. Plus vivante devient cette vie, plus proche la proximité de la mort, jusqu'au suprême moment, le moment enchanté où quelque chose de neuf est créé, où la mort et la vie se touchent dans une joie démente. Le tourbillon et le frisson de la vie doivent leur profondeur à l'ivresse de la mort. Chaque fois que la vie s'engendre à nouveau, le mur qui la sépare de la mort s'écroule momentanément. La mort vient aux vieux et aux malades de l'extérieur, apportant crainte ou réconfort. Ils y pensent parce qu'ils sentent que la vie s'évanouit, mais pour les jeunes l'intimation de la mort se lève à partir de la pleine maturité de leur propre vie et les enivre au point que leur extase devient illimitée. La vie devenue stérile s'avance en chancelant à la rencontre de sa fin ; mais depuis toujours, dans l'enthousiasme, l'amour et la mort se sont salués et captivés.
Ce lien d'essence éternel est la raison du fait remarquable que les peuples, depuis un temps immémorial, ont su que les morts et les puissances du monde souterrain sont présents aux événements centraux et aux fêtes de la vie, nommément à la naissance et à la puberté. La recherche récente, qui a rarement le courage de s'enfoncer dans la profondeur, préfère chercher la signification des cultes et des mythes dans le monde conceptuel d'une croyance populaire devenue pusillanime plutôt que dans le sérieux de l'existence elle-même. Elle a donc référé ces usages et ces vues à la peur humaine des démons nuisibles et des fantômes. Mais aucun progrès ne sera fait si nous voulons jouer partout les esprits supérieurs et pensons seulement à convaincre les auteurs de vénérables institutions d'erreur et de superstition. Ils en savaient plus sur la vie que nous.
Aux grands moments où la vie avance, ils ont su voir la mort en face parce qu'elle est réellement là. À chaque naissance, la vie est ébranlée dans ses ultimes fondements, non par la maladie ni par quelque menace extérieure, mais par sa plus importante fonction. C'est précisément dans cette circonstance que son lien avec la mort devient le plus clair. Les peuples qui célèbrent des fêtes comme celles-ci ne se bornent pas à penser aux périls. Ils croient fermement que la présence du monde souterrain est absolument indispensable au grand événement qui s'accomplit avec la naissance. Est-ce une illusion? Chacun de nous n'a-t-il pas le visage d'un mort? Chacun ne vit-il pas la mort de ceux qui sont venus avant lui? Ne reproduit-il pas leurs traits, leurs mouvements, leurs pensées et émotions? N'est-il pas l'expression de tout le monde antérieur? Dans l'enfant nouveau-né, l'aïeul émerge des ténèbres de la mort. C'est pourquoi les divinités de la naissance et de la fertilité se tiennent si proches des divinités de la mort, c'est pourquoi elles se confondent souvent complètement.
Dionysos, Walter F. Otto
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lia-ve-art · 1 year
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EXPO SOLO - Survivances
Du 9 au 25 mars 2023 - Galerie La Mare​, Lyon ​.
“ Forgés pour donner prise sur ce qui nous dépasse, des rituels et des croyances populaires parviennent jusqu’à nous. On appelle ces formes des “survivances” (du latin “Superstitio”) car elles perdurent malgré le discrédit du mode de pensée qui les a fait naître.
 Elles ont résisté aux efforts d’effacement, souvent au prix de métamorphoses.
Elles trouvent leur origine dans des rites biens plus anciens que l’année zéro occidentale, ancrés dans une pensée de l’humain en intime interdépendance avec les autres animaux et végétaux, où la matière peut être porteuse de volonté. On en voit les traces dans les processions carnavalesques, fêtes subversives où l’on joue à s’hybrider, où l’on brouille nos identités et quelques devantures de banques, avant de brûler une idole du pouvoir comme un sort jeté…
Entre artisanat, magie et anthropologie, l’artiste manipule le langage rituel et symbolique comme intercesseur dans le monde palpable “
VERNISSAGE le jeudi 09 à 18h30.
FINISSAGE avec Conférence de la philosophe Marion Frenay, sur les traces du sacré dans l’art contemporain et la notion d’ouverture à l’altérité dans le processus créatif. Samedi 25 mars.
Merci à Manuel Salazar et Sarah Mulet pour les photos du vernissage.
Extrait de l’accrochage d’un bout de mur :
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