Tumgik
#festival actuel
margueritelarochelaise · 10 months
Text
Jackie Groisard à l'honneur
Placé sous le thème du silence, le 12ème Festival d’Arts Actuels met en lumière le travail de l’artiste invité d’honneur Jackie Groisard. Il sera exposé du 27 mai au 2 juillet au Musée Ernest Cognacq à Saint Martin de Ré. Si l’homme est discret et ne cherche pas à influencer le regard du spectateur par de longs discours, son œuvre elle, est bien bavarde. Jackie Groisard a pris possession des…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
bouxmounir · 2 years
Text
Soirées punk, tenues glamour et sororité : Cannes selon Elle Fanning
Soirées punk, tenues glamour et sororité : Cannes selon Elle Fanning
Par Océane Ciuni et Rebecca Zissmann Publié il y a 5 minutes, Mis un jour il y a 1 minute Du tapis rouge au jury du festival, l’actrice américaine est une habituée de la Croisette qu’elle fréquente depuis ses 16 ans. Elle nous a raconté ses meilleurs moments cannois. L’Américaine Elle Fanning a grandi sous nos yeux ; si bien qu’en sortant de l’interview on se demande admiratifs quel âge elle a…
View On WordPress
0 notes
neloangelo · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Pink Floyd and Frank Zappa at Actuel Festival, Monte de Inclus, Amougies, Belgium (10/25/1969)
289 notes · View notes
empiredesimparte · 10 months
Text
Tumblr media
Cannes Film Festival's Douzaine begins! The French program Canal comments the opening of the festival on the Croisette
Tumblr media Tumblr media
Reporter Emma: Welcome to Canal! As you have seen on our pictures, this year, His Majesty himself cut the ribbon and will inaugurate the festival. This had not happened for almost 100 years in Francesim!
Tumblr media Tumblr media
Presenter Robert: Is the Emperor accompanied? I don't think I know that Reporter Emma: Yes Robert, I can confirm that the Emperor is not alone. He is accompanied by a young woman, I heard around me that she is a childhood friend of His Majesty. I must say that there is a lot of effervescence at the moment in Cannes!
Tumblr media
Presenter Robert: We have just received information from the imperial palace Emma! Apparently it would be about his fiancée, His Majesty makes an official announcement! Presenter Thierry: It's wonderful and completely unexpected ! The edition of this year is decidedly unique! Presenter Robert: Indeed, that makes pleasure to see our young Emperor close to the French, and accompanied !
Tumblr media
Presenter Thierry: The press release adds that it's Mademoiselle Charlotte de Mortemart, a childhood friend of the Emperor as you said Emma Journalist Emma: Gentlemen, look, Mademoiselle Charlotte is presenting her ring to the cameras of the whole world! Presenter Robert: Congratulations to the young lovebirds!
Tumblr media Tumblr media
Journalist Emma: There is obviously a royal trend this year: Prince Henri of Pierreland is here as an actor! His Imperial Highness is accompanied by Chiara, who is his partner in the opening film Pierre the Great, a biopic on the Emperor. Note that this is the first time that the festival hosts a production of the Simflix platform.
Tumblr media
Presenter Thierry: Princess Maria-Aisha, apparently came to attend the first steps of actor of her brother!
Tumblr media Tumblr media
Presenter Robert: Our neighbors from Iona are also present at the festival, the royal princess came to support the Ionian artists!
Tumblr media
Journalist Emma: I also saw the famous princess Leonor of Uspana, look at the pictures! She presents herself in a very classy black dress.
Tumblr media
⚜ Le Cabinet Noir | Cannes Film Festival, 7 Prairial An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Collaboration with @officalroyalsofpierreland, @nexility-sims and @funkyllama. Thank you everyone! <3
⚜ Traduction française
La Douzaine du festival de Cannes commence ! L'émission française Canal commente l'ouverture du festival de la Croisette
Journaliste Emma : Bienvenus en direct sur la chaîne Canal! Comme vous l'avez vu sur nos images, cette année, Sa Majesté en personne a coupé le ruban et inaugurera le festival. Cela n'était pas arrivé depuis presque 100 ans en Francesim !
Présentateur Robert : L'Empereur est accompagné ? Je ne crois pas être au courant Journaliste Emma : Oui Robert, je confirme que l'Empereur n'est pas seul. Il est accompagné d'une jeune femme, j'ai entendu autour de moi qu'il s'agissait d'une amie d'enfance de Sa Majesté. Je dois dire qu'il y a beaucoup d'effervescence actuellement à Cannes !
Présentateur Robert : Nous venons de recevoir des informations du palais impérial Emma ! Apparemment il s'agirait de sa fiancée, Sa Majesté fait une annonce officielle ! Présentateur Thierry : C'est merveilleux et complètement inattendu ! L'édition de cette année est décidément unique ! Présentateur Robert : En effet, cela fait plaisir de voir notre jeune Empereur proche des Français, et accompagné !
Présentateur Thierry : Le communiqué que nous venons de recevoir indique qu'il s'agit de Mademoiselle Charlotte de Mortemart, une amie d'enfance de l'Empereur comme vous le disiez Emma Journaliste Emma : Messieurs regardez, Mademoiselle Charlotte présente sa bague aux caméras du monde entier ! Présentateur Robert : Félicitations aux jeunes tourtereaux !
Journaliste Emma : Il y a manifestement cette année une tendance royale : le prince Henri de Pierreland est là en tant qu'acteur ! Son Altesse Impériale est accompagnée de Chiara, qui est sa partenaire dans le film d'ouverture Pierrelandais, un biopic sur l'Empereur Pierre le Grand. À noter que c'est la première fois que le festival accueille une production de la plateforme Simflix.
Présentateur Thierry : La princesse Maria-Aisha, est semble-t-il venue assister aux premiers pas d'acteur de son frère!
Présentateur Robert : Nos voisins d'Iona sont également présents au festival, la princesse royale est venue apporter son soutien aux artistes Ioniens !
Journaliste Emma : J'ai également aperçu il me semble la célèbre princesse Leonor d'Uspana, regardez les images! Elle se présente dans un robe noire très classe.
71 notes · View notes
whencyclopedfr · 2 months
Photo
Tumblr media
Assurnasirpal II
Assurnasirpal II (r. de 884 à 859 av. J.-C.) fut le troisième roi de l'Empire néo-assyrien. Son père était Tukulti-Ninurta II (r. de 891 à 884 av. J.-C.), dont les campagnes militaires dans toute la région permirent à son fils de se doter d'un empire important et des ressources nécessaires pour équiper une armée redoutable. Assurnasirpal II est connu pour ses impitoyables conquêtes militaires et la consolidation de l'empire assyrien, mais il est probablement plus célèbre pour son grand palais de Kalhu (également connu sous le nom de Caleh et Nimroud dans l'Irak moderne), dont les reliefs muraux décrivant ses succès militaires (et ses nombreuses victimes) sont exposés dans les musées du monde entier à l'heure actuelle. Outre le palais lui-même, il est également connu pour avoir organisé l'une des fêtes les plus impressionnantes de l'histoire pour inaugurer sa nouvelle ville de Kalhu: il accueillit plus de 69 000 personnes au cours d'un festival de dix jours. Le menu de cette fête subsiste encore aujourd'hui. Il régna pendant 25 ans et son fils, Salmanazar III, lui succéda (r. de 859 à 824 av. J.-C.).
Lire la suite...
2 notes · View notes
mmepastel · 4 months
Text
Tumblr media
Toujours pour préparer la venue de Maylis de Kerangal au festival Lettres d’Automne, j’ai enfin lu Naissance d’un pont. Roman épique, dont la lecture n’est pas si facile. J’ai été un peu parasitée par des pensées dérivantes (sans doute dues des événements personnels un peu perturbants actuellement, il faut bien l’avouer), et je n’ai pas été aussi emportée par le souffle indéniable du récit et du style de l’autrice que je l’aurais voulu.
J’ai néanmoins admiré, comme d’habitude, l’ambition parfaitement réussie d’englober, en un récit assez ramassé, le gigantisme d’un projet architectural d’ampleur qu’est la construction d’un pont, immense, aux USA, entre deux zones opposées (la forêt VS la ville en plein boom). Elle réussit à faire tenir dans le roman tous les enjeux, tous les corps de métiers, toutes les complications (naturelles ou rebelles) ; dans cette foule engagée se détachent quelques personnages, dont on apprend le passé, l’intimité, les espoirs… c’est passionnant malgré l’aridité du sujet (la construction d’un pont, honnêtement…).
Le pont, symbole par excellence du lien. Elle dit avoir voulu comprendre, explorer le thème de la conciliation, de la composition à travers ce chantier et cette symbolique : chacun vient d’un endroit différent, et le temps d’un chantier, s’accorde aux autres pour que le collectif accomplisse une tâche, qui elle-même correspond à une main tendue entre deux zones étrangères. C’est en effet très intéressant de suivre les parcours de ces personnages très différents qui se croisent et lient leurs savoir-faire pour quelque chose qui les dépasse, puis qui se quittent, peut-être à tout jamais.
On la sent elle-même dans sa narration, tenir à bout de bras, cette construction qui doit justement tenir, qui doit « rentrer » dans l’espace de la fiction mais aussi dans celui du réel. Et elle y parvient magistralement, comme à bout de souffle, tendue vers cet objectif presque impossible. C’est vraiment très beau et très puissant.
2 notes · View notes
carraways-son · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mercredi
Le regard est ici sollicité à chaque instant, par exemple par cet arbre surgissant d’une palissade, ou cet autre, religieusement emmailloté pour affronter l’hiver. Il faut se contenir pour ne pas vivre à travers le viseur de son appareil. À propos de photo, la ville de Kyôto occupe une place de choix sur la scène internationale de l’art photographique, en particulier grâce à son festival international Kyoto Photography (ci-dessus, le Kid lors de l’édition 2018). Plusieurs expos sont actuellement visibles ou programmées. En parallèle à l’expo Andy Warhol (qui présente 200 de ses œuvres), on peut voir les photos prises par Eizaburo Hara lors du séjour de Warhol à Kyôto en 1974. Celui-ci se disait inspiré et fasciné par le Japon et en particulier Kyôto, visitée à deux reprises. Autres expos, celle des photos de Hiroshi Mizobuchi et celle consacrée à l’œuvre du grand Elliott Erwitt.  
10 notes · View notes
rewindthetimee · 10 months
Text
À LA CROISÉE DES CHEMINS—Prologue
Auteur : Akira
Personnages : Rei, Keito, Kuro, Koga, Kaoru, Souma, Adonis, Chiaki
Saison : Printemps, présent
Lieu : Festival du Retour
Tumblr media
Rei: ...
Kuro: Ha ha. T’as une tronche à faire peur, Sakuma.
C’est parce que tu vas passer aux choses sérieuses cette fois, hein ?
Rei: C’est vexant de t’entendre dire que j’ai ‘une tronche à faire peur’, Kiryuu-kun… En plus, tu as faux sur toute la ligne. J’ignore simplement quand notre Toutou compte débarquer, alors je me tiens prêt.
Sous le nom DEADMANZ, nous avons mis le Festival du Retour à feu et à sang, ça a dû la mettre mal à ce cher Toutou.
Je l’imagine bien bouillonner de rage tout en nous traquant.
Comme un chiot perdu… Non, en fait, il ressemble bien plus à un chien fidèle qui voudrait se venger de son maître cruel après que celui-ci lui ai fait du mal.
Pour être honnête, ça me gênerait presque qu’il ne m’anéantisse pas à l’instant où il me voit. S’il retenait ses coups, ce fiasco pourrait bien recommencer à nouveau.
Pardon, permets-moi de reformuler ma pensée : on ne peut pas se permettre de commettre les mêmes erreurs, surtout que nous serons bientôt diplômés.
Mais tout le monde aimerait régler ses comptes avant de devoir s’en aller pour de bon, pas vrai ?
Afin de devenir un ennemi suffisamment redoutable aux yeux des autres, il faut savoir se montrer imposant.
Kuro: Donc t’appelles à un vrai combat, hein ? Pas mal pour un bleu.
Si on a pu arriver aussi loin sans trop y laisser d’plumes, c’est bien parce que Kanzaki peut encore nous saquer. Même si on aurait très bien pû se foutre sur la gueule beaucoup plus souvent.
Rei: Ku ku ku~ Si ton enfant est surprotégé, ce sera plus compliqué pour toi de l'abandonner que ça ne le sera pour lui. Et pourtant, c’est une étape cruciale de la vie.
Afin de ne pas avoir le moindre regret, il nous faut devenir de féroces démons mangeurs d’hommes.
Kuro: J’sais pas, tu crois pas que ça va juste leur causer encore plus d’emmerdes ? Mais bon, j’suppose que c’est mieux d’faire parler les poings plutôt que d’repartir la queue entre les jambes sans rien dire.
Tumblr media
Keito: ...
Kuro: Mh ? Danna [1], ça fait un bail que vous avez rien dit. Qu’est-ce qui va pas ? Vous vous décidez enfin à r’devenir un étudiant modèle, après tout ce temps passé à faire le délinquant ?
C’est vous qui avez décidé qu’on finirait ce spectacle en beauté avec une super grosse révolte et tout. Mais moi, j’suis juste là pour regarder. On peut rien faire tant que vous en donnez pas l’ordre.
Keito: … Je suis au courant. Je réfléchis pour l’instant, alors fais moins de bruit, Kiryuu.
Kuro: Ha ha. Parce que je l'avais déjà fermé avant quand vous me le demandiez aussi gentiment ?
J’sais pas pourquoi vous faites vot’ rabat-joie à la noix, mais à mon avis, vous stressez beaucoup trop pour si peu.
C’est pas vous qui aviez dit que Kanzaki était le genre de gars capable de faire un truc pareil s’il y mettait vraiment du sien ?
En plus, le Festival du Retour est censé être une routine pour nous les troisième années. Vous devriez vous décoincer un peu et profiter du festival comme tout l’monde. Pas vrai, Sakuma ?
Rei: Mhm. On peut vraiment compter sur toi, Kiryuu-kun ; je comprends mieux pourquoi Hasumi-kun te garde à ses côtés. Tu es dur comme de la roche en surface, mais un vrai joyau à l’intérieur.
Ça valait la peine de braver les flammes pour le sauver, tu ne crois pas… Hasumi-kun ?
Mais tu ne devrais pas complètement te reposer sur lui ; tu ressembles à un enfant pourri-gâté. C’est toi qui a créé DEADMANZ après tout, c’est donc à toi que revient l’obligation de nous porter jusqu’à la ligne d’arrivée sur tes épaules… Et non pas à lui.
Kuro: Hé, non pas que ce soit important mais, genre… Pourquoi DEADMANZ ?
Keito: C’est un groupe inactif à l’heure actuelle, il était donc plus aisé de mobiliser ses membres dans l’immédiat.
DEADMANZ n’existe que sur papier, et Sakuma et moi en faisions tous les deux partie par le passé.
C’était la couverture idéale pour causer des remous durant le Festival du Retour et devenir une potentielle menace… Non, un ennemi pour tous ceux qui nous barraient la route. Voilà pourquoi, Kiryuu.
Nous n’avions pas le luxe de créer un nouveau groupe en si peu de temps, et si nous avions réalisé toutes les procédures requises, Eichi et les premières s’en seraient rendus compte de toutes façons.
Pour que notre plan fonctionne sans accroc, il a fallu agir dans l’ombre.
Kuro: C’est pas c’que je voulais dire, j’parlais du nom.
Comment ça, “DEADMANZ”…?
J’suis pas le plus calé en anglais donc j’en suis pas vraiment sûr mais… Le pluriel de “DEADMAN”, c’est pas “DEADMEN” ?
Vous savez, genre, comme dans “X-MEN”.
Rei: Oh, tu es fan de comics, Kiryuu-kun ? Hasumi-kun prête parfois des manga et d’autres bouquins du genre à tous ceux qui montrent de l’intérêt pour, donc je peux comprendre.
Pourquoi est-ce que les otaku finissent toujours par s’attirer l’un à l’autre comme des aimants ? Vous essayez de créer un culte ou quoi ?
Keito: … N’accorde pas trop d’importance au nom. Il a une origine plutôt sentimentale, alors ce serait gênant d’y repenser et de lâcher une larme juste avant l’obtention de nos diplômes.
Tiens, j’ai presque envie de le changer, maintenant.
Mais il y plus important, Hakaze vient de me contacter. Apparemment, il a réussi à localiser Kanzaki.
On doit s’y rendre immédiatement, tu pars avec moi Kiryuu. Je peux te laisser gérer seul ici, Sakuma-san ?
Tumblr media
Rei: Bien sûr. Enfin, ce n’est plus vraiment un groupe si je reste tout seul sur scène, alors est-ce que tu pourrais rappeler Kaoru-kun et lui dire de venir ?
Je me demande où il est et ce qu’il peut bien faire. Malgré tout ce bazar, il restera imprévisible jusqu’au bout.
Ku ku ku~ Et dire qu’un jeune homme aussi frivole et désinvolte a eu un tel impact sur ma vie…
Je n’aurais jamais pu imaginer qu’une telle chose soit possible. C’est pourquoi vivre une vie pleine de surprises est si amusant.
Je pourrais presque sentir le sang couler dans mes veines à nouveau. Il semble bien qu’au final, je suis indigne du nom de DEADMANZ~ [2]
Traduction FR : Yunaël
Correction FR : Rewind
Traduction anglaise : Soph
Le titre que donne Kuro à Keito. Il signifie ‘maître’ et possède plusieurs contextes. Ici, il démontre le statut élevé de Keito (référence au fait que ses parents gèrent un temple bouddhiste).
“Dead man” veut littéralement dire “homme mort” en anglais.
5 notes · View notes
cawessel · 10 months
Text
Truismes & l'image corporelle hypocrite
Tumblr media Tumblr media
   Selon les normes de beauté, il y a un état parfait où nous nous trouvons mince mais pas maigre, charnu mais pas en surpoids... De ce fait, je trouve ces images extrêmement ironiques. Vous voyez des déguisements d’Halloween d’un cochon. Notez bien que les mannequins portant le déguisement de truie n’ont pas la forme ronde ou grosse comme le porc. Il est intéressant que nous ne voyions jamais une personne plus grosse qui porte cette tenue. De plus, les deux styles de déguisements sont acceptables : moulant et sexy ou gonflable et drôle. 
   Notamment dans le livre, nous comprenons qu’avec la transformation physique de la narratrice, il y a un changement de sa perception de soi et de la société qui la rejette. Simplement, elle prend du poids et elle devient plus rose. En réalité, dans l’industrie de la beauté, il y a l’utilisation du maquillage pour rougir les joues. Cependant, nous ne mettons pas en avant la forme physique du « cochon ». C’est-à-dire, nous choisissons certaines caractéristiques que nous préférons, et nous les validons. Nous pouvons facilement tisser le lien entre le parti politique d’Edgar (du livre) et les personnes qui influencent les normes de beauté actuellement. Le but de ces organisations est d’avoir le pouvoir. Elles remportent par exploiter le public en assurant que leurs vision/leurs produits sont meilleurs. En outre, si un membre du public essaie de lutter contre les messages des profiteurs, il est réduit au silence. Le livre propose la solution d’assassiner les manifestants ou tous ceux qui n’est pas d’accord avec leur système. Dans l’industrie de beauté, nous voyons ce silence par l’humiliation en ligne ou par les autres messages faux et manipulateurs. 
    Ces images de costume me font réfléchir de pourquoi il existe ces standards même pour un festival comme l’Halloween où le but est de s’amuser avec la créativité et l’expression personnelle. Je sais que les normes existent dans le domaine de beauté et encore dans la société. Ceci dit, je suis dégoûtée par la réalisation que l’identité sociale peut être également déterminer par les occasions où nous sommes encouragés à être « hors norme ».
2 notes · View notes
zou-labrousse · 1 year
Text
Les artistes du dix-neuvième ZOU!
L’Atelier IMIS
Tumblr media
Création collective improvisée avec performances de danse, musique et vidéo, présentées au centre de l'installation par Brida Horvath et Pierre Martin et accompagnées de vidéos originales de Stéphane Pogran.
V
Tumblr media
" ...en ces temps troublés, il fallait plus qu'une douzaine de justes pour sauver le monde. Il fallait une armée…" Présentation des "Guerriers de la Sérénité" - performance - production continue - et de la fresque " Echelle Un ".
Anna Bonadé
Tumblr media
Arts visuels
La cendre, symbole de destruction, où la vie organique ne semble plus exister, celle que l’on devient, lorsque qu’on redevient poussière. C’est à partir de celle-ci que j’ai voulu créer une pièce à l’aspect organique, fragile à la manière d’une peau qui se reconstitue.
Compagnie Ezika
Tumblr media
« Trompe-feuilles »
Illusion sonore
En quête d'une nouvelle vie, un.e campeur.se a élu domicile au hameau de La Brousse, loin des perturbations de la ville...Un théâtre sonore saugrenu qui se joue de notre perception du réel De et avec Estelle Coquin et Julien Lot.
Maïa Commère
Tumblr media
Arts visuels
Avec les fabulettes, je cherche à vous faire voyager en miniature et fantasmer avec des micro-mondes réalistes tantôt poétiques, tantôt humoristiques, érotiques… « Un univers aussi merveilleux que minuscule ! »
Dakkis
Tumblr media
Installation
Expression d'un subtil équilibre, la série PARTICULES résulte d'une intention d'alléger la matière, favorisant une dynamique de la ligne et du mouvement dans l'espace.
Coralie Férioulaud
Tumblr media
Durant le festival ZOU c'est avec joie que je présenterai la technique Sgraffito en terre crue au travers de mes créations et d'ateliers.
Laurent Gasparini
Tumblr media
Petits mondes
La vie n'a pas de sens sacré, c'est simplement un phénomène impitoyable qui prend place et suit son cours. Parfois, elle nous frappe de sa froideur, alors on développe de la résilience. Cette force nous permet d’apprécier les moments de bonheur que l'on vit ou de s'en créer.
Hortense Gauthier
Tumblr media
Déambulation
« DO CYBORGS DREAM TO ELECTRONIC GHOSTS ? »
Une action dansée longue durée entre silence et bruit, dans la lenteur de la déconnexion, pour faire trembler les ondes et les sons inaudibles des fréquences oubliées.
Hortense Gauthier & Antoine Schmitt
Tumblr media
Installation sonore
Le cri infini est une installation sonore qui pousse un cri infini. En une tentative de catharsis, elle nous confronte à l'expression primale de la dimension douloureuse du sentiment de vivre. Le cri infini est composé de manière générative à partir d'enregistrement de cris réels de participants de tous horizons.
Armelle Gilet
Tumblr media
Atelier de peinture
« De l'Ombre à la Lumière »
Je propose un atelier de peinture à l'encre de chine à la lueur de bougies. Après la lecture d'un texte sur la symbolique de la grotte, j'inviterais les personnes à laisser leur trace à l'encre de chine dans ce passage de transformation de l'ombre à la Lumière.
Michel Gayout
Tumblr media
Panneaux texte et images
Pour lancer une discussion sur notre « société du spectacle » actuelle, où ce que nous prenons pour notre réalité quotidienne est de plus en plus le mensonge incarné, dicté par les contraintes éthico-sociales qui nous emprisonnent l’esprit.
Sandra Guillemot
Tumblr media
Arts visuels
Création de toiles figuratives ou abstraites mêlant différentes techniques : peinture à l'huile, effets de matière, collages d'affiches et d'objets rouillés.
Brida Horvath
Tumblr media
Balade guidée « Entre chien et loup »
Une expérience où les participants sont invités à vivre l'art d'une nouvelle manière en suivant des consignes simples, et deviennent eux-mêmes les interprètes d'une performance qui n'a jamais existé. Un moment de transformation où l'ancien n'existe plus et le nouveau est en train de naître. Un rituel.
Improvox
Tumblr media
Performance chorale
Improvisation vocale à 11 chanteurs, en résonance avec les œuvres exposées du festival.
Carey Jeffries
Tumblr media Tumblr media
“The Swedish Way” Performance, Improvisation buto contemporain cabaret
Exposition, Dessins inspirés par la danse contact et l’improvisation.
+ Atelier massage Ostéo Wuo Tai, Rolling Compression et Contact Improvisation dance (Pratiques somatiques et relationnelles) Renseignements et réservation 06 33 49 36 87. Tarif 15 € - Prévoir tapis de yoga et vêtements souples.
Philippe Laval
Tumblr media
Concert
« Chants cons sous la neige (carbonique) » Guitarisque bruitcoleur, pouète à ses heures, Philippe Laval chante à tort, joue à travers, écoute les murs, et enfonce le clou ! Il faut bien taper sur quelque chose... "Et au fond de l'écriture, c'est la boiterie qui fait le rythme" (Jean Vautrin)
LN Le Cheviller
Tumblr media
Installation
« A qui le tour ? »
62 armes nous rappellent que la guerre en Ukraine continue toujours, et nous renvoient à la violence qui nous environne et peut nous toucher à tout moment…
Lee Shar
Tumblr media
Installation
La Cintrologie est un cintrétisme, teinté de surcyclage et de symbologie. Les cintres perdent leur fonction première de porte-vêtements pour devenir des cintreboles... "Qui qui veut devenir ce qu'il devrait être doit laisser ce qu'il est maintenant" MaÎtre Eckhart
Trisha McCrae
Tumblr media
Installation
Une œuvre sculpturale et vidéo qui intègre un moment dans le temps, dans le cadre d'un voyage allant de la fragmentation à la totalité et à l'éveil de la conscience.
Kristin Noethling
Tumblr media
Dessin
Naviguer le paysage en musique. Parcourir la tête. Cheminer. Toujours entre légèreté et agitation. Comment cela se transforme, de la main au dessin, croquis ou essai.
Sophie et Lionel Pardessus
Tumblr media
Photographie
Un peu de rêve et de poésie dans un lieu magique. Chaque photo est accompagnée d'une poésie, le parc est idéal pour vous laisser rêver.
Les Papillonnantes
Tumblr media
Performance sonore et visuelle
Sandolore Sykes et Anne Foucher se rejoignent pour improviser. Elles font se rencontrer la vidéo et le violon électroacoustique, créant un univers énigmatique.
Angélina Pavlova
Tumblr media
Dessin improvisé à partir des mains tendues que m'offre le public. Les courageux qui s'y risquent repartent avec un dessin.
Trib'Art Music Ethnic
Tumblr media
Musique
« ..Voyage intuitif sur instruments acoustiques... » ...De l'inspire nait l'expire, engendrant le souffle vibratoire qui s'imprime sur la toile du silence, avec Amour... Avec et par Patricio et Nagi.
Léa Wargny
Tumblr media
Dessin
Chaque ombre représentée est un miroir et non une vérité en soi, elle devient ce que l'on voit en elle. À travers les dames en bleu, je dédiabolise des émotions considérées comme négatives par la société patriarcale. En cherchant mon moi profond j'espère créer du lien avec les personnes qui consentent à regarder le leur.
5 notes · View notes
dustedmagazine · 2 years
Text
Listening Post: Masayuki Takayanagi
Tumblr media
Masayuki Takayanagi (1932-1991) is a singular figure in Japanese improvised music. After establishing a career in Tokyo’s jazz clubs as a professional guitarist, he made a break from the incremental evolution of jazz methods in favor of full-on freedom at the end of the 1960s. The group he founded around that time, New Direction Unit, presented a form of intentional free improvisation that substituted measured levels of intensity, which drew upon the resources of high volume and feedback, for more conventional tools such as melody, harmony and pulse. Somewhat like European free improvisation, the music of Takayanagi and his associates expressed not only a wish to break from imitative modes of jazz practice, but a deeply felt sense that post-WW II society was irredeemably fucked.  
While Takayanagi’s work during the 1970s and 1980s was documented with adequate frequency by Japanese labels, these recordings have been only sporadically available, and when accessible, have been pretty pricy. In 2019, two American labels announced initiatives to put some classic New Directions sides on vinyl. Blank Forms released a pair of 1975 recordings, April is the Cruelest Month, which was slated to be on E.S.P. Disk before that label went under, and Axis / Another Revolvable Thing. Black Editions promised a more expansive program involving twelve titles. The first, Station ’70: Call in Question / Live Independence, contains music that was originally released on CD by P.S.F. in the mid-1990s, but was recorded in 1970. Now expanded to three LPs, it includes one additional side of contemporary music that has not previously been issued. Eclipse is a 1975 session that was originally pressed by Iskra Records in an edition of 100, and despite a couple Japanese reissues, has been mostly unavailable ever since. The Black Editions releases occasioned this discussion by Dusted writers Bill Meyer, Michael Rosenstein, Marc Medwin, Jonathan Shaw, Tim Clarke, Jennifer Kelly, Bryon Hayes and Christian Carey.  
By Bill Meyer
youtube
Marc Medwin: A question for the group: How do you approach listening to this music? One of the things that has always fascinated me is the language people use, the way what needs to be known before or during listening, when they talk about the sounds themselves, whether practitioners or what Anthony Braxton calls friendly experiencers. Bill, you make the comparison to similar European experiments of the late 1960s and early 1970s, and there also, we read that a certain kind of initiation is necessary, a change in thinking, of perception. Just look at the aphorisms in the liners to AMM's first album! We also know that Takayanagi had at least one disciple, Akira Mejima, and some of Takayanagi's ideas are articulated in the Axis/Another Revolvable Thing liner notes. So what? When you're listening, does all that make a difference, and what do you bring to the experience?
Jonathan Shaw: As a "friendly experiencer" (if I am getting the sense of that right), I listen to this with ears wide open and let it register as affect. I don't have the right schemas for responding intellectually to this stuff, and I also lack a finely grained understanding of the moment in Japanese politics and culture. So, I vibe with the music. It's a very, very serious set of vibes.
Marc Medwin: Same!! I know some of Kaoru Abe's work, and that's about it!
Michael Rosenstein: Context is an interesting question with this music. I'm pretty sure my first introduction to Takayanagi was in the early 1990s with the first CD issue of April Is the Cruellest Month and the P.S.F. issues of Call In Question, and Live Independence which were all stocked at Twisted Village, a fantastic record store in Boston staffed by super-knowledgeable folks who pointed me at them. This was around the same time that I saw Otomo Yoshihide's Ground Zero at Festival de Musique Actuelle de Victoriaville. Yoshihide studied with Takayanagi and frequently references his work so a connection may have also been drawn there.
The music grabbed me immediately but all the releases had liner notes entirely in Japanese, so I had no idea where it was coming from. Oddly, aside from some cursory articles I've read, that is still pretty much the case. For the 15 years or so prior to hearing these, I was listening pretty much exclusively to free jazz/free improvisation and Takayanagi somehow melded with things like the Voice Crack/Borbetomagus collaboration, Otomo's projects at the time or Caspar Brötzmann's groups and collaborations with his father which, amongst other listening around then, opened my ears to the noisier end of things.  
As Bill points out, for a musician with a discography running over 50 releases, most are next-to-impossible to get outside of Japan or long out of print and expensive when they were in print. But along the way, I managed to pick up a decent handful though I hadn't listened to them in a while. So, diving back in now to listen, there's a certain nostalgia for me which I am enjoying. 
Bill Meyer: How do I approach any music? If I already have a sufficient grasp of the language, I listen for how well the music uses that language, however broadly those terms can be defined. If I don’t already know the language, my first question is usually, what’s going on? In such cases, if the music hooks me but I can’t figure it out quickly, I’m doubly hooked. If the question is, how do I approach listening to Takayanagi and New Directions Unity, my beginning stance, when I first heard Call In Question and Live Independence in the middle 1990s, was to try to relate them to other, somewhat contemporary and somewhat similar improvised music, such as Sonny and Linda Sharrock and the records that put Peter Brötzmann and Derek Bailey together. It stubbornly remained its own thing, and I checked in on those two CDs every so often and kept wondering. Then, when April Is the Cruelest Month was reissued, I heard it and thought, this is the closest that free jazz has come to the Stooges’ attempt to make free jazz, ie “L.A. Blues.” Having listened more frequently and closely to 1970s vintage Takayanagi for a couple years now, my listening has shifted from “what’s going on here” to “what’s going on in this specific piece.” I’m forever trying to figure out how much of this music involves intentional response, and how much involves Takayanagi’s associates following his instructions not to listen to each other, but having varying degrees of success in their efforts to project energy without to some degree being influenced by other the sound energy sources (i.e. other players) with whom they were sharing space.  
Tim Clarke: Takayanagi's control over feedback is insane. At times his guitar sounds like a swarm of rabid penny whistles! Upon first listen, this music is overwhelming but fascinating. I'm looking forward to exploring further.  
Marc Medwin: Ha!! Which track were you listening to?  
Bill, I hadn't thought about the connection to the Peter Brötzmann and Derek Bailey sessions but now that you bring it up, I can definitely hear that now.  
This is a bit tangential to the recordings at hand, but I do wonder why Takayanagi didn't play with (or maybe just record with) visiting musicians from outside of Japan (aside from the recording he made with John Zorn.) Musicians he played with like Kaoru Abe, Sabu Toyozumi, Motoharu Yoshizawa and Masahiko Togashi collaborated with visitors. Of course, that all may have to do with what was recorded and released. The reality may be completely different.  
Bill Meyer: I don't know if Takayanagi played with Westerners at all. New Direction Unit played at the Moers festival in Europe in 1980. But Takayanagi was a legendarily ornery guy, and aside from his work with Abe, I wonder if he played much in settings where he wasn't the boss.   
And as far as comparisons to Peter Brötzmann and Derek Bailey are concerned, there just weren't that many guitarists who worked in a way that incorporated both freedom and ample amplification. When Ayler tried it, he got someone from Canned Heat, and the music they made was pretty groove-oriented.   
Jonathan Shaw: So far as I have listened, groove-oriented this ain't.  
Tim Clarke: Marc, the track I was listening to with the penny-whistle feedback is "Excavation." Lots of space on that one, so you can hear him moving around the neck, then pausing to lean into the amp to trigger the feedback.  
Actually, Bill, do you have the liner notes? That might actually be someone playing woodwinds amidst the feedback on "Excavation"?  
youtube
Marc Medwin: Yeah, that's difficult to get the ear around isn't it, because the bent pitches often occur simultaneously!! My guess is that there really is some sort of flute/recorder/penny whistle involved, some pretty serious listening and communication!  
Bill Meyer: I believe that the whistling sound was a “folk pipe” played by Motoharu Yoshizawa.   
Jennifer Kelly: I am way out of my element here but it’s funny you mentioned Stooges, Bill, because I was thinking about Bill Brovold’s work with Larval, one of the only people I know with connections to the NYC noise avant-garde and the Stooges.  
The drumming on “Excavation” is unhinged.  
Marc Medwin: Yes! And let's be honest, isn't there something just a little unhinged about the whole thing? No disrespect meant here, I hope that's obvious, but music like this necessitates a leap into uncertainty, a going out of depth, some sort of traveling beyond preconceptions, even the ones you bring from moment to moment as the sounds evolve. Just a bit of a tangent here: We're getting into the "free jazz" part of my jazz history course right now. I'm as interested in the words the students use to describe what they're hearing as I am in the music itself! It's easy, now that half a century has passed, to forget just how courageous these performers and those kindred spirits really were!  
Never heard of Larval...
youtube
Bryon Hayes: I guess I’m the only newcomer that started by checking out the Eclipse LP first.  I really connected with its nervous, agitated atmosphere and gradual increase in energy.  Afterward, I began exploring Station 70 and was immediately blown away by the sense of the unhinged, to quote Jenn and Marc.  I’m excited to digest it further. 
Bill Meyer: One thing I really appreciate about the Station 70 box is the way it takes two CDs of seething, intense music, and then adds a previously unavailable side that is even more over the top. 
This is music that leaves everything behind and embraces that uncertainty with absolute conviction. Takayanagi was a really challenging guy, known for calling out club owners, writers and other players if they didn't measure up to his standards at a musical, perceptual or ethical level. It's worth noting that he didn't just go further and further out. In later years, he played solo concerts that sound and look a bit like if AMM's Keith Rowe decided he wanted to sound like a live Throbbing Gristle record, and also some lyrical, jazz-rooted stuff. Whatever he did, he tried to do in a pure way, and he didn't have any patience for those who failed to match that determination. 
I think that Eclipse really distills the arc from abstract tension to fearsome explosion.  
Anyone have more thoughts? 
Marc Medwin: I do.  
First, and in a way, this sums up sentiments in previous posts, but it's so rare today that we find a "free jazz" musician, like Takayanagi, involved in so many facets of improvised music's history. William Parker and Anthony Braxton come to mind, but being of later generations, both began on the freer side of things rather than expanding their universes in quite the way Takayanagi did. Second, that sense of palpability, of bleeding-chunk passionate involvement, a kind of life-and-death involvement, has been such a joy to hear in more detail! Coincidentally, and somewhat tangentially, I just discovered the work of a composer from Canada named Paul Dolden. His Jericho series, Beyond the Walls of Jericho in particular reminded me of the affirming aggression of Takayanagi and company. He unleashes the fury of 100 freely improvising soloists, some pretty dangerous stuff for which Takayanagi, Kaoru and like-minded spirits set the table. Finally, a big thank-you from me to Blank Forms for everything they've done to document art between the lines, not to mention blurring and establishing all manner of boundaries! 
Christian Carey: The thing that most impresses me is the timeline. "Free Jazz" and "Ascension" were less than a decade old when a burgeoning free improv scene established itself in Japan. The more time I spend with the evolution of new music, the more I am impressed by the tautness of the timeline. It is all too easy for us, listening back decades, to forget how quickly Takayanagi was essentially able to world-build, alongside a small cohort of colleagues, and to create a distinctive branch of musical experimentation. 
Michael Rosenstein: I like the notion that Christian brings up about a "tautness of timeline," particularly with Takayanagi. If you listen to the music he was playing as part of Masahiko Togashi's Quartet in March of 1969, only one year before the Station '70 session was recorded, you can still hear vestiges of jazz in his playing.
youtube
I wasn't aware of this, but he was continuing to balance his jazz background with the music of his that I'm familiar with in the early 1970s. There's a full-on jazz session called A Jazzy Profile of Jo Jo recorded the same month as the Station '70 session where he is playing full-toned jazz guitar in a session of standards with a piano/bass/drums quartet with an uncredited horn section. Takayanagi was also the guitarist in a series of studio and live sessions with the Gil Evans Orchestra when they played in Japan in 1972 as well as a Sadao Watanabe full-on fusion session in 1972 where he shreds a bit more. Go figure!!!!
A Jazzy Profile of Jo Jo (1970)
youtube
Masabumi Kikuchi With Gil Evans (1972)
p>
youtube
Sadao Watanabe Quintet & Masayuki Takayanagi (1972)
youtube
But in the Station '70 sessions, those vestiges had become totally obliterated, with a willful "unhingedness" that several have mentioned above. His embrace of feedback is particularly intriguing. While he'd started to utilize it a bit in the studio session, Independence, from 1969, in these live sessions, it had become a central part of his strategies toward playing. Clearly that has been embraced by the entire ensemble. And that previously unissued version of "Mass Projection" takes it right over the edge. 
By 1975, when Eclipse and April Is the Cruelest Month were recorded, he had integrated the caustic shredding of Station '70 with free improvisation leanings and that playing, to me, is what still grabs me the most. I've never heard his later table-top guitar recordings which, as far as I know, haven't made it out of Japan so I'm hoping those will surface in the Black Editions series. 
Christian Carey: Also consider how close Hendrix was in time to these explorations! 
Bill Meyer: Here are the other titles in the projected Black Editions reissue campaign.  
Adding feedback and volume makes sense, since those became options for guitarists to very abruptly change their sound in the 1960s. And the sudden rate of change has a precedent in John Coltrane’s transitions, which at the time would have been very recent history. What I find really singular is Takayanagi’s ability to express active hostility towards  jazz and other people playing it, while somehow holding out the option to keep playing it himself. He was one ornery guy, and very particular in how he adhered to ethical and aesthetic principles.  
Here’s a brief sample of his tabletop action near the end of his life: 
youtube
And yet, at the same time, he was also able to do creative work within the idiom, as evidenced by this recording:
youtube
For Takayanagi, both destruction and interpretive extension of the language could be valid creative strategies, but reiteration was not. 
12 notes · View notes
leaverboux · 1 year
Text
DECODED ( 2019-2020 )
Photographie
Le travail photographique "decoded" de l'artiste et entrepreneur Daniel Wallace met en avant un travail de portrait photographique classique de femme en noir et blanc d'un côté et de l'autre une représentation d'une femme crée de toute pièce par une intelligence artificielle. 
Tumblr media
Les 2 photographies exposées côte à côte perturbe notre perception de ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Cela représente très bien un des plus grand problème de la société actuelle et sa volonté de perfection de son apparence quitte à ne plus ressembler à un être humain. Nous sommes de plus en plus habitué aux filtres qui modifient et améliorent notre visage ce qui rend la lecture de ces images encore plus troublante.
Tumblr media
J'ai choisi cette oeuvre après avoir pu l'observer au festival Images Vevey car elle m'a questionné sur l'utilisation de l'intelligence artificielle et jusqu'où pourra-t-elle aller. De plus, c'est intéressant d'explorer le mauvais côté des IA et leurs conséquences. 
2 notes · View notes
bouxmounir · 2 years
Text
Du rap enflammé à la "paix intérieure" : l'insaisissable histoire de Diam's
Du rap enflammé à la “paix intérieure” : l’insaisissable histoire de Diam’s
L’artiste, qui a mis fin à sa carrière, a coréalisé, avec Houda Benyamina et Anne Cissé, le documentaire Salamprésenté en séance spéciale au Festival de Cannes 2022. Retour sur le destin hors norme d’une icône du rap français. « Parfois, je me demande : on était combien à faire semblant ? » Dans la bande-annonce de son documentaire Salam (“paix” en arabe), présenté le jeudi 26 mai au Festival de…
View On WordPress
0 notes
claudehenrion · 2 years
Text
''La folie est sortie des asiles'' ? Non !  C'est de la géo-inginérie !
   Une nouvelle ''académie'' de pâles ''Docteurs Folamour'' qui sévit dans l'ombre, commence à montrer le bout de son nez affreux. Ses membres, tous inconnus du monde entier, se cooptent, autour de Bill Gates, parmi les adorateurs de l'écolo-panique punitive, à ceci près que eux ont décrété que les contraintes imposées par la convention de Paris (dite ''COP 21'') et ses suivantes, n'étaient pas réalistes (ce que tout esprit non-borné savait, dès avant les larmes de crocodile du Fabius-le-nul signant ce ''piège à c...s''), et que ''par conséquent'' (sic !) il faut faire beaucoup plus, beaucoup plus vite, et --pour citer notre Président-- ''quel qu'en soit le prix'' !
Ne vous étonnez donc pas si vous commencez à découvrir, en bas d'une page habituellement réservée aux chiens écrasés, dans votre quotidien, des mots étranges, des concepts ahurissants, des idées sans le moindre sens : il s'agit de ''premières pierres'', posées pour prévenir les foules de ce qui les attend, dans des délais... infiniment plus courts que ce que les prophètes de malheur laissent filtrer pour commencer (Règle n°1 : ne pas effrayer le gogo !). Le raisonnement se résume assez facilement, s'il est impossible à comprendre, difficile à croire, et mortel dans son déroulement : ''Puisque les mesures qui sont  actuellement proposées sont insuffisantes et ne vont pas atteindre leurs objectifs, et puisque la seule chose qui compte est de sauver la planète de ce que prévoit le Giec (que ces déductions soient fausses n'est plus un problème : il est obligatoire de les considérer comme ''parole d'Evangile'' !), il ne reste qu'une voie ouverte : tout faire pour sauver la Terre, fut-ce en sacrifiant l'humanité''.
Il s'agit d'une approche ''progressiste'' (dans le plein sens du mot) de cette question (qui se pose.. ou pas, et en ces termes... ou pas !) : le niveau qu'a atteint notre maîtrise de la ''technique'' (eux disent ''de la science'', c'est plus respectable mais cest faux !) est tel, que tout problème, par le seul fait qu'il est posé et énoncé, doit et peut recevoir une réponse technique. Un point, c'est tout ! Il est prudent et sage de vite ajouter que ces apprentis-sorciers --plus apprentis que sorciers-- ne s'arrêtent pas un seul instant aux conséquences (à court, moyen et long termes) qui peuvent découler de ce qu'ils nomment ''solutions''. L'irresponsabilité attribuée à Madame de Pompadour, ''Après nous, le déluge'', leur est largement applicable.
Ces pseudo-savants vivent dans l'univers totalement irrationnel d'une planète en bout de course, malmenée et maltraitée par ses occupants de fait, qui menace (avec juste raison, disent-ils) de tomber en panne à tout instant, et qu'il faut donc sauver de la négligence des méchants... (Ils sont tellement persuadés de la culpabilité ontologique et systémique de l'humanité-ennemie, que toute idée de cycles ou de périodes astronomiques de refroidissement-réchauffement leur est étrangère). Tous les coups sont donc permis, et les conséquences à traiter par le mépris. Heureusement que de merveilleux sachants (sous entendu : ''eux et leurs amis'' !) ont une réponse technique à toute cette vilenie (Nous répondrons demain).
Et là... commence le ballet des folies intégrales... Un festival de conneries ! Première idée : on va ''construire'' une ceinture forestière tout autour de la planète, pour absorber tout le CO/CO² excédentaire. Pour bien remplir ce rôle fondamental (?), il faudra qu'elle ait au moins 20 km de large, (sans doute 5 fois plus, à l'arrivée !) mais couvre tous les continents (pas de jaloux ! Et tant pis pour les agriculteurs, les réserves d'animaux sauvages, etc...). Mais pour cela, il faut des quantités d'eau que nous n'avons plus, ''because le réchauffement''. Eh ! bien, qu'à cela ne tienne : Deuxième idée : au lieu qu'elle soit faite de vrais arbres, la technique permet de l'envisager en arbres synthétiques boulimiques de CO² (on vous dira à quoi ça ressemble quand on les aura inventés) --d'où le mot ''construire'' utilisé plus haut. Ah ! ça consomme plus d'énergie qu'on peut en fournir ? Tant que la ''science'' (= sa caricature) n'a pas apporté la réponse --ce qui ne saurait tarder (c'est moi qui vous le dis, depuis mon iso- Silicon Valley du ''9--3''), on va essayer autre chose : ce qui compte, c'est ''tuer'' l'évolution actuelle, telle qu’elle est fantasmée par le GIEC.
La troisième idée de ces faux génies, pour modifier le climat en profondeur, est donc de ''fertiliser'' les océans, en y déversant des millions de tonnes d'oxyde de fer --tirés des terrains volcaniques : il y en a partout : ça ''N-tuplerait'' la capacité du phytoplancton à absorber du gaz carbonique, en transformant chacune des pauvres cyanobactéries en éponge à CO². Vous me dites que les micro-algues benthiques des grands fonds marins, qui ne font pas partie du phytoplancton ne supporteraient pas ce traitement, et que le tripatouillage insensé de la très vieille cohabitation harmonieuse de ces deux sous-ensembles ferait disparaître les 3/4 de la faune marine ? Bon... tant que la réponse technique n'est pas là... etc... (voir supra !).
Idées n° 4 et 5 : puisque la banquise fond, disent-ils, on pourrait peindre tout en blanc (toitures, villes, déserts, cultures agricoles trafiquées, routes, pâturages, montagnes privées de neige, etc)... Et tant qu'on y est, on pourrait modifier en profondeur ''l'albédo'' (c'est la capacité de l'atmosphère de refléter la chaleur et renvoyer de l'énergie), en projetant dans la stratosphère des millions de tonnes de soufre mêlé (ou pas) à des sels marins, pour que les rayons du soleil soient réexpédiés à l'envoyeur. De bleu, le ciel deviendrait blanc, ou jaune, ou on ne sait pas, et tout le système des vents, des moussons, des cyclones/anticyclones  etc.. serait détruit sans qu'on sache vers quoi...  Mais, ajoutent ces fous ''ça vaut la peine d'essayer'' ! Enfin... je vous ai gardé le meilleur pour la fin : on pourrait placer en orbite, à 1,5 millions de kilomètres... environ (sic !), d'immenses plaques-miroirs réfléchissantes (1,6 millions de Km² devrait suffire ! Fastoche ! Ya plus qu'à ! (NDLR :  ils emploient le conditionnel pour ne pas nous affoler : ils sont sûrs que cela est inévitable... et qu'on va donc y avoir droit ! Ouf ! Me voilà bien rassuré !).
N'allez surtout pas croire qu'il s'agit là de science fiction : je ne vous aurais pas dérangés pour ça ! On apprend que Bill Gates (le plus grand danger pour l'humanité, après Klaus Schwab et Attali) vient d'investir des sommes pharaoniques dans ce nouveau domaine de la recherche qu'il a baptisé ''la géo-ingénierie''. Les détails de ses rêves --qui sont nos cauchemars-- sont décrits dans ''Les apprentis sorciers du climat -- Raisons et déraisons de la géo-ingénierie'', de Clive Hamilton (Ed. le Seuil), l'auteur de ''Requiem pour l'espèce humaine''. Je ne sais pas ce qui sortira de ce catalogue de folies : des expérimentations hasardeuses et beaucoup de mal, sans doute. Mais je sais, en revanche, que plus le temps passe, plus ma phrase favorite, ''la folie est sortie des asiles'', s’impose. Pas pour la chasser...
H-Cl.
5 notes · View notes
anne-fff · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
quelques photos de mon installation températures, au Festival International de Musique Actuelle de Victoriaville, mai 2022.
2 notes · View notes
nonesuchrecords · 2 years
Text
Tumblr media
"On a pair of interlinked albums—one performed with a jazz quintet and the other with a string quartet—the composer-guitarist finds new context for her singular style," Pitchfork's Andy Cush writes of Mary Halvorson's new albums, Amaryllis and Belladonna. You can read the review here.
Halvorson and the musicians on the albums perform from at National Sawdust in Brooklyn tonight, Jimmy's Jazz & Blues in Portsmouth, NH, Friday, and Festival International Musique Actuelle in Victoriaville, QC, Saturday. Tickets here.
2 notes · View notes