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#imaginaire
francepittoresque · 4 months
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EXPOSITION | Sur les traces de Tolkien et de l'imaginaire médiéval ➽ https://bit.ly/Exposition-Tolkien-Imaginaire-Medieval L’illustrateur John Howe déploie près de 300 œuvres au Fonds Hélène & Edouard Leclerc, à Landerneau, qui décrypte l’univers de l’auteur du « Seigneur des Anneaux » et son appropriation par le champ de l’art
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imago-memoria · 3 months
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Rien que les heures (1926) - Alberto Cavalcanti 
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madcat-world · 1 year
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Imaginaire - Oska
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borisdunand · 3 months
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#mémoireretrouvée
Marcher vers le bord, m'asseoir les jambes dans le vide. Je marche lentement, sous un ciel diaphane, n'entends plus le bruit de mes pas, on dirait une fin de continent. Seul, absolument seul. Pas un arbre, juste un sol, une fin, et l'abîme. La mer en bas ? Non, un grand vide blanc. Des oiseaux surgissent, immenses, préhistoriques. Le bec long, les ailes anguleuses. J'ai un peu peur. Je ne sais pas ce que je dois faire. Je reste là. Pétrifié, subjugué. Je cherche quelque chose, je sais que je cherche, mais je ne sais même pas quoi. Je cherche ce que je cherche. Je crois qu'il y a quelque chose dans ce grand espace saturé de lumière, mais je n'en sais rien.
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Nous habitons un livre ; avec moins d’aisance, nous habitons un film ; mais le virtuel, lui, nous habite. Il efface toute distanciation ; il nie notre existence en nous interdisant ce libre arbitre que le discours ou le texte d’un autre nous invite toujours à exercer. En effet, quel que soit notre degré d’implication dans l’histoire que l’on nous raconte ou que nous lisons, nous ne renonçons jamais à notre droit de jugement : notre capacité d’indignation, de compassion, de dégoût ou d’admiration n’est jamais totalement annihilée. Un petit pas de retrait, et nous nous retrouvons nous-mêmes face aux mots d’un autre ; à la fois séduits et lucides, respectueux et libres. C’est cette distance intellectuelle, garantie de notre identité propre, que le virtuel s’efforce d’effacer. En cela, il est l’ennemi irréductible du verbe. Il nie l’intime comme il ignore le conventionnel, et écarte l’idée même de construire du sens. Ce n’est pas au réel que le virtuel s’oppose, c’est à l’imaginaire.
Alain Bentolila. Le propre de l’homme. Parler, lire, écrire. 2000
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gwennpetrichor · 4 months
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Writever Janvier 2024 : médias !
01 – Sortie
4h avant la sortie du nouveau numéro de l'Aventurier Moderne, notre éclaireur ne donne pas de nouvelles. 3h, il y aurait une ouverture par la porte de livraison, 2h, nous sommes dedans, 1 heure... Encore 4000 exemplaire à détruire pour préserver notre secret.
02 – Magazine
- Mais qui achète encore des magazines en 2065 ? Je ne savais même pas que ça existait encore !
- L'industrie s'est tournée vers le blanchiment d'argent, c'est pour ça qu'ils coûtent plus cher que les livres... et puis j'adore ces mots croisés.
03 – Micro
Avec le nouvel ePhone, en partenariat avec TokTok, vos enregistrements seront censurés en direct par IA, vous permettant de gagner un précieux temps en post prod !
Finit la corvée de vérification des nouveaux mots censurés par TokTok !
04 – Tournoi
-Après le séminaire se tiendra un tournoi télévisé sur 4 mois. Un poste garanti au premier classé, possibles ouvertures de périodes d'essais chez nos partenaires pour le top10.
-On parle bien du poste d'agent d'entretien des tubes de machine à milk-shake ?
5. Papier
Sous un climat aussi humide, le papier se conserve mal, et les essences de bois locales ne sont pas adaptées à sa fabrication. Les veines d'argile en revanche sont nombreuses, c'est pour cela que dans leur langue "cuire" et "archiver" sont un seul et même mot.
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bleu-grenat · 5 months
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lours-se-met-en-4 · 1 year
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A4 – 139
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fantasyfantasygames · 5 months
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Altaplana
Altaplana: The Game of the Obscure Cities, Les Jeux Obscurs, 2002
Altaplana is "the impossible & infinite game of the World of the Obscure Cities". It chronicles a continent full of city-states, each with their own architectural style, on a counter-Earth. The world has its own year count (AT, After the Tower), its own planets, and a connection to our own world - one of which is apparently in Brussels. Lucky Belgians. For those who are wondering, this is indeed the same world you'll find if you search for Les Cités Obscures online.
The setting is extensive. You're going to have to read through the first 160 pages of the book (out of 208) more than once or take notes in order to keep track of all the names. I'm not sure I'd be able to really do the world justice for someone who's a big fan of it. The World of Obscure Cities is described in great and varying detail - sometimes ten words will be spent on a whole city; other times a hundred will be used on a single ride in an amusement park. People from all walks of life are included, though all of them appear to be white.
There is a lot of art to support all of this. The books are published in an old enough manner that they have 32 color plates in them rather than being all-color or all-greyscale. Said plates are used for drawing after drawing of the cities, their architecture, and their citizens. The cityscapes really give you a feel for the setting. I think most (maybe all?) of the art comes from the original graphic novels, but it's still well-used.
The remaining 48 pages are the rules and a short sample adventure. Alta Plana uses a custom rule system, fairly simple, percentile-based, skill-oriented, a little similar to Call of Cthulhu. My favorite bit is how it handles "hobby" skills - they're not so much something you roll to succeed at as something to bring your hobby into relevance. Neat touch. It's not a particularly deep system, but it's stable and easy to mod. Several pages in the rules sections are one-page optional rules addons, which is a neat way to do it. The sample adventure is 6 pages, consisting of travel from the city of Blossfeldtstad to the city of Calvani, a mystery to be solved along the train, and a child to be protected from shadowy figures tailing her. A lot is left in the hands of the GM.
The book has an assumption of... not heroism, but at least interest from the PCs, so the book doesn't spend a lot of word count talking about how the group gets together. It also assumes that the game will be mostly episodic, a series of vignettes that may or may not have recurring player characters.
My understanding is that the original creators of the comics approved of the game but didn't have much to do with its creation. The French version is easier to find, but there is an English translation. It was mostly distributed in Quebec. These days a copy in good shape goes for about $300 Canadian on the used market.
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salrat · 6 months
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songedunenuitdete · 2 years
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Prince Captif T1 - T2 et T3 + Nouvelle – Le Palais d’été de C.S. Pacat
🦋 #AVIS # LECTURE 🦋 J'ai lu Prince Captif T1-2 et T3 accompagné de sa nouvelle inédite en France/ @BragelonneFR ⭐ Je ne suis pas une grande amatrice de romance MM, mais sincèrement, Prince Captif est bien plus que ça. Cette trilogie est une merveille !
Mon avis : C’est une relecture, mais je crois bien avoir encore plus aimé aujourd’hui qu’hier ! Si je ne cautionne pas la moitié des actes qu’a pu faire Laurent ou ce qu’il se passe au royaume de Vere, j’ai quand même été happée par l’intrigue. J’ai accroché et je suis retombée en amour devant ces héros si différents que rien ne prédestinait à réunir un jour. Il aura fallu la trahison du frère…
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mmepastel · 1 year
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[Alerte]
Cet auteur estonien m’a chamboulée.
Le roman énorme que j’ai lu s’appelle L’homme qui savait la langue des serpents 🐍 et il a paru en France en 2013. Je n’avais pas entendu parler de lui.
Là je suis tombée dessus à la librairie, et malgré une légère appréhension, je me suis lancée.
Je ne le regrette pas. La preuve, je me suis empressée d’en acheter deux autres de lui, dont un paraît-il est abordable par les enfants, je le destine à mon fils de onze ans.
Comme beaucoup avant moi, je vais répéter les louanges : c’est en effet un livre unique, complètement siphonné. Ça se passe au Moyen-Age, dans la forêt estonienne. Deux mondes s’affrontent : celui, primitif et moribond de la forêt, et celui du village, dont on comprend qu’il a été fraîchement christianisé par les allemands (les hommes en fer) qui sillonnent le pays comme des rois.
Notre héros est le dernier qui sait parler la langue des serpents, qui symbolise l’union de l’homme et de la nature, puisque grâce à cette langue commune, les serpents sont amis des hommes, tout comme les loups, les ours, les chevaux. Tout son malheur vient d’être le dernier. Il assiste à la mort de son monde car les habitants de la forêt se ruent massivement vers le village où on mange stupidement du pain insipide et où on se brise le dos à cultiver les champs au lieu de manger élans et chevreuils qui s’offrent à l’homme qui sait leur parler.
Attention, le livre n’est pas simpliste bien qu’il soit complètement délirant. Sous la farce se cachent des critiques adressées aux deux camps : les arnaqueurs du christianisme et les arnaqueurs païens qui entretiennent de fausses croyances et des peurs idiotes. Au fond, le roman raconte, à sa façon colorée et trépidante, l’histoire de l’Estonie. Il y a beaucoup de mélancolie dans cette défaite de la magie primitive, mais aussi beaucoup de drôlerie. J’ai franchement ri par moments. Songez qu’on croise des anthropopithèques poilus qui élèvent des poux géants, des ours séducteurs, un serpent qui se plaint de sa vie avec tous ses enfants épuisants… jamais rien n’est manichéen car par exemple, la grandeur de la forêt contient aussi son lot d’inégalités : le serpent ami du héros, Ints, traite avec mépris un orvet, considéré comme inférieur, qu’il somme de s’occuper de tâches dégradantes. On voit par cet exemple que rien n’est simple, que rien n’est idéalisé.
La dernière partie est un peu éprouvante car très violente (paraît-il à la manière des sagas islandaises), et très sombre. Beaucoup de sang est versé, des scènes sont particulièrement sombres et sanglantes. En même temps, l’humour affleure toujours. Et c’est dans ce mélange complètement libre entre grotesque et sagesse, imaginaire et réalisme que l’on admire la puissance narrative de l’auteur. Car on dévore son récit. Pas de temps mort, pas d’ennui, une succession d’idées saugrenues font ricocher le récit jusqu’à son issue triste et poétique. J’admire vraiment l’esprit capable d’imaginer de telles histoires, racontée avec un ton inimitable.
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mollat-bordeaux · 1 year
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💙💙💙 #ideecadeaunoel : Océans. Explorer le monde marin @phaidonpress disponible au rayon Beaux-arts de la @librairie_mollat Un magnifique voyage dans l’imaginaire océanique ! #ocean #mer #imaginaire #art #librairie #mollat #bordeaux #noel2022 #noel (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/CloK1jljViH/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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jeromeminiere · 1 year
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Jérôme Minière - Pensées sans calcul (création radio)
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plumedepoete · 1 year
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Esquisse imaginaire - Daroca Mikael
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Toiles s ’ expriment Baume au cœur Couleurs dynamisent D ’ intrépides joies. Visions des audaces Propulsent la soirée Tourbillons invitent Entrée des danses. Bleue vivacité. Lignes s ’ orchestrent Imaginent de l ’ ardeur Feuilles des couleurs Improvisent la pensée. Nuances des éclats Conseillent bel envol Des fenêtres ouvrent Immensité des nudités. Rêve durable. Une gaieté durable Variation de diffusion Pureté des lignes Privilégie perspectives. Tranquillité ondoyante Vagues des fiertés Espoirs des avenirs Des oiseaux passagers Read the full article
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