Bougie parfumée "Le Pouvoir des Trois" sur le thème de la sorcellerie, en référence à l'une de mes séries préférées qui a bercé mon enfance. 🔮✨
La couleur violette représente ici le pouvoir, l'intuition et la divination. Elle est décorée de pétales de rose séchées, de fleurs de lavande séchées, de chips d'améthyste ainsi que paillettes colorées et holographiques. Au centre des trois mèches repose un charm représentant une Triquetra, symbole mythique du fameux livre des ombres que vous pourrez réutiliser en tant que pendentif, décoration pour vos spell jars ou encore comme talisman.
La bougie dégage un parfum subtil, fruité et envoûtant à la fois... à l'image d'une balade magique en forêt : idéal pour se mettre dans la peau de votre witch intérieure! 🌙
✦ Cire 100% naturelle, biodégradable, végétalienne et et cruelty free.
✦ Parfum 100% Français, provenant de la ville de Grasse. Sans CMR et sans phtalates.
Note de tête : Fruit rouge.
Note de cœur : Jasmin, Framboise.
Note de fond : Santal.
✦ Dimensions : Bougie de 120 ml, soit 80 grammes de cire.
Contenant réutilisable en fer laqué black gold à l’extérieur : diamètre 6,5 cm x hauteur 4,5 cm.
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Bougie parfumée "Indomptable Médusa" en référence à la célèbre gorgone de la mythologie grecque, dont l'étymologie signifie "celle qui protège" et que j'ai toujours adoré. ✨🐍
La couleur verte représente ici le renouveau, le succès et la guérison. Elle est décorée de mauve noire séchée, de feuilles de myrte séchées, de chips d'aventurine ainsi que de paillettes dorées et colorées. Au centre des deux mèches repose un charm représentant un serpent, symbole mythique de Méduse et de sa chevelure magique que vous pourrez réutiliser en tant que pendentif, décoration pour vos spell jars ou encore comme talisman.
La bougie dégage un parfum magique, ténébreux et envoûtant à la fois... à l'image de ce personnage mythique et complexe, dont l'histoire est aussi passionnante que glaçante. D'abord victime, puis bourreau selon la légende, elle représente la force... la féminité, le côté sombre et sauvage qui sommeille en nous et qui nous pousse à faire face, à se relever et à continuer le combat. 🌙
✦ Cire 100% naturelle, biodégradable, végétalienne et et cruelty free.
✦ Parfum 100% Français, provenant de la ville de Grasse. Sans CMR et sans phtalates.
Note de tête : Camphre, Adehyde.
Note de cœur : Jasmin.
Note de fond : Miel.
✦ Dimensions : Bougie de 120 ml, soit 80 grammes de cire.
Contenant réutilisable en fer laqué black gold à l’extérieur : diamètre 6,5 cm x hauteur 4,5 cm.
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Je veux juste te voir danser sous la pluie violette
Quitter Paris ou ne pas quitter Paris, telle est la question.
Beaucoup se la posent. A vrai dire la plupart des parisiens que je fréquente et avec qui j’aborde le sujet. Pour ma part j’y reviens régulièrement depuis plusieurs années. Je me sens l’envie de filer sans y arriver vraiment. Il faut dire que j’entretiens avec cette ville une relation pas très saine, du genre Je t’aime moi non plus et je pense que je ne suis pas la seule. Tantôt je m’intoxique avec son énergie, l’infini des possibilités, la foule et les sirènes d’ambulances qu’on entend jusque dans les films tournés dans des appartements mal insonorisés. Je me dis qu’il n’y a qu’elle. Tantôt je suffoque, je la hais et je me sens vidée après la moindre promenade dans des rues trop étroites, trop grises, où se côtoient sans se parler la misère la plus sinistre et l’opulence la plus criante.
J’ai battu son pavé pendant des années, voire des décennies, ravie, et à l’époque je n’aurais jamais imaginé pouvoir un jour être tentée par la perspective de voir la mer depuis la fenêtre de ma résidence principale ou entendre les rossignols chanter dans un jardin au petit matin. Les pigeons et les rats suffisaient largement. Est-ce moi qui ai vieilli ou la ville qui a changé ?
Je n’ai pas de réponse à cette question, mais quand on envisage de quitter Paris, une autre émerge rapidement : partir pour aller où ?
Un jour quelqu’un m’a dit « Où que j’aille, j’ai l’impression que j’y serais mieux qu’à Paris ». Certes, mais tout de même. Il y a un certain nombre de paramètres à prendre en compte : le travail, la distance avec ses amis et sa famille, le niveau d’urbanité, la vie culturelle, les orientations politiques aussi. Hier Alessandro me disait être attiré par le Nord de la France mais refroidi par les résultats du RN très élevés lors des dernières élections.
Il y a un autre paramètre qui n’est pas facilitant, c’est faire ce choix quand on est seul.e. Je m’explique : passé l’âge des études, d’Erasmus ou des premiers boulots dans lesquels il est facile de faire des rencontres, s’installer seul.e dans un nouveau territoire peut s’avérer compliqué sur le plan social. Franchir le pas quand on est célibataire, à l’âge où il devient urgent de se poser pour « construire », peut carrément paraître comme une prise de risque qui pourrait s’avérer fatale.
Après tout Paris, c’est plus de 2 millions d’habitants, rien qu’intramuros, donc grosso modo si je rajoute la banlieue, que je divise par deux, que je soustrais 40%, que je fais plouf plouf, je dirais qu’il y a minimum plusieurs dizaines de milliers de personnes parmi lesquelles on peut aller piocher pour dessiner son tableau de vie idéale.
Si on décide d’aller s’installer à Guéret en Creuse, qui ne compte que 15 000 habitants, ça devient tout de suite plus compliqué. Pourtant le nombre de rossignols au kilomètre carré y est nettement plus important.
Quand j’y pense parfois, je ressens comme une injustice. Puis je m’imagine l’enjeu que représenterait une installation en couple dans une ville où on ne connaît personne, avec le risque d’un repli sur soi qui nous remettrait presque dans une situation de confinement. Quand j’en parle avec mes amis qui ont des enfants et qui comme moi étouffent à Paris, ils me sensibilisent à un paramètre auquel je ne pensais même pas, le déracinement des enfants de leur vie scolaire et amicale.
Conclusion : quitter Paris, c’est dur pour tout le monde.
Ayant tout de même envie de tenter l’aventure mais me trouvant face à un dilemme que je ne parvenais pas à résoudre seule, j’ai dû faire appel à un soutien extérieur, une nouvelle méthode d’aide à la décision.
Utiliser mon oracle du Cercle des femmes ? Non.
Du coaching ? Non plus.
Pile ou face ? Oh quand même, c’est sérieux comme sujet !
Pour me décider à quitter Paris, j’ai utilisé la Théorie des couleurs.
Pour comprendre comment j’en suis arrivée là, il faut remonter quelques mois en arrière. Comme je l’ai dit, cela fait depuis plusieurs années, je dirais quelques mois avant le COVID, que je me pose la question de quitter la ville lumière. J’ai des destinations en tête, Bordeaux, Lille, Barcelone, le Portugal … et puis Vincent débarque dans mon cœur avec son projet marseillais qui me paraît pas mal du tout. Pendant quelques temps j’essaie de m’y projeter malgré les confinements, les couvre-feux et les déboires de couple.
Quand notre histoire prend l’eau, je me reconcentre sur l’Ile de France et envisage de franchir la petite ceinture pour aller palper un peu de verdure vers Les Lilas ou Romainville. Mais Vincent revient dans le tableau et Marseille aussi. Finalement, quand nous faisons le constat que notre relation fonctionne mieux avec une dynamique amicale qu’amoureuse, j’abandonne l’idée de m’installer dans le sud avec lui.
Les mois passent et je constate que Paris, et maintenant toute sa région, me sortent de plus en plus par les trous de nez, tout comme je constate que j’ai du mal à digérer d’avoir dû abandonner le projet phocéen.
Et un jour, c’est la révélation. Je descends à Marseille pour l’anniversaire de Nelly qui en est originaire et a rejoint le paquebot deux ans avant et alors que nous passons au-dessus de la plage des Catalans, à l’heure du coucher de soleil, je me fige. Je m’y vois. C’est ici que j’ai envie de m’installer.
Une vision, ça inspire et ça motive, mais franchir le cap est une autre affaire. En tout cas pour moi. Je commence d’abord par aller passer un peu de temps à Marseille au cœur de l’hiver pour tester la ville dans les pires conditions. L’expérience est plutôt concluante et pendant mon séjour, je fais des rencontres. Notamment un joueur de basse croisé sur le Cours Julien et avec qui je finis dans une espèce de bar dansant de nuit, clandestin mais pas vraiment clandestin, bref on n’est pas là pour faire le guide de la night marseillaise.
Parmi ses nombreux attributs, ce jeune homme porte un sweat shirt violet et un foulard type flamenco, violet lui aussi. C’est une couleur que l’on voit peu, et encore moins sur un homme. Je ne manque pas de lui souligner et il me répond que c’est sa couleur préférée. Cette information paraît anecdotique mais je la retiens et quand j’en parle à Léa, elle me répond du tac au tac « C’est peut-être un signe … ».
Léa adore la symbolique. Sous-entend-elle que ce sweat violet est porteur d’un message qui m’est adressé ? Si oui, lequel ? La couleur violette contient-elle la réponse à la question : dois-je partir m’installer à Marseille ?
Piquée par la curiosité, je commence mes recherches sur la symbolique du violet. Voici ce que je trouve sur l’article Wikipedia : « le violet est une couleur ambigüe », aïe, on n’est pas aidés.
« Le violet est une couleur fuyante » La fuite ? le départ ? C’est un peu négatif non ?
« Pendant longtemps, la couleur violette fut mal considérée, elle symbolisait la fourberie et la tristesse ». Génial…
« Dans la symbolique occidentale, le violet est associé à la noblesse et à la jalousie ». Là je ne sais plus quoi penser.
« En ésotérisme, c'est la couleur de l'initiation ». Voilà, j’aime mieux. Un départ dans une nouvelle ville c’est une initiation non ?
Cela peut paraître tiré par les cheveux mais quand on se penche sur la théorie des couleurs, on apprend plein de choses passionnantes sur les effets que les couleurs ont sur notre psychisme. Cette approche est utilisée en décoration d’intérieur, en marketing bien sûr, mais aussi pour apporter des soins, c’est ce qu’on appelle la chromothérapie.
A mon retour de Marseille, je sens que je touche la décision du bout des doigts mais que je n’y suis pas encore tout à fait. La trouille, probablement. Alors je me retourne vers les signes de l’univers. Arrivée à la gare de Lyon, je vois que la ligne 14 est fermée. C’est la ligne violette, ça veut dire que je ne dois pas aller à Marseille ? J’arrive près de chez moi, rue Poulet et je prends conscience que la plupart des salons de coiffure africains ont des devantures violettes. Ça veut dire que je dois aller à Marseille ?
Ça dure comme ça pendant quelques jours mais le doute persiste. J’en ai envie mais en suis-je capable ? Déménager toutes mes affaires ne sera-t-il pas trop compliqué ? Et si je me sens seule ? Et si j’ai trop chaud ? Je précise que sur le plan professionnel ce déménagement n’aurait pas un impact trop important, d’où le fait que les questions que je me pose manquent un peu de substance, même si elles me réveillent la nuit.
Deux semaines après mon retour, on me parle d’un appartement à louer à Marseille qui a l’air de cocher pas mal de cases. Le projet commence à se dessiner et je me sens prête à faire le pas.
Mais la confirmation que cette décision est la bonne arrive à un moment où je ne m’y attends pas du tout. Alors que je remonte la rue Poulet, pour la 1150ème fois de ma vie et que j’écoute la playlist Spotify « En boucle », où passent des chansons de tous les styles, que j’ai écoutées à peu près autant de fois, démarre un morceau qui me fige lui aussi. Un accord de guitare doux amer, suivi d’une mélodie qui me donne envie de danser un slow ou de me lancer dans karaoké solo.
« I never meant to cause you any sorrow … I never meant to cause you any pain ». C’est lui, c’est Prince, qui chante une de mes chansons préférées de la vie … et elle s’appelle Purple Rain ! Pluie VIOLETTE.
Mais bien sûr, Léa avait raison, c’était un signe. Un messager bassiste – et j’ai oublié de le dire, fan de funk - qui porte du violet, c’est Prince qui s’est incarné dans ce marseillais pour me dire à moi, rien qu’à moi, de venir m’installer dans cette ville*.
Le pouvoir de la musique, encore et toujours.
Je ne suis pas encore partie mais c’est presque fait et je peux l’affirmer aujourd’hui, la rue Poulet ne me manquera pas.
*Je ne sais pas quels messagers ont prévenu les dizaines de milliers d’autres parisiens qui font comme moi ; si vous en connaissez, demandez-leur.
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