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#genevilliers
yoyopcmanmalefiques · 2 years
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gerardbillet · 3 years
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Pa_1435 : le Toutou avec Sa protection plastique. #pa_1435 #genevilliers #rer #spa #invader #invaderwashere #invaders #spaceinvader #spaceinvaders #protect_them #reactivationteam #instapic #photooftheday #gennevilliersmaville (à Gennevilliers, France) https://www.instagram.com/p/CLtf2d0F8oY/?igshid=r66qe3m7vwuf
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reduxlibrary · 4 years
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gliklofhameln · 3 years
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Paris, suburb of Genevilliers, France. 2016.
A hen is swung over one's head as a substitute for atonement for the year’s sins. The Lubavitch movement provides the hens for a fee and then send them to be slaughtered, the meat distributed to charity. An Orthodox Jew prays before performing kaparot.
A. Abbas/Magnum Photos
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sisterartist · 3 years
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Martine Aballéa, Le Bois du Luminaville, 2016, exhibition view, École municipale des beaux-arts / galerie Edouard-Manet, Genevilliers, 14 April – 11 June 2016, Courtesy Martine Aballéa, Art : Concept, Paris, © Photo: Margot Montigny, © ADAGP, Paris
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oxbillboards · 2 years
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Genevilliers 23 janvier 2022
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rurik-dmitrienko · 3 years
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Genevilliers By Rurik Dmitrienko
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Gustave Caillebotte (1848-1894) Iris bleus, jardin du Petit Gennevilliers, c. 1892. Huile sur toile, 55.2 × 46.4 cm. Collection privée
Que voit-on ? Trois iris saisis dans un parterre du jardin de la maison de la famille Caillebotte au Petit Genevilliers où figure - au tout premier plan - aussi une Digital (Digitalis purpurea) égarée ! Un instantané - bien avant que le terme ne soit  immortalisé par la photographie- et qui est dans un cadrage dont seule Caillebotte avait le secret. Bref une petite merveille toujours aujourd'hui dans une collection privée et dont l'image s'offre pour la première sans doute au regard du public !
En savoir plus...
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rusciolola-blog · 7 years
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lhouari-x · 7 years
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#Salvador84 #AODLX #JollyRainbo2X #streetphotography #streetphoto #street #streetshot #hipstamatic #genevilliers #france🇫🇷 (à Gennevilliers, France)
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La France des Belhoumi
Le mardi 22 mai, à 20 heures, à l’espace Aimé Césaire, 6, avenue du Luth à Genevilliers, rencontre avec Stéphane Beaud autour de son ouvrage La France des Belhoumi (Ed. La Découverte).
Rencontre organisée par le centre culturel et social dans le cadre de la semaine de la diversité culturelle.
Jacques Salles | [email protected]
Présentation de l'éditeur
Un livre de plus sur les jeunes « issus de l’immigration » ? Pour dénoncer les discriminations qu’ils subissent, sur fond de relégation sociale dans les quartiers « difficiles » ? Et conclure sur l’échec de leur « intégration » dans notre pays ? Non. L’ambition de Stéphane Beaud est autre. Il a choisi de décentrer le regard habituellement porté sur ce groupe social. Son enquête retrace le destin des huit enfants (cinq filles, trois garçons) d’une famille algérienne installée en France depuis 1977, dans un quartier HLM d’une petite ville de province. Le récit de leurs parcours – scolaires, professionnels, matrimoniaux, résidentiels, etc. – met au jour une trajectoire d’ascension sociale (accès aux classes moyennes). En suivant le fil de ces histoires de vie, le lecteur découvre le rôle majeur de la transmission des savoirs par l’école en milieu populaire et l’importance du diplôme. Mais aussi le poids du genre, car ce sont les deux sœurs aînées qui redistribuent les ressources accumulées au profit des cadets : informations sur l’école, ficelles qui mènent à l’emploi, accès à la culture, soutien moral (quand le frère aîné est aux prises avec la justice), capital professionnel (mobilisé pour « placer » un autre frère à la RATP)… Cette biographie à plusieurs voix, dont l’originalité tient à son caractère collectif et à la réflexivité singulière de chaque récit, montre différents processus d’intégration en train de se faire. Elle pointe aussi les difficultés rencontrées par les enfants Belhoumi pour conquérir une place dans le « club France », en particulier depuis les attentats terroristes de janvier 2015 qui ont singulièrement compliqué la donne pour les descendants d’immigrés algériens.
from Les Amis du Monde diplomatique https://ift.tt/2H7Y9Yv via IFTTT
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cchochote · 4 years
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adillahkim · 5 years
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New project of Restaurant in France, overture in March إن شآء الله genevillier 92...to be continued #decorationinterieur #architectanddesign https://www.instagram.com/p/BrE_VB9h6oe/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1va3r2owxmsa4
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Maxime Plaa in Genevilliers skatepark •• @mxm_prod Gennevilliers 💫 w/ @mathieucerdaa @cyprien_grz #triggerscooter #triggerextremesports @triggerscooter @undialedtv #undialed #unastan #trigger Crédit 🎶: Wind - Akebochi (at Gennevilliers, France) https://www.instagram.com/p/BptuaOmHqej/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=rwdx3h2788bf
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sysk-ehess · 6 years
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FAUSTIN LINYEKULA
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Attention : exceptionnellement le séminaire se tiendra un vendredi
Vendredi 1er juin 2018
Un séminaire dans le séminaire : COSMOCIDES : ART(S), VIOLENCE, 21e SIÈCLE, Guest Curators : Dominique Malaquais et Lionel Manga.
De 19h à 21h, à la MSH, 16-18 rue Suger 75006 Paris (métro Odéon ou Saint-Michel)
Danseur, chorégraphe, Faustin Linyekula a toujours un livre en tête, un chemin à prendre, un sac tout juste défait à refaire, une histoire à raconter, une ruine à reconstruire entre Kisangani où il vit aujourd’hui au Nord-Est de la République Démocratique du Congo (ex Zaïre, ex Congo Belge, ex État indépendant du Congo), Kinshasa, Lisbonne et le monde.
Tout commence à Kisangani avec une bande d’amis férus de théâtre, emmenés par un grand frère, Kabako, qui mourra quelques années plus tard à la frontière de l’Ouganda d’une maladie si anachronique en cette fin de XXe siècle qu’elle n’ose plus guère dire son nom, la peste… En 1993, Faustin quitte un pays de fin de règne -celui de Mobutu- et de début de chaos et s’installe à Nairobi. Débutent alors les allers-retours entre l’Ouganda, le Rwanda et le Kenya. En 1997, il fonde avec Opiyo Okach et Afrah Tenambergen la première compagnie de danse contemporaine au Kenya, Gàara. Leur création initiale, Cleansing, exploration des symboliques du nettoyage et de la purification, est primée aux Rencontres chorégraphiques africaines de Luanda en 1998. Malgré le succès, Faustin quittera la compagnie quelques mois plus tard pour reprendre la route entre la France, l’Afrique du Sud, la Réunion et la Slovénie.
En juin 2001, s’impose le retour au Zaïre devenu République Démocratique du Congo, déchiré par plusieurs années de conflits meurtriers. Le séjour de quelques semaines pour un atelier devient un choix de vie. Faustin met sur pied les Studios Kabako, structure pour la danse et le théâtre visuel, « un lieu où l’on travaille, où toujours on cherche et où parfois l’on trouve, un lieu où l’on doute mais où certains soirs s’impose une certitude ». Avec quatre danseurs qu’il forme, il crée Spectacularly Empty, carnet un rien désespéré d’un retour au pays natal. Commence alors une longue réflexion sur l’histoire et une mémoire collective sans cesse malmenée, bousculée, détournée par des dirigeants en mal de légitimité, incapables de penser le futur, mais aguerris à l’art délicat du passe-passe et de la substitution. Suivent Triptyque sans titre (2002), Spectacularly Empty II (2003), recréation pour boîte noire de la pièce de 2001, Radio Okapi (2003-04), performance mêlant radio en direct et artistes invités, chaque soir différents, Le Festival des mensonges (2005-06), veillée autour de la petite et de la grande histoire du Congo et The Dialogue Series: iii. Dinozord (2006). En 2007, Faustin travaille sur la mise en scène d’un texte de Marie-Louise Bibish Mumbu, La Fratrie errante. En 2008-09, il crée more more more… future, opéra ndombolo rock qui a tourné dans le monde entier et a reçu le Bessie Award de la meilleure composition musicale pour Flamme Kapaya en 2012. En 2009, il met en scène pour la Comédie Française (Studio Théâtre) et le Théâtre de Gennevilliers Bérénice de Jean Racine, une Bérénice qu’il reprend à sa façon et avec des comédiens congolais en 2009 en créant Pour en finir avec Bérénice. En 2011, il imagine son premier solo, Le Cargo, qui tourne toujours sur les scènes du monde entier. L’année suivante, il revisite à la demande du KVS Dinozord, une pièce de 2006 ;  naît alors Sur les traces de Dinozord. Après Drums and Digging, présentée au festival d'Avignon en 2013, Faustin signe un solo pour la danseuse sud-africaine Moya Michael, The Dialogue Series: iv Moya (2014), ainsi que le projet Statue of Loss, autour des soldats congolais ayant combattu en Europe lors de la première guerre mondiale. Parmi les autres collaborations, Raimund Hoghe imagine pour Faustin le duo Sans-Titre (2009) et La Création du monde 1923-2012, objet grandiose et non identifié pour 24 danseurs du Ballet de Lorraine (Nancy) et Djodjo Kazadi.
Faustin enseigne régulièrement en Afrique, aux États-Unis (University of Florida - Gainesville, University of Arizona - Tempe) et en Europe (Parts, CNDC Angers, Impulstanz). En 2007, il reçoit le Grand Prix de la Fondation Prince Claus pour la Culture et le Développement et a reçu en 2014 le grand Prix de la Fondation Curry Stone pour le travail développé avec les Studios Kabako sur Kisangani. En 2016, il était Artiste associé de la ville de Lisbonne.
[EN] Faustin Linyekula is a dancer and choreographer. Ever engaged in reading, traveling, breaking new ground, telling novel stories and rebuilding ruins, he lives and works between Kisangani, in North Eastern Democratic Republic of Congo (which was once Zaïre and, before then, the Belgian Congo and, earlier still, the Congo Free State), Kinshasa, Lisbon and the world at large.
His story begins in Kisangani, with a group of theater-loving friends led by one Kabako, who, some years later, near the border of Uganda, would die of a disease few speak of today, the plague. In 1993, as Mobutu Sese Seko’s reign drew to a close and chaos engulfed DRC, Faustin left his country to settle in Nairobi. While moving between Uganda, Rwanda and Kenya, in 1997, with Opiyo Okach and Afrah Tenambergen, he founded Kenya’s first contemporary dance company, Gàara. The company’s first piece, Cleansing, a reflection on rites and symbols of purification, was a prize winner at the 1998 African Choreographic Encounters of Luanda. In spite of this success, a few months later Faustin left Gàara for further travels, this time to France, South Africa, Réunion and Slovenia.
In June 2001, it became clear to Faustin that he needed to return to DRC, which was reeling from years of bloody conflict. What was meant to be a few weeks’ stay for a workshop turned into a life choice. Faustin founded Studios Kabako, an initiative centered on dance and theater ��� “a place for work, where one seeks and occasionally finds, a space where doubt and, on occasion, absolute certainty rub shoulders”. With four dancers studying at his side, he created Spectacularly Empty, based on his troubling experience of return to his native land. This ushered in a long period of reflection and research on the vagaries of history and collective memory in a country done intense violence by illegitimate and dishonest politicians incapable of imagining the future. Other works followed: Tryptique sans titre (2002); Spectacularly Empty II (2003); Radio Okapi (2003-2004), a performance involving live radio broadcasts and guest artists that, each evening, took on a new form; Le festival des mensonges (2005 2006), a wake in honor of DRC’s (his)stories; and The Dialogue Series: iii. Dinozord (2006). In 2007, Faustin adapted for the stage a text by Congolese writer Marie-Louise Bibish Mumbu, La fratire errante. In 2008-2009, he created more more more… future, a ndobolo rock opera that has since toured very widely and was awarded the Bessie Award for best musical composition in 2012 for its score by Flamme Kapaya. In 2009, Faustin directed Jean Racine’s Bérénice for the Comédie française (Studio Théâtre) and the Genevilliers Theater. Shortly thereafter, he reworked this adaptation with Congolese actors, under the title Pour en finir avec Bérénice. In 2011, he created his first solo, Le Cargo, which is still touring seven years later. In 2012, at the request of the Royal Flemish Theater, he revisited Dinozord, a 2006 piece; this resulted in a new creation titled Sur les traces de Dinozord. Then came Drums and Digging, which was shown at the Avignon Festival in 2013, a solo developed for South African dancer Moya Michael (The Dialogue Series: iv Moya, 2014), and Statue of Loss, in honor of Congolese soldiers who fought in Europe during WWI. Among Faustin’s many collaborations are two in particular that bear note:  his work with Raimund Hoghe, who, in 2009, created for Faustin a duo titled Sans titre, and La Création du monde 1932-2012, a 25-dancer piece that Faustin developed for the city of Nancy’s Ballet de Lorraine and dancer Djodjo Kazadi.
On a regular basis, Faustin teaches in Africa, the United States (University of Florida Gainesville, University of Arizona Tempe) and Europe (Parts, CNDC Angers, Impulstanz). In 2007, he was awarded the Prince Claus Fund for Culture and Development’s Principal Award and in 2014 he received the Curry Stone Design Prize for work undertaken with Studios Kabako in Kisangani. In 2016, he was designated Artista na cidade by the city of Lisbon.
Programmation et prochains rendez-vous sur ce site ou par abonnement à la newsletter : [email protected]
Pour regarder les séminaires antérieurs : http://www.vimeo.com/sysk/
Séminaire conçu et organisé par Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Natasa Petresin-Bachelez et soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte.
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oxbillboards · 2 years
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Genevilliers 29 janvier 2021
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