Tumgik
#et fière aussi
luma-az · 8 months
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Des milliers de bouteilles à la mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 30 août 
Thème : au revoir/écrire
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Chaque jour, elle allait jeter une bouteille à la mer. Une bouteille en verre, soigneusement scellée, contenant une feuille de papier chargée de mots.
Personne n’était censé les lire.
Ecrire, pour elle, c’était une décharge. Un moyen de se défouler, de se sortir de la tête des idées qui y trainaient trop, des pensées qui sentaient le rance, des rancunes et des regrets. C’était aussi un moyen de parler sans être interrompue. Et même si au final elle les destinait au grand large, elle se sentait écoutée, en écrivant ses messages, comme jamais elle ne l’était dans sa vie de tous les jours.
Au quotidien, c’était une gentille fille. Toujours positive. Toujours prête à aider. Un soutien, une oreille, une main secourable, un pilier.
Et elle aimait ça. Elle n’avait pas envie de le gâcher. Elle parlait, oui, et elle était même sincère, parfois. Mais elle ne disait jamais tout. Le reste, elle le gardait pour elle, dans un coin de sa tête, au fond de son cœur, elle le ruminait, le ressassait, avant de le régurgiter sur la feuille. L’acte d’écrire lui a toujours paru salutaire, jamais élégant. Peu importe. Les vagues ne s’en sont jamais plaintes.
Aujourd’hui, elle n’a écrit que deux mots sur sa feuille : Au revoir.
Je sais que personne n’était censé lire. Sauf que depuis tout ce temps, moi j’ai lu. Et j’hésite. J’angoisse. Que faire ? En réalité, je n’ai aucune idée de ce qu’elle compte faire, de ce que veulent vraiment dire ces mots. Sauf qu’au fond de moi, après avoir dévoré tous ses messages, je sais très bien ce qu’ils veulent dire. Je sais ce que voulait dire le geste, depuis le début, de jeter une bouteille à la mer. Ça a toujours été un appel à l’aide désespéré.
Ça me terrifie, mais j’ai pris ma décision. Tant pis pour elle, je suis trop inquiet pour ne pas m’en mêler.
Par contre, me rencontrer risque de lui faire un sacré choc.
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guesswhogotaname · 1 year
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Here we go again... 
Ça faisait loooooongtemps l'équipe ! Me revoilà après avoir ouvert un dossier perdu sur le bordel de mon ordi intitulé "FICS" et boum je tombe sur cette pépite hehehe! On est toujours sur cet ✨AU multilanguage kt ✨j'espère que ça va vous plaire, n'hésitez pas à partager vos idées et vos critiques ! 🤟 Voilà, kiffez bien votre lecture les djeunes !
Le jour qu'elle avait tant attendu arrivait enfin.
Son cœur battait à la chamade dans sa poitrine, tout le monde la regardait s’avancer vers l’autel. Elle souriait, ravie, impatiente, nerveuse. Tous les représentants des terres celtes étaient venus en Carmélide pour son mariage ; elle était épiée, chaque geste, chaque pas étaient méticuleusement observés, détailler. Elle n’était pas belle, elle le savait, mais elle se sentait fière. Fière d'être la digne fille de sa mère et de son père ; celle qu'on avait choisi pour l'Élu des Dieux. En silence elle leur adressa une prière ancienne, espérant être à la hauteur de ce qu'on attendait d'elle. Son fiancé était là, habillé d’une tunique bleu ciel, la couronne de fleur posée sur sa tête, son air bougon, agacé, ses cheveux noirs, coupé court, tellement différent des hommes d’ici. 
Elle arriva à sa hauteur, mais n’osa pas rencontrer son regard. C'était encore un geste trop démesuré pour elle. Devant eux, le prêtre s’avança, vêtu d’une longue robe sombre, et d’une lourde croix pendant à son cou. Il avait un calice doré entre ses mains. 
« Au commencement, le Seigneur Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Il prononça lentement, pesant contre sa langue le poids de ses mots. 
Ghenifar ne connaissait pas les rites ou les coutumes des chrétiens. Sa mère crachait sur leur pratiques barbare et austère. Son père n’en pensait pas mieux. Son enfance avait été bercée de contes et de légendes ; des Dieux puissants qui se transformaient en rivières ou en forêt, des géants qui siégeaient au sommet des plus hautes montagnes, et qui observaient les Hommes avec compassion et une certaine forme de sévérité. Créatures omniprésentes, toujours parmi eux, témoins silencieux. Ils étaient impétueux et sa famille lui avait appris à craindre la foudre, à lire les signes des sécheresses, les corbeaux morts qui annoncent la peste, les hivers trop rudes qui présagent la guerre. Elle obéissait aux croyances de sa mère et de son peuple. 
Le prêtre continuait son sermon dans cette langue bizarre, aux sonorités écorchées, aigües ; la dévotion dans ses paroles et dans ses yeux rendait son discours presque touchant. 
Ghenifar s’agita, inconfortable ; elle tritura nerveusement la manche de sa robe de noce, inquiète de ce que les Dieux pensèrent d’elle. Ils la foudroieraient sur place si elle prêtait un serment à une icône factice. Elle essaya discrètement de faire signe à sa mère qui se tenait à sa gauche. Cette dernière hocha la tête, grande Reine-Guerrière, elle ne fléchira pas devant les envahisseurs et leur idole de bois. Mais aujourd’hui, les Éternels feront exception pour le bien du peuple celte. 
Ghenifar retourna son attention sur la cérémonie. L’homme, qui se fait appeler « Père » par les invités, approcha le verre des lèvres de son époux. Il prit une gorgée, avant un soupir. 
« Le sang du Christ. » Confia le prêtre devant elle, lui tendant la coupe où reposait un breuvage odorant et ocre à l’intérieur. 
Ghenifar ne comprenait pas les mots, mais elle obéit. Les druides de son pays faisaient ça aussi, ils partageaient dans une jatte plate le sang d’un animal sacrifié et ils le buvaient chacun leur tour, subissant la prophétie envoyée. Dans ces croyances, ce n'était pas anodin, le sacrifice d'un être vivant était nécessaire seulement pour mes fêtes importantes ou avant les batailles décisives. Ici, les gens boivent du sang comme d'autres boiraient-ils du vin ou du lait... Les druides ne prenaient jamais part, ils n'avaient pas de chef, ils servaient les Dieux. Pourquoi alors cet homme que tous appelle "Père" est au service du Roi ? Ghenifar eu soudainement une boulé d'angoisse logée au dessus de sa poitrine, le prêtre était peut-être un mauvais présage, il apporte le dieu usurpateur... Mais tout le monde attendait, impatiemment, elle devait faire comme eux.
Elle fut surprise quand elle prit une lampée du liquide âpre qui puait le vinaigre. C’était du vin. Elle ne put retenir une grimace, le goût infect restait sur sa langue et descendait dans sa gorge. Ce n'était pas du sang. Son futur époux l’observa, étonné de sa réaction, mais il eut un demi-sourire amusé. 
Ghenifar ne put s’empêcher de rougir. 
Le prêtre reprit, dans une voix monotone et solennelle. « Vous avez écouté La parole de Dieu qui a révélé aux Hommes le sens de l’amour et du mariage. Vous allez vous engager l’un envers l’autre. » 
Son époux leva les yeux au ciel, marmonna quelque chose entre ses dents, ses iris sombres ne masquant rien de son agacement absolu. « Oui, bon, allez, grouillez-vous, on n’a pas toute la journée… » 
« Je peux pas aller plus vite c’est les codes ! » 
« Vous savez où je les mets vos codes à la con ? » Il menaça, la mâchoire crispée par sa colère contenue.  
Des murmures se propagèrent dans l’assemblée. Outré, le prêtre semblait avoir les yeux qui sortaient de son crâne. Il souffla un « Enfin Sire ! » en faisant un signe de croix sur son cœur. 
Ghenifar restait muette, elle observait la scène sans en saisir le sens. Les coutumes chrétiennes étaient particulières. Dans sa famille, la foi était pratiquée par des chants et des danses. On appelait les Dieux à rejoindre les festivités, les gens voulaient les honorés par des jeux et d’immense banquet. 
Arthrhy se tourna vers elle et enfin leurs yeux se rencontrèrent. Ghenifar resta suspendue à ses lèvres, observant méticuleusement son futur époux prononcé des mots en brittonique pour que tous ici puis comprendre son affection. Tous allaient être témoins du début de la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Elle était si heureuse d’entendre ses vœux, et son cœur s’envolait comme un oiseau libre et fou. 
« Aujourd’hui, Naofa Gwenhwÿfar… » Il n’arriva pas à terminer sa phrase ; les mots avaient pourri sur sa langue et l’odeur amère de la trahison emplissait ses narines. Il la regarda un instant. Elle était d’une beauté attendrissante, presque triste. Elle aussi portait une couronne de fleurs sur ses cheveux bruns, quelques pétales s’étaient perdues dans ses boucles, son visage rond à peine sorti de l’adolescence, ses grands yeux noisette, pétillant d’une joie immense. Elle était trop jeune pour être une épouse, pour être Reine. En déclarant ses vœux d’un mariage éternel et heureux, Arthrhy la condamnait à une vie bien malheureuse. Il avait honte. « Je vous prends pour être ma femme. » Il eut le temps d’une inspiration, les mensonges collaient à sa langue et son palais, il avait l’impression de s’étouffer. La dernière fois qu’il avait prononcé ses mots, c’était par amour et non par devoir. Il trahissait Aconia, et il trahissait cette jeune femme dont il ne connaissait que le nom. Tout les Dieux, anciens et nouveau, devraient le maudirent à l’instant pour son impunité. « Je promets de vous aimer pour le meilleur, pour le pire, dans la maladie ou dans la santé, jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Il termina rapidement son scandaleux mensonge, le cœur serré dans sa poitrine.
Lui qui avait cru être un homme intègre, loyal et juste… Il était comme tous les autres ; avide de pouvoir, ce mariage n’était qu’une passerelle pour affermir son privilège sur le trône de Bretagne. Il n’était qu’un menteur, un lâche. Il n’avait rien de l’étoffe des héros et des rois de légende. Ses poings se serrèrent, et sa mâchoire se crispa. Il aurait voulu hurler de rage, mais il resta droit, digne de l’image que le peuple avait d’un souverain. Son règne commençait et le poids sur ses épaules était déjà incommensurable. 
Le roi Léodagan se racla la gorge, il était légèrement embarrassé. 
« Ma fille ne parle pas brittonique, sire. » 
« Elle peut le dire en sa langue natale, ce n’est pas important. » Répondit le Roi, indifférent. 
Les mots rassurants, mais autoritaires de son père lui parvinrent ; un ordre força le serment hors de sa bouche. C’était à son tour de prononcer les vœux qui l’uniraient à jamais à cet homme. 
Ghenifar était terrorisée, ses lèvres tremblèrent, le sang pulsait dans ses veines à une cadence vertigineuse. Elle n’avait pas la force d’élever les yeux, elle fixa le médaillon de son époux, et elle serrait si fort le bouquet dans ses mains que les fleurs elles-mêmes vacillaient. Ce n'était que des mots, elle les avait apprit par cœur dès son enfance, sa mère lui récitait en coiffant ses cheveux indociles, elle répétait "un jour, ma fille, tu épousera un homme, et tu nous rendra fière." Elle avait vécu avec cette épée au bord de la gorge. Elle était une fille, elle devinerait femme et mère, c'était son devoir. Maintenant, elle devait prouver son héritage de femme. Rendre ses parents fiers, être digne. Elle avait presque envie de pleurer et s'enfuir en courant.
« Tha mi… Tha mi… » Elle regarda ses parents qui lui firent un signe impatient de continuer. « Tha mi a' mionnachadh… » Ghenifar balbutia, effrayée du son de sa propre voix dans le silence respectueux de la cérémonie. Toutes ces hommes et ces femmes qui écoutaient son élocution bancale, incertaine, proférer des paroles sacrées, elle était indigne de ce qu’on lui donnait. Elle devina son visage écarlate, ses joues en feu. Ses yeux se levèrent, acte absurde et maladroit, mais elle vit le regard de son époux, sincère et patient. Quelque chose se dénoua dans ses entrailles, libéra sa gorge, et elle sentit les mots coulés hors de ses lèvres avec sérénité et douceur. 
« ‘S mi-mionnachadh air sith 's air gaol a bhi seasamh. Cridhe gu cridhe 's làmh an làimh. Gus an diugh, gu m’ anail mu dheireadh, cha bhi mi ach leatsa. » Elle lui jura un dévouement éternel avec une conviction troublante, Arthrhy en avait mal au cœur. 
L’épouse qu’on lui avait promise était une âme douce, innocente, charmante. Il regrettait de ne jamais pouvoir l’aimer ni de lui offrir ce qu’elle désirait. 
Le prêtre posa sa paume à plat sur sa croix, sans dissimuler son émotion. C’était un mariage réussi, contrairement au précédent qu’il avait eu le malheur d'officier… 
«Le Créateur dit : Voilà pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » Il déclama à l’assemblée, captive par les Saintes Écritures. «  Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
Des invités applaudirent, des convertis chrétiens, ou des amateurs de belles paroles. La famille de la mariée ne semblait pas autant ravie par ces déclarations. Le Roi de Carmélide maugréait dans sa barbe et tapait du pied. Un païen reste un païen. Les paroles des chrétiens ne valaient rien, et le Roi de Carmélide ne se laisserai pas duper. Il cracha derrière son épaule, ces Dieux à lui maudissaient déjà cette union. Mais pour le pouvoir, il fallait faire des sacrifices, même si c'était sa fille qu'il déposait devant l'autel du jugement. C'était elle qui subirait les conséquences de l'avarice de ses parents...
« Vous pouvez embrasser la mariée. » Le prêtre Blaise frappa dans ses mains joyeusement. 
« Hein ? Quoi ? »  Demandèrent à l’unisson Arthrhy ainsi que le père de l’épousée. 
« Bah, c’est dans le livre, il faut que… »
« Devant tout le monde ? » Le Roi s’exclama, le bout des oreilles rouges, et il essaya de toutes ses forces de ne pas prendre compte du fou rire de Léodagan.
« Bah Sire… C’est pour prouver que votre amour est — »
« Ah non, ne commencez pas ! Bon bah… »
Arthrhy ne savait plus où poser son regard, déconcerté, il marmonna une insulte envers le prêtre, ou Dieu, ou peut-être lui-même. 
Ghenifar tourna la tête vers ses parents, cherchant une réponse auprès d’eux, mais son père se tenait les côtes pour ne pas rire, sa figure transformée par une grimace. Sa mère, avec une discrétion immense, murmura de sorte que tous les invités pouvaient l’entendre « Feumaidh tu pòg ris  ! » Ghenifar était rouge jusqu’à la racine de ses cheveux. 
Arthrhy prit les mains de sa femme dans les siennes. Ce n’était qu’un baiser, rien de bien compliqué. Il avança légèrement son visage vers elle, et il avait l’impression que son cœur tremblait. C’était elle qui franchit la dernière limite, un peu brutalement, leurs bouches se rencontrèrent, comme un choc. Le monde se mit à gronder des hurrahs et autres acclamations des invités. Ghenifar sentait le soleil fondre dans son ventre et l’irradier de lumière et de bonheur. 
Arthrhy s’éloigna rapidement sans considérer celle qui venait de devenir sienne, son visage fermé dans une expression rude. Il gagnait un royaume, un peuple obéissant et soumis à son pouvoir indiscutable. Son destin était lancé, et pourtant il était vaincu. Il avait perdu. 
Elle le suivit du regard, interdite devant l’autel, son bouquet à la main, ses rêves plein les yeux. Elle comprit sa place : aux premières loges du début d’une tragédie. 
Les paroles du prêtre résonnaient dans sa tête comme un avertissement, un oracle ombrageux. Les dés étaient jetés ; elle eut comme un vertige, au fond d'elle-même, elle sombrait. Elle devait enterrer cette enfance candide et son adolescence naïve, pour devenir Autre. Elle s’était liée à un homme, le peuple voulait d’elle la bénédiction de porter ses héritiers, cette figure fidèle et inébranlable aux côtés d’un roi tout puissant. Voilà son rôle, épouse et mère. Un devoir qui lui semblait effroyable, impossible. Le monde comptait sur elle pour accomplir une tâche épouvantable et colossale. Elle prit une profonde inspiration, essayant vainement de calmer les battements hystériques de son cœur. Elle savait ce qui l’attendait désormais. 
La nuit de noces. 
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jezatalks · 11 months
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J'entendais dire que les neuroatypiques s'attirent même sans diag et, c'est vrai. Ça se retrouve dans un de mes groupe de potes.
Moi diag autiste depuis 6 mois, mon compagnon bipolaire depuis 8 mois, mon meilleur pote s'est découvert un TDAH la semaine dernière en plus de dyspraxie, mon ex HPI et troubles anxieux, "l'ami dont je ne veux plus être amie" est probablement HPI (mais il est validiste :))) et pense que mon hypersensibilité peut être supportable au quotidien si je m'entraîne :)))))))))) ), une amie à plein de dys (orthographe/dyslexie/etc) et présente des troubles similaires au TDAH et y a pas assez d'éléments pour le confirmer. Une autre amie a probablement une bipolarité (en cours de débat avec les psys) et... je crois que j'ai fait le tour. C'est pas mal.
Edit: en fait j'ai un autre ami qui a beaucoup de symptômes autiste.
Et j'ai envie de me plaindre du gars dont je veux couper les ponts mais je peux pas totalement = c'est ses profs qui pensent qu'il est HPI (oui, c'est un génie musical sans aucun solfège je l'accorde), MAIS il est du style " C'est bien d'être HPI, ça veut dire que je suis supérieur à la population grace à mon intelligence et facilités, personne peut me comprendre. C'est une chance de l'être. Et puis de toute façon, certes les difficultés sensorielles, je m'entraîne au quotidien pour les supprimer" *continue dans sa lancée en invalidant mon handicap (hypersensibilité) et qu'il comprend pas que non, jamais ça changera chez moi et que si je m'entraîne/me force, ça fera qu'empirer car je suis handicapée*
Bref. Je le hais. Heureusement que je le vois max 72h/an.
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ladamedesames · 2 years
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Être la beta de @lehoedagan et @rarougrougrou j’arrive pas à savoir si ça me régale ou ça me dépite
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dagss · 1 year
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loskiñ, assamblez (ensemble)
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i7traductionfr · 2 years
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Carte d'Anniversaire d'Iori: 16 Idoles Album
Partie 1 / part 2 / part 3 | lien la traduction anglaise
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Partie 1 : 16 Idoles Album
Yamato: Ça a vraiment plu ? L’émission à laquelle on a participé l’autre fois, Bienvenue dans la chambre des enfants ? 
Tsumugi: Oui !! Apparemment, vous étiez tellement adorables que c’est devenu très populaire !
Tsumugi: C’est pourquoi on a décidé de participer à un projet, où les fans pourront entendre vos souvenirs d’enfance, afin d’en apprendre plus sur vos origines. Sur comment vous en êtes arrivés là aujourd'hui !
Iori: Nos origines ?
Riku: Nos origines, trop cool ! Je suppose qu’il y a des programmes de ce genre !!
Mitsuki: Aah ! Le genre de conversation que vous avez avec votre conducteur de taxi. Comme: “Comment vous voyez la vie” ou encore "À quel point vous aimez votre job”, … 
Nagi: Oh ! Les chansons qui passent à la fin de ce genre de programmes sont toujours impressionnantes.
Yamato: C’est le genre de chanson avec lesquelles tu peux que avoir l’air cool, peu importe ce que tu dis. Ça rend les mots plus classes que dans une conversation normale.
Tamaki: Exactement ! J’veux que ces chansons se mettent à jouer la prochaine fois que je mets So-chan en colère !
Sogo: Hein ? Pourquoi ?
Riku: Oh, je vois ce que tu veux dire ! Pour que les mots de Sogo-san résonnent dans ton cœur, grâce au pouvoir de la chanson !
Tamaki: Ça aussi, mais surtout pour que le moment où il me pardonnera résonne encore plus dans mon cœur.
Sogo: Le pouvoir de la musique, c’est vraiment quelque chose…. Il décuple les émotions…
Tamaki: Ouais ! Pourquoi on n’essaierait pas là, tout de suite ? 
Iori: Aah… Manager, s'il vous plaît, poursuivez.
Tsumugi: Oui…
Tsumugi: Cette fois ce ne sera pas un programme spécifique… On aimerait entendre des histoires basées sur vos photos d’enfance.
Tsumugi: Apparemment, Re:vale, Trigger et Zool participeront aussi à ce projet, c’est pour ça que le producteur a dit qu’il voudrait que ce soit comme une grande fête avec seize personnes !
Sogo: Seize personnes… C'est un nombre considérable…
Nagi: C’est le nombre parfait pour une fête !
Mitsuki: Comment on pourrait rendre ça amusant ? Si tout le monde se met à parler en même temps, ça risque d’être le bazar…
Yamato: Ne te focalise pas sur les nombres, Mitsu. On a déjà géré ce genre de situation avant. Et si je me souviens bien, on n’a jamais eu ce genre de problèmes.
Iori: Il a raison, Nii-san. Je veux dire, s’il était question de nous sept…
Riku: Qu’est-ce que je pourrais raconter si je rencontre Toma-san ? Ah, je me demande s’il a vu le film qui est sorti récemment et qui a fait pleurer toute l’Amérique !
Riku: D’ailleurs, pourquoi “toute l’Amérique” est écrit avec le même kanji qu’on utilise pour dire "riz” ? 
Nagi: Hmm, ne dit-on au Japon qu'il y a sept dieux dans chaque grain de riz, et que ces dieux pleurent… Peut-être est-ce la raison ?
Tamaki: Ils sont sept comme nous… Quand je verrai Isumin pour le projet, j’lui dirai qu’on est comme des dieux.
Sogo: Tamaki-kun, tu ne pourrais pas le lui dire quand tu le verras au lycée ? On est supposé parler de nos souvenirs d'enfance dans ce projet.
Iori:… Et voilà.
Mitsuki & Yamato: Ah.
Yamato: Bah, s’ils commencent à parler de tous les sujets de l’univers, tu n’auras qu’à en profiter pour nous montrer un gros Big Bang, Mitsu.
Mitsuki: Je me demande combien d’univers ça donnera… M’enfin, on finira de toute façon par s’amuser, comme c’est toujours le cas !
Yamato: C’est vrai, c’est vrai.
Mitsuki: Ok ! Faisons en sorte de nous amuser autant que possible, tous les seize !
Tout le monde: Ouais !
*On passe dans un café*
Riku: Iori, quand est-ce qu’on est censé être au programme de musique ?
Iori: Dans une heure.
Riku: Oh, parfait ! On a le temps alors ! On peut se prendre un gâteau dans ce café !
Iori: Pardon ? Mais si vous mangez maintenant, vous n’aurez plus de place pour le dîner.
Riku: Steuplait ! J’ai jamais eu l’occasion de manger dans le café d’un studio télé, j’aimerais y aller…
Riku: Regarde le menu ! Tu trouves pas que ce gâteau a l’air délicieux ?
Riku: Ah, il y en a même un au chocolat en forme d’ours !
Iori: Vous avez raison, c’est mign-…*tousse*. J’imagine que si vous vous brossez les dents avant le tournage…
Riku: Trop cool ! Bon, je vais prendre l’ours… Hein ?
Riku: J’ai déjà vu cet ours avant… Ah !!
Iori: Il y a un problème ?
Riku: Je me souviens ! Je l’ai vu sur ta photo ! Il ressemble à l’ours en peluche que tu câlinais sur la photo que tu as apportée dans Bienvenue dans la chambre des enfants.
Iori:… C'est vrai qu’ils se ressemblent… Surtout au niveau des yeux et du nez. Vous êtes observateur, Nanase-san.
Riku: Je sais ! Quand Mitsuki a vu cet ours sur la photo…
Torao: Tu es sûr que tu auras assez de place pour le dîner si tu manges maintenant ?
Torao: Si tu manges, souviens-toi de te brosser les dents.
Haruka: La ferme, tu te prends pour qui ?! Ma grand-mère ?!
Riku: Ah, Haruka-kun ! Mido-san !
Iori: Bonjour.
Haruka: A-ah…. Bonjour…
Torao: Vous êtes en pause, vous aussi ?
Iori: Oui, nous avions du temps avant notre enregistrement.
Riku: On allait justement prendre une table ! Asseyons-nous tous ensemble ! Ah, il y a une table pour quatre de libre, juste là !
Haruka: En fait… On était… Par-là…
Torao: Ah, il semblerait qu’ils veuillent qu’on s’asseye avec eux.
Haruka: Bon… D’accord, mais…
*Écran noir puis les persos réapparaissent*
Riku: Je suis trop content qu’on puisse manger ensemble ! Haruka-kun, tu vas prendre le gâteau en forme d’ours aussi ? Avec Iori, on était justement en train de dire qu’il était mignon…
Iori: A-Attendez…! Je n'ai jamais rien dit de tel ! J’ai juste dit qu’il ressemblait à celui que j’avais quand j’étais petit.
Haruka: En tout cas, je n’allais pas le prendre parce qu’il est mignon ! Je l’ai choisi, uniquement parce que le café le recommande.
Torao: Ah, vraiment ? Pourtant j’ai cru t’entendre dire quelque chose du genre “Wow, trop chou !” quand tu as vu l’image de l’ours, j’ai dû me tromper.
Haruka: J-j’ai pas dit ça !! J’ai jamais dit ça ! J’avais juste envie de chocolat !!!
Iori: Maintenant que vous en parlez, je me souviens que vous aviez l’air enchanté quand vous êtes venus manger du chocolat dans la pâtisserie de mes parents.
Riku: Tu aimes le chocolat ? C’est trop chou.
Haruka: Pas du tout !! Cette fois-là, comme aujourd’hui, j’avais dû beaucoup réfléchir pendant l’enregistrement, donc j’avais besoin de sucre… !!
Torao: T’as autant utilisé tes méninges, aujourd’hui ? Alors que l’émission ne portait que sur des vidéos montrant différents types de chats.
Haruka:… Urg. Tu sais, quand on est aussi intelligent que moi, on cherche à varier les expressions au lieu de se cantonner à “mignon”.
Riku: Incroyable ! Quand je vois des images d’animaux, j’arrive pas à dire autre chose que “trop chou”. Je vais enregistrer le programme et t'utiliser comme référence.
Haruka: C’est bon, pas la peine d’en faire autant !
Iori: Je suis d’accord. J’aurai, moi aussi, l’opportunité d’en apprendre plus sur vous au cours de notre prochain projet.
Haruka: J’ai dit que c’était pas la peine !! Et puis, de quel projet tu parles ?
Torao: Ah, il doit parler de cette émission sur nos origines. Comme celle à laquelle on a participé avant…
Iori: Oui. Il semblerait que les photos qu’on a montrées dans Bienvenue dans la chambre des enfants, ainsi que nos histoires soient devenues très populaires.
Riku: Les photos d’enfance de tout le monde étaient trop choux !
Haruka: Même les personnes les plus inattendues ont eu une enfance normale, apparemment…  
Torao: J’imagine que tu parles de Yuki de Re:vale.
Iori: Si je puis me permettre, on pourrait dire la même chose de vous, Mido-san. L’enfant sur la photo que vous nous avez montrée n’avait rien à voir avec ce que vous êtes aujourd’hui.
Torao: Cette photo date d'avant mon ascension au statut d'homme. 
Riku: Ah, il faut prendre un ascenseur ? 
Torao: Un ascenseur…?
Iori: Ce n’est pas ce que Mido-san voulait dire… Enfin, peu importe, c’est bien ainsi…
Riku: Ah…! Je n’ai pas tout compris, mais j’ai l’impression que tu cherches à me faire passer pour un idiot !
Iori: Ce n’est pas le cas. Je dis juste que c’est bien ainsi, puisque c’est vous. C’était plus un compliment qu’autre chose.
Riku: Un compliment… Aaah. Et dire que, sur ta photo, tu avais l’air si pur et mignon, avec ton regard innocent.
Haruka: Ouais ! J’arrive pas à croire que t’es la même personne que sur la photo. J’aurais parié que tu étais né avec un uniforme scolaire.
Iori: Qu'est-ce que vous racontez ?
Haruka: Je veux dire, le petit Izumi ressemblait à quelqu’un qui aurait du mal à répondre si le prof lui posait une question difficile.
Torao: Ah, comme moi. J’avais souvent des problèmes pendant mes années d’école, puisque mes maîtresses ne me voyaient pas comme un élève.
Riku: Pas de chance Iori ! Tu as ennuyé un professeur !
Iori: Puis-je savoir qui a dit une telle chose ? Ne me mettez pas dans le même panier que Mido-san.
Haruka: Peut-être que tu n’ennuyais pas tes profs, mais t’as certainement dû les surprendre. Je parie que t’étais capable de parler dès la naissance.
Iori: Je ne pense pas. J’étais un bébé ordinaire.
Haruka: T’es sûr ? Tu donnes l’impression d’être quelqu’un qui pouvait directement marcher, et même carrément changer ses couches par lui-même.
Iori: Si un tel super bébé existe, j’aimerais bien le rencontrer.
Riku: Ah bah voilà ! Un super bébé…
Riku:… Oh, en parlant de la photo d’Iori, Mitsuki a dit que cet ours lui rappelait quelque chose de spécial ! De quoi il parlait ?
Torao: Un souvenir spécial ?
Iori:….! Oh, Nii-san s’en souvient….
Riku: Raconte-nous Iori !
Iori: Ah… Nanase-san, il est bientôt l’heure. Il faut qu’on aille rejoindre la salle d’attente.
Riku: Quoi ?! Maintenant !?
Haruka: Mais t’étais sur le point de raconter ton souvenir !
Torao: Tu vas vraiment t’arrêter juste avant de nous dire ? Tu fais exprès…
Riku: S’il te plaît, Iori ! La salle d’attente est juste à côté, on peut rester encore un peu…!
Iori: Non, on ne peut pas, je vous raconterai une fois qu’on sera de retour à la maison.
Riku: Vraiment ?!
Haruka: Eh ! C’est pas juste ! Et nous alors !?
Iori: Eh bien… Puisque que Nii-san a mentionné que ce souvenir était “spécial”, je pourrais songer à le raconter lors de notre prochain projet, à propos de mes origines.
Fin de la partie 1
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lorienn-art · 3 months
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FR [Words we say — Palabras, Kotoba] Heyy Je suis très heureuse de vous présenter ma dernière illustration ! J'avais fait le croquis il y a un moment maintenant et n'ai seulement trouvé le temps de le peindre que cette semaine jsjs Je me suis beaucoup amusée avec ! Je ne recherchais pas vraiment des couleurs réalistes mais plutôt quelque chose qui ressorte bien et qui donnerai une impression de chaleur — j'ai aussi utilisé des médiums différents tels que l'aquarelle, la gouache et les crayons de couleurs (pour une variété de textures funky 😌✨️) Ah et comme vous pouvez le voir, mon art Jotawife est devenu une excuse pour mettre à profit mes quelques notions d'espagnol et de japonais (d'ailleurs désolée pour ma mauvaise calligraphy japonaise, en particulier sur 愛 🫣) Bref, j'espère que vous aimez cette illu autant que moi parce que j'en suis très contente et fière 😌💖 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
EN [Words we say — Palabras, Kotoba] Heyy I'm very happy to present you my last illustration! I had made the sketch quite some time ago now and only found the time to paint it just this week jsjs I had a lot of fun with it! I didn't really seek realistic colours but rather something to pop and to feel warm — I also used different media such as watercolour paint, gouache paint and coloured pencils (for a variety of funky textures 😌✨️) Oh and as you can see, my Jotawife art has become an excuse to use my little notions in Spanish and Japanese lmao (btw sorry for my bad Japanese calligraphy, especially on 愛 🫣) Anyway I hope you like this piece as much as I do because I'm very happy and proud about it 😌💖
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Et puis, un jour, elle fit ce qu’elle aurait dû faire, depuis toujours, depuis le premier jour.
Elle commença à choisir ce qui était bon pour elle, au lieu de se précipiter sur tout ce qui n’était absolument pas pour elle.
Elle écouta sa logique et sa cohérente raison au lieu de discuter des heures avec sa seule intuition. Ou son aveugle passion.
Elle fit l’effort de se reculer pour mieux voir et observer la personne désirée.
Elle mesura les sentiments de l’autre au lieu d’être obsédée par les siens et de les chérir, en son sein.
Elle osa donner moins, voire plus rien. Elle osa même retirer sa main.
Elle se tut devant les silences, elle disparut face aux absences.
Elle ne fit plus l’immense effort de parler pour que ses mots réparent la réalité malmenée.
Elle accepta les vides et les pots cassés.
Elle cessa de se battre pour l’amour, sans insister pour comprendre les silences ou les étranges mots du jour.
Elle cessa de courir après ceux et celles qui ne se manifestaient pas, ne répondaient pas, n’appelaient pas, ne donnaient pas, ne croyaient pas, ne venaient pas, ne voyaient pas, ne voulaient pas, ne faisaient pas confiance, de ceux qui n’étaient pas présents au présent.
Elle cessa de se détruire pour prendre la lune avec ses dents ou décocher le soleil pour ceux qui ne traversaient ni la rue ni la porte. Et que le vent les emporte !
Elle ne s’intéressa plus au vide des cœurs, ni aux désirs sans consistance des gens qui n’entrent jamais dans la danse.
Elle commença à se trouver belle d’être elle, à être fière de ses cicatrices ou de sa crinière.
Elle commença à s’aimer.
Elle commença à aimer ceux qui savaient aussi l’aimer.
Et ça, ça, c’était nouveau.
Nouveau et beau.
Martine SDY BENZAQUEN
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sabinerondissime · 1 month
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Fière de voir mon pays inscrire le droit à l'avortement dans sa constitution. Avorter n'est jamais un plaisir. C'est un choix douloureux qui laisse une trace indélébile dans nos cœurs. Le choix se fait en notre âme et conscience et chaque histoire est différente, chaque raison d'avorter aussi. J'ai eu 4 enfants mais un jour, j'ai décidé d'avorter. J'y pense encore 20 ans après. Mais je suis heureuse d'avoir pu le faire dans de bonnes conditions et de ne pas avoir été vu comme une criminelle à cause de cela.
Alors pour une fois, bravo au parlement pour cette belle entrée dans la constitution française
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chifourmi · 3 months
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Bon je viens de recevoir mes résultats alors que je pensais qu'on les recevait le 30, j'ai rien pigé. Je l'ai su grâce à J qui m'a demandé si j'avais réussi. J'ai fait une descente d'organes puis je me suis précipitée dans mes mails. J'ai "réussi", je suis diplômée.
Mais je ne suis même pas contente. J'ai eu 7/20 en économie sociale, ils m'ont accordé la réussite juste parce que j'ai eu 15,5/20 à l'autre (que j'avais beaucoup moins étudié). J'ai trop la haine contre ce prof, j'ai jamais été aussi assidue à un cours, j'ai jamais autant étudié et je me ramasse un 7?? COMMENT c'est possible de réussir ce cours en fait?? Je ne suis même pas fière de moi à cause de ce putain de cours de merde. Et le pire c'est qu'ils mettent que j'ai eu mon diplôme avec "satisfaction", c'est vraiment nul à chier. Je comprends pas pourquoi ils ont besoin de faire une moyenne à la fin et de mettre un mot qui résume super mal tes années. Ça rend heureux que ceux qui ont une distinction et ils se sentent obligés de le dire partout après. Bref je suis trop énervée je déteste le système scolaire du début à la fin, même le monde du travail c'est nul à chier, on sera jamais tranquille, la vie c'est de la merde bref mdrrrr sinon vous ça va?
(26/01/2024)
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soeurdelune · 8 months
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quand on parle de la commu rp, l'emphase est souvent mise sur les comportements nuls (et c'est normal, y a des trucs qu'il faut pas laisser passer) mais il y a quand même beaucoup de comportements géniaux dont on parle pas assez, déjà la créativité et la gentillesse de certain·e·s, les admins qui font des forums/serveurs/etc. incroyables et offrent l'opportunité de rp dans des contextes extras, puis aussi ces rpgistes ultra chill, ouvert·e·s d'esprit, patient·e·s avec toi et toujours opé pour comploter et faire des bêtises inrp, ou encore ces créateurices qui mettent des ressources, des graphics, des tutos à disposition sans rien demander en échange.
plus le temps passe plus les gens ont tendance à penser le contraire mais en vrai je suis persuadée qu'il y a plus de personnes cools que de personnes mauvaises dans la commu rp alors j'suis fière de faire du rp parmi vous, really ♡♡
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sobillyboy · 30 days
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Dans un mois et demi j'ai 30 ans.
Je m'en sens pas plus vieille, je crois que je m'en rends pas compte et quand j'y réfléchis un peu trop, je crois que je suis contente que les Anouk de 17, 18, 19, 20, 22 et 25 ans ont tenu le coup pour m'amener jusque là. Je suis pas peu fière du chemin parcouru, je suis pas du tout là où je veux être professionnellement mais j'ai tout le reste et finalement c'est pas ça qui compte ?
J'ai absolument rien prévu pour célébrer ça, mais je veux le célébrer d'une façon ou d'une autre, et j'ai demandé à Cyprien de s'en charger. Je pense que ça le stresse énormément, et je m'en veux un peu mais j'ai envie qu'on s'occupe de moi comme une princesse de temps en temps. (Je le traite aussi comme un prince)
Je sais pas si je préfère une soirée avec tous les gens que j'aime ou un week-end en amoureux, et je serai très heureuse avec n'importe lequel des deux.
Si j'ai rien, je fais la gueule jusqu'à mes 35 ans.
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perduedansmatete · 4 months
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2023 merdier sans nom
l'impression de m'être fait rouler dessus, d'avoir été dans un tunnel, j'ai été malade toute l'année, des allergies m'ont pourri la vie quatre mois et mon corps m'a fait si mal mais si mal, j'ai voulu mourir d'avoir si peu de chance et j'ai passé l'année à me dire que je ne tenais plus debout, je suis tombée et tombée par terre je me suis beaucoup fait mal sans faire exprès, peut-être un peu en le faisant exprès, on m'a beaucoup fait mal aussi mais généralement j'ai aimé, sinon j'ai accompli des choses, bosser avec ma bête noire à savoir les enfants et surtout les adolescents non pas une mais deux fois, sous payée la première car service civique, sous payée la deuxième par rapport à ce qu'on me demande car éducation nationale, mais je dois dire que malgré tous les problèmes j'aime plutôt ça, enfin je déteste pas, j'ai repris les études, je ne sais pas trop pourquoi et vers où mais je suis assez fière d'avoir réussi où j'avais échoué l'année dernière à savoir trouver l'énergie pour faire des dossiers, passer des entretiens, les réussir et puis je me sens bien avec les gens de mon master, j'avais très peur de passer les mêmes années qu'en licence mais plus le temps passe plus je crois que je commence à nouer quelques relations dont certaines (une surtout) qui je le pense va être très importante pour moi, si je repense au positif il y a aussi tous les petits les week-end qu'on s'est fait avec mes meilleures amies, pas de vacances ensemble cet été mais ça sera pour l'année prochaine, en parlant d'amies j'ai découvert que je pouvais encore être intensément déçue et blessée par quelqu'un que j'aime depuis toute petite, que ça laisse des traces indélébiles mais d'ici l'été prochain j'imagine que je ne peux que me souhaiter d'aller mieux, d'enfin aller parler à quelqu'un de ce qui m'arrive, ce qui m'est arrivé et de ce qui me bouffe depuis des années, de réussir à entretenir seulement des relations qui me font du bien et qui me rendent heureuse, d'accepter que j'ai le droit d'aller bien, de demander des choses, de poser des limites et qu'on me respecte, puis de ne pas retomber dans des schémas de merde dans lesquels je me mets en danger comme toute cette fin d'année qui ne m'aura pas laissé de répit, pour ça aussi que je ne veux pas rentrer à paris et que je retarde et retarde mon retour à la vie réelle en restant à strasbourg où je me sens (toujours) si bien
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jullbnt · 2 months
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Bonjour bonjour ! Comment vas-tu ?
I would like to know how the idea of ballet zelda come ! I mean this is pretty awesome 😍 but also very original !
(Broken English ? Ik sorry)
Oh bonjour (et merci) ! Je vais très bien et toi ? :D
J’ai envie de faire une réponse bilingue pour une fois ! Il y a aussi une petite explication dans ce post (je suis assez fière du dernier dessin haha).
Dessiner des danseurs classiques est un exercice que j’adore et que je fais régulièrement, ça m’a beaucoup aidée pour m’améliorer en anatomie. Ce type de pose permet à la fois de travailler la musculature et le mouvement, mon but étant d’obtenir un tracé fluide et gracieux/énergique sans trop sacrifier l’exactitude anatomique.
En général quand je fais ça je m’amuse à remplacer les visages des danseurs que j’utilise comme références par ceux de personnages qui me tiennent à cœur. Je l’ai fait avec des OCs mais OoT Link et Zelda y ont eu droit également, et c’est comme ça que l’idée du ballet m’est venue :)
J’ai trouvé que l’univers de Zelda se mariait tellement bien à celui de la danse que j’ai décidé d’en faire une série complète ! Et j’ai encore pas mal d’autres dessins à venir sur le même sujet ;)
Et voilà ! Merci pour la question, ça m'a vraiment fait plaisir !
_______
I felt like answering in French for once, but here's my reply in English! I also gave a little explanation about the origins of my ballet series here (I'm so proud of the last drawing).
Drawing ballet dancers is one of my favorite exercices and helped me get a better grasp of anatomy, I've been doing it for some time. These poses are a great way to practice both drawing beautiful muscles and fluidity (which is perfect for me cause I want flowing movement in my drawings without sacrificing anatomical exactitude).
When I practice like that I like to replace the faces of the dancers I'm drawing with those of characters I love, it makes the whole thing even more enjoyable. I did this with OCs and recently tried it with OoT Link and Zelda in the post I linked above, and that's how the idea of a LoZ ballet series came to me. I thought these two made beautiful dancers and was immediately convinced LoZ and ballet would mix perfectly ;)
There are still a few things I want to do, I'm not done with this ballet thing yet! And I'm so happy people are interested in this idea ^^
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charlywrites · 2 years
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Requested by anon
Request; Hey cutie, can you write one for Pierre gassy or Charles Leclerc where they are teaching you French :)
Warnings; a very short blurb, hope you guys enjoy <3
✩ ✩ ✩ ✩ ✩ ✩
It all started when you asked your boyfriend of three months to teach you a few words in his mother tongue- you already knew a few words that you’d hear Charles say often, but you wanted to be able to tell him a few words in his language.
You already knew French was difficult to learn and speak but for your boyfriend, you were willing to try your best- and with him as your teacher, it would give you another reason to do your best.
Charles was thrilled when you asked him to teach you french, he didn’t mind speaking english as he had gotten used to speak it more than his mother tongue. Even if it was just so you could understand and speak a bit, he felt like a child on christmas’ morning.
He wanted to teach you so much, so you could understand everything and especially, you would be able to understand and be involved in the conversations when his family was around.
The first few times, Charles mostly taught you basic words you might hear and what they meant. It wasn’t easy but seeing his smile when you would pronounce a word perfectly was so worth it.
Because of your work, you hadn’t been able to accompany your boyfriend to his last race, he had been just as disappointed as you were but still, you were incredibly proud of his win.
To make up for it and because you wanted to surprise Charles, you had been looking on Internet to learn a couple of sentences you could tell him and you would be reunited.
It hadn’t been easy, especially since you couldn’t always trust everything you’d read online but if it was right, you knew how happy he would be to hear you speak french.
———
Like most of the times when you couldn’t follow Charles across the world for his races, he would arrive too early in the morning for you to be awake- you didn’t mind, knowing he would join you in bed to finish his night.
A smile spread on your face when you felt a hand laying on your side as you slowly woke up- Charles was still asleep next to you, it was such an incredible feeling to see his face again after a few days, you had missed him a lot.
An idea popped on your mind as you were still waking up, you thought it would be a cute thing to make him his favorite breakfast, and Charles definitely deserved it after winning the Grand Prix the day before.
Just as you were about to leave your boyfriend’s arms to head to the kitchen, you heard him complain and held you closer against his chest.
It was definitely a cute reaction- and it made you smile, but that’s not how you were going to make him his breakfast. In a soft voice, you tried to bribe him into letting you go for a couple of minutes, “ babe, i’m going to make breakfast, you need to let me go.”
“ Never, stay with me in bed.”
“ You’re ruining my idea of making you your favorite breakfast.”
Charles lazily shrugged, still keeping his eyes closed, intending on going back to sleep with you, “ you’ll do it another day, I missed you and want to keep you in my arms.”
“ Fine, let’s go back to sleep. But before,” you were grinning like an idiot, knowing Charles wasn’t going to expect it, “ je suis fière de toi mon amour, et j’ai tellement de chance de t’avoir rencontré. Je t’aime.”
“ Je t’aime aussi,” Charles had been so sleepy that it took him a handful of seconds before realizing, shooting his eyes open all of a sudden, he said, “ wait, what?”
You couldn’t help but giggle at his reaction, “ I’m not sure I said it well, but I learned this while you were away to surprise you.”
“ You didn’t make a mistake, you’re getting good at speaking french already babe. But how did you learn this?”
“ I found some articles online but it’s not as interesting as when you’re teaching me.”
It was your boyfriend’s turn to laugh, “ I hope so! And to answer you, I’m the lucky one for having you as my girlfriend.”
“ And why you would be the lucky one, uh?”
“ My girlfriend wants to learn my mother tongue because she loves me, I don’t think a lot of people would be ready to do that.”
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empiredesimparte · 10 months
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⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 15 Prairial An 230
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Emperor Napoléon V reunites the Cabinet Noir that belonged to his father. It was made up of his uncle, Prince Henri, advisor prince Joachim, officer Jean and Prime Minister Charlemagne. Napoléon V sought intimate information about his future in-laws. Over several weeks of espionage, he learned of the apparent loyalty of Casimir de Mortemart and his daughter, his fiancée Charlotte. She is probably pregnant.
(I've put subtitles back on the images but I'm not really convinced, I'll come back to the tumblr text format a few posts later.)
⚜ Traduction française
L'Empereur Napoléon V réunit le cabinet noir qui appartenait à son père. Il est composé de : son oncle, le prince Henri, le conseiller Joachim, l'officier Jean et le premier ministre, Charlemagne. Napoléon V cherche à obtenir des informations intimes sur sa future belle famille. Grâce à plusieurs semaines d'espionnage, il apprend l'apparente loyauté de Casimir de Mortemart et sa fille, sa fiancée Charlotte. Cette dernière serait probablement enceinte.
Napoléon V : Montrez-moi ce que vous avez trouvé Jean. Jean : Oui Sire. Dans ses messages, Casimir se vante de sa nouvelle position, grâce à sa fille Joachim (rigole) : Le vrai visage de Casimir ! Henri : C'est pour le mieux s'il est de notre côté, même s'il peut causer quelques problèmes à notre image Joachim : Je suis d'accord avec toi Henri. Il a beaucoup d'influence à Paris, plus que la famille impériale. Sa position au Conseil d'Etat peut également être problématique, mais c'est gérable. Jean : Je surveillerai le Duc, Votre Majesté Napoléon V (ennuyé) : Oui... Et qu'y a-t-il dans le téléphone de ma fiancée ? Charlemagne : Votre fiancée est fière de vous, et de vos performances - raisonnablement, bien sûr. Elle discute le plus souvent avec ses cousins et ses amis Henri : Pas de suspicion d'infidélité ou quelque chose comme ça ? Je crois qu'elle fréquentait un certain François il y a un an ou deux Jean : Non, rien de tel, mais Mademoiselle Joachim (le coupe) : Peut-être que ce n'est pas nécessaire d'en parler avant... Jean (le coupe aussi) : Mademoiselle et sa mère pensent qu'elle est enceinte, et vont bientôt rencontrer un docteur. Henri : Au moins, cela prouve que tout est fonctionnel de ce que côté là Napoléon V : Mon oncle... Charlemagne : Sire, est-ce possible qu'elle soit enceinte ? Henri : Charlie, imbécile ! Comment oses-tu... Napoléon V : Oui, c'est possible... c'est possible. Faisons une pause pour le moment. Henri : Je suis là pour toi, mon neveu.
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