Tumgik
#juin 2020
kiguqediham · 2 years
Text
Fabriquer un demonte pneu manuel
</p><br>https://jalulevonon.tumblr.com/post/694184673644085248/ombrelle-loola-mode-demploi-de-lipad, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694182974005166080/pelousnet-mode-demploi, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694184549393006592/exercices-guidage-en-rotation-pdf, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694182974005166080/pelousnet-mode-demploi, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694182974005166080/pelousnet-mode-demploi.
0 notes
Text
Tumblr media
Finie la rigolade !
L’inénarrable crétinerie des dirigeants va devenir sacrée !
Les mêmes qui se mobilisent pour la "liberté d’expression". "JE SUIS CHARLIE", bla-bla-bla… veulent réintroduire le système de surveillance soviétique au sein de d’une société de contrôle ultra-capitaliste… 🫶
Extrait du texte de loi que les salopards vont laisser passer à l’assemblée:
SENAT
« De l'outrage en ligne
« Art. 222-33-1-2. - I. - Est puni de 3 750 euros d'amende et d'un an d'emprisonnement le fait, hors les cas prévus aux articles 222-17 à 222-18-1, 222-33-1 et 222-
33-2 à 222-33-2-3 du présent code et aux troisième et quatrième alinéas de l'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d'une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.
« Est considéré comme diffusé en ligne au sens du présent article tout contenu transmis au moyen d'un service de plateforme en ligne défini au 4 du I de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, d'un service de réseaux sociaux en ligne ou d'un service de plateformes de partage de vidéo au sens du règlement (UE) 2022/1925 du Parlement européen et du Conseil du 14 septembre 2022 relatif aux marchés contestables et équitables dans le secteur numérique et modifiant les directives (UE) 2019/1937 et (UE) 2020/1828.
9 notes · View notes
pixdar · 10 months
Photo
Tumblr media
Rue André Dumont, Mers-les-Bains (Somme). Juin 2020.
33 notes · View notes
alain-keler · 1 month
Text
Tumblr media
JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-0
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Vernissage à la BNF. Un travail extraordinaire des commissaires de l'exposition Héloïse Conésa et Emmanuelle Hascoët. Beaucoup de monde, beaucoup de travaux très intéressants, difficile de faire un choix pour ce journal, alors j'ai choisi un travail en noir & blanc. Devinez quel est le photographe ?
La fin d'une grande aventure.
À bientôt!
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme#photographie #France #lafrancesousleursyeux
8 notes · View notes
aeroplvne · 10 months
Text
Tumblr media
ON MY BLOCK - off-season 2
OUVERTURE DES CASTINGS : VENDREDI 30 JUIN À 20H Bonjour à tous, Après un an d'absence, le forum éphémère ONMYBLOCK réouvre pour une nouvelle session qui durera l'intégralité de l'été ! Au rendez-vous, des activités chaque semaine, du fun, des intrigues régulières et énormément d'interactions ! ONMYBLOCK est une compétition en équipe sur une durée limitée, permettant d'exploiter son personnage à son plein potentiel. Puisqu'il s'agit de l'été, le rythme se verra allégé tout en continuant de proposer des activités régulières pour ses membres ! Les règles de cette seconde off-season seront dévoilées lors de l'ouverture de jeu. Forum administré par aeroplvne, créé en 2020. Rejoignez-nous ! https://onmyblock.forumactif.com/ https://onmyblock.forumactif.com/ https://onmyblock.forumactif.com/
17 notes · View notes
hansdurrer · 6 months
Text
Tumblr media
Lavaux, Suisse, 21 Juin 2020
12 notes · View notes
albad · 10 months
Text
Tumblr media
2022 ANNÉE PARTICULIÈREMENT MEURTRIÈRE
– Avant Nanterre : explosion des tués par balle pour “refus d’obtempérer” –
En 2022, 34 personnes sont mortes lors d’interventions policières en France. Un record.
Parmi ces décès, 24 ont été tuées par balles, dont 14 dans un véhicule, pour «refus d’obtempérer». Le nombre de tirs policier explose ces dernières années, depuis qu’une loi «assouplissant» le permis de tirer a été votée en 2017. En parallèle, les agents ont été équipés de fusils d’assaut permettant de tirer en rafale. Même l’IGPN s’est inquiétée du nombre de «tirs accidentels de plus en plus nombreux».
Parmi les décès recensés : le 4 juin 2022, à Paris, des policiers à vélo disent avoir vu une voiture dont l’un des passagers «ne porte pas sa ceinture de sécurité». Ils tirent. Deux personnes sont très gravement touchées, la passagère, Rahiana, décède. Les témoignages affirment qu’il n’y avait aucun danger pour les tireurs. Le 24 avril, près du commissariat du 36 quai des Orfèvres à Paris, un policier ouvre le feu avec un fusil d’assaut pour un refus d’obtempérer. Il tire une rafale avec un fusil HK G36, en principe destiné à l’antiterrorisme. «Cinq ou six impacts ont atteint les individus», deux frères sont tués sur le coup, alors que le policiers n’était pas menacé. Le fou de la gâchette est mis en examen pour «homicide volontaire», une qualification rarissime pour un policier.
Quelques semaines plus tôt, c’est un père de famille qui était abattu au volant, d’une balle dans le dos à Sevran. À Rennes, le 7 septembre, c’est une autre passagère de 22 ans qui est tué par balle lors d’un contrôle. Le 21 septembre, le tir d’un policier finit même dans un bus de la RATP à Paris, heureusement sans tuer personne.
Le jeune Nahel n'est malheureusement qu'un défunt de plus dans la longue liste des crimes sécuritaires et racistes.
Entre 1977 et 2020, 676 personnes sont mortes à la suite d’interventions policières ou du fait d’un agent des forces de l’ordre. Une moyenne de 15 tués par an. Avec 34 morts l’année passée, le bilan s’alourdit et s’accélère dramatiquement.
Retrouvez la liste détaillée des défunts par le collectif Désarmons-les : https://desarmons.net/
Contre Attaque
13 notes · View notes
ahjdaily · 9 months
Text
INTERVIEW: Une discussion avec Albert Hammond Jr. sur la vie, les Strokes et le sentiment d’être incompris (Les Inrockuptibles)
François Moreau | 07/07/2023 à 15h47
This interview is solely in French. For an English-translated version of the website: click here Please note, the translation may not be not entirely accurate.
For archival purposes, full text is stored below.
Le guitariste des Strokes vient de sortir “Melodies on Hiatus”, son cinquième album solo. L’occasion d’évoquer avec lui la vie en marge du groupe, le besoin incessant de composer et l’éternel sentiment stroksien d’être incompris et insatisfait.
On appelle Albert Hammond Jr. aux aurores à l’occasion de la sortie de Melodies on Hiatus, son cinquième album solo paru en juin. Le guitariste hirsute des Strokes décroche le combiné depuis le jardin de sa maison dissimulée dans les collines de Hollywood, à Los Angeles, Californie. Après notre entretien, il ira à la salle de sport. La routine angelina.
Comme beaucoup de musiciens de la côte est des États-Unis, à l’instar de Julian Casablancas depuis belle lurette, Albert a lui aussi migré à l’ouest en quête de soleil et de nouvelles opportunités. S’il prétend composer et enregistrer quotidiennement sous le ciel bleu californien quand il n’est pas en tournée, il passe aussi des castings pour le cinéma : vous l’avez peut-être vu jouer un type cocaïné dans Babylon (2022), de Damien Chazelle, le temps d’une brève apparition. En 2018, il confiait même avoir auditionné pour la série Stranger Things, avec un essai à la clef, mais l’aventure n’est pas allée plus loin.
La musique reste donc le cœur d’activité de ce bon vieil Albert. Quand on lui passe ce coup de fil, il rentre tout juste lessivé d’une mini tournée américaine avec les Strokes, bouclée le 25 mai sur la scène du Minute Maid Park de Houston, Texas, avec escales à Minneapolis (MN), Syracuse (NY), Phoenix (AZ) et San Antonio (TX). Les New-Yorkais partageaient la scène avec Red Hot Chili Peppers, preuve, s’il en fallait une, que The Strokes a désormais un stadium status, comme on dit outre-Atlantique, même si une telle affiche au début des années 2000 aurait interpellé. Après tout, la première fois qu’on a vu Pixies sur scène, c’était en première partie de la bande à Flea. Les digues séparant l’indie du rock’n’roll circus hollywoodien, si tant est qu’elles aient un jour existé ailleurs que dans l’étroitesse de nos jeans slim, ont cédé dans les grandes largeurs.
“Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”
Mais la question ne se pose certainement pas en ces termes en Amérique, ni même dans l’esprit d’Albert, qui ne s’embarrasse de telles considérations et reste lucide sur le parcours de son groupe : “Le paysage d’aujourd’hui n’est pas celui de nos débuts et, musicalement, le meilleur est devant nous”, tranche-t-il. Plus de vingt ans après la sortie de Is This It (2001) de la cave et après le Grammy du meilleur album rock de l’année pour The New Abnormal (2020) remporté en 2021, le quintet est bon pour le Rock’n’Roll Hall of Fame. Le club des cinq sera d’ailleurs pour la première fois à Rock en Seine cette année, le 27 août, en clôture du festival francilien, après une poignée de dates en Asie, aux États-Unis (encore) et à Londres. 
Carrière solo
Notre dernière rencontre avec le guitariste remonte au 18 février 2020, dans les coulisses de l’Olympia. “Je m’en souviens bien, on avait fait cette séance photo dans le parking deux minutes avant de monter sur scène”, nous glisse-t-il. À l’époque, nous n’étions qu’une poignée de chanceux·euses à avoir pu écouter The New Abnormal, le dernier album des Strokes au titre prophétique sorti en avril 2020, et le groupe accordait aux Inrocks une interview exclusive. Comme prévu, Julian Casablancas avait été expéditif, gêné comme d’habitude aux entournures par l’exercice. Albert, quant à lui, ouvrait les vannes, tenant le crachoir une heure durant dans sa loge, oubliant qu’Alex Turner, Hedi Slimane ou encore un représentant de Phoenix étaient en train de s’envoyer des coupes de champagne dans la pièce à côté. “Tu me demandes ce que ça fait de jouer avec les Strokes ? Mais j’en sais rien, je suis membre des Strokes, je ne peux pas avoir ce recul”, nous avait-il confié après le show.
Aujourd’hui, il tient le même discours : “Dans le fond, je n’avais jamais eu véritablement l’intention de faire des disques en solo. Faire partie d’un groupe comme les Strokes, qui a du succès, me suffit. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu ça. Quand j’ai sorti le premier album, les gens disaient que certains morceaux ressemblaient aux Strokes. Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”. 
Pour un type qui ne rêvait pas de carrière solo, Albert Hammond Jr. est le membre du groupe qui possède la discographie la plus étoffée, avec cinq albums et un EP, AHJ (2013) sorti chez Cult Records, le label du pote Julian. A l’époque de Yours to Keep (2006), il est même le premier à s’échapper des Strokes, alors que les New-Yorkais entrent à peine dans une période de hiatus de six ans et que, par médias interposés, Casablancas se plaint d’être celui sur les épaules duquel repose l’existence du band. 
L’idée derrière Yours to Keep n’était effectivement pas tant de sortir un disque à tout prix, mais d’arriver au bout d’un processus, qui semble pourtant encore inachevé aujourd’hui, si l’on en croit Albert : “Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de réfléchir à quel musicien je voulais être, parce que j’ai toujours fait partie d’un groupe. Si j’y avais pensé plus tôt, j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. Je n’aurais pas pris autant de drogues pour ¿Cómo Te Llama?, mon deuxième album. Je vivais dans une réalité, disons, qui n’était pas un modèle de vie durable. Avec le recul, je crois que l’idée, c’était de faire les choses et d’avancer avec le groupe quoiqu’il arrive. Je sais que je n’ai jamais été capable de faire de la musique tout seul, j’ai besoin d’un tuteur pour me montrer comment plonger. Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau.” 
New York années 2000
Albert revêt une allure de survivant encore un peu ébranlé par la frénésie des choses. La dope, le New York junkie et grisant des années 2000, celui dont on peut lire les exploits dans l’essentiel ouvrage de la journaliste Lizzy Goodman Meet Me In the Bathroom – New York 2001-2011 : une épopée rock, fraîchement traduit en français aux éditions Rue Fromentin ; le musicien se contente de l’évoquer quand on lui en parle, mais tient à désamorcer toute forme de nostalgie mal placée qui dit généralement plus de l’intervieweur que de l’interviewé : “C’est ma jeunesse, tu sais. C’est difficile de ne pas romantiser cette période de ta vie. Parfois je regarde en arrière pour réaliser que les choses sont belles aujourd’hui. Dans les moments les plus sombres, je me dis que j’aurais dû profiter davantage de tel ou tel moment.”
“Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau”
Au sujet de la dope, justement, Albert – sobre depuis longtemps – ne cache rien en interview, mais disqualifie, une fois encore, les biais de romantisation, notamment lorsqu’il s’agit d’évoquer le temps de la création musicale : “J’imagine que si tu es sous influence, que tes perceptions changent pour t’amener à voir les choses sous un autre angle et que tu travailles vraiment dur en suivant cette ligne, tu peux accomplir certaines choses. Mais cette discipline est presque impossible à atteindre. Même si un trip t’amène à voir des choses extraordinaires, une fois retombé, il te reste à tout rassembler ensuite. Et c’est une tâche sans fin.
J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord. Quand tu crées, tu dois composer avec ta part d’ombre. Ça peut prendre plus de temps d’arriver là tu veux aller, mais au moins c’est réel et profond. Je trouve ça bizarre de penser que c’est la substance qui crée. C’est toujours la personne et ce qu’elle met dans son œuvre ! La substance te permet juste de faire taire cette petite voix intérieure qui peut parfois se transformer en monstre quand tu es en plein processus de création. Si j’avais pu m’imposer cette discipline plus tôt, il aurait été intéressant de voir où ça m’aurait mené. Heureusement, je ne me suis pas grillé, mon cerveau est toujours là.” 
Dur labeur
Pour Melodies on Hiatus, un double-album de dix-neuf titres, Albert s’est ainsi entouré d’un producteur, Gus Oberg, vieux collaborateur des Strokes, et d’une parolière, la Canadienne Simon Wilcox, appelée à la rescousse quand il a fallu mettre des mots sur la somme de démos enregistrées. Au générique de ce disque, une poignée de musiciens : Goldlink, Matt Helders (Arctic Monkeys), Steve Stevens (guitariste de Billy Idol), la chanteuse Rainsford. L’idée d’être le type qui rassemble autour de lui, tel un esthète, le branche-t-il ? “Je n’irais pas si loin. Disons que, parfois, j’ai l’impression de comprendre que certaines personnes vont bien avec d’autres. Mais je connais mes points faibles, j’aime m’entourer de gens qui savent faire ce que je ne sais pas faire. C’est fun d’assembler les pièces du puzzle.”
Comme il le répétera tout au long de notre conversation, Albert n’avait pas spécialement en tête de faire un disque aussi pléthorique. Contrairement à Francis Trouble (2018), son précédent album enregistré de façon assez classique, avec un groupe venu en studio pour mettre en boîte des démos travaillées au préalable par Albert, Melodies on Hiatus s’est fait sur le temps long aux côtés du pote Oberg, avec peu de gens autour dans un premier temps : “Je voulais déconstruire l’idée du groupe en studio. L’idée, c’était d’avoir Gus avec moi, quelques drum machines, un ordinateur, des potes de passage pour jouer quelques instruments. On se disait ‘essayons ceci, essayons cela’, et finalement les morceaux sont sortis assez naturellement. Très vite, je me suis retrouvé avec une vingtaine de chansons et je me suis senti dépassé.” 
“J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord”
Dépassé, parce que le songwriting n’est pas le fort d’Albert Hammond Jr. qui, même s’il a grandi avec son auteur/compositeur de père, ne vit pas la musique de cette manière. “Les paroles, en musique, c’est vraiment la dernière chose à laquelle je me raccroche”, confie-t-il, avant d’évoquer sa collaboration avec Simon Wilcox, qui a coécrit toutes les paroles alors que les deux n’avaient alors échangé que par téléphone.
De longues conversations téléphoniques en forme de déversement de flux de conscience : “Je peux chanter avec du faux texte, parfois même, comme sur le morceau Old Man, quelques lignes surgissent, mais il me fallait quelqu’un. Je me suis dit que j’allais demander à des potes d’autres groupes de m’écrire quelques morceaux, et puis on m’a présenté Simon. On s’est tout de suite bien entendu. On a eu des conversations profondes, des choses très personnelles, et elle a su capturer toutes ces choses. D’une certaine manière, on peut dire que ça ressemble à une thérapie. C’est toujours plus simple pour moi de laisser couler le flot de la conversation que de déterminer à l’avance un sujet pour un morceau. Ça sonne faux pour moi.
De ce point de vue, la création peut donc être perçue comme une thérapie, oui. Parce que, créer, c’est faire surgir une partie de toi qui ne s’autorise pas toujours à exister. Mais ça reste beaucoup de travail. Bien sûr, il y a des moments suspendus, ça arrive, mais tu ne peux pas attendre ces moments éternellement. La plupart du temps, ça se résume à bosser énormément et à assembler les pièces d’un puzzle. Être capable de tout détruire et de reconstruire, sans trop t’attacher aux choses. Si un morceau ne marche pas, tu dois comprendre pourquoi. En d’autres termes, tu dois constamment te battre contre toi-même”. 
Incompris
Obnubilé par la personnalité accidentée de Julian Casablancas, on oublierait presque les quatre autres membres des Strokes, leur histoire en marge du groupe, le chemin parcouru pour se frayer une voie en dehors des perceptions parfois limitées que le succès du band a probablement dû exacerber ces vingt dernières années. Qui se rappelle de l’album de Nikolai Fraiture, bassiste discret, sorti en 2009 sous le sobriquet de Nickel Eye ? Il faudra s’en rappeler quand il s’agira de répondre à la question : que se tramait-il dans la tête d’un jeune New-Yorkais vingtenaire ayant grandi dans le Manhattan des années 2000 ?
À mesure que le temps passe, les fantasmes se cristallisent, quitte à nous fourvoyer. “’Ive been all around this town / Everybody’s singin’ the same song for ten years”, chantait Julian en 2011 sur Under Cover of Darkness. Albert semble avoir tracé sa route et ne regarde derrière que quand quelqu’un lui demande de regarder derrière, comme si on voulait encore et toujours rejouer l’histoire, comprendre l’incompréhensible, raviver une flamme éteinte depuis belle lurette. 
“C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif”
“Le truc, c’est que même 20 ans après, et c’est une constante chez moi, j’ai le sentiment d’être incompris, nous rencarde Albert. Je n’ai jamais l’impression de faire face à des gens qui me comprennent, et notamment quand je suis face à des fans. C’est un peu frustrant, et une sensation étrange. À chaque fois que j’entends quelqu’un parler d’un de mes morceaux, c’est si éloigné de ma propre perception des choses ! On me parle de chose que je n’essayais ni de près ni de loin de faire, de reproduire ou de copier. C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif. C’est toujours intense pour moi de sortir un disque, ça ressemble à un matin qui n’existe jamais vraiment.” 
Tout porte à croire que des groupes comme les Strokes ou Arctic Monkeys sont essentialisés jusqu’à la moelle (il n’y a qu’à voir ce que se mange en pleine poire Alex Turner quand il fait son Scott Walker, au lieu de donner dans le riff adolescent), au point de leur faire porter le poids des élans nostalgiques de trentenaires qui les verraient bien au Panthéon. Albert : “J’ai plutôt l’impression de ne pas avoir accompli certaines choses, plutôt que l’inverse. Je ne vais pas m’asseoir et énumérer avec toi tous nos succès. Les gens doivent comprendre que si ce qu’on a pu faire toutes ces années leur paraît énorme, c’est difficile de notre côté d’éprouver ce genre de sentiment.”
11 notes · View notes
lapoubelledebureau · 23 days
Text
Tumblr media
26 juin 2020
4 notes · View notes
Text
Djokovic, ses records 2023. Vainqueur des Masters ATP pour la septième fois dimanche 19 novembre 2023, il a ajouté un énième record à son palmarès pour cimenter son statut d'un point de vue statistique de meilleur joueur de l'histoire.
7 sacres aux Masters ATP le «tournoi des Maîtres» après 2008, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2022. Il devance désormais Roger Fededer, sacré six fois. Le Suisse détient encore le record de participations (17, contre 16 à Djokovic) et de finales jouées (10, contre 9 à Djokovic). 24 titres du Grand Chelem en remportant l'US Open 2023, il a égalé le record absolu détenu par l'Australienne Margaret Court depuis l'US Open 1973. Il était devenu seul détenteur du record masculin (23) grâce à son troisième sacre à Roland-Garros en juin, avec une longueur d'avance sur Nadal et trois sur Federer. 8ème année terminée à la première place mondiale 2011, 2012, 2014, 2015, 2018, 2020, 2021 et 2023), le Serbe a terminé l'année avec le statut de meilleur joueur de la planète. Il avait dépassé le record, alors détenu par l'Américain Pete Sampras 6ème en 2021. Federer en est resté à cinq, tout comme Rafael Nadal. 10 titres à Melbourne en janvier 2023, il a remporté l'Open d'Australie pour la dixième fois après 2008, 2011, 2012, 2013, 2015, 2016, 2019, 2020 et 2021, soit quatre fois de plus que Federer et l'Australien Roy Emerson. 36 finales de Grand Chelem jouées avec quatre finales disputées en 2023, il est désormais nettement devant Federer (31) et Nadal (30) chez les hommes, mais également devant Chris Evert (34) chez les femmes. 40 titres en Masters 1000 vainqueur du Masters 1000 de Paris début novembre, Djokovic est le joueur le plus titré dans cette catégorie de tournois, les plus importants et mieux dotés après ceux du Grand Chelem. Il est en outre le seul joueur à avoir remporté les neuf tournois de cette catégorie, qui plus est à plusieurs reprises. 400 semaines passées à la place de n° 1 mondial lundi 20 novembre 2023 sa place au classement ATP, un chiffre jamais encore atteint. Son premier poursuivant dans ce classement ne peut pas le rattraper, puisqu'il s'agit de Federer, retraité depuis 2022, avec 310 semaines. Parmi les joueurs en activité, Nadal occupe la 6e place de ce classement avec 209 semaines
2 notes · View notes
forestduck · 5 months
Text
Tumblr media
16 juin 2020 - Tulum, Mexico photo by maddydenley
5 notes · View notes
shixxx127 · 1 year
Text
Bonsoir à vous qui tombez sur mon premier guide. Aujourd’hui je vais vous présenter un groupe que j’apprécie énormément, mais n’est pas populaire malheureusement. Le nom du groupe en question est “E’last”. Sans plus tard nous allons commencer la présentation globale…
———————————————————————————————————
Tumblr media
Tout d’abord E’last qui était par le passé “EBOYZ” est un groupe composé de 8 membres. Ils ont débutés le 9 Juin 2020 avec leur mini-album “Day Dream” avec pour title track “Swear”.
youtube
Passons désormais à la présentation de groupe:
Tumblr media
- Rano :
• Rano le leader , il a 23 ans (10/12/1998) , il est danseur principal/rappeur , il aime faire du vélo , le shopping, sa famille et ses fans…Les membres l’appellent “Tyrano”
- Choiin :
• Ensuite le membre le plus âgé est Choi In , il a 26 ans (je suis encore sous le choque 💀) , il est danseur/chanteur du groupe , autrefois il était dans un groupe de danse de rue (TOY) il faisait des performances, et il aime mangas , la cuisine, les jeux vidéo, le vélo…
- Seungyeop:
• Seung Yeop , il a 24 ans (08/05/1997) , il est Chanteur/visuel, il aime faire de l’exercice et c’est le membre qui a le plus grande force physique de son groupe , les films/dramas , sa famille , les comédies musicales (il en jouer une en 2016).
- Baekgyeul :
• BeakGyeul il a 22 ans (01/12/1999) il est le chanteur du groupe , il est casanier , il aime la mode , Star Wars , les chiens et les chats , jouer de la guitare…
- Romin:
• Romin il a 21 ans (24/04/2001) , il est chanteur/danseur , il aime aller au cinéma, les choses mignonnes, le shopping, les Marvel…
- Wonhyuk:
• Won Hyuk il a 20 ans (22/02/2002) , il est le chanteur principal et rappeur, il aime faire des covers , ATEEZ (c’est Bias son Hongjoon/San Mais on sait pas le 3e à cause de Mingi (je rigole quand je dis ça 😭)) , les vêtements, la décoration, et c’est le membre qui travaille le plus.
- Wonjun:
• Wonjun il a 20 ans aussi (08/03/2002) , il est Rappeur principal/chanteur , il aime faire de l’exercice , le sport , la musique, les chiots (il sait parler anglais et mandarin) il sait jouer du piano de la batterie (il était dans produce X101 avec Wonhyuk).
- Yejun:
• Et enfin Yejun il est le Maknae et il a 19 ans (23/08/2002) , il est chanteur , aime prendre des photos de chats , voyager , le dessin , il a le rire facile et il mange ÉNORMÉMENT 💀 (et il arrive à garder la ligne malgré ça eh nan)
———————————————————————————————————
Le nom du Fandom est : Elring
Par ailleurs E’last possède une sous-unit qui est composé de 4 membres Romin, ChoiIn, Wonjun et Seungyeop. Ils ont débutés avec la title track “Beginning of spring”, l’unit a pour nom E’last U.
Enfin la discographie et autre ->
Pour en apprendre plus sur les membres n’hésitez pas à regarder cette série de vidéos ->
Et ici pour voir nos talentueux Wonjun et Wonhyuk en action durant produce X101 ->
youtube
17 notes · View notes
pixdar · 10 months
Photo
Tumblr media
Rue de Paris, Clichy (Hauts-de-Seine). Juin 2020.
21 notes · View notes
alain-keler · 1 month
Text
Tumblr media
JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-2
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Extrait de mon journal : L’étang de Montmazot. Première vraie halte de mon travail. Il y a la maison de Madame Conchon où j’allais tout petit, je ne devais pas avoir six ans. 
L’étang me paraît aujourd’hui tout petit, en fait il était grand quand j’étais tout petit enfant. Je continue sur Montaigut en Combraille, à quatre kilomètres. Dans la grande rue, qui en fait elle est toute petite et étroite, tous les commerces sont fermés, ou presque. Ça fait ville sinistrée. C’est dans cette rue que nous allions à pied de l’étang avec Madame Conchon pour m’acheter Tarzan. Et sans doute d’autres choses.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme #photographie#France #lafrancesousleursyeux
8 notes · View notes
photoriadoc · 10 months
Text
Gallerie - Le port de mouillage du Becquet
Tumblr media
Série de clichés pris en Juin 2020 avec un appareil Bridge, le Fujifilm Finepix S1600.
Tumblr media
Gallerie - Le port de mouillage du Becquet Situé sur la côte de la Manche, le port de mouillage du Becquet offre aux plaisanciers une escale idyllique au cœur d'un environnement préservé. Niché dans un cadre naturel exceptionnel, ce port pittoresque est réputé pour son calme et sa beauté. Le Becquet accueille principalement les voiliers et les bateaux de plaisance. Il offre une alternative charmante aux ports plus fréquentés de la région. Les plaisanciers qui choisissent de s'y arrêter peuvent profiter d'une ambiance paisible, loin de l'agitation des ports plus importants. Ce port de mouillage bénéficie d'une protection naturelle grâce à sa position géographique. Il est niché dans une petite baie, ce qui le rend à l'abri des vents dominants et des courants marins. Les eaux calmes et peu profondes du port offrent un lieu de repos idéal pour les navigateurs en quête de tranquillité. Read the full article
3 notes · View notes
hansdurrer · 6 months
Text
Tumblr media
L'Isle, Vaud, Suisse, 22 Juin 2020
4 notes · View notes