Niki Lauda (Ferrari 312B3) Grand Prix d'Allemagne - Nürburgring 1974. © Thomas Zimmermann. - source Carros e Pilotos.
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L'artiste plasticienne d'origine nigériane Morenike "Renike" Olusanya aime particulièrement peindre les femmes noires. "Je suis au Nigeria, les femmes noires sont tout ce que je vois. J'aime peindre notre culture, notre mode et nos coiffures", a-t-elle déclaré.
Morenike "Renike" Olusanya, 28 ans, a étudié les arts créatifs à l'Université de Lagos et a travaillé comme graphiste avant de finalement se lancer dans les arts visuels à temps plein pendant a période de confinement du Covid en 2020.
L'art de Morenike "Renike" Olusanya existe sous de nombreuses formes, telles que les portraits, l'art de la danse et les couvertures de livres. Certains d'entre eux sont créés sur une toile, mais elle préfère illustrer numériquement.
En combinant des formes, des lignes et des ombres sur son iPad, elle a conçu des couvertures de livres pour des femmes connues, notamment Aminata Touré, la première femme ministre noire d'Allemagne, l'auteur américain primé Coe Booth et l'auteur jamaïcain-américain Nicola Yoon.
En 2020, elle a illustré la couverture du livre de Yoon "Instructions for Dancing", esquissant un homme noir et une femme dansant le tango.
Selon Morenike, illustrer la couverture était un "rêve devenu réalité", d'autant plus qu'elle est devenue un best-seller instantané du New York Times après sa sortie en juin 2021. "Je peux dire avec fierté que j'ai créé des couvertures de livres pour plusieurs best-sellers," elle a ajouté.
"Si je vois une phrase, une chose ou une personne qui, selon moi, raconte une histoire et peut être exécutée dans une œuvre d'art ou une image, je fonce", a-t-elle expliqué.
En 2021, Morenike a été incluse dans la liste des 100 femmes les plus inspirantes au Nigeria de Leading Ladies Africa et en 2022, elle a remporté le prix spécial de reconnaissance Lord's Achievers : A Lady Making Impact Through Art.
"Gagner le prix a été très encourageant pour moi. Cela a renforcé le fait que l'art est mon truc, et les gens peuvent s'identifier à ce que je fais", a-t-elle déclaré.
Bien que Morenike soit heureuse d'être reconnue pour son travail, elle a déclaré que le point culminant de sa carrière était d'être chargée de créer des portraits pour certaines des plus grandes marques au monde, notamment Hulu, Dark & Lovely, Penguin Random House et Scholastic.
Pour les deux prochaines années, elle veut juste continuer à créer et à expérimenter quelques nouveautés en utilisant l'art. "Je veux continuer à collaborer avec de plus grandes marques, en organisant des expositions à Lagos et dans d'autres pays", a-t-elle déclaré.
Inspiré par un article de CNN.
illustration : Credit: Morenike Olusanya
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Les options du Bayern pour remplacer Lewandowski
La signature de Robert Lewandowski représente une autre étape importante dans la reconstruction du Barça. L'attaquant polonais sera certainement un grand succès au Nou Camp sous la direction de Xavi Hernandez. Malgré ses 33 ans, il a marqué 35 buts en 34 matchs de championnat pour le Bayern la saison dernière. Il en a marqué 41 l'année précédente, et a prouvé sa régularité devant le but. Cependant, le départ de Lewandowski laisse le Bayern avec un grand vide à combler. Il est peu probable qu'ils signent un attaquant capable d'égaler le nombre de buts de l'attaquant sortant. Sadio Mané Déjà dans les rangs du Bayern, Mane représente un ajout significatif pour les champions d'Allemagne en titre cet été. Même s'il semble avoir été recruté pour remplacer Serge Gnabry plutôt que Lewandowski. Néanmoins, Mane a démontré pour Liverpool, notamment la saison dernière, qu'il peut s'épanouir dans le rôle de faux neuf. Peut-être, avec Lewy maintenant parti et Gnabry semblant prêt à rester, Mane pourrait se retrouver à opérer à ce poste de la prochaine saison. Lire aussi : Harry Kane est le favori du Bayern pour remplacer Lewandowski ! Inaki Williams Dans la fleur de l'âge, à 28 ans, Williams est un joueur astucieux dans la ligne d'attaque, offrant créativité, menace de but et polyvalence. Il excelle en pointe ou sur les côtés, et a participé à 13 buts avec l'Athletic Bilbao la saison dernière. Le nouvel international ghanéen s'est montré incroyablement constant depuis qu'il a intégré l'équipe senior à l'adolescence. Mais un nouveau défi pourrait lui permettre d'atteindre de nouveaux sommets ? Avec six ans de contrat encore à l'Athletic, un éventuel transfert risque d'être compliqué. Son profil est apprécié par le Bayern. Victor Osimhen La superstar nigériane semble de plus en plus liée à un transfert au Bayern. Les Bavarois envisagent d'en faire le remplaçant idéal de Lewandowski. Selon les rapports italiens, les géants allemands ont approché Naples pour un accord potentiel sur l'attaquant. Julian Nagelsmann ne semble pas disposé à payer les 100 millions d'euros que les Partenopei considèrent comme un prix équitable pour leur attaquant. La récente mésentente d'Osimhen avec Luciano Spalletti incitera-t-elle Naples à revoir leurs exigences à la baisse ? Lire aussi : Bayern : Les conséquences du possible départ de Lewandowski Amine Gouiri L'attaquant franco-algérien Gouiri doit être pris au sérieux en tant que remplaçant potentiel de Lewandowski. Il sort d'une magnifique saison avec l'OGC Nice. L'attaquant a inscrit 19 buts dans l'élite française et les Aiglons ont terminé dans le top 5. Il démontre ainsi sa classe qui a poussé les gens à l'annoncer comme la prochaine star du football français. Nice pourrait faire un profit important s'ils se séparent du joueur de 22 ans. Gouiri leur a coûté 7 millions d'euros lorsqu'il a quitté l'Olympique Lyonnais. Il possède l'intelligence, les prouesses techniques et le sens du but pour réussir au Bayern. Youssef En-Nesyri Contrairement à Gouiri, En-Nesyri sort d'une saison délicate en Espagne. Les blessures ont ralenti sa progression avec le FC Séville. Il a eu du mal à atteindre son meilleur niveau lors de la Coupe d'Afrique des Nations. Il a inscrit 24 buts au cours de la saison 2020-21, mais n'en a marqué que cinq la saison dernière. Ce fut la saison la plus difficile de sa carrière. En-Nesyri va sûrement rebondir au cours de l'année à venir, et à seulement 25 ans. Il a encore de la place pour devenir un attaquant européen d'élite, certains diraient qu'il l'a déjà prouvé en marquant six buts en huit matchs lors de l'UCL 21-22. Arsenal et West Ham United ont été liés au joueur, mais le Bayern devrait-il considérer l'attaquant ? Lire aussi : Les 10 plus grosses ventes de l'histoire du Bayern
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12 - Palmarès de Gerhard Berger
FORMULE 3 ALLLEMANDE
1982 – MARTINI ALFA
Nürburgring (300 km) : 16ème
Hockenheim : 6ème
Salzbourg : 4ème
Wunstorf : 3ème
Hockenhein F2000 : AB
Erding : 5ème
Nürburgring : AB
Diepholz : 10ème
Zolder : 3ème
Nürburgring : 4ème
Kassen-Calden : 9ème
Troisième du Championnat avec 43 points
FORMULE 3 EUROPEENNE / SUPER TOURISME EUROPEEN
1983 – RALT-ALFA
Zolder : 3ème
Magny-Cours : 6ème
Osterreichring : 2ème
Silverstone : 13ème
Monza : AB
Misano : 7ème
Zandvoort : 11ème
Knutstorp : 2ème
Osterreichring : 4ème
Nogaro : AB
Jarama : AB
Imola : 6ème
Macau GP : 3ème
7ème du Championnat avec 18 points
1984 – BMW 635
Monza : AB
Vallelunga : AB
Salzburgring : 8ème
Spa : AB
Zolder : AB
1984 – RALT-ALFA
Donington : 4ème
Zolder : 4ème
Magny-Cours : 7ème
La Chatre : 3ème
Osterreichring : 1er
Monaco : 2ème
Silverstone : 4ème
Nürburgring : 3ème
Monza : 1er
3ème du Championnat avec 49 points
FORMULE 1 / SUPER TOURISME EUROPEEN
1984 - ATS BMW
Grand Prix d'Autriche - Osterreichring
Course : 12ème
Grand Prix d'Italie - Monza
Course : 6ème
Grand Prix d'Europe – Nürburgring
Course : AB
Grand Prix du Portugal - Estoril
Course : 13ème
21ème du Championnat du monde avec 2 points
1985 – BMW 635Csi
Monza : AB
Brno : 3ème
Salzburgring : 3ème
Spa : 1er
Zolder : 4ème
Estoril : 3ème
1985 - ARROWS BMW
Grand Prix du Brésil - Jacarepagua
Essais : 19ème en 1'34"773 - Course : AB tour 51 (suspension arrière cassée)
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 17ème en 1'24"842 - Course : AB tour 12 (sortie)
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 10ème en 1'28"697 - Course : AB tour 4 (électricité/moteur)
Grand Prix de Monaco
Essais : 11ème en 1'21"665 - Course : AB tour 1 (collision Tambay-Johansson)
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 12ème en 1'26"743 - Course : 13ème à 3t
Grand Prix des USA - Detroit
Essais : 24ème en 2'05"307 - Course : 11ème à 3t
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 8ème en 1'34"674 - Course : AB tour 20 (collision Martini)
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 17ème en 1'08"672 - Course : 8ème à 2t
Grand Prix d'Allemagne - Nürburgring
Essais : 17ème en 1'20"666 - Course : 7ème à 1t
Grand Prix d'Autriche - Osterreichring
Essais : 17ème en 1'28"566 - Course : AB tour 33 (turbo)
Grand Prix des Pays-Bas - Zandvoort
Essais : 14ème en 1'13"680 - Course : 9ème à 2t
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 11ème en 1'27"723 - Course : AB tour 13 (différentiel)
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 8ème en 1'56"770 - Course : 7ème à 1t, 7ème temps en course en 2'04"142
Grand Prix d'Europe - Brands Hatch
Essais : 19ème en 1'11"608 - Course : 10ème à 2t
Grand Prix d'Afrique du Sud - Kyalami
Essais : 11ème en 1'04"780 - Course : 5ème à 1t, 8ème temps en course en 1'10"258
Grand Prix d'Australie – Adélaïde
Essais : 7ème en 1'22"592 - Course : 6ème à 1t, 10ème temps en course en 1'26"216
17ème du Championnat du monde avec 3 points
1986 – BMW 635Csi
Donington : 2ème
Misano : 1er
Anderstorp : AB
Brno : 6ème
Spa : 3ème
Nogaro : 1er
Zolder : 2ème
1986 - BENETTON BMW
Grand Prix du Brésil - Jacarepagua
Essais : 16ème en 1'31"313 - Course : 6ème à 2t
Grand Prix d'Espagne - Jerez
Essais : 7ème en 1'24"501 - Course : 6ème à 1t, 9ème temps en course en 1'29"690
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 9ème en 1'27"444 - Course : 3ème à 1t, 9ème temps en course en 1'29"141
Grand Prix de Monaco
Essais : 5ème en 1'23"960 - Course : AB tour 42 (fixation roue arrière droite cassée)
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 2ème en 1'54"468 - Course : 10ème à 2t, 7ème temps en course en 2'00"877
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 7ème en 1'26"439 - Course : AB tour 34 (turbo)
Grand Prix des USA - Detroit
Essais : 12ème en 1'41"837 - Course : AB tour 8 (électronique/moteur)
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 8ème en 1'07"554 - Course : AB tour 22 (commande de boîte de vitesses), 8ème temps en course en 1'12"436
Grand Prix d'Angleterre - Brands Hatch
Essais : 4ème en 1'08"196 - Course : AB tour 22 (électronique/moteur), 10ème temps en course en 1'13"247
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 4ème en 1'42"541 - Course : 10ème à 2t, meilleur temps en course en 1'46"604
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 11ème en 1'32"491 - Course : AB tour 44 (transmission et fuite d'essence)
Grand Prix d'Autriche - Osterreichring
Essais : 2ème en 1'23"743 - Course : 7ème à 3t, meilleur temps en course en 1'29"444
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 4ème en 1'24"885 - Course : 5ème à 1t (panne d'essence), 3ème temps en course en 1'28"191
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 3ème en 1'17"742 - Course : AB tour 44 (collision Johansson), 10ème temps en course en 1'23"850
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 6ème en 1'17"609 - Course : 1er, 6ème temps en course en 1'20"543
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 6ème en 1'20"554 - Course : AB tour 43 (embrayage)
7ème du Championnat du monde avec 17 points et 1 victoire
FORMULE 1
1987 - FERRARI
Grand Prix du Brésil - Jacarepagua
Essais : 7ème en 1'30"357 - Course : 4ème à 1'39"325, 7ème temps en course en 1'35"769
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 5ème en 1'27"280 - Course : AB tour 16 (commande électronique waste-gate)
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 4ème en 1'53"451 - Course : AB tour 2 (turbo)
Grand Prix de Monaco
Essais : 8ème en 1'26"323 - Course : 4ème à 1t, 7ème temps en course en 1'29"220
Grand Prix des USA - Detroit
Essais : 12ème en 1'43"816 - Course : 4ème à 1'02"601, 5ème temps en course en 1'42"238
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 6ème en 1'08"198 - Course : AB tour 71 (sortie), 4ème temps en course en 1'11"675
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 8ème en 1'09"408 - Course : AB tour 7 (sortie)
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 10ème en 1'45"902 - Course : AB tour 19 (turbo)
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 2ème en 1'28"549 - Course : AB tour 13 (demi-arbre de transmission), 8ème temps en course en 1'33"826
Grand Prix d'Autriche - Osterreichring
Essais : 3ème en 1'24"213 - Course : AB tour 5 (turbo), 9ème temps en course en 1'30"343
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 3ème en 1'23"923 - Course : 4ème à 57"979, 6ème temps en course en 1'28"519
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : pole position en 1'17"620 - Course : 2ème à 20"493, meilleur temps en course en 1'19"282
Grand Prix d'Espagne - Jerez
Essais : 3ème en 1'23"164 - Course : AB tour 62 (moteur), meilleur temps en course en 1'26"986
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 2ème en 1'18"426 - Course : AB tour 20 (turbo/moteur), 7ème temps en course en 1'21"520
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : pole position en 1'40"042 - Course : 1er, 2ème temps en course en 1'45"540
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : pole position en 1'17"267 - Course : 1er, meilleur temps en course en 1'20"416
5ème du Championnat du monde avec 36 points et 2 victoires
1988 - FERRARI
Grand Prix du Brésil - Jacarepagua
Essais : 4ème en 1'29"026 - Course : 2ème à 9"876, meilleur temps en course en 1'32"943
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 5ème en 1'30"683 - Course : 5ème à 1t, 3ème temps en course en 1'31"394
Grand Prix de Monaco
Essais : 3ème en 1'26"685 - Course : 2ème à 20"453, 5ème temps en course en 1'28"899
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 3ème en 1'18"120 - Course : 3ème à 57"314, 4ème temps en course en 1'20"160
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 3ème en 1'22"719 - Course : AB tour 22 (électronique/moteur), 6ème temps en course en 1'26"947
Grand Prix des USA - Detroit
Essais : 2ème en 1'41"464 - Course : AB tour 6 (crevaison), 3ème temps en course en 1'45"508
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 3ème en 1'08"282 - Course : 4ème à 1t, 3ème temps en course en 1'11"866
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : pole position en 1'10"133 - Course : 9ème à 1t
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 3ème en 1'46"115 - Course : 3ème à 52"095, 6ème temps en course en 2'05"735
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 9ème en 1'29"244 - Course : 4ème à 1'28"670, 6ème temps en course en 1'32"241
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 3ème en 1'54"581 - Course : AB tour 11 (électronique/moteur), meilleur temps en course en 2'00"772
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 3ème en 1'26"654 - Course : 1er, 2ème temps en course en 1'29"113
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 3ème en 1'18"903 - Course : AB tour 35 (sortie), meilleur temps en course en 1'21"961
Grand Prix d'Espagne - Jerez
Essais : 8ème en 1'25"466 - Course : 6ème à 51"813, 6ème temps en course en 1'28"716
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 3ème en 1'43"53 - Course : 4ème à 1'26"714, 6ème temps en course en 1'48"655
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 4ème en 1'19"517 - Course : AB tour 25 (collision Arnoux), 8ème temps en course en 1'21"900
3ème du Championnat du monde avec 41 points et 1 victoire
1989 - FERRARI
Grand Prix du Brésil - Jacarepagua
Essais : 3ème en 1'26"271 - Course : AB tour 1 (collision Senna/casse moteur)
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 5ème en 1'28"089 - Course : AB tour 3 (accident)
Grand Prix de Monaco
Forfait suite à l'accident d'Imola
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 6ème en 1'18"635 - Course : AB tour 16 (boîte de vitesses/perte de fluide hydraulique)
Grand Prix des USA - Phœnix
Essais : 8ème en 1'32"364 - Course : AB tour 61 (alternateur), 11ème temps en course en 1'35"390
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 4ème en 1'21"964 - Course : AB tour 6 (alternateur)
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 6ème en 1'08"233 - Course : AB tour 29 (fuite d'huile/boîte de vitesses), 8ème temps en course en 1'12"937
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 4ème en 1'09"855 - Course : AB tour 49 (commande de boîte de vitesses), 4ème temps en course en 1'13"477
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 4ème en 1'44"467 - Course : AB tour 13 (éclatement d'un pneu/sortie), 4ème temps en course en 1'48"931
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 6ème en 1'21"270 - Course : AB tour 56 (boîte de vitesses), 3ème temps en course en 1'23"214
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 3ème en 1'52"391 - Course : AB tour 9 (sortie/moteur calé)
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 2ème en 1'24"734 - Course : 2ème à 7"326, 4ème temps en course en 2'28"712
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 2ème en 1'16"059 - Course : 1er, meilleur temps en course en 1'18"986
Grand Prix d'Espagne - Jerez
Essais : 2ème en 1'20"565 - Course : 2ème à 27"051, 3ème temps en course en 1'26"213
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 3ème en 1'40"187 - Course : AB tour 34 (commande de boîte de vitesses), 3ème temps en course en 1'44"189
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 14ème en 1'19"238 - Course : AB tour 6 (collision Alliot), 15ème temps en course en 1'46"911
7ème du Championnat du monde avec 21 points 1 victoire
1990 - MAC LAREN HONDA
Grand Prix des USA - Phœnix
Essais : pole position en 1'28"664 - Course : AB tour 45 (embrayage/sortie), meilleur temps en course en 1'31"050
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 2ème en 1'17"888 - Course : 2ème à 13"564, meilleur temps en course en 1'19"899
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 2ème en 1'23"781 - Course : 2ème à 5"117, 2ème temps en course en 1'31"050
Grand Prix de Monaco
Essais : 5ème en 1'22"682 - Course : 3ème à 2"073, 3ème temps en course en 1'25"021
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 2ème en 1'20"465 - Course : 4ème à 14"854, meilleur temps en course en 1'22"077
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : pole position en 1'17"227 - Course : 3ème à 25"530, 2ème temps en course en 1'18"223
Grand Prix de France - Castellet
Essais : 2ème en 1'04"512 - Course : 5ème à 42"219, 12ème temps en course en 1'09"206
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 3ème en 1'08"246 - Course : 14ème à 4t (commande d'accélérateur), 6ème temps en course en 1'12"393
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 2ème en 1'40"434 - Course : 3ème à 8"553, 3ème temps en course en 1'46"098
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 3ème en 1'18"127 - Course : 16ème à 5t (collision Mansell), 2ème temps en course en 1'22"122
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 2ème en 1'50"948 - Course : 3ème à 28"462, 3ème temps en course en 1'55"531
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 3ème en 1'22"936 - Course : 3ème à 7"404, 3ème temps en course en 1'26"650
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 4ème en 1'14"292 - Course : 4ème à 5"896, 4ème temps en course en 1'18"438
Grand Prix d'Espagne - Jerez
Essais : 5ème en 1'19"618 - Course : AB tour 57 (collision Boutsen), 5ème temps en course en 1'26"250
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 4ème en 1'38"118 - Course : AB tour 2 (sortie)
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 2ème en 1'16"244 - Course : 4ème à 46"862, 9ème temps en course en 1'20"025
3ème ex aequo du Championnat du monde avec 43 points
1991 - MAC LAREN HONDA
Grand Prix des USA - Phœnix
Essais : 7ème en 1'23"742 - Course : AB tour 36 (pompe à essence), 9ème temps en course en 1'28"286
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 4ème en 1'17"471 - Course : 3ème à 5"416, 5ème temps en course en 1'21"125
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 5ème en 1'22"567 - Course : 2ème à 1"675, meilleur temps en course en 1'26"531
Grand Prix de Monaco
Essais : 6ème en 1'21"222 - Course : AB tour 10 (sortie), 4ème temps en course en 1'25"228
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 6ème en 1'20"916 - Course : AB tour 2 (électronique)
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 5ème en 1'18"156 - Course : AB tour 6 (moteur)
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 5ème en 1'15"376 - Course : AB tour 7 (moteur)
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 4ème en 1'22"476 - Course : 2ème à 42"293, 3ème temps en course en 1'26"633
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 3ème en 1'37"393 - Course : 4ème à 32"651, 3ème temps en course en 1'43"970
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 5ème en 1'17"705 - Course : 4ème à 21"456, 11ème temps en course en 1'23"954
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 4ème en 1'49"485 - Course : 2ème à 1"901, 2ème temps en course en 1'55"601
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 3ème en 1'21"346 - Course : 4ème à 27"719, 9ème temps en course en 1'27"465
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 2ème en 1'13"221 - Course : AB tour 38 (moteur), 3ème temps en course en 1'18"856
Grand Prix d'Espagne - Catalunya
Essais : pole position en 1'18"751 - Course : AB tour 34 (moteur), 16ème temps en course en 1'26"078
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : pole position en 1'34"700 - Course : 1er, 2ème temps en course en 1'41"572
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 2ème en 1'14"385 - Course : 3ème à 3"120, meilleur temps en course en 1'41"141
4ème du Championnat du monde avec 43 points et 1 victoire
1992 - MAC LAREN HONDA
Grand Prix d'Afrique du Sud - Kyalami
Essais : 3ème en 1'16"672 - Course : 5ème à 1'13"834, 4ème temps en course en 1'19"085
Grand Prix du Mexique - Mexico
Essais : 5ème en 1'18"589 - Course : 4ème à 33"347, meilleur temps en course en 1'17"711
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 4ème en 1'18"416 - Course : AB tour 5 (moteur)
Grand Prix d'Espagne - Catalunya
Essais : 7ème en 1'22"711 - Course : 4ème à 1'20"647, 2ème temps en course en 1'42"850
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 4ème en 1'23"418 - Course : AB tour 39 (collision Alesi), 3ème temps en course en 1'27"250
Grand Prix de Monaco
Essais : 5ème en 1'21"224 - Course : AB tour 32 (boîte de vitesses), 6ème temps en course en 1'24"172
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 4ème en 1'20"145 - Course : 1er, meilleur temps en course en 1'22"325
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 4ème en 1'15"316 - Course : AB tour 11 (moteur), 17ème temps en course en 1'20"213
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 5ème en 1'22"196 - Course : 5ème à 55"795, 3ème temps en course en 1'24"875
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 4ème en 1'39"716 - Course : AB tour 16 (problèmes électriques), 10ème temps en course en 1'44"811
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 5ème en 1'17"277 - Course : 3ème à 50"782, 7ème temps en course en 1'20"722
Grand Prix de Belgique - Spa
Essais : 6ème en 1'54"642 - Course : AB tour 1 (transmission)
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 5ème en 1'23"112 - Course : 4ème à 1'25"490, 6ème temps en course en 1'27"255
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 4ème en 1'15"068 - Course : 2ème à 37"533, 3ème temps en course en 1'17"399
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 4ème en 1'40"296 - Course : 2ème à 19"729, 3ème temps en course en 1'42"280
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 4ème en 1'15"114 - Course : 1er, 2ème temps en course en 1'16"807
5ème du Championnat du monde avec 49 points et 2 victoires
1993 - FERRARI
Grand Prix d'Afrique du Sud - Kyalami
Essais : 15ème en 1'19"386 - Course : 6ème à 3t (moteur cassé), 10ème temps en course en 1'21"118
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 13ème en 1'19"561 - Course : AB tour 1 (collision avec Andretti)
Grand Prix d'Europe - Donington
Essais : 8ème en 1'12"862 - Course : AB tour 19 (fuite suspension active)
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 8ème en 1'24"822 - Course : AB tour 8 (boîte de vitesses)
Grand Prix d'Espagne - Catalunya
Essais : 11ème en 1'22"655 - Course : 6ème à 2t, 9ème temps en course en 1'25"065
Grand Prix de Monaco
Essais : 7ème en 1'22"394 - Course : Ab tour 70 (collision Hill), 2ème temps en course en 1'23"660
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 5ème en 1'21"278 - Course : 4ème à 1t, 5ème temps en course en 1'22"776
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 14ème en 1'17"456 - Course : 14ème à 2t, 9ème temps en course en 1'21"898
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 13ème en 1'23"257 - Course : AB tour 10 (suspension active)
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 9ème en 1'41"252 - Course : 6ème à 1'25", 11ème temps en course en 1'45"489
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 6ème en 1'16"93 - Course : 3ème à 8"42, 4ème temps en course en 1'20"917
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 16ème en 1'52"080 - Course : 10ème à 2t (collision Blundell), 7ème temps en course en 1'55"240
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 6ème en 1'23"150 - Course : AB tour 15 (suspension active)
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 8ème en 1'13"933 - Course : AB tour 35 (suspension active/accident)
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 5ème en 1'37"622 - Course : AB tour 40 (moteur)
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 6ème en 1'14"194 - Course : 5ème à 1t, 4ème temps en course en 1'16"686
8ème du Championnat du monde avec 12 points
1994 - FERRARI
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 17ème en 1'18"855 - Course : AB tour 5 (moteur)
Grand Prix du Pacifique - Ti Aïda
Essais : 5ème en 1'11"74 - Course : 2ème à 1'15"300, 6ème temps en course en 1'15"931
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 3ème en 1'22"113 - Course : AB tour 16
Grand Prix de Monaco
Essais : 3ème en 1'19"958 - Course : 3ème à 1'16"824, 3ème temps en course en 1'22"248
Grand Prix d'Espagne - Catalunya
Essais : 7ème en 1'23"715 - Course : AB tour 27 (boîte de vitesses)
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais :3ème en 1'27"059 - Course : 4ème à 1'15"609, 3ème temps en course en 1'29"142
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 5ème en 1'16"959 - Course : 3ème à 52"765, 5ème temps en course en 1'20"659
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 3ème en 1'24"980 - Course : AB tour 32 (moteur), 4ème temps en course en 1'28"603
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : pole position en 1'43"582 - Course : 1er, 4ème temps en course en 1'47"544
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 4ème en 1'20"219 - Course : AB tour 72 (moteur), 4ème temps en course en 1'22"490
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 11ème en 2'23"895 - Course : AB tour 12 (moteur)
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 2ème en 1'23"978 - Course : 2ème à 4"930, 3ème temps en course en 1'26"541
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : pole position en 1’20’’608 - Course : AB tout 8 (boîte de vitesses), 2ème temps en course en 1’22’’935
Grand Prix d'Europe - Jerez
Essais : 6ème en 1'23"677 - Course : 5ème à 1t, 9ème temps en course en 1'26"629
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 11ème en 1'38"570 - Course : AB tour 10 (moteur)
Grand Prix d'Australie - Adélaïde
Essais : 11ème en 1'18"070 - Course : 2ème à 2"511, 3ème temps en course.
3ème du Championnat du monde avec 41 points et 1 victoire
1995 - FERRARI
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 5ème en 1’20’’908 - Course : 3ème, 5ème temps en course en 1’22’’679
Grand Prix d’Argentine - Buenos Aires
Essais : 8ème en 1’55’’276 - Course : 6ème à 2t, 4ème temps en course en 1’31’’868
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 2ème en 1’27’’282 - Course : 3ème à 43’’116, meilleur temps en course en 1’29’’568
Grand Prix d’Espagne - Catalunya
Essais : 3ème en 1’22’’071 - Course : 3ème à 1’05’’237, 7ème temps en course en 1’25’’794
Grand Prix de Monaco
Essais : 4ème en 1’23’’220 - Course : 3ème à 1’11’’447, 4ème temps en course en 1’25’’379
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 4ème en 1’28’’189 - Course : AB tour 62 (collision Brundle), 3ème temps en course en 1’30’’491
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 7ème en 1’19’’051 - Course : 12ème à 2t
Grand Prix d’Angleterre - Silverstone
Essais : 4ème en 1’29’’457 - Course : AB tour 21 (roue mal fixée), 9ème temps en course en 1’31’’435
Grand Prix d’Allemagne - Hockenheimring
Essais : 4ème en 1’45’’553 - Course : 3ème à 1’08’’097, 4ème temps en course en 1’49’’926
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 4ème en 1’18’’059 - Course : 3ème à 1t, 5ème temps en course en 1’21’’371
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : pole position en 1’54’’392 - Course : AB tour 23 (problèmes électriques), 4ème temps en course en 1’55’462
Grand Prix d’Italie - Monza
Essais : 3ème en 1’25’’353 - Course : AB tour 33 (suspension avant), meilleur temps en course en 1’26’’419
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 4ème en 1’21’’970 - Course : 4ème à 1’24’’879, 7ème temps en course en 1’24’’805
Grand Prix d’Europe - Nürburgring
Essais : 4ème en 1’19'821 - Course : AB tour 41 (électronique), 9ème temps en cours en 1’24’’239
Grand Prix du Pacifique - Ti Aïda
Essais : 5ème en 1’14’’974 - Course : 4ème à 1t, 5ème temps en course en 1’17’’795
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 5ème en 1’39’’040 - Course : AB tour 17 (électronique)
Grand Prix d’Australie - Adélaïde
Essais : 4ème en 1’15’’932 - Course : AB tour 35 (moteur), 5ème temps en course en 1’19’’493
6ème du Championnat du monde avec 31 points
1996 - BENETTON RENAULT
Grand Prix d’Australie - Melbourne
Essais : 7ème en 1'34"344 - Course : 4ème à 1'17"037, 5ème temps en course en 1'34"757
Grand Prix du Brésil - Interlagos
Essais : 8ème en 1'19"762 - Course : AB tour 26 (circuit hydraulique)
Grand Prix d'Argentine - Buenos Aires
Essais : 5ème en 1'31"262 - Course : AB tour 56 (suspension arrière), 3ème temps en course en 1'30"104
Grand Prix d'Europe - Nürburgring
Essais : 8ème en 1'21"054 - Course : 9ème à 1'21"061, 3ème temps en course en 1'22"004
Grand Prix de Saint-Marin - Imola
Essais : 7ème en 1'28"336 - Course : 3ème à 16"460, 7ème temps en course en 1'29"667
Grand Prix de Monaco
Essais : 4ème en 1'21"067 - Course : AB tour 9 (boîte de vitesses)
Grand Prix d'Espagne - Catalunya
Essais : 5ème en 1'22"125 - Course : AB tour 44 (tête à queue), 9ème temps en course en 1'49"097
Grand Prix du Canada - Montréal
Essais : 7ème en 1'21"926 - Course : AB tour 42 (tête à queue), 8ème temps en course en 1'23"102
Grand Prix de France - Magny-Cours
Essais : 4ème en 1'16"592 - Course : 4ème à 46"859, 4ème temps en course en 1'19"206
Grand Prix d'Angleterre - Silverstone
Essais : 7ème en 1'28"653 - Course : 2ème à 19"026, 2ème temps en course en 1'29"984
Grand Prix d'Allemagne - Hockenheimring
Essais : 2ème en 1'44"299 - Course : AB tour 43, 3ème temps en course en 1'47"682
Grand Prix de Hongrie - Hungaroring
Essais : 6ème en 1'18"794 - Course : AB tour 64, 5ème temps en course en 1'21"733
Grand Prix de Belgique - Spa-Francorchamps
Essais : 5ème en 1'51"960 - Course : 6ème à 29"896, meilleur temps en course en 1'53"067 (221,857 km/h)
Grand Prix d'Italie - Monza
Essais : 8ème en 1'25"470 - Course : AB tour 4 (boîte de vitesses)
Grand Prix du Portugal - Estoril
Essais : 5ème en 1'21"293 - Course : 6ème à 1'33"141, 5ème temps en course en 1'24"647
Grand Prix du Japon - Suzuka
Essais : 4ème en 1'40"364 - Course : 4ème à 26"526, 2ème temps en course en 1'44"350
6ème du Championnat du monde avec 31 points
1997 - BENTETTON RENAULT
Grand Prix d’Australie – Melbourne
Essais : 10ème en 1’32”870 - Course : 4ème à 22”841
Grand Prix du Brésil – Interlagos
Essais : 3ème en 1’16”644 - Course : 2ème à 4”190
Grand Prix de Saint-Marin –Imola
Essais : 11ème en 1’25”371 - Course : AB tour 5 (tête à queue)
Grand Prix de Monaco
Essais : 17ème en 1’20”199 - Course : AB
Grand Prix d’Espagne – Catalunya
Essais : 6ème en 1’18”041 - Course : AB
Grand Prix du Canada – Montréal
Forfait
Grand Prix de France – Magny-Cours
Forfait
Grand Prix d’Angleterre – Silverstone
Forfait
Grand Prix d’Allemagne – Hockenheimring
Essais : Pole position en 1’41”873 - Course : 1er, meilleur temps en course en 1’45”873 (227,478 km/h)
Grand Prix d’Hongrie – Hungaroring
Essais : 7ème en 1’15”699 - Course : 8ème à 1’16”409
Grand Prix de Belgique – Spa-Francorchamps
Essais : 15ème en 1’52”391 - Course : 6ème à 1’03”741
Grand Prix d’Italie – Monza
Essais : 7ème en 1’23”443 - Course : 7ème à 12”471
Grand Prix d’Autriche – Osterreichring
Essais : 18ème en 1’11”620 - Course : AB
Grand Prix du Luxembourg – Nürburgring
Essais : 7ème en 1’17”587 - Course : 4ème à 16”416
Grand Prix du Japon – Suzuka
Essais : 5ème en 1’36”561 - Course : 9ème à 1’00”429
Grand Prix d’Europe - Jerez
Essais : 8ème en 1’21”650 6 - Course : 4ème à 1”919
6ème du Championnat du monde avec 27 points et 1 victoire
Gerhard Berger a mis fin à sa carrière de pilote en 1997.
1998 - Directeur de la compétition chez BMW Motorsport qui remporte les 24 Heures du Mans en 1999.
2000 - 2003 : Directeur de BMW Formula 1 chez Williams BMW avec une première victoire de Juan Pablo Montoya en Italie en 2001 et 7 poles positions du Colombien en 2002.
2006 - 2008 : Co-propriétaire de l'écurie Scuderia Toro Rosso qui remporte sa première victoire en grand prix avec Sebastian Vettel en 2008.
Depuis 2017
Gerhard Berger dirige le championnat allemand de voiture de tourisme DTM.
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Formula 1 japanese grand prix.
L 10/13/2019 10:12 PM OOJT japanese garden formula gp d'allemagne Formula 1: 558 X TEN K 230 827 966 326 60 136 gp d'allemagne Formula 758 80 76 691 929 15 59 289 120 50 306 RJU 57 485 291 1: japanese garden formula 1 299 44 508
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2019-12-18T05:12:13 HJT LAP DJ 1: japanese garden formula AT IYH 899 S Saturday, 23 November 2019 09:12:13 15 50 845 gp de 37 39 replay Formula NAKB 37 35 MMS formula gp de france formula 1 156 829 11/26/2019 54 29 459 22 185 61 15 23 Nov 2019 07:12 AM PDT YYIX MFJL 1 japanese gp highlights Formula 464 Formula 769 9 0 G PVN P japanese gp 789 JTXI 54 52 272 LEE 510 687 11 81 83 TPX 92 35 959 301 TQ 799 66 736 25 250 12 61 42 WJEC 622 LM 96 295 48 5 VP 65 AIK Wed, 20 Nov 2019 21:12:13 GMT 224 753 japanese grand prix formula 1 84 669 705 2018 292 385 112 880 72 290 5 d'allemagne Wed, 25 Dec 2019 23:12:13 GMT 335 2019-12-08T17:12:13 0 2019-12-18T21:12:13.9118740+14:00 start time formula 1 japanese 11 814
UPDATED: November 15.
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Le programme TV du Grand Prix d'Allemagne
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Jeudi 18 avril 2019
Phase actuelle - Lune gibbeuse croissante, pleine à 93%
À Zermatt, Lever : 06h38. Coucher : 20h19. +5 minutes
L'éphéméride du jour en France :
Aujourd'hui, nous fêtons les Parfait.
Fêtes et prénoms bretons : Keveren.
Célébrations :
- La Fête des Secrétaires
- Jeudi Saint
Demain, nous fêterons les Emma.
Célébrations de demain :
- Vendredi saint
Citation :
« Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage, aujourd’hui plus qu'hier et bien moins que demain. » Rosemonde Gérard
Dicton - Proverbe :
« Avril pluvieux, mai venteux, font an fécond et bienfaiteux. »
« Si l'animal est reconnaissant, comment l'homme ne le serait-il pas ? »
Événement du jour :
1955 : Un des plus grands savants de l'humanité, Albert Einstein, meurt à l'âge de 76 ans. En 1905 il publie trois mémoires d'une importance cruciale, dont la théorie sur la relativité qui constitue une révolution dans l'histoire de la physique. Il fait bientôt partie du groupe de tête des physiciens de son temps. Chassé d'Allemagne par les Nazis, il émigre aux États-Unis et obtient en 1940 la citoyenneté américaine. Il a reçu les titres de docteur honoris causa de 14 universités, et a obtenu le prix Nobel de physique en 1921.
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Hamilton a été "franc à 100%" avec les commissaires !
Convoqué par les commissaires dimanche soir après le Grand Prix d'Allemagne, Lewis Hamilton est passé par toutes les émotions avant d'être assuré de conserver sa victoire. http://bit.ly/2A22AAJ
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Carlos Reutemann (Brabham-Ford BT 42) Grand Prix d'Allemagne - Nürburgring 1973
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Et voilà c'est le retour du Formula One Experience !!! On reprend avec le grand prix d'Allemagne sur le Hocheneimring !
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Jim Clark (Lotus 49 #R2 Ford-Cosworth) Grand Prix d'allemagne - Nürburgring / Nordschleife 1967. © LAT / Motorsport. - source Carros e Pilotos.
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Dominique Bourg « Comment ne pas se radicaliser quand l'enjeu devient vital ? »
Pour faire face à la catastrophe annoncée, le philosophe français, adepte d'une écologie intégrale, se méfie des discours apocalyptiques et du mythe technologique. Il mise plutôt sur un « renouveau de sens » pour, dit-il, « libérer les imaginations ».
La transition numérique mondiale s'accélère tandis que la transition écologique, au mieux, marque le pas. C'est sur ce constat que s'ouvre Ecologie intégrale [1], l'ouvrage que viennent de publier le philosophe français Dominique Bourg et l'économiste belge Christian Arnsperger, tous deux professeurs à l'université de Lausanne, en Suisse. Pour y remédier, les deux auteurs proposent à la société de se mobiliser au plus vite autour d'un objectif collectif qui corresponde enfin à ce qu'exige l'état de dégradation de la planète. Cette « voie de sortie » passe par une pluralité d'expérimentations - des micro-expériences citoyennes de permaculture jusqu'à la production industrielle la plus high tech. De passage à Bruxelles, Dominique Bourg s'est longuement expliqué, entre lucidité et résolution, sur les transformations qu'impose une époque très sombre.
En passant en revue vos écrits et vos déclarations publiques, l'impression prévaut que vous vous êtes radicalisé au fil des années. Est-ce correct ?
— Ce n'est pas moi qui suis de plus en plus radical, la situation elle-même s'est radicalisée. Pour toutes les questions d'environnement, il est essentiel de bien avoir l'historique des choses en tête. Si on remonte à la décennie 1990, qui débute avec le sommet de la Terre à Rio en 1992, c'est encore une époque d'optimisme. On connaît tous les courbes du rapport Meadows sur les limites de la croissance, publié en 1972, mais on pense qu'il reste des solutions grâce auxquelles on parviendra à éviter une dérive trop forte. En 1992, sur le plan scientifique, on n'a pas encore pris conscience de la persistance dans l'atmosphère des gaz à effet de serre. Du coup, on mesure mal leurs effets sur le temps long. On envisage alors le réchauffement climatique sur une durée d'un siècle, un siècle et demi. Des travaux ultérieurs vont démontrer que c'est bien plus grave. Même si on stabilise les émissions de CO2 vers 2050, et j'ai bien peur que ce soit plutôt 2070, la température va encore augmenter au siècle suivant, entre un demi-degré et deux degrés selon les modèles. Elle se stabilisera ensuite pour plusieurs millénaires, probablement cinq mille ans, et ce n'est qu'après qu'intervient un très long decrescendo. On fait face à une irréversibilité extrêmement forte et sur un temps long.
C'est là la raison de votre radicalisation ?
— Quand on suit la littérature scientifique, c'est impossible de ne pas se radicaliser. D'après un article qui vient tout juste de paraître, on risque de connaître dans quelques décennies un climat comparable à celui d'il y a cinquante millions d'années. Ce climat, le vivant d'aujourd'hui n'y est pas du tout adapté. Toutes les espèces actuelles ont traversé le quaternaire - une période caractérisée par la glace aux pôles et une alternance de périodes glaciaires et interglaciaires. Pour simplifier, à chaque cycle glaciaire long, l'ensemble des espèces vivantes s'est réfugié sous les tropiques. Là, la température n'a jamais excédé deux degrés par rapport à la fin du 19e siècle de notre ère, qui sert de référentiel. Dans les décennies à venir, on risque d'excéder les deux degrés. On va entrer dans un tunnel de variation des températures qui dépassera ce à quoi toutes les espèces vivantes actuelles sont adaptées. Prenons l'exemple des zones chaudes et humides, où la température avoisine les 31 degrés. Ces zones constituent une grande partie de la surface de la Terre. Si on approche les 35 degrés' l'accumulation de chaleur et d'humidité sature les capacités de régulation thermique du corps humain. Et on crève.
Le sommet de Rio, initiation écologique pour toute une génération, a sensibilisé le monde à la déforestation de l'Amazonie, au sort des ours polaires et des pandas. Les raisons de s'effrayer étaient déjà nombreuses, mais la question de notre survie en tant qu'humains était encore hors-cadre. Que change son surgissement à l'agenda ?
— Cette nouvelle donne change tout. Comment ne pas se radicaliser quand on s'aperçoit que l'enjeu devient vital ? Cela, je n'y pensais pas dans les années 1990. J'ai simplement accompagné l'évolution de la société et de nos connaissances. Or notre société est devenue follement destructrice, et nos connaissances se précisent de plus en plus. Une des études les plus emblématiques sur la biodiversité a été publiée par la revue PLOS One. Elle concerne les insectes volants dans une région d'Allemagne où domine pourtant un type non conventionnel d'agriculture. En vingt-sept ans, plus de 75 % de la biomasse des insectes volants y a disparu. En fait, la plupart des gens n'ont toujours pas compris la question de la biodiversité. Pour employer une métaphore simple, c'est comme si on roulait dans une voiture qui ne cesse de perdre des boulons et des pièces. A un moment, la voiture va s'arrêter.
Quel discours porter face à cet enjeu ? Evoquer sans cesse l'effondrement, la catastrophe annoncée peut s'avérer démobilisateur puisque tout est foutu, autant se réfugier dans sa cabane en attendant la fin du monde. A l'inverse, faire l'apologie des » petits gestes » entretient l'illusion qu'on peut trier ses déchets et, pour le reste, tout continuer comme avant.
— Oui, on est coincé. Il y a deux écueils à éviter. Le premier, c'est de tenir un discours exclusivement négatif : l'apocalypse arrive, on casse tout juste avant la fin de la fête industrielle, et après on crève. Le deuxième danger, c'est de faire croire aux gens que ce n'est pas si grave, et qu'on s'en sortira grâce aux technologies. Pour moi, la moins mauvaise posture est celle-ci : reconnaître qu'on vit un moment extrêmement difficile, anxiogène, avec des perspectives sombres, mais aussi la promesse d'un changement de paradigme. Pendant plusieurs décennies, peut-être un siècle, on va vivre un truc très difficile, mais il y a une espèce d'horizon plus souriant qu'on peut faire émerger. En tant qu'êtres humains, on ne peut pas faire autrement : il faut qu'au travers des nuages noirs qui s'accumulent, on voie quand même un petit horizon de lumière. Sinon, on ne fera rien.
A quoi ressemble cet horizon de lumière ?
— L'époque est tragique, parce que ce sont des difficultés annoncées. Personne n'y croit, et pourtant, à la fin de la pièce, elles vont arriver. En même temps, la tragédie n'est pas la fin de l'histoire C'est aussi un moment qui, au prix de pertes énormes, va déboucher sur un renouveau de sens. Aujourd'hui, on continue à vivre sur le paradigme moderne, celui qui naît au début du Ir siècle. Celui-ci présente le monde comme un agrégat de particules matérielles, extérieures les unes aux autres. Dans cet univers-là les animaux sont des machines, et nous, humains, nous sommes extérieurs à la nature. Le progrès se conçoit dès lors comme une dynamique d'arrachement à la nature et d'artificialisation sans limites. Ce paradigme-là subit un premier assaut au milieu du 19e siècle avec Charles Darwin l'espèce humaine est une espèce comme les autres, elle est un fruit de la sélection naturelle. Vient ensuite la révolution de l'éthologie dans la seconde moitié du 20' siècle tous les critères qui permettaient de différencier de façon tranchée l'humanité de l'animalité vont voler en éclats les uns après les autres. Le troisième coin inséré dans l'édifice de la modernité, c'est le bouleversement de la biologie végétale, qui a lieu en ce moment même. On commence à comprendre que les plantes sont encore bien plus complexes que les animaux et ne sont pas moins vivantes. La conclusion de ces trois basculements, c'est que nous, humains, nous sommes pleinement vivants, en solidarité avec tous les autres êtres vivants.
Vu le chantier vertigineux qu'implique le changement de paradigme que vous évoquez, ne serait-il pas opportun de baliser celui-ci ?
— C'est précisément pour cette raison que je me lance en politique. Je soutiens Delphine Batho, qui a été ministre de l'écologie sous la présidence de François Hollande, et qui est depuis septembre 2018 la présidente du mouvement Génération écologie. Avec elle, on prône ce qu'on appelle l'écologie intégrale. Jusqu'à maintenant, l'écologie a toujours été considérée comme la dernière roue de la charrette, des petits trucs qu'on aménage à la marge. Nous, on dit on change tout ! Les impératifs écologiques sont les premiers de tous les enjeux, parce que si on laisse dériver les choses et qu'on en arrive à une planète étuve, ça signifie que seules quelques centaines de millions d'êtres humains vivront encore à la fin du siècle. Ce serait un drame comme jamais l'humanité n'en a connu.
Votre propos fait écho à l'appel à sauver la planète publié dans Le Monde signé par l'actrice Juliette Binoche, la chanteuse Patti Smith et l'astrophysicien Aurélien Barrau qui disait : « De très nombreux autres combats sont légitimes. Mais si celui-ci est perdu, aucun ne pourra plus être mené. »
— Tout à fait. Si on laisse la situation empirer, tout ce qu'on a acquis va s'effondrer, nos droits, nos systèmes politiques. Notre manière de vivre dans ce qu'elle a de meilleur, tout ! Il est essentiel, quand on réfléchit à cette question, de se rappeler que nos droits humains sont le résultat d'une généalogie très longue liée au christianisme. Dans l'épitre aux Galates, Saint Paul écrit : ‘‘Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni personne libre' il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » Par ces paroles, il pose un horizon d'égalité et de dignité pour tous les humains. Dans ses lettres, Saint Paul indique' par ailleurs que le Christ n'est pas à l'extérieur de nous, mais en chacun de nous. Les êtres humains ont le principe en eux. Cette conviction fondera plus tard l'idée de démocratie, à l'encontre de la métaphore royale qui installe le principe au-dessus et les hommes en dessous. Dans mon esprit, ces deux notions - l'égale dignité des humains et la démocratie - restent fondamentales, même si elles doivent être actualisées.
De quelle manière envisagez-vous leur actualisation ?
— Selon moi, les droits sont conférés à l'individu en vertu de son appartenance à l'humanité, à la dignité humaine. Dès lors, toute forme de droit qui menacerait la survie du genre humain n'a aucun fondement. Si je remets en cause le genre humain en consommant comme un malade, c'est illégitime. Aujourd'hui, il nous faut réinterpréter les droits humains pour que ceux-ci ne puissent plus servir à légitimer des modes de vie destructeurs de la possibilité de vivre sur Terre. En effet, c'est notre mode de vie, compte tenu des flux d'énergie et des flux de matières qu'il draine et qui le supportent, qui est la source de toutes les dégradations sur Terre aujourd'hui. Or on ne peut pas avoir la liberté de détruire tout le vivant ! Il nous revient donc, en démocratie, de borner nos modes de vie de telle sorte qu'ils respectent notre propre humanité. En pratique, si j'interdis les 4x4, ça ne va pas blesser la dignité humaine, donc on peut avancer en ce sens. En revanche, si je vous empêche de penser comme vous voulez, si je vous interdis d'avoir la religion de votre choix, si je vous persécute pour votre vie sexuelle, je blesse votre dignité. Il faut donc absolument maintenir tous ces droits-là.
Cette question de l'agir, du programme, comment vous l'amenez ?
— Il faut comprendre que nous sommes à une bifurcation plus importante que celle qui nous a fait passer du néolithique aux grands Etats. Avec Christian Arnsperger, nous disons qu'à l'horizon 2050, on doit être revenu à une empreinte écologique qui n'excède pas les limites d'une seule planète. On propose un plan pour réorganiser toute la société en fonction de cet objectif, par paliers. Notre utopie, c'est notamment de resserrer les revenus et de revenir à un monde beaucoup plus égalitaire. Nous ne pouvons plus vivre dans un monde où huit individus cumulent une fortune équivalente aux revenus annuels de trois milliards six cents millions de personnes, selon une statistique d'Oxfam. Un monde aussi où 10 % de la population émet 50 % des gaz à effet de serre.
Lorsque Nicolas Hulot a annoncé sa démission, il a pointé son esseulement au sein de l'exécutif français. La cause écologiste n'a pas de syndicat, pas de troupes, guère de lobbies pour la soutenir.
— Nicolas Hulot a tort. Maintenant, ils sont là, les citoyens prêts à défiler dans les rues au nom de l'écologie. C'est un changement énorme. Pendant des années, je me suis lamenté sur le fait que nos problèmes environnementaux n'étaient pas accessibles aux gens. Ils ne les sentaient pas. Ces problèmes étaient mis en évidence par les sciences, par des indicateurs abstraits qui ne font pas bouger les gens. Maintenant, ça y est, on commence à les sentir. Pas depuis très longtemps. Depuis l'été boréal 2018, je dirais. Cet été, des voisins m'ont dit qu'ils suffoquaient. En 2003, la canicule concernait juste l'Ouest de l'Europe. En 2010, elle n'a touché qu'une partie de la Russie. En 2018, les vagues de chaleur concernent tout l'hémisphère Nord. Les dégâts commencent à devenir palpables, et la conscience suit, et elle va continuer à s'intensifier. Voyez les 75 000 personnes qui ont manifesté à Bruxelles pour le climat, le 2 décembre. C'est génial. On n'aurait pas eu une mobilisation d'une telle ampleur s'il n'y avait pas eu cet été caniculaire. La pétition L'Affaire du siècle en France a recueilli deux millions de signatures en deux semaines.
Beaucoup considèrent que les solutions viendront surtout du niveau local. Cela vaut-il encore le coup de s'engager dans la politique institutionnelle ?
— C'est fondamental ! Je ne suis pas populiste pour un sou. Nos problèmes d'atmosphère et de biodiversité sont des problèmes globaux. Il faut donc qu'on maille les deux, le local et le global. Je ne nourris de confiance absolue ni à l'égard des élites ni à l'égard du peuple. Ce dernier peut souhaiter des régimes orduriers, il le fait d'ailleurs allègrement en ce moment. On n'a pas obligé les gens à voter Bolsonaro. Ils ont voté Trump, ils votent Salvini, ils voteront Le Pen. Donc non, il n'y a pas de sagesse du peuple. Il est comme vous et moi, le peuple. Selon les moments, peut-être aussi selon notre libre arbitre, on va livrer la meilleure partie de nous-mêmes ou la plus dégueulasse. Les élites aussi peuvent être cinglées. On a donc besoin de mécanismes protecteurs, d'institutions, de hiérarchies, pour éviter que l'être humain donne le pire de lui-même. Moi, je conçois la politique aujourd'hui comme le déploiement de moyens pour permettre un grand nombre d'expérimentations sur différents territoires. Vu le terrible défi auquel on fait face, si on ne libère pas l'imagination, on n'y arrivera jamais. Les grandes institutions doivent définir des objectifs, viser le global, mais ce sont les gens sur le terrain qui trouvent des solutions innovantes. La base a besoin des experts et des intellectuels, et en même temps, ils ne feront jamais rien sans les gens à la base.
Dans la revue Urbanités, jean-François Caron, maire écologiste de Loos-en-Gohelle (nord de la France), défendait récemment le point de vue suivant « Construire des alternatives avec des groupes de citoyens, comme à Fribourg, c'est très intéressant. Mais la question, c'est comment, à un moment donné, cela s'inscrit sur l'ensemble de la commune, l'ensemble de l'agglomération, et comment cela fait système ? La permaculture, c'est très bien, mais quid du modèle industriel ? Pour moi, les villes en transition, ce sont des bouts d'expérimentation, passionnants, mais incomplets. » Partagez-vous son sentiment ?
— Oui, je suis d'accord avec Jean-François Caron, un maire génial soit dit en passant. L'expérimentation n'a de sens que si elle est liée à des objectifs vers lesquels on tend - resserrer l'empreinte écologique, notamment. Certaines personnes le font déjà. Je pense notamment à l'expérience Tera, dans le sud-ouest de la France, près d'Agen. Ce projet expérimental visait à l'origine à construire un éco-hameau pour relocaliser la production vitale pour ses habitants. Assez vite, les initiateurs de Tera ont perçu les limites du projet on ne va pas construire une réserve d'indiens isolée du reste du monde. En pratique, ils ont réussi à tellement bien s'entendre avec les habitants des environs qu'ils font évoluer l'ensemble du village vers un éco-village. Et maintenant, ils vont essayer de répandre ce modèle ailleurs. Il faut donc mailler avec l'ensemble de la société, et pour y arriver, il faut arrêter de dénigrer le politique et s'en servir comme d'un levier. L'opposition à venir, c'est celle entre les fachos, c'est-à-dire tous les populistes, et les écolos. Je suis confiant, car on assiste à un bouillonnement d'idées et d'initiatives inédit. On est à la veille d'un basculement de civilisation. Mais il va se faire dans la douleur.
Comment minimiser cette douleur ?
— On va devoir se retrouver, se ré-enraciner. Le respect du pluralisme, notamment religieux, sera très important. Nous, humains, sommes voués à être à la fois dans le local et dans le global. Il faut donc qu'on apprenne à cohabiter, avec nos différentes cultures, tout en restant soi-même. Or on voit aujourd'hui une extrême droite qui arrive partout au pouvoir. c'est extrêmement dangereux pour l'humanité, car ces gens-là focalises sur la haine de l'autre n'ont systématiquement rien à foutre de l'environnement. Moi, je veux au contraire promouvoir l'amitié entre des cultures différentes. L'Indonésie est exemplaire en ce domaine. C'est un pays, comme jadis l'empire de Rome, où énormément de religions cohabitent de façon pacifique. Quand une religion devient dominante, elle donne le pire d'elle-même. La monoculture religieuse et spirituelle est le pire qui puisse nous arriver.
Voulez-vous dire que la transition écologique ne pourra s'accomplir sans une conversion de notre esprit ?
— Oui, ainsi que par un regard différent sur les choses et sur les autres. La science redécouvre aujourd'hui que les plantes et les arbres communiquent, que les arbres émettent une vibration interne, avec laquelle l'être humain peut entrer en résonance. Le consumérisme n'a plus de sens aujourd'hui. Il faut tous qu'on s'en détache. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, car on baigne dedans, on est entouré d'une abondance d'objets. Mais j'ai rencontré des professionnels du marketing qui font des « focus groupes », ils m'ont dit que le ressort consumériste est brisé. Les gens savent maintenant que la consommation ne les rendra pas heureux. Cela ne veut pas dire qu'on consomme moins, mais le ressort psychologique qui donnait du sens à la consommation s'est déjà effrité. C'est déjà fondamental. Le reste viendra après.
Vous vous agacez parfois de la focalisation générale sur la question climatique, au détriment d'autres enjeux environnementaux. Pourquoi ? N'est-ce pas l'urgence prioritaire ?
— En effet, cette focalisation sur le climat est parfois pénible. Le climat, ce n'est jamais que les conditions optimales pour l'épanouissement d'un certain type d'espèces. Donc si vous flinguez le vivant, ce n'est même plus la peine de vous soucier du climat. Soigner le climat en agressant la biodiversité, comme le préconisent les économistes du Giec, c'est non moins dangereux. Dans cette perspective, on n'arrivera pas à limiter le réchauffement à deux degrés sans recourir aux émissions négatives. De quoi s'agit-il ? L'idée, c'est de pomper du CO2 dans l'atmosphère en produisant en masse de l'électricité avec de la biomasse, qu'il s'agisse de plantes de type miscanthus ou d'arbres à croissance rapide. En faisant ça, vous contribuez à détruire la biodiversité. Et puis, on n'a pas qu'un problème de climat et de biodiversité, on a un problème de ressources diverses. Il faut avoir une vision d'ensemble, c'est le coeur de la pensée écologiste.
Propos recueillis par François Brabant - Imagine magazine
[1] Dominique Bourg : l’écologie intégrale
« Les problèmes sont à la fois écologiques et sociaux »
« Etre riche c’est pouvoir s’accaparer plus de ressources naturelles que d’autres. »
Une très intéressante interview sur Sismique
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L'effondrement des voyages aériens allemands devrait propager la honte des vols
Les préoccupations croissantes concernant les émissions de carbone peuvent modifier les habitudes de voyage dans la plus grande économie d’Europe, car les chiffres des aéroports allemands montrent une baisse constante du nombre de passagers empruntant des vols intérieurs.
Le nombre de personnes voyageant entre les villes allemandes a chuté de 12% en novembre par rapport à un an plus tôt, selon le groupe industriel ADV, marquant une quatrième baisse mensuelle consécutive et reflétant un modèle émergeant en Suède, où la militante adolescente Greta Thunberg a mené une campagne contre l'air. transport. La société ferroviaire Deutsche Bahn AG a quant à elle déclaré un nombre record de passagers.
Les données s'ajoutent aux signes que le changement climatique favorise un sentiment de soi-disant honte volante - flygskam en suédois - qui pousse certaines personnes à éviter l'une des formes de voyage les plus polluantes. Le phénomène peut être plus avancé en Allemagne après que le pays a subi une série d'événements météorologiques extrêmes qui l'ont vu secoué par des orages et le Rhin s'assécher.
«Pour moi, c'est la preuve d'une prise de conscience accrue du changement climatique se tournant vers l'action des consommateurs», a déclaré Stefan Goessling, professeur d'économie des transports à l'école de commerce de l'Université de Linnaeus, en Suède, qui a analysé les données et constaté un ralentissement de l'économie, des grèves et des pannes de compagnies aériennes. Expliquez pas complètement la crise.
Les chiffres interviennent alors que le parlement allemand vote sur un paquet climatique comprenant une réduction des taxes visant à réduire le prix des billets de train d'environ 10%, tandis que la Deutsche Bahn vise une électricité 100% renouvelable pour alimenter les trains sur les routes interurbaines. Le mois dernier, UBS a déclaré que l'Europe pourrait être prête pour une «renaissance du train à grande vitesse», la déréglementation facilitant de meilleurs services et des tarifs moins chers.
Les chiffres de l'ADV montrent que les vols en provenance d'Allemagne vers d'autres pays européens ont également diminué dans une moindre mesure, ce qui pourrait s'expliquer par le manque de compétitivité relative du rail sur les trajets bien au-delà de quatre heures.
Le décompte des trajets intercontinentaux, où le transport de surface n'est pas pratique et qui sont souvent moins discrétionnaires que les trajets plus courts, impliquant des visites familiales et des événements commerciaux clés, continue d'augmenter.
Les tendances allemandes reproduisent celles observées en Suède, où l'opérateur aéroportuaire Swedavia AB a signalé en avril que le nombre de passagers avait baissé pendant sept mois consécutifs, tout comme l'opérateur ferroviaire public SJ affichait des chiffres records.
En Allemagne, qui a subi des vagues de chaleur records et une baisse du niveau des eaux du Rhin qui a interrompu les expéditions de barges, provoqué des pénuries de carburant et perturbé la production d'électricité, l'environnement est devenu le problème le plus pressant parmi les électeurs, selon le sondeur Matthias Jung. Le soutien aux Verts du pays est supérieur à 20%, derrière seulement les démocrates-chrétiens de la chancelière Angela Merkel.
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La Fédération internationale de l’automobile examinera le 24 septembre dans ses locaux parisiens l’appel d’Alfa Romeo Racing contre les pénalités reçues à l’issue du Grand Prix de Formule 1 d’Allemagne, ont annoncé vendredi l’écurie et la FIA.Initialement 7e et 8e à Hockenheim, le Finlandais Kimi Räikkönen et l’Italien Antonio Giovinazzi ont écopé de 30 secondes de pénalité chacun pour des irrégularités au départ qui les ont rétrogradés en 12e et 13e positions au…
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