Tumgik
#dom juan ou le festin de pierre
cy-lindric · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media
Halt, Don Juan ; yesterday you gave your word that you would come dine with me.
2K notes · View notes
774 · 2 months
Quote
起源は17世紀後半にコメディ・イタリアンにて公開されたDom Juan ou le Festin de pierreに登場するキャラクターである。当時のピエロの性格は今とは異なり、純粋で鈍感な農民であった。その後もいろいろな作品で登場していくうち、今のピエロのイメージに近くなっていった。名前の由来はイタリア人男性の名前であるPierreがPierrotに変化したものである。したがって女性のピエロは存在しない。真っ白な顔に大きなボタンが付いたゆったりとした白いブラウスと幅広の白いパンタロンを着ている。黒い涙のようなメイクをしていたり、フリルの付いた襟や帽子や円錐の形をした帽子をかぶっていることもある。日本ではピエロとクラウンを混同している人が殆どだが、大きな間違いである。
道化師 - Wikipedia
0 notes
jaimelire-france · 8 months
Text
Tumblr media
Dom Juan ou Le Festin de pierre est une comédie en cinq actes et en prose du dramaturge, comédien et poète français Molière.
0 notes
journaljunkpage · 5 years
Text
LE COLOSSE A DES PIEDS D’ARGILE
Tumblr media
Jeanne QHEHEILLARD / Répétition, vue générale - © Tristan Jeanne-Valès 
DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE 
Au Théâtre de l’Union, pas de décor en carton-pâte pour le classique de Molière. Stéphane Blanquet et Jean Lambert-wild ont conçu la scénographie en intégrant des savoir-faire du Limousin.
Malgré les lieux multiples de l’intrigue, les scènes se tiennent dans un même décor. En fond d’une bâtisse en ruine, une tapisserie d’Aubusson monumentale est envahie d’un motif organique foisonnant où plantes et animaux fantastiques se côtoient. Cette enveloppe absorbe acteurs et musiciens.
Par contraste, des éléments en porcelaine font entrevoir la fragilité du mythe. Les marches d’un escalier hélicoïdal en porcelaine donnent une note ostensiblement précieuse par leur prise de lumière et la précaution qu’elles supposent.
Idem pour les chaussons en porcelaine de Dom Juan, qui selon les termes de Jean Lambert-wild, porteur du rôle, relèvent d’une « folie poétique et d’un ravissement ». Le destin tragicomique de Dom Juan se joue avec ce décor où toute enveloppe a un revers et l’absorption un risque d’étouffement.
La générosité et l’opiniâtreté des industriels et des artisans apportent des solutions remarquables. L’entreprise Néolice1, dotée du seul métier à tisser numérique de type Jacquard à Aubusson, a fourni six mois de travail pour réaliser des pendrillons de 7 m de long, soit 280 m2 de tapisserie. Pour convertir les couleurs en points de tissage, Marion Barbier, designer textile, a encodé aux dimensions du métier un dessin en A4 (image HD de 256 couleurs) de Stéphane Blanquet. Elle a procédé à une réduction en 8 couleurs, pour une définition basse de 6,3 fils au cm (= 6,3 pixels au cm). Cette démarche vise l’économie de matière et de temps, une tapisserie moins épaisse et moins raide, un tissage plus facile et plus rapide. La magnificence du dessin est conservée grâce au mélange fil à fil pour les variations colorées.
L’habillage de l’escalier a nécessité des ajustements exigeants pour l’usine Porcelaines de la fabrique. La perfection des formes trapézoïdales fait oublier la complexité d’une réalisation soumise aux rétractations de cuisson. Christian Couty2 réitère sa collaboration avec le Théâtre de l’Union en réalisant les chaussures de Dom Juan3. Finement décorées, matelassées à l’intérieur, elles sont moulées aux pieds de l’acteur. Elles contraignent à une gestuelle tendue et souple à la fois où malgré la liberté affichée, la démarche de l’impénitent séducteur se fait attentive.
Cette alliance d’entreprises contemporaines aux savoir-faire ancestraux enrichit le territoire où elles agissent. En artisan du théâtre comme « art du présent en prise avec la mémoire », Jean Lambert-wild y voit une histoire commune de transmission. « Chaque matin se remettre à l’ouvrage, se nourrir de la tradition pour innover et transmettre.
1. Entreprise Néolice à Felletin (23500), dirigée par M. et Mme Creissen. Tapisserie réalisée par Francis Semouiller et Marion Barbier. 
2. Collaboration avec l’artiste porcelainier Christian Couty, Porcelaines de la Fabrique, Esprit Porcelaine et le soutien du Fonds de dotation de l’Union. 
3. Réalisation de l’armure de porcelaine en bleu de four de Richard III pour le spectacle Richard III, Loyaulté me lie, Théâtre de l’Union, janvier 2016. 
Dom Juan ou le Festin de pierre, direction Jean Lambert-wild et Lorenzo Malaguerra, du mardi 19 au vendredi 29 mars, 20 h, sauf les 21, 22 et 28/03, à 19 h ; le 23/03, à 17 h ; les 26 et 29/03, à 14 h, Théâtre de l’Union – Centre dramatique national du Limousin, Limoges (87000). www.theatre-union.fr
du mardi 2 au vendredi 5 avril, 20 h 30, sauf les 3 et 4/04, à 19 h 30, La Coupe d’or, Rochefort (17300). www.theatre-coupedor.com
0 notes
emsylcatac · 3 years
Note
hi! i'm writing a fanfic where the love square bonds over their shared interest in classic literature but i don't know what is considered 'classic' in france. are they the same as english classics, just translated? or are they historical french literature only?
Hiyaa!
When we study books in French classic literature, we indeed mostly learn about what's considered "classic" and a key work in France.
It happens that we'll learn of some translated ones from the most famous ones in English, like some book plays from Shakespeare (I know I studied "Romeo & Juliette"), but it'll mostly be the French ones!
A few French authors we'll likely read from that come to mind:
Victor Hugo (particularly, "Les Misérables" is one almost everyone studies at some point in their French class)
Émile Zola (I know I studied "Germinal" but there are other books, it depends what the French teacher want to study)
Molière - it's the French author we all study at some point for plays (some famous ones are "Le Tartuffe", "Le Malade Imaginaire" - famous especially cause Molière died very shortly after a representation for which he incarnated the eponym role aka the hypochondriac - , "Dom Juan ou le Festin de Pierre", etc).
Edmond Rostand (his play "Cyrano de Bergerac" is one of the most famous here)
Jean Racine (pretty famous for plays as well, like "Phèdre" or "Andromaque")
Pierre Corneille ("Le Cid" is one of his most famous plays)
Madame de La Fayette (she wrote "La Princesse de Clève" which I know some study too at school, at least I did)
Voltaire (for instance, "Candide" is pretty famous)
Beaudelaire (for poems, "Les Fleurs du Mal" is a famous collection of poems from him)
Albert Camus ("L'étranger" or "La Peste" are often studied)
Jean de La Fontaine (really famous for his fables)
Guy de Maupassant (he wrote novels and short stories, some famous ones are "Le Horla" which belongs to the fantastic and psychologic register, pretty new for the time, or "Bel-Ami")
There are a lot more obviously but I gave you a few to work with in no particular order, I just wrote them as they came to mind ahaha!
Hope this answers your question and helps!! 😄
90 notes · View notes
sagadhistoire · 2 years
Text
L’Atlas Molière de Clara DEALBERTO, Jules GRANDIN et Christophe SCHUWEY
Tumblr media
Résumé : Une incroyable somme d’informations présentée de manière ludique et accessible à tous.
Avec 150 cartes et infographies, cet atlas est une encyclopédie visuelle sur la vie, l’œuvre et l’époque de Molière. Les auteurs sont allés au-delà de la figure du saltimbanque mélancolique qui s’est imposée dans notre imaginaire collectif. Ils nous font découvrir un Molière entrepreneur de génie, un publicitaire en avance sur son temps, un créateur de spectacles extraordinaires.
En textes et en images, ce livre nous permet de revisiter nos classiques de manière vivante et décomplexée : Les Précieuses ridicules, Tartuffe, Le Misanthrope, L’Avare, Le Bourgeois gentilhomme, Psyché, Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes ou encore Le Malade imaginaire… Parce qu’un dessin vaut parfois mieux qu’un long discours.
Le plus grand dramaturge français comme vous ne l’avez jamais vu !
Paru aux Editions les Arènes le 13 janvier 2022. Lien vers le site de l’éditeur et mon avis dessus est à dérouler en-dessous ! :D
Mon avis : Molière… Personnellement, le souvenir que j’en ai gardé, c’est l’adaptation télévisuelle avec Louis de Funès de l’Avare. Je pense que Louis de Funès a clairement aidé à ce que je me souvienne un tout petit peu de la pièce. J’ai étudié Dom Juan ou le festin de pierre au lycée et honnêtement… Je serais bien incapable de me souvenir de quoi il en retourne. Quant à la biographie de Molière, je reconnais que c’est aussi flou. Autant dire que j’ai apprécié qu’on rentre dans une année de célébration le concernant. L’un des avantages des célébrations est qu’on se retrouve inondé de créations par rapport à lui. On a clairement de tout et il faut savoir fouiller pour trouver son bonheur. C’est par le biais de twitter que j’ai vu passé l’annonce de la sortie de l’Atlas Molière. En effet, j’avais suivi de loin le projet autour du bébégraphe de Jules GRANDIN et de Clara DEALBERTO. J’avais plutôt bien aimé ce projet, aussi, quand j’ai vu qu’ils sortaient un livre d’infographie sur Molière… Pourquoi pas ? Cela me changera de ce que je peux lire habituellement en ce moment.
 Déjà, ce qui m’a plu rien qu’en achetant le livre, c’est que ce n’est pas une simple biographie mais une infographie. Certes, on retrouve les grandes caractéristiques d’une biographie (chronologie des évènements, une remise dans le contexte…). Mais, vu que c’est une infographie, on va mettre en scène les chiffres de manière à ce que ce soit compréhensible. Et là, on peut clairement dire que c’est l’une des forces du livre. Les infographies ne sont pas simplement des illustrations pour rendre la lecture plus digeste car les images sont jolies. Non, les infographies remplissent parfaitement leur rôle car elles sont à elles seules bien souvent plus parlantes que des pages d’analyses chiffrés. Certes, un chiffre reste un chiffre mais celui-ci devient tellement plus parlant lorsqu’il dépasse l’échelle de la représentation graphique pour finir sous le texte. C’est également aussi plus parlant de pointer sur une carte les lieux pour se faire des représentations graphiques. Je pourrais multiplier les exemples par rapport à ses diverses représentations car il y en a énormément. (Mention spéciale au graphique sur les ambitions des auteurs pour l’Atlas Molière en page 13 qui m’a énormément fait sourire !)
 L’un des autres points forts de l’ouvrage est le travail scientifique de SCHUWEY. Christophe SCHUWEY enseigne la littérature française à l’université de YALE et un spécialiste de l’époque de Molière. Si l’ouvrage mentionne des éléments assez courants sur l’époque de la seconde moitié du XVIIe siècle et de la vie de Molière, j’ai été agréablement surprise de lire des éléments peu courants dans l’historiographie française du XVIIe siècle. Je ne prétends pas tout connaître de l’historiographie du XVIIe siècle surtout côté Louis XIV (je suis groupie de Gaston d’Orléans après tout). En revanche, Louis XIV est une figure plus ou moins incontournable des programmes scolaires (et pas que). De ce que j’ai pu lire, les auteurs français sont bien souvent sur des visions quasiment uniquement franco-françaises. Ca se traduit par exemple dans le fait que « Louis XIV est le plus grand roi du monde », « Louis XIV est le plus [INSERER UN SUPERLATIF] », Stéphane Bern qui passe par là pour raconter l’histoire de la fistule anale de ce cher Louis XIV qui finit en God Save The Queen (oui, c’est facile, je sais…). Là, dans l’Atlas Molière, on n’hésite pas par exemple à resituer Louis XIV dans le contexte mondial (et c’est pas grand-chose contrairement à ce que la propagande royale veut faire croire). Ce genre de vision à contre-courant de ce qu’on peut entendre dans les médias français, je ne l’ai bien souvent entendu que de la part de lecture anglophone/traduction d’ouvrages anglophones. Je ne dis pas que cela n’existe pas dans la littérature scientifique française (et je suis certaine que cela existe en cherchant un peu) mais celle-ci demeure trop rare dans les ouvrages à destination du grand public. C’est donc quelque peu rafraîchissant de voir ça dans un livre relativement grand public.
 Enfin, l’Atlas Molière sait aussi trouver le bon compromis entre vulgarisation scientifique et ouvrage très érudit. Il est donc tout à fait accessible à celleux qui ne sont pas du tout spécialement au fait du XVIIe siècle comme pour ceux qui en savent deux ou trois choses. Après, cela reste un ouvrage de vulgarisation. Cela implique qu’on pourrait dire que certains éléments ne sont pas forcément assez traités ou qu’on aimerait en avoir plus. Cependant, entre les notes et la bibliographie fournies, il y a suffisamment de pistes pour pouvoir approfondir et devenir incollables sur Molière. :)
 En somme, l’Atlas Molière est un livre que je recommande chaudement surtout dans cette année de célébrations des 400 ans de la célébration de la naissance de l’auteur. D’autant plus que vous risquez comme moi de vouloir relire/revoir les pièces de Molière afin de pouvoir pleinement apprécié les clés de lecture fournis dans l’ouvrage.
3 notes · View notes
hei-ranapologist · 3 years
Text
Silly question I wanted to ask: what's a piece of literature you studied in middle school/high school that you thought was going to be boring, but was actually fascinating?
For me it was "Dom Juan ou le festin de pierre" (i think that the name) by Molière. Just the build up from Dom Juan being a flirty bastard to him being sent to hell after commiting to many offences is honestly awesome.
4 notes · View notes
mescitations · 3 years
Quote
"personne ne saurait se vanter de m'avoir jamais rien appris"
Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière
0 notes
diplm · 4 years
Photo
Tumblr media
Louis Jouvet, « Dom Juan ou le festin de Pierre », 1947
0 notes
Text
“Dom Juan ou le Festin de pierre” de Jean Lambert-wild et Lorenzo Malaguerra d’après le mythe de Don Juan et le Dom Juan de Molière au Théâtre de la Cité Internationale
Tumblr media
L'infernal Paradis...L'intérêt d'un mythe est qu'on peut le réinterpréter à l'infini, le déconstruire pour mieux le refaçonner. Jean-Lambert-wild décide de s'emparer de celui de Don Juan en lui attribuant quelques aspects de son clown blanc récurrent Gramblanc. Ou plutôt en superposant ce dernier au grand séducteur devant l'Eternel, comme par un étonnant morphing dans lequel les deux personnages cohabitent et s'affrontent en une éternelle lutte forcément fatale.
S'appuyant principalement sur le Dom Juan de Molière, Lambert-wild, accompagné de Lorenzo Malaguerra, nous proposent une version déroutante mais non moins intéressante de cet anti-Casanova. Vomissant dès l'ouverture de la pièce, la fin annoncée ressemble ainsi à la fuite en avant d'un homme condamné non par la fureur divine mais par la maladie dévorante.
Tumblr media
(c) Tristan Jeanne-Valès
Lambert-wild suit ainsi sa partition clownesque avec tous ses excès loufoques et grotesques. Dans le sens initial du mot, à savoir ces ornements fantastiques trouvés dans les grottes italiennes. Car l'imposante et remarquable scénographie, réalisée à partir de véritable porcelaine de Limoges et de tapisseries en point numérique d'Aubusson nous offre un espace clos grandiose et merveilleux, une jungle carnavalesque où résonnent les cris d'animaux sauvages et inquiétants. Illustrant ce paysage digne d'un fantasme oscillant entre Fellini et Lynch, où anachronismes et paradoxes s'en donnent à cœur joie, trois musiciens poudrés accompagnent le spectacle à la manière d'une pantomime juchée sur un décor forain de train fantôme prêt à laisser s'agiter ses squelettes démembrés.
Tumblr media
(c) Thierry Laporte
Lambert-wild, dans le rôle titre où il se joue à souhait de l'hypocrisie et de l'ignominie, a eu de plus l'excellente idée de s'accompagner d'une Sganarelle féminine : Yaya Mbilé Bitang, dans son accoutrement rappelant l'Orfeu negro de Marcel Camus, installe, habite et renouvelle la vision de l'éternel serviteur spolié de ses gages. Sa présence rayonnante auprès de son « abominable maître » est un pur plaisir qui nous séduit et nous ravit tout au long de la pièce. La participation enfin, pour les autres personnages, de jeunes comédien.n.es de l'Ecole Supérieure Professionnelle de Théâtre maintient et accentue cette vision de nouveauté et de dynamisme pour un texte tant de fois joué.
Lambert-wild et Malaguerra nous promènent ainsi dans ce que Francis Jammes nommait « la mystérieuse avenue d'un jardin étrangement enchanté ». Mais si celui-ci peut avoir des allures paradisiaques, il n'en reste pas moins pour son personnage principal la porte d'entrée vers un Enfer éternel, un seuil expiatoire où il fanfaronnera jusqu’au bout de sa perte.
« Dom Juan ou le Festin de pierre » de Jean Lambert-wild et Lorenzo Malaguerra d'après le mythe de Don Juan et le Dom Juan de Molière
jusqu'au 15 février 2020 au Théâtre de la Cité Internationale
www.theatredelacite.com
0 notes
alainlesourd-14 · 5 years
Text
Tumblr media
MOLIERE
Les Oeuvres de Monsieur de Molière
Chez Denys Thierry, Claude Barbin et Pierre Trabouillet, à Paris 1682, in-12 (9x16,5cm), (24) 304pp. (4) et 416pp. (4) et 308pp. (4) et 296pp. (4) et 335pp. (mal chiffr. 535) (1) et 195pp. (5) et 261pp. (3) et 312pp., 8 volumes reliés.
Première édition collective complète, en partie originale, et première édition illustrée. Edition originale pour Dom Garcie de Navarre, L'Impromptu de Versailles, Dom Juan ou le Festin de Pierre, Les Amans magnifiques, La comtesse d'Escarbagnas. Elle est illustrée de 30 figures gravées sur cuivre par Jean Sauvé d’après Pierre Brissart, dont 21 hors texte et 9 comprises dans la pagination.
Reliures XIXème en plein maroquin rouge, dos jansénistes à cinq nerfs, date dorée en queue, doubles filets dorés sur les coupes et les coiffes, large dentelle dorée en encadrement des contreplats et plats de papier à la cuve, toutes tranches dorées. Reliure signée Lortic.
"Première édition complète des oeuvres de Molière. Elle fut publiée par le comédien Charles Varlet de La Grange, l'un des plus intimes camarades de Molière et le secrétaire de sa troupe, et un autre de ses amis nommé Vinot. [...] Les éditeurs se servirent, pour faire cette édition, du texte même des manuscrits de Molière, plus ou moins revu et corrigé par lui, soit pour les besoins des représentations, soit pour l'impression. De sorte que le texte de 1682 diffère souvent un peu de celui des éditions originales séparées et de l'édition collective de 1674.  [...] Malgré cela, c'est le texte qui a le plus souvent servi de modèle pour les nombreuses éditions données jusqu'à nos jours." (J. Le Petit, Bibliographie des principales éditions originales). .
Superbe exemplaire de la fameuse édition de 1682 établi dans une très élégante reliure signée de Marcelin Lortic.
https://www.edition-originale.com/fr/livres-anciens-1455-1820/editions-originales/moliere-les-oeuvres-de-monsieur-de-moliere-1682-54099
0 notes
sauvesparlekong · 7 years
Photo
Tumblr media
« Mais quel est le superbe édifice que je vois entre ces arbres ? - Vous ne le savez pas ? - Non, vraiment. - Bon! c'est le tombeau que le Commandeur faisait faire lorsque vous le tuâtes. - Ah! tu as raison. Je ne savais pas que c'était de ce côté-ci qu'il était. Tout le monde m'a dit des merveilles de cet ouvrage, aussi bien que de la statue du Commandeur, et j'ai envie de l'aller voir » Dom Juan ou le Festin de Pierre - Molière (1665) #sauvesparlekong #sauvesparlapoesie #sauvesparletheatre #moliere #molierehongkong #livrestagram #statue #statueducommandeur (à Central District, Hong Kong)
1 note · View note
Text
Dom Juan ou le Festin de Pierre
Dom Juan ou le Festin de Pierre
View On WordPress
0 notes
journaljunkpage · 5 years
Text
Sommaire
4 EN BREF
12 MUSIQUES BLA NEF TUNNG JAAKKO EINO KALEVI CHRISTIAN OLIVIER RUFUS WAINWRIGHT SIDÉRAL PSYCH FEST BORDEAUX LAS HERMANAS CARONNI SUNN O))) DB CLIFFORD FESTIVAL NOUVELLE(S) SCÈNE(S) BERTRAND BELIN
20 EXPOSITIONS DANS L’INTIMITÉ DE ROGER BISSIÈRE ARCHITECTURE DU BAUHAUS CLAIRE FONTAINE BABETTE MANGOLTE—SPACES TO SEE LISIÈRES LA PARADE MODERNE, CLÉDAT & PETITPIERRE ANETTE LENZ DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE À PLAT L’HORIZON, BENOÎT GÉHANNE
34 SCÈNES PIÈCE D’ACTUALITÉ N°9-DÉSOBÉIR L’AUTRE RIVE BERLIN SEQUENZ WE WERE THE FUTURE PERIPÉ’CIRQUE UN PAYS DANS LE CIEL FISH MIND#4 LOUIS LUBAT RÉDA SIDDIKI FESTIVALS DE DANSE EN NOUVELLE-AQUITAINE
42 LITTÉRATURE
44 JEUNE PUBLIC
48 GASTRONOMIE JEAN-LUC ROCHA
2 notes · View notes
Video
Extrait Dom Juan ou le Festin de Pierre avec Michel Piccoli (2)
RIP Michel Piccoli
0 notes
kokiyaj · 5 years
Text
_Dom Juan_ de Molière...
Dom Juan de Molière
La première fois que j'ai dû le lire, je ne sais pas quand c'était. La première fois que je l'ai lu, je ne le sais pas davantage. Je suis pourtant sûre que ces dates ne coïncident pas. Mais plus on t'en parle, plus il va t'attirer. Surtout avec quelqu'un qui t'en parle avec passion. Mais si quelqu'un t'en parle sans passion, alors passionne-toi sans cette personne.
"- Ouiii... non mais Molière, c'est vieux ; ça vaut pas la peine de lire Dom Juan ! C'est juste au programme des collèges et lycées, pfff... Allez, viens : on va jouer aux bornes d'arcade ! " Soit, regardez plutôt Le Festin de Pierre (oui, c'est la même œuvre, c'est là qu'est l'astuce, tout était dans le sous-titre méconnu de cette œuvre de Jean-Baptiste Poquelin), regardez-le à plusieurs âges, vous ne verrez pas la même chose : un final pour le moins étrange, qui m'avait terriblement déçue quand je l'avais découvert, deviendra un final surprenamment intelligent plusieurs années après, après avoir dû subir des cours, des analyses, et des explications sur Molière et son temps. Un classique, à voir, et surtout à revoir un temps après; je pense que certaines choses vous auront échappé si vous ne l'avez lu -ou vu!- qu'une fois.
Je vous l'accorde, ce n'est pas une œuvre que je verrais quotidiennement ni hebdomadairement. À revoir néanmoins.
-- ©Odile Jeanmougin, 2019
0 notes