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#gaffe aux autres
zialinart · 4 months
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
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libra-lizard · 11 months
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A Beginner’s Guide to Fixing a Heart You Didn’t Break - Chapter 4/6
The Wedding? Called off.
The Honeymoon? Paid for.
The Bride? Inviting an old friend to join her on an all expenses paid trip to Europe.
Left heartbroken and contemplating the benefits of never leaving her apartment again, Lexi makes a drunken decision to take one last trip for no reason other than to help her forget. Fezco, on the other hand, is intent on trying to find a way to help her learn how to heal.
Step 4: Make Room for Grief
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grompf3 · 17 days
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"Je ne contracte pas" - Faut-il vraiment se marrer ? Faut-il même en parler ?
C'est bon ? Vous l'avez toutes et tous vu passer cette histoire de Pierre et Laetitia, 2 "êtres souverains" qui refusent de se plier à un contrôle de police ?
Si c'est pas le cas, je vous mets plus bas 2 liens vers des journaux qui ont traité l'affaire (vous en trouverez un tas d'autres).
Est-ce que c'est bien de se marrer ? Est-ce que c'est bien, même, de montrer ces images vidéos, de donner de la visibilité à ces gens ?
J'ai vu passer des débats à ce sujet.
Je pense qu'il y a des dangers à en parler, à se moquer. Mais ce ne sont pas forcément les dangers qu'on a évoqué. Et ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas en parler. Au contraire.
Je m'explique.
J'ai vu des arguments du genre "En vous marrant comme ça, vous allez les renforcer dans leur croyance au lieu de les en sortir". Et j'ai aussi vu des arguments selon lesquelles le fait même d'en parler en public leur donnait de la visibilité et leur faisait de la pub.
Ce sont des faux problèmes.
(Parenthèse : j'adore l'image ci-dessous. Je ne sais pas qui a fait ça, mais j'adore.)
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Déjà, le coup de "les en sortir", on arrête tout de suite. C'est pas un critère.
Aucun post sur Twitter (ou Bluesky, Mastodon, Threads, etc.) ne va "sortir" un comploplo qui s'est enfoncé dans une croyance complotiste bien déjantée comme cette histoire d'êtres souverains et de fraude au nom de naissance. Et aucun billet de blog non plus. Et aucun article de journal.
Est-ce que les gens qui gueulent en mode "c'est pas comme ça que vous allez sortir les adeptes des théories du complot de leurs croyances !" ont une recette magique pour y parvenir ?
Ce genre de débats revient souvent sur la table et il faut arrêter. C'est pas le but.
Moi, là, en écrivant ce billet de blog sur Tumblr, est-ce qu'il y a quelque chose que je pourrais faire qui pourrait "sortir" un comploplo genre "êtres souverains" de ses délires sur la "fraude au nom de naissance". Une formule magique ? Une image hypnotique ?
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Non.
Alors c'est pas la question.
Et leur faire de la pub ? Le problème de la "visibilité" ?
Est-ce que vous imaginez M et Mme Tout-le-Monde regarder ces extraits vidéos qui circulent, trouver ça super cool et avoir envie d'en être ?
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Là, pour moi, c'est plutôt un argument pour en parler. Montrer aux gens, à M et Mme Tout-le-Monde, jusqu'où tout ça peut aller. Montrer que le complotisme, non, c'est pas "ouvrir le débat", "poser des questions", "proposer un autre regard". Ça peut aller très loin. Et c'est pas que du blabla, il y a vraiment des gens qui y croient.
Et oui, ça a des conséquences concrètes, de croire aux théories du complot. Et là on a un exemple bien déjanté, qui fait rire peut-être. Mais qui frappe les esprits. Et qui peut permettre de parler d'autres exemples de conséquences concrètes et directes, qui sont peut-être moins rigolotes à raconter.
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Mais je vous disais qu'il y avait des dangers.
Où est-ce que je voulais en venir ?
Ah ! Oui !
Déjà, je m'inquiète pour vous. Et pour moi.
Parce que se foutre de la gueule des gens, c'est pas bien. Se moquer d'un propos, c'est une chose. Se moquer d'une être humain, c'en est une autre. Et la frontière est mince. Et si vous vous retrouvez à afficher des gens, juste pour pouvoir rire à leurs dépends et vous faire mousser sur les RS... Et bien vous devenez un sacré connard. Ou une sacré connasse. Et je ne suis pas sûr que je sois immunisé contre ce genre de dérives. Bref, faisons gaffe au sens de ce que nous faisons et à la manière.
Et il y a un autre gros danger. C'est de montrer des cas bien caricaturaux, les complotistes les plus déjantés, les théories les plus pétées... et oublier des discours moins extrêmes, mais au final tout aussi mensongers, et plus dangereux, parce que plus insidieux et plus "acceptables" en apparence.
Il y a un danger à imaginer un monde où les choses seraient clairement séparées en deux. D'un côté, les gens sérieux, avec des infos sérieuses. Et de l'autre le monde des comploplos débiles aux théories complètement pétées. Et non, c'est pas ça.
Vous connaissez le dicton sur le journalisme ?
"If someone says it's raining and another person says it's dry, it's not your job to quote them both. Your job is to look out of the fucking window and find out which is true."
"Si quelqu'un dit qu'il pleut et qu'une autre personne dit qu'il fait sec, ton travail ce n'est pas de donner la parole à chacune. Ton travail c'est de regarder par cette putain de fenêtre et de trouver qui dit la vérité."
Faites une expérience de pensée à partir de là.
Imaginez un premier cas de figure.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis assis sur un sofa. Il y a un gros rideau à la fenêtre. Je n'ai qu'à lever mon cul de ce sofa, faire 3 pas et tirer le rideau pour voir le temps qu'il fait. Mais je reste assis sur mon sofa. Et je vous dis qu'il pleut.
Et imaginez un deuxième cas de figure maintenant.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis debout, à la fenêtre. Je regarde dehors. Il fait sec. Pas une averse à l'horizon. Et je vous dis qu'il pleut.
Dans ce deuxième cas, vous allez me dire que je suis un menteur, ou un mytho, ou un manipulateur...
Mais dans le premier ? Celui où je reste le cul posé sur mon canapé, alors qu'il suffirait de me lever et faire 3 pas pour vérifier ?
Dans les 2 cas, je raconte des conneries. Dans les 2 cas, mon propos est faux.
Vous voyez où je veux en venir ?
Est-ce que, parce que la fausseté d'un propos est plus évidente, c'est forcément plus grave ?
Là, on rigole sur ce couple et ses délires sur la fraude au nom de naissance. Mais il y a quelques jours, le service public français rendait complaisamment le micro à une personne qui partageais des récits délirants sur l'affaire Dupont-Ligonnès.
Il n'aurait assassiné personne et bosserait pour les services spéciaux US.
Et en matière de théories bullshitesques, les plus déjantées ne sont pas forcément celles qui font le plus de dégâts.
Je vous rappelle, par exemple, que à fin février 2020, une vidéo YouTube publiée depuis Marseille nous annonçait la fin de la pandémie de Covid-19, parce que les Chinois avaient trouvé la solution.
Et pas grand monde ne s'était demandé, par exemple, comment est-ce que ça se faisait que l'info nous arrive par une vidéo YouTube publiée depuis Marseille, tandis que les autorités chinoises ne faisaient aucune annonce...
Et au niveau conséquences, on en est où, avec cette histoire de chloroquine et "fin de partie" ?
Et ça ? Un tweet d'un directeur de recherche au CNRS. Ce genre de conneries sur le sang des vaccinés et les transfusions, en on voit depuis 3 ans. C'est toujours des conneries. Mais, là, je le répète, c'est un chercheur rattaché à de prestigieuses institutions.
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C'est pas les deux là, Pierre et Laetitia, refusant de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie...
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Et puis je pourrais continuer avec plein d'exemples.
Vous me connaissez.
Je vais toujours revenir aux mêmes cas.
Tel documentaire pourri produit ou diffusé par le service public...
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Telle théorie pseudo-historique à qui on déroule le tapis rouge sous prétexte de "récit émancipateur"
Etc.
Et je pourrais vous parler de l'époque où, plus jeune, je me passionnais pour certains récits pseudo-historique. Et je ressentais cette excitation de celui qui accède à un savoir spécial, différent de ce qui est diffusé auprès des masses...
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(Si, si, j'ai cru en ce genre de trucs. À une époque.)
Et vous voulez que je vous parle d'un certain remède, élaboré à partir de foie de canard pourri, dilué à raison d'1 molécule dans la masse de plusieurs galaxies (ou un truc du genre) ? Remède sensé soigner la grippe. Remède vendu, et souvent présenté bien en vue, dans la majorité des pharmacies.
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Je pourrais aussi vous parler de thèses ésotériques diffusées sur le service public, thèses qu'il vaut mieux éviter de critiquer si l'on veut conserver son job.
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Bref, en parlant de théories complètement pétées, genre "fraude au nom de naissance", on s'expose à un risque. Celui de s'en servir comme repoussoir, de dire montrer ça du doigt pour dire "nous on n'est pas comme", de croire que le complotisme et la désinformation, c'est bon, nous on est pas concernés, parce que nous on n'est pas comme ces givrés-là.
Parlons de ces théories complètement pétées. Parlons de Pierre et Laetitia qui délirent avec un jargon pseudo-juridique grotesque, et qui se filment et diffusent ça.
Mais n'en parlons pas comme s'il s'agissait d'un monde radicalement différent du nôtre. Il n'y a pas une frontière nette. Et aucun d'entre nous n'est immunisé contre le bullshit.
Ne nous servons pas de Pierre et Laetitia pour nous moquer d'eux et nous croire à l'abri de certaines dérives. Parce que ça, c'est dangereux. Pour nous.
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luma-az · 8 months
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Pour les poubelles et le poulet
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 9 août 
Thème : démolition/coyotes et renards
. .
« Sérieusement… ça fait mal au cœur de voir ça.
— Alors ne regarde pas.
— Mais je ne peux pas ! C’est notre maison qui part ! — C’était.
— Quoi c’était ?
— C’était notre maison.
— Mais…
— Maintenant c’est un chantier d’autoroute. Fais avec.
— On t’a jamais dit que tu n’avais pas de cœur ?
— Parfois, et surtout on ne m’a jamais dit que je manquais de cervelle. Réfléchis, sac à puce. Qu’est-ce qui arrive avec les autoroutes ?
— Des voitures.
— Et avec les voitures, des… ?
— Des… accidents de voitures ?
— Oui, c’est certain que toi et les autres coyotes vous allez devoir faire sacrément gaffe à vos fesses poilues, surtout la nuit. Mais je ne te parle pas de ça. Moi, je te parle d’une aire d’autoroute. D’un relai. D’une cité-dortoir vide toute la journée pendant la migration humaine quotidienne. Et qu’est-ce qui va arriver avec tout ça ?
— Heu… des chats ?
— Oui, si tu veux. Mais surtout…
— Parce que c’est vachement bon, les chats.
— Ça ne vaudra jamais un poulet. Non, ce qui va arriver en masse, ce sont les poubelles !
— Oh.
— De la nourriture à volonté ! Du bœuf ! Du porc ! Du mélange bizarroïde délicieusement salé ! Du chocolat ! Et surtout le summum de la gastronomie humaine : du poulet ! Pense à tous ces os de poulet qui nous seront offert encore plein de chair ! Et les restes de poulet frit ! De sandwich de poulet ! De…
— Vous, les renards, vous aimez bien le poulet, non ?
— On aime le poulet exactement à la mesure de ce qu’il mérite !
— Tu baves.
— Evidemment ! Et tu devrais baver avec moi ! Pense aux poubelles !
— Pour l’instant, je pense surtout qu’ils sont en train de démolir notre maison, et ça me rend triste. Je préfère chasser ma nourriture et rentrer tranquillement dans mon terrier que de devoir esquiver leurs voitures, leurs chiens et leurs fusils, tout ça pour une poubelle au poulet.
— Tu n’as pas le goût du challenge. Peut-être que parce que les coyotes sont nuls quand il s’agit d’ouvrir une poubelle un peu sophistiquée.
— Alors tu devrais peut-être en parler à quelqu’un qui te comprend, comme un raton-laveur.
— Et pourquoi pas, ils font des merveilles avec leurs petites pattes… hé, reviens ! Ne sois pas vexé, je ne vais pas te remplacer par un raton-laveur ! Je voulais juste te remonter le moral !
— Franchement, pour quelqu’un qui se vante d’être tellement intelligent, il y a des fois où tu es juste vraiment con. »
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“Puisqu'il faut que quelqu'un se dévoue… quitte à me faire quelques nouveaux amis… je vais me répéter : il n'y a pas eu dans toute l'Europe occupée, de citoyens plus enclins au « balançage » que les französichs. Délateurs, anonymographes, faisant la queue dès potron-minet aux guichets des Kommandantur, dénonçant les tapeurs de faux tiquets, les fraudeurs d'étoiles jaunes ou tout simplement le voisin de palier qui venait de recevoir du jambon d'Auvergne, ou la petite blonde d'en face qui « ne voulait rien savoir ». Il paraît qu'à la fin, les fritz ne décachetaient même plus enveloppes. Les services étaient saturés.
Tout ça n'est pas bien grave. Des remarques, c'est tout. Je ne rêgle pas de comptes. J'en veux à personne. Je pardonne tout. Pour que tout soit bien net, j'ajouterais même ceci : je préfère les lâches aux héros. Les premiers sont fragiles, friables, inquiêts, en final assez démunis. Les seconds me font franchement peur. Ils ont presque toujours un pistolet chargé dans la tête, un meurtre qui mijote au bain-marie quelque part dans leur cerveau plein de rêves d'exploits.
Le héros d'alors était ce genre de type qui vous flinguait un soldat allemand dans le métro. Bravo, bravo ! Mais le lendemain une affiche rouge informait la population que cinquante hotages avaient été fusillés contre le mur de la Santé. Vous auriez pu être un de ces otages. Pensez-y avant d'applaudir. On peut échapper aux mouchards, beaucoup plus rarement aux héros. Personnellement, je me souviens d'avoir toujours fait très gaffe aux uns comme aux autres. Pas causant. Au bistrot, par exemple, ou dans la queue devant l'épicier, lorsqu'un de mes bouillants compatriotes exhaltait les succès militaires de la Wermarcht, je ne me serais jamais avisé de le contredire, approuvant au contraire quitte à « en remettre ». Les lieux publics étaient pleins, comme ça, de provocateurs qui passaient par là, vous glissaient un petit mot, guettaient la réponse et vous envoyaient au poteau. Beaucoup sont morts, des gens bien innocents d'avoir répondu étourdiment à leur concierge. La Résistance aurait-elle fait plus de mal que de bien ? Question à ne pas poser même trente-cinq ans après. Mais j'ai toujours eu un sens inné de ce qu'il ne faut pas écrire. Ca dérange les « paranoïaques ».
Des années plus tard, on peut toujours raconter qu'on a abrité des parachutistes anglais, zigouillé des feldwebel, niqué des « souris grises », rendu Himler maboul à force de malice. Mais lorsqu'on est dans la mouise, il y va un peu différemment. Et nous y étions ! Pour subsister, nous autres (je parle des enfants du quartier ) n'ayant pas le privilège d'opérer dans le marché noir, d'exporter des métaux non ferreux, ni de construire le mur de l'Atlantique, ni de diner chez les Abetz, on volait des vélos. Combien ? J'ai oublié. Des cycles pas toujours pimpants qu'on échangeait chez les commerçants « honnêtes » contre de la margarine, quelques litres de pinard trafiqué, ou mieux encore, de ces boissons bizarres, qui s'appelaient des trucs comme « Kina roc », des elixirs qui vous dégringolaient tout droit dans les godasses, parfois aussi contre des Gauloises piquées par des types qui travaillaient à la Régie. Tout le monde volait un petit peu. Fallait bien.”
Michel Audiard, Paris-Match n° 1525, 18 août 1975.
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rewindthetimee · 1 year
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ÉCHEC ET MAT—L’Hymne du Tueur chapitre 5
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Portail d'entrée
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Arashi: Bon, je viens avec toi. Je me gèle les miches après être restée aussi longtemps dehors, un peu d’exercice me réchauffera...
Alors entraînons-nous ensemble.♪
Sinon, tu seras seul sans moi.
Izumi: Alors c’est décidé. Je ne pense pas que le reste de notre groupe y soit déjà, mais si c’est le cas, je te présenterai.
Tu devrais au moins passer le bonjour à tes nouveaux camarades, tu ne crois pas ?
Arashi: Tu dis ça, mais… En sachant que tu sembles assez insistant pour m’amener là-bas contre mon gré, j’ai plutôt l’impression que tu ne les considères pas tant que ça comme tes camarades, ai-je tort ?
Izumi: Qu’importe, ta vie sera bien plus aisée si tu nous rejoins. Même un château en ruines vaut mieux que dormir dans la rue.
En vrai, on ressemble plus à un organisme coopératif qu’un groupe d’idoles, ou à une sorte de guilde…
Rien ni personne ne te force à assister aux entraînements. Mais en principe, comme tu fais officiellement partie du groupe, tu gagneras toujours quelque chose grâce au boulot des autres.
Il n’y a pas de mal à devenir membre. J’ai aussi été mannequin, je sais à quel point c’est dur de se convertir dans un domaine complètement différent du nôtre.
C’est bien normal de se sentir perdu dans un endroit inconnu.
Après tout, je suis ton aîné. Je te dis ça parce que je m'inquiète pour toi.
Arashi: On dirait plus que tu cherches à recevoir des compliments pour ta bonne conduite… Bonté divine, tu n’as vraiment pas changé !
Hi hi. Eh bien, tu m’as convaincu, je te suis.
J’aime être privilégiée sans avoir trop de responsabilités. Donc je ne vais rien faire pour les autres, compris ?
Izumi: Reçu cinq sur cinq, tu es bien le genre de personne qui ne bougerait pas le petit doigt sauf pour servir tes propres intérêts.
T’es vraiment qu’un sale morveux... Enfin, j’ai quand même quelque peu confiance en tes capacités.
De plus, j’aimerais renflouer nos effectifs petit à petit. Tu contribueras à l’esprit d'équipe avec ta présence...
Il faut bien que je fasse quelque chose pour redynamiser ces feignasses pourries jusqu’à la moelle.
Arashi: "Notre", tu dis ? … Pourtant j’ai été assez claire quand j’ai dit ne pas vouloir participer.
Je me souviens à peine du nom du groupe… C’est quoi déjà, Othello ?
Izumi: C’était oui, l’année dernière. Notre leader a changé depuis, tu vois. Désormais, c’est Backgammon.
Arashi: Ça en fait des noms. Si je me souviens bien, au tout début il se nommait Chess ?
Izumi: Ouaip, c’est ça. Ce qui en fait le second plus vieux groupe toujours existant à Yumenosaki. Enfin, quelque chose comme ça, je m’en fiche.
Leo-kun semble avoir un attachement tout particulier pour le premier nom, Chess...
Quand on a procédé à un vote pour le changer, il est le seul à avoir voté contre.
Arashi: Leo-kun?
Izumi: Même année que moi, même unité. Tu l’as jamais rencontré avant ?
Arashi: Mh... c’est le rouquin qui te suit tout le temps ? Celui avec les cheveux longs attachés qui ressemble à une fille ?
Pour tout te dire, j’étais soulagée de voir que tu t’es fait des amis ici aussi, Izumi-chan.
Izumi: Bon sang, on est pas amis ! Notre relation c’est plutôt genre… un chat sauvage que j’ai ramassé un jour pluvieux dans la rue, et qui me colle aux basques depuis.
Arashi: Vraiment ? On aurait dit que vous êtes bien plus proches que ça tous les deux pourtant, hi hi hi.♪
Tu sais, Izumi-chan… quand tu traînes avec ce "Leo-kun"-san, l’expression sur ton visage est plus douce, comme elle l’était il y a bien longtemps.
Izumi: J’te demande pardon ? Mon visage est toujours doux, toujours parfait !
… Wouhah ?!
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Ritsu: ……..
Izumi: … Hein, c’est quoi ce truc ? Un cadavre ? Beurk, j’ai marché dessus sans faire gaffe !
Arashi: Il a l’air vivant à mes yeux pourtant.
Ça fait un moment que je suis au niveau du portail, je l’ai aperçu plus tôt en train de tituber ici avant de s’allonger par terre. Peut-être qu’il fait une sieste ?
Izumi: Dehors sur le macadam ? Comment peux-tu ignorer quelqu’un qui agit aussi bizarrement ??
Tu devrais montrer un peu plus d’intérêt pour les autres ! Et s’il était malade ou mourant hein ? Là ce serait un énorme problème !
Hé ! T’es toujours en vie ? Est-ce qu’on doit appeler une ambulance ?
Ritsu: Mn quoi...? Il y a tellement de bruit... qu’est-ce qu’il se passe...?
Je vais bien, laissez-moi tranquille... Vous êtes en train de me déranger.
Je tuerai le premier idiot qui ose perturber mon sommeil.
Izumi: Pardon ? On s’inquiète pour toi, tu sais !? C’est quoi son problème à lui, il m’énerve déjà ! T’es un première année, nan ? C’est pas une attitude à avoir envers ton aîné !
Ritsu: Mm... ouais je suis un première année, mais j’ai redoublé, alors je suis du même âge que toi.
Dégage et laisse-moi reposer en paix... Les rayons du soleil sont si intenses aujourd’hui, c’est insoutenable...
J’avais planifié de rester ici à l’ombre toute la journée jusqu’à la nuit tombée...
Et si jamais Ma~kun passait par là, je lui aurais demandé de me transporter sur son dos jusqu’à chez moi...
Mais il a l’air occupé, je le vois plus beaucoup ces derniers temps.
Izumi: Mh, j’ai aucune idée de quoi tu parles.
Tu dis que c’est insoutenable ? Si tu ne te sens pas bien, je peux te porter jusqu’à l’infirmerie.
Ritsu: Mh... merci pour ta générosité. Mais comme je l’ai déjà dit avant, je vais bien.
Izumi: Et tu crois vraiment que je vais gober ça ? Viens-là, je vais te porter, ok ? Donne-moi un coup de main, sale binoclard !
Arashi: Hééé je t’ai déjà dit de pas m’appeler "sale binoclard" !
Izumi: Mais tu détestes ton vrai nom, pas vrai ? Du coup je suis bien obligé de te donner un surnom.
Ritsu: Ah c’est vrai ? Moi aussi j’aime pas mon nom… On est pareil, “binoclard-kun”.♪
Hu hu hu. Quand quelqu’un te dit son nom, c’est normal de donner le tien en retour par politesse.
Eurgh, quelle plaie. Quand je dis mon nom de famille à quelqu’un, on me regarde toujours comme si j’avais un troisième œil.
Enfin, tant pis. Mon nom c’est... Ritsu... Ku... Ma.
Izumi: Hein ? T’as dit quoi ? Ritsu Kuma ?
Je comprends rien à ce que tu racontes, alors dis rien si t’y arrives pas ! Pour l’instant, soit gentil... Kuma-kun ?
Arashi: Ah, quel nom adorable ! Tu peux m’appeler Naru-chan, si tu veux~ ça ne me dérange plus trop d’entendre mon nom dernièrement.
Izumi: Ouais, ouais, on s’en tape ! Y’a des trucs plus importants, comme emmener ce pauvre gars à l’infirmerie !
Ritsu: Eurgh... Pourquoi ils font tout ça... je comprends vraiment rien à ce qui se passe, mais ils en font un vacarme…
Correction FR : Yunaël
Traduction anglaise : royalquintet
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paradoxlivefr · 11 months
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[FR] Live Opening Drama BAE
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Personnages : Allen Sugasano, Anne Faulkner, Hajun Yeon. Notes : Pour un maximum d'immersion, je vous recommande vivement d'écouter l'audio original en parallèle. >>Voici l'audio complet sur Spotify<< Autre note, Anne est un personnage genderqueer qui aime briser les codes, j'ai donc utilisé une écriture inclusive pour iel :) /!\ Triggers warning /!\ Vagues allusions à de la transphobie et du sexisme.
Allen: C’est tout ce qu’y a, hein ? Il n’y a pas foule.
Hajun: Je te prie de ne pas demander l’impossible. Cette salle de concert est déjà pleine à craquer.
Anne: N’en demande pas trop, on devrait déjà se contenter de ce qu’on a.
Allen: Se contenter de ça ? Ça n’a aucun intérêt si la salle n’est pas remplie au point de devoir refouler des gens à l’entrée.
Anne: Eh ben, j’imagine que tu as raison… Honnêtement, ça ne fait vraiment pas beaucoup de monde.
Hajun: Et tu as un plan pour ramener plus de gens ?
Allen: Nan, notre seul plan, c’est faire du bon son… c’est tout.
Anne: Toi, tu ne changeras donc jamais, hein…
Allen: Je vais prouver notre valeur avec ma musique.
Groupie 1: Hajun-kun ! Est-ce que je peux me prendre en photo avec toi ? J’ai… j’ai tous les magazines dans lesquels tu figures et…
Hajun: Je vois ! Je suis heureux de l’apprendre. Eh bien… Me laisseriez-vous apparaître dans vos rêves ce soir ?
… Ha, amusez-vous bien, et au plaisir de vous revoir ! [1]
Anne: Une réaction digne du Noble Souriant.
Hajun: C’est l’un des secrets de la réussite dans la vie.
Anne: Si tu le dis.
Ah désolé.e, je vais vite faire un tour aux toilettes alors vous pouvez déjà aller à l’espace VIP sans moi.
Allen: ‘dacc.
Hajun: Hmph, j’y vais aussi.
* * *
Groupie 2: (La vache, cette meuf là-bas à l’air super bonne !)
Hé, hé toi là, onee-san ! [2] C’est les chiottes des mecs ici, qu’est-ce que tu fous là ? Me dit pas que tu te sentais tellement seule que tu pouvais pas te retenir ?
Anne: (Haha, on dirait qu’il y a encore des idiots qui ne me connaissent pas. J’imagine que je pourrais un peu m’amuser avec lui…)
Et si c’était le cas, qu’est-ce que tu ferais, onii-san ? [3]
Groupie 2: Bah, je… avec moi…
Hajun: Assez.
Groupie 2: Hein ? C’est quoi ton putain de problème toi ? Les choses commençaient à devenir intéressantes–
Anne: Attends, Hajun !
Hajun: Anne, ne perds pas ton temps à jouer avec cette chose, partons.
Groupie 2: Qu’est-ce que tu viens de dire espèce d’enfoiré ?! Fais gaffe à ta langue–
Hajun: Il y a un problème ? Crois-moi, cette personne est bien trop compliquée à gérer pour une médiocrité de bas-étage telle que toi.
Groupie 2: Ugh…
Anne: Pas besoin de pousser le bouchon, je ne faisais que le taquiner un peu. Enfin bon, il ne m’intéresse plus maintenant… Allons-y.
Hajun: [se heurte au groupie] Oh, désolé. Est-ce que ça va ?
Anne: [soupir] Toi alors… Comment tu fais pour garder le sourire après un échange pareil ?
* * *
Allen: Vous êtes à la bourre. Vous étiez où ?
Hajun: Anne s’est de nouveau fait.e dragué.e par des ivrognes.
Allen: ‘tin… Dans ce genre de situation, écarte-toi gentiment de la source de conflit au moins.
Tu es déjà assez incrompis.e comme ça.
Anne: Ah ? Et c’est quoi le problème avec ça ? Je te l’ai déjà dit, je veux vivre comme bon me semble.
Allen: Oh… désolé.
Anne: Pour commencer, Allen, le seul mot que t’as tout le temps à la bouche c’est ta musique–
Hajun: Okay, okay, on se calme.
Anne: Hé, quelque chose est tombé.
Hajun: Oh, pardon.
Allen: C’est quoi ? Une sorte de lettre ?
Hajun: Je me demande ce que c’est.
On dirait que ça nous est adressé. Quand est-ce que c’est arrivé là…?
Anne: Et ? Y a quoi à l’intérieur ? C’est une lettre de fan ? Un avis d’expulsion ?
Allen: Hé Hajun, fais voir !
Anne: Qu’est-ce qu’y a ? T’es tout pâle. Y a une photo incriminante de toi et de ton ex à l’intérieur ?
Allen: … Paradox.
Anne: Allen, qu’est ce que–
Hajun: Club Paradox ?
Anne: Paradox… Ce Club Paradox ?
Allen: Ouais ! Tous les rappeurs fantômes le connaissent !
C’est dans ce club que le tout premier Concert Fantôme a pris place il y a dix ans ! Impossible de parler de hip-hop sans mentionner Paradox aussi ! Même aujourd’hui encore, on en parle toujours–
Hajun: C’est bien le berceau de la légendaire équipe Buraikan, pas vrai ? J’ai déjà entendu cette histoire un million de fois.
Anne: Hajun, laisse-le au moins dire ça aussi : “un jour, je surpasserai Buraikan !”
Allen: En moins d’un an, ils ont réussi à monopoliser le top des chartes dans chaque pays… Leurs ventes avoisinent les deux milliards de CDs ! Ils sont l’origine et aussi la crème des concerts fantômes ! Et… Ils sont aussi un obstacle que nous devrons surmonter coûte que coûte.
Anne: Et donc, qu’est-ce que Paradox nous veut au juste ?
Hajun: Cette lettre est suspecte, nous ne savons toujours pas si elle est bien réelle non plus.
Anne: Intéressant pas vrai ? Regardons ce qu’il y a à l’intérieur.
Hajun: Invitation [4]… Alors c’est bien une invitation.
Anne: On dirait qu’il y a un autre papier à l’intérieur. Lisons-le.
Allen: … Je vois. En gros, les nouveaux proprios vont organiser un évènement pour décider quelle équipe est la plus forte.
Hajun: Oh ? Intriguant n’est-ce pas ?
Allen: Ouais, seulement s’ils tiennent leur parole.
Hajun: Effectivement.
Allen: Paradox est une salle de concert qui a disparu il y a dix ans de cela, au même moment où Buraikan ont pris leur retraite.
Anne: Je peux encore comprendre la disparition d’artistes, mais… Pourquoi Paradox a disparu au juste ?
Allen: Ça… J’en sais pas plus que toi. En une nuit, ils se sont comme évaporés sans laisser de traces derrière eux.
Hajun: Ça a l’air encore plus suspicieux maintenant. Cette invitation doit sûrement être une sorte de blague ou une plaisanterie.
Allen: Je sais pas quel est leur but, mais ils ont des couilles d’utiliser le nom de Paradox comme ça.
Anne: Hein ? C’est quoi ça ? Qu’est-ce qu’y se passe ?
Hajun: Anne ? Il y a un problème ?
Anne: Regarde ça.
Hajun: Hm ? Hein ? Mais c’est…
Anne: Hé... p’têt… p’têt que c’est pas une blague ? [Iel parcourt les réseaux sociaux]
Il y a un tas de posts à propos de Paradox sur les réseaux.
Ça se répand à vitesse grand V.
Allen: Laisse moi voir...! [Il tend le bras et attrape le téléphone]
Ça a l’air bien réel…
Dans ce cas... Paradox est bien...!
Hajun: Une mystérieuse invitation et un club supposé avoir disparu il y a une décennie...
Tout ça semble un peu trop poussé pour être une simple blague, non ?
Allen: Ouais.
Anne: Alors… J’imagine que cette invitation est bien réelle ?
Hajun: Ne faisons pas de conclusions hâtives.
En tout cas, la crédibilité de cette lettre vient définitivement de grimper en flèche.
Anne: Hé, plutôt tu as dit que cette invitation pourrait déterminer l’équipe la plus forte, mais comment déterminer un truc pareil ?
Allen: Comme je l’ai déjà dit avant, on dirait qu’ils vont rassembler plusieurs équipes grâce à ces invitations pour déterminer qui est le meilleur à l'issue d’un tournoi.
Il y aura quatre équipes au total.
Ce sera un tournoi à la ronde, et l’équipe qui reçoit le plus de votes du public gagnera un prix de dix milliards de yen, ainsi que la chance de défier Buraikan en personne...! [5]
Hajun: Haha ! Ils ont vraiment tout donné pour cet évènement !
Anne: Avec une telle intrigue, impossible de savoir si c’est du pipeau ou pas !
Allen: Ouais... Mais ça reste une opportunité inédite.
Si on peut confronter Buraikan, nous nous rapprocherons de notre but !
Anne: Eh bien, j’imagine que tu as raison, mais…
Hajun: Si Buraikan font leur grand retour, ils devront forcément être présents au Club Paradox, après tout. Si nous réussissons à les battre là-bas…
Allen: Nous deviendrons des légendes vivantes !
Et puis, si possible, je veux aussi juste les rencontrer face à face.
Anne: Eh beh, il faut savoir doser M. Hip-hop Maniaque.
Hajun: Nous ne savons toujours pas si tout ça est bien réel. Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Anne: Au point où on est, autant tomber droit dans leur piège.
De plus, si nous arrivons à gagner les dix milliards… je dis pas non.
Hajun: Je suis aussi partant. Mais bon, si tu divises les dix milliards en trois, il nous restera un peu plus de trois milliards chacun... Une modique somme d’argent.
Allen: [soupir] ... Quand je te parle, ma notion d’argent part vraiment en vrille.
Est-ce que tous les fils de conglomérats sont comme ça ?
Anne: Sérieux, le meilleur truc à propos de Hajun c’est son visage, mais y a pas que ça qui est tordu chez lui.
Hajun: C’est un honneur de recevoir un tel compliment !
Anne: J’aime bien ce côté-là.
Hajun: Qu’est-ce que tu vas faire, Allen ?
Allen: Même si c’est une chance sur dix mille, il y a toujours une infime probabilité de pouvoir défier Buraikan. C’est une assez bonne raison pour participer.
Anne: Je savais que t’allais dire ça.
Allen: Donc, c’est décidé.
Hajun: “Maintenant que c’est décidé, nous sommes dans l’obligation de gagner”... C’est ça ?
Anne: Est-ce qu’on a vraiment le choix ?
Hajun: Eh bien, même si on manquait cette opportunité, il viendra un jour où le monde entier me reconnaîtra.
Anne: Reconnaîtra le fait que tu es une personne au cœur noir ?
Hajun: Anne.
Anne: Oh non, j’ai peur~
Allen: Quoi qu’il en soit, si le retour de Paradox s’avère être vrai, on n’aura pas meilleure scène que ça dans nos vies.
Qu’importe qui seront nos adversaires, nous gagnerons avec notre musique !
Hajun: Nous les anéantirons avec brio sur cette immense scène... Et les transformeront en faire-valoir !
Anne: Ça serait bien qu’ils ne soient pas faciles à battre.
Hajun: Maintenant que nous nous sommes décidés... Il va falloir composer une nouvelle chanson.
Allen: Ouaip. Pour ça je vous donne rendez-vous dans ma chambre demain matin.
Je vous préviens direct : on n'aura pas le temps de faire un break.
Anne: Okay. Dans ce cas, faisons en sorte de rendre tout ça le plus amusant possible !
Allen & Hajun: Ouais !
* * *
[Bruits de touches de clavier]
Allen: Raaah, putain !
Hajun: Même si tu t’énerves, ça ne fera pas avancer la composition plus vite, tu sais ?
Allen: On doit être au top du Paradox Live, y a rien d’utile à produire quelque chose vite fait bien fait !
Anne: Eh bien, tu as raison, mais…
Hajun: Je me demande ce qu’il ne va pas. Cet essai ne m’a pas l’air si mal.
Allen: Essayons de changer l’approche du beat sur la partie de Anne. Okay, encore une fois !
* * *
[Allen frappe son poing sur le bureau]
Allen: Ça ne va pas... non, non, non !!
Anne: Hé, Allen~ Si ça continue, nos poumons vont exploser avant d’avoir fini ce foutu morceau…
Hajun: Allen, quelle partie tu n’aimes pas ?
Allen: Notre base… La partie qui est censée devenir le cœur est beaucoup trop faible.
Il n’y a pas que le talent qui compte. Il y a aussi les émotions… les vibes !
Anne: On ne peut rien faire de plus à propos de ça… On commence à être épuisé, et puis…
Allen: Bande d’idiots ! Vous croyez vraiment que ça ira comme ça !?
Est-ce que vous avez déjà oublié la raison pour laquelle on tient nos microphones en premier lieu !?
Hajun: Oublié, tu dis ?
Ne dis pas de choses aussi insensées. De toute ma vie, il ne s’est pas passé un seul jour sans que je me rappelle de la raison pour laquelle j’ai commencé la musique.
Anne: Moi aussi. Cette... cette vieille sorcière…
La personne qui m’a séparé.e de mon père… Je ne lui pardonnerai jamais.
Allen: C’est ça. On les obligera à reconnaître notre juste valeur. Le public, la société, et… les parents qui nous ont rejetés !
Hajun: Sans exception…
Tous sans exception, je les mettrai à genoux devant moi.
Anne: T’as raison…
T’as totalement raison ! On va carrément tout défoncer avec BAE !
Allen: On ne vaut rien si on arrive pas à percer ici.
Si on continue comme ça, on restera des moins-que-rien.
Non... nous ne serons rien du tout.
On finira comme des chiens errants qui ont fui leur chez-soi.
Anne: Jamais j’accepterai ça de mon vivant, et même après ma mort !
Hajun: Même si on meurt, on ne sera jamais complètement disparus.
Allen: La victoire n’est qu’une simple étape pour nous.
En plus de gagner, nous devons prouver notre existence au monde entier.
Ça ne sert à rien de continuer si on n'arrive même pas à monter cette première marche.
Hajun: Dans ce cas… Il n’y a qu’une chose à faire.
Anne: Ouais, et on va le faire.
Allen: Oubliez le talent. Pas grave si vous n’utilisez pas les paroles qu’on a préparées, vous n'avez qu’à faire un micmac avec toute cette énergie au plus profond de vous !
Transpercez le public insondable de vos voix !
* * *
[Gazouillis d’oiseaux en fond]
Anne: Oh non… Je me suis endormi.e…
Hé, Hajun ! Hajun...!
Hajun: Que… quoi...? Anne ?
Ce plaid... C’est toi qui l’as...?
Anne: Non, j’étais déjà allongé.e sur le sofa quand je me suis réveillé.e.
Alors ça doit être Allen...?
En parlant du loup, où est-ce qu’il est ?
Hajun: Je vais aller le chercher.
Anne: Ah, je viens avec toi ! [Ils toquent à la porte avant de l’ouvrir]
Allen: Ah, Hajun, Anne. Vous êtes réveillés.
Hajun & Anne: Allen !
Allen: Je l’ai finie.
Anne: Tu l’as terminée !? Alors, comment elle est !?
Allen: –ien…
Anne: Hein ?
Allen: Je vais aller dormir… Je suis… à ma limite…
Hajun: Ah, il s’est évanoui.
Anne: Se pousser à bout comme ça… Il porte bien son surnom de M. Hip-hop Maniaque.
Hajun: [bâille] ... Au moins, on dirait qu’il est enfin satisfait.
Allen: On va… tout défoncer…
Anne: Allez, Allen, va te mettre au lit.
Hajun: Anne, laisse-le dormir.
Je vais le porter jusqu’à son lit. Anne, s’il-te-plaît, va chercher la couverture.
Anne: Compris.
Hajun: Et donc, qu’est-ce qu’il en ait de cette chanson ?
Anne: Le titre c’est... BaNG!!!, hein ?
Venant d’Allen, c’est un choix plutôt surprenant.
Hajun: Tout ce qu’il nous reste à faire désormais c’est de rendre le produit final.
Anne: Hajun, tiens, les écouteurs.
Hajun: Ah, merci beaucoup.
[Bruits de clavier]
Hajun: Oh, c’est vraiment...! Anne, écoute ça !
Anne: Ouais. C’est incroyable...! Incroyable, phénoménal ! Ça sonne super bien !
Hajun: Haha ! J’ai hâte pour le concert.
* * *
Allen: J’arrive toujours pas à croire que j’vais bientôt performer sur la légendaire scène de Paradox…
Ha... Mes genoux sont sur le point de céder...!
Anne: Purée, qu’est-ce que tu fous Allen !?
Hajun: Notre prestation commence bientôt, je te prie d’aller te changer.
Allen: Désolé... J’arrive juste pas à tenir en place...!
Hajun: Haha, quelle piètre chose à dire juste avant un concert.
Imagine avoir froid aux yeux dans un endroit pareil… J’ai peur pour la suite.
Allen: Moi, avoir les chocottes !? Ça s'appelle de la galanterie !
Anne: Ouais, ouais. Ton visage ne dit pas la même chose, Allen.
Allen: Hein ?
Anne: Ce n’est pas commun de te voir aussi nerveux.
Hajun: Tu disais toujours ça, n’est-ce pas ? “Avec ma musique…”
Allen: “… Je vais prouver notre valeur.”
Vous avez raison. Je vous demande pardon à tous les deux. Merci.
Anne: Allez, ressaisis-toi, chef.
Bien, je vais prendre soin de vos coupes. Aujourd’hui est un jour très important, on se doit d’être absolument irréprochables pour le concert.
Hajun: De quoi tu parles ? Je suis toujours irréprochable.
[Un membre du personnel toque à la porte]
M.d.P.: C’est à vous !
Hajun: Compris !
Anne: Allez, vous deux. Demain, on va avoir un contre-cœur assez sévère. [6]
Hajun: Effectivement. Après tout, l’illusion d’aujourd’hui sera plus grandiose que d’habitude.
Je me suis déjà préparé à la fatigue ces prochains jours.
Allen: Ouais. Ce soir, on va foutre la scène en feu !
Anne: On doit montrer le meilleur de nous-mêmes.
Hajun: Oui, c’est parti.
Allen: Montrons-leur le jour où nous deviendrons plus que des moins-que-rien !
[1] Dit en coréen. [2] Onee-san veut dire "grande sœur", mais il peut être aussi employé pour interpeller une femme (mature) inconnue. [3] Onii-san veut dire "grand frère", pareil que pour onee-san, mais employé pour les hommes. [4] Écrit en anglais. [5] Environ 6 667 700 euros. [6] “Trap-reaction” dans la version originale. Plutôt que de traduire littéralement, j’ai décidé de faire un jeu de mots avec “à contrecœur”, contre -> à l’encontre et cœur -> émotions. Remerciements : Même si j'ai fait le plus gros du travail, je me suis quand même aidé de la traduction anglaise réalisée par lechefrita_ (Twitter). Merci aussi à mes amis qui m'ont aidé quand je galérais sur certains passages ^^'
Ah ? Vous êtes intéressés par la musique qu'ils ont réalisée pour le concert ? >>Clique ici pour écouter BaNG!!!<<
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dubalai · 1 year
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LE VÉLO DE BRIGITTE (CHABEUIL, DRÔME) EST AUSSI UNE BELLE OEUVRE D’ART BRUT.
D’ordinaire, Brigitte roule en vélo dans Chabeuil (Drôme) sur la drôle de machine, qu’on voit ici, compliquée et très ornementée. J’ai dû lui demander d’en descendre pour en tirer le portrait ; Brigitte a accepté en souriant, de très bonne grâce.
Brigitte roule au pas, vraiment lentement, et ne quitte pas le centre ville et ses maigres pistes réservées, le plus souvent étroites et accidentées ; ce jour-là, elle allait faire ses courses au super marché, sur la grande route de Valence, encore un peu dans le village. Faut faire gaffe tout de même, ça roule vite...Mais Brigitte va toujours au pas...
Sa machine est belle et bien tenue, pleine de peluches et de gri-gris, hérissée de rétroviseurs aux effets miroitants et éclairée par une imposante lampe à piles attachée sous le panier d’avant. Pas difficile : ‘faut tout démonter pour changer les piles...C’est un jeune du village qui me l’a installée...’ Sur ce panier, elle peut rabattre une planchette taillée à la mesure : une sorte de tablette, très astucieuse. L’auvent qui protège Brigitte de la pluie ou du soleil est formé d’un plastique alvéolé, léger mais rigide, qui couvre l’ensemble du véhicule jusqu’à l’aplomb de la roue avant. Trois parois bâchées encadrent la selle et l’arrière est orné de splendides bandes réfléchissantes de sécurité, rouges et blanches , disposées sur toute la hauteur de la machine. L’ensemble, posé et fixé sur une plate forme arrière, forme un abri, une hutte confortable, une guérite qui se déplace avec précaution, complète et rassurante, protégée du monde extérieur et peut-être aussi des voitures, par ses fétiches.
Brigitte est active dans la ville : elle aide à la distribution des nombreux colis d’entraide que distribue une association locale dévouée à soulager les difficultés des pauvres  à Chabeuil et alentours. Aussi elle participe avec assiduité à un atelier de peinture amateure et je connais deux collectionneurs chabeuillois qui lui ont acheté de petites toiles très bien composées, et qui les exposent en bonne place chez eux.
L’expression n’est guère satisfaisante, et sujette à bien des incompréhensions, mais les toiles de Brigitte, tout comme son vélo, c’est de l’’art brut’. De l’art à part entière qu’on appelle aussi l’art des outsiders tant sont perceptibles les difficultés existentielles de leurs auteurs. Ces artistes ont un grand musée, très beau et intriguant, à Lausanne, et un autre à Montpellier, où on peut admirer leurs oeuvres étranges, rêveuses (ou cauchemardesques) ou torturées, où on trouve justement ces oeuvres ‘brutes’ qui, d’ailleurs, montrent très souvent des avions, des locomotives, des voitures, et des vélos, toute sorte de machines. Bref, l’art brut s’occupe beaucoup de transport (et aussi d’armements, de plans de ville, d’architecture...), une sous spécialité, en somme, qui semble occuper beaucoup ces ‘outsiders’ qui composent comme mécaniquement leur oeuvre de détails et d’obsessions...
Dans cette chronique dédiée aux ‘luftmensch’ (si toutefois ces mots : ‘gens de l’air’... permet de mieux comprendre ce qu’ils sont...), j’ai déjà montré de ces vélos à la fois surchargés de vie et pleins de légèreté, un à Crémone en Italie, et deux autres à Valence. Voici donc maintenant celui de Brigitte, un croquis de fantaisie, amicalement brossé pour lui recommander encore une fois d’être prudente...On comprend en effet trop bien que les automobilistes chabeuillois ne sont pas tous sensibles à l’art brut, pas assez en tous cas pour passer au large du beau vélo de Brigitte......
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pas-de-la-kaamelott · 2 years
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✨les boys✨ quand ils étaient lycéens (je prends pas le nouveau bac je vais pas vous saouler avec ça)
- Mani : est en L. Une tanche en philo et français par contre les langues c’est son rayon. Le genre de mec avec qui ta prof d’espagnol a tout le temps l’air de flirter et qui n’a jamais eu moins de 16 à un contrôle de vocabulaire. A part ça le plus gros charo du bahut c’est lui, les profs qu’il aime pas il les insulte ouvertement les profs qu’il aime ils l’aiment en retour. Celui qui fout le plus la merde dans l’internat, il entraîne tous les autres avec lui les surveillants ont une relation amour-haine avec lui. Mettra un seau d’eau au-dessus de ta porte. Mais. Jamais de la vie il te balancera si t’as fait une connerie il se fera coller à ta place sans trop broncher. Revient assez souvent en sang parce qu’il s’est encore battu parce que le mec en face avait insulté ses potes pour se faire soigner par caius qui râle qu’il pourrait quand même faire gaffe un peu
- Arturus : est aussi en L. Le premier de la classe en français, un putain de génie en philo (surtout parce que son prof est tout aussi dépressif que lui donc il est d’accord avec ses copies qui devraient l’alerter sur l’état de santé mentale de son élève). Est un gros nul en langues, il copie sur Mani 80% du temps voire il arrête tout simplement d’écouter quand ça le fait chier et ne s’en sort quand on lui pose une question qu’en déduisant la réponse avec de la logique puis continue de regarder les merles dans la cour par la fenêtre (mon expérience personnelle parle, ça s’entend ou pas ?). C’est le mec timide qui est toujours fourré avec manilius et caius et qui essaie de les retenir de faire trop de conneries. Beaucoup de filles (et de garçons) sont intéressés par le fait qu’il parle pas beaucoup donc ça le rend mystérieux, et bien qu’il ait tendance à foirer toutes ses relations il reste dans le souvenir des gens comme quelqu’un de très doux et profondément loving and caring en amour. Possède également une grande gourde remplie d’expresso dont il se sépare jamais et porte toujours une écharpe autour du cou parce que 1) il a tout le temps froid 2) il pense que ça lui donne un côté edgy (c’est faux)
- Caius : avec mani et arturus ils forment le trio de la d de la filière L. Procrastine tout jusqu’à 23:15 le dernier jour du délai pour rendre sa dissert. Bizarrement il se débrouille en philo et encore plus bizarrement le commentaire de texte au bac de français il a tout défoncé. Shitposts his way through his assignements dans les langues. S’il voit une seule formule mathématique il pleure tellement il est allergique aux sciences. Est le clown de la classe mais il essaie de rester dans les limites du respectueux contrairement à mani. 2ème plus gros charo du lycée, avec ses p’tits cheveux un peu longs ondulés de fuckboy il s’est tapé l’entièreté de la gent féminine du bahut et la moitié de la gent masculine (le nombre de personnes à qui il a ouvert les yeux sur leurs sexualités…unfathomable). Est le seul connard du groupe qui fume. Porte une veste en cuir et ON GOD ça lui va hyper bien. Son atout pour pécho c’est faire ses bons gros yeux de lover en ayant fait gaffe de se placer face à la lumière pour que leur couleur ressorte. Caius passion photo il est assez doué avec le noir et blanc et a tendance à photographier les gens avec qui il est sorti (« les natures mortes c’est mort ça doit rester mort »). Les colles il peut supporter mais il balance les noms quand on menace d’appeler ses parents. J’aime penser que c’est l’infirmière du groupe, genre il est toujours là quand y’a des cauchemars, dès qu’y en a un qui se blesse il a le matos dans son sac, quand y’en a un qu’est malade il se fait porter pâle aussi juste pour s’occuper de celui qui est au fond du plumard avec une grosse fièvre. Revient aussi souvent en sang (mais c’est plus parce qu’il s’est fait victimisé par un mec plus costaud que lui) et selon comment on lui a cassé la gueule râle assez fort (faut s’inquiéter quand il dit rien, caius).
- Falerius : il a pris ES le madlad. N’a jamais eu une moyenne en dessous de 15. C’est un mec normal a l’exception que c’est le seul connard en t-shirt pantacourt tous les jours que dieu fait. Ses profs le décrivent comme « un plaisir à avoir en classe ». C’est toujours lui qu’on envoie quand ils font trop de bruit dans le dortoir parce que les surveillants le croient. Les aide à faire leurs devoirs de bon cœur et avec beaucoup de patience (surtout pour caius). A son permis de conduire, donc devenu chauffeur officiel de la bande. Il est très, très fatigué de ses potes et des batailles de bouffe à la cantine
- Papinius : a pris S parce qu’il savait qu’il aurait été vraiment trop nul dans les deux autres filières. Harcèlement banalisé par le prof d’eps parce qu’il est à deux doigts de lui claquer dans les pattes au bout du premier 400m du 2x800. Il arrive à garder la tête hors de l’eau question notes mais dès qu’y a un contrôle le gang peut être sûr d’entendre toute la journée « franchement les gars ça va être chaud, sa mère ca va être chaud » et de se ramener deux jours après avec un 13 ou 14 tout à fait honnêtes. Souvent l’objet des pranks dans le dortoir. Ses potes c’est sa vie il sait pas comment il ferait sans eux. Avant il se faisait harceler mais depuis qu’il a rencontré les autres on lui fout la paix, ceux qui le font pas ce sont des nouveaux et on leur rappelle avec plus ou moins de poing dans la gueule qu’on touche pas à papinius
- Verinus : en filière arts et théâtre. C’est pas pour tomber dans le cliché mais lui c’est vraiment un chômeur personne sait comment il fait pour pas redoubler. Le seul qui est pas dans le même dortoir que les autres et qui du coup vient leur demander des trucs (« eh t’as pas un chargeur ? Une feuille ? De la gouache ? » « non mais par contre j’ai ma main dans ta gueule si tu veux »). Balance immédiatement quand on menace de le coller. En compétition avec venec qui a toujours de meilleures notes que lui (et qui baise plus)
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indianaclems · 2 years
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Fierté de Cros : Une fierté de Cœur
Il s'agit d'une version première que je remodifierai si je dois la publier sur ao3. Je me suis en partie inspiré de mon expérience militaire cela dit cela peut énormément changer selon les régiment, les pays, et les cultures. J'espère que ça vous plaiera
Le matin dans la chambre royal de la haute tour de Fang le soleil se levait.
Raya était allongée dans le lire
Raya : Đẹp lạ, vient te recoucher ou tu vas devoir vider ta réserve de maquillage pour cacher tes cernes
Namaari : J'ai plein de préparatif à faire, et tu devrais aussi commencer à te préparer Sinta
Raya : Les autres années tu ne me demandais pas ça ... Se pourrait-il que la grande puissante et invisible Cheffe Fang qui n'a peur de rien soit en train de stresser pour la cérémonie ?
Namaari : Absolument pas, je suis juste méticuleuse, c'est une journée qui a été toujours été importante, maintenant sors de ce lit et va te préparer
Raya : Et mon petit déjeuné ?
Namaari : Sur le bureau
Raya : Même pas au lit ?
Namaari : Déjà tu aurais tout renverser ... Tu étais en train de combattre je ne sais quel ennemis dans tes rêves et-
Raya : -Certainement entrain de te botter le cul
Namaari, l'ignorant : Et j'avais espoir que tu puisses te lever ... Mais je me suis trompée visiblement
Raya se levant : Ce que tu es grognon aujourd'hui ... Arrêtes tu vas faire peurs aux jeunes voyons !
Namaari se préparait, pensant que sa fille devait en faire de même, elle s'assura que sa tenue était bien ajustée, qu'elle était bien coiffée, sans un cheveux qui dépasse, que ses parties rasées la veille étaient parfaitement régulières et symétriques.
Puis elle se leva et regarda par la fenêtre
Raya qui sortait de la salle de bain après la douche, nue comme un asticot, s'approcha de sa femme pour l'enlacer.
Namaari : Raya s'il te plaît ne gâche pas mes vêtements.
Raya : Ho je vois ton sens des priorités : ta tenue est plus d'importante que les câlins de ta chère et tendre pour te réconforter. Dit-elle en faisant la moue.
Namaari : Raya va plutôt te préparer au lieux de prendre froid.
Raya : Si tu me tiens près de toi je n'aurai pas froid.
Namaari : 5 minutes pas plus mais d'abord tu enfiles une serviette.
Raya était dans les bras de femme et essayait de la détendre.
Raya : T’y repenses, n’est-ce pas ?
Namaari : Hm ? Dit-elle en haussant un sourcil ?
Raya : Ce jour, quand c'était toi qui était à sa place.
Namaari : Ho ça ?
Raya : Ho s'il te plaît, tu es tendue, tu n'arrêtes pas de regarder sa caserne, et c'est sans compter les centaines de brouillon par terre ... Combien de fois as-tu retravailler ton discours... Il y'a même celui de ta mère a la même époque qui t'as servi de modèle, et j'ai regardé l'année c'était celui où tu as intégré l'armée aussi, alors ne feints pas l'ignorance à ce sujet avec moi !
Namaari : C'est vrai ... Je me demande ce que ma mère ressentait à ce moment-là ... J'étais stressée, fière aussi ... Mais je ne pouvais pas le montrer, pas moi Namaari Princesse de Fang fille de la Cheffe Virana ...mais je n'avais pas réussi à dormir de la nuit ... Je n'arrêtais pas de répéter dans la tête ce que je devais faire au moindre battement de cils , que tout soit parfait ... J’ai prié les dragons que les autre ne gaffe pas... Ma mère, était ma mère, intimidante ... Je l'avais déjà vu dans sa tenue de cheffe des armées, mais j'étais à ses côté à l'époque
C'était particulier, tout s'est passé comme ça devait se passer. Ma mère a présidé les fondamentaux puis il y'a eu les combats et enfin la consécration. Le discours était solennel elle n'a pas tremblé... Juste au moment où elle m'a remis l'indigne elle m'a souris et murmurer "bravo Namaari" avec fierté, ça n'a duré que quelques secondes mais c'était incroyable... Je ne sais pas combien de fois elle a travaillé. son discours, le mien a l'air d'être pitoyable a côté
Raya pris le visage de sa femme en coupe entre ses deux mains : Regarde-moi Namaari.
Alors la guerrière plongeat dans le regard intense de la femme plus petite.
Raya inspira profondément et expira : J'ai lu le discours de ta mère, et ce qu'il a c'est qu'elle a écrit vécu son coeur ... Elle était certainement dans la même situation que toi, je parie qu'elle n'était pas satisfaite mais il fallait qu'elle en reste là si elle ne voulait pas être en retard, qui sait, dans mes souvenirs je dirais qu'elle improvisée mais je n'en suis pas sûr je ne me souviens pas des mots précis.
Namaari : T'étais la ?
Raya : Je ne te l'avais dit ? Ho j'étais de passage pour vous voler de la nourriture et des jades, et faire du repérage pour prendre le parchemin, et puis tout le monde a fait du bruit et s'est précipité quand vous défilez... J’ai donc assisté à la cérémonie, une part de moi te détestait et l'autre était heureuse et fière pour toi. Tu réalisais ton destin, tu ressentais ce que j'avais connu avec mon Bá même si c'est tres different, j'aurais juste aime ne pas échouer à ma tâche après, j'étais troublée dans mes sentiments mais trop fascinée par ta beauté pour partir
Namaari qui était bouche bée souris dès lors
Raya : Je peux dire qu'elle était fière de toi, et toi aussi, tu étais terriblement ecxitante a tel point que je n'avais qu'une envie c'était de sauter de mon toit traverser cette fichue cours et venir te casser le nez
Namaari rit : hé bien contente de t'avoir fait de l'effet
Raya : Hé bien pas qu'à moi tu aurais vu le nombre de groupies qui voulaient te sauter dessus
Namaari : dois-je en déduire que je vais devoir lâcher mes serlots sur les prétendantes et prétendants de notre fille aujourd'hui
Raya : Ça ne sera pas nécessaire tu sais très bien que tu vas la réquisitionner tout la journée et tu es bien trop effrayante pour que quiconque ne tente quelque chose
Namaari : Parfait !
Namaari : Ça s'est passé comment avec Long ?
Raya : C'est très différent de Fang, mais iel est vraiment doué·e.
Namaari : Comment ça se passe ?
Raya : C'est un test, læ futur∙e gardien∙ne doit réussir à pénétrer dans sa salle et atteindre le cercle tout en déjouant les pièges et ne pas éveiller l'attention, de plus iel ne peut pas prendre par surprise car la date est prévue mais ça doit se dérouler dans la journée et être effectué avant l'aube suivante. C'est le ou la gardien∙ne qui décide quand son apprenti est prêt pour passer le reste. Évidemment l'apprenti·e doit combattre le ou la gardien·ne, on peut prendre par surprise évidemment... Aucun coup mortel n'est donné mais l'apprenti·e a des bâtons de kali
L'endurance la stratégie la ruse sont testées ainsi que la détermination.
Si le ou la gardien·ne arrive à vaincre l'apprenti·e alors le test est échoué.
Si au contraire le teste est réussi, le ou la gardienne initie l'apprenti·e avec un rituel sacré spécifique que nous seul·e·e connaissons. Après quoi la journée reprends son cours normal, le ou la gardien·ne va prévenir le conseil de Heart du résultat et voilà. Généralement tout le palais fini par le savoir et donc très vite Heart tout entier, car on festoyait entre nous pour fêter la réussite. Mais les habitant·e·s de Heart savent l'importance de la discrétion à ce sujet donc si tout le monde le sait personne ne le dit.
Namaari : Et toi ? Comment l'as-tu vécu je veux dire par rapport à Long ?
Raya : Je me suis préparée mentalement, aussi physiquement, j'ai prié toute une journée auprès de la pierre, et j'ai demandé des conseils à mon Bá pour savoir ce que je devais faire et ne pas faire, mais ça allait , j'étais excitée, j'ai adoré combattre Long. A vrai dire j'avais peur que de deux choses.
Namaari : Quoi donc Sinta ?
Raya : Sachant l'importance de l'événement, j'avais peur qu'iel se prépare pendant des heures et qu'iel se rende compte que l'aube était déjà là... Ou que en combattant je lui casse un ongle ...
Namaari : En parlant d’ellui nous devrions nous dépêcher de nous préparer pour secouer Long, læ connaissant iel sera forcément en retard si on ne læ presse pas.
Raya : Tu as raison
*Pendant ce temps-là*
De son côté Nur s'était levée tôt comme toutes les recrues... Elle s'était préparée pour la tenue de combattant et avait préparé à l'avance sa tenue de cérémonie
Elle écoutait les remarques des instruceurices
Ratiya serait probablement là elle aussi. Au déjeuné elle s'était assise a côté de Heng. Les deux mangeaient doucement...
Nur : Comment tu te sens ?
Heng : Incroyablement stressé, il y'aura ta mère qui va nous évaluer, et j’aurai ma famille, et mon père qui sait?
Nur : C'est vrai, ça sera cool ça fait longtemps que je ne les ai pas vu.
Heng : Ta mère les a spécialement invité pour l'occasion... Imagine si ...
Nur : C'est juste une cérémonie, on est déjà promu
Heng : Tu ne stress pas toi ?
Nur : Tu parles, j’ai peur de faire tomber la lance ou de tomber, ou de ne pas que ma tenue ne soit pas à correctement mise.
Heng : C'est rien ça !
Nur : Malheureusement avec mon titre tout doit être impeccable. Tu sais vers quel contingent tu vas te diriger après ?
Heng : J'hésite encore, à vrai dire l'armée royale me plaît beaucoup, je pourrais évoluer et peut être un jour devenir comme Générale Atitāya, être proche de la famille royale avoir des missions d'importantes et variées, voyager que ça soit pour aider nos villages lors de catastrophes ou pour des missions diplomatiques, protéger la population, agir pour améliorer et diriger l'armée appliquer les réformes et conseiller la cheffe. Ma mère serrait fière, mais je serai loin d'elle loin de mon village et je ne veux pas les abandonner ça serait moins prestigieux mais je pourrais retourner à leurs côtés, les militaires de garnisons rurales notamment en avant-postes aide la population, et assure leur défense ils sont un relai important entre le pouvoir central et les zones reculées, ce sont aussi les premières défenses et lanceurs d'alertes... Je ne sais pas encore quel sera mon choix. Et toi ?
Nur : Je vais rejoindre le commando d'élite.
L'instructeur débarquât dans le réfectoire leur demandant de d'aller se mettre en formation devant le bâtiment dans les 5minutes qui suivaient. Alors toutes les recrues se levèrent, débarrassant leur repas se formèrent en bataillon, encadré des instructeurices. Un officier donna quelques directives avant de donner l'ordre de se mettre en marche jusqu'à la grande place où commencerait la journée.
Nur qui était au premier rang, derrière l'homme de base, portant le fanion de sa promotion. Ce qui était une immense fierté pour elle. Elle qui fut la dernière, elle qui était stigmatisée était la major de sa promotion. Heng était 2 rangs après elle.
La promotion arriva en ordre serré sur la place déjà bondée par la foule, de nombreux militaires se trouvaient là pour assurer la sécurité.
Puis la foule se sépara comme deux vague pour dessiner une grande allée menant aux marches du palais et commençait à exalté d'anticipation. C'est alors est qu'apparu la garde royale au-devant la Générale et deux soldats d'élites de parte et d'autres devançant la Cheffe en tenue officielle de cheffe de armée, à ses côtés son épouse habillées d'un sabai cérémoniel aux couleurs de Fang mais parées de bijoux de Heart. Et suivi de læ princet Long. Enfin qui suite de garde
Nur essaya de se concentre le plus possible pour ne pas sourire ou ressembler à un gâchis émotionnel. Sa famille se dirigeait vers la tribune officielle.
Puis le chef instructeur du régiment présenta en bonet du forme la promotion, a la cheffe en même temps qu' à l'ensemble de la foule qui se tenait là. Heng chercherait du regard sa mère ou un autre membre de sa famille.
Le silence régnait pendant que l'officier parlait tandis que Nur entendit un gargouillis d'un équipier visiblement stressé par la situation. Nur se concentrera pour ne pas rire.
Puis Namaari se leva, et s'avança, salua l'officier, et passa les troupes en revue, le regard flexible, intimidant, et martial.
Nur se redressant et bombant le torse. Namaari inspectait chaque détail en un coup de regard, puis elle fit face aux recrues. Puis elle pris la parole.
 Namaari pris place face à la formation, le regardant droit dans les yeux l'air martial et inébranlable
Elle pris alors la parole
Namaari : 16eme promotion Espoir, aujourd'hui fini et commence un nouveau cycle. Après des années d'entraînement par vos instructeurices et instructeurs, après des années des d'épreuves à vous en durcir sous l'égide de vos formateurices elleux même éprouvés vous avez appris la résilience, le sens du devoir et de la loyauté le sens du sacrifice, de la bravoure et du courage. Vos paires vous ont formé et transmis leur savoir. Aujourd'hui vous intégrer leur rang pour servir votre peuple ici présent et que je représente. Et c'est pourquoi pour commencer cette concertation vous allez présenter vos valeurs, votre loyauté votre rigueur et votre bravoure à votre peuple que vous servez jusqu'au sacrifice ultime s'il le faut.
16e promotion Espoir, En garde !
Et alors Namaari donna une série d'ordres, variant positions déplacements parades et attaques et enchaînement complexes.
Au bout de 15mins les recrues souffraient de leur concentration assidue mais personne ne flenchi. Nur était heureuse que on lui ait retirer son fanions. Au bout de cette durer. Namaari termina
Namaari : En garde ! Rassemblez, Présentez ! Et saluez ! En garde ! Repos. Merci.
Alors Namaari regagna la tribune pour s'assoir à côté de sa femme qui lui murmura discrètement
Raya : Etait-ce vraiment nécessaire de leur faire ce type d'entraînement, j'ai cru que certains allaient se déchirer les adducteurs... Tu sais le but n'est pas de tuer notre fille.
Namaari : Les soldats de Fang ont comme soucis l'exigence et le dépassement de soit, la douleur est satisfaction, il est important de savoir si iels sont près à endurer ce qui les prépare et si leur formation est à la hauteur de ce que les familles et leur peuple ont investi. Mais je dois reconnaître que cette promotion n'est pas mauvaise
Long : Ma tu la trouves comment Chị ? Et Heng ?
Namaari : Nous verrons à la fin et alors je pourrais exprimer un avis.
La suite s'enchaina par un ensemble des combat un ensemble de poules
Tout le monde exaltait
Raya et Long n'était pas en reste, Namaari se contenta d'esquisser de sourire elle devait regarder l'ensemble des recrues mais elle n'avait clairement que de yeux pour sa fille , qui remportait les combats les uns après les autres.
Nur balaya les pieds de son adversaire qui retomba lourdement au sol. Nur s'arrêta ne jugeant pas utile de finir le travail, sa domination étant clairement affichée !
Namaari fit une petite grimace lors de la recrue l'impact alors que Raya et Long ricanaient.
Namaari : Pourquoi ai-je la drôle d'impression que vous êtes derrière cela vous deux ?
Raya : Hé bien je dois dire que malgré toutes ces années il semble que Fang soit toujours aussi déconcentré par l'excellence de Heart.
Namaari : Avec tous le respect que je te dois ma très chère épouse, ne te lance pas de fleures il y'a le pot qui va suivre.
Nur entamait son dernier combat, les recrues devaient résister à la chaleur sous le soleil zénital, aucune n'avait pu s’hydrater ni même reprendre un peu de jacquier pour reprendre des forces restant toutes au garde à vous, mettant à l’épreuve leur résistance.
Nur semblait essoufflée mais déterminée à remporter ce combat. Heng avait été éliminé en quart de final et Nur combattait dès lors son adversaire.
Une droit la fit saigner sous la paupière, faisant froncer les sourcils de Namaari. Mais alors Nur afficha un autre visage il n'était plus amusé mais déterminé et sans pitié.. alors elle s'élança contre son adversaire enchaînant les attaques jusqu'à lui mettre un coup de genoux dans la mâchoire et alors immédiatement l'instructeur arbitre sépara les combattant∙e∙s et les fit s’écarter pendant qu'iel observait la bouche ensanglantée du perdant. Alors il désigna Nur comme vainqueure du duel et du tournois. Les deux adversaires se saluèrent, saluèrent l'instructeur puis la tribune royale et enfin le peuple avant qu'une équipe médicale ne le prenne en charge le blessé.
Namaari officialisa la fin de fin de cette première partie.
Puis l'officier général adresse à la foule la suite du programme alors que les recrues partaient se restaurer avant la suite de leur épreuves.
Raya : Pas envie d'aller encourager notre championne ? Dit- elle en un coup de coude à Namaari
Long : S'il te plaît  ?
Namaari : Non ! C'est important de la laisser se concentrer et pour les autres ça ne serait pas juste
Long : Hoooo …. gémit iel
Namaari : Raya ? Raya ... Mais où est-elle passée ?
*Plus loin*
Raya : Hmmm des brochettes ! S’exclama-t-elle avec des étoiles dans les yeux
Marchand : Prenez celles qui vous font plaisir Princesse
*Au palais*
Namaari : J'espère qu'elle n'est pas allée voir Nur ! Dit elle en croisant les bras.
Raya : Đẹp lạ regarde ce que j'ai trouvé !!!!
Nur était à la caserne et se préparait, tout en mangeant sa ration elle ajustait ses bijoux royaux et s’empressa de retrouver son ami à la chatterie.
Long : Ma, tu penses que Chị fait quoi en ce moment ? Demanda-iel s'enfilant une énième brochette faisant soupirer Namaari.
Namaari : Elle doit certainement être avec Bubu à cette heure-ci. Et s’il te plait mange correctement !
Long : J'ai hâte d'être tout heure ça va être génial
Raya : On va juste regarder des gros chats sauter
Namaari se retourna immédiatement à l’entente de offense en vers ses amours.
Namaari : Nos serlots ne sont pas gros! Iels reçoivent une régime spécial, et ne n'est pas juste les regarder sauter mais voir la capacité de maîtrise que le guerrier a avec sa monture, c'est une équipe qui ne doit faire qu'un, et le parcours est loin d'être évident !
Raya : C’est pourquoi tu as eu du mal đẹp lạ …
Namaari : Binturi !
Raya : Si tu veux évaluer leur complicité regard si iels dorment ensemble, tu aurais eu une meilleure note je te le garantie
Plus tard, Namaari regagnait sa tribune face au  terrain remplit d'obstacles alors que la foule s'amassait dans les gradins, tandis que les jeunes arrivaient en colonnes. Après l'officier, Nur était en tête du cortège tenant le fanion, fièrement montée sur son serlot, à l'allure royale.
Long : Elle est géniale !!!
Namaari : Long moins fort ! Calme toi !
Long : Pffff si on ne peut même plus supporter sa sœur. Réplica-t-iel en croisant les bras.
Namaari :S'il te plaît tiens-toi correctement tu n'es pas n'importe où !Dit-elle en lui donnant une petite tape sur le biceps pourqu'iel se redresse.
Nur se présenta devant la tribune et en salua les membres
Long secoua la main en affichant un sourire stupide, Raya esquissa un sourire tandis que Namaari abaissa aussi vit la main de son enfant avant de lui jette un regard noir.
Raya : Elle porte le bijoux de cheveux que tu lui as offert pour son anniversaire
Namaari : J'ai remarqué.
Raya souris sachant que Namaari cachait la tendresse qui gagnait. Puis ce fut au tour de tous le cortège
Long : Hoooo, c'est Heng !!! Alors qu’iel sautillait sur place.
 Namaari : Miséricorde, mais il y'avait quoi dans ses brochettes ???
Raya haussa les épaules essayant de maintenir Long en lui posant une main sur l'épaule afin qu'iel s’apaise. Les épreuves consistaient en une course de rapidité, et un parcours d'obstacles et enfin abattre le plus de cibles en un temps d'éliminer tout en manœuvrant son serlot.
On apporta une jarre contenant des pièces. Namaari mis sa main pour en tirer une avant de lire le nom de la future personne a s'élancer et scanda le nom invitant l'a reçue à s'avancer pour la première épreuve.    
Long :  Yes ! s’exclama-t-iel en pistonnant son poing
Raya : Qu'est-ce qu'il y'a ?
Long : Je ne l'aime pas, elle embêtait chị... En passant ben première elle va forcément se louper ! Disait læ princet alors qu’iel affichait un visage démoniaque, inquiétant légèrement Raya.
 Les candidats passait les un∙e∙s après les autres
Long : Mais est qu'il y'a au moins le nom de Nur la dedans au juste ? Alors qu’iel semblait s’agacer
Namaari : Patience Long, patience, et puis ne dit-on pas « le meilleur pour la fin » ?  
Elle fit un clin d'œil tout en affichant un sourire narquois.
Et comme l'avait prédit Namaari, sur le dernier jeton restant elle y lu le nom de sa fille, le prénom qu'elle avait choisi elle-même il y'a maintenant 15ans de cela.
Nur s'avança et au signal s'élança, elle s'allonge presque sur son serlot pour gagner en vitesse
Elle était troisième du classement
Mais il lui restait encore deux étapes ... Le saut d'obstacles n’était qu’une formalité tel un parcours de santé pour la princesse qui s’était rudement entrainée,  franchissant les obstacles un par un comme si ils n'existaient pas. Et enfin son heure de gloire arriva, elle regarda attentivement les cibles ... C'était le moment qu'elle attendait ... Elle avait quelques surprises  qu’elle réservait.
 Elle s'avança rapidement et abattit la première cible au sol de sa lance, puis elle la lança sur deuxième au loin
Namaari : Mais qu'est ce qu’elle fait ? S’exclama-t-elle
Raya : Pourquoi elle a pris cette cible ? Elle s'est éloignée des autres ça ne pas de sens !
Namaari : j'ai peur qu'elle ne termine pas à temps ! Namaari enfonça ses doigts dans les accoudoirs priant pour que sa fille ne soit pas éliminée sur une erreur aussi insensée.
 Alors que le cœur de la cheffe de Fang s’accélérait dans sa poitrine.  
 Alors Nur envoya Buwan aussi vite que possible et comment ça à se mettre à genoux sur la scelle
Raya : Mais qu'est-ce qu'elle fait ?
Namaari serra la main de sa femme avec fermeté la faisant grimacer
Namaari : Elle va le refaire !!! Dit elle a voit basse, faisant quitter la scène des yeux quelques secondes pour que raya lui lance un regard intriguée
Raya : De quoi tu parles ?
Namaari : Regarde ! alors que ses yeux attentifs étaient braqués sur sa fille.
Namaari :  Allez Nur tu peux le faire je crois en toi ! Pensait-elle comme une prière. 
Et alors que Buwan bondit et Nur en profita comme un tremplin pour se projeter en hauteur abattant les cibles restantes en tournoyant dans les airs telle une toupie,
Et avant de toucher le sol elle lança dans une derrière pirouette envoyant sa lance dans la dernière cible restant la transperçant au moment où le temps s'était écoulé. La foule exalta et Namaari souffla de soulagement avant de se lever applaudissant avec fierté l'exploit réalisé.
Après les épreuves les recrues s'alignèrent, et Namaari pris la parole prononçant le serment auquel les reçues allaient prêter fidélité.
Namaari : Recrues, c'est avec fierté que je vous intégrer notre armée, motivé par l'amour de servir notre peuple sans faille en cherchant toujours la cause juste. Votre dévotion et votre solidarité unis par le sens du devoir et le goût des responsabilités feront de vous dans êtres forts, les redoutable redoutables cros de notre nation c'est en effectuant la tâche de soldats que vous vous évertuerez à montrer l'exemple a cultivez l'esprit de corps et multiplierez les succès. En choisissant cette voix vous le choix de l'exigence et du renoncement pour une cause à laquelle vous êtes près au sacrifice ultime. Braves soldats, c'est avec fierté que je fous intégrer cette nouvelle famille après avoir vu vos qualités qui vous ont fait arriver jusque-là après 4ans de formations et avoir appris le département de sois pour franchir les obstacles qui se dressaient à vous. C'est pourquoi j'ai confiance en votre capacité de triompher de toutes les difficultés quelques soient les situations. Merci
Vos paires ici présent vins vos amener vos insignes et vos armes qui feront de vos officiellement des soldats de l'armée royale de Fang.
Officiers, alignez-vous, quart de tour à droite ! Avancez et prenez place !
Alors les officiers avancèrent entre les rangs de manière coordonnées pour prendre place à côté de la recrue qui leur avait été désigné.
Alors Nur jeta un coup d'œil sur le côté pour avoir apparaître derrière elle, Ratiya, portant ses insignes armes sur un coussin.
Namaari descendit de son estrade pour se présenter au recrues et comme ça a remettre les insignes et armes en félicitant les nouveaux soldats.. arrivant à Nur elle procéda de la même manière, avant de lui mettre la main sur l'épaule et de la regarder droit dans les yeux avec émotion et affiche un sourire sincère puis dire doucement : Nur, je suis fière de toi ma fille.
Puis elle s'en alla continuer.
Namaari repris sa place : Soldats ! Bravos à vous ! Maintenant rompez et allez regagner vos familles et célébrer cet grand événement !
Nur s'en alla rejoindre Raya et Long qui lui saut dans les bras
Raya la félicita et l'enlaça à son tour
Atitāya : Mes félicitations, Princesse Nur tu as été formidable tu seras une grande guerrière, quel contingent souhaites tu intégrer ?
Nur : Le commando d'élite
Atitāya : C'est ambitieux
Raya fit la moue
Namaari : Il faudra que je m'y fasse une raison, Bravo Nur
... : Bravo Princesse Nur.
Tout le monde se retourna
Namaari : Chantou quel plaisir de te revoir
La femme la salua accompagnée de ses enfants
Namaari : Mes félicitations, Heng tu as été très bon.
Namaari : bonjour Prak tu as bien grandit dis donc
Heng et Prak saluèrent la Cheffe.
Raya : c'est bon de vous revoir, bravo Heng
La famille salua Raya
... : Ho vous étiez formidable, Namaari t'es discours ont émue bien que un peu trop martial.
Tout le monde se retourna pour salua la créature bleue divine
Raya : Sisu !!!
Sisu : ho ma bestie §§§§
Namaari : Sisudatu depuis combien de temps es-tu là ? Il fallait nous le dire j'aurais prévu de quoi t'installer confortable !!!!
Sisu : Namaari pas de ça avec moi, juste Sisu voyons et ... Ho arrête Long tu me chatouilles §
Alors que la princet frottait son visage contre la fourrure fluffy du dragon tout en l'enlaçant
Namaari : Long ! Un peu de tenue et de respect s'il te plaît !
Sisu : hooo Namaari ne t'en fais pas, donc je disais j'étais de me prélasser quand j' ai entendu qu'il y'avait de l'agitation donc je suis venue et c'est sympa de faire comme Raya, observer de loin sans être remarqué !
Raya : Sisu ! Et puis en plus tu n'es pas trop discrète, sans vouloir t'offenser !
Sisu mis la main sur poitrine choquée : Comment ça? Dis-tu que je suis grosses ?
Raya : hooo non… mais tu es grande et… bleuuue...Essaya-t’elle en grimaçant
Namaari : Đẹp lạ tu es bleue je te signale. Répondit sa femme en désignant ses vêtements turquoises
Atitāya : oui mais elle est petite
Raya : Hey ! Et je ne suis pas petite ! J’ai juste la taille normale pour une personne de Heart, Et contrairement à vous, je n’ai rien à compenses enfin je te ferai remarquer que tu n'es grande Atitāya, non plus, si ce n’est ton ego- !
Namaari : -Allons, allons, allons, trêves de chamailleries ….
Raya et Atitāya se toisaient du regard
Namaari : Pas de combats, s’il vous plait !
Prak : Bah alors grand frère tu ne vas pas voir ta petite amie ?
Tout le monde se retourna !
Heng *rougissant* : Quoi ? Prak, la Princesse Nur est mon amie ! Rien de plus dit-il nerveusement.
Prak : Bah je croyais que t'étais amoureux et que as dit que tu l'aimais§
Heng : Hein quoi ? non, non, non, enfin oui ,mais non, mais pas comme ça, enfin !
*Chantou rigola, Long fit un regard taquin à sa sœur*
Nur : N'essaye même pas où je te jure que tu seras læ premièr∙e tester mes lames !
Long : Alors Chị on a un petit copain ! Comment ça à chanter malicieusement l’enfant.
Nur : Long !!!!! dit elle en sortant ses lames.
Namaari : Les enfants pas de -
Nur couraient après saon adelphe alors qu'il tournait d'une pauvre Sisu se tenant la queue, apeurée des lames qui s'agitaient alors que les deux terreurs se pourchassaient autour d’elle.
Namaari jeta un bref regard assassin a Heng, avant d'arrêter Nur et Long, avec l’aide de sa femme
Puis le groupe se dirigea vers le palais pour fêter leur diplôme. A un moment Nur s'absenta en tirant Heng par le poignet ce qui n'échappa pas à Namaari qui tout naturellement, telle la maman-serlot protectrice qu’elle s'est dirigée elle aussi prendre l'air tout en restant dans l'ombre .
Nur : Heng !
Heng : Nur, sourit- il maladroitement. Désolé pour mon frère…
Nur : Ce n'est pas ça... Est-ce que c'est vrai ?
*Namaari plissa et tressaillit des yeux*
Heng était aussi muet qu'une carpe
Nur : Ecoute si c'est vrai, tu sais ce n'est pas grave je ne vais pas m'énerver. Elle s’appuya non-challement contre la rambarde du balcon tout en regardant son ami.
Heng : Vraiment ?
Nur : Il n'y aucune raison que je suis en colère, c'est pas comme si ça se contrôlait et puis c'est beau l'amour, c'est un noble sentiment l'amour, non ?
*Namaari grognait intérieurement*
Heng : Donc tu m'aimes aussi ? L’espoir s’affichant sur son visage.
Nur : Heuuu bah pas vraiment comme toi...Du moins pas de la même manière.
Heng : Ho… Dit-il déçu…
Nur : J'aimerai cependant qu'on puisse rester ami∙e∙s si tu veux je ne te forcerai pas si c'est trop difficile pour toi, Mais je regretterai de perdre notre amitié, tu es vraiment important pour moi
Heng : Ami∙e∙s, alors ?
Nur *sourit* : ça ne te dérange pas ?
Heng : L’amitié n’est-elle pas une forme d’amour ?  Il me faudra un peu de temps pour accepter que ça ne sera jamais vraiment pareil… Mais tant que je ne te perds pas je suis heureux.
Nur : Et puis tu sais tu n'avais pas vraiment de chance... T'es pas vraiment mon style de nana tu sais !
Heng : Ho d'accord !!!!
Nur rigola face à la gêne de son ami
Nur : Ne le dis personne, s'il te plaît !
*Namaari fronça les sourcils sifflant comme un serlot en cage*
Heng : Heuuu, oui bien-sûr mais je ne comprends enfin tes mères sont ouvertes et y'a aussi générale Atitāya et -
Nur : -Ce n'est pas ça !!!! Dit-elle en secouant la tête... C'est que si ma Ma l'apprend elle va surveiller toutes mes fréquentations féminines, et je veux pouvoir ramener des filles dans ma chambre sans que me mère nous interrompent. T'imagines la gêne ...
Heng : Attends tu as déjà ???
Namaari écarquilla les yeux ...
Namaari : Non non non c'est pas possible pas mon bébé !!!! elle est encore si jeune !!!! ... Non non non non !!!! Pensa-elle paniquant à l’idée que sa fille ait déjà une vie intime.
Nur : Non pas encore mais je vois bien comment les filles me regardaient dans les vestiaires ou dans les dortoirs tu sais et c’est pas comme si ça ne me faisait rien.
Namaari pris une note mentale de faire lancer une enquête et de demander des appartements privés pour sa fille.
Raya regardant sa femme épier leur fille se disant qu’il ne fallait surtout pas  que sa femme dire que Nur avait une petite amie. Raya s’approcha de Namaari avant de la surprendre pour l’éloigner discrètement de sa cachette et la ramener à la fête, espérant ainsi redonner un peu de vie privée à leur fille.
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here’s my favorite songs !!what’s yours pookie???
I like anything that is in my playlist (i dropped spotify😔
but my top five are
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lephotomarion · 3 months
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-Aimer c'est Danser. Danser c'est aimer. Musique-
Nos puissantes amitiés, Alice Raybaud, Question Genre, RTS : https://www.rts.ch/audio-podcast/2024/audio/alice-raybaud-nos-puissantes-amities-27485750.html
Le Coeur sur la table, Victoire Tuallion, Prologue, c'est une amoureuse qui vous parle : https://open.spotify.com/episode/3SKW4uHS4FMhG0fbKMLHFJ?si=602f045bce1b4f49
"La résonance consiste à accepter d'être dérangé dans ses habitudes" Hartmut Rosa, philosophie magazine : https://www.philomag.com/articles/hartmut-rosa-la-resonance-consiste-accepter-detre-derange-dans-ses-habitudes
Si par hasard, Gaëtan Roussel : https://youtu.be/B39jnGTi_Ww?si=oCLbsb9j4PNG22Mg
Apollo, Chien noir : https://open.spotify.com/intl-fr/album/14VtQBdVFJ8RqjH4YsqZL7?si=wTQZs9ugS3qCLfGrS95ASg
Ensemble, Aliocha Schneider : https://youtu.be/LidM364q8vE?si=QBWjH2C-pvC69ap3 & https://youtu.be/x-M1ts_AoJA?si=RcfbvovSle2Q4Ox5
Une seconde (ou la vie entière), Gaëtan Roussel : https://youtu.be/lQ-YnxWSQ4k?si=d98ViY7YIF7Bc87l
Le Tourbillon De la Vie, Pomme : https://youtu.be/mW6RpJtk3aE?si=z9A33qjVPCSWWVD-
Est-ce que tu sais ? Gaëtan Roussel : https://youtu.be/qeDurxKaJVg?si=bSOxMCiAls2CcB5l Avec Eduard Baer : https://youtu.be/yqION8jTo8M?si=o4ru3vUz3vngZsW4
On se lance, on y va, on tente sa chance, Eduard Baer, Plus Près de Toi : https://youtu.be/wzS6cZmB50s?si=hXILuQpeQuizbS6f
"On n'enseigne pas ce que l'on sait, on n'enseigne pas ce que l'on veut, on enseigne ce que l'on est." Jean Jaurès
Louise Attaque, le Café de la Danse, Paris : https://youtu.be/_GgpoPDEz-E?si=SDP_ZQZps_dYZ-km
"Je ne m'intéresse pas à la façon dont les gens bougent, mais à ce qui les meut, ce qui les fait bouger" (...) "Une plainte d'amour. Se souvenir, se mouvoir, se toucher. Adopter des attitudes. Se dévêtir, se faire face, déraper sur le corps de l'Autre. Chercher ce qui est perdu, la proximité. Se savoir que faire pour plaire. Courir vers les murs et s'y jeter, s'y heurter. S'effondrer et se relever. Reproduire ce qu'on a vu, s'en tenir à des modèles. Vouloir devenir un. Etre dépris. S'enlacer. He is gone. Avec les yeux fermés. Aller l'un vers l'autre. Se sentir. Danser. Vouloir blesser. Protéger. Mettre de côté les obstacles. Donner aux gens de l'espace. Aimer."*
Pina Bausch
(*https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/en-marge/en-marge-du-samedi-14-octobre-2023-2394252)
Pina Bausch, raconter l'humain par la danse, Radio France : https://www.radiofrance.fr/francemusique/pina-bausch-raconter-l-humain-par-la-danse-7494750
L'amitié, mieux que l'amour ? Alice Raybaud, Tribu, RTS : https://www.rts.ch/audio-podcast/2024/audio/l-amitie-mieux-que-l-amour-28388174.html
Qu'est-ce qu'on fait de l'amour ? Vincent Courtois, Pomme : https://youtu.be/txZ8c9jKRFY?si=gRztIXSHfuBepaLX
Crois-moi, Adeline Lovo & Gaëtan Roussel* : https://youtu.be/0-2642SKhoo?si=vyHZsUOT33M0Z4KM
*Session acoustique : https://youtu.be/ABf3hYjhW-0?si=GfKwh0i1caKUh4mq
This Tender Appeal, Allysium : https://open.spotify.com/intl-fr/track/3RI7rnK1YgmyRcXq9pkMqQ?si=055dfca261cc4785
Rétine, Amir : https://youtu.be/plgkjZu3WKM?si=kUZ6C_kmMgizzFWm
Le coeur nous anime, Ben Mazué : https://youtu.be/CBMvKdhqlPk?si=gCWEg15IgOE5HABR
Les Belles Choses, Gaëtan Roussel : https://youtu.be/m3bQ15NTGVw?si=6E01T5TlKAoTI-qB
Gaffe aux autres, Ben Mazué - Chant Jérémy Frérot - Chant Guillaume Poncelet - Piano Robin Notte - Piano Clément Simounet - Guitare : https://youtu.be/hVE9bnPcAKE?si=brD4CGjWAujPPe5_
Emmène-moi, Boulevard des Airs, L.E.J : https://youtu.be/oqMmM6tgUCU?si=riPK164Rc25imjLo
Allez reste, Boulevard des Airs, Vianney : https://youtu.be/lM3R1vkb21s?si=xnz2rz6PR1O8e_Cd
A côté de toi : Boulevard des Airs, Tibz : https://youtu.be/AVQwOBTa2Sg?si=88DGhriHLWVnF0A3
Je me dis que toi aussi, Boulevard des Airs, Jérémy Frerot : https://youtu.be/kkOPeQXcV4Y?si=n5x5TgOI1kHhyAOU
Cielo Cego, Boulevard des airs : https://youtu.be/8C1AGbXhT3s?si=gdqslHxv80W6Ym2D
Tous les deux, Boulevard des Airs, Patrick Bruel : https://youtu.be/phSfRQJGO6c?si=3t49Iekttoc0ydPQ
Bruxelles , Boulevard des Airs, Lunis : https://youtu.be/480_rADR6I8?si=_KwlAUX8sohGcv1o
Que tout ça recommence, Boulevard des Airs:https://youtu.be/1YzgesWDsgE?si=6x1zcMJ30SQKr4jw
San Clemente - Je voulais vous parler des femmes, Boulevard des airs : https://youtu.be/htzV37-XE8Y?si=iWdYy5v-rgrt3G4t
Summer Wine, Clara Luciani, Alex Kapranos : https://youtu.be/ZkgX6pVAX2U?si=DTkXG8nQMdmhf-9y
Le Coeur sur la table, Victoire Tuallion, Bande annonce : https://open.spotify.com/episode/55uAB0FPyFi2Pk97XIZkyc?si=05932800af1849ce
Taking Pictures Of you, The Kooks : https://youtu.be/92J6b9rW4uM?si=PRV91RPm9J7pj2kg
Le sud, Aliocha Schneider de Nino Ferrer : https://youtu.be/6d6KDgbcjHY?si=1xXYWoyChhTlSWvn
Oysters in My Pockey, Royel Otis : https://youtu.be/eYQrF01NOf8?si=aAinSA4OG2r7sjY3
Some kind of peace - piano rewords, Olafur Arnalds : https://open.spotify.com/intl-fr/album/79a34uOB7jdMrSECClgqOv?si=sxGrVgpBQzm85oK_-uvcfQ
-Danser c'est aimer. Aimer c'est danser. Musique-
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
——-
ÉPISODE 7 : Chemistry 🧪
Les yeux des trois garçons étaient rivés sur Junghwan qui lui, regardait ses doigts que tu venais de sucer.
« Si t’avais si faim tu aurai pu le dire, je t’aurai commandé un menu de plus » dit natty en te regardant et levant son sourcil.
« Il n’y avait pas assez de sel sur mes frites » tu réponds en t’essuyant le bord des lèvres avec l’index et regardant Intak dans les yeux.
Son regard est différent de celui que tu connaissais à Paradise, cependant tu ne sais pas si c’est de l’excitation ou du challenge que tu lis dans ses yeux.
« Oh mince » dit Jay en faisant tomber délibérément ses frites (avec du sel) sur son pantalon, plus précisément sur sa braguette.
« Quel beauf » commente Julie en le regardant, dépitée.
« Tu te crois drôle ? » répond Mingi en fixant Jay.
Jay le regarde et sourit en coin avant de te regarder et te dire « Tu veux plus de sel ? Hm…. suis-je bête, tu préfères ce qu’il y a en dessous ».
Jang le regarde et lui lance une frite dessus avant de répondre « C’est bon laisse là t’es lourd ».
« Laisse nous faire nos petites affaires, c’est bien mieux quand tu t’en mêles pas Jang » il lui répond en soupirant.
Un silence s’installe.
« Quelles petites affaires ? » rétorque immédiatement Intak en vous regardant tous les deux.
« Oh tu peux regarder Mingi aussi tu sais » dit Jay en reposant sa tête contre le rebord de la banquette.
Kazuha regarde fixement Mingi alors que celui ci mange ses nuggets comme si Jay n’avait rien dit.
« Me dit pas que tu recommences à fricoter avec Mingi ? » te dit Kazuha en te regardant d’un air accusateur.
« Oh elle a fait bien plus que ça » répond Jay en souriant, les yeux toujours fermés.
« Ferme la Jay » rétorque Mingi, les yeux encore rivés sur son téléphone, mangeant ses nuggets.
« C’est quoi ce bordel encore » dit Jang en vous regardant toi et Mingi.
« Y’a absolument rien, Jay essaie de foutre la merde et il y arrive, il fait tout le temps ça et vous le croyez toujours, même quand il raconte n’importe quoi » répond Mingi en regardant Jang dans les yeux.
Jay sourit mais ne répond pas à Mingi.
Si personne n’était là tu te serais mise à genoux devant Mingi pour le remercier de t’avoir sauvée.
Tout le monde se tait et mange son repas, l’argumentation de Mingi ayant l’air suffisante.
« Bon sinon on t’as oublié toi mon petit coquin, t’es l’heureux élu » dit Jang en ricanant, regardant Junghwan.
Ce qui ne fait absolument pas rire Intak qui se racle la gorge.
« Oh désolée Intak, j’avais oublié que vous étiez à nouveau ensemble » répond Jang en sirotant son thé glacé.
« Fais gaffe à ce qu’il n’y ai pas de sperme dans ce gobelet, ça a l’air d’être ton habitude » répond Intak avant de manger une frite.
Jang aspire fortement son thé dans la paille de son gobelet en fixant Intak et en faisant les gros yeux.
« C’est bon, du calme Intak » réponds San en faisant un petit signe avec sa main.
« Calme ta nympho, c’est elle qui cherche » répond Intak.
« OLALA LES GARÇONS C’EST BON » réponds Iroha.
« Tais toi Iroha » lui dit Jake.
Iroha est bouche bée.
« Respecte ta copine par contre » dit Intak à Jake.
« De quoi tu te mêles toi ? tu viens me dire de respecter ma copine alors que tu trompes la tienne » lui répond Jake.
Intak se lève, furieux, prêt à en découdre avec Jake.
« Tu crois que tu me fais peur ? » lui répond Jake.
« Oh c’est bon j’en ai marre » dit Iroha en se levant, te rendant la main, histoire de t’inciter à partir avec elle.
Tu attrapes sa main et dit aux autres « On se revoit a la résidence, et pour les autres, on se voit demain en cours » en envoyant un bisou à Junghwan.
Intak te regarde partir d’un air désabusé.
Iroha et toi partent du mcdo en direction de la station de métro, dans la nuit de Los Angeles.
Les lumières tamisées de la station de métro créent des ombres dansantes, ajoutant une touche de mystère à l'atmosphère.
Le léger grondement des trains au loin se mêle au murmure de la ville endormie.
Vous attendez sur le quai, vos regards se croisant de temps à autre dans cette tranquillité nocturne.
« Quelle soirée » te dit Iroha, regardant au loin.
« À qui le dis tu, Intak croit vraiment qu’il peut revenir dans ma vie et être mon petit ami comme s’il ne s’était rien passé » tu réponds à Iroha.
Iroha scroll son fil d’actualité du campus sur son téléphone avant de pousser un petit cri de surprise.
« Quoi ? » tu lui demandes.
« C’est les jours de cours obligatoires de la Fac demain et on a oublié de s’inscrire sur les cours de la journée » te répond Iroha avant de continuer « Genre le cours de chimie en groupe on peut encore s’inscrire »
« Mais on est en production ? qu’est ce qu’on irait faire en chimie ? » tu lui répond en la regardant d’un air narquois.
« C’est le seul cours où les inscriptions sont encore ouvertes et ils faut qu’on fasse un cours obligatoire donc on va à celui là ! ça pourrait être fun !! » te réponds Iroha.
Tu réfléchis quelques secondes…
« Inscris toi et moi » tu lui réponds.
« C’est des binômes mixtes » répond t’elle en soupirant.
« Bah vas-y avec Jake ? et inscris moi avec Junghwan » tu lui réponds en souriant en coin.
« avec Junghwan ? tu veux pas y aller avec Intak ? » te répond Iroha.
« Non, il m’a saoulée ce soir » tu lui réponds.
Alors qu’Iroha allait te répondre, la rame de métro arrive devant vous.
Vous montez toutes les deux dans le métro.
Le métro démarre, vibrant doucement sous vos pieds.
Les bruits réguliers des roues sur les rails accompagnent votre voyage nocturne.
Iroha et toi êtes silencieuses, fatiguées et perdues dans vos pensées, vous appréciez le silence autour de vous.
Tu observes les passagers autour de toi, chacun plongé dans ses pensées également.
Le scintillement des lumières extérieures se reflète brièvement sur les vitres du métro alors qu'il traverse les tunnels.
Arrivant à Nymphéa, tu dis bonne nuit à Iroha et cours te coucher, tu es crevée et à vraiment besoin de dormir.
Le sommeil t’emporte.
*bip bip bip*
Ton réveil sonne, t’indiquant que tu commences une nouvelle semaine.
Tu va te doucher, te prépare et rejoins les filles dans le salon.
« Bien dormi ? j’ai voulu te dire bonne nuit en rentrant mais tu dormais déjà profondément » te dit Ning en souriant.
« Ouais j’étais claquée désolée… » tu lui réponds en attrapant une pomme.
« Prête pour la journée de COURS ? » dit Iroha en grimaçant, sirotant le smoothie que Kazuha venait de lui faire avant de continuer avec « Mince je me souvenais pas que le matcha avait ce goût là »
« c’est des épinards Iroha » répond Kazuha en buvant son thé.
« ceci explique cela » répond t’elle en regardant le smoothie avec un air écœuré.
Elle finit de l’avaler et vous partez toutes les deux au cours de chimie.
Tu croises Juyeon dans les couloirs qui t’interpelle.
« Oh wow » dit-il, arrivant à ta hauteur, te regardant de haut en bas.
Tu portes un ensemble, mini jupe en tweed bleu clair avec un top tube blanc, superposé d’une petite veste assortie à ta mini jupe.
Tes cheveux sont attachés en queue de cheval haute, laissant quelques une de tes mèches tomber en cascade sur tes épaules.
« Bonjour Juyeon » tu lui réponds en souriant.
« Ça faisait un bail, tu vas bien ? tes cours se passent bien ? » demande t’il, ne lâchant pas le regards de tes lèvres, maquillées de ton gloss pailleté.
« Oh oui écoute la routine » tu lui réponds avant que Iroha ne se racle la gorge.
« Oh oui désolé, Juyeon je te présente Iroha, mon amie » tu réponds en laissant un peu de place à Iroha.
Iroha s’incline légèrement devant Juyeon afin de le saluer, replaçant l’une de ses mèches blondes derrière son oreille.
« Tu es bien entourée dis moi » dit-il en regardant les jambes d’Iroha.
Tu lèves les yeux au ciel avant de répondre « On doit aller en cours Juyeon, à la prochaine ».
Alors que tu te retournes pour partir, Juyeon te retient le poignet avant de continuer « Attends ».
Tu te retourne et lui répond « J’ai absolument pas le temps Juyeon ».
« Je peux te demander de m’accompagner au restaurant ce soir ? » dit-il.
Intak arrive à votre hauteur et regarde Juyeon avant de répondre « Oh, je me ferais une joie de me joindre à votre repas vu que ma copine y va ».
« Oh je… je ne savais pas, bon… à plus tard » te dit Juyeon avant de partir de son côté.
Tu te retournes sur Intak, qui lui te regarde de haut compte tenu de sa taille.
« Tu fais chier Intak » tu lui dis en fronçant les sourcils.
Il place ses mains sur chaque côté de ta taille, ses grandes mains dominant largement sur ta taille.
« C’est comme ça que tu dis bonjour à ton petit ami ? » dit-il en souriant et tendant sa joue pour un bisou.
Tu soupires et lui fais un bisou sur la joue.
« Ahhhh tu vois quand tu veux » dit-il en riant alors que tu lèves les yeux au ciel.
Vous marchez en direction de la salle de cours.
Alors que tu scroll twitter afin de voir si X Updates a reposté quelque chose, Iroha et Intak discutent ensemble.
« Bien dormi Iroha ? » lui demande t’il.
« Hm… ça va, j’avais un peu froid hier soir, le lit est beaucoup plus grand que celui que j’avais à la maison » répond t’elle en souriant.
« Il te faut un homme qui te tienne chaud dans ce lit alors » lui répond t’il en riant.
Tu lâches les yeux du téléphone, continuant de marcher, prêtant plus attention à la conversation.
« Jake a pas l’air de vouloir venir me tenir chaud :( » répond t’elle.
« Raison de plus pour demander à un autre garçon » dit-il d’un ton assuré.
Iroha ricanne.
Tu hésites à intervenir mais tu va encore passer pour une folle.
Oh non, là tu va devenir folle.
« INTAAAAAAAAK »
Tu pourrais reconnaître cette voix entre mille.
Chaewon, les cheveux coiffés comme une princesse, habillé d’un jogging Juicy Couture moulant ses fesses plus qu’une brioche sous vide, interpelle Intak depuis l’autre bout du couloir et se rapproche de vous.
« Oh bonjour Sharon » dit Iroha en souriant.
« Chaewon. » répond Chaewon d’un ton sec avant de se retourner vers Intak en s’approchant et disant « Dis donc, t’as pris de la masse depuis cet été » en posant sa main sur son torse.
Intak rougit « Oh bonjour Chae »
Tu lèves les sourcils en regardant Intak.
Intak retire la main de Chae.
« Quelle rabat-joie celle la, je lui ai pas sucé la bite c’est bon » répond Chae en se retournant vers toi.
« Oui t’as déjà fait pire » tu lui réponds en fronçant les sourcils.
« Ouais et je regrette absolument pas » dit-elle en souriant.
Intak vous regarde vous battre toutes les deux verbalement sans rien dire.
« Et toi tu dis rien ? » dit Iroha a Intak.
« Qu’est ce que tu veux que je dise ? Elle m’ont déjà sucé toutes les deux donc elles sont quitte » répond Intak.
« VA TE FAIRE FOUTRE INTAK » tu lui répond avant de tracer ton chemin dans la salle comme une furie.
Tu entres dans la classe de chimie, ton agitation intérieure se lisant sur ton visage.
Les regards des autres élèves se lèvent, curieux de comprendre ce qui peut bien te troubler.
Le professeur, plongé dans ses notes, relève brièvement la tête, perceptif à l'atmosphère inhabituelle. La salle se remplit d'une énergie palpable.
Alors que tu balances ton sac Chanel sur la table, Junghwan, assis à cette même table te suit du regard.
« Papa a refusé de te payer ta manucure ? » te dit-il en plaisantant.
« Tais toi ou c’est tes doigts que je mange » tu lui réponds énervée.
« En soit c’est déjà fait … » il répond en se retenant de rire.
Tu lui tapes l’épaule.
Tu aperçois Jake et Iroha ne s’échangeant pas un seul regard à l’autre bout de la pièce, tu ne peux t’empêcher de ressentir de la peine pour elle. Tu te demandes si tu ne devrais pas aller voir San et lui demander si il ne pourrait pas toucher deux trois mots à Jake par rapport à Iroha.
« J’espère que tu penses a comment tu comptes réussir ton cours aujourd’hui » te dit Junghwan, te voyant perdue dans tes pensées.
« Cette journée est naze, je comprends pas pourquoi on a des cours obligatoires qui n’ont rien à voir avec la production » tu réponds à Junghwan en soufflant.
Il rit doucement avant de te répondre « C’est comme une journée de découverte des autres cours, je trouve ça sympa moi. On sait pas du tout sur quoi on va bosser et ça change des cours qu’on a d’habitude ».
Il marque un point, ce cours va te changer les idées.
« Monsieuuuuuuuuuur »
ugh, il fallait qu’elle soit inscrite dans CE cours.
Tu te retournes et ta mâchoire lâche.
Chaewon est en binôme avec Intak.
Plus précisément, Chaewon est en binôme avec Intak, sur les genoux d’Intak.
Intak te lance un regard joueur en levant un sourcil et souriant.
« Oui Chaewon ? » lui répond le professeur.
« Je voulais juste vous dire que j’étais très excitée de participer à votre cours » répond t’elle, sautillant sur les genoux d’Intak, se frottant sur lui.
Tu vois sur le visage d’Intak que cet enfoiré prend du plaisir à ça malgré lui.
« Oh et bien je suis touché de ton investissement Chaewon » répond le professeur.
« Suceuse » répond Natty, assise à côté de Éric.
« Je vous demande pardon mademoiselle Suputtipong ? » s’exclame le professeur.
« Je vous parlais pas à vous ? » répond Natty.
« Oui je me doute bien Natty, faites attention à votre langage. » répond le professeur.
Le professeur débute le cours de chimie. Junghwan et toi plongez ensemble dans les expériences et les équations, malgré l'agitation persistante dans ton esprit.
Junghwan, toujours concentré, essaie de t'impliquer dans le cours pour te ramener dans l'ambiance académique, mais quelque chose continue de te perturber en dépit de ses efforts.
« C’est comme ça que tu crois que tu va valider ton semestre ? » te dit-il Junghwan, légèrement agacé.
Depuis quand il se soucie de ton semestre ?
« Si tu veux me faire des remarques, je t’en prie, abstiens toi » tu lui répond en roulant des yeux.
« T’es plus déterminée quand tu suce des doigts plutôt que quand on te demande de faire un mélange chimique simple » répond t’il en fronçant les sourcils.
« AIE » s’exclame Intak, venant de se couper avec un morceau de papier.
Tu te retournes à cause du bruit et aperçois Chaewon se ruer sur Intak, prendre son index ensanglanté et le mettre dans sa bouche pour couper le saignement.
Tout ceci aurait pu être bienveillant si Chaewon ne s’était pas mise à sucer le doigt d’Intak en le regardant dans les yeux, poussant son doigt de plus en plus profondément dans sa bouche.
« En gorge profonde bientôt non ? » marmonne Natty.
« VOTRE LANGAGE MADEMOISELLE SUPUTTIPONG ! » s’exclame le professeur.
Chaewon te regarde en suçant l’index d’Intak avant de le lécher ouvertement.
c’est plus fort que toi, tu crie « MAIS QUELLE SALOPE »
Toute la salle se retourne sur toi.
« Nan, la salope d’Intak » te réponds Chaewon en te défiant du regard.
Ni une ni deux, tu bondis de ton tabouret et coure en direction de Chaewon pour lui arracher le visage.
Junghwan te rattrape et t’immobilise en serrant ses bras autour de ta taille et te maintenant contre lui.
« MESDEMOISELLES CALMEZ VOUS » continue le professeur.
« Je l’emmène prendre l’air, on sera de retour très rapidement monsieur » dit Junghwan avant de s’incliner devant le professeur, te tenant par le bras.
« Très bien monsieur So, merci beaucoup » répond le professeur devant la politesse exemplaire de Junghwan.
Une fois la porte fermée, Junghwan te tire dehors en te tenant le bras fortement.
« Tu me fais mal Junghwan » tu lui dit en te plaignant, phrase à laquelle il ne répond pas.
Tu n’avais jamais vu Junghwan aussi énervé.
Une fois en dehors du bâtiment, il te relâche le bras.
On peut apercevoir la trace de ses doigts.
« Je sais pas ce que tu fous, je sais pas a quoi tu joues, je sais rien de toi mais arrête ton bordel » te dit Junghwan.
« Comme tu le dis, tu sais rien de moi Junghwan, arrête de me prendre de haut » tu lui réponds.
Sa mâchoire se contracte.
« Arrête de te foutre de moi ça va vraiment pas le faire » il te réponds le regard noir.
Tu ne dis plus rien.
« Tu crois que les professeurs n’ont pas leur mot à dire sur la validation des semestres ? Moi qui croyait que tu étais une rivale décente, t’es en fait qu’une fille à papa qui a toujours ce qu’elle veut sans apporter le moindre effort dans son travail » continue t’il.
« C’est bon je suis désolée Junghwan.. » tu lui réponds.
« On retourne dans cette salle et tu bosses, tu gagnes quoi de tirer les cheveux de Chaewon ? c’est pas ça qui va te valider ton semestre, et c’est encore moins ses mèches de cheveux qui vont payer tes factures » continue t’il, furieux.
Tu ne dis rien et regarde le sol.
« T’es calmée ? » te demande Junghwan.
« Oui » tu réponds doucement.
Il t’ouvre la porte et tu traverses les couloirs avec lui.
Tu n’avais jamais vu Junghwan aussi énervé, à vrai dire, tu ne l’avais jamais vu énervé tout court.
Sa carrure imposante marche dans le couloir un peu devant toi et tu te perds dans tes pensées. Il a peut être raison ? mais qui est-il pour te faire la morale comme ça ?
Vous rentrez dans la salle de classe alors que Chaewon est assise sur les genoux d’Intak.
Alors qu’Intak te regarde afin de voir ta réaction, tu attrapes la main de Junghwan et entrelace tes doigts dans les siens.
La respiration d’Intak s’intensifie, tu sais reconnaître quand son sang commence à bouillir.
Tu t’assoies et voit qu’Intak repose Chaewon sur son tabouret.
Tu vois sur ton tel qu’Iroha t’a envoyé un message.
*Ça va ???*
Tu lui réponds que oui et continue le cours avec Junghwan.
Le professeur vous demande de réaliser un mélange chimique complexe.
Junghwan et toi échangez des idées, mesurez les ingrédients avec précision, et travaillez ensemble pour créer le mélange demandé.
La chimie entre vous deux, bien que différente de celle du laboratoire, émet une certaine harmonie. Vous réussissez la tâche avec brio.
« Parfait » indique le professeur en passant devant votre table, « en un tant record en plus » rajoute t’il.
Junghwan et toi avez réussi le cours mais la victoire n’est pas aussi bonne que d’habitude.
Tu regardes ailleurs et aperçois Jake se tenant derriere Iroha, l’aidant pour le mélange.
« Ils sont en couple ? » te demande Junghwan.
« Nan, pas encore ». tu réponds en souriant.
Le cours se termine et vous sortez de la salle avec Iroha, en vous dirigeant vers le Luna Lounge.
« Alors ce rapprochement avec Jake ? » tu lui demandes.
« Je pensais ressentir toute sa chaleur contre mon dos mais il est tellement FROID ? Je n’ai pas ressenti un seul degré de sa chaleur corporelle ça me fait presque peur » dit-elle en ricanant.
« Tu t’attendais à ce qu’il bande ? » dit Jang en arrivant à votre hauteur.
« Oh seigneur Jang… quelle classe » tu lui réponds en levant les yeux au ciel.
« ÇA VAAAAA c’est fun » dit-elle en se remettant du gloss.
Vous entrez dans le Luna Lounge et Haewon vous accueille comme d’habitude.
Elle vous place à votre endroit favori, devant la baie vitrée du premier étage.
« Cette pute de Chaewon je vais finir par me la faire » tu dis en t’affalant dans le fauteuil.
« Hm ? qu’est ce qu’elle a fait encore ? » te demande Jang.
« Elle a sucé Intak » dit Iroha.
Les yeux de Jang s’écarquillent.
« Le doigt d’Intak » elle se rectifie.
« En cours ? elle a sucé son doigt en COURS ? » répond Jang.
« Intak s’est coupé et elle a sucé son doigt » continue Iroha.
« Oh la salope » dit Jang en mettant sa main devant sa bouche.
« C’est exactement ce que j’ai dit » tu lui réponds.
Vous buvez toutes les trois votre café à la vanille bleue importée du Brésil.
« Mais Intak s’est laissé faire ? » demande Jang.
« Oui, il croit qu’on joue encore » tu réponds à Jang.
« Mais… vous jouez non ? t’as sucé les doigts de Junghwan hier soir. Assez ironique d’ailleurs. » répond t’elle.
« Je sais pas, je veux pas le même schéma que Paradise à nouveau … » tu lui réponds.
Jang sourit avec empathie, c’est bien la première fois que tu la vois exprimer ce sentiment.
Elle prend la parole « Vous avez prévu quoi pour Thanksgiving ? »
« Oh rien, mes parents vont en Afrique du sud donc je le fais pas avec eux cette année » tu réponds à Jang avant de reprendre une gorgée de ton café.
« Fucksgiving ? c’est quoi ? » demande Iroha.
« Thanksg-…. attends… c’est une SUPER BONNE IDÉE ? » s’exclame Jang en se levant.
« Quelle idée …? » tu demandes à Jang, soucieuse de son esprit.
« FUCKSGIVING ! SEIGNEUR POURQUOI J’Y AI JAMAIS PENSÉ ?! » continue Jang en criant.
« Je sais toujours pas ce que ça veut dire… » marmonne Iroha.
Jang attrape Iroha avant de lui faire un énorme bisous sur la tête.
« TU ES UN GÉNIE IROHA, JE VOUS LAISSE JE DOIS TRAVAILLER SUR NOTRE FÊTE DE FUCKSGIVING !! A PLUS TARD LES FILLES !! » crie Jang en courant dans les escaliers.
vous regardez jang courir dans l’herbe du campus en talons.
« Du coup c’est quoi fucksgiving ? » demande Iroha.
« Thanksgiving, c’est un événement que tu fais avec tes proches, les personnes que tu apprécies tout ça, pour les remercier des personnes qu’ils ont été cette année et exprimer ta reconnaissance autour d’un énorme repas en gros » tu lui répond.
« J’adore votre culture, j’ai trop hâte de faire mon premier thanksgiving avec vous ! » dit Iroha en souriant.
« Oui enfin, avec Jang, ce sera une version un peu plus épicée de Thanksgiving… » tu lui réponds avant de reprendre une gorgée de ton café.
Vous discutez toutes les deux, l'atmosphère dans le Luna Lounge est animée et décontractée.
Des lumières tamisées créent une ambiance chaleureuse, et la musique de fond ajoute une touche de vivacité.
Les conversations animées des étudiants se mêlent au doux murmure de l'endroit, créant une atmosphère accueillante pour discuter et partager des moments entre amis.
Ning et Youngseo se joignent à vous.
« Alors cette journée ? vous étiez en cours de quoi ? » demande Youngseo.
« chimie » indique Iroha.
« Mais vous êtes en production ??? » dit Ning, perdue.
« M’en parle pas … » tu lui réponds.
Ning et Youngseo s’assoient et dégustent leurs cruffins à la vanille.
Chaewon s’assoie sur le fauteuil à côté de Ning.
Ning la regarde de travers en se reculant un peu.
« Qu’est ce que tu veux toi ? » tu lui demandes.
« Je pense qu’on devrait parler comme deux adultes responsables » te répond t’elle.
« Donc tu trouves que tu adoptes l’attitude d’une femme adulte et responsable ? » tu lui répond.
« Faut vraiment que tu lâches Intak, vous êtes plus ensemble et de toutes façons vous n’allez pas ensemble » continue Chaewon sûre à 100% de son discours.
« Euh Chae on s’en fiche » répond Ning.
« Nan mais je trouve ça insupportable de toujours se mêler de ce que je fais avec Intak, on a vécu quelque chose ensemble à Paradise, c’est vraiment l’homme de ma vie » continue Chae.
Tu essaie d’être plus mature qu’elle en l’ignorant et en buvant ton café, essayant désespérément de te détendre.
« Surtout qu’à Paradise, après avoir éjaculé en moi il m’a dit qu’il avait hâte de me voir enceinte de lui » continue Chae
Tu recraches tout ton café sur la table basse.
« QUOI » tu t’exclames.
« Nan mais tranquille je prends la pillule je suis pas encore prête à être enceinte » répond Chae en croquant dans son muffin.
Natty arrive pile au bon moment.
Natty s’arrête devant vous, voyant Chaewon elle prend la parole « Qu’est ce qu’il fout là le garage à bites ? »
« Elle vient de dire qu’elle allait avoir un enfant avec Intak » rétorque Iroha.
Natty cligne plusieurs fois des yeux, ne comprenant pas vraiment la situation, se demandant si elle est dans un monde parallèle.
« Quoi ? » demande Natty, le regard perdu.
Chaewon commence « Non j’ai dit qu’Intak, après avoir éjacu-»
« C’est bon Chae » tu lui dit une première fois.
« -lé, m’a dit qu’il avait hâte de m- » continue Chae
« C’est bon Chae je t’ai dit » tu lui dit une deuxième fois.
« -de me voir enceinte de lui » termine Chae.
Un silence s’abat entre vous, tes nerfs étant a bout, tu arrives difficilement à garder ton calme mais tu ne bouges pas d’un poil.
« Tu mens » réponds Natty à Chaewon en croisant les bras.
Chaewon croque dans son muffin à la myrtille avant de répondre « Non, il me faisait des bisous sur le bas du ventre après avoir éjaculé dedans, il voulait que je garde tout en moi pou-»
C’était trop.
Tu sautes de ton fauteuil et attrapes les cheveux de Chaewon.
« NON ARRÊTE LÂCHE LA TU VA ÊTRE EN TORT » crie Ning.
La tension monte dans le Luna Lounge alors que Chaewon et toi vous battez férocement.
Les regards furieux et les gestes rapides attirent l'attention de ceux qui se trouvent autour, créant un moment intense au milieu de l'animation de l'endroit.
La musique continue de jouer en toile de fond, contrastant avec l'énergie palpable de la confrontation.
La bagarre avec Chaewon atteint son paroxysme dans le Luna Lounge.
Les cris fusent, des cheveux sont tirés, et chaque geste semble être une réponse à une insulte précédente.
Les gens murmurent et réagissent aux échanges houleux, ajoutant un sentiment de tension à la scène.
Les lumières vibrantes et la musique en arrière-plan donnent à la bagarre une aura à la fois dramatique et chaotique.
Natty et Youngseo vous séparent pour mettre fin à votre lutte acharnée.
Alors que tu te relèves devant la baie vitrée, tu t’essuies le visage et souris en disant à Chaewon « Je trouve ça fun que tu me dises ça parce que ton frère m’a tellement remplie à Paradise qu’on a du changer l’eau de la piscine tellement elle était pleine de son sperme ».
Malgré la force que Natty exerçait sur Chaewon pour la retenir, en proie à la colère, Chae te charge violemment.
Vous êtes projetées toutes les deux contre la baie vitrée du premier étage, qui cède sous l'impact.
Sous un cri de stupeur d’Iroha, dans un fracas assourdissant, le verre de la baie vitrée se brise en milliers d’éclats, vous entraînant toutes deux dans une chute spectaculaire dans le vide.
FIN DE L’ÉPISODE 7
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flammine · 6 months
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Et un nouveau trailer pour le prochain kit d'extension des sims 4. Il sera basé sur le retour de la location + environnement oriental avec de nouveaux objets aperçus dont un cuiseur à riz et le lancer de lanterne chinoise en papier. Voici ce qui est annoncé:
En résumé:
Bienvenue à Tomarang, un nouveau monde inspiré de l'Asie du Sud-Est avec un paysage tropical luxuriant et son animation urbaine.
On pourra se détendre dans des jardins botaniques, visiter un sanctuaire animalier ou déposer des offrandes d'encens ou de fruits à la Maison des esprits, tandis que les enfants Sims pourront jouer à la marelle et aux billes dans le parc. Le soir ils pourront aller se promener à l'emblématique marché de nuit de la ville. Déguster de nouveaux plats: le khao niao mamuang, le pad thaï au tofu, le pancit bihon, la soupe birmane aux samoussas et le banh cuon. Et de nouvelles boissons comme un halo-halo et un thé au lait glacé thaïlandais.
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Bien sûr il y aura des nouvelles locations résidentielles: des appartements en sous-sol aux duplex, vos Sims pourront se mêler de la vie des autres Sims en écoutant des conversations, en fouinant ou même en entrant chez quelqu'un par effraction. De plus vous pourrez construire un bâtiment entièrement personnalisable incluant plusieurs logements, ce qui permet à plusieurs familles de Sims de vivre sur le même terrain. Cette possibilité sera disponible dans n'importe quel monde des Sims 4 habitable !
Coté objets et constructions on retrouvera des stores en bois polyvalents, des maisons sur pilotis à proximité de plages pittoresques et des ponts historiques. Pour les intérieurs, il y a des sculptures en bois traditionnelles et des meubles en rotin disponibles, ainsi que des tapis, chaises, carrelages et lampes traditionnels inspirés de l'Asie du Sud-Est.
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Après on a le coté gestion immobilière où les Sims pourront devenir propriétaires et vivre parmi leurs locataires ou alors choisir de garder des résidences séparées tout en générant des revenus grâce à plusieurs investissements immobiliers. Les propriétaires pourront aller dans les logements et les inspecter, y réparer tout objet cassé, y compris les nouveaux objets liés à l'eau et à l'électricité Chauffe-eau et Boîte à fusibles. (Aucun locataire n’a envie d’avoir de l'eau froide ou des éclairages qui clignotent.)
Attention à la révolte des locataires en cas de mauvaises évaluations ! et gaffe aux surprises potentielles comme les infestations d’insectes et la moisissure envahissante.
Il y aura 4 nouvelles aspirations et 5 traits de caractère + 1 nouvelle peur qui feront leur apparitions.
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Le bonus pour la précommande comprend un barbecue sur chariot, un parasol de rue et un panier de fruits (sur la photo ci-dessus).
Sortie prévue le jeudi 7 décembre.
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tar-one · 10 months
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Un nouveau track avec mon vieux complice 'Daex' MC retraité, membre fondateur du almighty Dope Skwad, après des années sans avoir partagé le Mic (sauf sur scènes à l'occaz'). Le tout sur un Beat de notre vieux complice DJ Sauzé. C'est pas beau ça ? Vous êtes prêts ? Vous êtes chauds ? Vous avez vu ce souague de jeunes thugs new-yorkais en l'an de grâce 2000 ?
Homies depuis près de 30 ans, nous avons croisé le fer dès 96, plus depuis une éternité mais j'ai réussi l'exploit de le sortir de sa retraite pour un beau morceau émouvant de copains, si c'est pas mignon tout plein.
Dispo sur Spotify, Deezer, Tidal et autres plateformes de streaming of course
Tar One ft Daex – Même pas morts ! Lyrics
Tar One :
Ça fait longtemps, dis-moi, ça dit quoi ?
J’espère que la vie va, pas que tu t’apitoies
Faut qu’on se fasse un chill, avec Chris, un samedi soir
Gentil, les sorties j’me méfie, choisis un appart’ si je bois
Juste weed, bouteilles, cannettes, peut-être des cassettes VHS
Vieux souvenirs et dossiers, pas besoin de la fête parfaite
Quelques fou-rires, du Basket, peut-être 2-3 têtes, qu’on kiffe du son
Qu’on se voit, qu’on se marre, peut-être même de vraies discussions
Comment le taf ? Es-tu sur un projet qui t’parle ?
Comment le daron, la mama, Maud et surtout Elijah ?
Il me manque aussi mon vrai p’tit gars, ton trésor véritable
J’aime voir ton amour, ta fierté, comme sa présence t’es vitale
Comment les meufs ? Fais gaffe au fétichisme
Et ton défaitisme n’est pas réalisme, ça nique ton équilibre
Sers toi de ton énorme potentiel, joue pas au con superficiel
Vois le bon, profite des opportunités qu’il y a sur BXL
Moi ça va, peut-être un peu trop dans ma bulle
Souvent au calme même si avant je trouvais la campagne nulle
Amoureux, veux passer un max de temps avec Anandi
Et j’aime ses morveux, peux les considérer comme la famille
Toujours plus curieux, apprendre, nourrir l’esprit c’est exquis
J’héberge toujours Naqi et me plait encore à Lire et Ecrire
Même si loin de nos scènes d’antan, je rappe toujours et tabasse
Vas-y on refait un track ensemble, qu’on leur montre qu’on les fracasse !
Daex :
Yo mon pote, ça fait plaisir de te lire
T'inquiètes j'ai l'esprit libre et reste en équilibre
On est des funambules, pas en déambulateurs
Ok professeur! Plus de plans qui puent l'after
J'ramène les vieilles k7 voire même un disque dur
On va y aller molo, cette fois pas d'spliff de pure
...tu te souviens de mes blackouts
On a dépassé l'époque où on s'disait "t'es pas cap'!"
Plus d'CAPAC, je suis dans l'biz du ciné
C'est pas si sexy qu'ça, c'est pas ma dulcinée
Les collègues sont plutôt cools, ouais c'est déjà ça
Mais j'me concentre sur la famille car c'est le b.a.-ba
J'espère que d'ton côté ça va, malgré les aléas
(On a) plus d'un ange parti trop tôt comme Aaliyah
Moi j'ai Elijah et je sais qu'il m'a changé
Pigé qu'être père c'est bien plus que l'préparer aux dangers
Toujours pas d'solos, parce que j'sais plus trop...
Quel puto! Je voulais plus de cheese sur la bolo
Shawn Kemp du rap, qu'a rien gagné à part le respect
J'voulais pas virer barge, tourner en rond... Midnight Express
...C'est la vie et le bonus d'être heureux
Et peu à peu, j'relève la tête et même les yeux
L'épanouissement, c'est pas être le premier de la classe
J'veux être fier de ma place, les tracas je les fracasse
DOPE SKWAD, même pas mort!
Les cadors rêvent pas d'or
Même ta nénéne adore
DOPE SKWAD, même pas mort!
Les cadors rêvent pas d'or
Même ta nénéne adore
DOPE SKWAD, même pas mort!
Les cadors rêvent pas d'or
Même ta nénéne adore
DOPE SKWAD, même pas mort!
Les cadors rêvent pas d'or
Même ta nénéne adore
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freelance-informatique · 10 months
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Attention aux fruits à consommer lors d'un régime : Voici les plus caloriques !
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Vous cherchez à suivre un régime alimentaire équilibré et vous vous demandez quels fruits intégrer à votre menu ? Pas de panique, nous sommes là pour vous guider dans ce labyrinthe nutritionnel. Rappelez-vous que tous les fruits ne sont pas égaux en termes de calories. Par exemple, saviez-vous que 100 g de banane contiennent à peu près 95 calories ? Et, ce n'est pas le seul fruit à afficher un tel score calorique. C'est pourquoi nous avons préparé pour vous un guide détaillé des fruits à surveiller de près si vous êtes en régime. Les fruits riches en calories à consommer avec modération Avec la règle d'or cinq fruits et légumes par jour, on a tendance et privilégier les fruits dans notre alimentation. Pourtant, il faut faire gaffe sur certains fruits à cause de leur dose de calories. Banane : une option savoureuse mais calorique Reconnue pour sa richesse en nutriments essentiels comme le potassium et la vitamine C, la banane est un fruit nutritif et savoureux. Cependant, il est essentiel de noter qu'elle contient environ 95 calories pour 100 g. Alors, si vous cherchez à perdre du poids, il peut être judicieux de consommer ce fruit avec modération. À lire aussi : Voici les 4 meilleurs fruits pauvres en sucre à déguster sans retenue ! Fruits de la passion et raisin : un goût incomparable, des calories à ne pas négliger Certains fruits, en plus de leur délicieux goût, sont relativement caloriques. C'est le cas du fruit de la passion et du raisin qui contiennent tous deux environ 80 calories pour 100 g. En raison de leur teneur calorique, ces fruits devraient être consommés avec précaution si vous suivez un régime hypocalorique. Suivez cette vidéo pour avoir une explication d'une nutritionniste : https://www.youtube.com/watch?v=0PpHlKLwo28&ab_channel=LPNUTRITION-DIABETE2PREVENTIONETTRAITEMENT La noix de coco : un délice tropical riche en calories La noix de coco est un véritable trésor tropical. Mais, attention, elle est également l'une des options les plus caloriques. Avec 360 calories pour 100 g, la noix de coco dépasse largement la plupart des autres fruits en termes de calories. Pourtant, elle ne doit pas être totalement bannie de votre alimentation, car elle contient une bonne dose de fibres bénéfiques pour la digestion. En consommer avec parcimonie peut vous permettre de profiter de ses avantages nutritionnels sans compromettre vos objectifs de perte de poids. Continuez avec : Le melon est rafraîchissant, avec des bienfaits pour la santé Les bienfaits nutritionnels des fruits : au-delà des calories Il est essentiel de se rappeler que les fruits, même ceux qui sont relativement riches en calories, sont une source importante de nutriments indispensables à notre santé. Ainsi, même si vous suivez un régime, il ne faut pas bannir complètement ces fruits de votre alimentation. En les consommant avec modération, vous pouvez bénéficier de leurs nombreux bienfaits tout en contrôlant votre apport calorique. Alors, faites-vous plaisir en savourant vos fruits préférés, mais gardez à l'esprit leur teneur en calories. Votre corps vous en remerciera ! ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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