Tumgik
#jardin du grand rond
boschintegral-photo · 2 years
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Petunias Jardin Du Grand Rond Toulouse, France
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De Kit à Ty
Ty,
J’ai besoin de parler à quelqu’un et je ne veux pas que ce soit Julian ou Emma. Ni Jem ou Tessa. Alors ça doit être toi. Ce qui signifie que je ne pourrai jamais envoyer cette lettre et tu ne pourras jamais la lire. Je la brûlerai dans le jardin quand j’aurai fini de l’écrire pour ne pas être tenté de l’envoyer.
Les jardins sont vraiment magnifiques, d’ailleurs. Je suppose que tu le sais puisque tu es déjà venu. Il y a une ancienne serre de la fin du XVIIIe siècle, et un petit étang avec des nénuphars et des grenouilles, des bancs pour les regarder, un jardin clos, et c’est vraiment sympa de se promener ici avec Mina. Je n’avais jamais eu ni frère ni sœur avant, tu le sais, mais passer du temps avec Mina me fait comprendre davantage ce que tu ressentais pour Livvy. Ressens toujours pour Livvy sûrement. Je ne dis pas que je te pardonne. Seulement que je comprends peut-être mieux.
Blackthorn Hall est toujours en cours de rénovation, évidemment, et il y a des fées partout qui font les travaux. Ce sont des brownies, apparemment, et même s’ils ne font pas grand-chose d’intéressant (arracher les mauvaises herbes, transporter des brouettes pleines de terre, ce genre de trucs), je ne peux pas m’empêcher de les observer. Je n’ai vu presque aucun elfe depuis… eh bien depuis que nous avons eu cette bataille avec eux. Je suppose que je ne me rendais pas compte que j’étais scrupuleusement maintenu à l’écart. Jusqu’à maintenant.
Je ne devrais pas m’approcher d’eux, parce qu’à chaque fois que je suis assez près d’eux pour qu’ils me parlent, ce qu’ils font me fiche la trouille. Le chef de chantier, ce type Round Tom… il n’est pas si rond que ça honnêtement… eh bien la première fois que Round Tom m’a vu, il a fait une petite dance, il bondissait en cercle et faisait des gestes bizarres avec les bras, en finissant par une révérence. J’ai seulement tourné les talons et suis parti dans la direction opposée comme si je venais de me rendre compte que j’avais oublié quelque chose.
Et puis le Général Winter, c’est-à-dire le Général Winter de Kieran, était là pour aider. (Julian dit qu’il est là pour mettre les ouvriers au pas parce qu’ils ont peur du Général Winter mais pas de Round Tom.) El lui, il savait que j’étais le Premier Héritier. Comme les Cavaliers.
Les Cavaliers dont j’ai fait disparaitre les chevaux. Ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas s’ils sont revenus. Je crois que personne ne sait.
J’ai essayé de faire semblant de ne pas avoir entendu le Général Winter mais nous étions dehors et ça aurait été trop évident. Alors quand il s’est adressé à moi en m’appelant Premier Héritier, je n’ai trouvé d’autre à répondre que :
- C’est moi. Du moins c’est ce qu’on m’a dit.
- Si on te l’a dit, a-t-il répliqué, alors c’est vrai, car nous ne pouvons pas mentir.
J’ai eu envie de rétorquer : « Mon pote, j’ai travaillé au Marché Obscur de Los Angeles pendant des années. Les Fées font des tas de trucs pas nets. » Au lieu de ça, je me suis contenté de :
- Je ne sais pas vraiment ce que je suis censé faire par rapport à ça.
Le Général Winter m’a étudié avec un air pensif, avant de déclarer :
- Nul besoin de faire quoi que ce soit, pour l’instant. C’est peut-être bien, pour le moment, la meilleure décision. Car la situation du Royaume est étrange.
- Qu’est-ce que vous voulez dire ?
- Il y a des troubles, a-t-il articulé. Les rumeurs abondent au sujet de la Cour des Lumières. Et Mère Hawthorn chemine à nouveau.
Avant que je n’aie pu lui demander ce que tout ça pouvait bien vouloir dire, Round Tom est arrivé en courant :
- Cousins ! (J’avais oublié que les elfes s’appelaient comme ça parfois, et ça m’a fait frissonner, comme s’il me disait « tu es l’un des nôtres ».) J’ai trouvé quelque chose. Accompagnez-moi s’il-vous-plait.
Il nous a menés jusqu’à l’un des platanes. Non loin de l’arbre se trouvait un grand trou, et de l’autre côté du tronc on avait posé un cercueil en équilibre sur deux tréteaux.
Du moins je crois que c’était un cercueil. Il ne tenait qu’à un fil, était à moitié pourri, fissuré de tous les côtés, recouvert de terre. C’était clairement ce qu’on avait sorti du trou.
- Une tombe ? s’est enquis le Général Winter alors que nous nous approchions.
Round Tom a secoué la tête :
- Nous n’aurions pas touché à une tombe. Mais personne n’est enterré ici. Ce n’est que de la magie. Une magie noire et puissante. Regardez à l’intérieur.
Il s’est reculé. Je me suis rapproché. Il y avait effectivement tout un tas de trucs à l’intérieur du cercueil. On aurait dit… tu vois, les anciens pharaons qui étaient enterrés avec toutes leurs affaires ? ça ressemblait à ça, pour un Chasseur d’Ombres je suppose, sauf que ces affaires étaient un drôle d’ensemble. C’était sale et en morceaux, vraiment bon à jeter : des papiers, des petites fioles, des morceaux de tissu, la garde d’une épée sans lame, ce genre de choses.
- Ça date de quand ? ai-je demandé.
Round Tom a tendu la main et a sorti une bouteille d’alcool. L’étiquette était un peu effacée et déchirée, mais c’était une étiquette imprimée dans un style victorien. Je me suis demandé si Jem et Tessa avaient une idée de qui aurait pu posséder ces affaires.
- Vous avez dit qu’il y avait de la magie là-dedans ? ai-je répété.
- De la magie noire, a-t-il précisé sur un ton grave. De la magie sauvage.
- La malédiction ? a proposé le Général Winter
L’expression du visage de Round Tom a changé. Il a haussé les épaules.
- Peut-être pas. C’est de nature bien moins démoniaque que la malédiction de la maison. Mais venant des racines d’un arbre tout à fait banal, nous devions l’examiner. Il y a deux objets qui vous intéresseront peut-être davantage.
Il a fait un peu le tri dans le bazar et dévoilé un fourreau. C’était un très joli fourreau. Désolé, ça ne le décrit pas vraiment. Un très très joli fourreau. Il fallait le nettoyer, mais il était clairement magnifique et, j’en suis sûr, de grande valeur. Il était en acier mais avec des incrustations d’or en forme de feuilles et d’oiseaux sur toute la surface. Il y avait aussi quelques runes, il avait donc sans aucun doute appartenu à un Chasseur d’Ombre à une époque.
- Cool, ai-je commenté.
- C’est plus que « cool », a rectifié le Général Winter. C’est évidemment le travail de Lady Melusine en personne. Vous voyez qu’il n’y a aucune dégradation ?
Round Tom a pris un air important :
- Toutefois, c’est le moins intéressant des deux objets.
Avec un grand geste théâtral qu’il avait clairement répété avant, il a dégagé tout le bazar d’un côté du cercueil, laissant apparaitre…
- Est-ce que c’est… un pistolet ? me suis-je exclamé.
- Une de ces armes terrestres, oui, a acquiescé Round Tom.
Il l’a pris comme si le coup pouvait partir, même s’il était rouillé et couvert de terre. C’était un revolver. Il ressemblait en tous points aux revolvers qu’on voit dans tous les films de gangsters et les Westerns – je pense que si j’envoyais vraiment cette lettre à Ty, je devrais expliquer ce qu’est un Western.
Bref, la grande différence, c’était que ce pistolet était recouvert de gravures, de runes, de mots et que c’était clairement magique à donf. (Ce qui veut dire… oh, on s’en fiche de ce que ça veut dire.)
- Mais les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas de pistolets, ai-je remarqué.
- Ce n’est jamais arrivé, est intervenu le Général Winter.
Il a saisi le pistolet avec une étonnante familiarité et a visé un arbre à proximité. Il a essayé de tirer, et il n’y a eu qu’un déclic, le barillet n’a même pas tourné.
- Rongé par la rouille, certainement, a constaté Tom
Le Général Winter m’a tendu l’arme pour que j’y jette un œil. Je ne connais pas assez bien les runes pour identifier celles qui y étaient gravées. Je l’ai pointée vers le même arbre, un peu pour déconner, un peu pour la soupeser, et j’ai appuyé sur la gâchette. Et il y a eu un énorme BANG et des éclats de bois se sont envolés du tronc.
Mon bras a eu un mouvement de recul à cause de la force du coup. Et nous avons tous écarquillé les yeux. Mes oreilles sifflaient, mais j’ai cru entendre Round Tom dire quelque chose au Général Winter. Je suis quasi certain que les mots « Premier Héritier » en faisaient partie.
Ce qui est sûr, c’est qu’au moment où j’ai de nouveau tourné les yeux vers eux, vers Round Tom et le Général Winter, leur expression était circonspecte. Fermée.
- Peut-être devrions-nous ramener cet objet à l’intérieur pour voir si les autres Nephilim le reconnaissent, a suggéré le Général Winter d’une voix monotone.
- Je suis certain qu’il ne fonctionne que pour les Chasseurs d’Ombres, ai-je tenté de rassurer le Général, qui s’est contenté de poser sur moi un regard confus sans rien dire. Dans tous les cas, je vais l’amener à l’intérieur.
Je sentais que le Général Winter et Round Tom m’observaient traverser la pelouse en courant pour rejoindre la maison. Jem et Tessa étaient assis dans le canapé du salon et regardaient Mina qui dessinait avec des craies grasses sur du papier kraft.
Dès que je suis arrivé avec le pistolet à la main, ils ont été tous les deux médusés. Tessa s’est levée pour se mettre entre moi et Mina. J’ai essayé de me convaincre qu’elle se tenait entre le pistolet et Mina, mais j’en étais quand même malade.
- Qu’est-ce que… a commencé Jem en se levant.
Mais il n’a pas fini sa phrase. Il m’a simplement scruté, moi et le pistolet.
- Round Tom l’a trouvé dans le jardin, ai-je dit. Est-ce que c’est un pistolet pour les Chasseurs d’Ombres ? (Je sentais que ma voix se serrait.) Les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas de pistolets.
- Il y a longtemps, Christopher Lightwood a essayé de créer un pistolet avec lequel les Chasseurs d’Ombres pourraient tirer, a expliqué Tessa.
Elle n’avait pas détourné les yeux du pistolet.
- Il était dans un cercueil, ai-je indiqué. Avec un tas d’autres trucs. Une épée cassée, un super fourreau.
- Je me demandais ce qu’il en avait fait, a soufflé Jem.
Il ? C’est qui, il ?
Jem et Tessa ont échangé un regard.
- Le pistolet appartenait à mon fils James, m’a-t-elle révélé.
J’ai cru que j’allais être malade. Tessa ne parlait presque jamais de ses enfants avec Will.
- Il était le seul à pouvoir l’utiliser. Personne d’autre que lui ne pouvait faire feu avec.
- J’ai fait feu, ai-je lâché.
Ils ont tous les deux eu l’air stupéfait, et ce n’était pas une bonne chose.
- Tu es très spécial Kit, a commenté Jem. Tu es le Premier Héritier. Nous ne connaissons pas encore tous les effets que ce pouvoir a sur toi.
- C’est peut-être simplement parce qu’il a du sang de fée, a suggéré Tessa.
J’aurais pu dire que ce n’était certainement pas simplement le sang de fée parce que le Général Winter n’a pas pu utiliser le pistolet et il n’a pas que du sang de fée, il a tout un corps de fée avec des organes de fée et tout le reste. Mais je me suis tu. J’avais une sensation étrange dans le ventre. J’ai déclaré que je rangerais le pistolet et ne l’utiliserais pas, et Jem et Tessa ont semblé penser que c’était la meilleure chose que je puisse faire, et Mina est intervenue en disant « Pi-tolet ! » et puis j’ai eu l’impression d’être la pire personne sur Terre.
Et maintenant il est tard et je t’écris cette lettre que je vais brûler quand j’aurai fini, parce que je n’arrive pas à dormir. Parce que je n’ai pas du tout envie d’être la seule personne au monde qui peut tirer avec un pistolet magique. Je ne veux pas que le Général Winter se redresse dès que je l’approche comme si j’étais son supérieur. Je ne veux rien de tout ça. Pendant cinq minutes je me suis dit « ah cool, j’ai trouvé ce pistolet qui a l’air classe et je suis sûr qu’il y a une histoire derrière, je me demande si je pourrais le garder ou si on doit le donner à un musée. » Et puis j’ai fait feu et tout d’un coup… encore un autre truc bizarre chez moi.
Bonne nuit, Ty. Je n’enverrai jamais cette lettre et tu ne la liras jamais.
Kit
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/692032675967614976/kit-to-ty
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 50
Dans la semaine qui a suivi, la mère de Pierre me téléphonait pour confirmer la première des deux dates. Cette fin d'après midi là, je passais la chercher. En moto, je l'ai suivi jusque chez son amie. Grande maison dans le quartier huppé de la ville.
Sonnette, une jeune femme nous ouvre (le service) prend mon casque et nous fait entrer au salon (grand avec des meubles actuels sûrement de designers) Son amie arrive, grande femme (1,75 environ 55Kg) dans la 40aine, très chic. Je détonne un peu en combinaison moto noire (mais c'est mon seul moyen de transport). La mère de Pierre nous présente, moi comme un fils d'amis. Comme un silence un peu gêné s'installe, du au fait que personne n'était dupe de la raison de ma présence, elle nous laisse en prétextant des courses à faire.
Pour alimenter la conversation, je lui dis être paysagiste. Elle saute sur l'occasion pour m'emmener au jardin. Là je reconnais la " patte " d'un confrère de la ville. Jardin bien classique mais parfait. A mi parcours, je l'interromps dans ses explications et lui demande brusquement si je lui plais. Elle bafouille un peu en me disant que oui pour ce qu'elle voyait. Comme je lui proposais d'en voir plus, elle rougit et me dit que pas aujourd'hui car son personnel était là. mais que si je pouvais revenir à la seconde date que j'avais proposé, ce serait leur jour de congé. Nous finissons le tour du jardin puis je me sauve.
Deux jours plus tard, 16h, j'arrivais chez elle. Elle m'ouvrit elle même la porte. Un bref instant de gêne que je dissipe en lui demandant si je pouvais me laver car j'arrivais directement du travail. Elle me conduit à l'étage dans une chambre et sa salle de bain contiguë. Comme elle va pour sortir, je l'arrête et lui dis qu'il fallait bien qu'elle juge de ce que la combinaison couvrait. Elle reste debout dans la porte. je me sors le la combinaison avec un minimum de contorsions et me retrouve en Marcel athlétique et shorty Aussiebaum (du modèle qui met bien le paquet en évidence).
Avant que j'ouvre la bouche, elle me dit que ça va (heureusement ! avec tout le sport que je fais, sans me vanter, je suis quand même bien gaulé !!) J'enlève le haut puis me tourne et ôte le bas avant de pénétrer sous la douche. je n'ai pas fermé la porte. Je reste toujours le dos tourné. Puis après quelques gestes vains pour me savonner le dos, je lui demande son aide. J'attends que ses mains me touche avec plus d'assurance avant de me tourner. Je ne bande pas complètement mais commence quand même à présenter un sexe honorable. Alors qu'elle a un mouvement de recul, je la prends dans mes bras et l'amenant avec moi sous la douche la trempe entièrement. La surprise la bloque et j'en profite pour doucement lui baiser les lèvres. Juste posée dessus, ma bouche s'entrouvre et je pointe ma langue, la passant sur chacune des lèvres avant de passer entre. Je bute contre ses dents. Je recommence sur les lèvres.
Au 4ème essai, les mâchoires s'entrouvrent et je sens sa propre langue venir au contact de la mienne. Soudain, sa retenue lâche et nous nous embrassons à pleine bouche. Quelle furie ! Je stoppe l'eau et commence à la déshabiller. Je d "couvre une belle femme dont le corps n'accuse pas son age. Pas un centimètre de graisse. De beaux seins bien ronds et un bassin large mais pas trop. Une belle femme ! Aussitôt nue, je la bloque en passant une jambe entre ses cuisses jusqu'à ce que la peau de mes cuisses entre en contact avec sa vulve. Je monte légèrement plus et elle se retrouve sur la pointe des pieds obligée de chevaucher ma cuisse. Là je sens vraiment sa chatte s'écraser dessus. Nous continuons à nous embrasser.
Je la porte jusqu'au lit. Et la pose sur le dos. Je me place au dessus d'elle, reprend mon baiser avant de descendre lentement. Je commence par le sein droit et m'attarde sur son téton qui gonfle sous ma langue. elle commence à haleter. Je passe au téton gauche et lui fait subir le même sort.
Puis toujours lentement, je descends ma tête vers le bas, laissant ma langue traîner sur sa peau. Un court arrêt au nombril puis je plonge sur sa chatte. Elle est brûlante ! Je note que même si cela fait longtemps qu'elle ne s'est fait sauter, elle a pris soin de l'entretenir et les seuls poils qui subsistent sont bien taillé en un court " ticket de métro " (ça tombe bien j'aime pas les poils qui se coincent entre les dents). Je commence par lui sucer les grandes lèvres jusqu'à ce qu'elles soient bien gonflées. Puis je les maintiens écartées avec mes doigts pour passer aux petites et rapidement trouver le clitoris. Je prend ce dernier entre mes lèvres et l'aspire. Il est assez long et je n'ai aucun mal a le bloquer entre mes incisives. J'entends son excitation qui monte. Je tend un bras vers ses seins et lui pince doucement un téton. Entre les deux stimuli, elle se cambre d'un premier spasme de plaisir. Je m'accroche et continu le passage rapide de la langue sur le clito. Je lui arrache ainsi son premier orgasme.
Je continu, pas question de laisser retomber l'excitation. Je quitte le clito et entre ma langue dans sa chatte. J'ai la chance de disposer de 6cm d'un muscle que je peux à volonté rentre pointu ou large. J'alterne entre pénétration linguale et léchage de vulve. Lors de ces stimulations externes, je laisse ma langue descendre bas sur le périnée jusqu'à la passer de l'anus au clitoris. Quand je sens de nouveau une montée de plaisir, je pointe ma langue dans son vagin. Nouvel orgasme, elle serre les cuisses et je me retrouve assourdi par la pression de ses cuisses sur mes oreilles ! Quand j'arrive à me dégager, je me redresse et me couche à son coté. Je tourne sa tête de ma main gauche et dépose un baiser sur les lèvres pendant que je laisse les doigts de ma main droite masser puis pénétrer son sexe. Je sens les parois du vagin coller mon majeur. Ma bite devrait y être bien serrée tout à l'heure. Je continu mon massage digital attendant qu'elle me demande de la pénétrer. Elle me le demande après un bon 1/4 heure de ce régime. Je m'enkpote et comme elle reste étendue sur le dos, je me couche sur elle, écarte ses cuisses avec mes genoux et commence à la pénétrer. Mon gland glisse dans son vagin bien lubrifié. Comme je l'avais pressenti, les parois collent bien et j'ai comme un impression de sodomiser un puceau (sans le passage de l'anus).
Mais la position ne me permet pas de m' " exprimer " complètement ! je passe mes bras sous ses genoux et lui bascule les jambes en l'air. Ça relève son bassin et je peu enfin lui enfiler mes 20cm. Je commence à limer. En me penchant, j'arrive à lui bouffer un téton. Je sens soudain ses mains sur ma tête m'attirer vers son visage. On se regarde dans les yeux. Je voie dans les siens le plaisir que je lui donne. Elle m'attire plus vers elle et écrase ma bouche de ses lèvres, sa langue cherchant la mienne. Je guette le paroxysme et j'éjacule dans ma kpote quand je sens les contractions vaginales presser ma queue. Je continue encore quelques va et vient pour tirer les derniers spasmes.
Je relâche la position et bascule sur le coté. Je maintiens le contact par de lents mouvements circulaires sur ses seins. Elle se blotti contre moi passant sa cuisse sur mienne. Lentement la pression retombe. Comme un con je lui demande si ça lui a plu. Elle a la gentillesse de me répondre avec un sourire que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pris autan de plaisir. yes ! ;
Je regarde l'heure, putain ! il est déjà 19h30 ! 3 heures1/2 que l'on baise ! je saute hors du lit et me douche vite fait. Quand je sors, elle n'est plus dans la chambre. Je remets mes sous vêtements, ma combi et mes bottes et descend au rez de chaussée. Je la trouve en peignoir, elle tient dans ses mains une enveloppe qu'elle me tend. Je la prend sans lui faire l'injure de l'ouvrir et la prend dans mes bras pour lui rouler une pelle. Quand je la relâche, elle me demande si je peu passer la semaine suivante. J'accepte et me sauve.
Arrivé à la maison, Marc m'attendait. Il savait où j'étais. Je lui résume ma fin d'après midi tout en retirant ma combinaison. Dès que je suis en shorty, il m'ordonne de me préparer et d'aller me mettre sur le sling de la salle de muscu. J'obéi ! je descend et me mets nu. D'un doigt dans le cul, je vérifie que de ce coté là c'est ok et me place dans le sling. Marc me rejoint nu. Il m'attache les membres aux chaînes de suspension. Ça faisait longtemps qu'il ne l'avait fait. ! Puis sans plus de préparation qu'un peu de salive sur mon anneau, il m'encule brusquement. Je suis surpris, d'habitude son autorité est mentale, physique mais pas brutale ! Il me sodomise violemment, et je comprend quand il me dit " alors t'aimes pas ça te faire enculer ? ".
Je lui dis que " c'est trop bon ", que " sa bite dans mon cul c'est ce qui me fait kiffer le plus grave ". D'un coup j'ai eu l'impression qu'il avait du croire que j'avais re-basculé hétéro ! J'ai pris ce soir là un plaisir fou à me soumettre à sa volonté et à ses 22cm de bite ! Après m'avoir rempli le cul, il ;m'a détaché puis comme il ne débandait pas, je me suis mis à le sucer. Il m'a limé la gorge une bonne demi heure avant que je ne sente son sperme me couler dedans.
Franchement entre les 3 heures avec la meuf plus Marc, j'avais mal à la mâchoire. Les muscles ankylosés, j'ai eu du mal à mâcher mon dîner !
Avant d'aller nous coucher je repensais à l'enveloppe. J'y trouvais un petit mot me précisant que la somme lui avait été soufflée par la mère de Pierre mais que si c'était trop juste il fallait le lui dire. Je comptais mille, plus que je n'aurais osé demander (même si je suis devenu gourmand ces derniers temps).
JARDINIER
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icariebzh · 2 months
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".../...Il est un peu en avance, toujours aucune trace de ses amis. Il s'assoit sur un banc de jardin qui jouxte le musée de l'Homme et sort de sa poche La Chambre de Giovanni. Il l'a commencé dans le métro, les premières pages lui plaisent déjà. Il prend un crayon et son carnet puis, le livre en équilibre sur ses genoux note:"...on ne peut malheureusement pas inventer nos amarres, nos amants ni nos amis, pas plus qu'on ne peut inventer nos parents. La vie nous les donne et nous les reprend, et la grande difficulté est de dire oui à la vie." "La vie nous les donne et nous les reprend" répète-t-il. Etrange, comme les mots lus dans un livre, choisi au hasard sur la table d'une librairie, peuvent résonner en nous. Il arrête de lire et, les yeux dans le vide, se souvient de la mort de son père, de ces moments où, comme sa mère, il avait arrêté de dire oui à la vie. Il n'aime pas y repenser, pourtant les mots de Baldwin l'y obligent. Il entend le souffle court et rauque de son père, la toux et les crachats. Il redoutait ces bruits qui venaient la nuit de la chambre voisine et l'avaient amené à haïr son père. Comme il aurait préféré continuer à l'aimer! Il savait bien qu'il n'y pouvait rien., qu'il ne faisait pas semblant de mourir, qu'il ne faisait pas exprès de s'étouffer, mais il lui en voulait de le déranger dans son travail et dans son sommeil, il avait l'impression qu'il abandonnait sans combattre, sans se soucier du vide qu'il allait laisser. La mort et le vide. S'il ne s'était pas rendu compte sur le coup de l'effet que cette extinction progressive avait sur lui, s'il n'avait pas compris à quel point la tristesse et la conscience de la mort s'étaient emparées de lui, il avait bien ressenti la diminution du temps que sa mère pouvait lui consacrer: leurs sorties au cinéma s'étaient arrêtées et les moments qu'ils partageaient autour des devoirs et des livres qu'il lui lisait s'étaient réduits. Le souvenir des soirées qu'il passait seul, ou pire encore avec sa tante paternelle et ses cousins insupportables, quand sa mère était à l'hôpital pour veiller son père dans la phase terminale de son cancer, lui serre encore le coeur, cette sensation d'abandon dont il n'arrivait pas à se détacher, partagé entre acceptation et jalousie. Comment pouvait-il être jaloux d'un  mourant?  Lui le bon élève, sérieux et travailleur, avait avait perdu l'envie d'aller au lycée du jour où  il avait compris que la maladie se son père était incurable. Il se souvient-là sur son banc, un peu triste maintenant, sans même se rendre compte de l'agitation qui s'accentue autour de lui,  des mouvements des forces de l'ordre et des manifestants qui commencent à occuper les points stratégiques- des matins où il lui était  impossible de se lever, malgré les efforts de sa mère, et où il finissait comme son père, par rester couché et louper les cours. Il avait quatorze ans quand la maladie s'était déclarée, et il avait fallu que Georges meure, deux ans plus tard, pour qu'il sorte de sa déprime.
Et comme pour marquer ce retour dans le monde des vivants, il s'était mis à porter des tenues voyantes de dandy inspirée des muscadins, à parler comme un aristocrate, à se laisser  pousser les cheveux, à fumer et à boire, à écouter du rock anglais autant que du Wagner...
Bref à se faire remarquer.
Il avait un peu honte de le dire, mais la mort de son père avait été une libération.
.../..."
Charles Salles extrait de: Alain Pacadis Face B-Editions: La Table Ronde
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renxmaiden · 1 year
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2004 France, Jardin Du Grand Rond
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elinaline · 4 months
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paris game. palais garnier, notre dame, musée d'histoire naturelle et ses jardins
Le palais Garnier en lui-même est très joli mais je deteeeeeeeesssteeeeee le quartier Lafayette je le déteste. La rue saint Anne juste un peu plus loin avec tous ses ramens par contre, trop bien. Mais le vieux carrefour rond point en face du théâtre là ? Nul à chier. Dangereux. Ça pue. Trop de gens. Et des gens riches en plus donc il faut faire attention pour eux à ce qu'ils ne te rentrent pas dedans.
Jardin des plantes my beloved par contre. Le museum aussi, que ce soit la galerie de l'évolution qui est top avec les enfants, ou la galerie minérale paléo trop trop cool. Un jour j'arriverai à avoir un billet pour visiter la grande serre, je n'ai encore jamais réussi elle est toujours complète. Mes coins pref du jardins, c'est la promenade sur le côté l'animalerie, pour montrer les pandas roux aux gens de dehors, le jardin pyrénéen dont l'entrée est cachée et qui est du coup super calme, et le petit coin à côté de l'ancien labyrinthe tourné réserve naturelle qui est très joli et bien ombragé.
Mention spéciale à la grande mosquée de Paris juste à côté de l'entrée Sud, qui est magnifique et dont le salon de thé est délicieux.
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I thought about something.
Mevanwi à sûrement toujours vécu à Kaamelott grâce au fait que Karadoc soit chevalier. Ça veut aussi dire qu'elle a possiblement passé la plupart de ses grossesses au château.
Du coup Guenièvre, étant l'adorable commère curieuse qu'elle est, a probablement était là pour les naissances des enfants. Elle a sûrement poser sa main sur l'immense ventre rond de Mevanwi et à sentit les coups de pieds de Mehben et les coup de poing de Meghan.
Elle a sûrement croisé Dame Mevanwi dans les jardins et lui a dit avec beaucoup un grand sourire à quel point sa troisième grossesse la rendait radieuse (même si c'était pas forcément vrai, elle avait l'air surtout très fatigué mais que Guenièvre avait juste entendu ça quelque part mais qu'elle ne voulait pas manquer une occasion d'être polie et gentille).
Guenièvre qui a sans doute saoulé Arthur un nombre inimaginable de soirs avec "l'énorme ventre de Dame Mevanwi", "si vous aviez sentit le bébé", "il faudrait lui préparer une petite fête ou lui offrir un petit quelque chose" et "et si on pariez si c'est une fille ou un garçon ?" avec sa voix aiguë et pleine d'excitation.
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swedesinstockholm · 1 year
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journal de let’s move pt. 5
29.01
j’ose pas affronter mon journal, trop de choses à dire. alors des images:
cybille qui se relève avec son cul collé au mien sur le dernier and all that jazz et moi qui me trémousse contre elle en chantant et elle qui me dit tu l’as kiffé le dernier and all that jazz là et moi qui dit hein? 
moi roulée en boule sur un fauteuil mies van der rohe du foyer dans mon sous-pull rayé après le show en train de regarder éléonore avec la tête appuyée sur le dossier pas confortable au bord des larmes mais les bonnes larmes et maya qui vient me dire qu’un des syriens pensait que je faisais partie des pros lui aussi, il est venu me féliciter et je l’ai remercié en posant mes mains sur le coeur comme la drama queen premier degré que je suis. 
tous les participants qui m’ont applaudie après l’échauffement quand on a fait le débrief avec sylvain et qu’il a dit elle est où la chanteuse de all that jazz? et qu’il m’a mis mille pouces en l’air en disant que c’était top super super bien et puis il est passé à la la land et il a mis les pouces en bas.  
le moment plein de joie où on a décidé de partir à rennes en stage intensif de chant chez éléonore avec audrey et qu’on s’est dirigées droit sur elle pour aller s’incruster dans la conversation et elle s’est interrompue pour nous regarder avec son air de clown, et puis on est restées trois heures à l’écouter nous expliquer des trucs techniques sur la voix et les spécificités de son métier de cheffe de choeur comme des groupies mais j’arrivais pas à me concentrer sur ce qu’elle disait parce que j’étais trop fatiguée et aussi trop occupée à regarder ses mains qui nous expliquaient comment fonctionnent les cordes vocales qui vibrent 440 fois par seconde avec ses doigts bagués de lesbienne et ses ongles tout petits petits. sur scène au moment où on se retourne pour chanter if she’d hear her baby’s queer on s’est regardées et je crois que c’était le hasard mais j’étais en feu. comment je fais pour transformer chaque projet de spectacle participatif auquel je participe en gigantesque drame lesbien imaginaire? c’est un don et il faut que je trouve un moyen de le rentabiliser.
je continue à avoir les larmes pas loin des yeux à chaque fois que je pense à cybille et à sa vie de danseuse avec ses deux enfants et son copain qui s’est barré et ses parents en corrèze qui gardent ses enfants quand elle travaille. peut être que ça a un rapport avec maman. quand on s’est dit au revoir un peu avant une heure du matin dans son grand manteau en peau sa casquette noire et ses lunettes rondes elle m’a dit: et que la vie redevienne lumineuse, ou un truc comme ça. je dois encore porter la tristesse sur moi. vendredi soir au dessus des coupes de champagne je suis brièvement tombée dans le puits de la mélancolie et quand elle m’a demandé si j’avais de la famille ici, je sais pas pourquoi j’ai interprété de la famille d’ici, et j’ai dit non ils sont tous morts et j’ai eu un rire nerveux et elle a dit j’adore ton humour noir et j’ai dit non mais c’est vrai en plus et ç’a répandu un petit flottement sombre et je me suis demandé pourquoi j’avais dit ça. ils sont tous morts. pourquoi je glisse toujours dans le glauque? mais la mort n’est pas glauque, peut être que ce que je veux dire plutôt c’est: pourquoi avec moi la mort n’est jamais loin? j’ai l’impression de la traîner avec moi partout où je vais comme un personnage de tove jansson avec deux yeux perçants mais pas de bouche, prête à surgir à tout moment.
en regardant les photos de son profil fb je suis tombée sur des photos d’une représentation où ils dansent dans des jardins et sur la route et sur le trottoir et on y voit cybille perchée sur un mur au dessus d’un homme qui joue du saxophone avec ses longs cheveux bruns qui flottent dans le vent et y a des gros nuages gris derrière elle et elle descend doucement sur les épaules du saxophoniste, pour délicatement finir sur son dos, agrippée à lui, sa tête posée sur son épaule avec les yeux fermés, au milieu d’un jardin un peu moche avec du gravier blanc et des fleurs roses et blanches. rien que de voir les photos j’avais envie de pleurer. la douceur qui s’en dégageait, je sais pas. ça m’a donné envie de faire une performance dans la rue, sur un trottoir, dans un jardin. et puis l’idée de collaborer avec elle m’a brièvement traversé l’esprit. elle doit passer la semaine à paris pour “bosser sur une créa.” j’ai pas osé lui demander ce que ça voulait dire. quelqu’un lui a demandé si c’était elle la chorégraphe et elle a dit ohlala non pas du tout, chacun son travail, moi je suis interprète.
après le show les artistes sont tous venus dans nos loges et sylvain a fait un petit discours, il disait qu’à chaque fois qu’on ressentirait de la colère, on devait penser au moment qu’on venait de partager, interculturel, inter tout, les réfugiés syriens qui coiffaient les filles ukrainiennes avant de monter sur scène parce qu’ils étaient coiffeurs dans leur vie d’avant, des traumatisées de la danse comme moi qui dansent sur scène avec des danseurs et danseuses professionnel.les et qui ont dansé la valse avec pas moins de CINQ inconnu.es du public dont un type d’à peu près mon âge j’ai invité un type à danser la valse avec moi je peux tout faire maintenant. j’ai aussi invité une femme qui était dans mon cours de théâtre et qui m’a dit tu me reconnais pas? parce que j’ai trop la grosse tête depuis qu’ils ont fait de moi une star. j’ai fait plusieurs traversées de la scène au mambo aussi, elles étaient arythmiques et désarticulées et j’étais toujours pas à 100% à l’aise mais j’essayais de me rappeler de ce que quelqu’un m’avait dit: c’est pas grave si tu sais pas danser la valse, ça fait partie de ton personnage, et ton personnage il sait pas danser la valse.
et donc dans les loges j’étais appuyée contre le porte-manteau avec la tête d’une fille qui s’était collée contre moi posée sur mon épaule, la pression qui retombait et la tension émotionnelle qui montait chez tout le monde, les yeux humides de sylvain, la tristesse à l’idée que ce soit terminé, j’ai commencé à pleurer: des gros gros sanglots de volcan c’était magnifique. 
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benlettres · 2 years
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Le chant de l’ignorance
Note : Habituellement mes micronouvelles comptent 500 mots. Celle-ci est un format double, 1000 mots.
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Malgré la guerre qui a décimé des peuples entiers, malgré la mer qui a noyé des continents, malgré la faim qui a emporté des millions de personnes, les derniers humains de la planète s’entêtent à s’enraciner dans le sol et à s’élever dans les airs.
Comme des termites inépuisables, ils réparent, remplacent ou, au pire, relocalisent leurs villages plus loin, plus haut. Et partout, dans les quelques communautés qui subsistent, chacun se conforme au Premier Commandement : « Multipliez-vous et remplissez la Terre. » Pour les humains, cette ordonnance est devenue la dernière stratégie de survie et la vertu cardinale qui a supplanté toutes les autres.
Chaque année, au solstice d’été, les survivants se rassemblent dans les quelques endroits qu’ils peuplent encore, généralement une vallée ombragée à l’abri des tempêtes les plus destructrices et des vagues de chaleur les plus intenses.
Exactement vingt-et-un jours avant le solstice, tout s’arrête dans les villages. Les hommes prennent congé de leur travail. Les couples se séparent. Hommes et femmes vivent chacun de leur côté, dans une abstinence rigoureuse.
Seuls les jardins d’enfants restent en activité. On confie alors les petits aux femmes enceintes, à celles qui allaitaient et aux vieilles qui ne sont plus en âge de procréer.
Au cours des dernières semaines qui précèdent le solstice, les hommes se consacrent à la confection de leur tenue nuptiale et à la pratique de leurs mouvements de danse. Ils les perfectionnent et en affinent l’exécution en vue de la parade par laquelle ils s’offriront aux femmes. À la toute veille de l’évènement, ils se parent de couleurs flamboyantes et revêtent leur livrée toute neuve en prenant soin de laisser paraitre leur poitrine musclée et leurs jambes puissantes.
Tous les danseurs sont nerveux, même les plus forts, les plus grands et les plus habiles. Bien sûr, ils seront choisis, mais ils ne peuvent savoir par qui. Les plus vieux, tentent le coup, peut-être pour une dernière fois. Les novices tremblent, autant par nervosité que par excitation. Une première reste toujours une première.
Réunies autour d’eux au soir du solstice, les femmes admirent les danseurs et commentent leurs mouvements. Toutes connaissent déjà les succès de reproduction inscrits à leur fiche personnelle. C’est là le plus important. Mais elles s’intéressent quand même à l’art qu’ils mettent dans l’acte de reproduction et à l’harmonie de leur corps.
Ce jour-là, Dorothée est heureuse comme une reine.
Dorothée a toujours été ronde. Et depuis sa puberté, elle a toujours été grosse. Enceinte pour la première fois à treize ans, elle a multiplié les grossesses. En fait, elle ne se souvient pas d’une année où elle n’aurait pas été gestante. Elle-même se vante d’avoir consacré sa vie à la donner. Les plus malignes disent qu’elle l’a bien plus gagnée que donnée.
En effet, chaque naissance accroit sa richesse. Ses nombreux enfantements lui ont tellement rapporté qu’elle vit dans une opulence que beaucoup lui jalousent. Et elle continue à engendrer des marmots aussi souvent qu’elle le peut, parce qu’elle tient plus à sa prospérité qu’à sa postérité.
Une fois nés, les petits qui survivent sont confiés au service public qui les mène à la vie adulte. Mais ils ne sont pas si nombreux à y parvenir. Ceux de Dorothée réussissent mieux que d’autres. Et cela rapporte davantage.
Au cours des trois dernières décennies, elle a mis tant de bébés au monde qu’elle n’en a retenu ni le nombre exact ni la liste des prénoms. Cependant, elle a su comptabiliser la rente qu’ils lui rapportent. Et, fait tout aussi important à ses yeux, les six couples de jumeaux qu’elle a menés à terme lui ont mérité la première place au tableau national de la fécondité.
Comme les autres femmes, elle est venue choisir celui qui la fécondera et lui permettra de livrer un nouvel enfant à la communauté. Son statut de reproductrice la plus prolifique lui assure le privilège du premier choix parmi les danseurs.
Une fois la sélection de Dorothée connue, la suivante dans l’ordre des procréatrices pourra choisir un mâle à son tour. Et ainsi de suite, jusqu’à la plus jeune fille en état de procréer.
Toutes disposent de onze mois pour réussir ou, plus précisément jusqu’à vingt-et-un jours avant le prochain solstice d’été, sans quoi, elles seront repoussées dans la hiérarchie des génitrices.
Aussi, bien que les femmes puissent choisir l’homme avec qui elles viennent de passer l’année, peu le font. Car si celui-là ne leur a pas donné d’enfant, elles préfèreront chercher un géniteur plus performant.
Pour Dorothée, encore plus que pour les autres, il importe que le sien produise rapidement. Quand viendra le prochain solstice, et qu’on refera la hiérarchie, Dorothée entend tenir la première place, une fois encore.
Toutefois, à quarante-six ans, elle sait que sa principale source de revenus va bientôt se tarir. Aussi, c’est avec beaucoup d’attentes qu’elle évalue les étalons.
Bien avant ce jour, elle a repéré un grand costaud à la peau mate. À trente ans, il a l’âge que pourrait avoir un de ses rejetons. Mais, ce bellâtre a déjà engendré quatre garçons et trois filles, c’est cela qui importe. Même si peu ont survécu, les autorités garantissent sa fertilité.
À l’ouverture de la cérémonie, Dorothée le sélectionne sans attendre et l’amène dans son logis. Elle le met au travail le jour même. Dans tous les logements du village, les autres femmes agissent ainsi.
Pendant les mois qui vont suivre, toutes et tous se consacreront à peupler le monde, sans savoir que malgré leurs efforts, rien n’empêchera les éléments de se dégrader.
Hors de la vallée, les tempêtes continueront à se gonfler, les vents rageront de plus en plus, la température s’élèvera encore. De moins en moins de lieux resteront habitables, et de moins en moins d’humains les habiteront.
Eux n’y croient pas. Tout reste comme avant dans la vallée. Femmes et hommes poursuivent leur mission de se multiplier jusqu’à remplir la Terre et à dominer le monde.
Et, au soir du solstice d’été, chacune et chacun entonnent avec ivresse le chant de l’ignorance.
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Benoit Bolduc/avril 2022
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adonnante-blog · 1 month
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[gallery ids="58058,58057,58056,58055"] C’est au culot et après un timing de préparation record qu’Eric Péron avait choisi d’embarquer dans l’aventure de cet événement hors normes qu’est l’ARKEA ULTIM CHALLENGE - Brest, le premier tour du monde en solitaire en course des ULTIM. Franchir la ligne d’arrivée à bord de son ULTIM ADAGIO après 66 jours, 1 heure, 14 minutes et 27 secondes de mer d’une circumnavigation combative et maîtrisée est une immense victoire pour le Finistérien. Cinquième sur les six engagés à retrouver le public brestois, Eric Péron sera fêté à la hauteur de cette performance : il rentre dans le club prestigieux des onze marins à avoir bouclé dans l’histoire un tour du monde en solitaire en multicoque. L’étoffe des héros. L'ARRIVÉE EN LIVE ! C’était hier, c’était il y a une éternité ! Célébrés comme des astronautes au départ d’un vol spatial, chaque skipper rejoignait son bateau au petit matin du 7 janvier sur le quai Malbert de Brest. Premier à quitter le ponton, Eric Péron partait un peu plus que ses camarades dans l’inconnu. Après trois mois à raturer des jobs lists, une grande page blanche s’ouvrait pour le skipper de l’ULTIM ADAGIO, l’ex-Géronimo, né en 2001, refondu en 2013 et récupéré trois mois plus tôt. Ce jour-là, Eric Péron ne comptait pas plus de 10 jours de navigation à son bord pour sa qualification et quelques sorties techniques. L’ARKEA ULTIM CHALLENGE - Brest était sa première course en ULTIM, son premier tour du monde en solitaire aussi ! Mise en orbite Petit poucet chez les géants, Eric ne pouvait compter que sur son sens marin et l’expérience de vingt ans de course au large tous azimuts, pour trouver le meilleur tempo, la meilleure route, bref faire de l’ULTIM ADAGIO son compagnon, son double pour retrouver derrière le goulet de Brest, la civilisation. « Je serai soulagé au Pot au Noir », disait alors le skipper, conscient que son jardin de l’Atlantique Nord serait un SAS de décompression avant sa mise en orbite autour de l’Antarctique. Dix jours plus tard, Eric avait pris ses marques, passé sa première dépression en faisant le dos rond, et s’apprêtait à réaliser de belles journées en bordure de l’anticyclone de Sainte-Hélène. Coup du sort, son avarie de safran le contraignait à relâcher à Cape Town, escale technique autorisée par le règlement à laquelle aucun des six skippers engagés n’a échappé et à laquelle le team Adagio a répondu présent dans un temps record. Après tout juste 24 heures, le minimum obligatoire, Eric reprenait la mer avec un trimaran à 100% de ses capacités. Les joies et les peines Le skipper rentrait vraiment dans le Sud, avec ses joies et ses peines. La peine, ce fût l’océan Indien où la conjonction du pit stop de Cape Town et une dépression tropicale imposaient une route Nord, pas vraiment inscrite dans les livres de cet océan vicieux et mal pavé. Eric découvrait aussi l’ingratitude de la course en deuxième rideau où seuls les initiés savent que chaque mille se gagne, que la distance aux leaders, si grande soit-elle, ne signifie jamais le relâchement sur ces bateaux capables de performances exceptionnelles mais qui supposent un investissement physique, une attention constante et une résistance au stress hors normes. La joie, c’est d’avoir réalisé une traversée du Pacifique presque parfaite, signant au cap Horn le meilleur temps de la course (9 jours, 15 heures, 50 minutes et 10 secondes), avec des enchaînements impeccables pour rester devant les dépressions australes. Et comme la course au large en solitaire est toujours un yoyo émotionnel, la remontée de l’Atlantique Sud alternait méchantes dépressions et pétole tenace, un vrai supplice pour Eric lancé à la poursuite d’Anthony Marchand qui le précède à Brest. Histoire de générations, question de personnalité Constater qu’Eric Péron coupe la ligne d’arrivée à Brest « seulement » 15 jours derrière le vainqueur Charles Caudrelier a-t-il un sens ? Même si les aléas techniques et météo de chacun ont été différés
dans le temps, ce delta de 30% est conforme à l’écart de générations entre les deux, mais certainement pas supérieur. La juste confirmation du bond prodigieux entre un ULTIM volant qui peut marcher à 40 nœuds et un trimaran archimédien qui plafonne à 30. Eric le savait au fond de lui avant le départ, mais le compétiteur a sans doute eu du mal à se l’avouer, cravachant sans cesse et ne lâchant rien pour rester dans le match qu’il s’était fixé. Reste aussi de ce tour du monde l’immense bonheur, la fierté du marin capable de mener un des plus grands bateaux de la planète qui, tout archimédien soit-il, peut chavirer avec 15 nœuds de vent et réclame un savoir-faire et une attention peu communs. Mais aussi la reconnaissance d’avoir été bien accompagné par une équipe dévouée, attachée à lui permettre de partir dans les meilleures conditions possibles et lui apporter toutes les solutions et l’appui nécessaires dans cette immense épreuve en solitaire. Une aventure extraordinaire qui n’aurait pas été possible sans le soutien de sponsors engagés et solidaires : Adagio, leader européen de l’appart’hôtellerie qui a pris les devants en septembre en devenant partenaire titre ; French Touch Oceans Club, collectif d’entreprises qui défendent le savoir-faire français et soutien historique du skipper ; et la manufacture horlogère suisse Alpina, chronométreur officiel de ce tout premier tour du monde en ULTIM et dont Eric Péron est devenu ambassadeur pour les valeurs communes qu’ils partagent. Et puis la joie de partager une aventure qui a le sel des grandes premières. Des six marins engagés, Eric est celui qui a probablement le plus communiqué depuis son bord, multipliant interviews, rencontres avec les écoles et ses partenaires, ne comptant jamais son temps et répondant inlassablement présent aux multiples sollicitations. Tenace, direct, combatif et endurant, c’est en ces mots que tous ceux qui ont échangé avec Eric ont découvert ou retrouvé ce skipper attachant qui revient à Brest la tête haute, se donnant raison d’avoir cru en lui. Ils ont dit : Eric Péron, skipper de l’ULTIM ADAGIO : « Je suis très fier de boucler ce tour du monde à la cinquième place vu les clients autour de moi et le potentiel de leur bateau. Fier de rentrer dans ce cercle très fermé des skippers qui ont réalisé un tour du monde en multicoque en solitaire. Et fier de comment on a mené ce tour du monde avec mon équipe ! Ce n’était pas simple, il y a eu des péripéties, de la casse, des réparations et des bons moments aussi. Il y a même eu un temps de référence sur le Pacifique, avec un bateau qui est 30% moins rapide que les bateaux qui volent. C’était une performance d’avoir des moments de gloire comme celui-là ! Ça a été une épreuve pour moi dans plein de domaines de passer 65 jours en mer. J’ai appris plein de choses, j’ai appris sur moi. Je suis maintenant assez confiant, il y a des choses que je suis venu chercher et que j’ai trouvées. C’était une quête pour moi de vivre ça. Après tant d’années de préparation en tant que marin, j’y suis arrivé, j’ai fait ce que je voulais faire. Il y a des moments où j’en ai bavé, mais je me disais que j’étais chanceux et que je n’avais pas le droit de me plaindre. Quand on relativise comme ça, on peut soulever des montagnes. Ce tour du monde s’est fait au forceps sur la mise en place, ça s’est fait très tard. Je suis hyper fier de ce qu’on a pu réaliser en tant qu’équipe pour monter et gérer un projet d’une telle ampleur en si peu de temps. Ça aussi c’est une super performance ! Chaque personne du team, de la technique à l’opérationnel en passant par la com, tous ont œuvré pour que tout se passe bien. Donc bravo à eux ! Enfin, un immense merci à tous les sponsors qui se sont investis dans cette aventure. Pour raconter de belles histoires comme ça, il faut oser. Il faut prendre le risque de les écrire à plusieurs. Même si j’étais tout seul sur mon ULTIM ADAGIO, j’étais gonflé à bloc par les messages de soutien de tous les collaborateurs des entreprises qui me soutiennent. »
Xavier Desaulles, CEO d’Adagio Aparthotels : « Entrer dans le cercle fermé des 11 marins-explorateurs qui ont réalisé un tour du monde en solitaire en multicoque est un exploit pour Eric, son équipe et ses partenaires. Il récompense la détermination, l’audace, le sens du partage dont toutes les parties prenantes ont su faire preuve à l’occasion de cette course inédite. » Yasmina Pedrini, Directrice Communication d’Alpina : « Aujourd’hui chez Alpina Watches, nous célébrons avec une fierté immense l'esprit indomptable de notre ambassadeur, le courageux navigateur Éric Péron, qui vient de marquer l'histoire en accomplissant un défi sportif et humain exceptionnel : un tour du monde en solitaire à bord de son Ultim Adagio lors de la première édition de l’Arkea Ultim Challenge-Brest. En bravant les étendues infinies des océans et en affrontant pas moins de cinq concurrents équipés de bateaux plus performants et modernes, Éric a non seulement prouvé une détermination sans égale, mais a également démontré une maîtrise exceptionnelle de son navire. Chez Alpina Watches, notre engagement envers ceux qui repoussent les limites et dépassent les attentes est inébranlable. En tant que chronométreur officiel de l'ARKEA ULTIM CHALLENGE - Brest, nous avons eu l'honneur de capturer chaque instant palpitant de cette aventure maritime extraordinaire. Nous adressons nos plus sincères félicitations à Éric pour cette incroyable réussite, une véritable source d'inspiration pour tous ceux qui aspirent à conquérir l'inconnu. » La course d'Eric Péron à bord de l'ULTIM ADAGIO en chiffres : Arrivé Mercredi 13/03 à 14 heures 44 minutes 27 secondes Temps de course : 66j 1h 14 min 27 sec Milles parcourus : 29 107,65 milles Vitesse moyenne réelle : 18,36 nœuds Vitesse moyenne sur l’orthodromie : 15,33 nœuds Mais aussi ! 295 vidéos, 130 photos et 90 audios envoyées du bord 19 visios organisées avec les partenaires, les émissions de la course et les points presse !
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boschintegral-photo · 2 years
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Hydrangea Jardin Du Grand Rond Toulouse, France
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De Julian à Magnus
Bonjour Magnus,
Je sais que tu m’as dit de ne te contacter qu’en cas de « vraie urgence », et je crois que tu es déjà parti en vacances. Mais nous avons des problèmes avec un fantôme ici, à Chiswick House, et nous apprécierions d’avoir quelques conseils. Une lettre suffira ! Pas besoin d’interrompre tes vacances ! Sauf si, euh, tu penses que c’est vraiment une urgence.
L’état général de Chiswick House est épouvantable, alors c’est compliqué de faire la différence entre les vrais problèmes et ce qui est dû à un siècle de manque d’entretien. Hormis dans une petite partie, on dirait que personne n’a touché à la maison depuis l’époque de Tatiana Blackthorn.
Quelques nains de jardins sont ici pour faire les réparations au niveau de la structure et les gros travaux, la maçonnerie et la charpente et tout ça. Enfin, ce ne sont pas vraiment des nains de jardin, je crois que ce sont des brownies, mais ils ont un chapeau pointu et une barbe et tout ce qui va avec. Ils avançaient plutôt lentement, mais Kieran était ici il n’y a pas longtemps et il a parlé au chef de chantier (ce type qui s’appelle Round Tom et qui n’est même pas si rond que ça) et depuis tout va beaucoup plus vite. Et les nains se plaignent beaucoup moins des conditions de travail, et ont moins tendance à disparaître des journées entières quand nous sommes à court de thé pendant plus de cinq minutes. D’un autre côté, ils ont commencé à déposer des petites offrandes ici et là à l’attention du « Laird1 de la Terre des Ténèbres », j’en conclus que c’est Kieran. Rien que Kieran voudrait, je ne pense pas. Beaucoup de glands et de jolies pierres, en grande partie ? Et de temps en temps, un portrait de Kieran en craie, et si tu veux mon avis, heureusement qu’ils sont doués en rénovations parce qu’ils pourraient améliorer leurs compétences dans l’art du portrait. Nous avons tout mis de côté dans une boîte pour lui au cas où.
Je divague, désolé. Nous sommes seuls dans cette immense ruine et tout ce que nous voulons, c’est que quelqu’un écoute nos ennuyeuses histoires de rénovations. Mais ce dont je veux vraiment te parler, c’est le fantôme.
Je suis sûr qu’il y a des dizaines d’esprits quelconques qui sont vaguement présents dans la maison depuis des siècles (c’est ce que Round Tom m’a laissé entendre) mais nous sommes certains qu’un en particulier hante sérieusement la maison. Nous avons eu quelques manifestations de poltergeists. Surtout des mauvais tours sans conséquences : des vases renversés, des verres répandus, de la musique que l’on entend à peine au loin mais qui ne vient de nulle part, des endroits où il fait étrangement chaud, des endroits où il fait étrangement froid, des portes qui claquent, des portes qui se ferment toutes seules très lentement. Je précise que je ne parle PAS de poltergeists comme dans le film que Dru m’a fait regarder. Personne n’a été emporté dans des dimensions démoniaques ni se s’est mis à léviter (pour l’instant !). Mais il me semble quand même que nous devrions essayer de régler le problème avant d’en arriver là, alors Emma et moi avons essayé de communiquer directement avec la présence. Qui qu’elle soit, elle ne nous répond pas quand nous lui parlons, et nous commençons à nous sentir bêtes à tout le temps parler dans le vide sur un ton amical, comme si nous avions un ami imaginaire. Tout ce que nous obtenons le lendemain matin, c’est une tour de chapeaux faite d’un empilement des chapeaux des nains et nous devons les convaincre que nous n’y sommes pour rien.
Au cas où tu penserais que nous n’avons pas tenté des approches plus intelligentes que de simplement crier « Viens là, petit fantôme ! », Tiberius nous a envoyé un appareil sur lequel il travaille, un genre de Détecteur pour les fantômes. J’ai parcouru les pièces du manoir pendant un moment et j’ai fini par trouver un endroit le long d’un simple couloir où le Détecteur s’est affolé. J’ai ouvert le mur avec un marteau de forgeron – je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que tu approuverais, même si ce n’était pas du tout le cas des nains – et derrière le plâtre, coincée entre deux poutres, se trouvait une planche de Ouija qui doit dater au moins de l’époque de Tatiana, si ce n’est pas d’avant. Il n’y avait pas de goutte, alors nous en avons fabriqué une nous-mêmes avec des chutes de bois et des clous de tapissier. Peut-être que c’était une mauvaise idée d’utiliser ça plutôt que quelque chose qui allait avec la planche de Ouija, je ne sais pas comment ça marche, mais dans tous les cas, nous avons essayé la planche et ça s’est très mal passé.
Nous avons essayé de procéder de manière officielle : Emma et moi avons attendu jusqu’à minuit, nous sommes bien habillés et sommes descendus à la cave. (Il y a plusieurs pièces là en bas qui sont très effrayantes et où on dirait que des choses en lien avec les fantômes se sont produites dans le passé.) Nous avons éteint nos pierres de runes (il n’y a pas plus d’électricité là en bas qu’ailleurs dans la maison), avons allumés beaucoup de bougies. Les fantômes aiment les bougies, non ? Nous nous sommes installés sur un rouleau de soie noire qu’Emma avait trouvé dans un coffre quelque part, et nous nous sommes assis de chaque côté de la planche et avons tous les deux posé les mains sur la goutte.
Nous : BONSOIR
Pas de réponse.
Nous : NOUSNEVOUSVOULONSAUCUNMAL
Les flammes des bougies vacillèrent, mais la plupart des fenêtres de la pièce sont cassées, alors en tenant compte du courant d’air habituel venant de l’extérieur, je ne suis pas sûr que nous puissions considérer ça comme une réponse.
Nous : COMMENTVOUSAPPELEZVOUS
Nous avons entendu un grattement qui provenait de l’intérieur de l’un des murs, et nous avons ouvert ce mur avec impatience, mais c’était en fait un blaireau. À vrai dire, c’était une maman blaireau avec ses petits, ce qui était très mignon jusqu’à ce que la mère se mette à essayer de nous tuer. Alors nous avons dû nous interrompre et aller chercher les nains pour qu’ils nous aident et ils ont relogé la famille de blaireau dans une sorte de clairière. (Ils nous ont aussi facturé le « déplacement de blaireaux ».)
Tout ça était très décevant. Emma a dit que c’était peut-être impoli de demander le nom du fantôme avant de s’être présentés.
Emma : JEMAPPELLEEMMACARSTAIRS
Moi : ETJEMAPPELLEJULIANBLACKTHORN
Eh bien, c’est à ce moment-là qu’il s’est passé quelque chose. Dès que j’ai eu fini le dernier « N », la planche s’est soulevée et s’est violemment retournée. La goutte s’est envolée et Emma est allée la rechercher à l’autre bout de la pièce, mais quand elle est revenue la planche s’est mise à voler partout dans la pièce et, aussi décevant que ça puisse être, nous lui avons couru après pendant certainement deux bonnes minutes sans pouvoir l’attraper. Le fantôme a fini par en avoir marre, je suppose, et la planche de Ouija s’est arrêtée en suspens et s’est brisée en milles morceaux, qui sont tombés par terre. Et toutes les bougies se sont éteintes. (Il y en avait seize, au cas où ce serait important. Emma dit que non, mais j’ai répondu qu’il valait mieux le préciser à tout hasard.)
Alors… des conseils ? Trop d’énergie fantomatique pour une vielle planche de Ouija ? Avons-nous utilisé une planche défectueuse ? Est-ce que le fantôme veut que nous le laissions tranquille ? (Dans ce cas, pourquoi continuer de renverser des objets ?) Est-ce que nous l’avons offensé ? Il n’y a rien eu de similaire depuis, mais une planche de Ouija qui explose m’a semblé suffisamment menaçant pour te contacter. Que devons-nous faire ensuite d’après toi ?
Encore une fois, je suis vraiment désolé de te déranger, mais j’apprécierais beaucoup ton aide. Je veux vraiment faire de Blackthorn Hall un endroit qui pourra à nouveau servir aux Blackthorn, un endroit qui sera comme une seconde maison pour nous tous. Et ce serait bien si les Londoniens associaient les Blackthorn avec un magnifique manoir plutôt qu’avec une infâme maison en ruines. Ce qui ne risque pas d’arriver si les visiteurs se réveillent les cheveux attachés aux colonnes du lit, ou retrouvent le contenu de leurs valises renversé dans les escaliers. En contrepartie, nous te promettons de faire autant de baby-sitting que tu veux, dès que tu en as besoin. Mais peut-être quand nous ne vivrons plus dans une souricière qui menace de s’effondrer.
Merci mille fois…
Julian
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1 Laird : mot écossais qui désigne un propriétaire terrien.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/667304014500839424/julian-to-magnus
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homomenhommes · 7 months
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story / saga: SOUMISSION / DOMINATION
SOUMISSION / DOMINATION 1
Les deux derniers contacts sont des mecs de plus de 50 ans un peu bedonnant, mariés mais toujours très très bien membrés ! A deux jours d'intervalle nous avons eu l'impression d'un copié - collé, d'un déjà vu !
Pas de scenarios spéciaux, ils sont cool et désirent juste pouvoir enfiler leurs longues bites dans un corps ferme et jeune. La pipe de Jean à leur bouffer les couilles les sidère et les ravie. Ils ne pensait pas possible de se faire avaler leur queue entièrement ! Et ils réalisent leurs rêves de sodomie, ils profitent un bon moment du cul de Jean appréciant la souplesse et la profondeur de l'endroit. C'est en levrette qu'ils explosent dans les Kpotes.
Après avoir envoyé Jean se laver, nous discutons de sexe ! Ils m'avouent que ce n'est pas leurs femmes qui accepteraient cela et que les relations normales se réduisent à 1 fois par mois ! Je les détrompe en leur disant que bon nombre d'entre elles sont de vraies salopes et qu'il suffit d'appuyer sur les bons endroits pour déclencher cet état.
Je leur raconte la progression de ma relation avec la mère de Jean et cela les surprend ! Ils n'imaginaient pas un tel potentiel chez une bourgeoise ménopausée !
Du coup, ils m'ont demandé si je serais disponible pour essayer de réveiller leurs femmes ? Je réfléchi vite, il me reste encore un mois de vacances et Marc travaille. Jean doit bientôt partir en voyage linguistique en Angleterre et je vais me retrouver " seul " pendant la journée. Au vu des photos de famille, elles sont correctement entretenues ! La cinquantaine aussi, un peu rondes, ce sont surtout les deux derniers grands rejetons que je remarque ! Eux ont l'air d'avoir 18 ans et ont l'air mimi comme tout ! Je me dis que comme avec Jean et sa mère, je pourrais tenter le coup double ! Je leur promet d'y réfléchir mais leur souligne que mes tarif ne sont pas les même que ceux que je pratique pour Jean. Cela ne leur pose aucun problème !!
Le soir du deuxième rendez vous, j'en parlais à Marc. Lui expliquant le challenge et que cela m'excitait grave de tenter le coup, sachant que chaque essai me rapporterai plus du double d'une passe de Jean ! Marc m'a donné l'autorisation, ça le fait rire que des meufs (ou leurs mecs) raquent pour moi !
Je téléphone au premier qui m'avait fait la demande et nous mettons au point le plan : je viens en tant que " jardinier " (j'en ai l'habitude !!) mets ma tenue préférée qui accroche bien (short en jeans coupé, torse nu pour mettre en avant mes pectoraux et Cater aux pieds) et entretien le jardin (tailles, coupes...). Nous fixons un forfait de l"heure de présence chez lui avec un bonus lorsque j'aurai fait de sa femme une salope docile. (Cette histoire devrait me rapporter un gros tiers du prix de la moto que je kiffe !).
Le jour dit, je me pointe et sonne à la porte. La femme au courant de ma venue, vient m'ouvrir. Elle est surprise, je suis en " cuirs moto " avec juste une sacoche (sécateurs, forces... + mes " vêtements "). Je me présente, elle me dit que je ne suis pas comme elle pensait ! Je lui confirme que je viens bien pour le jardin et lui demande un endroit pour me changer. En la suivant, je remarque le petit dernier, penché sur la rambarde de l'étage, me mater. Elle me conduit à la réserve du jardin, accolée à la maison. Je lui dis de m'attendre que j'en aie pour une minute. Je me change et l'aperçois en train d'essayer de me voir au travers des carreaux sales. Je ressort juste en short très court et Cater. Elle rougit de me voir ainsi et détourne les yeux. Faisant comme si de rien n'était, je lui propose de faire le tour du jardin pour faire ensemble la liste des travaux (tout en ayant en tête le programme du mari !).
Elle me transmet sans erreurs les instructions et me laisse. Le travail prévu me laisse toujours en visuel de la maison et plusieurs fois je remarque qu'elle me mate de derrière les rideaux. De l'étage son fils lui ne quitte pas la fenêtre ! Au bout d'une heure elle revient me voir pour me proposer un rafraîchissement. Je la suis jusqu'à la cuisine et accepte un COCA ZERO. Calé sur le coin de la table, je subis un questionnaire en règle. Mon age, ce que je fais comme travail, comment son mari m'avait connu ... quel sport je fais....
Je termine mon travail de la journée (1h de plus) et retourne vers la maison pour lui demander où je pourrai me doucher. Elle m'indique une salle de bain au rez de chaussé attenante à une chambre d'amis et me prévient qu'elle envoi son fils me porter du savon et une serviette. J'attends en me déchaussant. Le fils arrive, (celui qui n'avait pas arrêté de me mater ! 175 x 55Kg châtain clair ) avec gel douche et drap de bain. Je le remercie, il s'attarde, désirant discuter des sports que je pratique car il aimerai bien avoir mon physique plus tard ! Je lui dis de toucher si il le veut.
Aussi tôt ses mains sont sur moi à me tâter mes pecs et mes bras ! Je fais comme en vestiaires de sports, je quitte mon short et me retrouve à poil devant lui. Il arrête ses palpations et mate ma bite au repos mais déjà un peu gonflée d'excitation. Je me glisse sous la douche en laissant ouvert la porte qu'on puisse continuer à discuter. A un moment, je lui demande de me frotter le dos car je n'arrive pas à atteindre le centre. Il s'approche et se reçoit une éclaboussure d'eau. Je lui dis alors qu'il ferait mieux d'adopter ma tenue !
Il quitte vite fait son short et son Tshirt et me rejoint. Il me frotte le dos. Je me retourne vers lui, nous rince. Il s'aperçoit que son massage a eu de l'effet et que ma tige est bien plaquée sur mes abdos. Il reste muet. Je lui appui sur ses épaules et le fait glisser à genoux devant moi. Le nez devant ma queue. Il est toujours inerte !! Je lui dis de la branler. Timidement, il la prend en main et commence doucement un mouvement de va et vient. Je lui tiens la tête et approche mon gland de sa bouche. Je lui dis suce, il ouvre la bouche pour protester mais j'en profite pour glisser mon gland dedans. Après quelques instants, il s'est mis à téter ma bite. Par des coups de rein, je m'enfonçais toujours plus loin quand, la voix de sa mère s'est faite entendre venant de la chambre, me demandant si j'avais tout ce qu'il me fallait ?
Affolé, le fils trouva refuge dans un placard à porte à claire-voie. Me remettant à me sécher, dos à la porte, je lui dis de me rejoindre. Quand elle entra, elle s'excusa et voulu repartir. Je lui dis de rester et me retournant, elle put admirer la " bête " !! Elle prit un coup de chaleur et rougit comme une jeune fille ! Elle allait pour sortir quand je l'ai attrapée d'un bras dans ses reins, mon autre main plongeant sous la robe. J'y trouvai une chatte nue mouillée d'excitation. Deux de mes doigts enfoncés dedans eurent raison de son envie de me quitter ! Je dus la retenir debout quand j'ai atteint le clitoris, ses jambes ayant du mal à la soutenir.
Je décidais de profiter de la situation et l'ai retournée, penchée sur les lavabos et ai troussé sa robe sur ses fesses. Sans m'arrêter, je me suis enfilé dans sa chatte après avoir mis une kpote prise dans ma sacoche. Les quelques protestations se sont tues dès que j'ai commencé à bouger. Je sentais bien les parois du vagin se crisper sur mon sexe. Puis soudain, elle me dit " non, non, non ", je me retire, elle va pour se redresser, je la tiens pliée d'une main entre ses épaules, et, changeant de trou lui investi le cul (puisqu'elle ne voulait plus que je lime sa chatte !!).
Elle pousse un cri mais je suis dans la place et jusqu'aux couilles ! Je n'attends pas et me mets à la labourer dans de grands va et vient. Mon autre main glissée sous elle lui excite le clito. Son excitation revient et, bientôt, c'est son cul qui vient au devant de mes pénétrations !! (Les bourgeoises de 50 ans, toutes des salopes !!). Elle gueule sa jouissance et ça me fait jouir dans la kpote. Dès que je suis sorti de son cul, elle se réajuste et sort de la salle de bain. Je vais ouvrir le placard ou s'était réfugié son fils. Je le trouve assis au fond, la bite ramollie entre ses doigts gluants de sperme ! Je lui demande si le spectacle lui a plu ? Il revient à la réalité et me saute dessus en me traitant de salaud, je l'attrape par le cou et le bloque sous mon bras. Je reçois quelques coups de poing dans le dos, il tente de retirer sa tête. Cette situation m'excite et je bande de nouveau. Je lui dis alors de ne pas se fâcher et que je vais m'occuper de lui après sa mère ! Je le bloque dans la même position, le torse sur les lavabos, par contre je lui tiens les deux mains dans le dos. Je crache sur son anus, place mon gland dessus et l'y enfonce d'un coup sec qui lui coupe le souffle.
Il va pour crier quand je lui fais remarquer combien sa mère avait pris son pied à se faire enculer et qu'après le plaisir que je viens de lui donner, ce n'est pas sûr qu'elle ne prenne pas mon parti ;au cas ou il voudrait protester! Je crache sur ma queue pour la lubrifier un minimum et continu ma progression dans son trou très serré. Je n'ai pas mis de kpote mais ce petit gars est vierge !
Une fois bien au fond (il m'a fallu quelques bonnes minutes !), je me retire tout aussi doucement. Je le lâche, m'agenouille derrière lui ;et lui bouffe le cul en y mettant plein de salive. Ça le surprend mais rassuré, il commence à apprécier la situation. Je me redresse alors et remet ma queue dans son trou. Ce coup ci, elle rentre beaucoup plus facilement et c'est un soupir qui accompagne sa progression ! Plus je l'encule et plus il commence à y prendre du plaisir. Quand je finis par lui juter dedans, il se répand sur les portes du petit meuble.
Je décule, le retourne et lui roule une pelle bien profonde avec langue. Il se laisse faire puis y répond, sa langue venant au combat. Un peu fatigué, je m'assois sur le rebord de la baignoire et le prend sur mes genoux. Là, c'est de lui-même que vient le baiser. Je lui demande si ça va ? Il me répond que ce n'était pas ce qu'il avait prévu comme activité pour aujourd'hui ! Je lui dis alors qu'on ne mate pas un mec pendant deux heures et qu'on ne s'attarde pas avec lui dans une salle de bain alors qu'il est nu, sans avoir des arrières pensées de sexe ! Il me demanda alors comment je faisais pour aussi bien sauter sa mère que lui ? Ça l'avait un peu choqué que de la voir se conduire comme une salope sous ma bite ! Je lui précisais qu'il était nouille, comment croyait il avoir été conçu ? Par le saint esprit ? Non, c'était son père qui avait mis sa grosse bite dans la chatte de sa mère ! Non mais, qu'ils sont naïfs ces mioches !!
Après une nouvelle douche, je remettais mes cuirs moto pour retourner chez Marc. Avant de partir, la mère m'a demandé si le travail était fini et si je revenais une autre fois ? Je la rassurais en disant que j'en avais encore pour 2 fois 2 heures de travail. Avant de démarrer, j'appelais son mari de mon portable pour lui assurer que " le travail " avait bien commencé et que comme je lui avais assuré, sa femme était encore une bonne chaudasse et que bientôt il récupérera une salope docile au lit.
Je lui dis que pour pas qu'elle réfléchisse de trop je comptais revenir les deux jours suivants. Je gardais pour moi l'épisode avec son fils, je ne savais pas encore comment l'exploiter. Sachant qu'il aimait aussi la chaire fraîche de Jean, ce pourrait être un bonus supplémentaire mais aussi une perte de rente puisque n'ayant plus besoin de nos services masculins !!
JARDINIER
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toutmontbeliard-com · 2 months
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Les événements culturels de mars 2024 à Montbéliard
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Le Pôle culturel de la Ville de Montbéliard, regroupant Musées, Médiathèque, Archives, CCSV (Centre Culturel Simone Veil), vous présente les événements culturels de mars 2024 à Montbéliard : Exposition « Couleurs, graphismes, mouvements » JUSQU’AU 15 MARS 2024 – DU LUNDI AU VENDREDI DE 14H A 18H. Les ateliers d’Arts plastiques permettent de découvrir de nouvelles manières d’expérimenter, de s’exprimer en une multitude de techniques. Une initiation à l’illustration, à la peinture, à la sculpture pour créer autrement. Entrée libre. Plus d’informations au 03 81 99 20 19. Centre Culturel Simone Veil Exposition « Jardins, parterres et labyrinthes » DU 9 MARS AU 27 AVRIL 2024 Présentation de l’ouvrage acquis par la Médiathèque et la Société d’Emulation de Montbéliard " Le Thrésor des parterres de l’univers " de Daniel Loris publié en 1629. Un choix de photographies et d’archives municipales illustreront l’histoire et l’évolution des jardins de Montbéliard. Bibliophilie, livres anciens, documents d'archives et herbiers sur le thème des jardins complèteront la présentation. Entrée libre. Plus d’informations au 03 81 99 24 24 Médiathèque Conférence "Le Thrésor des parterres de l'univers (1629) : un florilège de compartiments" Samedi 9 mars à 10h30 A travers son ouvrage, Daniel Loris, médecin et botaniste des ducs de Wurtemberg, témoigne du développement des demeures et jardins de plaisirs extra muros, sur le modèle du Grand Jardin. Par Laurent Paya, Ingénieur paysagiste et Docteur en Histoire de l’ArtGratuit. Réservation au 03 81 99 24 24 Médiathèque Midi des musées "Vous avez dit florissant ?" JEUDI 14 MARS DE 12H30 À 13H30 Gratuit. Réservation au 03 81 99 22 57 Musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Conférence "Daniel Loris et l’art de composer des jardins ("Le Thrésor des parterres de l’univers, 1629)" SAMEDI 16 MARS À 10H30 L’œuvre monumentale de Daniel Loris offre la particularité d’exposer assez précisément les principes de géométrie qui permettent de restituer l’intégralité des 195 parterres « de carreaux rompus » ou d’entrelacs. Seront présentés en détail quelques-uns des tracés les plus complexes. Par Gilles Barot, enseignant, spécialiste de la Géométrie Pratique, créateur du site www.geometriesensible.com Réservation conseillée au 03 81 99 24 24 Médiathèque Ronde des histoires MERCREDI 16 MARS À 10H30 Plus de 7 ans Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 24 Médiathèque Atelier "Dessiner un parterre de la Renaissance" SAMEDI 16 MARS DE 14H30 À 16H Avec Gilles Barot A partir de 10 ans Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 24 Médiathèque Stage de peinture à l’aiguille SAMEDI 16 ET DIMANCHE 17 MARS Deux jours d’atelier avec Jocelyne Kurc, brodeuse d’art Public adulte. Réservation et tarif au 03 81 99 22 57 Au musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel Club lecture LUNDI 18 MARS 2024 À 18H « Automobile Club d’Egypte », d’Alaa El Aswany. Fin des années 40, au Caire. L’Automobile Club est un cercle très fermé, théâtre de relations complexes entre dominants et dominés. Animé par Anne RATTI, Professeure de Lettres classiques. Gratuit. Réservation au 03 81 99 24 15 Centre culturel Simone Veil Une heure, une œuvre "La marqueterie dans tous ses états" MERCREDI 20 MARS 2024 A 18H Un élégant bureau de pente ou un étui minutieux arborent de remarquables décors marquetés. Subtiles compositions géométriques ou végétales, de bois ou de paille, elles présentent d’étonnantes déclinaisons de teintes et d’essences -amarante, palissandre, noyer. Virtuosité technique et inventivité, explicitons l’art de la marqueterie à travers quelques témoins des collections. Gratuit. Réservation au 03 81 31 87 80 Au musée d’Art et d’Histoire, Hôtel Beurnier-Rossel. Festival Les Quatre saisons DU 21 MARS AU 24 MARS Rendez-vous pour quatre jours de rires et d’émotions ! Jeudi 21 mars, Marc Tourneboeuf, «l’Impatient», embarquera les spectateurs dans la vie d’un jeune comédien passionné qui rêve de réussite. Vendredi 22 mars, Pierre Emonot, originaire du pays de Montbéliard, se mettra face au peuple pour défendre ses convictions avec un petit goût de sarcasme jubilatoire. Puis, samedi 23 mars, place à Gil Alma et Benoit Joubert qui, (ré)unis pour le jour « J », vont se lancer dans des péripéties folles pour que ce moment partagé avec le public soit et inoubliable ! Enfin, rendez-vous est donné aux familles, le dimanche 24 mars, pour « L’Être recommandé », un beau spectacle à travers la vie contée d’un artiste feutriste qui s’est donné pour mission d’embellir tous les visages ternis par le gris de la morosité. Jeudi 21, vendredi 22 mars et samedi 23 mars à 20h30 (16h le dimanche) Les Bains Douches – La Scène et Le Théâtre Tarif : 12 € par spectacle Renseignements au 03 81 99 20 19 Réservations : Info Jeunes Montbéliard au 03 81 99 24 15 ou sur www.montbeliard.fr/quatresaisons / www.ticketmaster.fr / www.francebillet.com Midi des Archives JEUDI 28 MARS DE 12H30 À 13H30 Présentation d’une sélection de documents sur l’histoire de la Résistance et de la déportation dans le Pays de Montbéliard pendant la Seconde Guerre mondiale. Gratuit. Réservation au 03 81 99 22 49 Archives municipales infos > www.montbeliard.fr Read the full article
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renxmaiden · 9 months
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how do you think ren and jeanne fall in love?
Well, while we don't have any full explicit details on how they did, here's my headcanon:
According to the university Ren goes to (Tsinghua University) his university is affiliated with various international joint programs and 3 France Universities was included on this list.
Ren signed up for this program just so he could get a degree so he went to France for that
I also have this hc they reunited in a place called "Jardin Du Grand Rond". They just so happened to reunite in that place very unexpectedly as Jeanne was happening to take a tour of walk around the place out from her break from doing X-Charity funding while Ren was on a holiday break from his classes and he was touring around France (And while touring, he also heard about people mentioning/talking about X-Charity) When they both arrived at the infamous pond, Jeanne does not recognize Ren. Ren on the other hand, recognizes her right away. Also Jeanne was awed by his handsomeness at first but tries to walk away not wanting to make the situation any more awkward for the "stranger", only for Ren to stop her, going "Is that you Jeanne?"
Jeanne recognizes his voice and turns around slowly to look at the man behind her: "Tao Ren...?"
After this, they walked over to a gazebo nearby to talk and what they've been up to after SF ended. The talk went on for a long time -Jeanne brings up about X-Charity but mentions they've been out doing public funding but were doing fundings in the first place because they've been low on funds. Ren then offers to help out her Charity, that is if she wanted to become business partners. At the same time Ren offer his help in the first place so he can get a first hand experience on what's it like having/doing business partners/affiliations and such. Jeanne then accepts his offer and after that, Jeanne brings Ren with her to have further talks with the other X-Laws members about the partnership.
And so, they start off as business partners, to slowly becoming friends and had slow burn romance.
When Jeanne reunited with Ren again and became business partners, while mostly friendly around him, Ren feels she's distant at times as it took a while for her to let her walls down and open up since she thinks Ren dislikes her (This later gets disproven by Ren and he also apologizes to her for his past actions he did when they were kids)
At one point they were talking about their goals (Jeanne was the first to start a conversation) and they both realize they're trying to aim for the same goals: World peace. This would later spark up a friendship between them and they would slowly start hanging out and talking to each other more as they both enjoyed each other's company and have shared things in common together. This in return, also made Ren open up to Jeanne
As time pass on, they eventually got to learn more things about each other; Jeanne opening up about her childhood and what it was like, Ren in return doing the same. They would also talk about their painful past childhood experiences and traumas, sympathizing with one another in which they eventually bonded over and becoming closer ever then before. At this point Jeanne also starts to develop a crush on Ren. (Technically Jeanne fell first and then shortly Ren afterwards)
Although she has a crush, at first she thinks it will only be temporary and feels that Ren may not harbor the same feelings as her (Which she is also afraid of rejection) Then she starts to worry, thinking if she deserves to be in love and deserves to be happy despite the awful traumatic damages she has done in the past. But eventually it didn't became temporary and Jeanne can't help but fall in love with Ren further and further.
On the other hand, Ren fell for Jeanne but harder.
So yeah that was most of how it went down according to my imagination.
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charmemma · 2 months
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Dans le Palais de Rosemonde
On voit venir, au fond du jardin, mes pensées
Qui sourient du concert joué par les grenouilles.
Elles ont envie des cyprès, grandes quenouilles,
Et, le soleil, miroir des roses, s’est brisé..
Toc toc… « Entrez dans l’antichambre. Le jour baisse…
« La veilleuse dans l’ombre est un bijou d’or cuit.
« Pendez vos têtes aux patères par les tresses.
« Le ciel presque nocturne a des lueurs d’aiguilles. »
Sur les genoux pointus du monarque adultère,
Sur le mai de son âge et sur son trente et un.
Madame Rosemonde roule avec mystère.
Ses petits yeux tout ronds, pareils aux yeux des Huns.
On entra dans la salle à manger, les narines
Reniflaient une odeur de graisse et de graillon.
On eut vingt potages, dont trois couleurs d’urine,
Et, le roi prit deux œufs pochés dans du bouillon.
Puis, les marmitons apportèrent les viandes :
Des rôtis de pensées mortes dans mon cerveau,
Mes beaux rêves morts-nés en tranches bien saignantes,
Et, mes souvenirs faisandés en godiveaux.
Or, ces pensées mortes depuis des millénaires
Avaient le fade goût des grands mammouths gelés,
Les os ou songe-creux venaient des ossuaires
En danse macabre aux plis de mon cervelet.
Et, tous ces mets criaient des choses nonpareilles,
Mais, nom de Dieu !
Ventre affamé n’a pas d’oreilles,
Et, les convives mastiquaient à qui mieux mieux.
Ah, nom de Dieu ! qu’ont donc crié ces entrecôtes,
Ces grands pâtés, os à la moelle et mirotons ?
Langues de feu, où sont-elles, mes pentecôtes,
Pour mes pensées de tous pays, de tous les temps ?
Apollinaire
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