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#flammèche
rechab · 2 days
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La lune se dore des couleurs de la nuit - ( RC )
La lune se doredes couleurs de la nuit.De mes métaphores….il ne me reste de toique l’ombre et le souvenir. Mais le souvenirest encore plus vivantque le trépas:il est comme ma foien ta lumière. Lumière noirequi donne sa couleur,petite flammèche d’espoirqui ne veut pas mourirtant que je pense à toi… RC – sept- 2023
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coolvieilledentelle · 3 months
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Un bon feu de cheminée....
Dans l’âtre de la maison, le bois se consume lentement, Éclatant dans la fleur rouge en gerbes ardentes, crépitant, Enfumant la cheminée, quand le frimas, de sa poudre glacée, Magnifie la nature de ses éclats éphémères d’épines gelées. Peu à peu les bûches deviennent des braises incandescentes, Alors que les flammes continuent de danser, effervescentes, Flammèches ondulées aux couleurs oscillantes, souffle chaud, Le feu, brûlant baiser, nous enveloppe de son doux manteau, Embrasant les rondins qu’il inonde de larmes jaunes bleutées, Les faisant rougir jusqu’à les rendre poussières grises cendrées, Présage de son dernier soupir, le foyer s’essouffle doucement, Finissant par mourir, emportant avec lui l’apaisant scintillement.​
Souricette
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jacquesdor-poesie · 1 year
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Je vous aime parce que rien en moi n'arrive à faire autrement. Je vous aime parce que mon petit monde, une fois passé par vos yeux redevient source. Ce que je pense de beau vous est destiné parce que mes pensées imaginées en vous, par vous deviennent mille flammèches qui s'élèvent et scintillent dans la nuit, sensiblement. Ainsi le monde, un moment, est éclairé de l'intérieur, de la plus belle et secrète des façons.
jacques dor
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francepittoresque · 2 months
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7 mars 1618 : incendie du Palais de Justice de Paris ➽ https://bit.ly/Incendie-Palais-Justice-Paris Les premiers arrivés trouvèrent les combles de la Grand-Salle et une partie des boutiques en feu, les flammes, alimentées par le bois sec et vernissé des combles, gagnant bientôt la Chambre des Requêtes, le greffe du Trésor puis une tourelle près de la Conciergerie, les prisonniers en danger étant évacués tandis que des flammèches ardentes tombaient sur la tour de l'horloge et sur le quai
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impetuous-impulse · 1 year
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«Beausoleil»
Slowly working through the Victor biographies. Below are two excerpts related to the genesis of his nickname, though much is guesswork and speculation. I have put the original French first and the English translation below; all translation errors are mine.
Le 16 octobre 1781, Claude Perrin est définitivement porté sur le rôle du régiment en qualité de canonnier, dans la compagnie Savournin. Il a presque les dix-sept ans requis. Entrer dans l’armée équivaut à quitter sa famille, pour en adopter un autre. Un soldat gagne 6 sous et 4 deniers par jour et un tambour 9 sous et 4 deniers, autant qu’un caporal: déjà, la transmission de l’information l’emporte. Chacun à l’armée, à defaut de grade, gagne un surnom. Celui de Claude Perrin le suivra toute sa carrière militaire: «Beausoleil».
16 October 1781, Claude Perrin is definitively put on the regimental roll as a gunner, in the Savournin company. He is almost the required seventeen years of age. Entering the army is equivalent to leaving his family for adopting another. A soldier makes 6 sous and 4 deniers per day and a drummer, 9 sous and 4 deniers, as much as a corporal: already, the transmission of news [to him] is superior. Everyone in the army, in the absence of a rank, gains a nickname. That of Claude Perrin will follow him all of his military career: "Beausoleil".
Jacques Le Coustumier, Le Maréchal Victor, p. 19.
On peut penser que Claude ne regrette pas ce changement de vie. Il connaît maintenant ce qui doit être pour lui la vraie vie. Et puis il voit du pays… Après avoir été en garnison en Picardie, il suit son régiment à Valence, sous les cieux du Dauphiné, plus cléments que ceux de la Lorraine, mais dans un province alors agitée et d’où partira la Révolution. Cette ville de garnison lui offre son soleil et les distractions de jeunes hommes pleins de vie et d’espoir. Quand ils ne sont pas en congé, les officiers organisent des fêtes chez les uns et les autres. Naturellement les musiciens de leur régiment créent l’ambiance musicale. Claude les fait danser au son du violon et de la clarinette. C’est sans doute de cette période d’heureuse insouciance que lui est resté le surnom de «Beausoleil»: allusion à sa mine épanouie auréolée de boucles d’un blond-roux qui rappelle la représentation symbolique du soleil sous forme d’un disque entouré de flammèches? Il ressentira plus tard un sentiment d’embarras vis-à-vis de ce surnom qui lui restera dans l’armée. Mais, au fond, n’est-ce pas plutôt un surnom flatteur, très «Louisquatorzieme» et royal? Dans l’armée, c’est depuis longtemps un habitude de donner des surnoms mettant en évidence les traits physiques, parfois aussi psychologiques ou les origines provinciales.
We can assume that Claude did not regret [his] change of lifestyle. He knows now that this must be his true calling. And then he sees the country… After having been in garrison in Picardy, he follows his regiment to Valence [in 1787, it seems], under the skies of Dauphiné, milder than that of Lorraine, but in a province which was then in agitation and where the revolution started. This garrison town offers its sunshine and entertainment for young men full of life and hope. When they are not on leave, the officers organise parties at each other’s homes. Naturally musicians of their regiment create the musical atmosphere. Claude makes them dance to his violin and clarinet. It is without doubt in this period of happy frivolity that the nickname "Beausoleil" sticks to him: an allusion to his round, glowing face framed by reddish-blond curls, recalling the symbolic representation of the sun in the form of a disc surrounded by flames? He will later feel embarrassed by the nickname, which will remain with him in the army. But, at heart, is this not a rather flattering nickname, very “Louis XIV” and royal? In the army, it has long been a custom to give nicknames highlighting physical traits, occasionally also psychological ones or provincial origins.
Jean-Pierre Tairin, Le Maréchal Victor: Loyal sous l'Empire, fidèle sous la Restauration, pp. 19-20
Tairin also introduces this tidbit right afterwards:
Ses protestations musicales lui permettent aussi d’arrondir les fins de mois et placent dans un position privilégée entre la troupe et les officiers. C’est très certainement une opportunité d’entrer dans des milieux sociaux qui lui auraient été inaccessibles autrement. L’infatigable musicien au teint lumineux peut admirer la grâce des jeunes filles de la bonne société qui cherchent un mari et qui fondent à la vue de fringants officiers.
[Claude Perrin’s] musical engagements also enable him to make ends meet and place him in a privileged position between the troop and the officers. It is very certainly an opportunity to enter into a social milieu which would have otherwise been inaccessible to him. The indefatigable musician of luminous complexion can admire the grace of the young girls of good society who are looking for a husband, and who melt at the view of dashing officers.
As we read on, we will see that Claude Perrin will take a step further and marry one of them.
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culturefrancaise · 1 year
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Ce vieux faubourg, peuplé comme une fourmilière, laborieux, courageux et colère comme une ruche, frémissait dans l’attente et dans le désir d’une commotion. Tout s’y agitait sans que le travail fût pour cela interrompu. Rien ne saurait donner l’idée de cette physionomie vive et sombre. Il y a dans ce faubourg de poignantes détresses cachées sous le toit des mansardes ; il y a là aussi des intelligences ardentes et rares. C’est surtout en fait de détresse et d’intelligence qu’il est dangereux que les extrêmes se touchent. Le faubourg Saint-Antoine avait encore d’autres causes de tressaillement ; car il reçoit le contre-coup des crises commerciales, des faillites, des grèves, des chômages, inhérents aux grands ébranlements politiques. En temps de révolution la misère est à la fois cause et effet. Le coup qu’elle frappe lui revient. Cette population, pleine de vertu fière, capable au plus haut point de calorique latent, toujours prête aux prises d’armes, prompte aux explosions, irritée, profonde, minée, semblait n’attendre que la chute d’une flammèche. Toutes les fois que de certaines étincelles flottent sur l’horizon, chassées par le vent des événements, on ne peut s’empêcher de songer au faubourg Saint-Antoine et au redoutable hasard qui a placé aux portes de Paris cette poudrière de souffrances et d’idées. Les cabarets du faubourg Antoine, qui se sont plus d’une fois dessinés dans l’esquisse qu’on vient de lire, ont une notoriété historique. En temps de troubles on s’y enivre de paroles plus que de vin. Une sorte d’esprit prophétique et un effluve d’avenir y circule, enflant les cœurs et grandissant les âmes. Les cabarets du faubourg Antoine ressemblent à ces tavernes du Mont Aventin bâties sur l’antre de la sibylle et communiquant avec les profonds souffles sacrés ; tavernes dont les tables étaient presque des trépieds, et où l’on buvait ce qu’Ennius appelle le vin sibyllin. Le faubourg Saint-Antoine est un réservoir de peuple. L’ébranlement révolutionnaire y fait des fissures par où coule la souveraineté populaire. Cette souveraineté peut mal faire, elle se trompe comme toute autre ; mais, même fourvoyée, elle reste grande. On peut dire d’elle comme du cyclope aveugle, Ingens. En 93, selon que l’idée qui flottait était bonne ou mauvaise, selon que c’était le jour du fanatisme ou de l’enthousiasme, il partait du faubourg Saint-Antoine tantôt des légions sauvages, tantôt des bandes héroïques. Sauvages. Expliquons-nous sur ce mot. Ces hommes hérissés qui, dans les jours génésiaques du chaos révolutionnaire, déguenillés, hurlants, farouches, le casse-tête levé, la pique haute, se ruaient sur le vieux Paris bouleversé, que voulaient-ils ? Ils voulaient la fin des oppressions, la fin des tyrannies, la fin du glaive, le travail pour l’homme, l’instruction pour l’enfant, la douceur sociale pour la femme, la liberté, l’égalité, la fraternité, le pain pour tous, l’idée pour tous, l’édénisation du monde, le progrès ; et cette chose sainte, bonne et douce, le progrès, poussés à bout, hors d’eux-mêmes, ils la réclamaient terribles, demi-nus, la massue au poing, le rugissement à la bouche. C’étaient les sauvages, oui ; mais les sauvages de la civilisation. Ils proclamaient avec furie le droit ; ils voulaient, fût-ce par le tremblement et l’épouvante, forcer le genre humain au paradis. Ils semblaient des barbares et ils étaient des sauveurs. Ils réclamaient la lumière avec le masque de la nuit. En regard de ces hommes, farouches, nous en convenons, et effrayants, mais farouches et effrayants pour le bien, il y a d’autres hommes, souriants, brodés, dorés, enrubannés, constellés, en bas de soie, en plumes blanches, en gants jaunes, en souliers vernis, qui, accoudés à une table de velours au coin d’une cheminée de marbre, insistent doucement pour le maintien et la conservation du passé, du moyen âge, du droit divin, du fanatisme, de l’ignorance, de l’esclavage, de la peine de mort, de la guerre, glorifiant à demi-voix et avec politesse le sabre, le bûcher et l’échafaud. Quant à nous, si nous étions forcé à l’option entre les barbares de la civilisation et les civilisés de la barbarie, nous choisirions les barbares. Mais, grâce au ciel, un autre choix est possible. Aucune chute à pic n’est nécessaire, pas plus en avant qu’en arrière. Ni despotisme, ni terrorisme. Nous voulons le progrès en pente douce. Dieu y pourvoit. L’adoucissement des pentes, c’est là toute la politique de Dieu.
Victor HUGO, Les Misérables,  Tome IV, Livre 1, chapitre 5
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dixvinsblog · 2 months
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Laurent Sallé -Si je voulais être
(Grâce à la complicité d’Anna, ce texte est recousu avec nos deux mains. L. Sallé) Si je voulaisÊtre un objetJe serais un styloPour t’écrireChaque jourLes mots bleusQui moissonnentLa sève de ton sang Si je voulaisÊtre une lueurJe serais une bougieAu creux de la nuitÉtoilant dans tes yeuxLes flammèches de tes iris Si je voulaisÊtre le silenceJe serais la roséePour rafraîchirLe contour de tes…
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soyashi3173 · 5 months
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🇬🇧 “I almost never get angry, but I advise you not to exceed the limits. My patience isn't infinite, especially if people who are dear to me are attacked. My anger will burn you to ashes. »
Informations : Akira is not the type to get angry... at least, not over small things. You even have to go very far to make her/him lose his good humor. On the rare occasions when this has happened, she/he has left nothing but ash and lava craters in her wake.
When he/she enters this "fury" mode, his/her left eye (heart side) turns flaming orange, even leaving a thin flame escaping into the open air.
Part of his powers allows him to create miniature "suns"... these are not simple fireballs, make no mistake.
🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥
🇫🇷 « Je ne m'énerve presque jamais mais, je vous déconseille de dépasser les limites. Ma patience n'est pas infinie, surtout si on s'en prend aux personnes qui me sont chères. Ma colère vous réduira en cendres. »
Informations : Akira n'est pas du genre à s'énerver... tout du moins, pas pour des broutilles. Il faut même aller très loin pour lui faire perdre sa bonne humeur. Pour les rares fois où cela est arrivé, elle/il n'a laissé que des cendres à son passage et des cratères de lave.
Quand elle/il passe dans ce mode de "fureur", son oeil gauche (côté coeur) devient orange flamboyant, laissant même une fine flammèche s'en échappait à l'air libre.
Une partie de ses pouvoirs lui permet de créer des "soleil" miniatures... ce ne sont pas de simples boules de feu, détrompez-vous.
🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥 ☀️ 🔥
Photos by : My father (Mon père)
Edit by : Me
Concept art by : Me
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drom0mania · 5 months
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Luciole
En réponse à
Bien ajustée
La clochette sur ma tête
En jarretière
Les fières barioles
L’air moite
L’excitation monte
EN PISTE !
D’un coup de godasse
En pleine cavalcade
Un grand coup
La fourmilière morne
J’arrive et j’éclate
Turbule enfant de la cohue
Un à un je décoche
Mes mots flèches
Et mes mots crame
Mes mots flammèches
Et mes grenades
Incendiée la fourmilière
Éclats de voix et ovation
Révérence
Le rideau tombe
La clochette sous ma tête
Dans le velour noir silence
Suivant la foudre et la tempête
L’incandescence les mots jetés
Les mots hurlés
Volutent enroulés
Assis en tailleur
La scène vide et froide
J’attends la prochaine salve
Avec ma sorgue et mes lucioles
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laimelady · 6 months
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Pouillot véloce ( Explore n 18 )
flickr
Pouillot véloce ( Explore n 18 ) by Martine Berry Via Flickr: le Pouillot véloce est un tout petit passereau. Il fait 11-12 cm de longueur pour un poids de moins de 10 g en moyenne (6 à 11,5 suivant l'embonpoint). Son plumage brun-verdâtre est fait pour passer inaperçu dans la végétation qu'il ne quitte que rarement. Il passerait volontiers inaperçu sans son cri, un "huit" interrrogatif, qu'il débite à tout bout de champ et qui permet de le repérer facilement. Les deux sexes sont semblables. Dans la sous-espèce type d'Europe de l'Ouest, les parties supérieures (corps et couvertures alaires) sont d'un brun olive terne. Les ailes et la queue sont brun sombre avec toutes les pennes (rémiges et rectrices) finement liserées de jaune verdâtre, ce qui rehausse un peu la livrée. Les parties inférieures sont chamois clair et striées de flammèches grisâtres et jaunâtres de façon plus ou moins visibles selon les conditions de lumière. La teinte jaune est souvent évidente au niveau du poignet de l'aile. Les sous-caudales sont blanches. La tête paraît volumineuse par rapport au corps. La calotte est de la couleur du manteau, mais plus sombre et un peu plus brune. Elle est soulignée par un sourcil discret et assez mal défini (beaucoup moins net que celui du fitis), chamois clair parfois teinté de jaune. L'oeil sombre est entouré d'un net cercle oculaire blanc qui domine nettement sur le sourcil. Ce cercle oculaire est interrompu en avant par un petit trait loral sombre qui va de l'oeil au bec et en arrière par une petite tache sombre post-oculaire. Les couvertures auriculaires (joues) sont chamois et contrastent avec la gorge plus claire. Le bec est très fin, brun sombre à noir, parfois jaune à la commissure. Les pattes sont brun sombre à noir avec les ongles sombres. Les adultes subissent une mue estivale complète qui donne lieu à des plumages déroutants pour le novice. Le juvénile se caractérise à son plumage neuf, plus chaud que celui de l'adulte. Les parties inférieures sont nettement chamois et lavées de jaunâtre de façon discrète, avec un peu de roussâtre à la gorge et à la poitrine. Ses rectrices sont pointues à leur extrémité. Merci à toutes et à tous pour vos visites, favoris et agréables commentaires que j’apprécie beaucoup !
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basmati-sim · 7 months
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Vendredi venait de terminer son projet scolaire sur les volcans. Aujourd'hui, c'était son tour de faire l'exposé oral de ce petit truc qu'elle avait assemblé. Cependant, l'idée lui venait soudain qu'elle n'avait pas nécessairement à créer de fausse réaction chimique pour reproduire celle d'un volcan. Non, parce qu'avec le Mana de Sulani, elle pourrait simplement provoquer la réaction elle-même, non ?
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Terrell et Meera ont bien entendu refusé que la petite Vendredi se serve de ses pouvoirs à l'école - tout comme elle avait interdiction de s'en servir à la maison. De toute évidence, ça fit quelques flammèches.
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Cependant, Vendredi avait de la difficulté à comprendre le point de vue de ses parents. Ce serait impressionnant de voir le magma de Sulani en personne, non ? Et elle possédait ce magma en elle ! Quel mal pouvait-il y avoir à en invoquer un peu ?
En effet, quel mal...
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coolvieilledentelle · 6 months
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Dans l’âtre de la maison, le bois se consume lentement, Éclatant dans la fleur rouge en gerbes ardentes, crépitant, Enfumant la cheminée, quand le frimas, de sa poudre glacée, Magnifie la nature de ses éclats éphémères d’épines gelées. Peu à peu les bûches deviennent des braises incandescentes, Alors que les flammes continuent de danser, effervescentes, Flammèches ondulées aux couleurs oscillantes, souffle chaud, Le feu, brûlant baiser, nous enveloppe de son doux manteau, Embrasant les rondins qu’il inonde de larmes jaunes bleutées, Les faisant rougir jusqu’à les rendre poussières grises cendrées, Présage de son dernier soupir, le foyer s’essouffle doucement, Finissant par mourir, emportant avec lui l’apaisant scintillement.​
Souricette
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valloninfo · 10 months
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​Le danger d'incendie de forêt est évalué à trois sur une échelle de cinq dans tout le canton, soit un niveau « marqué ». La population est appelée à la plus grande prudence et à observer les recommandations des autorités. Ce niveau de danger « marqué » est dû à des précipitations insuffisantes ces dernières semaines, malgré les orages isolés des derniers jours, ainsi qu'à une météo ensoleillée et à une bise modérée. À cet effet, la population est appelée à faire preuve de la plus grande prudence pour faire du feu en forêt et à proximité.  Il est notamment recommandé : de se conformer aux éventuelles instructions et interdictions des autorités cantonales et communales ;  de renoncer à faire du feu en plein air en cas de vent et de rafales ; de ne jamais jeter des mégots ou des allumettes ; pour les grillades, d'utiliser les barbecues aménagés (pas de contact direct avec le sol); de s'éloigner de manière importante des arbres et de la végétation sèche ; de ne jamais laisser un feu sans surveillance et d'éteindre immédiatement toute flammèche ; de veiller à bien éteindre le feu et les alentours avant de partir. Tout départ de feu ou situation suspecte doit être annoncé immédiatement à la centrale 118. La situation de danger peut varier localement, notamment dans les versants exposés sud et/ou lorsque de la végétation sèche est présente.
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samsanglebuc · 1 year
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Se jeter à l'eau (part 3)
Troisième partie : la première déclaration ; qui se solde par un échec !
Ben doit encore dépasser ses colères et sa violence, quand Rey devra assumer sa part d'ombre.
Je voulais te posséder mais c'est toi qui t'es livrée
Dans ce sarcophage de verre, reine, de la mort, délivrée.
La cascade de tes cheveux jailli d'écume brillante
Pour révéler à mes yeux bouche et lèvres enivrantes.
Quelques instants avec toi, nous seuls dans cet ascenseur
Me confortent en mon choix de confronter mon abuseur.
Mais tu t'approches de moi tant que tu pourrais ravir
Malgré tes mains enchaînées mon cœur qui pourrait faillir.
Qu'il ait évoqué ta mort en souillant des mains ton corps
Et Notre Suprême Leader signe son arrêt de mort.
Tu tiens le sabre de Ren, je peux alors tout donner
Tout s'enflamme tourbillonne pour nos deux corps enlacés.
Sous une pluie de flammèches les vieilles choses doivent s'éteindre
« Unissons nos forces Rey ! viens maintenant me rejoindre
« Tes parents sont des parias, tu ne viens de nulle part
« Tu n'es rien mais pas pour moi, suis moi, quittons le boudoir »
La suite, avec une quatrième partie qui clôture « Les derniers Jedi ». Ensuite, je me baserai non pas sur « L'Ascension de Skywalker » que je considère comme une sorte de « what if » legend mais sur la fanfic de Moongrim « L'Appel de la lumière »
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dixvinsblog · 8 months
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Hacéne Bouziane -Et l'aube survint…
Et l’aube survint… Tout en délicatesse d’une clarté émergente, la naissance du jour annonça le triomphe de la lumière, sur les ténèbres d’une nuit agitée. Dans l’antique chambre des souvenirs vaporeux, au travers des persiennes de la fenêtre orientale, l’astre généreux caressait doucereusement, en un baume de flammèches rayonnantes, le visage expressif du rêveur. Dans le plan large des détails…
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chsanchez · 1 year
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Aujourd’hui, il a neigé à Montpellier. Ça n’a échappé à personne, à part peut-être à toi qui cultives l’art d’être à côté. À côté des choses comme de la société. D’ailleurs, en ce moment, tu es à côté d’un poêle à bois, tu remues un tas de vieilles cendres à la recherche de la flammèche qui fera revivre l’hiver douillet de mon enfance. Tu chiques un morceau de tabac. Quand je dis que tu es à côté, plus personne ne fait ça. Tu risques d’être colonisé par des aphtes   et à la moindre occasion, un crabe peut venir crécher dans ta mâchoire. Mais tu t’en moques. Tu le fais depuis toujours. Alors pourquoi arrêter. Laisse tomber la neige, c’est ce que tu me dis de là où tu es, à côté des choses, de la société, au tison tout près de moi.
http://www.fut-il.net/2023/02/lart-detre-cote.html
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