Alright, you clowns (37-ish of you anyway) have decided that I’m a Chicago Sky fan.
Things I like:
~Not affiliated with corresponding NBA team
~They are Destiny’s grandChildren (Michelle Williams and Matthew Knowles are notable shareholders)
~Only one championship (I like hungry players)
~I have a season and reason to visit my favorite Amelia (Wait, Wait, Don’t Tell Me AND a ballgame?!? That week’s going to be awesome)
~One of my nicknames is Chi-Chi, which makes Chi-town a fit
Things I don’t like:
~That championship was recent…
~I think my obviously favorite player is leaving while I’m getting on board
Anyways, so now I need to decide on a favorite player… and since all my basketball cards and merch are still being ordered I guess I need your help again!
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On this day, 11 July 2002, German socialist and French resistance fighter Irene Bernard died aged 94. An office clerk and mother of three, Bernard lived in Saarland, which was independent of Germany in the early days of Nazi rule, and became home to many Germans fleeing the regime. There she and her husband, Leander, assisted refugees. When Saarland was annexed by the German Reich in 1935, the Bernards fled to France to escape the Gestapo. There, they kept up their anti-fascist activities and helped volunteers on their way to fight general Franco's nationalists in the Spanish civil war. When the Wehrmacht occupied southern France in 1942, Irene joined Travail Antifasciste Allemand, a combat unit of the French resistance consisting of thousands of mostly German speakers. She then went underground, fought with the National Committee for Free Germany and gathered military intelligence. After the war, Bernard took care of wounded German soldiers who were prisoners of war. Later she returned to Saarland and became involved with women's and anti-war movements, and remained involved with anti-fascism and advocating for victims of Nazism. Learn more about German resistance to Nazism in our podcast episodes 63-64 and 72. Listen and subscribe on Apple Podcasts, Spotify, on our website, or on your favourite podcast app: https://podcasts.apple.com/podcast/working-class-history/id1355066333 https://www.facebook.com/photo.php?fbid=659809479525604&set=a.602588028581083&type=3
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ecg 1
NOMS DENOMBRABLES ET INDENOMBRABLES
Les conseils que Sara a donnés à Charlotte étaient pertinents. Ainsi, elle a pu économiser énormément (awful lot) d'argent. Un compte en banque, être à découvert, little brooks make large rivers, a quid, a buck, a coin, a currency, the change, how much do you charge ?
Aurélia a éclaté en sanglots quand elle a vu tous les dégâts après les inondations dans le nord de la France. Heureusement, la pluie s’est arrêtée. A stitch in time saves nine, to weep, la tristesse, le chagrin, l’eau monte, to water a garden, it’s pissing down !
Julie n'a pas eu besoin d'acheter des meubles quand elle s'est installée (move in) à Angers. Sa tante lui a donné tout ce dont (all she) elle avait besoin. A rent, a landlady, a landlord, a tenant, un colocataire, a bedsitter, a cupboard, une table basse, une armoire, a closet
L'été dernier, Eloi a perdu ses bagages à l'aéroport JFK. Il m'a dit qu'il ne retournera plus jamais à New-York. Passer à la douane, un douanier, a terminal, décoller, atterrir, a long-haul flight, a domestic flight, a runway, le commandant, air rage, a Karen
Alice m'a demandé des renseignements sur comment devenir fille au pair en Irlande. En fait, c'est plus facile qu'elle ne le pensait. Eire, Ulster, aller à l'étranger, un étranger, un inconnu, un séjour, s'occuper d'enfants, a child-minder, the kindergarten, a county, a lullaby
Je crois que Rosalie a fait de pros progrès en Allemand récemment. Je pense que c'est parce que c'est sa matière préférée. Mon allemand est mauvais, comment on dit « chien » en anglais ? It's double Dutch to me, je parle anglais couramment, globish
Tilian s'est pointé (turn up) et a dit « les nouvelles sont bonnes, mes parents viennent de m'acheter une voiture d'occasion ! » un automobiliste, un chauffeur privé, un chef d'orchestre, le coffre de la voiture, le volant, le capot, le pare-brise, le pare-choc, le moteur
Je crois qu’antoine cherche du travail mais il veut un travail bien payé comme chacun d'entre nous. Un emploi à responsabilités, un cadre, un directeur, le P.D-G, a corporate credit card, postuler à un emploi, un candidat à un emploi, une lettre de candidature, a résumé
Axelle a acheté un journal pour lire pendant le voyage et du papier pour écrire à ses amis. Elle sera bien occupée. La presse de caniveau, la presse de qualité, the editor, a column, faire les gros titres, la première page, a top-shelf magazine
Timothée a trouvé un cheveu dans son potage. Il a accusé (put the blame) Edwin car deux jours plus tôt, il lui avait dit que ses cheveux étaient trop longs et qu'il devrait se les faire couper (to have something done) une entrée, un plat de résistance, le fromage, un dessert, la carte, commander, un serveur, a Michelin-starred restaurant.
Tu savais que Gautier avait les yeux bleus ? Tu te trompes, ils sont verts. Si seulement j'avais les yeux verts. To raise an eye-brow, to look someone in the eye, an eye for eye and a tooth for a tooth, to eye somebody, all eyes on me, to turn a blind eye on, a blue-eyed dude
La mère de Quitterie travaille comme avocate dans une grande société. C'est faux, elle est mère au foyer. Non, elle est infirmière, comme mon père. Un infirmier, les urgences, une ordonnance, mon généraliste, the NHS, être positif à la Covid, to get a booster jab
Martin a dit « Quel joli pantalon et quelle jolie chemise ! Tu les as acheté d'occasion sur Vinted ? » Ophélie a répondu « Ca ne te regarde pas, occupe-toi de tes affaires ! » une jupe, une robe, des tennis, des chaussettes, un pantalon déchiré, corduroys, a jumper, a sweater
Mathurin ne porte jamais de chapeau. Il préfère les casquettes. C'est plus chic, dit-il. S'habiller, se déshabiller, se mettre sur son 31, un costume, une cravate, casual Friday
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Et finalement, le Tadjikistan 4/4 -
Bartang Partie 1
Après deux nuits à Murghab en demi-pension (c’est l’usage dans les guest-house du coin et ça nous arrange bien d’esquiver le réchaud), on peine à quitter la table du petit dej’, sa panière à pain qui semble se remplir indéfiniment et sa toile cirée violette aux motifs provençaux (on aimerait bien savoir qui conçoit ces nappes de goût douteux). Chaque binôme part en décalé, Julie et Valère, les plus organisés, sont comme toujours les premiers, on les seconde, puis ce sera au tour de Camille et Romain qui dorment longtemps mais pédalent plus fort (une histoire de watt élevés apparemment). Le col qui nous sépare de la prochaine bourgade, Karakul, s’élève à 4655 m., ce sera le point culminant de cette petite promenade de santé. Pour se ménager, on avait prévu de bivouaquer juste avant et de le franchir le lendemain jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’on a le temps et l’énergie pour le grimper le jour-même. On en faisait tout un plat mais finalement l’ascension se révèle largement abordable, surtout après ce qu’on a mangé sur la Wakhan. Improbable mais vrai, on rencontre au sommet trois français et leur Lada 4x4 (trop classe) qui se baladent dans le coin et qui nous offrent des barres de céréales pour célébrer l’ascension (ça paraît trivial mais pour nous barres de céréales = grand luxe). L’un d’eux, Vincent, travaille à Tachkent (en Ouzbékistan) et nous offre de nous héberger lors de notre retour à la civilisation d’ici quelques semaines. Ravis de cette rencontre inopinée et des vues incroyables que nous offre cette décidément mythique M41, on redescend de l’autre côté en quête d’eau pour camper. Il nous faudra prendre patience car les rivières alentour sont soit trop lointaines soit bien trop boueuses. On se pose enfin près d’un petit lac dans lequel nous ferons furtivement trempette (sauf Valère qu’un coup de froid cloue au lit dès notre arrivée). Cette fois, pas de conversation tardives (par tardive on entend après 20h), le vent est bien trop hostile. On arrive rapidement à Karakul le lendemain matin avec la perspective réjouissante d’un deuxième petit-déjeuner au chaud (manger pour pédaler et pédaler pour manger, la base). Karakul nous avait déjà parue un peu fantomatique il y a 4 ans mais ce sentiment est décuplé maintenant que la frontière est fermée et que le trafic est quasi nul. A notre grande surprise, on trouve quand même quelques denrées alimentaires basiques pour renflouer nos stocks (rien de fou non plus, on est sur des oignons et des biscuits secs).
On repart pour quitter le goudron de nouveau, direction la vallée de la Bartang, largement précédée par sa réputation de « c’est la plus belle mais la plus dure », principalement à cause des nombreuses rivières qu’il faut traverser et de l’état parfois désastreux des pistes. Nous on a prévu d’y aller doucement et ça s’engage plutôt bien, du moins c’est ce qu’on croit alors qu’on est tranquillement installés à notre premier bivouac. Jusqu’à ce que débarquent, entre la poire et le fromage, trois allemands en jeep qui nous soutiennent qu’il nous sera impossible de continuer sur cette voie car il y a eu un glissement de terrain qui a balayé une partie de la route désormais engloutie par la rivière. Bon… On décide de dormir dessus et d’en reparler tous les six le lendemain. Il se trouve qu’en se réunissant le jour suivant, tout le monde a déjà pris sa décision (sauf nous). Julie et Valère, qui doutaient déjà de s’engager sur cette piste accidentée sont maintenant d’avis de rebrousser chemin. Camille et Romain, quant à eux, veulent tenter la traversée de la frontière Tadjikistan – Kirghizstan car plusieurs touristes ont témoigné d’une progressive réouverture depuis quelques jours. Ce changement brutal de plan et ces au-revoir bâclés nous étourdissent et nous laissent tristes et indécis. Il est difficile de retranscrire l’intensité de ces moments-là où on est pétris d’incertitude et de déception à l’idée de laisser tomber cet itinéraire. Le fait d’être si isolés complique notre choix car on doit se contenter de l’avis d’une poignée de personnes, on n’a pas de moyens de communication et on ne peut pas se permettre de faire demi-tour trop tard car on n’aurait pas assez de nourriture (il n’y a aucun village avant ce fameux glissement de terrain).
On prend le parti de retourner jusqu’à Karakul pour réfléchir plus posément. Alors qu’on vient d’atteindre la route, on aperçoit une voiture qui remonte de la vallée. On l’intercepte et on bombarde de questions les deux touristes espagnols qui en sortent. Ils se montrent beaucoup plus optimistes que nos interlocuteurs de la veille, nous montrent à leur tour des photos et nuancent la difficulté de la traversée, surtout à vélo. C’est grâce à eux qu’on décidera de tenter notre chance sur la Bartang. Les allemands seront quant à eux parvenu à faire rebrousser chemin à au moins six cyclistes, communiquant leur panique sans filtre et oubliant qu’on a l’avantage non négligeable de pouvoir porter notre véhicule en cas de pépin.
La vallée remplit ses promesses, on parcourt des plateaux herbeux puis d’autres secs et lunaires, on serpente le long de rivières transparentes puis on en surplombe des plus tumultueuses et boueuses, on est seuls dans cette immense beauté.
Julie, Valère et la M41.
Cabanon pré-col.
La concentration.
"Bienvenue au col Ak-Baital"
Pas un humain à la ronde.
Rencontre au sommet.
Youpi le col.
Avec Vincent et Joseph.
Un Simon emmitouflé mais heureux.
Zou la descente.
Des pâtes et au lit.
"Allons nous sustenter dans cette charmante taverne"
Assemblée générale.
Demi camion et bout de lac.
Karakul la trépidante.
"Une table pour 36 svp"
Chargée mais contente.
Marmotte dans une mauvaise passe.
Par ici la Bartang.
La belle piste.
Jusqu'ici tout va bien.
Juste avant de se séparer (bien tenté Romain).
De nouveau à deux.
C'est cassé.
Comme prévu, c'est beau.
Merci la signalisation.
Zig-zag steppiques.
Plat-en-ciel.
Unique rencontre du jour.
On n'a pas d'ombre mais on a une patate.
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