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#il est pas bo
tzurim · 2 years
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HOSEOK BTS 'Speak Yourself in Wembley' for @farascha
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 126
J'émerge seul dans mon lit, il est 13h passée. Remise en mémoire de la touze de la veille, je jette un coup d'oeil à la piscine, pas de trio en vu. Je croise Manu qui me demande où j'étais la veille. En deux mots je lui dresse le tableau. Il me dit que j'aurais pu le brancher sur ce coup. Je lui dis que la prochaine touze je ne l'oublierais pas. Nonchalamment, j'étire mes muscles dans un crawl paresseux. A cette heure de la journée les beaufs déjeunent et j'ai la paix. Une heure plus tard je sors et tombe sur Bo-gosse et sa moitié en terrasse à me mater. Je m'assois à leur table et d'un regard interroge le plus vieux. Réponse aussi brève : le trio. OK ! Manu se ramène avec un croc et une bière fraîche. Sans un mot, je déjeune. Bo-gosse parle. Il me dit que nous pourrions aller à notre rendez vous sur la plage. J'aime cet humour !
Je monte chercher clef de voiture, huile et drap de bain. Ils sont dans le hall à m'attendre. Bo-gosse me montre sa caisse, une Audi A5 RS flambant neuve. Je montre la mienne, BM Z8 ! Il me fait un signe qu'il a compris et il démarre. Je le suis. Volontairement, il me laisse voir sa moitié se pencher sur lui et je n'ai pas besoin de beaucoup d'imagination pour savoir qu'il lui fait une pipe. ;Bo-gosse se gare, je place le Z8 à coté et kpote. Pas la peine de faciliter le travail des voleurs. Malgré ses efforts, Bo-gosse bande encore à moitié quand il me rejoint. Promenade jusqu'à la plage et direct à l'océan. Retour aux serviettes. Moitié se met nu et attaque la protection de Bo-gosse. Ce dernier me propose ses services. OK et le voilà qui me huile le corps. Ce n'est pas un étalement de crème, c'est un réel massage délassant.
Nous passons l'après midi avec au maximum 20 mots de chacun de nous. Quel calme ! Et nous prenons un ton de plus coté bronzage. Moitié nous quitte quelques instants pour aller voir qui traine dans les sous bois. A son retour, nous avons droit à un résumé : une bonne partie de vieux même pas beaux, quelques jeunes en manque de bites, il s'est fait sucer par trois mecs mais sans aller jusqu'au bout, et il est tombé deux fois sur de l'action mais rien de transcendant. Comme nous partions, Bo-gosse me propose de passer chez eux. OK. Je les suis jusqu'à une villa assez proche de celle de la veille. Portail automatique et nous rentrons les voitures. Grosse villa avec piscine. Plongeon direct dans cette dernière histoire de se dessaler. A notre sortie, Moitié nous sert un apéro et s'attaque à nos shortys de bain. Je laisse faire et bientôt ma bite disparait entre ses lèvres. Il me fait durcir avant de passer à son mec. Quand ce dernier est bien dur, il alterne entre nos deux queues. Il suce bien ce petit ! Penché sur nous, il arrive à avaler correctement mes 20 cm (normal puisqu'il arrive à bouffer les 24 de son mec !). C'est très bon et fait baisser la tension psychologique qui régnait entre nous.
Je confie à Bo-gosse qu'il a un expert dans Moitié. Il me répond qu'encore là ce n'est qu'un avant goût. Je n'ai pas encore finit mon verre que ce dernier m'enkpote et s'assoit sur ma bite. Avec juste le gel de la kpote, il arrive à s'assoir sur mes cuisses. Arrivé au plus bas, ma queue au plus profond de lui, il me fait un ballet avec son anus, succession de serrages et relâchements, un véritable massage de bite. Il se relève et part s'assoir sur son mec. Je regarde et les 24cm disparaissent avec la même facilité. Moitié va entretenir nos raideurs comme ça pendant un bon moment jusqu'à ce que Bo-gosse me demande de le rejoindre. Oui, j'ai bien compris, il veut que nous double sodomisions Moitié. Docile Moitié se couche sur son mec et j'enjambe la méridienne sur laquelle ils sont installés. Je pose mon gland à l'entrée de Moitié et attend que sn mec ressorte.
Il le fait ne laissant que le bout de son gland dedans. Je colle le mien enkpoté sous sa couronne et dans un même mouvement, nous pénétrons Moitié. Léger soubresaut de sa part, mais nous l'investissons relativement facilement. La présence de nos deux queues lui tire quelques gémissements incontrôlés. Mais vu le coeur qu'il met à se limer dessus, c'est du plaisir qu'il en tire. Ma bite reste bien collée contre celle de Bo-gosse. Comme je me souviens de ma propre saillie, la veille, je me couche sur Moitié et mord un de ses trapèzes. Son gémissement se transforme en cri de plaisir. Bo-gosse me fait un clin d'oeil. Je prends les choses en main si on peut dire et fixe Moitié sur le torse de son mec, ne prenant pas ses protestation de couilles écrasées en compte. Dans cette position, je peux limer activement le trou massant de mon gland la hampe qui l'occupe avec moi. Ça a l'air de bien leur plaire. Je glisse sur tous mes 20cm et monte en pression sous l'action massant de son sphincter. Bo-gosse me souffle qu'il ne va pas tarder. J'accélère et m'enfonce une dernière fois à fond et dans une dernière morsure, je me vide. Bo-gosse remplit le cul de Moitié en direct et ce dernier tapisse les abdos de son mec. Je me retire avant de débander. C'est amusant de sortir d'un cul Kpoté avec plein de sperme dessus, comme si la kpote avant craquée. Je vérifie quand même mais c'est bien le sperme de Bo-gosse qui est dessus et le mien dedans. Moitié se dégage et lèche son sperme. J'admire la maitrise de son anneau, quand il a déculé son mec, pas une goutte de sperme n'est sorti, beau travail.
Nous avons finit l'apéritif plus calmement. Comme la villa ne dispose que de quoi faire les petits déjeuners et les apéros, Bo-Gosse me propose un restau à Royan. OK. Je pars à l'appart m'habiller et ils passent me prendre. Quand j'arrive à la résidence le trio me saute dessus pour me demander où j'étais. Je n'ai pas de compte à leur rendre ! Ils m'énervent et je les éjecte un peu durement. Short long kaki, chemisette blanche et baskets de marque, je suis prêt. Je m'engouffre à l'avant de l'A5, et nous partons. Pas mal comme caisse, silencieuse, confortable... Moitié se détache pour venir m'enlacer avec le dossier et me faire des bisous dans le cou. Engueulade de Bo-gosse, non pour les bisous mais pour la ceinture de sécurité. Il était temps nous passons devant une paire de Motards. Le diner est parfait même si notre trio attire les regards. Parmi une majorité de quinquagénaires bedonnants avec mémère et parfois petit dernier aux basques, il est vrai que sortons du lot ! Les serveurs ne s'y sont pas trompés et nous sommes servis avec un zèle à rendre jalouses les autres tables. J'en apprends un peu plus sur le couple qui m'invite. Bo-gosse a une galerie d'art à Paris et Moitié est un de ses artistes. Ironiquement je demande s'il peint avec son sperme, ce dernier sans se démonter me dit que cela lui arrive d'en mélanger avec ses couleurs. Nous en rions tous les trois.
A la fin du dîner comme Bo-gosse tient à m'inviter, je laisse le pourboire. Comme ils étaient deux à nous servir, j'abandonne 2 x 50€, pas question de paraitre pingre, et puis c'est moins que le montant du dîner. Le jeune serveur me rattrape avant la porte pour me dire que la note avait déjà été payée. En souriant je lui dit que c'est leur pourboire. Il me remercie. J'offre à mes nouveaux amis un dernier verre à l'appart. Je commande les cocktails au restau du rez-de-chaussée. Bo-gosse trouve cela très pratique. Manu nous les apporte et comme il a terminé son service il a ajouté un quatrième verre et me demande s'il peut rester. Je n'ai pas le temps de répondre que Bo-gosse dit oui. Je fais les présentations et dis de se mettre à l'aise. Bo-gosse jaillit de ses vêtements pour nous apparaître en slip ES, Moitié de même et Manu en shorty Hom. Beau joueur je quitte mes habits pour rester en Aussiebum.
Comme nous sirotions nos cocktails, Manu et Moitié ont trouvé que cela manquait d'action et je me suis retrouvé avec Moitié entre les jambes qui s'attaquait à mon slip quand Manu faisait de même sur Bo-gosse. L'élastique sous les couilles, cote à cote, nous nous sommes fait bouffer la bite. Manu ne m'a pas fait honte et sans problème à pris les 24cm dans sa gorge. Moitié qui pensait surement être un des seuls à pouvoir le faire en a été un peu jaloux. En me penchant, j'ai mis ma main dans le slip de Moitié pour aller lui tâter la rondelle. Comme quelques heures auparavant, elle était souple et prête à s'ouvrir.
Manu étant dans le même état et comme je désirais de nouveau prendre les 24cm dans mon trou, je propose une brochette où Manu enculerai Moitié, tout en se faisant prendre par moi-même qui subirait la loi de Bo-gosse. Aussitôt proposé aussitôt mis en application. Sur le tapis, nous nous enfilons à la suite. C'est quand même très bon d'être en sandwich. Quelques instants pour trouver le rythme successif qui fait que nous en avons tous pour notre plaisir. J'apprécie fortement les 24cm de Bo-gosse qui me défoncent le cul. Les mouvements s'amplifient et nous nous séparons en deux couples. Je prends mon pied à me faire démonter l'anus et Manu lui apprécie d'être actif (position qu'il a rarement). Décollés, alors que je me fais prendre par derrière, je me rapproche de Manu qui baise Moitié de face. Ma bite prend place au dessus du visage de Moitié qui me bouffe les couilles pendant que Manu penché en avant me suce la queue. Là ça devient très très bon ! C'est dans cette position que nous jutons tous les uns après les autres. Je jute sur les épaules de Manu, je contracte mes muscles anaux et essore la bite de Bo-gosse. Manu se retire juste à temps pour gicler sur le ventre de Moitié qui y ajoute son propre sperme.
Remerciements réciproques pour la soirée et seul Manu reste avec moi. Je ne veux pas rester seul en ce moment.
Nous nous sommes revus plusieurs fois avant que la semaine ne se finisse et que je rentre à la maison. Nous serons amenés à nous revoir, j'ai pris l'adresse de la galerie de Bo-gosse. Le trio de copains m'ont fait la gueule de m'être réservé mes nouveaux amis. C'est leur problème, après tout, ce ne sont que des rencontres de vacances !!
Retour à la maison. Marc est en déplacement, je me pose et réfléchis un peu à mon avenir.
JARDINIER
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chifourmi · 1 year
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Je suis enfin rentrée de ce voyaaaage. C'était beaucoup trop intense. J'ai énormément de négatif en tête parce que comme d'hab j'aime bien me saboter MAIS je vais essayer de me concentrer sur le positif.
Déjà, j'ai parlé à pleins de gens avec qui j'avais jamais parlé. C'est l'un des rares points positifs quand t'as pas de vrais potes, tu vas plus vers tout le monde. Puis j'ai bien vu la complicité que les gens avaient entre eux, c'était bo, et je me suis dit que c'était en énorme partie de ma faute si je n'avais pas de vrais potes dans mes études parce que j'ai très vite abandonné et séché.
Mais y a un truc que j'ai compris chez moi. Pour moi, la terre entière est ma pote et c'est seulement si t'as des comportements que je kiffe pas que je me dis que je ne t'aime finalement pas. Sauf que ça fonctionne pas comme ça chez les gens normaux?! Eux ils partent avec une base neutre et apprennent à connaître la personne et c'est par la suite qu'ils voient s'ils l'aiment ou pas.
Bon c'est déjà la fin de la liste en fait parce que flemme de revenir là dessus. Je suis contente que ce soit passé et comme d'hab j'ai plus que hâte de finir mes études.
(01/04/2023)
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flammine · 6 months
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Un nouveau drama pour ce mois d'octobre (oui ca faisait longtemps que je n'avais pas fait de fiche; beaucoup de choses me sont arrivées dernièrement et je suis épuisée). Voici donc:
Titre: A good day to be a dog / Une bonne journée pour être un chien
Drama Coréen de 14 épisodes de 1H environ
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Genre: Comédie, Romance, Surnaturel (Humain-Chien)
Quelques acteurs:
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Histoire:
Han Hae Na (Park Gyu Young) est enseignante de littérature coréenne au lycée. Elle souffre d'une malédiction très particulière : si elle embrasse un homme, elle est condamnée à se transformer en chien chaque nuit, bien qu'elle reprenne sa forme humaine le matin. Il n'y a qu'un seul moyen de rompre la malédiction : recevoir un baiser de l'homme qui l'a embrassée... pendant qu'elle est sous sa forme de chien !
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Elle a le béguin pour Lee Bo Kyum (Lee Hyun Woo), un collègue qui enseigne l'histoire dans la même école. Elle est éprise de lui, affirmant même qu'il est la seule raison pour laquelle elle veut continuer à venir au travail tous les matins.
Mais un soir, ivre, elle embrasse Jin Seo Won (Cha Eun Woo), un autre collègue masculin, pensant qu'il s'agissait de son coup de cœur.
Malheureusement pour elle, Jin Seo Won est terrifié par les chiens en raison d'un événement traumatisant survenu dans son passé et maintenant Han Hae Na doit trouver un moyen de l'amener à l'embrasser sous sa forme de chien, sous peine de passer le reste de sa vie en tant que chien !
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Avis perso: Bon début pour ces 2 premiers épisodes sortis. Une relation inattendu avec des évènements inattendus et cocasses bien sûr, c'est divertissant :)
Trailer:
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Pour le voir:
Wiki ou Dramacool
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steff-02 · 7 months
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Ce matin on se réveil…avec des courbatures. Encoooore ! Zéro amélioration par rapport à hier. On se dit alors qu’on va prendre un de ces bus touristiques qui font le tour de la ville comme ça pas trop besoin de marcher.
On a choisi de faire la ligue bleue, elle dure environ deux heures. Le tour commence sur le Victoria & Alfred Waterfront (on a d’ailleurs appris que nombreux sont les gens à se tromper ou à penser qu’il s’agit d’une erreur car le mari de la reine Victoria s’appelait Albert. Mais c’est son fils, Alfred, qui a posé la première pierre de la jetée. C’est pour cela que son nom a été repris). En quittant le port, on nous explique qu’à l’époque, pour que les marins aient leur montre toujours à l’heure, tous les jours à midi un coup de canon était tiré à Signal hill. Et aujourd’hui encore cette tradition est perpétuée (sauf le dimanche). On comprend mieux les détonations 😂😅. Nous poursuivons notre route et quittons le centre ville. Nous passons devant l’hôpital Groote Schuur, très connu car, en 1967, le Dr. Christiaan Bernard a réussi la première transplantation cardiaque. Nous partons ensuite vers les vignobles de Constantia. Tous le long de la route ont été planté volontairement des chêne-liège, pour assurer la production de bouchon pour le vin. Il y a une ligne de bus qui fait le tour des vignobles pour aller déguster des vins. Dommage que je n’aime pas trop le vin 🍷, ça aurait été super intéressant ;) c’est une région assez huppée, il y a que de belles et grandes maisons. Toutes sont entourée de grandes palissades surmontées de plusieurs rangées de fils électriques. On se demande si c’est pour prévenir des cambriolages ? Oui mais pas ceux des humains…c’est pour les singes. Il n’est pas rare que ces jolis petits animaux ouvrent les portes ou les fenêtres des habitations pour se servir de nourriture et tour saccager sur leur passage…😣🐒 Nous arrivons gentiment à Hout Bay, quartier également assez huppé en bord de mer. Sur ces hauteurs, le petit hameau (presque bidonville) de Imizamo Yethu, en français : Par la lutte collective. Le contraste est choquant. Nous finissons notre tour dans les quartiers de Camps Bay et Clifton, c’est le quartier de la jetset à Capetown 😎. Le bus nous dépose sur la jetée et nous continuons notre visite à pied.
Nous nous rendons à Bo Kaap, un quartier haut en couleur au cœur de la ville. C’est le quartier des Malais du Cap. Les descendants des esclaves de l’actuelle Malaisie, Inde et Indonésie. Nous passons bien sûr voir la gare centrale. Malheureusement il y a des portiques pour accéder aux quais et les dames ne m’ont pas laissé approcher les trains de trop prêts 🤷🏽😢 on traverse la ville pour rejoindre la voiture qu’on a laissé sur la jetée et on file à l’hôtel en espérant voir le coucher de soleil depuis le toit ! Malheureusement il est caché derrière les nuages…mais on boit quand même un petit verre de rosé face à l’océan 🥂🌊
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Journée manuelle pour la team de choc ! #DIY (Do It Yourself pour les mamans perdues)
Petit festival des ombrelles à Bo Sang aujourd'hui ! On arrive vers 10h30, toutes contentes (oui, bon, on n'était pas des poules ce matin), et on est accueillies par un petit village tout calme tout meuhgnon avec des ombrelles absolument partout.
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On commence par visiter l'atelier de confection des ombrelles en bambou, les dames qui travaillaient avaient une dextérité et une force à faire pâlir notre masseur de l'autre jour.
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En se baladant un peu, on tombe sur un temple (quelle surprise ! On sait que ça vous manque, alors on vous le met quand même en photo. Même qu'il a les murs extérieurs peints et que c'est quand même carrément la classe) dans lequel ils font un atelier de confection des ombrelles pour tout le monde 🥰 on est parties de la structure en bambou et on a tout confectionné par nous mêmes (sans aide non non non)
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Ensuite, petite procession de mesdames en costumes d'époque, ombrelles d'époque, et Vélib' d'époque.
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Vu que c'est un village de l'artisanat, on s'essaye également au délicat art (de bourrin) de sculpture sur bois ! Bon alors deux points à noter :
- quand elles tapent comme des furax sur leurs planches, ça fait des fleurs délicates toutes en arabesques. Quand nous on tape avec finesse (n'est ce pas) et tout à fait pas dans l'axe, ça fait des pâtés et des échardes.
- ne pas mettre mes lunettes dans mon t-shirt avant de me pencher, on voit le nombril par mon décolleté. On apprend, on apprend.
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Pour finir le festival (le village a changé de visage à la tombée de la nuit, il a gagné 800% d'échoppes à la sauvette et de visiteurs), on observe petits et grands en costumes traditionnels effectuer les danses locales ! A noter que c'est leeeeeent comme danse, très contemplatif et avec parfois des tout petits gestes de mains assez frustrants, mais assez élégant :)
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Et en partant, petite surprise, un artiste local a peint un petit quelque chose sur un mur ! (Bon, clairement, il n'est pas au niveau de nos oeuvres d'art, mais on ne peut pas lui en vouloir)
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we-can-be-heroes · 11 months
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(Cousin story ci-dessous, might delete it too)
En allant à l’enterrement je me retourne et je vois mon ptit cousin dont j’étais super proche quand j’étais petit e, j’ai eu un instant de choc puis j’l’ai serré fort dans mes bras. I loved him so so much growing up, j’étais grave protective vis à vis de lui, et puis je relatais trop à lui aussi même si il était bien plus jeune, aussi j’étais absolument sûre qu’il était queer depuis qu’il avait genre 4 ans ptdr et well…. Aujourd’hui il était tout bo et rempli de tatouages et de piercings lol on s’est regardés comme le meme de spiderman pour le septum meme si ça fait 10 ans que j’ai le mien, (deuxième personne dans la famille qui en a un, pendant des années quand je venais rendre visite à la famille je rentrais le mien dans mon nez). Je crois que j’ai vraiment ressenti son absence dans ma vie toutes ces dernières années je sais pas à quel point il le sait. Ptdr quand j’étais enfant j’étais vraiment en mode si n’importe qui touche à mon bb, moi qui suis moi même un bb vous casserai absolument la gueule, he was SO smart about EVERYTHING depuis tout petit il a toujours eu des périodes de fixettes sur des sujets grave complexes qu’il connaissait sur le bout des doigts, en mode il savait nous parler de manière trop précise des nuages de poussière dans l’espace quand il avait littéralement 4 ans….??? Bref he’s the little bro I never had and I know I’m the older sibling he never had too et je suis trop heureuxse qu’il existe même si il s’isole tout le temps et que notre famille est terrible ptdr et que moi aussi je m’isole tout le temps et qu’on habite à perpét l’un de l’autre, je continuerai d’essayer de lui écrire et de le voir. Bref tout ça pour dit que théoriquement on est sensés se voir mardi et que je l’aime de tout mon coeur même si je sais plus rien sur sa vie 💯👍
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havaforever · 9 months
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OPPENHEIMER - Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris de domination et de pouvoir absolu.
Avec ce film, Christopher Nolan embrasse clairement les films de l'Âge d'Or Hollywoodien : du biopic opulent à la reconstitution d'époque exemplaire et au casting all-star. Un classicisme global où on explore la vie d'une figure historique importante (son œuvre, les retombées politico-médiatiques et l'impact de son entourage), mais évidemment avec la patine de Nolan (la première heure opère sur 3 timelines différentes, tandis que la dernière heure sur 2 avec autant de points de vue).
Et si cette structure peut paraître complexe sur le papier (ou dans l'amorce du récit), le tout fait finalement sens (le récit aurait été complètement imbuvable si narré chronologiquement) tout comme l'usage du noir et blanc (minoritaire) pour aborder un point de vue extérieur à celui de Robert Oppenheimer.
Passé cela, effectivement on n'est pas submergés d'émotion, le personnage d'Opi est un peu caricatural, sa complexité est un peu simplifiée sinon soulignée, mais il y a une très grande matière à réflexion, et en définitive pas trop de réponses toutes faites aux enjeux monumentaux que la construction de la Bombe Atomique a soulevé pour l'éternité.
Oppenheimer fait office de vraie étude de personnage vis-à-vis de son protagoniste, ce qui en fait donc aisément un des meilleurs personnages de toute la filmographie de Nolan, même si ce n'est pas le meilleur rôle de Cillian Murphy, un peu trop lisse pour tant de torture intérieure. C'est au final régulièrement passionnant, érudit, et globalement bien interprété (mes favoris étant Benny Safdie, Matt Damon, Emily Blunt). Sans oublier de saluer Ludwig Goransson qui livre probablement la plus belle BO de l'année.
Pour le reste, c'est du grand cinéma, une image léchée, des séquences à couper le souffle, et un malaise persistant, tout à fait respectable, lié à la volonté de ne pas en finir avec la question beaucoup trop douloureuse que soulève le réels motivations de la recherche et du développement scientifique. Les intérêts des scientifiques eux-mêmes sont confus, mélangés; entre gloire, réussite, déboires, responsabilités et fuite en avant, la puissance technique produite par le génie des hommes, reste ce qu'il y a de plus menaçant pour l'humanité. Les progrès qui nous mènent sur la Lune ne font pas toujours rêver, ils sont encore plus effrayants que la peur d'une nature qui potentiellement peut toujours aussi se déchainer.
On ne sort pas indemnes relativement à tous les enjeux littéralement étouffants qui nous saisissent; la vie et la mort restent aussi paradoxalement liées dans la bombe atomique que les ondes et les corpuscules au cœur des atomes qui la composent. Le prix de la Guerre ne se mesure pas seulement aux nombres de victimes qu'elle fait à chaque fois, mais aussi à la façon dont elle change le monde et la vie de ceux qui restent.
NOTE 16/20 - Malgré tout ce que les hyper spécialistes du cinéma et/ou de Nolan en diront.
Un impressionnant récit dédaléen où chaque moment, même les plus éloignés, entre en écho, s'interpénètre et tente de percer à jour le secret de ce physicien devenu la figure nébuleuse d'une humanité de plus en plus tentée par son autodestruction. Plus que la course contre-la-montre pour l'arme atomique engagée par l'Amérique contre l'Allemagne nazie, c'est le regard riche, ambigu et complexe que Christopher Nolan porte sur Robert Oppenheimer qui passionne.
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samsanglebuc · 11 months
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La geste de Dame Katan et du chevalier Mandalore (suite)
Deuxième chant : renouveau
Le poète :
En son château d'exil Dame Katan est mi-sise
Sur son trône alanguie plus de feu qui l'anime
Elle a du renoncer à des brûlures exquises
« Plus de souffle pour moi qui les braises ranime ! »
Quand le preux Din Djarin se présente en audience
En conseil et recherche d'agir superstitieux
D'amertume Bo Katan prend comme une impudence
La requête du preux et congédie sur ce.
Mais quand à tire d'aile pense t elle « encore lui ! »
Un émois tout brûlant surgit en mots de haine
Qui bascule aussitôt que l'enfant lui sourit
En passion de sauver Din qui se trouve en peine
Sous les cendres éteintes des ruines de Sundari
Lors s'éveillent tes braises reine de Mandalore
Et le fluide fielleux de Cyborg est tari
Pour qu'en Djarin la vie puisse couler encore
Chant troisième : la foi
Din :
Sans le credo que sommes nous ? Dit le guerrier tout à sa quête
Ton feu sans vie ta foi consume mais au baptême tu peux renaître
Aux eaux vivantes conduis moi la rédemption nous est offerte
Prêtons serment en notre nom et au nom de tous nos ancêtres
Chant quatre : conversion
Le poète :
Il perd pied le guerrier et les eaux le submergent
Car de foi il n'avait qu'un baptême de raison
Quand la Dame incroyante voit plus loin que la berge
Des tréfonds Mythausore sera son oraison
Chant cinquième : jardin d'Eden
Dame Katan :
L'oppression qui revient renforce l'unité
Et nous trouvons refuge en réhabilités
Nos demeures en exil nous quitterons enfin
Les tombeaux céderont à la joie des couffins
Mandalore ! Mandalore ! Me voici près de toi
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Ta demeure sera mienne
Vois surgir de partout nos enfants qui reviennent
Nos mains ont trop versé de sang Mandalorien
Le sabre qui fut tien sera de fait mon bien
Plutôt que de soumettre j'ai choisi d'être offerte
Il se dresse soudain pris dans ma main experte
Mandalore ! Mandalore ! Seras tu tout à moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Vois mon large giron
Guerriers et orphelins en mon sein nicheront
Mais le temps a passé je me suis desséchée
Un règne bien court et d'égoïsme entaché
Ce sont nos divisions qui peuvent nous détruire
Je crains de n'avoir plus qu'un sourire pour séduire
Mandalore ! Mandalore ! Veux tu encore de moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Si je n'ai que cette arme
Offrirais je à mon peuple autre chose que des larmes ?
Chant six : ascension
Din :
Ce que je sais du sabre noir c'est toi qui me l'a tout appris
Mais sache que pour moi ou mon peuple ce qui importe ce n'est pas
Un lignée ou bien un titre qui à nos yeux auront du prix
Mais bien plutôt la flamme en toi qui sera guide de nos pas
C'est bien l'honneur la loyauté et la flamme du tempérament
Qui font que Dame Bo Katan je me mets tout à ton service
Pour que ta chanson soit écrite je puis me soumettre au tourment
De ne vouloir à tes côtés n'offrir rien d'autre que délices
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kabbal · 1 year
Note
Prête ? 1, 3, 4 (for Rubrum), 7, 12, 23, 29 (pour ta GotG AU), 32, 41, et 49? :3
mais what belphe tant de questiooooons
1. What fic of yours would you recommend to someone who had never read any of your work? (In other words, what do you think is the best introduction to your fics?)
Question compliquée, parce que j'ai écris sur une chiée de fandoms. Pour mes fics Kaamelott, qui représentent un peu moins de la moitié de mes fics actuelles, je dirai qu'un bon point de départ est Figures Troubles parce que ça représente bien ma prose et mon style d'étude de personnages.
Pour mon fandom actuel (Call of Duty), The House of Denial est le point de départ de beaucoup de headcanons/réflexions sur cet univers.
3. What are some tropes or details that you think are very characteristic of your fics?
Un certain ton doux-amer, avec des gens qui essaient d'être heureux et y arrivent plus ou moins bien selon les cas. Aussi j
J'adore également explorer le thème de la reconstruction, et également celui du désir (celui-là peut être aussi comique que angsty)
4. What detail in Rubrum are you really proud of?
à par le fait que c'est une des longfics que j'ai réussi à finir? voyons voir..... j'aime bien la tension romantique que j'y ai mis. C'est qualitatif, ça hohoho
7. Any worldbuilding you’re particularly proud of?
Ma fic What a bunch of A-holes a plein de petits détails de worldbuilding que je me permet de rajouter sans trop me soucier de si c'est dans le wiki du mcu ou non. ça nous donne la spécialité culinaire de Xandar aka la pomme de mer.
12. Are there any tropes you used to dislike but have grown on you?
Pas vraiment. Je suis du genre à garder mes détestations assez longtemps. Il y a eu des choses que j'ai appris à aimer mais c'était toujours des choses que je ne connaissais soit pas, soit sur lesquelles j'étais neutre.
23. What’s a trope, AU, or concept you’ve never written, but would like to?
Un jour je vais écrire de l'omegaverse et vous serez pas prêts lol
29. What songs would be (or are) on a playlist for the gotg au? Explain your choices if you want!
Réponse facile: si c'est dans la BO des films, c'est dans la fic. Celle du chapitre prochain (que j'ai toujours pas commencé à écrire honte à moi) est Hooked on a Feeling!
32. What’s your ideal fic length to read?
Entre 3 et 10k. Assez pour avoir de quoi se mettre sous la dent, mais pas trop long non plus.
41. Link a fic that made you think, “Wow, I want to write like that.”
Tu m'as envoyée chercher dans mes favoris sur ffnet tu te rends compte
Anyway je vous mets Comédie de la soif de Kandai qui a fondamentalement changé la manière dont j'écrivais quand je l'ai lue 15 ans. Sachez que je dois tout à cette autrice hvjvjvjvvkfxx
49. What are you currently working on? Share a few lines if you’re up for it!
Un gros machin sur un personnage de Call of Duty qui quitte l'armée (énorme AU ici attention) et tente de vivre du mieux qu'il peut dans sa maison en Ecosse. Voilà un paragraphe pas encore publié en exclu:
"Even Johnny had asked. Plenty of times, in fact. Teasing and coy over the comms, pleading in bed, soft and casual on leave. But Johnny’s the outlier in every aspect of Simon’s life ‒ when he’s the one asking, there’s none of the unease and nausea that grips his throat at the idea of ripping himself open. It still feels like exposing a wound, puffy pink flesh laid ripe for the tearing, but some part of him can accept the risk, when it’s Johnny watching him. Maybe it’s because he’s in love with him ‒ or maybe it’s the other way around. Maybe he fell in love because he trusted Johnny first."
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pollonegro666 · 1 year
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2023/03/18 En esta casa estuvieron conviviendo el genio español y su esposa hasta la muerte de ella, cuando decidió no regresar. Desde entonces, parece que el tiempo se ha congelado en este espacio de creación artística.
The Spanish genius and his wife lived in this house until her death, when he decided not to return. Since then, it seems that time has frozen in this space of artistic creation.
Google Translation into French: Le génie espagnol et sa femme ont vécu dans cette maison jusqu'à sa mort, quand il a décidé de ne pas revenir. Depuis, il semble que le temps se soit figé dans cet espace de création artistique.
Google translation into Italian: Il genio spagnolo e sua moglie vissero in questa casa fino alla sua morte, quando decise di non tornare. Da allora, sembra che il tempo si sia fermato in questo spazio di creazione artistica.
Google Translation into Portuguese: O gênio espanhol e sua esposa viveram nesta casa até sua morte, quando ele decidiu não voltar. Desde então, parece que o tempo parou neste espaço de criação artística.
Google Translation into German: Das spanische Genie und seine Frau lebten in diesem Haus bis zu seinem Tod, als er beschloss, nicht zurückzukehren. Seitdem scheint die Zeit in diesem Raum des künstlerischen Schaffens stehen geblieben zu sein.
Google Translation into Albanisch: Gjeniu spanjoll dhe gruaja e tij jetuan në këtë shtëpi deri në vdekjen e tij, kur ai vendosi të mos kthehej. Që atëherë, koha duket se ka ngecur në këtë hapësirë ​​të krijimit artistik.
Google Translation into Armenian: Իսպանացի հանճարը կնոջ հետ ապրել է այս տանը մինչև իր մահը, երբ որոշել է չվերադառնալ։ Այդ ժամանակից ի վեր ժամանակը կարծես կանգ է առել գեղարվեստական ​​ստեղծագործության այս տարածքում:
Google Translation into Bulgarian: Испанският гений и съпругата му живели в тази къща до смъртта му, когато той решил да не се връща. Оттогава времето сякаш е спряло в това пространство на художествено творчество.
Google Translation into Czech: Španělský génius a jeho žena v tomto domě bydleli až do své smrti, kdy se rozhodl nevrátit. Od té doby jako by se v tomto prostoru umělecké tvorby zastavil čas.
Google Translation into Croatian: Španjolski genije i njegova supruga živjeli su u ovoj kući sve do njegove smrti kada se odlučio ne vratiti. Od tada vrijeme kao da je stalo u ovom prostoru umjetničkog stvaranja.
Google Translation into Danish Det spanske geni og hans kone boede i dette hus indtil hans død, da han besluttede ikke at vende tilbage. Siden da synes tiden at have stået stille i dette rum for kunstnerisk skabelse.
Google Translation into Slovak: Španielsky génius a jeho manželka bývali v tomto dome až do svojej smrti, keď sa rozhodol nevrátiť. Odvtedy sa v tomto priestore umeleckej tvorby akoby zastavil čas.
Google Translation into Slovenian: Španski genij in njegova žena sta živela v tej hiši do njegove smrti, ko se je odločil, da se ne bo vrnil. Od takrat se zdi, da se je čas v tem prostoru umetniškega ustvarjanja ustavil.
Google Translation into Estonian: Hispaania geenius ja tema naine elasid selles majas kuni tema surmani, mil ta otsustas mitte naasta. Sellest ajast peale tundub, et aeg on selles kunstilise loomingu ruumis seisma jäänud.
Google Translation into Suomi: Espanjan nero ja hänen vaimonsa asuivat tässä talossa kuolemaansa asti, jolloin hän päätti olla palaamatta. Siitä lähtien aika näyttää pysähtyneen tässä taiteellisen luomisen tilassa.
Google Translation into Greek: Η Ισπανίδα ιδιοφυΐα και η γυναίκα του έζησαν σε αυτό το σπίτι μέχρι το θάνατό του, όταν αποφάσισε να μην επιστρέψει. Έκτοτε, ο χρόνος φαίνεται να έχει σταματήσει σε αυτόν τον χώρο της καλλιτεχνικής δημιουργίας.
Google Translation into Dutch: Het Spaanse genie en zijn vrouw woonden in dit huis tot aan zijn dood, toen hij besloot niet terug te keren. Sindsdien lijkt de tijd te hebben stilgestaan ​​in deze ruimte van artistieke creatie.
Google Translation into Norwegian: Det spanske geniet og hans kone bodde i dette huset til hans død da han bestemte seg for ikke å returnere. Siden den gang ser det ut til at tiden har stått stille i dette rommet for kunstnerisk skapelse.
Google Translation into Polish: Hiszpański geniusz i jego żona mieszkali w tym domu aż do śmierci, kiedy postanowił nie wracać. Od tego czasu wydaje się, że czas stanął w miejscu w tej przestrzeni artystycznej kreacji.
Google Translation into Romanian: Geniul spaniol și soția sa au locuit în această casă până la moartea sa când a decis să nu se mai întoarcă. De atunci, timpul pare să fi stat pe loc în acest spațiu al creației artistice.
Google Translation into Russian: Испанский гений и его жена жили в этом доме до самой смерти, когда он решил не возвращаться. С тех пор время как будто остановилось в этом пространстве художественного творчества.
Google Translation into Serbian: Шпански геније и његова супруга живели су у овој кући до његове смрти када је одлучио да се не враћа. Од тада је време као да је стало у овом простору уметничког стваралаштва.
Google Translation into Swedish: Det spanska geniet och hans fru bodde i detta hus fram till sin död då han bestämde sig för att inte återvända. Sedan dess tycks tiden ha stått stilla i detta rum av konstnärligt skapande.
Google Translation into Turkish: İspanyol dehası ve karısı, geri dönmemeye karar verdiğinde ölümüne kadar bu evde yaşadılar. O zamandan beri, bu sanatsal yaratım alanında zaman durmuş gibi görünüyor.
Google Translation into Ukrainian: Іспанський геній і його дружина жили в цьому будинку до самої смерті, коли він вирішив не повертатися. Відтоді в цьому просторі мистецької творчості час ніби зупинився.
Google Translation into Arabic: عاش العبقري الإسباني وزوجته في هذا المنزل حتى وفاته عندما قرر عدم العودة. منذ ذلك الحين ، يبدو أن الزمن قد توقف في هذا الفضاء من الإبداع الفني.
Google Translation into Bengali: স্প্যানিশ প্রতিভা এবং তার স্ত্রী তার মৃত্যুর আগ পর্যন্ত এই বাড়িতে থাকতেন যখন তিনি ফিরে না আসার সিদ্ধান্ত নেন। তারপর থেকে, সময় মনে হয় শৈল্পিক সৃষ্টির এই জায়গায় স্থির হয়ে দাঁড়িয়ে আছে।
Google Translation into Simplified Chinese: 西班牙天才和他的妻子一直住在这所房子里,直到他决定不再回来。 从此,时间仿佛在这个艺术创作的空间里静止了。
Google Translation into Korean: 스페인 천재와 그의 아내는 그가 돌아오지 않기로 결정했을 때 죽을 때까지 이 집에서 살았습니다. 그 이후로 시간은 이 예술적 창조의 공간에 정지해 있는 것 같다.
Google Translation into Hebrew: הגאון הספרדי ואשתו גרו בבית זה עד מותו כשהחליט לא לחזור. מאז, נראה שהזמן עמד מלכת במרחב זה של יצירה אמנותית.
Google Translation into Hindi: स्पैनिश जीनियस और उनकी पत्नी अपनी मृत्यु तक इस घर में रहे जब उन्होंने वापस न लौटने का फैसला किया। तब से, लगता है कि कलात्मक सृजन के इस स्थान में समय रुक गया है।
Google Translation into Indonesian: Jenius Spanyol dan istrinya tinggal di rumah ini sampai kematiannya ketika dia memutuskan untuk tidak kembali. Sejak saat itu, waktu seolah terhenti di ruang kreasi artistik ini.
Google Translation into Japanese: スペインの天才と彼の妻は、彼が帰らないことを決めたときに死ぬまでこの家に住んでいました. それ以来、この芸術的創造の空間では時が止まったようです。
Google Translation into Kyrgyz: Испан генийи жана анын аялы бул үйдө өлгөнгө чейин жашап, кайра кайтпоону чечкен. Ошондон бери бул көркөм чыгармачылык мейкиндигинде убакыт токтоп калгандай.
Google Translation into Malay: Genius Sepanyol dan isterinya tinggal di rumah ini sehingga kematiannya apabila dia memutuskan untuk tidak pulang. Sejak itu, masa seolah-olah berhenti dalam ruang ciptaan artistik ini.
Google Translation into Mongolian: Испанийн суут ухаантан эхнэрийнхээ хамт энэ байшинд нас барах хүртлээ амьдраад буцаж ирэхгүй гэж шийджээ. Түүнээс хойш уран бүтээлийн энэ орон зайд цаг хугацаа зогссон мэт.
Google Translation into Nepali: स्पेनिस जीनियस र उनकी पत्नी आफ्नो मृत्यु सम्म यो घर मा बस्थे जब उनले फर्कने निर्णय गरेनन्। त्यसबेलादेखि, कलात्मक सिर्जनाको यो ठाउँमा समय स्थिर रहेको देखिन्छ।
Google Translation into Panjabi: ਸਪੈਨਿਸ਼ ਪ੍ਰਤਿਭਾਵਾਨ ਅਤੇ ਉਸਦੀ ਪਤਨੀ ਆਪਣੀ ਮੌਤ ਤੱਕ ਇਸ ਘਰ ਵਿੱਚ ਰਹੇ ਜਦੋਂ ਉਸਨੇ ਵਾਪਸ ਨਾ ਆਉਣ ਦਾ ਫੈਸਲਾ ਕੀਤਾ। ਉਦੋਂ ਤੋਂ, ਸਮਾਂ ਕਲਾਤਮਕ ਸਿਰਜਣਾ ਦੇ ਇਸ ਸਪੇਸ ਵਿੱਚ ਸਥਿਰ ਜਾਪਦਾ ਹੈ।
Google Translation into Pashtun: هسپانوي جینیس او د هغه میرمن په دې کور کې د هغه تر مړینې پورې ژوند کاوه کله چې هغه پریکړه وکړه چې بیرته راستانه نشي. له هغه وخت راهیسې، داسې ښکاري چې وخت د هنري تخلیق په دې ځای کې ولاړ دی.
Google Translation into Persian: نابغه اسپانیایی و همسرش تا زمان مرگش در این خانه زندگی می کردند که تصمیم گرفت دیگر برنگردد. از آن زمان به نظر می رسد زمان در این فضای آفرینش هنری متوقف شده است.
Google Translation into Sundanese: Genius Spanyol sareng pamajikanana cicing di bumi ieu dugi ka pupusna nalika anjeunna mutuskeun henteu uih deui. Saprak harita, waktu sigana geus nangtung kénéh dina spasi ieu kreasi artistik.
Google Translation into Tagalog: Ang henyong Espanyol at ang kanyang asawa ay nanirahan sa bahay na ito hanggang sa kanyang kamatayan nang magpasya siyang hindi na bumalik. Mula noon, tila tumigil ang oras sa espasyong ito ng masining na paglikha.
Google Translation into Thai: อัจฉริยะชาวสเปนและภรรยาของเขาอาศัยอยู่ในบ้านหลังนี้จนกระทั่งเสียชีวิตเมื่อเขาตัดสินใจที่จะไม่กลับมา ตั้งแต่นั้นมา เวลาก็ดูเหมือนจะหยุดอยู่กับที่ในพื้นที่ของการสร้างสรรค์งานศิลปะนี้
Google Translation into Urdu: ہسپانوی جینئس اور اس کی بیوی اس گھر میں اس کی موت تک رہے جب اس نے واپس نہ آنے کا فیصلہ کیا۔ تب سے لگتا ہے کہ وقت فنکارانہ تخلیق کے اس خلا میں ساکت کھڑا ہے۔
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matthias-songbook · 1 year
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Aimerais-je encore les Arctic Monkeys si ce n'étaient pas les Arctic Monkeys ?
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Autant que ce soit clair : il ne s'agira pas ici de donner un avis ampoulé sur le septième album des Arctic Monkeys, The Car, qui servira plus ici de prétexte à une observation de mes goûts (douteux) et leur expansion.
Si les Arctic Monkeys nous avaient habitué à changer de peau régulièrement, difficile de prévoir le grand écart opéré en 2018 avec Tranquility Base Hotel + Casino, un concept-album qui propulsait Alex Turner en gérant d'un luxuriant hôtel lunaire. On a beau avoir entendu les rumeurs soupçonnant le disque d'être un projet solo de Turner repackagé pour des raisons marketing, la claque était immense, que l'on aime ou non : arrangement en longueur à la frontière du jazz, paroles déclamées façon Leonard Cohen, guitares et batterie au diapason sans dépasser ; qu'elle paraissait loin l'époque des tronches juvéniles, des cardigans et des guitares portées au niveau du torse. Une leçon à deux morales : l'une pour les amateurs, à qui leur était prouvé l'épanouissement d'une plume, l'autre pour les fans trop rigoristes, laissés sur le bord de la route sans ménagement.
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Cette mue, bien plus radicale qu'auparavant, a apporté une surcouche à l'amour et la relation particulière que j'entretiens avec le groupe depuis mon adolescence, cette époque où l'on s'approprie les choses pour la première fois. Les Arctic Monkeys sont de celles-ci, transfiguratives, déterminantes, des reflets de vérité, des échos de ressenti quand les ressemblances (largement imaginées) entre ce groupe de potes qui joue de la musique et le nôtre renforcent l'attachement.
C'est un fait, j'ai les Arctic Monkeys dans la peau, et ce simple fait retire 83,9% d'intérêt à ce papier. Et j'aime The Car, ce retour sur Terre anachronique, cet OVNI des années 70 période cool funk et cinéma romantique. Alex Turner n'a semble-t-il jamais été aussi proche de réaliser un film. Il aurait dû : c'est sa BO que lui et les autres ont enregistré. Qui les aurait imaginés, au pic de leur gloire à la fin des années 2000, se lancer dans un funk à wah-wah ("I Ain't Quite Where I Think I am"), une soul hyper sexuelle ("Jet Skis on the Moat") ou un blues fantomatique à la Nick Cave ("Sculptures of Anything Goes") ? D'autant plus dur de deviner cette quasi-face B volée à Simon & Garfunkel ("Mr Schwartz", probablement le morceau le moins Arctic Monkeys de toute leur carrière, et y a pourtant du monde en compétition). À ce titre The Car en devient presque schizophrène, l'album étant clairement séparé entre une première moitié plus pop, plus chanson, quand la seconde (dès le morceau-titre, en fait) s'aventure de plain-pied dans la BO de film (le point d'orgue de cette partie, "Big Ideas", que l'on imagine automatiquement en générique de James Bond).
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Si TBH+C était un échappatoire, une fuite en avant maquillée en délire science-fiction et plein de grandes manières, The Car est un disque plus terre-à-terre, presque plus sincère puisqu'il confirme la mue toujours brutale du groupe sans l'habiller d'un concept narratif qui aurait pu faire penser à un simple écart temporaire. C'est donc ça, les Arctic Monkeys en 2022 : ils n'ont pas vraiment tué les anciens, ni les sales gosses, ni les ados boutonneux sous influence des narcotiques du désert californien, ni les grandes rockstars désuètes coiffées à la gomina. Ils cohabitent, mais au profit d'autre chose, d'une cause peut-être plus noble, peut-être plus chiante. Une belle cause, ça il n'y a aucun doute.
Ces grands changements apportent leurs lots de questions sans réponse : si j'aime encore ce qu'ils font, est-ce un signe de changement ? un bon, ou un mauvais ? Mais celle qui met le plus le ravioli en ébullition, c'est celle qui consiste à se demander si j'aimerais autant les Arctic Monkeys, s'ils n'étaient pas les Arctic Monkeys. "Le sont-ils encore ?" demanderont certainement, coquins, les plus sceptiques face à cette nouvelle phase de leur carrière délicieusement pantouflarde. On pourrait considérer que la richesse d'un groupe, d'un artiste fondateur à titre personnel, est une porte d'entrée vers ses influences, ses richesses, et qu'au fond c'est comme ça qu'on découvre sa musique idéale, en suivant cet espèce de fil d'Ariane tissé par ses musiciens favoris, et qu'on détricote à l'envie. Mais quand le groupe en question se transforme, change de peau, quelle valeur conserve cet amour d'adolescent (et donc un peu trop passionné) pour quelque chose qui n'a presque plus rien à voir avec ce qui nous avait séduit au départ ? Est-ce que j'aurais eu quelque chose à cirer de The Car s'il n'avait pas été signé par Alex Turner et sa bande ? En aurais-je ne serait-ce qu'entendu parler ? L'aurais-je écouté avec la même attention ? Et surtout, l'aurais-je autant apprécié si ses géniteurs m'avaient été inconnus au bataillon ? Est-ce qu'aimer un groupe, c'est lui faire confiance quoiqu'il se passe - sans parler de la latitude de notre appréciation propre ?
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D'autant plus difficile à dire aujourd'hui, quelques semaines après sa sortie et n'ayant rien écouté d'autre, toujours très sensible à la force d'attraction que leur musique continue d'exercer sur moi. Pour quelles raisons ? Là est toute la question. Un des lieux communs les plus rincés de la musique consiste à dire qu'on grandit avec celle qu'on a, un jour, aimé. Certaines études récentes affirment carrément que c'est la musique de notre adolescence qui conserve la plus grande influence sur notre cerveau. Un peu comme un surfeur marqué par sa première vague, qu'il aura vécu comme un tsunami, pour finir par chevaucher des monstres trois fois plus gros sans s'en rendre compte. Mais quelle confiance accorder quand ces premiers amours transgressent le souvenir, et deviennent tout-à-fait autre chose ?
On en revient à la question initiale, que je vais peut-être arrêter de poser ici. J'aime ce disque peut-être plus que son prédécesseur, pour ses thématiques plus en phase avec les émotions souhaitées. Pas mal de chroniques évoquent des textes particulièrement abscons, quand je les trouve (sans prétendre capter l'intégralité du sens) très justes et très poétiques. Musicalement on m'a dit que ça ressemblait à Burt Bacharach un peu trop copié (d'après une bonne amie). N'y connaissant rien ça m'a juste semblé très beau, kitsch, élégant, et difficile pour moi de détourner le regard de cette transformation - un peu comme ce vieil ami d'enfance que vous retrouvez par hasard sur Instagram, constatant à quel point sa vie est différente de la vôtre. Vous l'aimez encore ce con, c'est comme si vous connaissiez sa petite poésie interne, celle qui faisait que vous étiez amis sans jamais vous l'expliquer concrètement. La différence, c'est que vous ne le croiserez plus jamais. Mais les Arctic Monkeys, eux, semblent encore vouloir me montrer quelque chose. De différent, encore une fois, comme toujours pourrait-on dire. Une surprise qui n'en est plus une, puisque derrière ces sonorités de crooner endimanché et ces batteries dont on se serait moqué à l'époque de "Brianstorm", c'est bien d'une certaine familiarité dont il s'agit. De vieux copains qu'on recroise et à qui on a envie de ne rien refuser, qu'on parvient encore à comprendre malgré la distance. Une certaine nostalgie, enrobée dans ce qui reste (quand même, et selon mon petit avis) de la très belle musique.
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Prétendre grandir avec un groupe qu’on aime, sous couvert qu’il évolue lui-même, ça peut aussi ressembler à une petite mascarade personnelle, une tentative un peu triste et désespérée de retenir une jeunesse qui s'éloigne inexorablement. C'est un peu ironique, voire même complètement con. Qui suis-je bordel ? Qu’est-ce que l’audace ? Vous avez 4h.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 78
Samedi PM
J'arrivais à la maison en même temps que Marc. Je lui racontais ma matinée. Il est toujours mort de rire de mes petits plans annexes. Quand je lui donnais le montant du " butin ", il me demanda sérieusement si c'était vrai. Je lui dis que je n'en mettrais que les 2/3 dans le plan officiel que m'avait organisé le père de Ric (banquier) sur lequel je payerais impôts et retraite et avec le reste, j'allais m'acheter un nouveau casque et une nouvelle combi en cuir.
Mon pécule monte vite (et officiellement) et bientôt je pense que je pourrais m'acheter une voiture sportive. Encore quelques gang bang de Ric et si je veux l'acheter neuve, il faudra que je fasse passer Jean au même régime (20K euro net par soirée, ça élargit vite le panel de model !).
Bon j'aime pas les Porches ni les italiennes, je préfère les anglaises.
Pendant que nous déjeunons, Marc me dit avoir contacté deux " jeunes serveurs " pour nos soirées spéciales. Il avait laissé une petite annonce sur un site de cul (il ne veut pas me dire lequel !) et dans la masse de réponses a sélectionné pour commencer deux jeunes beurs. Il me dit avoir choisi en fonction de l'age (majeur, mais pas plus), du physique (bo mec), de la musculature (bien musclés) et de leur expérience en service et obéissance.
Ils doivent venir vers 17h pour " évaluation " et seront là jusqu'au dimanche soir. Du coup pour demain, il a demandé à Bruno et Arnaud, Igor et les jumeaux ainsi qu'à Eric de se joindre à nous pour un brunch.
Je suis impatient de les voir.
17h pile sonnette. Marc est content de la précision.
Je vais ouvrir. Sur le perron deux beurs, 1,80m environ cheveux courts, rasés de près, en jeans baskets et blousons cuir. Ils ont l'air un peu surpris d'être deux. Derrière dans la cours deux voitures propres à défaut d'être récentes.
Ils me demandent : Monsieur XXXX ? Je leur répond " non " mais que je les conduits.
Marc nous attends dans son bureau (sérieux !). Une fois entrés je referme la porte et reste adossé à elle. Ils sont debout devant le bureau. Quand Marc lève les yeux de leurs dossiers, ils se présentent. Ammed XXXX. Samir YYYY. Marc les examine de la tête au pieds. Il demande à voir leurs papiers. Ils s'exécutent, carte d'identité et permis de conduire. Marc leur explique que ce WE sera un test pour eux et que si ils donnent satisfaction, ils seront retenus. Il leur demande de se mettre à poil. Sans gène, les deux jeunes hommes se déshabillent. Marc les stoppe quand ils sont en slip. Samir est en jock blanc qui ressort bien sur sa peau naturellement bronzée. Son paquet est avantageux bien qu'il ne bande pas. Ammed lui est en slip blanc Dim. Il semble être lui aussi bien pourvu par la nature. Après cette pause, Il leur dit d'enlever ce qui reste. Placé dans leurs dos, j'ai une vue directe sur leurs fessiers qui se contractent lorsqu'ils se baissent pour faire attraper leurs slip et les mettre sur le tas de vêtements. Marc se lève et s'approche d'eux pour les examiner de plus près. Je me place sur leur profil afin de voir leurs deux faces. Marc palpe leurs muscles, vérifie la tonicité de leurs peaux, soupèse leurs couilles. Moi, j'observe qu'ils ont l'air bien monté car sans bander leurs bites circoncises font déjà bien 12/13cm. Marc leur demande de bander. Un peu gênés par l'aspect clinique de la chose, ils ont un peu de mal à démarrer. Mais à se mater l'un l'autre, ils arrivent à un résultat fort honorable. Marc me demande de prendre les mesures. Samir gagnant avec un engin de 19,5cm x 6 avec un gland en champignon Ammed second avec une bite de 19,2cm x 5,6, gland en forme de grosse olive.
Marc leur signifie que ça lui va. Il leur précise ce que l'on attend d'eux. Tous les vendredi soirs ils viendront faire le ménage de notre donjon. Au cas où une touze sera organisée pour le WE, ils resteront sur place et commenceront leur service aussitôt, sinon il seront libre le WE. Ils devront maintenir leurs musculatures en l'état actuel et même augmenter leurs volumes si possible. Pour cela ils auront accès pendant 1 à 2h à notre salle de muscu avant chaque service. Ils oeuvreront en shorty en latex ou cuir, jamais totalement nu. Ils devront veiller à : - La présence de tout le nécessaire (Kpote, gel, godes, savon et draps de bains et PQ dans les sanitaires) aux bons endroits (plan à l'appui). - Faire le service lors des repas, buffets et autres phases de restauration. - Prévenir tout risque de pénétration sans Kpote hors quelques couples bien définis dont ils auront les photos pour les mémoriser. - Réponde à toutes demandes autres qu'un acte sexuel. C'est à dire aider à la manutention des corps, mises en places etc. Car bien sûr, aucun acte sexuel avec quelqu'invité que ce soit n'est autorisé. Pas plus une petite pipe qu'une sodo. Ce serait un motif de renvoi immédiat. Une dernière chose, il vont devoir se raser ou s'épiler totalement les bras, Jambes, fesses et couilles avant toute chose.
A l'énoncée de ces quelques précisions, pas de réaction jusqu'à la réduction pilaire, surtout de Samir un peu plus velu que son collègue. Marc précise que ce dernier point est impératif.
Comme ils ont l'air d'accord, Marc leur dit de remettre leurs slips et leur propose un tour des lieux.
La visite commence par la maison, cuisine puis salle de muscu et sanitaires qui les laisse sans voix. Marc précise que c'est là les installations qu'ils pourront utiliser. Ils ont l'air assez contents. Pour les passage entre les bâtiments, Marc a acheté pour eux des grand manteaux blancs type doudoune de ski alors que nous et nos amis utilisons de longs manteaux de fourrures. Il leur dit de les mettre et nous traversons la cour. Entrée au donjon. Ils sont impressionnés par notre installation. Marc leur précise tout ce qu'il y a à faire pour maintenir l'endroit en l'état. Sols, sanitaires, graissages des cuirs (sans excès)... ils découvrent l'étage et sa literie spéciale. Marc précise que les draps spéciaux doivent être changé entre chaque partie lors des touzes. Nous finissons la visite par " mon " appartement qui sera le leur lors des quelques heures de repos qu'ils pourraient avoir. Disposer d'un seul grand lit pour deux ne les choque pas. La petite cuisine avec le frigo. Pour leurs repas, ils se débrouilleront pour venir y manger à tour de rôle. De retour dans la maison, ils nous disent être d'accord avec les conditions.
Quand Marc ajoute que chaque WE complet sera payé 750 euros et les vendredi simples 150, ils demandent où ils doivent signer.
Il est déjà 19h30. Marc décide d'une séance de muscu pour tous afin de voir leurs musculatures après travail.
Nous descendons puis Marc et moi nous nous mettons en jock. J'en choisis un à lacets qui moule encore plus mon paquet.
Nous avons droit à quelques commentaires élogieux sur notre propre plastique. Marc dirige la séance et nous sommes tous à suer. Nous tournons au développé couché. J'arrive actuellement à soulever sans problème 110Kg. Les deux beurs, eux, calent à 60. mais l'effort à bien fait gonfler leurs pecs. Nous enchaînons par un peu de travail des dorsaux puis pour finir une bonne demi heure d'abdominaux. Les serviettes sur les bancs ont pompé une bonne partie de la sueur mais nous sommes quand même ruisselant en fin de séance.
Marc aligne Samir et Ammed et contrôle de nouveau leurs physiques. Les muscles ont bien gonflé et ils sont encore plus beau. Y'en a qui vont avoir du mal à pas leur sauter dessus !!
Tous sous la douche. lavage. Rinçage et Marc annonce la réduction de leurs pilosités. Là c'est à moi d'oeuvrer. Je vais chercher la crème dépilatoire et les rasoirs.
Ils sont très brun mais peu poilu. Heureusement pour eux. J'étale une bonne couche de crème sur les avants bras, les jambes et les cuisses puis fini par leurs fesses et le triangle du bas du dos. 15mn plus tard, je racle la crème et tous leurs poils viennent avec. Je les rince et leur applique une crème apaisante. Ils sont étonnés du résultat. J'attrape le rasoir et entame la partie avant. Mousse à raser sur les couilles. Malgré l'appréhension ils bandent. Ça va me faciliter le travail. A genoux devant eux, je leur demande d'écarter les jambes et attaque les bourses. Une fois ces dernières bien lisses, je remonte sur la touffe pour la réduite à une barre horizontale de 10cm de large sur 1cm d'épaisseur et je taille cette dernière à 1cm de longueur. Je rince le tout et me recule. Marc et moi admirons le résultat. Ils sont superbes. Nous sommes excité et nos bites le montre. Je glisse dans l'oreille de Marc que nous nous pourrions quand même profiter de leur corps. Il hésite un peu puis leur demande si cela les intéresseraient de se faire un petit intermède avec nous. comme ils sont d'accord, il leur ordonne d'installer les slings après leurs avoir montré où ils étaient et les anneaux du plafond. Puis il leur dit de se placer dessus. L'obéissance est parfaite, on voit leur expérience. Ils placent direct leurs pieds dans les cales prévues et les bras tendus tiennent fort les suspentes. J'arrive avec les Kpotes et enfile la mienne après avoir recouvert Marc. Marc prend Ammed et je m'occupe de Samir. Un peur de gel sur leurs anus et nous les défonçons d'un puis rapidement de deux doigts. Ils entrent bien. Quand j'essaye de les écarter dedans, je sens une bonne résistance. Je demande à Samir de serrer et je me retrouve comme pris dans un étau. Je le félicite pour une telle rondelle. Marc à coté teste aussi l'élasticité du sphincter dont il s'occupe. Ensemble nous enfonçons nos bites dans leurs culs. Ils prennent sans manifester la totalité de nos queues. Juste Ammed qui ferme les yeux en fin de pénétration. Je prend Samir aux hanche et balançant le sling je le lime doucement puis de plus en plus vite. Il prend des couleurs, sa bite bande et son gland est bien violet. A mes cotés Marc fait de même. Nous limons nos " hommes de services " un bon 1/4 d'heure avant de faire l'échange. Nouvelles kpote et nous testons l'autre cul. Samir qui s'était bien fait à mes 5cm de diamètre doit s'adapter aux 6 cm de Marc. Il accuse le coup les deux ou trois premiers coups de rein. Moi, dans Ammed je rentre facile. Je lui dis de serrer son anneau pour que je le sente plus. Il y arrive sans soucis. Sa rondelle me paraît bien musclée elle aussi.
Nous les enculons jusqu'à ce que l'excitation soit trop forte. Je décule violemment, arrache ma kpote et jute sur les abdos d'Ammed. Marc fait pareil sur Samir. Les déculages, avec l'excitation finale due à la libération de leurs intérieurs ou bien les passage en force de leurs prostates, les font jouir sans qu'ils se touchent et les mares de spermes s'agrandissent remplissant les sillons délimitant leurs abdos.
Je me tourne vers Marc le prend dans mes bras et nous nous roulons une pelle géante. Je le félicite de ses choix. Il me confirme que nous allons les garder.
Marc demande à nos deux serviteurs s'ils ont apprécié et à leurs réponses positives, il emmène tout le monde sous les douches.
En sortant, après avoir demandé à Samir et Ammed de ranger la salle, il leur dit que pour ce soir ils allaient dîner avec nous et de nous rejoindre à la cuisine.
Pendant le repas, ambiance de confiance et vin aidant, nous avons à peu près tout appris de leurs vies. Enfances en banlieues de grande ville, découverte du corps de l'homme en sport, initiations aux sexes masculins, ruptures familiales, recherche d'un job, SMIC... coté sexe, pour l'un 1ère expérience avec son prof de sport après les cours dans la réserve à ballon, pour l'autre un oncle bienveillant mais aussi bien monté ! et une garde à vue pour racolage.
Je me suis promis que si nous les engagions pour plus d'un WE, je demanderai à mon client commissaire de faire une petite recherche sur eux pour valider leurs propos.
JARDINIER
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zab0tushka · 2 years
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J'ai pas dormi de la nuit. Je regarde John avec son poil roux et son poil de neige, il dort, si doucement que j'ai l'impression qu'il est un rêve. Mes copains sont contents que je vienne les visiter durant mon trip. C'est bizarre de me dire que je vais aller passer du temps chez Bo après qu'on ait été des amoureux. Mais je sais qu'il n'y a plus que de l'amour platonique entre nous, et j'aime bien cette promesse d'un toujours. S'aimer même quand c'est fini, c'est chouette, et je suis contente que ce soit la première personne à m'accorder ça dans ma vie. Parce quand les amoureux.ses disparaissent sans laisser de trace c'est douloureux. Bo il m'écoute toujours même quand je lui parle de mes nouveaux amours.
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fiezcapnord · 2 years
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Samedi 21 Mai,
Réveil dans la grisouille, après le p’tit déjeuner départ à vélo pour le bout de l’île, un village portant le nom de À ! Village de pêcheurs avec des séchoirs à morues net à têtes de morue … c’est pas pareil ! Les morues sont exportées principalement au Portugal, les têtes partent au Nigeria … ce sont des travailleurs Polonais qui réalisent les travaux. Ce village typique a développé son petit musée de manière très ludique avec notamment un film sur la fabrication de l’huile de foie de morue que nos parents nous donnaient comme fortifiant. Heureusement pas de dégustation 😅 mais l’odeur du poisson qui sèche est omniprésente dans les villages qui en font commerce. On a mangé au restaurant du village un plat du jour délicieux à la vue et au goût.
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Dans l’après midi nous reprenons la route et traversons le village de Bo dans ces paysages fantastiques. Une plage de sable blanc et de jolies vagues semble réputée pour le surf tant la surface est grande. Et puis la couleur de l’eau devient bleu ciel, les Maldives la température en moins 😂.
Nous nous arrêterons sans avoir atteint notre but, un incroyable musée Viking nous ayant fait de l’œil, comme les autres il ferme à 17.00h ; nous y serons pour l’ouverture demain à 10.00h
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History of Evil
Clippeur, Bo Mirhosseni propose ici son premier long-métrage dans lequel il mélange les genres. Ainsi, dans un futur dystopique où les États-Unis ont plongé dans le fascisme et où la société patriarcale et suprémaciste blanche fait la loi, Ron Dyer (Paul Wesley) exfiltre sa femme, une fugitive, et s’enfuit avec elle, leur fille et deux autres compagnons : ils se retrouvent dans une maison, qui leur réserve bien des surprises…
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Écumant tous les poncifs du genre, History of Evil est loin d’être aussi prometteur que son titre l’assure. Ne sachant jamais vraiment comment se placer à la frontière des différents genres empruntés, le film est bien trop long pour ce qu’il raconte, délaissant les promesses d’horreur, mais aussi exploite peu les enjeux qu’offrent la dystopie ou l’anticipation. On ne trépigne jamais, on s’ennuie beaucoup et History of Evil déroule sans conviction son scénario. Pire encore, des thématiques telles que le racisme ou la misogynie sont abordées en filigrane, mais aucune séquence ne laisse de place pour les femmes et développer ces thématiques. En effet, le réalisateur emprunte la métaphore de la maison hantée pour explorer la masculinité toxique du personnage principal et la manière dont il va exercer sa violence sur les femmes autour de lui, mais il n’y a jamais de contrepoint qui actualise le propos ou le rend un tant soit peu intéressant. De manière évidente, le film s’inspire de Shining, et pendant tout le film j’ai juste eu envie de regarder Shining plutôt que celui-ci. Cette mauvaise balance entre les personnages et ce qu’ils essaient de raconter, dans le peu de développement qu’ils ont, se retrouve dans le mauvais équilibre entre les genres : peu de tension pour être dans le thriller, contexte peu exploré pour la dystopie et peu de sang ou de séquence angoissante pour l’horreur.
Je ne recommande pas vraiment le film, pour toutes les raisons évoquées ci-dessous, mais aussi parce que techniquement, rien ne ressort et le jeu d’acteur est assez terrible. 
History of Evil de Bo Mirhosseni 2023 — Pas de sortie française pour le moment États-Unis
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