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#film surréaliste
bizarreauhavre · 1 year
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Love and toys, 1947, (surrealist movie). 
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kalincka · 2 years
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Écoutez-moi. Écoutez-moi quand Alice est prise en charge par la Brigade Temporelle c'est Constance qui s'occupe d'elle ok. Et on peut se douter que Mattéo, Louise et Victor s'occupent de Renard et Raph vu qu'ils les ont arrêtés. D'accord ?
Écoutez-moi.
Il ne reste que deux personnes à la Brigade pouvant garder Gilbert.
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elegieenbleu · 2 years
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Au revoir Jérôme Animation Short Film 2021 GOBELINS “Tout juste arrivé au paradis, Jérôme se met en quête de sa femme Maryline. Au fil de ses recherches, il s'enfonce de plus en plus dans un monde surréaliste et coloré dans lequel personne ne semble pouvoir l’aider.” Réalisation : Chloé FARR, Gabrielle SELNET, Adam SILLARD  Découvrir le court métrage par ici
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Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
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Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
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J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
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J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
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Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
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Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
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hayaomiyazaki · 3 months
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Je tends les bras (1931 or 1932) gelatin silver print on paper Claude Cahun
I Extend My Arms is a black and white photograph showing a dramatically gesturing pair of arms apparently emerging from inside a stone monolith. A tanned female left arm, ornamented with three beaded wooden bangles on its wrist, extends from out of a large hole in the lichen-covered stone. Its partner – wearing a ring on its little finger – emerges from the other side of the monolith, which is of similar dimensions to a human body. A section of low wall made of similar lumps of stone and cement extends towards the foreground of the image. An old iron fixing sticking up from the wall below the hole suggests that it was drilled to fit elements of a gate or other similar structure, supported by the monolith and wall. The owner of the arms is standing behind the monolith so that her body is completely concealed; this creates the illusion that she is inside the stone or has somehow become fused with it. The simple upright block-like form, softened by many years of weathering, is tightly cropped into the picture frame. Brightly lit by full sun, it stands out starkly against a sepia-coloured blue sky. As the work’s title indicates, the arms extend outwards with spread fingers as though they are reaching out for something – possibly attempting to grasp or embrace somebody. There are three known variations of this image (reproduced Downie, p.178): two photographed from similar angles showing the arms in different positions and a third viewed from a different perspective in which only one arm is visible. In an image titled Combat de pierres (Battle of the Stones), 1931 (private collection, Paris) Cahun used Tate’s version of the image in a double exposure with one of the other variations reversed, so that the two versions of the figure appear to be attempting to grasp one another. In all three images, the arms are held in stiff positions, either bent at the elbow or stretched out straight, palms facing or turned away from the shutter so that the splayed fingers are always displayed in full. The effect is comic, recalling slapstick gestures in early film. While the monolith has an inevitably phallic form, the arms with their ornamentation are feminine, defying a single-gendered reading of the image. The beaded bangles with their African and Oceanic resonances represent a form of exoticism that relates to primitivism which the totemic simplicity of the image also evokes. As a reflection of the interest invested by the Surrealists in the ‘primitive’, ritual objects including Eskimo masks and Amerindian mummified heads were included among other ethnic artefacts listed in the exhibition catalogue for the Exposition surréaliste d’objets at Galerie Charles Ratton in Paris in May 1936, in which Cahun participated with objects of her own making. In I Extend My Arms, the ancient rock evokes the chthonic, essential, primal non-gendered self that Cahun’s many self portrait images express, particularly an image from 1928 which shows her back and profile, her head shaven but her eyes and lips made up, combining a non-gendered human form (the head reduced to its bare structure) with the clichéd feminine masquerade. At the same time it links with the notion of masks and death evoked in the artist’s photograph Crystal Heads, 1936 (P79321), taken at the British Museum. — Elizabeth Manchester, January 2008
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havaforever · 5 months
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LE GARCON ET LE HERON - D’où vient la fascination suscitée par les films d’Hayao Miyazaki ? Au-delà de la précision et de la richesse de l’animation, la clef de leur mystère réside peut-être dans les voyages fantastiques que les récits déploient, et à l’issue desquels les personnages voient le monde qu’ils ont quitté d’un œil neuf.
Ce qu’il y a de plus beau dans le cinéma de Miyazaki se tient ainsi dans la collision des mondes qu’il façonne, lorsque les univers s’entrechoquent ou au contraire se délient. Dans Le Voyage de Chihiro, le passage du réel vers sa doublure surnaturelle se faisait notamment pas à pas, sans que la jeune fille ne s’en rende compte tout de suite ; à l’inverse, l’onirisme s’estompait à la toute fin par le truchement d’un seul et déchirant raccord.
Film coupé en deux, Le Garçon et le héron ne fait pas exception et acte même un retour vers cet horizon carrollien, dix ans après la sortie du Vent se lève, récit autobiographique et testamentaire qui avait quant à lui pour particularité de privilégier un ancrage plus réaliste.
Composée d’un nombre inattendu de scènes silencieuses qui retardent autant que possible le début du voyage, la première partie dans le manoir de son père et sa belle-mère, se révèle par ailleurs d’une certaine finesse dans la manière qu’a Miyazaki de distiller des petites touches d’étrangeté.
La première moitié est d’autant plus convaincante qu’elle contraste à plein d’égards avec la suite du récit. Mahito y découvre le monde des morts dans l’espoir de revoir sa mère défunte qui, selon le héron, s’y cacherait, puis de retrouver la trace de sa belle-mère, disparue sans explication. Au fil d’une odyssée vertigineuse où le jeune garçon franchit une série de seuils, de paliers et de portails, Miyazaki livre sa propre version de L’Île des morts d’Arnold Böcklin et emboîte plusieurs univers entre eux.
Ce qui manque pourtant au parcours de Mahito est un fil conducteur permettant de lier les différentes strates entre elles, à l’image des blocs géométriques que le créateur de l’inframonde, grand-oncle du garçon, tente de maintenir en équilibre les uns sur les autres. Le Garçon et le héron est dépourvu d’un « château ambulant » comme le film du même nom, l’un des longs-métrages les plus bigarrés de Miyazaki.
En l’absence d’un réel axe structurant, Mahito passe le plus clair de son temps à passer d’une scène à l’autre, plutôt qu’à explorer l’espace ou à expérimenter le champ de ses possibles. Le récit apparaît parfois même un peu trop théâtral dans sa construction dramatique, les décors se succédant scène après scène pour constituer une toile de fond aux contours un brin flous et abstraits, dans une perspective volontiers surréaliste.
Au film de s’achever alors plus sobrement dans le manoir familial, sur une porte qui s’ouvre et la promesse d’un nouveau voyage. Cela tombe bien : si Le Garçon et le héron a les traits et l’envergure d’un ultime film, Miyazaki se serait déjà remis au travail...
NOTE 14/20 - Le Garçon et le Héron est aussi impénétrable que personnel, moins accessible que d’autres classiques mettant en scène Totoro, Mononoké ou Chihiro. Pas très drôle non plus. Il faut le temps de digérer cette quête d’un monde harmonieux qui passe par le deuil et la transmission, ça fait beaucoup à porter pour un spectateur en attente de "spectacle".
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davidfakrikian · 11 months
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DVDvision - La Collection Épisode 8
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 8 de la série, quand le rédac-chef se retrouve à travailler 24h/24 pour sauver le DVD de Crying Freeman, et est trop épuisé pour signer l'édito !
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Numéro 8 - Janvier 2001 - 
116 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Guillaume Delbos, Gael Golhen.
Sommaire : Gladiator making of DVD, Films ados, DVD en séries.
DVD : Le Pacte des Loups, Les Rivières Pourpres.
Notes : Ce numéro fut le plus vendu de DVDvision, montant à 34 000 exemplaires. Nous venons alors d'embaucher à temps plein Benjamin Rozovas, qui prend en charge le cahier multimédia, et grâce à ma rencontre avec Nicolas de La Mothe, qui dirige alors les projets à Gaumont Columbia Tri-Star, je signe le dossier de couverture sur Gladiator, qui est une véritable plongée dans les coulisses de l'adaptation d'un blockbuster américain en DVD Zone 2. C'est donc la deuxième fois en 8 numéros qu'un film de Ridley Scott fait notre couverture. Lié au DVD, Le Pacte des Loups, forcément très racoleur, et à la superbe couverture retravaillée par Joel Casano, ce numéro tombe à point. 
Il correspond aussi à une énorme période d'effervescence pendant laquelle je me retrouve à travailler littéralement jour et nuit, ce qui explique que Leonard Haddad signe le très drôle éditorial de ce numéro. Bien que présent quand il l'a rédigé, je n'avais ce soir là plus la force d'écrire, donc je l'ai laissé à mon ordinateur le faire à ma place. 
La raison ? Alors que la date de sortie du Pacte des Loups de Christophe Gans approche, l'odyssée du DVD Crying Freeman, commencée en 1999, sur lequel je donne un coup de main au concepteur Sébastien Prangère (également le monteur du Pacte des Loups) prend une tournure surréaliste.
Au cours de la conception, j'ai décidé de mon propre chef, au vu de l'abondance de matériel, que le collector serait un double DVD-9, alors qu'à l'origine, le produit était budgétisé pour un DVD-10 (double face). Ce qui, en plein milieu du bouclage du magazine, me vaut d'être convoqué en compagnie de Sébastien Prangère dans le bureau de Victor Hadida, qui m'incendie à juste titre, (après tout, c'est son argent que je suis en train de dépenser). Les ventes sont alors estimées à 5000 ex., et faire deux DVD-9 risque de réduire fortement les bénéfices possibles du projet. Je défend mon choix avec une énorme mauvaise foi, argumentant des raisons techniques, et Victor fini par valider à contre-coeur. 
Après avoir reporté la sortie une première fois pour refaire le master en HD, (sur lequel j'ai supervisé l'étalonnage qui ensuite a été approuvé par Christophe), nous ratons la nouvelle date de sortie, quand la compagnie chargée du transfert HD nous livre un DVD master dans lequel il manque environ 40 secondes de film ! Elles étaient pourtant présentes sur la copie interpositive que nous avons remasterisée. Il faut donc tout refaire ! Et pour couronner le tout, malgré nos efforts et nos nuit blanches passées à les aider, la compagnie chargée des menus est incapable de nous livrer un produit fini qui correspond à nos attentes sur le deuxième disque des suppléments.
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Le coffret Crying Freeman de 2001, originellement estimé à 5000 ventes, est monté à 100 000 exemplaires à sa sortie.
Pendant ce temps, une fois les bons de précommande envoyés aux magasins, et après que j'ai organisé une démo de présentation pour la presse avec un avant/après, pendant laquelle tous les journalistes sont devenus fous en voyant la qualité du transfert HD du film, la hype monte. Très, très haut. L'éditeur a commencé à faire imprimer le coffret emballage. Qui passe d'un pressage de 6000 ex, initialement prévu, à 12000. Puis, deux jours après, nous apprenons qu'il y a 18000 précommandes. Nous renvoyons donc au calage le coffret, pour 24000 exemplaires. Mais la semaine suivante, on nous informe qu'il y a 32000 précommandes ! Le coffret va être remis au calage au moins quatre fois, pour un total de 80000 exemplaires, du délire total. Seul problème, si l'emballage est prêt, le DVD ne l'est pas ! 
Alors qu'il a vent des chiffres de précommandes, je devient le meilleur ami de Victor Hadida, qui convoque un meeting au sommet avec son frère Samuel, Christophe Gans et Sébastien Prangère, où nous décidons tous que vu l'attente, il est hors de question de sortir le disque tel qu'il est finalisé par la compagnie d'authoring. Victor va alors empoigner son téléphone, et sauver le projet, en embauchant TOUT le staff d'une autre compagnie d'authoring pour refaire le disque... en une semaine, sous la supervision de Sébastien et moi. Il paie donc littéralement cette société, pour que tous leur travaux en cours s'arretent, et que 100% de leur équipe travaille sur le DVD Crying Freeman 24h/24 ! 
Je me retrouve donc à travailler la journée au journal, et la nuit chez la nouvelle compagnie d'authoring, dormant dans la chambre d'amis de Sébastien Prangère entre 4 heures et 8 heures du matin, avant de reprendre le chemin du journal. En 5 jours, nous reprenons tout à zéro, reconcevant le menu, le disque de suppléments, refaisant tous les graphismes, ajoutant des bonus de dernière minute, et refaisant même deux fois la compression du film, après que Christophe réalise sur son téléviseur qu'une étrange teinte verte a fait virer inexplicablement les couleurs du master. (En vérité, on le découvrira des années plus tard, les tubes cathodiques de cette époque, différents du moniteur HD sur lequel nous avions validé le film, viraient au vert. Ils nécessitaient donc une teinte rouge dominante afin de rééquilibrer l'image, ce qui explique que tous les masters des années 90 à 2005 ont un "red push" donnant sur les écrans d'aujourd'hui une apparence rosée).
Pour passer le temps en attendant que les graphistes nous envoient les nouveaux menus sur internet la nuit, nous jouons à la Dreamcast à SoulCalibur avec Sebastien (et oui, nous sommes encore en 1801) !
Une fois le travail terminé, Sébastien a dormi pendant 4 jours, sans qu'il ait été possible de le joindre au téléphone... Une fois le DVD sorti, il sera regardé comme l'un des meilleurs jamais édité sur le marché, un exemple à suivre, qui atteindra les 100 000 exemplaires de vente au total, en pleine post-effervescence Pacte des Loups, un happy-end inespéré.
Qui a dit que la vie d'un rédac-chef était de tout repos ? Il s'est assurément trompé. 
La citation de ce numéro : "David, mon ami !"  (Victor Hadida - janvier 2001)
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jeux-raconte · 10 months
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After Life
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Pourquoi j'ai regardé cette série ?
Des extraits vus passer par hasard, sur Tiktok entre autres, m'ont donné envie de regarder. On voyait des passages d'humour noir bien grinçant, un sujet qui avait l'air à la fois sérieux et émotionnel, Ricky Gervais, donc je m'étais dit "pourquoi pas !". En plus format court, 25 min, 6 épisodes par saison, aucun frein au fait d'essayer.
Ça parle de quoi ?
Le personnage principal, joué par Ricky Gervais donc (qui a aussi écrit et dirigé la série, c'est peut être un des problèmes d'ailleurs...) a perdu récemment sa femme, morte d'un cancer. Et la série suit son quotidien, il essaie de s'en sortir mais il a beaucoup de mal à faire le deuil. TW suicide, alcool, drogue...
Tu as tout regardé ?
Non. J'ai regardé la première saison assez rapidement. J'ai cru voir qu'il y en avait 3 sur Netflix. Mais j'ai calé durant la 2e saison, et je ne pense pas reprendre...
Pourquoi, ce n'était pas bien ?
Il y a de bonnes choses. De bonnes scènes aussi, un peu provoc, très humour noir. Mais ces scènes, mises en avant dans la communication et sur les réseaux sociaux, sont au final assez peu nombreuses (et je les avait toutes vues sur Tiktok je pense...). Le reste de la série est très orienté "tranche de vie". Ce n'est pas un point négatif, j'aime beaucoup ça, que ce soit en film, série ou même anime. Mais celle-ci a du mal à trouver le ton de son histoire, et je pense que c'est au final ce qui va me faire complément lâcher. D'un côté, on a une histoire très triste d'un deuil, d'un personnage fracassé et qui a du mal à aller de l'avant. Et pour cela, il fait payer un peu tout le monde autour de lui, c'est un peu le point central de la première saison. Chaque épisode suit une journée, avec des étapes ritualisées qu'on retrouvera dans chaque épisode de la saison : réveil en regardant une vidéo tournée par sa femme pendant son hospitalisation, il s'occupe de son chien, intervention du facteur, il va bosser, etc... Le problème, c'est que cette série assez réaliste, terre-à-terre et mélancolique, inclut des personnages complètement loufoques, pour rester polis et ne pas dire COMPLÈTEMENT WTF. Je pense notemment au personnage du psychiatre, qui n'est plus réaliste une seconde tellement ils ont poussé à fond le curseur de l'absurde en l'écrivant. En plus de personnages invraisemblables, les situations le sont aussi, et je sais que les séries n'ont pas besoin d'être réalistes pour être bien. J'aime beaucoup les Friends et autres HIMYM. Mais le cadre de la série, l'idée de départ, repose sur du drame humain fort et difficile à vivre par le personnage. Sauf qu'au bout d'un moment, on n'est plus du tout dans cette histoire tellement on voit n'importe quoi en termes d'interactions sociales ou de caractères de personnages... Pour couronner le tout, dans l'avant-dernier épisode de la saison 1, le personnage principal fait quelque chose de moralement lourdement douteux, probablement pénalement aussi... Et cette action n'est plus du tout abordée, aucun remords, aucun débat moral, aucun questionnement sur ce qui s'est passé... je ne comprends pas qu'on puisse laisser ça comme ça, c'est surréaliste.
J'ai commencé la saison 2, la série change un poil de focus et parle plus des autres personnages. Mais là aussi, plein de soucis : le personnage principal passe un peu trop brutalement de "je déteste tout le monde et je le montre bien fort" à " les autres sont tristes et ont besoin que je les aide, je vais sauver tout le monde". Et l'un après l'autre, chacun a son moment de grâce avec Ricky Gervais qui lui sauve la vie... Il y a encore plus de scènes toujours plus wtf, voire même on atteint des sommets de cringe jamais atteints même dans l'ensemble des saisons de The Office...
Je n'ai plus aucun attachement pour l'histoire, j'ai un arrière goût amer de "Ricky Gervais écrit pour Ricky Gervais pour montrer qu'il est drôle, sensible, qu'il peut sauver tout le monde", et c'est un peu insupportable à force... Je ne supporte plus les scènes cringe du psy ou du beau-frère, j'arrête là les frais. Mais je suis assez triste, le setup avait du potentiel, le casting aussi... Parce que je critique beaucoup Ricky Gervais, mais les autres acteurs (à part le psy 🤬) jouent vraiment bien et rendent certaines scènes très agréables. Malheureusement, je ne recommande pas...
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archibaldtuttle · 1 year
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Hier j'ai enfin vu House (1977), un film d'horreur qui était sur ma liste depuis des années. Je voulais être dans un état d'esprit particulier pour le voir, ayant vu des extraits et entendu l'histoire de sa création au part avant.
Ce film est un trip hallucinatoire, complètement surréaliste mais absolument fascinant de beauté et de poésie. Non pas qu'il se prenne au sérieux pour autant, pas du tout d'ailleurs! Et c'est ça qui fait son charme, en réalité.
C'est un des films les plus uniques que j'ai jamais vu. C'est un des films les plus beaux que j'ai jamais vu. C'est un des films dont le montage m'a le plus impressionné. Honnêtement, House va probablement trouver sa place dans mon top 10 des films que j'ai jamais vu. Si vous avez l'occasion de le regarder, faites le - il vaut le coup.
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grenade24 · 1 year
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AU REVOIR JÉRÔME - Animation Short Film 2021 - GOBELINS from GOBELINS Paris on Vimeo.
Having just arrived in paradise, Jerome sets out to find his wife Maryline. In the course of his search, he sinks into a surreal and colourful world in which no one seems to be able to help him. . Tout juste arrivé au paradis, Jérôme se met en quête de sa femme Maryline. Au fil de ses recherches, il s'enfonce de plus en plus dans un monde surréaliste et coloré dans lequel personne ne semble pouvoir l’aider.
************************* Directors / Réalisateurs : Chloé FARR, Gabrielle SELNET, Adam SILLARD Team contact / Contact de l’équipe : [email protected] . Soundtrack / Musique : Anna CORDONNIER, Amandine ROBILLARD Sound editor / Montage sonore : Nadège FEYRIT Mix / Mixage : Cédric DENOOZ . Production : GOBELINS, l'école de l'image - Cécile BLONDEL : [email protected] Distribution : Miyu Distribution - Luce GROSJEAN : [email protected]
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already-14 · 2 years
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Joseph Cornell 1903-1972
CINEMA EXPERIMENTAL
La vie de Cornell suit l’histoire du cinéma, il va dans les nickels-odéons et les pennies arcades2, il voit des films dans les foires et les fêtes foraines, puis dans des théâtres avec accompagnement musical, il découvre les films teintés et assistera aux passages au parlant et à la couleur.
Le film Rose Hobar(1936) a été entièrement composé par Cornell à partir d’images trouvées dans des entrepôts du New Jersey, la plupart provenant d’un film de série B intitulé A l’Est de Borneo. Pour les rares projections qui ont eu lieu de ce film, Cornell faisait entendre le disque de Nestor Amaral, Holiday in Brazil et diffusait le film à travers un filtre bleu foncé pour lui donner un aspect onirique. Le film a été présenté à la Julien Levy Gallery en décembre 1936 dans le cadre de la première Exposition Surréaliste au Museum of Modern Art de New York. Salvador Dalí, présent à New York pour le vernissage au MoMA, était présent et le film a déclenché sa fureur, Dali proclamant qu’il avait eu lui-même l’idée d’appliquer au cinéma les techniques du collage. Dali a fait remarquer à Cornell qu’il ferait mieux de s’en tenir à ses boites et celui-ci, de nature timide, a renoncé à montrer ses films en public.
Rose Hobart est un concentré « amoureux » de Cornell pour une actrice, une cristallisation poétique et cinématographique provoquée notamment par la disparition de l’histoire contenue initialement dans East of Borneo.Cornell ne s’intéresse qu’à l’actrice, à son visage anxieux et aux gracieux mouvements de son corps mis en valeur par de nombreuses ellipses, des arrêts et des sauts de montage érigeant le faux raccord en principe esthétique et ce soixante ans avant In the Mood for Love. En plus des gros plans, Cornell a notamment choisi de garder ceux où le corps de l’actrice est cadré par des rideaux, des fenêtres, des portes, des balcons, ce qui provoque un travail de sur-cadrage et de mise en scène supplémentaire. Il a enlevé les dialogues et la musique et il projette le film à la vitesse du cinéma muet pour le ralentir. Toutes ces manipulations visent à créer un style onirique et élégant qui sublime l’actrice. Cornell est à la fois un spectateur sophistiqué, un cinéphile amoureux et nostalgique du cinéma muet, le seul qui vaille pour lui – son film peut se voir comme une analyse restrictive de East of Borneo – et il se comporte en fan séduit par l’actrice car le montage est entièrement organisé autour d’elle. Mais peut-être est-ce la même chose… Une éclipse, un moment important du film, a été totalement créée par Cornell qui a rajouté des plans. C’est le cas en début de film où pendant quelques secondes, des images montrent un groupe de personnes les yeux levés vers le ciel regardant au travers de quelque chose. Cette éclipse donne un sens poétique à l’anxiété de Linda qui semble être dans l’attente de quelque chose, elle instaure un léger suspens. Rose Hobart était accompagné de deux extraits musicaux enregistrés sur un disque, une rumba brésilienne qui accentuait ironiquement le caractère inquiet du personnage joué par l’actrice. Initialement le film était projeté au travers d’une vitre bleue, mais à la fin de sa vie, Cornell donna l’instruction de teinter la copie et de joindre en boucle la musique. Rose Hobart, pendant plus de trente ans, restera une expérience singulière dans l’histoire du film de montage. Peut-être parce que seul un collectionneur de film pouvait faire un tel objet : l’amour du cinéma mais aussi l’expérience des accidents qui arrivent au projectionniste amateur car lorsque les films cassent, les collures engendrent des montages accidentels. Élément qui pourrait être l’un des « génératifs » de l’esthétique des films de Cornell. Rose Hobart fut montré pour la première fois à la Galerie Julien Levy en décembre 1936 dans un programme comprenant Anemic cinéma de Marcel Duchamp, l’Étoile de mer de Man Ray et une sélection de films de sa collection intitulée « Goofy Newsreel » (« Actualités stupides ») : des films Zecca, une série comique américaine « Unreel Newsreel »… Après avoir vu Rose Hobart Salvador Dalí se mettra en fureur contre Cornell l’accusant de lui avoir volé le concept. Cornell en sera profondément affecté.
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bizarreauhavre · 1 year
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 The face of desire, 1957, (surrealist movie).
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ondessiderales · 6 hours
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Utena, la fillette révolutionnaire
« Il était une fois une petite princesse qui était très triste d'avoir perdu son père et sa mère. Un prince charmant sur son cheval blanc, qui passait par là, apparut alors devant elle. Il avait une allure royale et un gentil sourire. Le prince prit la princesse dans ses bras parfumés de rose et essuya gentiment les larmes de ses yeux. "Petite, tu portes en toi un chagrin profond. Ne perds jamais cette force et cette noblesse lorsque tu grandiras. Je te donne cette bague au motif de rose en souvenir de ce jour. Nous nous rencontrerons de nouveau un jour, et cette bague me mènera à toi." La bague que donna le prince était sans doute une bague de fiançailles. Tout cela était bien beau, mais la princesse était si impressionnée par le prince qu'elle décida finalement de devenir un prince elle-même. Mais était-ce vraiment une bonne idée ? »
« Utena, la fillette révolutionnaire (ou peut-être plus littéralement Utena, la fille révolutionnaire) est l'histoire d'une jeune fille de 14 ans, Utena, qui a rencontré un prince monté sur un cheval blanc alors qu'elle était très jeune et venait de perdre ses parents. Il lui a offert une bague en souvenir de leur rencontre et elle rêve de le retrouver un jour. Mais surtout, Utena a été si impressionnée par le prince qu'elle souhaite devenir un prince elle-même, bien qu'elle soit une fille.
Lorsque la série commence, une nouvelle année scolaire est sur le point de commencer à l'établissement Ohtori. Utena, qui a désormais 14 ans, s'attire d'entrée de jeu les foudres de l'un de ses professeurs parce qu'elle n'a pas renoncé à porter un uniforme de garçon. Elle porte toujours la bague que lui a offerte le prince après le décès de ses parents. Même si elle ne se souvient plus de tous les détails de leur rencontre, elle se rappelle sa promesse : si elle conserve sa noblesse intérieure, cette bague la ramènera un jour jusqu'à lui.
L'établissement Ohtori est le théâtre d'une compétition des plus étranges entre les membres du conseil des élèves. Ils se livrent des duels à l'épée pour obtenir la Fiancée de la Rose, une jeune fille du nom d'Anthy.
Ces duels se livrent dans un décor atypique : une vaste arène située sur une plate-forme, au-dessus de la forêt qui borde l'établissement, surplombée par un château inversé et suspendu dans le ciel. Une rose est accrochée à la poitrine de chaque combattant. Celui qui perd sa rose est déclaré vaincu. Le vainqueur devient ou reste le fiancé d'Anthy. Ce jeu complexe est organisé par un personnage mystérieux, qui se fait appeler « Les (Con)fins du Monde » et communique par le biais de lettres avec les membres du conseil des élèves. Il est prédit que celui ou celle qui saurait conserver Anthy obtiendrait le pouvoir de révolutionner le monde.
Utena se retrouve mêlée à cette compétition sans l'avoir voulu. La bague qu'elle porte se trouve être un « Sceau de la Rose », le symbole des duellistes. Saionji, qui est alors le fiancé d'Anthy, ayant blessé les sentiments de son amie Wakaba, Utena le défie en duel. Elle l'emporte et se retrouve alors fiancée à Anthy.
Le manga comme la série et le film développent un univers de shōjo allégorique et parfois surréaliste. Ils contiennent de nombreuses intrigues romantiques, en particulier la relation entre Utena et Anthy, qui s'inspire du genre du esu. L'esthétique de cet univers emprunte aussi aux pièces de théâtre de la revue Takarazuka et au théâtre d'ombres.
Bien que la série animée démarre comme un shōjo à l'ambiance de conte de fée, elle prend progressivement un ton plus adulte. L'atmosphère de la série manifeste fréquemment un caractère irréel, parfois métaphorique, parfois absurde. Les réunions du conseil des élèves sont notamment l'occasion d'évènements étranges, voire inexplicables (les membres du conseil s'exercent au lancer du couteau, un train passe à quelques mètres, une partie de baseball se déroule juste à côté, etc.) » (Source : Wikipedia)
Cette œuvre s'inscrit dans la longue tradition des romans d'apprentissage, l'intrigue pouvant être interprétée comme une métaphore du passage à l'âge d'adulte d'Utena. Mais que signifie devenir adulte ? Être une femme ? Être un homme ? Le dessin animé aborde toutes ces questions à travers la métamorphose d'Utena en héroïne et en prince charmant tout le long de la série.
Les chansons du dessin animé sont poétiques, touchantes et mystérieuses, je vous en ai donc fait ici la traduction.
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Utena - Rondo Revolution
Osons vivre maintenant avec pureté et courage (Just a long long time) (Juste un long long moment) Mêmes si nous sommes toutes les deux séparées (Let's go away) (Partons d'ici) Take my revolution ! (Prends ma révolution !)
Dans le jardin de l'école éclairé par le soleil Nous nous sommes pris la main Nous consolant l'une et l'autre, nous nous sommes juré Que nous ne tomberions plus jamais amoureuses
Ce lien si profond nous a changées à jamais Et maintenant nous sommes devenues si robustes C'est notre façon de vivre, everyday everytime (tous les jours, tout le temps)
Je vois cette photo de nous joue contre joue Et mon sourire se teinte d'une lueur de solitude (Révolution !)
Demain encore, avec pureté et courage Tout le monde se retournera vers moi et me regardera Mêmes si nous sommes toutes les deux séparées Nos coeurs ne feront à jamais qu'un
Ils disent que l'argent ne peut acheter l'amour Je le sais bien, mais l'amour (l'ego) peut-il acheter l'argent ?* C'est ce qu'ils disaient à la télé
L'apathie, l'indifférence semblent sans fin Ils croient que tous les jeunes sont ainsi Feel so bad ! (Quel dommage !) Que pouvons-nous faire ? (Feel so bad !) (Quel dommage !)
Mais tu sais, je crois que nous chérissons nos amis plus que tout Plus qu'aucun adulte ne chérira jamais un ami (Révolution !)
Même si je rêve, même si pleure, même si je me blesse Même si la réalité me frappe de plein fouet Je ne perdrai ni la place que je me suis trouvée, ni la valeur de mon existence Pour me protéger
I'll go my way (Je suivrai mon chemin) Sans me retourner Et avant qu'il soit temps de choisir ma voie Je délivrerai tous ces souvenirs Si chers à mes yeux
Take my revolution ! (Prends ma révolution !) Osons vivre maintenant Même si la réalité me frappe de plein fouet Je veux trouver ma place et la valeur de mon existence Ainsi que ce que ma vie jusqu'ici a signifié
Déchirons nos guenilles, mettons-nous à nu, purement et simplement Comme une rose dansant au gré de sa liberté Mêmes si nous sommes toutes les deux séparées Je changerai le monde, je te le promets
* jeu de mot entre "amour" ("ai" en japonais) et "ego" ("I" en anglais)
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Utena - Truth (Vérité)
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Enlace-moi de tes vraies mains Pour ouvrir demain, la clé est reality (la réalité) Je veux continuer à détruire les mensonges
Même si je continue à te parler Tu ne pourras pas le voir Cet homme embêtant qui brûle de curiosité Cherche encore à être incompris
Tu t'accroches aux histoires d'autrefois Les excuses siéent bien aux adultes Les anges laissés pour compte n'ont pas besoin d'ailes pour s'envoler
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Je crois, je veux croire Que j'aimerai le moi de demain Je veux être détesté par le mensonge
Tout cela est derrière moi maintenant Toi seul qui réchauffes le passé Tu ne peux pas voir le fruit rouge que je désire tant
Ne fais pas attention à mes soupirs Les lendemains où je m'effondre en pleurs, il est déjà trop tard Choisissant (préférant) les nuits de tempête aux matins calmes Cette fièvre en moi est ravissante
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Comme un enfant de minuit Je cherche un amour qui peut mettre fin à mes larmes Il continue à frapper à ma porte
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Je crois, je veux croire Que j'aimerai le moi de demain Je veux être détesté par le mensonge
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Comme un enfant de minuit Je cherche un amour qui peut mettre fin à mes larmes Il continue à frapper à ma porte
Missing truth and forever (la vérité et l'éternité me manquent) Kissing love and true your heart (embrassant l'amour, que mon coeur soit vrai) Enlace-moi de tes vraies mains Pour ouvrir demain, la clé est reality (la réalité) Je veux continuer à détruire les mensonges
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lesoreillesouvertes · 1 month
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Samedi à Columbus, OH
Haaa mon premier grilled cheese du voyage ! Et j'avais une super place, en vitrine du café pour prendre le soleil sans le vent qui me fait décoller du sol tellement il est puissant.
Le musée d'art de Columbus : j'ai bien aimé, c'est assez grand avec un bonne section d'art contemporain et des chef d'oeuvres célèbres aussi. Dans une salle avec seulement des oeuvres de femmes photographes, une femme proposait de nous parler pendant 10 minutes de Diane Arbus et de ses photos d'êtres exceptionnels comme un géants dans le salon avec ses parents ou les soeurs jumelles parfaitement identiques ou une drag queen en train de se maquiller... J'ai adoré cette pièce. Les deux autres photographes se prenaient elle-mêmes en photo. Les oeuvres de Cindy Sherman semblent être extraites de films alors que Francesca Woodman faisait le photo surréaliste, comme s'il avait capturer des mages de fantômes.
Puis je me suis baladée au bord de la Scioto River pour avoir cette vue sur downtown et prendre le soleil.
A 17h, heure du diner (oui oui !) Bito m'a envoyé un message pour me dire qu'il avait cuisiné un Gombo. Je suis rentrée pour manger, c'était excellent et faire une sieste avant de ressortir avec lui. Il voulait aller essayer le Cowboy Bar qui venait d'ouvrir. Avec la St Patrick, le bar était bondé et le niveau de la musique juste indécent. Nous sommes allés ailleurs boire une bière et manger des tacos végétariens (des vrais pas des tacos à la française). En Ohio, j'ai l'impression que les texans ont débarqué avec leurs habitudes, les cowboys du nord.
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anthosvtr · 2 months
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« Gothic Horror »  par PENGUIN BOOKS
Royaume-Uni, 2008 Offset, 181×111 mm (71/8 × 45/8)
La collection rassemble dix classiques de la littérature fantastique et du « roman d’horreur » anglophone au format poche. 
La ligne graphique a été conçue par la graphiste Coralie Bickford-Smith, qui a créé pour chaque couverture une image originale utilisant la technique du cyanotype, un procédé primitif de la photographie inventé en 1842 par le savant britannique John F. W. Herschel (1792-1871). Le caractère typographique employé est le Futura (1927) de Paul Renner (1878-1956).
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Aperçu des différents titres de la collection
Quelle relation établissez-vous entre le procédé iconographique employé ici et les romans rassemblés dans cette collection ? 
Le moyen technique utilisé par la graphiste Coralie Bickford-Smith pour atteindre ce rendu visuel est le cyanotype. Le cyanotype est un ancien procédé photographique développé au XIXe siècle. Il implique l'application de deux solutions chimiques sur un support, suivi d'une exposition à la lumière ultraviolette. L'exposition crée une réaction chimique produisant un motif bleu distinctif. Après le lavage, l'image finale se dévoile en positif blanc sur un fond bleu prusse intense. Dans cette collection de « Gothic Horror », le principe est utilisé à l’aide d'objets et d'animaux quelconques en rapport avec les récits qu’ils représentent.
Le lien à établir entre le procédé iconographique et les romans est assez simple. Le cyanotype, créé à partir de la lumière, vient dessiner une image de façon positive. L’objet se dessine grâce à l’assombrissement du fond qu’il ne protège pas de la lumière. L’image semble résulter de la pénombre, surgir de ce fond bleu. Cette esthétique « d’apparition » fait écho à l’ambiance sombre et fantomatique des récits gothiques. On peut aussi remarquer que l’utilisation d’un papier non couché donne du relief à ces effets de lumière et d’ombre par la présence du grain. La technique du cyanotype crée par ailleurs un effet de « flottement », de flou fantomal ; les contours des objets, alors vaporeux, deviennent eux-mêmes des figures fantomatiques. Cet aspect « éthéré » dessine un aspect surnaturel, renforçant l’atmosphère lugubre des couvertures.
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Détails, On s'aperçoit du flou fantimatoque créé par le procédé cyanotype et de l'aspect profond que confère le grain à l'image.
Enfin, le procédé du cyanotype vient limiter la palette colorimétrique à deux tons : jaune, bleu, et le blanc du papier qui s’inscrit en défonce. Cette restriction crée une uniformité, établissant un lien logique entre chaque titre de la collection. Cependant, cela n’altère pas l’individualité de chaque titre qui est librement composé à partir d'objets liés à leur intrigue.
La graphiste a fait le choix de composer à partir de deux tons après s’être inspirée de la ligne éditoriale d’anciennes collections de romans policiers. Cette palette réduite n’est en effet pas sans rappeler la collection Mystery and Crime (1948-1961) de Penguins, où la triade de couleurs vert, noir et blanc inscrit chaque titre dans la collection. Personnellement, cela m’a immédiatement rappelé la collection Série Noire de Gallimard, elle aussi limitée à deux tons, tons, se rapprochant ailleurs à ceux choisi dans la collection Gothic Horror. Cette référence à l’univers de la littérature policière n’est pas anodine et vient renforcer l’univers sinistre dans lequel la collection s’inscrit.
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Exemple de collections de romans policiers adoptant des palettes de couleurs restrictives.
Enfin, dans la suite du registre iconographique, on peut remarquer « l’inconsistance » des marges des cyanotypes. Celles-ci ne sont pas toutes similaires et ne forment jamais un rectangle parfait. Ces fonds créent des formes difformes, diverses aux aspects surréalistes sur chaque récit. Ce détail, qui peut paraître dérisoire, me rappelle l’univers architectural géométrique et surréaliste du film du Cabinet du docteur Caligari, un métrage s’inscrivant comme référence dans l’histoire visuelle du genre gothique.
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Détails, Mirroir entre la forme d'encrage et l'architecture du film Le Cabinet du Docteur Caligari
On remarque par ailleurs que certains de ces titres dépassent ces contours définis ; The Masque of the Red Death, The Beetle et The House on the Borderlands. Cette liberté de composition dessert les intrigues de ces histoires, The House on the Borderland étant un récit incorporant une histoire d'autres dimensions, The Masque of the Red Death explorant les limites au-delà de la mort, ou encore avec The Beetle où cette sortie du cadre fait écho à l’aspect grouillant des coléoptères.
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Détails, Titre où figure du hors-champs
Comment qualifieriez-vous le vocabulaire typographique (choix du caractère et de ses différentes variables, présence dans la composition) utilisé par la graphiste ?
La composition typographique se dévoile simplement, à l'aide d'un caractère linéal sans empattement. Elle dénote des conventions du milieu de la littérature gothique en s'éloignant de caractères très décoratifs et pleins d'arabesques. L'attention est portée sur l'apport d'informations de manière claire mais discrète, afin de ne pas sacrifier l'impact visuel des éléments iconographiques. On remarque que les informations principales se déclinent en majuscules (titre, mention d'auteur) tandis que les citations secondaires se déclinent en bas de casse. Ces citations, ayant pour vocation d'intéresser le lecteur au livre, ne prennent alors pas le dessus sur le visuel, contrairement aux pastilles et systèmes de recommandations que l'on peut apercevoir aujourd'hui, lesquels viennent dénaturer les visuels. Ces nouveaux procédés prennent le dessus sur le récit, projetant la recommandation au premier plan. La recommandation semble alors être le seul argument de vente du livre, tandis qu'ici, l'inscrire de façon plus discrète permet de ne pas détourner l'attention du titre.
La composition distincte et simple la collection « Gothic Horrors » n'est pas sans rappeler la composition des Penguin Classics en Gill Sans, un caractère moderne similaire au Futura. Ce choix suit la tradition de composition britannique et inscrit la collection dans la lignée visuelle associée à la maison d’édition Penguins. Cet aspect est amplifié par l'exagération de l'interlettrage et lune composition majoritairement centrée, comme défini dans la collection Classics par les règles de Jan Tschichold.
La simplicité du caractère permet par ailleurs de s'adonner à des compositions plus originales. Comme on peut le voir sur deux des titres de la collection : The Haunted Doll's House et The Spook House. Ces deux titres font office d'exceptions, s'imbriquant aux éléments iconographiques de manière à ne pas les dénaturer ou détourner des choix visuels forts. L’unification de la collection s'établit à partir de plusieurs paramètres (tons, procédés…) qui s'entrecroisent plutôt que seulement sur une mise en page définie.
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Détails, Titre où l'informations se décline autour de l'iconographie
Comment évaluez-vous le degré d’originalité de cette ligne graphique en regard du genre littéraire considéré et de la forme visuelle sous laquelle il est généralement présenté ?
La collection Gothic Horrors de Penguin se démarque réellement du milieu littéraire gothique par sa ligne graphique. En effet, plutôt que de jouer sur des images suggérant la peur, tout se décline ici par l'abstraction. L'aspect lugubre émane du procédé techniques utilisé et du résultat qu'ils produit, plutôt que des éléments hautement figuratif. En effet, la ligne graphique du genre gothique semble souvent reposer sur des représentations littérales de l'épouvante, avec des personnages dans des situations effrayantes. En lien avec le récit gothique, l’abstraction, a ici, pour but de maintenir le suspense, conditionnant ainsi le lecteur au genre du récit qui l'attend. Cela lui permet également de construire de lui-même l'univers lugubre du récit, sans avoir d'image préconçue.
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Exemple d'autres couvertures du même genre littéraire, où l'on aperçoit une sur-ornementation, la présence de caractères stylisés au possible, et une utilisation iconographique naïvement figurative, ne laissant aucune place à l'imaginaire.
Enfin, on remarque que cette collection Penguin se démarque aussi par son choix typographique, qui s'écarte vraiment de l'utilisation simple de caractères gothiques ou de tout autre caractère décoratif et sophistiqué. Ici, aucune arabesque, aucun empattement, aucune graisse marquée n'apparaît sur les couvertures. S'éloignant de toute sur-ornementation associée au style gothique, ici, toute la puissance graphique repose sur une iconographie sobre et légèrement suggestive.
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MARDI 20 FEVRIER 2024 (Billet 4/4)
DAAAAAALI ! (1h 18min)
Un film de Quentin Dupieux, avec Anaïs Demoustier, Edouard Baer, Jonathan Cohen, Gilles Lellouche, Pio Marmaï, Romain Duris…
Synopsis :
Une journaliste française rencontre Salvador Dali à plusieurs reprises pour un projet de documentaire.
Ci-dessous, quelques critiques pour mettre l’eau à la bouche à des cinéphiles qui aiment la folie (douce mais pas que…), les films (complètement et gentiment) déjantés, l’humour (souvent très) décalé, les puzzles absurdes avec des pièces (volontairement) manquantes, les castings top de chez top (Edouard Baer en tête)… et surtout Salvador Dali.
Nous lui avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5.
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Bande à part
En s’emparant pour la première fois d’une figure célèbre, Quentin Dupieux concocte à nouveau la recette désormais bien connue de son cinéma, un casting détonnant au service d’un film concept, drôle et déconstruit. Il pousse cette fois-ci tous ces curseurs au maximum et dans une outrance assumée, parvient à saisir une certaine vérité de Salvador Dali dans ce portrait-hommage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste fait du cinéma avec un mix de ciseaux et de fantaisie, découpant la réalité à la manière d'un collage visuel, créant un personnage puzzle constitué de pièces désordonnées.  Dali était surréaliste, Dupieux lui est dadaïste.
Elle
Un anti-biopic drôle, fantasque et foutraque.
Le Figaro
Ce Dali dans tous ses états souffle sur la poussière des musées, invente son propre personnage, bouscule sa légende. Entre deux éclats de rire, on percevra cette chose si rare, l'amour du cinéma.
Le Parisien
Un film délirant, savoureux, un peu fou… comme Salvador Dali.
Libération
Délirant autour de la figure du peintre surréaliste, bringuebalée dans une interprétation à cinq têtes, le dernier long du cinéaste Dupieux subvertit la temporalité par une esthétique du ressassement.
Télé 7 Jours
Un régal absolu de poésie absurde et de comédie pure, qui nous met la tête à l’envers.
Télérama
 Quand le cinéaste de l’absurde s’en prend à l’ego démesuré de l’artiste espagnol, cela donne un film… surréaliste !
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