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europeansculpture · 8 months
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Evariste JONCHERE (1892-1956)
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charmemma · 2 years
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Les étoiles brillaient encore : A peine un jour faible et douteux Ouvre la paupière de Flore, Qui, dans ses bras voluptueux, Retient l'inconstant qu'elle adore. Le souffle humide d'un vent frais Effleure les airs qu'il épure, Soupire à travers ces bosquets, Et vient hâter par son murmure Le chant des hôtes des forêts Et le réveil de la nature. Tu goûtais un profond repos, Après une nuit fortunée, Que nous avions abandonnée Au dieu des amoureux travaux : Moi, je veillais ; dans mon ivresse, Je recueillais tes doux soupirs, Et mes yeux, brûlants de tendresse, Se reposaient sur la déesse A qui je dois tous mes plaisirs. Les anneaux de ta chevelure Flottent au hasard répandus, Et voilent seuls tes charmes nus, Dont le désordre est la parure : Ton front peint la sérénité Et du bonheur et de la joie, Sur ton sein ému se déploie L'incarnat de la volupté ; Tels quelquefois, après l'orage, On voit, en monceaux parfumés, La rose et le lis parsemés, Joncher les gazons du bocage. Ta bouche qu'amour sut armer De la grâce la plus touchante, Plus fraîche que l'aube naissante, Semble s'ouvrir pour me nommer ; Et tes bras, dont la nonchalance Se développe mollement, Quelquefois avec négligence Sont étendus vers ton amant. Mais cependant sur l'hémisphère Vénus fait luire son flambeau : Chaque degré de la lumière Me révèle un charme nouveau : Sur tous les trésors que tu laisses En proie à mon avidité, J'égare mon oeil enchanté, Et veux marquer par mes caresses Tous les progrès de la clarté : A mesure qu'elle colore L'horizon qui va s'embraser, Un feu plus ardent me dévore ; Et je crois que chaque baiser Ajoute un rayon à l'aurore. Comme je fêtai son retour ! De la nuit les astres pâlirent : Tout-à-coup tes beaux yeux s'ouvrirent ; C'est toi qui fis naître le jour.
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dixvinsblog · 1 month
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Ginama Saidani - La porte de l’espoir
L’espoir ouvre les portes de la vieEt assouplit les cœurs meurtrisEt petit à petit, le noir éclaircitLes chemins recouverts de glacisPour joncher les sols refroidisDe couleurs fraiches et hardiesEt une odeur fine et légère, assaillitSon sentier généreusement fleuriUn rai d’espoir peut illuminer une vieEt pousser à trimer pour le réaliserUn sourire, à peine ébauché, embellitLa journée, des plus…
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jogallice · 1 year
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Environnement : de plus en plus de pneus jetés dans la nature, le phénomène inquiète.
See on Scoop.it - JamesO
La collecte des pneus, un coût supplémentaire pour les garagistes : depuis un certain temps, de nombreux départements en France voient des pneus joncher le bord des routes et parfois même le bitume des villes, un désastre pour l’environnement. Enquête dans le Nord (Hauts-de-France), le jeudi 04/05/23.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (avec vidéo de 3 minutes) publié par Franceinfo (France Télévisions) le jeudi 04/05/23.
  😃 Avec des si on mettrait 😄
🎠
😁 Annecy en bouteille 😆
  #déchets #nettoyages #recyclage
#environnement #écologie #pollutions
#économie #entreprises #garagistes
#Nord #HautsDeFrance
  📇 JamesO.InfO 🎞
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  🟢 Le fil vert de JamesO.InfO
L’environnement, l’écologie et la biodiversité.
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zehub · 1 year
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Environnement : de plus en plus de pneus jetés dans la nature, le phénomène inquiète
Depuis un certain temps, de nombreux départements en France voient des pneus joncher le bord des routes et parfois même le bitume des villes, un désastre pour l’environnement. Enquête dans le Nord, ce jeudi 4 mai.
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vangoghs-other-ear · 3 years
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la énième- nth, umpteenth
un parvis- enclosed courtyard (in front of a church)
un volet- shutter (like on a window)
scindé.e- divided, split
saccadé.e- choppy, uneven, jolting, jerky
déblayer- to clear, to clear out
déboutonner- to unbutton
sursauter- to make a sudden movement (due to being startled)
ébouriffer- to tousle/ruffle (hair)
joncher- to sprinkle, to strew
paraître- to appear (out of no where)
hasarder- to hazard 
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tournevole · 3 years
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Le souffle coupé Pour moi, il n'y a ni lame ni couteau, hors ton regard. Demain tu oublieras que je t'ai couronnée, Que l'amour a incendié mon âme en fleurs Et le vain carnaval des jours emportés dispersera les pages de mes carnets... Mes paroles, feuilles mortes, pourront-elles te forcer à t'arrêter le souffle coupé ? Au moins laisse-moi joncher d'une dernière tendresse ton pas qui s'éloigne. Vladimir Maïakovski
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lamergelee · 4 years
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 58]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57] Le jour 58, Gustave relut. Il lut. Il avait la tête un peu lourde, son cœur était lent. Il avait cette chance d’avoir le cœur lent. Il s’en était vanté, autrefois, auprès des collègues dans cette société de cadres dont il était parti avec une intolérance managériale dont il souffrait depuis de manière chronique. Il se roula un gros tas d’herbe fraîche, la fuma, se gratta le ventre, mangea deux tartines de camembert, ouvrit la fenêtre, se pencha de nouveau sur son journal en ligne et relut : « Nous rentrons dans un monde qui est nouveau, dans lequel il faut que nous apprenions à conjuguer activité économique, travail et circulation du virus, et le succès de ce défi que nous avons à relever, il dépendra de chacun d’entre nous ». Voici, ô damnés des paradis fiscaux, quels étaient les propos du ministre de l’Économie sur BFM  Business. « Ce n’est pas uniquement les chefs d’entreprise, ce n’est pas uniquement les responsables politiques, c’est chaque citoyen qui doit se sentir personnellement concerné », insistait-il en souhaitant « une reprise importante du travail » pour « remettre la France en état de marche ». Gustave, cousin de Bartleby, Would prefer not to ! Gustave, frère de Rabelais, Viens à Thélème et fais ce que voudras ! Gustave, fils de France Gall, Résiste, refuse ce monde égoïste ! Gustave, ami de La Boétie, Sois résolu à ne servir plus ! Gustave s’attarda comme ça encore un moment, l’œil rougi et exorbité tel celui d’un corvidé aux aguets, sur les actualités en ligne. En vrac, il était question bien sûr de la réouverture aujourd'hui de tous les commerces, d’une manifestation de retraités dans les Côtes d’Armor pour l’accès renouvelé aux plages, de la régénération du virus en Chine, et des berges de Seine à la capitale où la culture reprenait ses droits sous forme de Parisiens enragés chassant à grands coups de rires vineux, d’enfants précoces, de tongs obscènes et de déchets plastiques les canards et les ragondins provisoirement reparus. Gustave repensa à cette œuvre méconnue – Les Tréteaux – du vieux boulevardier Charles Monselet qu’il avait quelque part entre ses étagères. L’auteur mettait là-dedans en scène sous forme de satire ses contemporains Théophile Gautier, Feydeau et Flaubert préoccupés d’éradiquer l’humanité au profit des seules descriptions. « L’être humain gâte le paysage », affirmait Théophile Gautier. « Évidemment », disait Feydeau. « Il coupe désagréablement les lignes et il altère la suavité des horizons. L’homme est de trop dans la nature », continuait Théophile Gautier. « Parbleu ! » disait Flaubert. « Dans la nature, soit ; mais au théâtre ? », interrogeait Bernard Lopez tout interdit. « Au théâtre également. Il empêche de voir les toiles du fond », précisait Théophile Gautier. Satire, satire, se dit Gustave, faut voir. Sur le théâtre il n’avait certes pas d’avis. Mais pour ce qui est de la nature, il ne leur aurait pas donné entièrement tort... Son père téléphona. On s’entendait mal. Il déconfinait apparemment près d’une ambulance. « C’EST LE DEUX-TONS D’UNE DES SAFRANE DE LA FLOTTE PRÉSIDENTIELLE ! », hurlait le vieux au creux du tympan douloureux de Gustave. Mouais. La confiance de Gustave dans les explications de son père en avait pris un coup depuis leurs précédentes conversations, qui sait pourquoi. En tout cas il y avait de la friture sur la ligne. « Allez, allez, monsieur F., soyez gentil, descendez du capot et suivez-nous, on n’a pas envie de vous faire de mal… C’est vos voisins qu’ont encore appelé monsieur F., qu’est-ce qu’il y a ? vous prenez plus vos pilules ? » Là-dessus Gustave décida d’aller faire un tour, dans l’attente un peu obsédante de son rencard ce soir avec Katia – oui c’était son prénom, très beau, non ? – la douce voisine du 5e. Katia, ô Katia…
* Rodolphe sur son transat écrivait au même moment Katia dans sa grille de mots croisés (« petite Catherine de Russie », pff trop face ! «… avait une envie de neige et du gros manteau du Dr Jivago »). Il avait connu une Kate américaine sur la Côte, un jour il avait eu envie d’un nouveau maillot de bain, l’avait acheté, l'avait mis, ne la revit jamais. Demain Paris, se dit-il. On verra. * 11 mai, premier des saints de glace et il soufflait un vent gelé. De bon matin Jérôme cheminait avec sa mère vers le jardinet potager. Lui sous son vieux chapeau de paille, elle son panier à la main. Sans attestation. Sans smartphone. Sans l’ombre de la maréchaussée. Sa mère  Vers le sud vers le nord le vent souffle le vent tourne et revient sur ses pas Les plantations nouvelles n’avaient-elles pas souffert ? Y aurait-il de quoi passer en autarcie le reste du printemps et l’été ? À quand fraises et rhubarbe pour des confitures et des tartes ? Jérôme Comme chantent les broussailles brûlant sous le chaudron le rire idiot n’est que vent Le village était désert. On n’avait pas l’impression que la vie ait repris. Jérôme  Ce qui est courbe ne sera plus droit On était un peu sonné. Jérôme J’ai vu j’ai vu l’oppression sous le soleil j’ai vu pleurer les opprimés Une saison pour tout un temps pour tout désir sous le ciel Sa mère Ne dis pas Pourquoi les jours anciens étaient-ils meilleurs Rien n’est moins sage Rien n’est bon je le sais Que faire bon et se réjouir Ne t’abandonne pas au dépit * Voilà où on en était. Gustave F. se demanda pourquoi tout allait si mal même quand il allait bien. Pour le moment il rêvait d'un week-end à Paris avec sa douce, peut-être qu'elle serait d'accord même si c'était un peu tôt pour lui proposer, et puis c'était à plus de 100 km « à vol d'oiseau », et puis elle bossait même le samedi. Dommage, il s'y voyait déjà, bras dessus bras dessous à la tour Eiffel, les bateaux-mouches glissant le soir sur la Seine, les petits restaurants si typiques de la Huchette, et les indigènes pittoresques du canal Saint-Martin. Ah, et puis les beaux cimetières avec tous les grands écrivains ! le Père-Lachaise, le cimetière Montparnasse, celui de Montmartre, ça ce serait romantique ! Une anecdote assez précise lui revint de nulle part. Gustave avait dû lire ça dans un livre ou dans un vieux Marie-Claire chez le dentiste, il ne savait plus. Sous un caillou, quelqu’un avait posé une pile de feuilles, division 27 du cimetière Montmartre, sur la tombe de Heinrich Heine. Quelqu’un avait attendu un jour venteux avant de soulever le caillou et de le reposer près de la pile, les feuilles s’envolèrent, les unes par l’avenue Rachel, les autres allant joncher le pont Caulaincourt, avec ces mots de septembre 1842 : « Ici règne actuellement le plus grand calme. Tout est silencieux comme dans une nuit d’hiver enveloppée de neige. Rien qu’un petit bruit mystérieux et monotone, comme des gouttes qui tombent. Ce sont les rentes de capitaux, tombant dans les coffres-forts des capitalistes, et les faisant presque déborder. On entend distinctement la crue continuelle des richesses des riches. De temps en temps il se mêle à ce sourd clapotement quelque sanglot poussé à voix basse, le sanglot de l’indigence. Parfois aussi résonne un léger cliquetis, comme d’un couteau que l’on aiguise. » Où avait-il lu ça ? se grattait-il le menton sous le masque en descendant les escaliers. Il allait sans réponse. (Fin).
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thelibraryiscool · 4 years
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Madame Bovary - Deuxième Partie - Chapitres XIII & XIV
la gouttelette - droplet
fouiller - to search
le bélier - [battering] ram
joncher - to strew
oiseux - idle, futile
la bâche - tarpaulin
le falot - lantern
câlin - affectionate
les épanchements, m. - outpourings
le vaurien - good-for-nothing
les cancans, m. - gossip
rembarrer qqn - to snub, to rebuff someone
le délassement  - relaxation
gigoter - to wriggle about, to fidget
dévergondé - shameless, debauched
les falbalas, m. - frippery, frills
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themiss-miller · 5 years
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and way down we go || self-para
Qui?: Alexis Miller.
Quand?: Le 31 décembre, vers 23 heures.
Où?: Chez la famille Miller.
Notes: Les emmerdes commencent officiellement. C’est tout ce que j’ai à dire. Tous aux abris.
Téléphone à la main, Alexis passe la porte pour rentrer dans sa chambre. Elle ferme d’une main derrière elle, les yeux cependant rivés sur l’écran noir de l’appareil qui semble refuser de coopérer. Et merde. C’était jamais une bonne idée de le garder dans la poche arrière de son jean pendant les entraînements en forêt. Son père l’engueulait toujours quand elle le faisait, elle aurait dû continuer de l’écouter après l’avoir tué.
Elle pousse un soupir, et ses traits tirent sur une moue triste, qu’elle aperçoit dans le miroir à l’autre bout de la pièce. Une Alexis toute penaude. Quelle soirée de Nouvel An pourrie. Le téléphone se fait jeter futilement derrière l’épaule de sa propriétaire qui a perdu tout espoir de lui faire retrouver la vie.
La chasseuse regagne alors nonchalamment son lit les mains vides. Elle s’y étale sur le dos, le regard vers le plafond, admirant l’incroyable vide que laisse le smartphone après son décès. Elle aurait juste aimé pouvoir faire des recherches marrantes sur internet pour s’endormir tranquillement comme tous les soirs. Lire une autopsie de célébrité suicidée, ou envoyer des messages à sa petite sœur tout en sachant bien qu’elle ne pourrait pas les lire.
Et là, c’est comme une ampoule qui s’allume dans son cerveau.
Un téléphone de rechange.
Alexis roule sur le côté du lit pour accéder à sa table de chevet. Du bout de ses ongles vernis noirs, elle tire l’IPhone, d’un modèle un peu plus ancien que le sien, qui traîne dans le tiroir. Comme quoi tuer des loups-garous, ça lui rend service à elle en plus qu’à l’humanité. Le téléphone déchargé rejoint la prise de l’ancien téléphone de la jeune femme sur le côté du lit, et sur l’écran apparaît un signe pour lui faire comprendre qu’il est en train de s’alimenter.
La chasseuse garde les yeux fixés sur l’écran, tandis qu’elle commence à se débarrasser de ses vêtements d’entraînements, qu’elle envoie valser pour les laisser joncher le sol librement. Un t-shirt trop large enfilé plus tard, un coup de démaquillant, et voilà que le téléphone dérobé au macchabée vibre pour annoncer son réveil. Timing impeccable.
Alexis se retourne vers la prise, et son doigt se pose sur le téléphone pour le déverrouiller.
La chasseuse se décompose.
Elle sent ses briques intérieures se défaire les unes des autres. Ses fesses regagnent automatiquement le bord du lit, comme si elle allait tomber.
Isaak. Sur l’écran de la louve morte. Et elle. Dans ses bras.
Paniquée, les pouces d’Alexis cherchent à faire des zooms sur un écran toujours verrouillé. L’appareil intelligent lui propose de taper un code. 0000. Non. 1234. Bingo. La fille était assez insouciante pour garder un code pareil. Qui fait ça ? Plus inquiète encore, la chasseuse cherche le dossier photo du bout des doigts. Avant d’arriver à l’application en question, le téléphone lui demande maintenant un code PIN. Elle retape la même succession de chiffres.
La carte SIM réceptionne les derniers SMS non consultés en avalanche. L’IPhone vibre quelques fois. Pas énormément. Normal qu’on essaie plus de prendre de nos nouvelles quand on quitte ce monde.
Un message retient l’attention de la chasseuse.
Connor.
« Athéa, regagne surtout pas notre coin de la forêt cette nuit. Matthew m’a dit que les chasseurs y seraient. Ils pourraient s’en prendre à nous. »
Encore un autre. Toujours Connor.
« Réponds-moi, que je sache que tout va bien. »
« T’as encore déchargé ton téléphone, c’est ça ? »
« Isaak est avec toi ? Si vous allez tous les deux vers la forêt, je te jure que je vous tue. »
Et encore Connor.
« Répondeur : Vous avez 4 appels manqués du (863) 774-3948 , dernier appel le 27/02/2018 à 23h18. »
« Putain de merde, Athéa. Réponds-moi ! »
Les éléments de cette nuit datée dans les messages reviennent en foule dans le crâne de la chasseuse, en tapant dans tous les sens, quitte à lui faire tourner la tête quand elle prend conscience des informations qui s’y ajoutent.
Elle et son oncle parmi les arbres qui se ressemblent tous. Elle court, son flingue à la main, et lâche une de ces balles spéciales dans le dos de la louve. Lâchement. Puis une autre dans son crâne. Le corps s’écroule sur le sol, ce qui provoque une dose importante de satisfaction pour Alexis. Elle dérobe le téléphone avant d’entendre les bruits d’une course plus loin. C’est sûrement Isaak qui rejoint sa petite-amie, pour la retrouver inerte sur le sol. Assassinée par sa cousine. Matthew lui prend le bras pour qu’ils prennent la fuite au lieu de s’occuper du cadavre. Parce qu’il joue sur les deux tableaux. Qu’il empêche que Connor finisse comme la fille étalée par terre. « Ils pourraient s’en prendre à nous. »
Il sauve un putain de loup-garou.
Si ce n’était pas le frère de Isaak, Alexis serait à l’instant précis partie avec une hache pour détruire cet enfoiré. Mais pour Isaak…
Isaak.
Mais qu’est-ce-qu’elle a fait à Isaak, putain.
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europeansculpture · 4 months
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Evariste JONCHERE (1892-1956) - Buste d’Habib Benglia, 1934
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clothilde-sourdeval · 7 years
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“Les enfants de l’infini/ Jonchent “, pointe sèche, 2017
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plumedepoete · 5 years
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Illustration provenant de Paule et André PoésiesTexte : Eric de La BrumeLe 24 mai 2019A l’aurore,après avoir levé les volets,de ma petite chambre,je regardais dehors.C’était le printemps,les dernières brumes matinales,se dissipaient, pour laisser apparaître,un ciel d’un bleu profond.Le soleil venait de se lever,le temps serait doux et chaud,et je décidai d’aller me promener,et d’aller au parc avoisinant.Les derniers frimas de l’hiver,avaient disparu,et je marchais l’âme en fête,de voir un si beau jour.Le petit parc n’était pas loin,et quand j’y pénétrai,je découvris la magie du printempsprès d’un petit banc à l’angle d’une allée.L’allée était bordée,de cerisiers du japon,en fin de floraison qui illuminaient,l’endroit d’un rose tendre.Je m’assis sur le banc,d’une couleur blanche,qui semblait si bien se marier,avec la couleur des fleurs.Une bise légère se leva,et je vis virevolter,avec grâce des pétales rosesqui finirent joncher le sol.L’air était pur et vivifiant,j’eus l’impression d’être,dans un véritable petit édenoù la nature régnait en maître.La brume avait maintenant,complètement disparu,les oiseaux clamaient leurs amours,et le parc se transforma en concert symphonique.Il était encore tôt,j’étais seul, emprunt à une douce nostalgie,l’esprit léger,assis sur ce petit banc au milieu d’un éden.
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larrydufresne · 3 years
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Cette brise. À érafler l’acier. Te joncher.  L’échelle qui borde l’observatoire. Te souviens-tu de la maison dans l’arbre? Les années humides.  Le bois mort.  Il faut remplacer l’enfance. Carnet d’entretien.
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zehub · 2 years
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Avec le dérèglement climatique, « on ramasse déjà des feuilles mortes depuis la mi-août ! »
Dans de nombreuses villes comme à Nantes, les feuilles d’arbres n'ont pas attendu l'automne pour joncher les trottoirs
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tournevole · 5 years
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Ma petite Lili (extraits) (...) Mais pour moi hors de ton amour il n'est pas de soleil. (...) Au moins laisse-moi joncher d'une dernière tendresse ton pas qui s'éloigne. --
Vladimir Maïakovski, 1916 –
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