Tumgik
#fleur de givre
blorboclaw · 2 years
Text
A few names from Warriors that are way cooler in the French translation:
(be warned, a lot of tail and stripe have been changed for linguistics reasons, tail being a slang word for penis and stripe sounding just weird. on the weird-sounding part we also have the frost, shine and pool ones) (oh and cloud was used as the -paw suffix translation so many of them don’t have it either)
Greystripe -> Plume Grise (or Greyfeather)
Darkstripe -> Eclair Noir (or Black/darkLightning)
Sorreltail -> Poil de Châtaigne (Chestnut/Sorrelfur)
Cloudtail -> Flocon de Neige (Snowflake)
Hazeltail -> Plume de Noisette (Hazelfeather)
Willowpelt -> Fleur de Saule (Willowflower)
Jayfeather -> OEil de Geai (Jayeye)
Stonefur -> Pelage de Silex (Silexfur, way cooler than Pelage de Pierre honestly)
Onestar -> Etoile Solitaire (now technically it can be considered a litteral translation, but a very litteral translation would have been Une-Etoile, which doesn’t fit the french naming system, so now Etoile Solitaire is more a loose translation, the litteral translation of it being... Lonelystar)
Nightcloud -> Belle-de-Nuit (Nightbeauty, which is also the name of a flower... and a very old slang word for high-end prostitute)
Cloudstar -> Etoile de Givre (Froststar, again the cloud pre/suffix was never translated as is)
68 notes · View notes
les-portes-du-sud · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Roses d’automne
Nérée Beauchemin
Aux branches que l’air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï du soleil,
Avec plus de langueur et plus de charme encore,
Les roses du parterre ouvrent leur coeur vermeil.
Dans sa corbeille d’or, août cueillit les dernières :
Les pétales de pourpre ont jonché le gazon.
Mais voici que, soudain, les touffes printanières
Embaument les matins de l’arrière-saison.
Les bosquets sont ravis, le ciel même s’étonne
De voir, sur le rosier qui ne veut pas mourir,
Malgré le vent, la pluie et le givre d’automne,
Les boutons, tout gonflés d’un sang rouge, fleurir.
En ces fleurs que le soir mélancolique étale,
C’est l’âme des printemps fanés qui, pour un jour,
Remonte, et de corolle en corolle s’exhale,
Comme soupirs de rêve et sourires d’amour.
Tardives floraisons du jardin qui décline,
Vous avez la douceur exquise et le parfum
Des anciens souvenirs, si doux, malgré l’épine
De l’illusion morte et du bonheur défunt.
3 notes · View notes
rodriguekoudadja01 · 2 years
Photo
Tumblr media
Barbe blanche, une espèce de Verbesina également connu comme • Givre Nom botanique : Verbesina virginica Description La barbe blanche est une grande plante dont la floraison blanche tardive qui s'étend de la fin de l'été à la fin de l'automne fait le bonheur des abeilles et des papillons. En hiver, lorsqu'il fait très froid, ses tiges exsudent de l'eau qui se fige immédiatement en formes fascinantes appelées « fleurs de glace ». 🍀🌱 (à Bénin) https://www.instagram.com/p/CejZqNcMMYe/?igshid=NGJjMDIxMWI=
2 notes · View notes
mysteriis-moon666 · 14 days
Text
KOLLAPSE – AR
Tumblr media
« Le pavillon en viande saignante sur la soie des mers et des fleurs arctiques…Les brasiers, pleuvant aux rafales de givre, - Douceurs ! - les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous…Les brasiers et les écumes. La musique, virement des gouffres et chocs des glaçons aux astres. » Arthur Rimbaud ‘’Barbare’’
Kollapse est un trio de noise rock, sludge et metal expérimental de Copenhague, Danemark, composé de Peter Drastrup (batterie), Thomas Martin Hansen (Basse et chant) et de Peter Clement Lund (guitare et chant).
Le groupe s’est produit sur des scènes nationales et internationales et a participé à des festivals tels que A Colossal Weekend, Copenhagen Metal Festival, et joué avec des groupes tels que Nothing, KEN mode, YOB, LLNN, Møl, Imperial Triumphant et Orm.
Leur premier album « Sult » est sorti en 2021, ce nouvel intitulé « AR » via Head Records a été enregistré par Jacob Bredahl au Dead Rat Studio (DK) et Scott Evans (Kowloon Walled City) pour maximiser l’énergie et la rage, Brad Boatright de Audiosiege (Sleep, Nails, Obituary, Yob) à masterisé les sept titres de ce disque.
Les titres machent du verre pillé et déroulent leurs viscères sonores avec lourdeur, ils atteignent les os et rongent jusqu’à la moelle. Peu importe que ce soit d'une manière agréable ou horrible, dans les deux cas, c'est satisfaisant. Il y a le côté vicieux d’Unsane, crucifiant chaque titre dans une tension palpable permanente, le cri de lutte n’en est que plus pétrifiant. La musique avance en lombric et ses crocs pernicieux viennent à vous comme une eau saumâtre qui vous engloutie à petit feu.
0 notes
Text
De mon Printemps …
De mon Printemps … Alors que l’hiver avait déposé son manteau de neige et de givre sur ma nature endormie, mon Esprit s’éveille à l’anticipation fébrile de cette nouvelle saison, de ma nouvelle saison. Le printemps, cette douce symphonie de ma (re)naissance, émerge telle une poésie céleste éclairant les cieux de couleurs vives et laissant, dans son sillage, la fragrance enchanteresse des fleurs…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
eternelrenouveau · 5 months
Text
Fleurs d'aurore
Nérée Beauchemin (1850-1931), Les floraisons matutinales (1897)
Comme au printemps de l'autre année, Au mois des fleurs, après les froids, Par quelque belle matinée, Nous irons encore sous bois.
Nous y verrons les mêmes choses, Le même glorieux réveil, Et les mêmes métamorphoses De tout ce qui vit au soleil.
Nous y verrons les grands squelettes Des arbres gris, ressusciter, Et les yeux clos des violettes À la lumière palpiter.
Sous le clair feuillage vert tendre, Les tourterelles des buissons, Ce jour-là, nous feront entendre Leurs lentes et molles chansons.
Ensemble nous irons encore Cueillir dans les prés, au matin, De ces bouquets couleur d'aurore Qui fleurent la rose et le thym.
Nous y boirons l'odeur subtile, Les capiteux aromes blonds Que, dans l'air tiède et pur, distille La flore chaude des vallons.
Radieux, secouant le givre Et les frimas de l'an dernier, Nos chers espoirs pourront revivre Au bon vieux soleil printanier.
En attendant que tout renaisse, Que tout aime et revive un jour, Laisse nos rêves, ô jeunesse, S'envoler vers tes bois d'amour !
Chère idylle, tes primevères Éclosent en toute saison ; Elles narguent les froids sévères Et percent la neige à foison.
Éternel renouveau, tes sèves Montent même aux coeurs refroidis, Et tes capiteuses fleurs brèves Nous grisent comme au temps jadis.
Oh ! oui, nous cueillerons encore, Aussi frais qu'à l'autre matin, Ces beaux bouquets couleur d'aurore Qui fleurent la rose et le thym.
Nérée Beauchemin.
À découvrir sur le site https://www.poesie-francaise.fr/neree-beauchemin/poeme-fleurs-d-aurore.php
0 notes
plumedepoete · 1 year
Text
Mon dernier poème sera pour toi - Arnaud Mattei
Tumblr media
La première rosée robe parure,                    Au jardin des belles bouquet saveur,            En joie ose la vie perle dorure                       Dans mes bras enlacée si douce fleur,         Entends la revenir au soir splendeur .           Un gentil rossignol chante présage,  Les mots d'amour portés au vent message,             Chamade battement, cœur en émoi             A l'ombre de tes yeux, regard sauvage                    Mon dernier poème sera pour toi.   Dans le froid revenu, givre morsure              Le silence se tait au son fureur.        L'arbre se désole, seul sans verdure            Il attend ton retour petite sœur,                     Pourquoi as-tu fugué feuille couleur ?                      La tempête chaos, le temps outrage             Ne sauraient enlaidir ton doux visage.                      Sentier de l'au-delà, mots de l'octroi             Loin des nuits sans soleil, rive passage                   Mon dernier poème sera pour toi.                         Halo de lumière, pâle griffure            Au lointain un rayon faible lueur                    Transperce l'horizon, baiser brûlure. Tout revient, tout s’enfuit peine de cœur      Dans l’oubli du passé pense bonheur.                      Par les flots emportés, si doux voyage                     Le chagrin s'envole, larme nuage.                A l'aube naissante je fus ton roi                    Ivresse liberté, galop ravage, Mon dernier poème sera pour toi.   Ô Reine gracile, rose courage                      Au printemps revenu tourne la page,            Regarde l'avenir, garde la foi .           Fragile vermeille, parfum mirage,                  Mon dernier poème sera pour toi.                                                                                                    Arnaud Mattei, le 01 Avril 2023 ©2023 tous droits réservés Read the full article
1 note · View note
blogtbear · 1 year
Text
Mardi grasse matinée
-16°C au thermomètre ce matin en me levant Et -24° ressenti avec un mordant petit vent. En ce mardi gras, contrairement a ses habitudes, des fleurs de givre épanouies sur sa fenêtre ont effacé en T-Bear toute velléité d’aller faire sa promenade matinale. Grasse matinée donc bien au chaud dans sa tanière à observer à travers ces plumes de glace les silhouettes des prisonniers du boulot gratter le…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
princesstatianar · 1 year
Photo
Tumblr media
Рождественская Роза, купель Альпийских гор, Из под снега светится ожерельем жемчуга, Алмазами снежинок хрустальных слез росы Искрится хрупкий иней, изумрудный дух листвы. Окутанный вуалью лучистых, нежных зорь Стан девственный и тонкий восхищает взор, Рождественское чудо снежных лепестков Предвещает сказочную радость и любовь. Под зоркою охраной гордой цепи Альп Расцветают звезды плеяд манящих вдаль, Лучистыми созвездиями золотых огней Украшая празднества Новогодних дней. Княжна Татьяна Романова Christmas Rose is the Alpine Mountains Flower A wreath of pearl vines glows from under the snow With diamonds of snowflakes, with the dew crystal Brittle hoarfrost sparkles on the emerald of foliage. Wrapped in a veil of radiant, gentle dawns The virgin and thin mill delights the eye Christmas miracle of snow petals Promise of fabulous joy and love. Under the vigilant guard of the proud chain of the Alps The stars of galaxies bloom, alluring into the distance, Radiant constellations of golden lights Decorating New Year's celebrations. Princess Tatiana Romanova La Rose de Noël est un Fleur des montagnes alpines Une couronne de vignes perlées brille sous la neige Avec des diamants de flocons de neige, du cristal de rosée Le givre fragile scintille sur l'émeraude du feuillage. Enveloppé dans un voile d'aubes radieuses et douces Le moulin vierge et fin ravit les yeux Le miracle de Noël des pétales de neige Promis une joie et un amour fabuleux. Sous la garde vigilante de la fière chaîne des Alpes Les étoiles des galaxies fleurissent, séduisantes au loin, Constellations rayonnantes de lumières dorées Décorent les célébrations du Nouvel An. Princesse Tatiana Romanova Enveloppé dans un voile d'aubes radieuses et douces Le moulin vierge et fin ravit les yeux Le miracle de Noël des pétales de neige Promis une joie et un amour fabuleux. Sous la garde vigilante de la fière chaîne des Alpes Les étoiles des galaxies fleurissent, séduisantes au loin, Constellations rayonnantes de lumières dorées Décorent les célébrations du Nouvel An. Princesse Tatiana Romanova (à Saint-Jean-Cap-Ferrat) https://www.instagram.com/p/CmFeMFtjRFp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
defilededandies · 1 year
Text
La lumière est un foyer de couleurs dont les rayons se concentrent entre les fentes et la poussière. Une présence comme une disparition. Un visage égaré dans les périphéries. Une émotion. Comme flotter à la surface du regard sans se retourner. Jamais. La mémoire se diffuse au ralenti, dans un silence impeccable. La voix titube entre les lignes en projetant du désir sur les contours, par capillarité. Le temps est nu. Quand ses lèvres s’exhibent la chaleur envahit les membres. Viens dit-elle à son soupir. Quand la cigarette se consume tout autour. Quand je scrute mes déroutes en fixant le mur. Derrière n’est pas toujours. C’est le risque. Lyrique. Pendu au plafond comme un gros soleil ivre dans l’aveuglante poussière translucide des événements. À regarder la vitre cassée de l’intérieur. C’était / au temps où les melons poussaient / sur la tête des hommes au temps / où ils portaient bicornes canotiers et / calots et ceux qui sont morts / on les honore à présent d’un bouquet / de fleurs ou d’un poème patriotique lu / par de jeunes filles en tenues / traditionnelles se tenant ahuries / devant des monuments / de pierre un beau parterre de vieux / messieurs affublés de moustaches de franche / couperose et d’écharpes tricolores. Maintenant la nuit exulte. Le passé maintenant. Provisoires les êtres vivants. Provisoires les baisers brûlent. Brûlent. Provisoires les obstacles maintenant quand je scrute mes déroutes. Parfois les morts sont sans scrupule, mais il est trop tard puisqu’aussitôt brûlent. Qu’est-ce que la sauvage douleur d’être homme ? Comme une disparition. La douleur, la sauvage d’être homme. C’est cela qui nous fut demandé. Passe. Passe la main dans ses cheveux par anticipation du plaisir. Comme c’est beau, d’une élégance radicale, à la limite du soutenable, tellement c’est beau c’est provisoire. Tellement. Rouge pâle et bleu et tellement brillant avec des reflets verts. Viens dit-elle à son soupir, dans toute sa nudité. Ici commence ici. J’en ai peur. Pas plus tard qu’hier, ensuite. Des hommes venus d’au-delà des mers se battre en short dans les rizières et mourir sous les drapeaux. Est-ce que cela a changé ? Saisir l’instant, accepter la perte. C’est cela qui nous fut demandé. C’est une caresse en oscillation dans les régions voluptueuses qui produit un éblouissement, un tremblement, une vibration de l’épiderme. Un précipité de couleurs et de sons qui reflète l’absence. Un bras puis l’autre, vertige de sensations comme l’appel désinvolte et violent du réel. Une image seule n’est pas splendeur. Ce qu’il reste de leur souffle, vapeur, ombres dansant fixées sur la pellicule. Ce fut un siècle de discorde, une longue suite de désastres qui décuplaient les sentiments. Les mêmes bêtes, les mêmes arbres, les mêmes troupeaux, mêmes champs, la même grâce. Lyriques et brillants et provisoires. Errant parmi les tombes une couronne à la main. Toutefois ce sont des particules en suspension dans l’atmosphère, des griffes de givre dans les arbres que les vagues emportent. Les dromadaires et réels et apparaissent enfin. Les lois invraisemblables et cruelles des passions. À l’affût et bien sûr et encore et plus tard et vois donc. Sourire est un salut fraternel, par capillarité, un chant de lutte en rampant dans les hautes herbes avec la peur au ventre. Un siècle de décombres, de cendres et de gravats. À se tenir debout, main dans la main. À vivre et aimer et oublier et partir et faire semblant et va et vient et revient et puis danse et mourir encore.
[Christophe Manon]
1 note · View note
incipitincipit · 2 years
Photo
Tumblr media
“Le claquement de ses talons hauts sur le marbre de l’entrée la faisait penser à des cubes de glace qui s’entrechoquent dans un verre, et les fleurs, ces chrysanthèmes de demi-saison dans un pot, près de la porte, si on les effleurait seulement, voleraient en éclats, se fracasseraient, sans aucun doute, en une poussière de givre; la maison, quoique chaude, et même quelque peu surchauffée, donnait froid (et Sylvia frissonnait), oui, froid comme les plis neigeux du visage de Miss Mozart, la secrétaire, tout de blanc vêtue, comme si elle eût été une infirmière.”
0 notes
tryingtorhyme · 2 years
Text
cigalaisons
prends mes étés, je prends tes hivers tu danseras toute l'année, Perséphone à l'envers
prends mon soleil, je prends tes trombes d'eau la neige gèle tes oreilles et j'en ai marre d'avoir chaud
qu'importe la grisaille, je mettrais un blouson la lune est la même quelque soit la saison
réfléchis, réfléchis, c'est un échange à somme nulle : le givre m’assagit tu bronzes sous la canicule
.
ferme les yeux et tends donc l'oreille laisse l'air teinté d'or te conter monts et merveilles
mille cigales chanteront autant de prophéties envoûtées par Apollon poétesses et pythies
et quand viendra l'aurore naîtront de leurs refrains l'ébauche d'une carte au trésor, une carte au destin
à dos de cigale tu éplucheras mon été et en héros pastoral tu finiras la balade à pieds
au petit bonheur la chance aux grands maux les grands remèdes tu soigneras ta soif de sens à coup de lyre et d'aède
.
quant à moi
mes nuits blanches seront prévisibles ton ennui sera mon repos un havre d'hiver tranquille contre le hasard de ces animaux
hier et demain se mêleront dans la fraîcheur de l'infini et je me loverai loin des moissons dans le cocon de ta pluie
.
et peut-être que
pour démêler les présages de ces Parques chaotiques tu fera escale, en nage dans mes pénates arctiques
le soleil que je t'ai légué te suivra comme un amant nostalgique de son prince raté il m'offrira notre printemps
tes souvenirs de cigales feront fondre ma torpeur et de leur chanson spectrale renaîtra mon ardeur
.
amor fati, amor fati, mais comment aimer des sentiers à peine établis ?
amor fati, amor fati, il est l'heure de démêler notre destin des gazouillis
les bribes de chemins s'épanouissent dans la tiédeur de nos haleines nous scrutons leurs abysses vénérables jardins d'aubaines
sous nos doigts, dans nos os la carte au destin prend vie mais loin des bonheurs intra-muros sont tapis des sorts maudits
les cymbales cigales et l'odeur des fleurs explosent et dans leur cavale nous préviennent du malheur
.
et l'hiver me manque à nouveau
je prie le givre glacial que je sens presque encore sur ma peau de me débarrasser de ces maudites cigales et de geler mes cœurs de trop
.
mais
la lune se reflète dans les étoiles de tes yeux et même Perséphone ne connaît que des danses qui se dansent à deux
tu me donnes des boules quiès et un trèfle à quatre feuilles je prie que la jeunesse nous protège du mauvais œil
0 notes
stephanocardona · 6 years
Photo
Tumblr media
Dentelles froides by guilhemmanzano
2 notes · View notes
nemosisworld · 2 years
Text
Tumblr media
Les mots ont leur couleur et les baisers aussi
Les uns, du ton pâli des roses effeuillées,
S'envolent tristement vers les cimes brouillées
Où pleure le regret du souvenir transi.
D'autres, dernières fleurs, sur le chemin durci,
Aux pétales de givre, aux corolles fouillées
Dans des pleurs de cristal, sont aux âmes rouillées
D'un blanc immaculé sous le ciel obscurci.
Quelques-uns ont le ton discret des violettes;
D'autres, presque effacés, doux et frêles squelettes,
Me semblent un essaim de grands papillons gris.
--- Jane de la Vaudère
Ph. Martina Matencio
28 notes · View notes
atelierclic64 · 2 years
Text
Tumblr media
Fleurs de givre, Bayonne 2022
Photographie : Marie-Claire Curutchet
10 notes · View notes