#disney pluy | Explore Tumblr Posts and Blogs

cristoph00-blog · 7 years

Text

La mort par la leptospirose humaine persistante virale en Malaisie.

https://www.generosity.com/fundraisers/la-mort-par-la-leptospirose-humaine-persistante-vi/share#/

Je suis venu à la Malaisie pour un problème de vacances. Toronto est un mélange bizarre de la maladie, semble-t-il acquis l’environnement. C’était tous considérés comme début soudain – de quelques semaines à plusieurs mois ou années. Qui a créé un phénomène connu sous le nom de l’arrêt. Ainsi que des tests après tests indiqué assez normal j’avais encore des réponses réponses physique extrême. Pieds saignement qui déshabille de – vomissements qui fait une scène dans l’exorciste semblent Disney parmi. Il y avait des comas et la liste est longue. Enfin après 6 ans, les tests ont démontré que les médicaments que j’ai reçu de nombreux prescrits par un médecin de Toronto. J’ai toujours été en faveur d’une approche holistique et après de nombreuses demande instamment de mon médecin asiatique, qui avait suggéré que peut-être en prenant le temps de Toronto et permettant au corps de se guérir naturellement. L’anaphylaxie un mot Je n’avais pas de connexion et/ou de sens. Mais c’était un énorme risque pour la santé, ce qui complique toute réalité normale. Pour la Malaisie et la Thaïlande ont été choisis. J’ai essayé de sauver ma vie. J’ai des vidéos pour expliquer ce que j’ai vécu et je suis en train de vivre. Ces simples mots de cet essai ne sont pas suffisantes pour donner à votre esprit les événements extraordinaires que je souffre à travers.

https://thebookof25.wordpress.com/2016/09/07/the-bullshit-that-is-toronto-canada/

Digital Camera

SAMSUNG DIGITAL CAMERA

le seul plan est trop aller mieux, rien d’autre. La Malaisie était très tentant, la corruption, le mensonge, la tromperie et parfois même fou s’ensuivit. Comme l’attesteront. Tout cela va terriblement mal et de la mort à l’horizon.

J’ai quitté Shah Alam et a été conduit dans un endroit appelé Cocobay Port Dickson sur la plage. L’endroit est si décrié à Port Dickson avec les habitants en frissonnant à son nom. Il est connu pour beaucoup de saleté. Tout cela je ne savais pas à l’époque. Il a fallu des semaines et des mois à se rendre à

mon arrivée sur le 03 janvier 2017 et a été merveilleusement bien mieux. L’air marin avait supprimé toute trace du “anaphylaxie” mais le 13 janvier 2017. Ça a bardé et j’étais face à face avec une réalité qui signifiait que je n’existerait plus si je suis revenu à Vancouver, Canada. ASAP. Je ne savais pas exactement la cause de l’infection. @ 3h00 – Je suis allé au lit le 13. Et comme je l’avait lavé tous mes draps qui n’avaient pas de séché les pluies de l’hiver, j’ai placé une couverture tellement infectées par, comme il s’avère être l’urine de Rat Rat- selles – qui avaient fermenté et était alimenté par des punaises – les parasites et les champignons. Et c’était mortel.

Je me réveille en hurlant, comme si baigné dans de l’acide – mordu et dans de grandes souffrances. J’étais brûlant et ma peau était jusqu’bouillonnante avec poxes brut – urticaire- ampoules en quelques minutes. Fièvres – tremblements – je ne pouvais pas encore maintenant ce qui s’était passé. J’avais jeté le tweed je me couche dans un seau d’eau chaude – l’eau de javel, etc. ce que j’ai vu freaked out – moi j’ai vu du sang – Rouge – de l’eau bien pigmentées, ce que j’ai vu et pensé a été de caillots de sang ? Le sang menstruel – ? C’était tellement dégoûtant. La couverture n’était pas beige tweed. L’endroit était un taudis et était loué par un agent- à son nom – le désastre est arrivé si vite – et j’ai été très malade et a signalé la saleté retour à l’agent. Je n’ai pas rencontré le propriétaire/ Cleaner et quand j’ai fait le danger a augmenté de façon exponentielle. L’gilla d’un homme appelé GOH. La folie qui s’ensuivit et je peux mourir de cette.

Je transformée en maladie majeure. J’ai appelé les hôpitaux – Kliniks – comme j’ai eu certains antibiotiques provenant du Canada et de tout ce qu’il a dit mon médecin était get local de l’aide médicale. Comme les antibiotiques semblait fonctionner ? Je n’avais pas vraiment idée de ce que j’avais affaire avec. Le temps passé et j’étais clouée au lit jusqu’à 12 février 2010. Il est venu – cet étrange Dodi d’un Gollum man – avec une chaîne, crier – et incohérent. Il était vacillant, j’ai découvert plus tard qu’il était un très mauvais état local. Il menaçait d’expulsion et toutes sortes de folie.

Cet homme était si menaçant et violent – je voulais sortir de là rapidement. Mais j’ai eu besoin de soins médicaux et j’ai dû aller loin pour obtenir mon visa dernière re-entry de la Malaisie. La maladie m’avait fait aveugle – vision floue – très faibles – confus. Il a extorqué $ de moi – et de l’éloigner de moi, cette personne folle – J’ai payé.

Puis, je suis parti en randonnée. C’est alors je me suis rendu compte que mon cœur était vraiment étrange et il a continué de battre de façon désordonnée – ma poitrine se soulevait. Je n’avais jamais eu – tout cela avant et il battait dans mes oreilles. J’ai eu à comprendre ce qui n’allait pas. Mais plus tard, j’ai s’est effondré et n’a pas pu sortir pour obtenir le visa ou même se lever hors du lit.

J’ai trouvé l’avance rapide des fèces de rat – et passé des jours à la recherche de médecins. J’ai été refusé dans tous les Klinik, les médecins de l’hôpital de Malaisie et Klinik, m’a refusé le traitement – même s’ils en avaient. Ils ont juste m’a envoyé tous sur le Port Dickson – à Kuala Lumpur et le résultat était il n’y avait pas de médecin ou l’hôpital en Malaisie que j’ai contacté et s’est rendu à qui l’aide. Je suis retourné à des heures différentes et ont insisté, et j’ai obtenu beaucoup de je ne sais pas peut-être et ils ont énuméré off – et j’ai essayé de l’acheter et ils n’avaient pas de stock. Plus ils ont tous dit – vous allez mourir ! Et c’était la raison de l’absence de traitement. J’avais été délibérément infecté par une maladie mortelle, par un fou Mr.Goh. Avec aucun traitement connu dans un pays qui a une histoire de ce que l’état endémique. J’ai contacté – tous les hôpitaux pour recevoir le vaccin et le traitement.

La maladie ont marché sur et j’ai eu pire. J’étais dans un autre endroit – hidden et prendre une tonne de médicaments – qui a ramené l’anaphylaxie et le conflit de médicaments a des effets secondaires.

J’ai essayé de survivre, au jour le jour. Je savais que je devais revenir à Vancouver à mon médecin Lawson Baird et entrer dans l’hôpital pour un long voyage de médicaments. À cette époque, la leptospirose humaine était devenue et virale persistante. J’étais couvert de poxes – fièvre élevée qui a inondé mon lit – et très faible.

Je suis en train de mourir. L’homme fou – Mr.Goh pétiolées moi – et quand il m’a trouvé – a commencé à crier – je vais vous tuer – et courir après moi. Les agents de sécurité lui a parlé. C’était le 11 mai. A ce moment j’ai compris que d’autres – J’ai dû partir dès que possible – j’allais être assassinés. J’étais déjà malade et mortel maintenant ici a été GILLA -GOH à propos de meurtre moi – sur le dessus de l’assassinat de la maladie. Cet homme était responsable de l’atteinte à moi – à la mort et je ne pouvais pas obtenir de l’aide.

La police a refusé – qu’ils considéraient comme un manque de compréhension et m’a dit de partir. Je ne pouvais pas laisser – je n’avais pas de $ pour couvrir le vol – les médicaments coûtent cher. La maladie a été de plus en plus intense.

J’appelle SOS CANADA – à une évacuation immédiate. Qui est entré dans un autre cycle d’essorage. Le Vice-Procureur n un numéro sur moi. La moquerie – rit de moi – et me faisant paniquer davantage. J’avais d’obtenir plus de détails – de mes médecins ? Il voulait leur parler. Le médecin a Vancouver dit essentiellement obtenir ici – nous pouvons parler alors. L’hôpital a dit la même chose que cette maladie n’allait pas être facile à traiter. Et où étais-je pour rester. ? ? En plus d’éviter l’incarcération du retard en fonction de la maladie ? J’ai besoin d’un avocat. J’appelle le CSC d’être vaincu par eux. De l’aide ? Peut-être pas ?

Questions que j’ai pas pu répondre. Je n’ai trouver que c’était si compliqué – et que j’aurais besoin d’accès à beaucoup de $ pour me remettre au Canada. Et d’obtenir un traitement. Le traitement a été très complexe qu’il n’était pas certain de ce qui se passe au travail. Mon médecin m’a dit essayer crowdfunding. Comme vous ne pourrez pas survivre sans Canada $ à payer pour ces traitements supplémentaires dont vous avez besoin. Hébergement à Vancouver et était si cher en particulier pour vos besoins à l’heure actuelle. Vous pouvez être admissible à prendre en – mais c’est très basic et rugueux et après cette épreuve malaisienne – l’épreuve peut être pire.

Un chiffre situé entre 20 à 30 mille dollars a été introduite. Il a dit que louer près de l’hôpital est d’environ $2000.00 la gamme. Je ne peux pas partager un lieu comme la douleur peut me faire des vocalisations et irriter les colocataires. Le coût des aliments ? Ameublement ? Traitements pour soigner cette – ne sont pas couverts – par tout moyen de plans. Ainsi, un prix très élevé. OMG !

Bonne chance, dit-il. Je n’ai regarder dans les hôpitaux de Bangkok en Thaïlande – et c’était moins cher et si j’y arriver – et de recevoir des traitements et puis partir au Canada. ?

Je n’ai jamais eu de problème a été rencontré tout cela avant et maintenant ma vie tient à un fil et la bonté des étrangers.

S’il vous plaît aider comme c’est au-delà de la croyance.

voici la réalité de la Malaisie. Ne jamais venir ici. C’est un désastre ! Et personne ne semble être au courant.

thebookof25.wordpress.com/2017/03/27/the-plague-cocobay-resort-leptospirosis-diseases-port-dickson-malaysia-2017-coco-bay-resort/

THE BOOK OF 25 – THE HORROR OF PHL

https://patient.info/doctor/leptospirosis-weils-disease

http://www.leptospirosis.org/medical/phl.php

http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0076549

https://www.cdc.gov/leptospirosis/symptoms/

https://www.pressreader.com/malaysia/new-straits-times/20170218/281741269180169

http://newsinfo.inquirer.net/790079/malaysia-warns-of-leptospirosis-risk-at-natural-water-spots

http://www.medicalnewstoday.com/articles/246829.php

https://youtu.be/GfVqNbjtf_k

But you need to see this list that CACA-BAY RATSORT has for you a brilliant smorgasbord of death.

https://www.cdc.gov/rodents/diseases/direct.html

Hantavirus Pulmonary Syndrome expanded.

Hemorrhagic Fever with Renal Syndrome collapsed.

Lassa Fever collapsed.

Leptospirosis collapsed.(MALAYSIA EPIDEMIC)

Lymphocytic Chorio-meningitis (LCM) collapsed.

Omsk Hemorrhagic Fever collapsed.

Plague collapsed.

Rat-Bite Fever collapsed.

https://thebookof25.wordpress.com/2017/05/29/death-by-viral-persistent-human-leptospirosis-in-malaysia-gofundme-comdeath-by-persistent-leptosporisis/?preview_id=3898&preview_nonce=ed6b16d9c7

La mort par la leptospirose humaine persistante virale en Malaisie. https://www.generosity.com/fundraisers/la-mort-par-la-leptospirose-humaine-persistante-vi/share#/ La mort par la leptospirose humaine persistante virale en Malaisie. Je suis venu à la Malaisie pour un problème de vacances.

0 notes

lechienducheshire-blog · 6 years

Text

LE MONDE DE DISNEY est un endroit fréquenté par les salauds, les membres de la famille que l’on ne comprend pas et les jeunes femmes en manque d’amour. Le style adolescent d’Aurélien Cotentin, notre ami Orelsan, frappe par le sens de la répartie et la lucidité fine comme un oiseau enivré. Je suis celui qui ferai une blague avant de mourir : Orelsan nous offre un album ( parfois déroutant, un peu mélancolique et parfaitement orchestré. L’héroïsme du grand père est ruiné dans Défaite de famille ; le malaise sexuel et l’ennui de devenir une figure médiatique explosent au jour dans Quand est-ce que ça s’arrête ? ; l’amour de la province et l’honnêteté d’une adolescence simple se dévoilent dans Dans ma ville, on traîne ; Orelsan prend de la hauteur et avoue grandir dans ses Notes pour plus tard. Le monde est un immense terrain de jeu ; le clown triste - celui qui au fond n’a jamais été très clown -, prend une grande inspiration et propose de curieuses chansons, où couplets et refrains apparaissent comme de subtiles métaphores de la pâle condition humaine. Ou plutôt : Orelsan fait le récit amer d’une jeune vie adulte (le passage à la vie adulte est glissant dans les virages). Les collaborations musicales du rappeur ne sont jamais décevantes, mais en dehors du très aimable couplet en anglais de Dizee Rascal, celles-ci se font dans une étonnante discrétion ; on retient néanmoins l’agréable présence de Stromae. L’album, peu inégal, sied bien à Orelsan : c’est le portrait d’un Aurélien (le héros inachevé d’Aragon ; l’homme aux doutes en feu et à la fascination pourtant éteinte) en jeune adulte. Malgré les légendes urbaines, l’artiste se bat pour que l’adolescent (le collégien aimant Proust ; le lycéen qui roule des pelles avec maladresse ; le mec en fac de médecine) ne soit résolument pas pris aux rets de l’amertume et d’un mensonge ambiants. Derrière de sympathiques compositions musicales, Stromae peut légitimement dire pour Orelsan et pour tous les autres imbéciles un peu rêveurs, Chez moi il faut beau, malgré les pluies acides de l’âge de raison. La fête est finie.

“Toujours autant de pluie chez moi / Mais il fait quand même beau.”

“Chez moi il fait beau”. La qualité de la composition musicale.

l’amertume stridente, signe annonciateur d’une société décadente, ne

un monde où l’amertume stridente ne

combat pour un monde où l’amertume stridente ne

; pris au dépourvu, Aurélien Cotentin (Orelsan) préfère écrire et tuer l’ennui plutôt que vomir dans l’air.

“1 - J’ai dû me tromper de futur. (...) Le monde est un PMU. (...)

--- Le monde de Disney en désillusion- : “un génie du mal”.

Un château de sable”

Je suis celui qui ferai une blague avant de mourir.

> RAPPORT AUX IDOLES ; “gentrification”.

“On a commencé dans une salle des fêtes”.

“San ça veut dire monsieur.”

2 - Un sentiment de solitude, “la fête est finie”, un sentiment de déception et d’achèvement, pourtant.

“Un jour...”

3. “Parce que vous êtes trop cons”.

“Simple / Basique” : maestria ironique.

“Le style a son importance” =

“Les mecs les plus fous sont souvent les plus tristes.”

+ “cliché”.

Instrumentale performante et efficace ; énergique et rapide ; qui accompagne la simplicité du propos - dimension épique.

4. DIVERSITÉ MUSICALE, 2 et surtout 4.

Tout va bien : ou le mensonge “”tout va bien, petit” ; le récepteur est lucide et prend les paroles au seconde degré (de la vérité). “Dors”.

5. Lucidité de la famille ; horreur lumineuse ; dire ce que tout le monde pense ; comédie sociale.

“Venez, on arrête de faire copain copain.”

“T’as jamais été un héros.”

6. La lumière enivrée. Univers de la fête et du trouble.

7. “Bonne meuf” : répétition comique ?

“Je crois que je suis une BONNE MEUF”

Très réussi ; le parcours d’un célibataire et de sa sexualité, sorte de militantisme presque féministe.

“Bonne meuf” - répétition.

8. “Fini de taffer comme un connard”

Le malaise de la célébrité, correspondance entre la 7 et la 8. “Quand est-ce que ça s’arrête”.

Croisement de la figure médiatique et du malaise individuel (la sexualité). Des mots crus pour signifier, pour faire deviner l’urgence et l’ampleur d’un malaise social.

9. “Je fais de la musique de noir”. “Christophe Maé / Keen’V” : comédie.

“Japan Expo, c’est la fashion week.”

Figures médiatiques françaises. Pas compris le morceau ; humour incompréhensible.

10. “Laissez-moi, je suis dans ma zone.” “Terroristes sexuelles.”

Belle collaboration avec Nekfeu et Dizzee Rascal

Très belle instru.

11. L’amour d’une ville et de la jeunesse, “Caen”. “Entre deux monde en suspens”. Mythologie de la province.

“Longe le canal, prends le périph”. “Tu vois l’Angleterre derrière la brume.”

“Légendes urbaines”

“Ma ville aux cent clochers” : amour d’un patrimoine.

12. “Je viens de la France où on danse la chenille” : origines sociales humbles. “Je connais la campagne et ses gros sabots”

“Toujours autant de pluie chez moi / Mais il fait quand même beau.”

“Chez moi il fait beau”. La qualité de la composition musicale.

Aimable collaboration de Stromae (un peu décevante).

13. “Qu’est-ce que j’irai faire au paradis”

Aimable composition ; déclaration d’amour “notre amour est la seule vérité” lucide et tendre.

14. “Le passage à la vie adulte est glissant dans les virages.”

Les ambitions et les difficultés de la jeune vie adulte.

Un vieux songe. “Si t’as l’impression que personne te comprend, c’est que personne te comprend.”

“Ecoute pas trop tes parents / Ils ont pas trop la science infuse.”

Des notes lucides, amères ; le sens et le talent.

Un long message.

“Connais ta hauteur” ; un éloge de l’humilité, de la discrétion.

“Bien-sûr, la vie est injuste” /

“Je fais des métaphores sexuelles depuis tout à l’heure parce que tu penses qu’à ça”

Ibeyi accompagne la lucidité. (on ne sait trop comment.)

0 notes

eglise22 · 7 years

Text

Thomas et Agathe témoignent …

Pour nous présenter : Agathe, native de Rennes, a fait des études d'arts et une spécialisation dans le graphisme ; Thomas, originaire d'Étables sur mer, s'est spécialisé dans la gestion des Industries du Bois. Mariés civilement à Étables sur mer et religieusement à Rochefort en Terre (56) par le Père Olivier Gravouille en août 2014, nous avions émis, dès notre préparation au mariage, le souhait de vivre une expérience en humanitaire.

Un an après notre mariage, voulant concrétiser notre souhait, nous nous sommes rapprochés de la Délégation Catholique pour la Coopération. C'est le service du volontariat international de l'Église en France ! Créé il y a 50 ans par la conférence des évêques de France, la DCC est présente dans 50 pays avec près de 500 volontaires qui agissent dans tous les domaines de développement et dans tous les types de métiers. N'hésitez pas à aller consulter leur site internet ladcc.org ; il s'agit d'une organisation qui mérite d'être connue et soutenue pour la richesse de son action !

C'est ainsi qu'après une préparation par la DCC nous nous sommes envolés vers les terres lointaines de la République Démocratique du Congo.

Pour vous présenter la République Démocratique du Congo en quelques lignes, je pourrais dire que c'est un pays immense (4 fois la France), avec des paysages dignes du Roi lion (Walt Disney). Pendant la période de novembre à avril c'est la saison des pluies, la végétation devient très verdoyante, ce qui est magnifique, et pendant les 6 autres mois de l'année il n'y a pas une goutte d'eau qui tombe, la végétation est sèche et il y a très souvent des feux de brousse.

D'un point de vue politique, c'est un pays qui vit actuellement de nombreux troubles car son président a dépassé son mandat et s'accroche au pouvoir en maintenant un climat de peur. Le gouvernement est très peu impliqué aux côtés de la population et profite plutôt des richesses générées par le sous-sol du pays. Étant volontaire au service d'un diocèse nous avons pu voir à quel point les Églises remédient aux défaillances du pays pour s'engager aux côtés de la population et aider le développement du pays.

Eglise congo

Notre partenaire sur place était l'évêque du diocèse, Monseigneur Fulgence Muteba Mugalu, et notre lieu de mission était situé dans le Sud-Est de la RDC, à 6 heures de route au nord de la grande ville de Lubumbashi (9 heures en fin de saison des pluies) dans le village de Kashobwe, village frontalier avec la Zambie. La mission de Thomas était la reprise de la direction d'un Institut des Métiers d'une centaine d'élèves qui forme à un niveau CAP/BEP en menuiserie et Coupe-couture et Agathe dispensait des cours de dessin et cours ménagers dans cette même école.

Dès notre arrivée à Lubumbashi nous avons été bien accueillis par notre évêque avec qui nous avons très rapidement sympathisé et avons créé un grand lien d'amitié. Il s'agit de quelqu'un de très engagé dans le développement de son pays, qui souhaite que l'Église soit acteur du développement et il utilise son charisme pour se faire entendre… parfois au risque de sa vie ! Nous étions en collaboration au quotidien avec le curé du village de Kashobwe, l'abbé Henry Mungomba, qui a eu l'occasion de voyager en Europe et qui agit pour le développement de sa paroisse en fédérant ses paroissiens autour de projets. Pendant toute la durée de notre mission il est resté à nos côtés pour s'assurer que nous ne rencontrions pas de difficultés.

Nous nous sommes concentrés tout au long de notre mission sur notre objectif, qui avait été déterminé par l'évêque, de remettre un fonctionnement ordonné dans l'école. Nous avons insisté sur la rigueur dans la conduite de l'établissement, la qualité de l'enseignement et une bonne gestion financière. Malheureusement, à notre départ, la mission n'a pas été prolongée en raison d'aspects « bancals » mais nous avons orienté la DCC vers d'autres projets de développement de l'évêque. Nous avons confié les clés de l'école au curé qui nous a dit vouloir suivre avec sérieux l'établissement pour que tout ce que nous avons mis en place ne soit pas perdu et continue d'être développé.

Atelier bois

En plus de notre mission nous faisions partie de la chorale française de jeunes. Nous animions ainsi la messe anticipée du samedi soir qui était en français. Thomas avait mis en place des émissions radio pour sensibiliser les jeunes à des sujets de société. En couple nous avions également envie de développer des activités pour les enfants qui, n'ayant pas école l'après-midi, « traînent » au village. Ayant tous les deux été scouts, nous avons ainsi créé une meute de louveteaux (groupe scout pour les plus petits). À nos débuts nous n'avions que quelques enfants puis c'est une trentaine qui nous ont rejoints pour apprendre à chanter, jouer et jardiner. Nous aimions passer du temps et nous avons eu du mal à les quitter car nous avions créé un lien très fort avec ces enfants. Ils étaient également fâchés qu'on parte si tôt et nous disaient « Monsieur Thomas et Madame Agathe, c'est de l'injustice ce que vous faites ; vous ne pouvez pas nous abandonner !  » Quoi répondre à un enfant qui vous interpelle avec ces mots ! ?

Atelier coupe

Le souhait que nous avions exprimé à notre départ était de prendre le temps de se tourner vers les autres. Nous avions également la volonté de partir à l'aventure, à la découverte de nouvelles cultures, pour forger un état d'esprit pour notre couple de jeunes mariés qui puisse inspirer l'éducation que nous donnerons à la famille que nous souhaitons fonder. Et nous avions, en tant que chrétien, l'envie d'aller à la rencontre de l'Église universelle !

Nous avons pu découvrir des paysages bien différents, une culture de l'accueil très forte, des dialectes, une Église qui vit de l'Évangile de la même manière mais en l'utilisant sur des problématiques bien différentes et nous avons découvert le rite Zaïrois (rite africain), où l'ordinaire de la messe est légèrement différent et laisse la place aux chants et aux danses, où même les prêtres et les acolytes sont parties prenantes dans cette messe très rythmée !!!

Nous espérons, par ces quelques lignes, avoir pu vous apporter un témoignage de notre vécu et de la richesse des échanges interculturels. Vous pouvez aller consulter notre blog : agathethomas.jimdo.com

Thomas & Agathe Bisilliat Donnet Volontaires DCC

Voir en ligne : République démocratique du Congo

via Communauté des paroisses du Littoral Ouest http://ift.tt/2wNWSjU

#Plerin #Pordic #22 #Communauté des paroisses du Littoral Ouest

0 notes

sorry-lola-blog · 7 years

Text

Perth to Darwin II

(Suite du carnet de route cf. Post précédent) 📍Exmouth (1158km) Nous avons quitté Coral Bay dans la mâtinée pour nous diriger vers Exmouth. La ville est très étendue et il n'y a pas vraiment une "ville" à proprement parlé, mais nous y restons 4 nuits pour profiter des alentours. Le récif corallien se trouvant encore proche, j'en profite pour prendre mon premier cours de surf australien (complètement différent des cours français!) avec Franzi et Jonas, les conditions sont parfaites, ma posture est corrigée et je prend de très belles vagues grâce aux conseils de Tom, l'instructeur. Pendant ce temps, Selina est partie faire de la plongée près du récif et a emprunté ma Go Pro, ce qui fait que j'ai de jolis souvenirs d'une plongée que je n'ai pas faite ! Nous profitons des jours restants pour traîner à la plage, faire une autre randonnée dans le parc national et se remettre des ravages du "goon", un "bon" vin qui vous troue la tête. Au milieu du séjour nous sommes rejoins par Darcy et Anna, un australien et une espagnole, rencontrés à Coral Bay. 📍Tom Price (1465km) Sortie de route, au sens propre comme au figuré. Nous sommes obligés de passer deux nuits dans cette petite ville minière en attendant que Jackie soit réparée et nous en profitons pour passer toute une journée dans l'un des cafés les plus mignons de la ville. 📍Karijini Nous arrivons enfin au Karijini National Park. Le site est absolument magnifique, encore une fois, mais suite aux pluies de la Wet Season, une grande partie des routes et randonnées sont fermées. Les pistes sont recouvertes d'eau, nous décidons de nous arrêter près d'une cascade pour s'y rafraîchir et reprendre la route vers le nord ensuite. 📍Broome (2236km) Nous arrivons enfin à Broome. Initialement l'endroit où je devais quitter mes allemands, je décide finalement de continuer avec eux jusqu'à Darwin (spoiler : plus mauvaise idée depuis le début de mon voyage). Nous y restons quasiment une semaine entière tellement nous nous y sentons bien. La ville n'est pas la plus attractive du territoire, mais l'ambiance qui règne à l'auberge compense tout. Nous y retrouvons Darcy et agrandissons notre équipe aux fils des jours avec Mark, Clint, Mathias, Carmen, Virgile, Marion, Clément, Joris, Nicolas, Chloé et Marion (je crois que je n'ai oublié personne). Nous passons nos journées à l'auberge, dans la piscine, le temps étant extrêmement poisseux et humide, à l'exception d'une sortie de groupe pour aller à la pêche aux crabes (oui oui), sans succès. La semaine passe à une vitesse folle et nous sommes arrivés à temps pour fêter Australia Day. Même principe que le 14 juillet, mais ici les australiens mettent la barre au dessus en commençant à boire dès le matin, nous sommes donc tous saouls en milieu d'après midi et le soir bien sur nous avons droit au traditionnel barbecue. Les jours suivants se passent sous une pluie diluvienne, un cyclone est prévu pour notre jour de départ, nous décidons de rester quelques nuits de plus et partons pour Darwin après une nuit blanche et un levé de soleil sur l'océan. 📍Darwin (arrivée : 4040km parcourus) Ça fait presque un mois que je suis sur la route et me voici arrivée à la dernière étape. Franzi, Selina et moi décidons de continuer notre voyage toutes les trois tandis que Jonas continue sa route. Nous passons quelques jours à Darwin durant lesquels le temps pluvieux ne nous permet pas de sortir, nous restons enfermées dans notre chambre la plupart du temps, ce qui me rend nostalgique de Broome. Enfin, Selina et moi décidons d'aller faire un tour à la ferme de crocodiles en plein centre ville et nous y passons une après midi incroyable. C'est la première fois de ma vie que je peux littéralement toucher et câliner un serpent et nous prenons des photos de groupe avec un bébé crocodile, je ressors de là comme un enfant qu'on amène à Disney. Avant de partir, je visite un peu la ville avant que la pluie ne reprenne et m'envole pour Cairns le soir même. Mon carnet de route s'achève ici, si un jour vous passez en Australie et que vous voulez faire ce voyage n'hésitez pas à prendre les repères (j'ai les adresses dans mon carnet si besoin). Note : Avant de faire ce road-trip je pensais prendre un billet aller-simple pour Broome, mais l'une de mes hôtes AirBnb m'a convaincu de prendre la route car elle l'avait fait quelques années auparavant et en garde des souvenirs fabuleux. Je lui serais éternellement reconnaissante de m'en avoir convaincu, c'était une expérience extraordinaire et je serais passée à côté de quelque chose si j'avais seulement suivi mon idée. Maintenant j'ai de merveilleux souvenirs et j'ai pu rencontrer des personnes formidables que je n'aurais pas connu autrement. Cheers mates !

0 notes