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#fascisme
culturefrancaise · 5 months
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raisongardee · 6 months
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"Si la paix pouvait durer encore trois ou quatre ans, tous les états d'Europe tourneraient fascistes, tout simplement, spontanément. Pourquoi ? Parce que des états fascistes réalisent sous nos yeux, entre Aryens, sans or, sans Juifs, sans francs-maçons, le fameux programme socialiste, dont les youtres et les communistes ont toujours plein la gueule et ne réalisent jamais."
Louis-Ferdinand Céline, L’école des cadavres, 1938.
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carbone14 · 9 months
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Benito Mussolini avec Emilio De Bono, Italo Balbo, et Cesare Maria De Vecchi pendant le congrès fasciste de Naples avant la marche sur Rome – Naples – Italie – 24 octobre 1922
Le 24 octobre, au congrès de Naples, Mussolini prononce un discours devant un défilé de 40 000 chemises noires. Il lance à ses troupes 'Ou ils nous donnent le gouvernement, ou nous le prenons en allant à Rome !' La marche sur Rome commencera le 27 octobre 1922.
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stephanemortimore · 1 month
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Le IVème Reich, l’avènement.
Inspiré du fascisme de Mussolini, plein de la mégalomanie et des fantasmes d’un Hitler, le nazisme est une sorte de révolution conservatrice avec un ADN raciste. Et si les juifs sont la principale cible d’un antisémitisme d’état, leur élimination systématique ne fut pas la première idée engagée à ce sujet mais l’expulsion vers un état choisi arbitrairement. C’est ce que l’extrême-droite moderne…
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rcvandenboogaard · 3 months
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Werkeloos toezien als extremisten de macht grijpen
Soms zou je willen dat je Duitser was. Maar liefst 35.000 inwoners van Frankfurt am Main trotseerden op zaterdag 30 januari de winterkou om in het hartje van de stad, de Römerberg, te betogen tegen rechts-extremisme. Daags tevoren waren dat er 50.000 in Hamburg geweest. In totaal gingen in tientallen Duitse steden dezer dagen honderdduizenden de straat op om te laten zien dat zij de liberale…
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aspho-dele · 1 year
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[…] … Et le grand vainqueur, c'est le Parti républicain, d’extrême droite, avec 22 élus. Ce même parti qui ne cache pas son admiration pour le dictateur Augusto Pinochet et qui n’a d’ailleurs jamais souhaité changer de Constitution…[…]
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jloisse · 2 years
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On dirait que la réponse de Michel Onfray ne convient pas à la "journaliste"...
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oasis-hexagonale · 2 years
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Sur les dangers du débat avec les fascistes
Oasis Nadrama, 08/09/2022 ' ' Une fois de plus revient la sempiternelle ritournelle : "Non mais parfois on peut parler avec l'extrême droite, ça dépend des circonstances !". ' Hé bien NON. ' Pourquoi ? Hé bien... ' ' ' ' A] LE DÉBAT PUBLIC AVEC LES F-SCISTES : UNE DÉFAITE SYMBOLIQUE ' ' Le débat avec les f-scistes constitue EN SOI une défaite symbolique permanente et une validation de leurs idées. ' C'est un message envoyé au monde : "Il est acceptable de débattre de ces questions". ' C'est une position politique catastrophique, peu importe les "bénéfices" que l'on pense en retirer par ailleurs. ' Ce point a déjà été développé par votre servante. Plus de détails sur l'inutilité et la nocivité du débat public sur cet article de 2019, ‘Les limites du débat public’. ' ' ' ' B] "ACCEPTER LE DÉBAT" SE FAIT À GAUCHE... ET LE RÉSULTAT EST TOUJOURS CATASTROPHIQUE ' ' On vient de voir passer que le refus du débat avec les f-scistes serait une position "hégémonique à gauche"... C'est une contre-vérité totale. Nous voyons TOUS LES JOURS des personnes socdéms, des personnes de gauche plus forte, et même quelques personnes d'extrême gauche se lancer dans des débats avec les fafs. ' En 2019, Dorian Chandelier, engagé dans l'anarchisme depuis des années, a commis cette erreur ; il a fait des déclarations "pas très malignes" (pour employer un aimable euphémisme), car il a été pris dans la machine rhétorique de l'extrême droite en tentant de leur transmettre des concepts. Il a exprimé tous ses regrets sur la question. ' Mais on pourrait faire une liste interminable de militant-e-s de terrain, d'intellectuel-le-s et de politicien-ne-s de gauche qui ont considéré que le dialogue avec les f-scistes pouvait amener de bonnes choses de manière "circonstancielle". Et ça ne s'est JAMAIS bien terminé. ' Historiquement, il y a une myriade d'exemples de "l'ouverture au dialogue" qui tourne très mal. ' Pour commencer, c'était ni plus ni moins l'une des stratégies de recrutement du parti n-zi que de prétendre "discuter" avec des intérêts "socialistes" (d'où son nom). ' Un exemple plus français. En 1981, le Front National faisait 0,2% des voix et les médias ne se déplaçaient pas pour ses congrès... Le FN était un non-parti, une ombre mourante du f-scisme version SS. On a vu à l'époque Le Pen père se plaindre à la radio d'être ignoré et censuré (notez le paradoxe, encore en vigueur à l'heure actuelle, de la personne réactionnaire qui emploie un moyen de grande écoute pour prétendre qu'on efface sa parole.) Entendant ces plaintes, le président Mitterrand a commandé explicitement à tous les médias de se focaliser sur l'extrême droite au nom du "pluralisme des idées". Résultat ? Quarante ans plus tard, le FN se retrouve TOUJOURS au second tour des présidentielles. Notons que comme d'habitude, l'argument de la "liberté d'expression" ne vaut apparemment QUE pour la défense des idées réactionnaires. Mitterrand ne se préoccupera jamais d'ouvrir le dialogue avec l'extrême gauche (d'autant qu'il boostait le FN pour diviser la droite). "La Ligue communiste révolutionnaire d'Alain Krivine et Lutte ouvrière d'Arlette Laguiller n'auront pas la divine surprise d'être propulsés sous les projecteurs au nom du “pluralisme des opinions”." ('La Main droite de Dieu : enquête sur François Mitterrand et l'extrême droite') ' En 1978, le même Mitterrand avait défendu lors de ses procès Robert Ménard, activiste "de gauche", qui affichait alors l'ouverture aux opinions de "tout le monde". De cette histoire, on connaît déjà l'issue : Ménard f-sciste. ' Il y a des mécanismes bien connus qui emportent les gens vers le f-scisme. ' Pour commencer, le f-scisme est très compatible avec les "valeurs" profondes que l'on nous inculque, car il ne constitue qu'une caricature des sociétés actuelles. Le f-scisme est tyrannique parce que la société est étatiste, industriel et bourgeois parce que la société est capitaliste, viriliste/misogyne/queerphobe parce que la société est patriarcale, r-ciste jusqu'au gén-cide parce que la société est colonialiste, etc. Notre vision des choses est fondamentalement biaisée par cette atmosphère générale... Nous restons des enfants des systèmes de domination (étatisme, capitalisme, patriarcat, colonialisme...) et à ce titre nous sommes câblé-e-s pour excuser l'écrasement et l'exploitation des catégories opprimées. Nous allons hélas avoir une morale à tiroirs, une indignation sélective et une haute capacité à la violence invisible par le soutien et la normalisation des discours oppressifs et, inversement, à la dénonciation et au refus des discours de libération. Le f-scisme pousse donc en terrain fertile, et son implantation est également aidée par toute une rhétorique d'extrême droite qui se nourrit selon les situations d'une aura "sulfureuse", de l'appel au "respect" et au "bon sens", du déni, de la dissonance cognitive... Le degré de malhonnêteté intellectuelle et de capacité à la manipulation du f-scisme est fréquemment sous-estimé. Se reporter à l'Alt-Right Playbook ou à son excellente localisation française, Le guide de la fachosphère, pour quelques clefs de compréhension. ' On pourrait remplir un annuaire de ces histoires "d'ouverture au dialogue" qui tournent mal. Depuis plus d'un siècle, l'histoire du f-scisme c'est aussi celle d'individus de "gauche" séduits par l'extrême droite, et/ou qui lui offrent une plate-forme d'expression. "La vulnérabilité des n-zis ne peut pas être révélée par le débat. De nombreux-euses penseur-euses qui ont traversé la Seconde Guerre Mondiale, de Karl Popper à Hannah Arendt en passant par Jean-Paul Sartre, ont été très clair-e-s quant aux raisons pour lesquelles l'échange d'idées calme et sans passion avec des hommes tels que Richard Spencer [alt right] n'est pas seulement inutile, mais activement dangereux." ('Why Punching Nazis Is Not Only Ethical, But Imperative') ' Parler avec les f-scistes constitue pour iels une victoire symbolique permanente, et contribue également à la diffusion de leurs thèmes. Par exemple, répondre aux f-scistes sur l'immigration, c'est déjà faire de l'immigration une "question". ' ' ' ' C] QUE FAIRE DE L'OMNIPRÉSENCE DES "FASCISÉ-E-S" ? COMMENT LES OUVRIR SUR AUTRE CHOSE ? ' ' Un constat est souvent fait, un constat bien réel : le f-scisme a pignon sur rue aujourd'hui. La fenêtre d'Overton a glissé à l'extrême droite à un point surréaliste. On entend effectivement souvent des idées infâmes, d'un r-cisme, d'une mis-gynie, d'une queerphobie, d'un classisme, d'un validisme (etc) confondants, dans tous les milieux : au travail, avec des ami-e-s, en famille, dans un bar, dans la rue... Sans parler des médias. ' De cela, certaines personnes de gauche tirent la mauvaise conclusion. Elles se disent "On ne peut plus affronter le f-scisme directement, on ne peut plus refuser la conversation avec lui, il faut changer les stratégies et OUVRIR LE DIALOGUE" (on y revient !). ' Nous avons vu plus haut "qu'ouvrir le dialogue" par un débat public ne marche pas, pour beaucoup de raisons. Mais qu'en est-il des discussions privées ? ' Dans un cadre calme et SANS AUDIENCE, il est possible parfois de parler aux personnes réactionnaires, f-scisantes voire f-scistes en utilisant des termes et des concepts qu'iels comprennent davantage. Des discussions (rares) avec certain-e-s f-scistes ont toujours fait partie de l'arsenal de l'antif-scisme... Les opérations pour extraire des personnes piégées dans des groupes de skinheads néon-zis, par exemple, se font depuis toujours. Les antifas SAVENT que les f-scistes ne sont pas des démon-e-s. Tout comme Arendt le savait. C'est spécifiquement PARCE QUE les f-scistes sont des humains comme les autres qu'il faut s'opposer fortement au f-scisme à tout prix, éviter la compromission ! Parce que si "les f-scistes sont des humains", le corollaire s'ensuit : les humains comme les autres peuvent devenir f-scistes. D'où l'importance de refuser le moindre espace de parole aux f-scistes, de les combattre, de rendre le coût social du f-scisme trop élevé. ' Le problème est le suivant : plus les personnes sont enfoncées à l'extrême droite, plus ça prend du temps, de l'énergie, de la concentration de leur transmettre des données et de les amener à changer leur position. D'où la difficulté du dialogue privé. Il faut des circonstances précises et rares pour ramener un-e f-sciste à la raison et à la décence. Derek Black, jeune membre du KKK, a abandonné son idéologie de haine parce qu'il était détaché de TOUTES ses influences f-scistes et plongé dans un milieu progressiste. ' En bref, si vous voulez "dé-f-sciser" quelqu'un : ' 1- C'est un gros projet. Qui va prendre du TEMPS, de la documentation et énorm��ment d'énergie. 2- Un résultat positif est extrêmement rare. 3- Vos ressources seraient généralement mieux employées à combattre ailleurs. ' C'est malheureux, mais je conseillerais plutôt aux gens de "faire le deuil" de leurs ami-e-s en dérive f-sciste (cela inclut les personnes qui votent RN "sans savoir"). Protégez les personnes opprimées de votre entourage. Protégez-vous vous-même. Rendez votre démarche claire : LES F-SCISTES NE SONT PAS VOS AMI-E-S. Pour reprendre le proverbe allemand : "S'il y a un n-zi à table et neuf personnes assises qui parlent tranquillement avec lui, il y a dix n-zis à table." ' Donc : - Le débat public, c'est mort. - La discussion privée, c'est quasi-mort (ou en tout cas très compliqué). On voit que l'échange direct avec les f-scistes n'est pas le bon outil ici. C'est un siphon à énergie qui en plus comprend des dangers politiques constants. Et pour revenir à la croyance comme quoi "il faut changer la stratégie face à l'omniprésence du f-scisme", oui, bien sûr qu'une stratégie s'adapte aux situations, mais dans certaines limites... Les principes des luttes pour la liberté et l'égalité restent incontournables. La bonne praxis, ce n'est pas de céder du terrain politique à mesure que les nombres de l'ennemi grandissent ; ça, c'est une logique de capitulation voilée. Au contraire, il faut faire preuve de fermeté, renforcer le respect de la dignité humaine ! Ne pas laisser dire "Il y a un problème d'immigré-e-s en France" ou "parfois le lobby LGBTQIA+ ça va trop loin", c'est important de s'opposer à ces discours de violence directe ou indirecte... et de s'y opposer par des ACTES, plutôt que par de grands débats qui font le jeu du f-scisme et donnent l'illusion à certain-e-s que leurs positions f-scistes seraient tolérables. ' ' ' ' LES PISTES DE L'ANTIF-SCISME ' ' La situation actuelle n'a rien d'unique. Pendant la totalité de l'histoire connue, des tyrannies et des proto-tyrannies ont tenu les rênes des sociétés occidentales. Et le patriarcat, le colonialisme etc sont là depuis tellement longtemps. Ces systèmes de domination ont développé des idéologies extrêmement puissantes et omniprésentes pour justifier et invisibiliser l'exploitation économique, l'écrasement des individus, etc. De tous temps, pour la société, seule doit être écoutée la "vérité" des tyrans. Et toujours, des parts réduites de la population se sont élevées contre les injustices. Toujours elles se sont battues. Les activistes anarchistes, anticapitalistes, antiracistes, féministes, queers, écologistes, et leurs prédécesseurs avec d'autres noms encore ont lutté. Le monde n'est pas seulement le résultat d'une histoire des tyrannies : nous avons hérité d'innombrables droits et libertés via les combats passés. Il nous en manque encore (et pour les personnes et catégories les plus opprimées, tout manque). Mais nous en avons. ' Le f-scisme n'a rien de nouveau. Il ne constitue qu'une caricature de la société telle qu'elle est. Et l'antifascisme l'a toujours combattu, et l'a toujours affaibli ou vaincu, et c'est ce qui se répète encore à l'heure actuelle. ' La première solution, c'est le fameux "punch a n-zi". L'article 'Why Punching N-zis Is Not Only Ethical, But Imperative' est une très bonne lecture. Si vous avez des doutes sur l'utilité concrète du tabassage de n-zis, que vous vous dites que ça va desservir la cause ou créer des martyrs, je vous recommande un autre texte : 'A History of Antif-scists Beating the Shit Out of the National Front'. Pour résumer les deux : - Une personne qui participe à une idéologie destructrice et oppressive perd son droit à être traitée correctement, et il est important de lui refuser l'espace public - On réduit de 90% les rangs des f-scistes en les frappant à chaque sortie Ajoutons dans les bonnes lectures 'Comment la non-violence protège l'état', de Gelderloos. (Éviter l'actuelle version papier : le traducteur français est transphobe et il s'est d'ailleurs fait botter le cul pour ça par Gelderloos en personne.) Gelderloos y explique que le débat "violence ou non-violence" est une opposition facile et erronée : en réalité, le militantisme constitue une large palette de techniques souvent complémentaires. Historiquement, la non-violence seule ne fait pas bouger les choses, mais le militantisme non-violent peut beaucoup aider. ' Quant à ce conseil "punch a n-zi" : on ne vous demande pas de -forcément- frapper des n-zis. Vous n'avez rien à prouver, et exiger que vous frappiez des n-zis, ce serait une injonction irréaliste et viriliste. Par contre, il peut être bon de comprendre que c'est important et nécessaire qu'il y ait des gens qui frappent les n-zis. Ne participons pas à une culture de la violence invisible qui donne priorité à la paix sociale par rapport à la lutte contre l'injustice ! On peut discuter de ces méthodes et soutenir la violence activiste par le dialogue, par la symbolique, on peut en parler avec notre entourage socdém ou centriste (ou même avec des personnes de "droite douce", pourquoi pas ?), développer la culture de l'antif-scisme, tout en comprenant bien que plus les personnes sont à droite, plus le dialogue devient difficile, souvent vain, jusqu'au point où il ne sert plus à rien (on retombe sur l'idée que ça ne sert à rien de discuter avec les f-scistes)... Nous devons toustes choisir nos combats. Outre frapper les n-zis, soutenir la violence antifa, il est bon de s'informer sur la violence policière, de s'y opposer. De créer des mouvements, des lieux de lutte. De refuser l'autorité, la violence de l'autorité. Bref, de rejoindre/mettre en place toute une communauté. ' Mais l'antif-scisme en soi ne fait pas tout. Le f-scisme n'est que le sommet de l'iceberg. Le visage déformé de la société telle qu'elle est, d'inégalités plus profondes ; tant qu'elles existeront, il sera impossible de déraciner réellement cette herbe démoniaque. Aussi, pour combattre le f-scisme, il est important de rejoindre les luttes anarchistes, anticapitalistes, anti-état, féministes, queer, antiracistes, écologistes, anti-validisme, anti-grossophobie, etc. Toutes les luttes progressistes contre les systèmes de domination. Ce sont de longs combats. Nous n'en verrons pas le bout de notre vivant. Et peut-être qu'ils ne triompheront jamais vraiment. Mais même sans aboutir à un paradis progressiste, ces luttes en valent la peine. Elles rendent les gens plus libres et le monde meilleur. ' Dans la limite de notre temps, de notre concentration et de notre énergie, informons-nous. Discutons ensemble. Rassemblons-nous. Et luttons. Pour le changement que nous voulons voir dans le monde.
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gwydionmisha · 3 months
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We warned you this is where this is going.
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transfaguette · 5 months
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it is crazy how “if this childrens show doesn’t kill their villain at the end it’s irredeemable media” became such a popular opinion here. like people were calling steven universe fascist apologia. and to be clear I don’t even think that would be the case for non childrens media, either. perhaps holding every single story up to the same standard of “does it follow the acceptable narrative path or is it evil propaganda” isn’t the most anti-fascist thing, either. maybe.
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dirklagast · 11 days
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KZ syndroom
“KZ syndroom. Een litteken dat nooit verdwijnt”van Henri Heimans & Dirk Verhofstadt verscheen in maart 2024 bij Uitgeverij Houtekiet. Dirk Verhofstadt voorstellen hoeft niet. De moraalfilosoof, prof. em. is auteur van verschillende boeken, waaronder “Chef-kok in IG Auschwitz. De geschiedenis van Willy Van Paemel en IG Farben” (samen met Annie Van Paemel) en “Dagboek 1933. Het gevaar van…
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raisongardee · 1 year
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“Les démocraties ne mettent pas d’autre limite à la liberté que l’interdiction de nuire à autrui. Elles ont mis peu de temps à découvrir que, sans nuire à autrui, on pouvait nuire au gouvernement : et leurs codes fourmillent de délits politiques. Mais elles n’ont jamais consenti à reconnaître que, sans nuire à autrui individuellement, on pouvait nuire à la nation tout entière par l’abus de la liberté. Le fascisme oppose à cette conception anarchique de la liberté une conception sociale de la liberté. Il ne permet pas ce qui nuit à la nation. Il permet tout le reste. Il est faux de croire qu’il est dans l’esprit du fascisme de limiter la liberté individuelle ou la liberté de pensée. Rien n’est changé à la vie de chaque jour quand un pays devient fasciste : contrairement à la phrase fameuse, quand on sonne à sept heures, c’est le coup de sonnette du laitier. Mais le fascisme ne permet pas à quelques-uns de se tailler des empires en s’emparant de l’esprit des niais. Le public n’est pas un étang où l’on peut pêcher toute l’année et où ses flibustiers bien équipés ont le droit de ramener des fortunes dans leur nasse. Chacun peut penser ce qu’il veut et le dire. Mais le détournement des volontés doit être puni dans un pays bien policé au même titre que les vols d’électricité. Il n’est pas raisonnable que les lois protègent nos lapins et ne protègent pas nos cervelles. La liberté anarchique des démocraties n’a pas seulement permis le détournement de la volonté populaire et son exploitation au profit d’intérêts privés, elle a eu un résultat plus grave encore. Elle nous a fait une vie ouverte de toutes parts à toutes les inondations, à tous les miasmes, à tous les vents fétides, sans digue contre la décadence, l’expropriation et surtout la médiocrité.”
Maurice Bardèche, Qu’est-ce que le fascisme ?, 1961. 
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twafordizzy · 20 days
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Joseph Roth meldt zich bij Hotel Savoy
bron beeld: forward.com Ik kom om tien uur ‘s ochtends bij Hotel Savoy aan. Ik had me voorgenomen een paar dagen of een week uit te rusten. In deze stad woont mijn familie – mijn ouders waren Russische joden. Ik wil geld zien te krijgen om mijn weg naar het westen voort te zetten. Ik keer terug van drie jaar krijgsgevangenschap, heb in een Siberisch kamp gezeten en ben door Russische dorpen en…
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carbone14 · 1 year
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Adolf Hitler et Benito Mussolini en visite à Venise – Italie – 14-15 juin 1934
©United States Library of Congress – LC-USZ62-99614
La question autrichienne est au coeur de la visite d'Hitler en Italie. Le chancelier allemand envisage l'annexion de l'Autriche alors que le Duce déclare que l'Autriche doit garder son indépendance.  Les rapports entre les deux dirigeants sont tendus et la rencontre est un échec pour Hitler.
A la suite de cette rencontre, Mussolini écrira à propos de Hitler :
« Ce raseur m'a récité Mein Kampf, ce livre indigeste que je ne suis jamais parvenu à lire. Je ne me sens aucunement flatté de savoir que cet aventurier de mauvais goût a copié sa révolution sur la mienne. Les Allemands finiront par ruiner notre idée. Cet Hitler est un être féroce et cruel qui fait penser à Attila. Les Allemands resteront les barbares de Tacite et de la Réforme, les éternels ennemis de Rome ».
Le 25 juillet 1934, à la suite de l’échec du coup d’État en Autriche par lequel l’Allemagne nazie espérait annexer le pays (le chancelier Dollfuss et ami du Duce est assassiné), Mussolini envoie deux divisions au col du Brenner à la frontière austro-italienne pour défendre l’indépendance autrichienne. Hitler n'insistera pas avant d'annexer définitivement l'Autriche 4 ans plus tard en 1938. Ca sera l'Anschluss.
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rév¡S!On & damNat!ON
C’est donc à cause de l’itinéraire de la nouvelle croisière du bateau-école que les relations entre les révisionnistes et le régime fasciste sont remises en question. En effet, le Betar ne respecte pas l’interdiction de visiter d’autres ports étrangers. Comment a-t-il pu la détourner ? Une lettre de la Direction générale de la Marine marchande informe Palazzo Chigi que le bateau Sara I a été…
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ebordewich · 2 months
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Støttegave for annonsering av artikler fra Fakta360
Vi skal kjøpe annonseplass på Facebook og X/Twitter for å spre informasjon fra Fakta360 Det grønne skiftet, Agenda 2030 og FNs bærekraftsmål er sammen med WEF (World Economic Forum) i realiteten ikke annet enn vår tids globalistiske fascisme og neo-Marxisme som vil ta kontroll over alle aspekter av livene våre. De globalistiske kreftene river ned nasjonalstatene og vi blir vasallstater underlagt…
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