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#dimitrilogothetis
adamwatchesmovies · 3 years
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Jiu Jitsu (2020)
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The Predator franchise isn’t what it used to be thanks to the 2018 film and the two AVP. I can see why you’d want to make a good movie about your favorite invisible alien but “Jiu Jitsu” isn’t it. With lousy special effects, dull characters, and a story that’s nothing but excuses for fights, this movie isn’t the next Predator. It isn’t even a good alternative to DNA.
An amnesiac (Alain Moussi) is discovered near a military base as a comet flies overhead. As he recovers, he learns what nearly killed him: he and his comrades are part of a group of elite fighters who - every six years when the comet returns - battle an alien who will kill everyone in the region unless they offer a decent challenge.
An invisible spaceman with superior technology comes to our planet to fight for sport. Yup, it’s "Predator". Well, if it were led by an actor with no charisma, anyway. Our hero is a wooden slate, which makes him a great, but dull, recipient of exposition. The very first scene is a bad omen. Jake runs away from the alien that’s pursuing him. “Brex” must throw a hundred space shurikens. Only two hit and only at the last second before he falls off a cliff. Its aim sucks, which makes it a complete non-threat that's also way overpowered. Brex has the same healing abilities as Wolverine, which is why it's been coming to Earth for who knows how long and pulverizing all challengers. You'd think the humans would've tried to cheat by now but the invader is so threatening they haven't dared.
The main difference between this picture and the one it’s ripping off is the action. Here, it’s about martial arts. How is the choreography? Pretty good… most of the time. Some scenes are shot from a first-person point of view, which is a neat trick. It certainly adds variety to the numerous fights as Jake’s allies - which include Tony Jaa, JuJu Chan, and Frank Grillo - beat endless U.S. troops senseless while bullets fly around them uselessly. The kicks, punches, and throws are appropriately impactful but the digital dust added to the hits pulls you right out and more than one stunt person isn’t very good at conveying pain. It might not be so bad if the entire library of sound effects didn't come from the sample CD every sound editor gets when they graduate. Using the Wilhelm scream ironically is old. Using it earnestly? yikes.
If you’re anticipating this movie, it’s probably because you know Nicholas Cage is in it. Is he a highlight? I guess so, but that’s not saying much. The comic book panel transitions (which recall the story’s origin as a graphic novel) make you wonder if they didn’t accidentally forget to shoot key scenes and the humor (usually delivered by Eddie Steeples) makes you groan.
Jiu Jitsu feels like a decent fan-made production you’d see on YouTube, which makes you regret extra hard its hour and forty-two minute running time. Despite the wall-to-wall action, I struggled to stay awake. (March 2, 2021)
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ieatmovies · 3 years
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JIU JITSU (2020)
C'est quoi, ce truc ? L'improbable crossover fauché et bien sûr non officiel entre PREDATOR (1987) et on ne sait quoi de Dimitri Logothetis -le réalisateur responsable du plaisir nanardesque stupide mais coupable KICKBOXER RETALIATION (2018)- est là, avec un casting regroupant rien de moins que Tony Jaa -ONG-BAK (2003)-, Nicolas Cage -dont la carrière s'effrite à vue d'oeil-, et évidemment Alain Moussi -égal à lui-même-. Mêlant arts martiaux, cascades, faux raccords, répliques insensées, et scénario anémique, dur de croire que ce projet de science-fiction -si, si- tiré du comics éponyme -quelle originalité !- existe, improbable mais bien réel. Ah oui, Frank Grillo est là lui aussi. Et si l'on cite volontiers PREDATOR en parlant de ce film, c'est parce que l'antagoniste en costume de latex de JIU JITSU, le Spaceman, tente de représenter le légendaire Yautja chasseur à sa manière : guindé comme un Bioman, vous tremblerez à coup sûr d'effroi devant son casque dont la visière perpétuellement enfumée révèle parfois -trop souvent- sa vieille tête en CGI mal branlés, yeux rougeoyants et bouche dégueulasse à l'appui. Moche et nul donc, mais que serait JIU JITSU sans son Nicolas Cage déclamant à tout-va, se parant de son plus beau chapeau en papier journal lors d'un duel d'apprentissage au sabre -virevoltant sur un piano dans le sous-sol d'une jungle- pour hisser le héros à son statut d'élu ? Compilation semi-pro de cascades incessantes et de dialogues creux, JIU JITSU ose citer l'art martial en tant d'héritage venu du fin fond de la galaxie, legs du Spaceman venant tout les six ans jauger les humains de leur capacité combative en se frayant un passage via un portail apparaissant dans la Vallée des Temples : ça n'a aucun sens, tout comme l'interface du faux Predator, fabriqué de toutes pièces par un stagiaire peu cher payé pour réaliser le reste des effets spéciaux du long-métrage. Et la prophétie scandée par le vieux couple de pêcheurs du coin n’aidera en rien, EN RIEN j’vous dis ! Segmenté à l'image des chapitres de son matériau d'origine, l'aspect comic-book de JIU JITSU se résume à un générique d'introduction très laid, spoilant plusieurs scènes du film, ainsi qu'à des fondus de vignettes tout sauf icôniques tirées de l'œuvre. "Quoi ? POURQUOI ? COMMENT ?" seront les questions régulières qui assailleront votre pauvre esprit déjà essoré par l'accumulation de bêtises de la première demi-heure du long-métrage, si tant est que vous surviviez jusque-là. Incroyable pot-pourri nanti d'une production à la The Asylum, JIU JITSU est l'égal de cette comète qui survole les cieux et ne s'écrase hélas jamais. Rempli de fillers de bastonnade, mal joué, à la fois nanar et navet, ce DTV difforme et baveux ne pourra être ingéré qu'en VF, sa version originale trop sérieuse défiant l'insupportable -on se demande encore comment on a survécu- : reveals à la stupidité inouïe, bruitages impossibles, toutes les tares sont au rendez-vous pour faire de JIU JITSU un recyclage à tous les niveaux. Pas de charisme pour le groupe de combattants, ni pour la storyline de la trame, entrecoupée d’interventions foirées -le black rigolo-, et de décors naturels réutilisés à l’infini. Notre seul souhait ? Devenir amnésique comme James, ce héros qui devra contre son souhait assumer sa destinée à la con, entouré d’imbéciles : vieille resucée de MORTAL KOMBAT (1995) repompant PREDATOR sans vergogne, on réserve JIU JITSU aux vétérans du nanar ou aux beaufs qui achètent leur DTV convaincus qu’il s’agisse d’un blockbuster original. Mal aux yeux, mal au cul, mal partout : calamiteux et catastrophique, on en rit à peine... C’est quoi ce truc ?
CALAMITEUX /20
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ieatmovies · 6 years
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KICKBOXER - RETALIATION (2017) En 2016, la franchise KICKBOXER -initiée en 1989 avec un jeune JCVD en premier rôle- a eu droit à un reboot: inévitable initiative, à laquelle le catcheur Dave Bautista -GUARDIANS OF THE GALAXY (2014-2017) et SPECTRE (2015)- s’était joint pour incarner Tong Po, le bad guy de cet opus du “renouveau”. Je vous laisse voir ce KICKBOXER - VENGEANCE (2016) pour vous faire un avis, la saga originale disposant de cinq épisodes -dont deux réalisés par Albert Pyun -qui avait aussi travaillé avec JCVD pour l’excellent CYBORG (1989)- s’étalant de 1989 à 1995: cette série de films est culte pour bon nombre de pratiquants de sports de combat, à l’instar de l’énorme BLOODSPORT (1988). Un pan du cinéma trop souvent montré du doigt car considéré comme “non cérébral”, bien qu’une certaine “philosophie du combat” soit la thématique directive des longs-métrages KICKBOXER: une bonne raison également pour voir la carrière atypique de l’acteur Sasha Mitchell -le Cody Lambert du sitcom familial STEP BY STEP (1991-1998), plus connu chez nous sous le patronyme de NOTE BELLE FAMILLE-, lui-même protagoniste principal des KICKBOXER 2, 3 et 4 et incarnant David Sloan, frangin du Kurt Sloane campé à la base par JCVD. Après la tentative de Mark Dacascos de relancer la licence avec un KICKBOXER 5 relativement inutile, il aura fallu 11 ans pour retrouver cet univers de pure baston, faite de muay-thaï et de VENGEANCE: destiné à durer, le reboot plaçait cette fois-ci JCVD dans la peau de l’entraîneur du “nouveau” Kurt Sloane, qu’on retrouve bien sûr dans ce KICKBOXER RETALITATION. Suite directe de VENGEANCE, RETALIATION force la curiosité, de par son casting alléchant de nouvelles têtes: Mike Tyson, Christophe® Lambert (qui américanise son blason en CHRIS LAMBERT dans les trailers), Hafþór Júlíus Björnsson -”La Montagne” dans le tv-show GAME OF THRONES (2010-2017)- et… le footballer Ronaldhino, qui lui n’aura aucune ligne de dialogue et servira à entraîner Sloane à esquiver, la pratique improbable se déroulant dans les couloirs d’une prison thaïlandaise en lui lançant des ballons de foot à la figure (on n’en parlera pas). Une agrémentation conséquente non négligeable, autant kitsch qu’alléchante: les événements de ce KICKBOXER - RETALIATION se déroulent donc un an et demi -dans la storyline- après VENGEANCE, avec un opening raté. Kurt Sloane et sa donzelle s’adonnant à une danse valse/tango-électro dans un train en marche, scène à laquelle s’ensuit une séquence de course-poursuite avec des vilains armés: par une astuce de montage, on revient finalement à la réalité pour que RETALIATION pose les fondations de son scénario. Drogué puis enlevé par un certain Mr. Moore (Lambert), Sloane se réveille en Thaïlande après son kidnapping, contraint à accepter un combat non-officiel l’opposant à Mongkut, incarné par le monstrueux Hafþór Júlíus Björnsson: mais avant cela, il va falloir s’entraîner. RETALIATION, conscient de son héritage, va justement appliquer à la lettre les codes de la saga KICKBOXER, de la pose mythique de JCVD (devenant le second “T” du titre du film) à cette ambiance dépaysante propre à la Thaïlande, Mecque de tout pratiquant de sport de combat. Évoluant dans cette prison suite à son arrestation sur le territoire asiatique car désigné comme meurtrier (Tong Po étant mort dans VENGEANCE), Kurt va avoir la chance de retrouver Durand (JCVD), devenu aveugle à cause de Mr. Moore (parce qu’il est très méchant), pour l’aider à se surpasser et atteindre le niveau nécessaire pour défaire Mongkut. Forcément, la miss Sloane se rendra en Thaïlande pour jouer le rôle de la princesse enlevée, un argument supplémentaire pour Kurt d’éclater son musculeux rival. Fouetté, battu, il devra à la fois travailler sa technique et en apprendre de nouvelles, aux côtés d’un Mike Tyson sympathique par exemple. RETALIATION se regarde sans mal, malgré deux séquences ratées forçant les acteurs à se battre sur le toit d’un train en marche: avec 13 millions de dollars de budget, on déplore ces écrans verts du pauvre, horribles et agressifs pour la rétine. Hormis ça, le constat est honorable, toutes proportions gardées, le film se focalisant sur le respect de cet héritage pesant presque trente années: la ligne directrice s’axe sur le combat, le réapprentissage, l’enjeu étant ici différent de la simple vengeance familiale. L’aspect nanar est de mise, comme en témoignent les lieux -prison, temple, arènes illégales- où les méchants déclament à cœur-joie (Lambert encore) et les figurants jouent le jeu: éclairages colorés inappropriés et dialogues sans grande inventivité achèvent le tableau, plaçant KICKBOXER RETALIATION dans la case série B des nostalgiques du bon vieux temps des années 80. Un effort est fourni, décelable parfois grâce à de jolies méthodes filmiques, comme cette caméra suivant le long combat de Kurt contre ces prisonniers qui veulent sa peau, commençant à l’intérieur du bâtiment pour se poursuivre en extérieur et intégrant les décors à même la baston -l’échafaudage de chantier-. Sans atteindre le prestige d’un gros blockbuster, on se réjouit de cette suite du reboot de 2016, qui tente du mieux qu’elle peut de réconcilier ses fans avec son casting tout à fait approprié: on approuve cette démarche honnête, qui persiste à s’inscrire sur la durée. On espère un troisième volet aussi agréable, plaisir coupable -JCVD en vétéran aveugle et fumeur de pipe est un régal- bien moins odieux que d’autres productions actuelles. Alain Moussi est tout à fait crédible en Kurt Sloane, plus cascadeur qu’acteur -et c’est ça qu’on lui demande- et on lui souhaite une longue carrière. Baston! THAÏ FIGHT /20
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