Je reviens sur ce mois de septembre passé en rééducation après mon opération du genou, à Roncq, près de Tourcoing (Nord).
Maxime, jeune collègue et ami, me propose, le dimanche suivant, une autre balade dans les Flandres Françaises, cette fois à Wambrechies , en bord de Deûle.
Dans le Château de Robersart, le Musée du Jouet, très axé sur des pièces du début XXe.
Mais ici, on est plus dans les années 50 et 60 avec des oursonnes en bikini de laine bleue, des Barbie et Ken et des robots, des fusées ...Mais aussi des danseuses du théâtre chinois...
Après avoir bien lavé sa souris, Peluche fait la sieste avec !
Et hier, elle nous a fait un cadeau !
Hier soir, Peluche nous a ramené une énorme sauterelle. Étant donné que c'est assez rare qu'elle nous ramène des cadeaux, je me suis dit que si ça se trouve, dans sa petite tête, elle pensait que nous étions partis chasser tout l'après midi (alors qu'on allait au musée de Tautavel) et que nous étions rentrés bredouilles ! Donc elle nous a rapporté une sauterelle pour qu'on puisse manger !
C'est tout de suite plus mignon ... même si j'ai déjà essayé de lui dire que j'ai une petite préférence pour le poulet ... Après j'avoue que j'en ai pas vu passer beaucoup dans le jardin ...
Aujourd'hui, c'est notre deuxième jour de séjour de vacances🥰🙌🏾 Notre installation terminée, nous sommes ravis de pouvoir savourer pleinement les jours à venir🥳✨
Ici on joue bien, ici on rit bien🤩
On est content, on est heureux🥳✨
Tout va très bien✨ Youpiiiiiiiiiiiii🥳🤩🥰
Que les vacances continuent, nous vous réservons de belles surprises! Restez connectés✨🥳✨🥳✨
Le matériau visuel du kaléidoscope – à savoir ce que l’on dispose dans le tube, entre le verre dépoli et le verre intérieure – est de l’ordre du rebut et de la dissémination : bouts d’étoffes effilochées, coquillages minuscules, verroterie concassée, mais aussi lambeaux de plumes ou poussières en tous genres… Le matériau de cette image dialectique, c’est donc la matière comme dispersion, un démontage erratique de la structure des choses.
La valeur théorique de cette première particularité du kaléidoscope doit être comprise au regard de la conception benjaminienne de l’historien comme chiffonnier : « Créer de l’histoire avec les détritus mêmes de l’histoire » – tel est, on s’en souvient, l’épigraphe de la section du Livre des passages consacrée à la peinture et à la modernité. Non seulement « le bon Dieu (de l’histoire) gît dans les détails », comme le disait Aby Warburg, mais encore il semble se complaire dans les rebuts, dans la poussière. Tant il est vrai que nous avons à découvrir « dans l’analyse du petit moment singulier le cristal de l’événement total » : tant il est vrai que la « visibilité » du temps passe d’abord par la dissémination de ses traces, de ses résidus, de ses scories, de sa lie, de toutes les minuscules choses qui, en général, font le rebut de l’observation historique. Le marc du temps, si j’ose dire. Ne nous étonnons pas que Walter Benjamin ait constitué dès 1918 – selon le témoignage d’Ernst Bloch – une petite collection d’images « datant de l’époque de la lentille grossissante : des gouttes d’eau, des têtes de mouches, de la poussière… »
Georges Didi-Huberman, Devant le temps, Les Éditions de Minuit, 2000