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#l'homme qui en savait trop
imkeepinit · 1 year
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Movie poster by an unknown artist for the 1956 Belgian release of L’homme qui en savait trop (or, in Flemish, De man die te veel wist.) Alfred Hitchcock was working at Paramount Pictures during the widescreen revolution of the 1950s, and, as a result, the three movies he produced during that time were all filmed in VistaVision, a process in which the film ran horizontally through the camera and projector. He liked the results well enough that he used the process again for North by Northwest, which was filmed at MGM. 
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sofya-fanfics · 7 months
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Le mariage de sa fille
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Fandom : Spy x Family
Personnages : Loid & Anya
Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Retrouvailles.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Loid alla s'asseoir au fond de la salle. De là où il était, il avait une vue d'ensemble sur toute la cérémonie. La musique commença et Anya apparue. Sa robe de marié était à la fois simple et élégante. Il eut un pincement au cœur. Si les choses avaient été différentes, il serait à ses côtés pour l'accompagner jusqu'à l'autel. Mais il avait dû disparaître de sa vie, pensa-t-il avec amertume.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
@tropetember
AO3 / FF.NET
Loid ajusta son masque. Il se regarda une dernière fois dans le miroir. Le déguisement qu'il portait était parfait. Personne ne le reconnaîtrait sous le traits d'un homme de soixante-dix ans. Cela faisait deux jours qu'il était revenu à Ostania et qu'il avait pris une chambre d'hôtel. Il repartirait dans la soirée.
Même s'il n'était pas revenu depuis dix ans, il devait faire attention à ce que personne ne sache qu'il était là. Après tout, tout le monde croyait qu'il était mort. Sa mission avait pris fin il y a dix ans. La guerre avait été évitée et Loid Forger devait disparaître. Pour ne pas éveiller les soupçons, Loid était décédé dans un grave accident de voiture. En faisant mourir Loid le père de famille, il était redevenu Twilight l'espion qui devait effectuer une nouvelle mission. Car même si la guerre n'avait pas eu lieu, la paix était une chose fragile qui devait être préservée à tout prix.
Il était habitué à cette situation. Exécuter une mission, disparaître lorsqu'elle était terminée puis en exécuter une nouvelle. Mais cette mission à Ostania avait duré plusieurs années. Elle avait duré huit ans et il avait fait la seule chose qui lui était interdite. Il en était venu à aimer Anya comme sa fille et il était tombé amoureux de Yor. La fausse famille qu'il avait créé était devenue sa véritable famille. Pour la première fois depuis des années, il avait été heureux. Mais la réalité avait fini par le rattraper et sa mission était terminée.
Se séparer d'Anya et de Yor l'avait brisé. Mais il devait tout faire pour les protéger et faire en sorte qu'elles vivent dans un monde en paix. Il savait que Franky les surveillait de loin. Il avait plusieurs fois essayé de lui dire ce qu'elles étaient devenues, mais Loid n'avait jamais voulu l'écouter. C'était trop dur. Franky était le seul à savoir ce que Yor et Anya représentaient vraiment pour lui.
Puis, il y a deux semaines, Loid était tombé sur un article de journal annonçant le mariage de l'homme d'affaire Damian Desmond et Anya Forger. Quelle ironie, avait pensé Loid, qu'Anya épouse le fils de Desmond. Mais en lisant cet article, toutes les décisions qu'il avait pris jusque là, toutes ses résolutions, tout avait disparu. Il devait se rendre au mariage et être là pour Anya.
Il sortit de l'hôtel et monta dans la voiture qu'il avait loué. Il arriva à l'endroit où devait se dérouler le mariage. Il s'agissait d'un magnifique hôtel à la sortie de la ville. C'était un lieu exceptionnel pour un mariage exceptionnel. Il entra dans la salle où devait avoir lieu la cérémonie. Il balaya la salle du regard. Il reconnu plusieurs personnalités politiques ainsi que des hommes d'affaires. Puisqu'il s'agissait du mariage de Damian Desmond, il n'était pas étonnant de voir ce genre d'invités. Au loin, il pouvait voir Yuri qui s'installait au premier rang. À côté de lui, se trouvait :
« Yor, murmura Loid. »
Son cœur s'accéléra. Il savait qu'il allait la voir, c'était inévitable. Mais il ne s'était pas attendu à ressentir quelque chose d'aussi fort. Elle était encore plus belle que dans ses souvenirs. Elle souriait, heureuse du mariage d'Anya. Loid détacha son regard d'elle. Il devait faire attention à ne pas qu'elle le remarque. Elle se méfierait si elle voyait un inconnu l'observer.
Il alla s'asseoir au fond de la salle. De là où il était, il avait une vue d'ensemble sur toute la cérémonie. La musique commença et Anya apparue. Sa robe de marié était à la fois simple et élégante. Elle ressemblait à une véritable princesse. Loid eut un pincement au cœur. Si les choses avaient été différentes, il serait à ses côtés pour l'accompagner jusqu'à l'autel. Il ne put s'empêcher de penser à l'époque où elle était encore une petite fille qu'il avait adopté pour accomplir sa mission. Il n'avait pas prévu qu'elle se ferait une place dans son cœur et qu'il en vienne à l'aimer comme sa véritable fille. Mais il avait dû disparaître de sa vie, pensa-t-il avec amertume.
Anya passa à côté de lui et son regard croisa le sien. Elle écarquilla les yeux et se figea pendant une seconde avant de se reprendre et de marcher à nouveau vers Damian. Personne ne s'était rendu compte de rien. L'avait-elle reconnu ? C'était impossible. Il avait toujours été un maître du déguisement et personne ne pouvait le reconnaître. Pourtant, ce n'était pas la première fois qu'Anya pouvait comprendre des choses que personne ne comprenait. La cérémonie commença et après avoir dit leurs vœux, Damian et Anya furent déclarés mari et femme. Tous les invités se levèrent et les applaudirent.
******
Cela allait bientôt faire une heure que Loid se trouvait à la réception du mariage. Il était désormais temps pour lui de partir. Il avait pris assez de risque. Il avait réussi à éviter Yor. Il savait que s'il lui parlait, il risquerait de tout lui dévoiler et de ne plus vouloir se séparer d'elle. Il sortit de la salle et se dirigea vers sa voiture.
« Chichi ! »
Son cœur fit un bond dans sa poitrine. Il ne devait pas s'arrêter, pensa-t-il. Il devait continuer d'avancer et faire semblant de ne pas l'avoir entendu.
« Chichi, arrête-toi ! »
Loid s'arrêta de marcher. Il se tourna vers Anya et lui sourit.
« Je suis désolé, mais vous faîtes erreur. »
Anya secoua violemment la tête et le regarda intensément.
« Arrête de mentir. Je sais que c'est toi. »
Loid s'apprêtait à lui répondre mais Anya le coupa.
« Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu nous as abandonné ? Je savais que tu n'étais pas mort. Je l'ai toujours su. Je t'ai cherché pendant tellement longtemps. Tout le monde croyais que j'étais dans le déni. »
Des larmes coulaient le long de ses joues. Le cœur de Loid se brisa. C'était à cause de lui si elle pleurait. Il ne supportait pas de la voir ainsi. Il ne pouvait plus continuer à lui mentir. Il s'approcha d'elle et la pris dans ses bras. Au bout d'un moment, elle finit par se calmer.
« Je suis désolé Anya. J'aurais voulu que les choses soient différentes.
-Je sais que tu n'as pas eu le choix. Et je sais pourquoi tu as dû partir. Mais ces dernières années ont été tellement dures sans toi. »
Loid écarquilla les yeux. Elle savait ? Elle était au courant de tout ? Il avait toujours su qu'elle était spéciale et il venait une fois de plus d'en avoir la confirmation. Anya se blottit un peu plus dans les bras de son père. Elle se sentait en sécurité, ce qu'elle avait toujours ressenti auprès de lui depuis le jour où il l'avait arraché à l'orphelinat. Elle avait l'impression de retourner dix ans en arrière où ils étaient une famille. Chichi, Haha et elle.
« Je voudrais que tu restes avec nous.
-Je le voudrais aussi. Mais c'est impossible. »
Loid s'écarta légèrement et la regarda avec tendresse.
« Je suis fière de la femme que tu es devenue. »
Anya sourit. Ils entendirent soudain des bruits de pas arriver vers eux.
« Anya ! »
Anya essuya ses larmes et tourna la tête vers Damian.
« Tu étais là. Je te cherchais partout. »
Anya s’éloigna de Loid et alla rejoindre son époux.
« Je disais au revoir à un vieil ami de mon père. »
Damian le salua et le remercia d'être venu au mariage. Il savait que cette rencontre était importante pour Anya.
« Peut-être nous reverrons-nous un jour ? Demanda Anya.
-Peut-être. »
Loid lui sourit une dernière fois et reprit son chemin. Il pouvait entendre Damian demander à Anya si elle allait bien après avoir rencontré l'ami de son père. En assistant au mariage, même s'il savait qu'il y avait toujours un risque, il ne s'était pas attendu à une telle tournure des événements. Mais même si sa rencontre avec Anya avait été de courte durée, il était heureux. Pendant quelques minutes, il avait l'impression que tout était redevenu à la normale. Il avait tenu sa fille dans ses bras et il avait pu lui dire qu'il était fier d'elle.
Pendant cette journée, il avait pu revoir les deux personnes qu'il aimait et savoir qu'elles vivaient dans un monde en paix et en sécurité, était ce qui lui donnait la force d'avancer.
Fin
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Cela faisait un long très long moment qu'un dragon était enfermer en lhades quand il entendit d'un coup les fondations de sa prison s'effondrait et quand il ouvrit les yeux il pu même y voir de la lumière il ce redressa et tira sur la chaîne qui le tenais cloué dans cette endroit une chaîne spécial pour tenir les dragons il siffla de frustration quand il vu une silhouette devant lui et il pencha la tête voyant les yeux de cette silhouette briller argenté
.
Morpheus : *il s'avança regardant le dragon en face de lui.*
- bonjour chère dragon
Morpheus s'avança doucement regardant le dragon en face de lui ayant lui aussi des dragons dans son monde il savait qu'il ne devait pas faire de mouvement brusque il tendit la main doucement et s'approcha du dragon touchant sa chaîne et celle ci partie en de nombreux petit grains de sable libérant le dragon
.
Le dragon de redressa sentant aucune menace venant de l'homme en face de lui il le laissa faire surprit que celui ci le libera et il etandit ses ailes avant de diriger sa tête en face de celle de morpheus soufflant sur son visage légèrement
- pourquoi vous embêtez a me libérer ?
.
Morpheus : - par ce que un dragon du monde des rêves te connait bien et qu'il m'a demander de t'aider
.
Le dragon leva la tête cette annonce oui dans ses rêves il avait un ami un dragon bleue a écaille et a plume autrement appeler dragon phoenix le genre de dragon qui exister que dans les rêves cela dit
- le dragon phoenix vous a parler de moi alors, comment ?
.
Morpheus : par ce qu'il s'agit de mon dragon ma création
.
Le dragon sourit légèrement voilà la raison l'homme en face posséder un dragon tout s'explique.
- je vois mais ce que votre dragon ne vous a pas dit c'est que je suis mort les dieux mon tuer
.
Morpheus : - si il me l'a dit justement si je suis ici c'est que j'ai eux une discution avec la mort. Nous n'avons comme projet de réintégrer certaines espèces dans cette nouvelles airs et les dragons ont trop souffert
Morpheus toucha le museau du dragon et tout deux fu téléporter dans le nouveau monde dans une plaine verdoyante en plein soleil. Morpheus avait eu avec mort et destin de long pourparlers afin de faire revenir la race des dragons et pour cela rien de mieux que de faire revenir le dieux dragon lui même cette expérience aller commencer maintenant.
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claudehenrion · 30 days
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“Homme et femme, il les créa”…
Voilà une vérité, tirée de la Genèse, que tout le monde sait vraie depuis la nuit des temps, avant-même les premiers pas de nos ante-ancêtres pré-hominiens. C'est une de ces belles lois “naturelles”, incontournables et éternelles, que refusent d'admettre les plus imbéciles des thuriféraires des théories dont le seul but est d'en finir avec l'humanité : comme ils n'ont pas su s'y intégrer, ils tentent de la détruire : “Plutôt le néant qu'un monde sans moi”. Pourtant, sans elle, aucun d'eux ne serait là pour pérorer (j'ai réussi à ne pas écrire “déconner”! Quelle volonté !) sur les avantages prétendus du “genre” sur le “sexe’‘ ! Dans toute l'Europe, un vent de révolte libérateur contre cette folie ignoble se lève et permet de retrouver l'espoir...
Il a tout de même fallu attendre les années 1980 pour qu'émerge de la gadoue ambiante et rampante (et montante, hélas !) l'idée absurde que le sexe n'avait rien à voir avec la vie, la reproduction, l'hérédité, le ’'soma” –et même le “psychè”, d'ailleurs–, mais qu'il obéissait aux règles frappadingues d'une certaine anti-science, garantie sans conscience et donc proche de la ruine de l'âme… Par un manque de chance total, ces tristes événements arrivaient pendant un court moment de l'histoire de l'humanité où les progrès techniques et scientifiques avaient paru si gigantesques aux hommes de ce temps (les années '80, si proches et déjà si lointaines) qu'ils ont déduit de cette toute puissance fantasmée de toutes pièces, qu'ils étaient si riches, si puissants, si promis à la gloire qu'ils pouvaient se payer le luxe d'être totalement extravagants dans leurs comportements, en plus…
Et c'est là que sont nées des théories… de théories plus irresponsables, plus imbéciles et plus assassines les unes que les autres, qui auraient du trouver leur propre mort (pas propre du tout) dans des délais très courts… mais à qui la folie de notre temps –décidément bel et bien sortie des asiles– a donné un rab’ de survie, portée à bout de bras et contre toute intelligence par les élus de la macronie –que rien, ni dans leur histoire personnelle ni dans la logique des choses, ne destinait à diriger les destinées d'un pays bien à plaindre de n'avoir qu'eux comme guides.
Le mensonge des lois prétendues sociétales –dont pas une seule ne méritait de voir le jour, on commence à le découvrir– a permis que ces idioties criminelles fassent des ravages irrattrapables dans la société française qui, après tout un quinquennat de hollande et bientôt deux de macron, n'avait vraiment pas besoin ce de ça, en plus. Il ne faut pas oublier que ces esprits faibles préfèrent une théorie in-démontrée (car in-démontrable) à toute observation de la réalité. Mais, par fondamentalisme, ces ennemis de la religion chrétienne (Parce que pour l'islam… ils ont bien trop la trouille pour émettre la moindre critique) sont littéralement ''shootés'' à des idéologies qui sont bien plus indéfendables encore que celles qu'ils désignent, de façon méprisante, par “superstitions de vieux bigots ridicules”.
J'évoque ces tristes événements parce que la science la plus pointue vient enfin de “démontrer” ce qui crève les yeux depuis la nuit des temps : l'homme est homme et rien d'autre, et la femme est femme, exclusivement. On le savait, bien entendu… mais pas par les bons “canaux’' ! Par quelles détours faut-il passer, en cette époque folle, pour démontrer (sic !) que le jour n'est pas la nuit –et vice versa ! Mais dans ce cas, comme ça passe par les méandres dits ''progressistes'' (sic ! Pourquoi ?) de l”'Intelligence artificielle’’ –dont aucun journaliste ne sait rien–, ces nuls le croient !
La Presse, d'habitude si prompte à enfourcher toute ineptie pourvu qu'elle soit innommable, a accepté cette entorse à la folie ambiante (NB : c'est assez exceptionnel pour qu'on le remarque !). Tenez-vous bien : l'IA vient enfin d'arriver à convaincre nos illuminés éteints que…“les hommes et les femmes n'ont pas le même cerveau” (sic !)… Et de gros titres osent se gargariser de cette évidence, comme s'il s'agissait d'une immense découverte, alors qu'il y a bien longtemps qu'il a été démontré que tous nos organes sont très “sexués” (et pas seulement ceux auxquels on pense… naturellement), et que le cœur ou le foie d'un homme et ces mêmes organes chez une femme ne fonctionnent de manière identique qu'exceptionnellement . Quand je vous dis que le monde est devenu fou !
Le grand drame qui secoue ce microcosme, pervers mais sur-représenté dans les hautes sphères de notre République vraiment pas regardante sur la qualité, c'est que ce sont des équipes de l'Université de Stanford (où, ayant enseigné en 1968 et 69, j'avais admiré la qualité des hommes et des conclusions) qui écrivent : “Notre étude (…) fournit des preuves irréfutables de différences sexuelles reproductibles et généralisables dans le rôle crucial du sexe en tant que déterminant biologique dans l'organisation du cerveau humain”. Autrement dit, tous ces puceaux-qui se croient asexués par système et “genrés” par chirurgie “dé-plastisante”, sont mis devant la preuve démontrée de la crétinerie des théories indéfendables dont ils ont fait l’alpha et l’omega de la structure du monde. Notre époque et nos contemporains nagent vraiment dans l'absurde... et aiment ça !
Nous voilà ramenés à des évidences qui ne pouvaient être contredites (ou plutôt : “pas l'être”!) que par des esprits incapables de voir ce qui est posé devant leurs yeux, telles que : une femme est une femme et un homme est un homme… ce que nous autres, occidentaux, savons depuis des millénaires : “Dieu les créa homme et femme” (Gn 1, 26-28)… ce qu'un simple coup d’œil suffit pour voir ! Lorsque c'était des hommes qui le disaient (et surtout des hommes blancs, hétéros et catholiques, c'est-à-dire, aux yeux de nos intégristes-des-idées-fausses, le comble de l'abjection), ils soutenaient que tout garçonnet qui dit “je suis une fille” (et vice versa) devait être cru, suivi, et encouragé dans cette dérive de l'esprit, du corps, de l'intelligence, de l'être et du “devenir”. Et de la Vie.
Que croyez-vous qu'il va se passer, à la suite de cet énorme tremblement de terre (qui n'en est pas un !) ? Mais rien, voyons… comme toujours : comme au temps maudit de Mao Tsé-Toung, tout esprit progressiste ou moderniste est convaincu que le “petit livre” a toujours raison contre les réalités… et que la science elle-même a tort, lorsqu'elle ose prétendre que le jour n'est pas la nuit, et le Soleil, pas la Lune. Et il va se trouver des journalistes “dans le coup” (à Libé et à l'Obs) pour continuer à défendre l'indéfendable, soutenir l'insoutenable et appeler “vérité” tout mensonge, même énorme, même “pas possible”. Et la récente loi macronique qui force les parents de pauvres gosses à la dérive à “déconner” plus que permis… va garder ses insanités criminelles… C'est notre époque qui veut ça.
On ne peut que souhaiter ardemment que ce “système” meure ou soit tué… Après tout, la “mort” définitive des manifestations les plus terrifiantes de la folie ne devrait pas plonger dans le désespoir beaucoup de gens, parmi ceux qui ne sont pas déjà contaminés par ces horribles pathologies, sorties de cerveaux profondément atteints… au point de ne plus pouvoir imaginer de salut en dehors de la maximisation des tares indélébiles de leur mal (NB : On peut noter que les partisans d'une Europe-caricature (tels par exemple un Macron ou une Ursula von der Leyen) sont déjà dans le même processus : Ça ne marche pas ? Ça n'a jamais marché ? Il faut et il suffit, ’'donc”, de doubler la dose de tout ce qui va déjà mal…).
Tout un arsenal se prétendant “intellectuel” a contribué à installer un système a l'allure iso-scientifique à la mode “Lissenko”, pour faciliter l'installation d'un doute dit légitime sur la seule chose qui ne soit pas discutable dans toute l'humanité (et dans la vie, plus généralement) : la séparation, qui est et ne peut être que “de définition” entre un Homme et une Femme, et leur parfaite non-identité sexuelle. Et dire qu'il faudra des décennies pour que les cons cèdent… s'ils le concèdent un jour !
H-Cl.
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allen-kunekune · 2 months
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PerfectWorld Jour 2 - Deuil/Acceptation
Les lumières de son Lugulabre éclairé ses notes d'une douce lueur bleuté. Platane l'aurait à peine remarqué si la nuit n'était pas tombée depuis longtemps. C'était une lumière plus chaude que celle de sa lampe de bureau.Son laboratoire semblait si sinistre de nuit, la plupart des lumières éteintes et ses pokémons pour la plupart tous endormie à cette heure.
Sauf son pokémon spectre, glissant derrière lui inquiet. Le professeur tentait de lui sourire, mais cela devait plus ressembler à une grimace. Il était trop fatiguer pour faire semblant même à ses pokémons d'être bien. Il ne pourrait jamais l'être, pas maintenant qu'il devait être seul et de voir chaque jour arriver avec le vide de sa présence.
Ses yeux revenaient aux notes devants lui. Beaucoup de travail l'attendait et cela devait occuper son esprit.
Prendre une pause ne serait pas reposante alors qu'il devrait faire face aux derniers évènements. Il ne pourrait que penser à Lysandre. Ce n'était pas quelque chose qu'il voulait penser. Posant sa main sur la tête de son pokémon pour le caresser, Platane promettait qu'il allait bientôt se coucher.
Au moins faire une sieste courte sur le canapé. Cela ne semblait pas aller complètement à son pokémon qui l'observait noircir un peu plus ses pages de notes. Il tournait en rond dans ses recherches, l'impression persistant de manquer quelque chose, un simple détaille que Lysandre aurait vu lui.
Platane soupira, sentant une douleur dans sa gorge et dans ses yeux à cette pensée. Si Lysandre était encore là, il n'en serait pas là, à préférer couler dans son travail que relevait la tête et voir devant lui les gravats de toute une vie. La colère n'avait jamais eu le temps de fleur sous la tristesse et la culpabilité.
Il aurait dû voir que son ami n'allait pas bien. Il aurait dû faire quelque chose pour l'homme qu'il aimait.
Rien n'avait été fait et maintenant il se retrouvait seul, à face à son échec.
Observant le canapé, une veste rouge familière posait comme un triste souvenir contre le tissu, Platane savait qu'il n'arriverait pas à dormir. Pas encore. Du travail l'attendait, et c'était plus face d'affronter ses recherches que la disparition de Lysandre.
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xxsanoxx · 2 years
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|•Wife Of Bonten•| Chap 3 |
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/!\ DISCLAIMER /!\
Histoire de sexe-polygamie, comportement abusif,  yandere, harem inversé, dark content,  gore, brutalité, alcool, drogue sur la généralité de l'histoire !
Yandere! Exécutive Bonten x Reader
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Disponible sur Wattpad
Chapitre non corrigé
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Tokyo, Panthouse, 18H13...
Sous les ordres de Mikey, Takeomi est en charge de surveiller Kirari jusqu'à son retour. La drogue faisant encore effet sur son organisme, la jeune femme ne s'est toujours pas réveiller. Lorsque que Ran et Sanzu sont rentré avec une Kirari complétement molle, chacun de ses collègues de travail avaient passé du temps avec elle. Enfin, ''passé'' est un grand mot, ils se contentaient de la regarder dormir. Elle dort depuis un jours.
Durant ses deux derniers mois, les sept cadres exécutifs du Bonten ont passé du temps à observer la vie de Kirari dans tout les sens. Ils ont pris l'habitude de dîner tout les samedi soir dans le restaurant où elle travail. Mikey avait même demander au patron de l'établissement à se faire servir uniquement par Kirari. Les sept hommes l'adoraient de plus en plus, jusqu'à l'aimer. Ils n'avaient pas vraiment besoin d'elle pour que sa mère biologique rembourse l'argent emprunté. Comme l'avait dit Mikey, ils leurs faut une femme à eux, qu'ils pourraient garder pour toujours. Et le simple fait de stalker Kirari leurs à confirmé ses dires. Ils sont devenue accros à elle comme Sanzu est accro à la drogue.
Alors il était naturel de l'emmener de chez elle à eux. Quoi de plus normal me diriez-vous ? Ils l'aiment et c'est ce qui compte. Mais il n'est pas dit qu'elle soit intéressée.
Peut importe... se dirent-ils.
Lentement Kirari se mis à gigoter, à prendre lentement conscience. Takeomi s'éloigne du lit et s'assoie sur une chaise en face. Il ne faudrait pas qu'elle prenne peur en voyant un inconnu la scruté de si prêt. Kirari finit par se réveiller, mais reste tout de moins allongé, incapable de bouger, les muscles lourds, comme si elle venait de s'enfilé bière sur bière après un marathon.
- « Comment tu te sens ? » demande Takeomi tout en envoyant un message à son patron.
SMS MIKEY
Boss, elle est réveillé.
Kirari, ne fait que regarder l'homme qui est devant elle, le choc s'affiche sur son visage.
- « Vous... vous êtes... l'homme du restaurant. C'est vous qui êtes rentré dans mon appartement !! Vous m'avez enlevé !!
- Ce n'est pas vraiment ce qui s'est passé. Ce n'est pas moi qui me suis introduit chez toi. Je n'ai fait que conduire la voiture pour t'amener ici. »
Humff... Elle est belle, mais je sens qu'elle va me gaver avant l'arriver du patron.
- « Vous avez participez à mon enlèvement ! C'est un crime de kidnapper des gens contre leur gré !! »
Takeomi souffle d'agacement, mais ne le montre pas trop, c'est quelqu'un qui garde son calme facilement. Après ces deux mois à observer Kirari , il n'aurait jamais pensé qu'elle pouvais hausser le ton comme elle le fait si bien avec lui. Ça la rend encore plus attirante.
- « Je ne suis pas sûr que quelqu'un consentirait de se faire kidnapper. Sauf un fou complétement sénille. »
Kirari se met à rougir de honte.
Il a raison. Qu'elle idiote.
- « Et de toute façon, on a fait que suivre les ordres du patron. »
Ce qui nous arrange bien.
- « Il ne devrait pas tarder. »
Un peu plus tard la porte de la chambre s'ouvre, laissant apparaître Mikey avec un dossier en main et un doroyaki en main. D'un regard il fait comprendre à Takeomi de les laisser seuls.
Kirari est bien consciente que c'est lui patron, que ce sont sous ses ordres qu'elle a été enlevé. Mais elle ne peux s'empêché de pensé toutes ses fois où il venait dîner dans le restaurant où elle travaille.
Si je pourrais encore y travailler.
Elle le trouve absolument magnifique, même sans les vêtements couteux qu'il portait. Mais son regard sombre ne la rassure pas. Si elle savait que ce n'est pas un regard mauvais, mais de désir constant. Jamais il n'aurait pensé tomber amoureux d'une personne, ou même de ressentir un qu'onques bon sentiments.
Bon ? Je tuerais pour ces bon sentiments.
- « Bonsoir Kirari. Ça fait longtemps n'est ce pas. »
Je te sens anxieuse.
- « Heu... Bonsoir. O-oui ça fait lo... Je veux dire que. Oui ça fait longtemps que vous n'êtes pas venue au restaurant. »
Qu'est-ce que je fait ?? Un mot de travers et il pourrait me coller une balle dans la tête non ?!
- « Tu me sembles tendue, j'ai raison ?
- Non- ENFIN OUI ! Vous avez raison, mais je ne se suis pas tendue. » Elle murmure la fin de sa phrase.
Mikey la trouve mignonne à batifolé de cette façon. Il sait qu'elle a peur et il le comprend. Un chaton sans aucun moyen de défense. C'est encore plus attirant.
Mikey s'assoit sur le lit en face d'elle à une distance raisonnable. Il ne veut pas que Kirari se sente envahit ou qu'elle se sente plus en danger.
- « Ecoute moi. J'aimerais que tu me laisses parler sans interruption. Après je répondrais à toutes tes questions.
- Oui.
- Tu es Kirari Yukihira, étudiante en école supérieur d'économie et gestion. Je m'appelle Mikey. Tout le monde m'appelle Mikey, sinon c'est Manjiro Sano. Je suis le leader du Bonten. »
Les yeux de la jeune femme s'écarquille, sa respiration se coupe avant de reprendre.
Quoi ?! Le Bonten !
- « Je suis certain que tu connais notre organisation. » En vue de ton regard.
- « Sache que il ne t'arrivera aucun mal. Aucun de nous ne te veux du mal... »
On te veux rien que pour nous. Te partager n'est pas un problème Kirari.
- « Tu es ici pour un remboursement de dette. Il y quelques mois ta mère biologique ta mise en gage de remboursement. Elle nous a fait un prêt de 200 000 000 ¥. Evidement elle n'a pas les moyens de payé la totalité.
- 200 000 000 ¥ ?! C'est énorme !! »
Oups... Je ne devais pas l'interompre.
Mais Mikey ignore son commentaire.
- « Des questions ?
- ...
- Tu peux parler, je ne vais pas te manger. »
Pour l'instant. J'ai hâte de te goûter.
- « Comment elle s'appelle ?
- Minari Suzuki.
- Pourquoi elle vous a fait un emprunt ?
- Pour payer les frais médical de sa fille.
- Oh... Elle a un autre enfant ? »
T'es bien naïve.
- « Tu es sa seule fille.
- Ah. »
Mais alors, elle donne mon nom 20 ans plus tard pour sa dette... Elle qui n'a même pas pris le temps de me donner un prénom à la naissance.
Kirari est en colère, mais surtout triste. Elle sait que ça mère actuel n'est pas sa mère biologique. Mais peux importe elle l'aime, elle a toujours pris soin d'elle comme la chair de sa chair, son sang. Et même si elle ne connaît pas Minari, que c'est la première fois qu'elle entend son prénom, elle avait espéré qu'un jour elle aurait la chance de rencontrer sa génitrice..
Mais cette dette pour me « soigner » et m'utiliser comme un objet en gage de remboursement... Et elle eu la volonté de s'informé sur mon identité à l'orphelinat. C'est vraiment un coup bas.
- « Au début on te voulais que pour l'argent. Et puis peut-être se débarrassé de toi si tu devenais une gêne. Mais on a changé d'avis.
- Vous n'allez pas me tuer alors ?
- Non. »
Le visage de Mikey devient sombre, pas de colère mais de convoitise.
- « On profite de la stupidité de Minari pour te garder avec nous. Tu nous es essentiel Kirari. »
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Info : 200 000 000 ¥ (environ 1 482 400 €).
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Auteur : XxSANOxX
Correctrice : Ax
Merci.
03/08/2022
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jade-curtiss · 10 months
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Titre: Dolorem ipsum quia dolor sit amet
Titre: Dolorem ipsum quia dolor sit amet C'est avec le regard pétillant que le jeune héritier décide qu'il est fin temps de sortir de la salle de bain. En fait, non, il était juste tout simplement impossible pour le jeune héritier de placer ses boucles convenablement. Malgré l'excitement d'enfin pouvoir faire acte de présence face à de vrais gens de son age avec qui il partageait le même intérêt: les jeux vidéo. Cependant la technologie dans cette histoire n'était pas comparable à aujourd'hui. A l'époque oû ces lignes se passent l'accessibilité en la matière n'offrait que deux options: jouer seul ou se présenter en personne sur les lieux. Ou, bien entendu, avoir des amis. Cependant pour notre petit prince ici présent, confiné, tel un oiseau dans une tour de marbre. Pauvre créature, la solitude n'était définitivement pas en train de le tuer, mais pas trop loin mettons. Donc bref, on récapitule: king baby boy s'arrange les cheveux pis rien coopère avec les standards de la société, ou du moins, pas les gens qu'il croyait représenter: la grande classe, la grosse richesse, des cadillacs, y'en a plein des patentes king baby boy. Si seulement on lui avait introduit le concept d'une casquette tout aurait mieux été ce matin là. Pas de clipper dans cette histoire là, la technologie était défaillante. Ciseaux, merci bon soir, on choppe ça, pu de problème, masculinité réeussite pour les grands besoin de la société (pas le temps de s'couper les petits cheveux dans la vie). C'était la première fois qu'il prenait la peine de sortir de chez-lui. Rien de tant intéressant se produisait à l'extérieur à cette époque là. Tout était beaucoup trop espacé pour circuler à pied dans ce cartier. Enfin il prend son courage à deux mains et sort de la salle de bain. Juste au moment oû il s'apprêtait à prendre l'escalier un cri retentit. Il savait pertinament les conséquences que ses gestes allaient venir occasionner, cependant il avait tout de même prit la peine de prévenir ses parents qu'il devait se présenter à une soirée à l'extérieur. Au moment oû il eu l'idée de leur en faire part il constata son oubli, dans l'escalier. Malgré l'habitude certaines choses lui provoquaient des réactions instantannées. Si seulement. Si seulement il avait prit le temps d'expliquer ce qu'implique certaines attentes certaines choses ne se seraient pas produites. Mais non, mais non, il a encore fait la gaffe de prendre pour acquis que les gens comprennent des choses passé un certain age ou assez de thérapie (pourquoi eux y vont jamais en thérapie, questionnons). Bref Saphir survit tout, donc sa moma qui pleure ses beaux petits cheveux c'est la vie. Saphir se relève tout de même. Pas question de manquer sa soirée. De toute façon son père va probablement crier plus fort, mais comme ce gars là tolère les claques comme absolument personne dans la vie donc c'est absolument correct comme ça ici, pas besoin de pleurnicher, continuons. Saphir savait que malgré tout la cadillac de popa allait faire tellement une impression sur ces bonhommes de pauvres. Donc ils étaient mieux de se tenir. Popa crie sur Saphir, mais crie plus fort sur absolument n'importe-qui d'autre dans la société parce-que ça crée moins de problèmes que de beugler sur tes propre flos. Prenez note. Montrez l'exemple. Saphir était probablement l'homme le plus éduqué de la province, selon ses propres dires, puisque il pouvait, selon lui encore toujours, juste crier très très fort pour se sortir d'affaire. Facteur d'intérêt et mise en contexte: en temps normal crier génère du bruit. Déplaisant, mais vraiment, du bruit, c'est juste du bruit. Les gens qui travaillent de jour devraient fermer leur gueules si ça dérangeait pas autant les oiseaux de nuit (prime de nuit et généralement y se passe rien, on réfléchit dans la vie). C e p e n d a n t ici ne crie pas qui veux. Dans ce petit monde certains hurlements causent certaines situations. Drop pas the beat qui veux ici. Vous verrez en temps et lieux. Bref le bonhomme sort du char, y comprend bien assez vite qu'il aurait du prendre temps de vérifier les coordonnées, mais des gps, y'a pas de ces affaires là ici. Premièrement l'architecture de l'édifice déplait à première vue. C'est un cube de brique qui n'ont aucune réelle uniformité entre-elles. On aurait bien pu facilement croire que chacune des briques venaient d'une source différente. Belle diversité de brique, mais aucun style. Bref, les choses de pauvres, les pauvres, ils achètent leur briques à l'unité, les pauvres. La porte vitrée laisse voir l'intérieur du batiment. Plusieur tables avec plusieurs machines permettant de diffuser le même jeu en simultannée. En gros normalement, dans son immense salon avec ses sofa cuir et ses dobermans la seule option était de jouer seulement à deux. Les enfants à l'école n'étaient pas trop friands de Mangemoé pis de Lecul, malgré oh combien sympathiques, bien dressés ces cabots. Moma leur a payé de la thérapie (elle appelle ça du dressage), mais les petits enfants et leur parents, surtout leur parents, ne veulent pas que leur douce progéniture s'approche de ces créatures qui n'inspire que le mal et la corruption au sein des petites gens de son cartier gentrifié. C'est juste des chiens. Bref malgré sa candeur naturelle il était tout de même arrivé un accident facheux par le passé qui eut laissé beaucoup de tracas dans la famille du petit bonhomme. Comme une campagne à la mairie avec des commenditaires un peu intéressants. Bref épongeons l'affaire, notre petit bonhomme a du malheureusement changer d'école et de fréquentations. Grosse tristesse. Malgré tout il se fait un ami, un seul ami: Jade. Il apperçoit Jade à l'intérieur du building, bizzarement sa soeur accompagne. C'est toujours énervant quand sa soeur accompagne. Si Jade est en personalité ni plus ni moins qu'une version moins exhubérante de notre vrai bonhomme principal ici (selon Saphir), Nephry était l'inverse. C'était juste fille. Non, pas que Saphir n'aimait pas les filles en général, mais en fait... "T'as fait quoi à tes cheveux?" L'expression faciale de la fille, la seule fille dans la place, laissait tout dire. Contrairement à la croyance populaire il venait à ce moment là de gagner son pari. Avec l'aide de Jade, comme d'habitude. Le problème avec Nephry n'était pas son refus, au contraire, elle sollicitait chez lui un niveau d'attention incapable à maintenir. Compte-tenu de sa relation fragile avec Jade, en fait avec absolument tout le monde sur cette planète il tentait de son mieux de coopérer avec ces échanges ennuyeux. Jade le tolérait principalement pour son habilité à détourner son attention, ce qu'il faisait quand même relativement bien vu l'énormité de la tâche. Prenons bien compte ici que la jeune fille à cinq ans de différence avec ces messieurs, dans ce contexte-ci c'est bien d'en prendre compte. Elle n'a que sept ans, ils en ont douze. Avant la naissance de Nephry, Jade vivait simplement. Malgré l'inquiétude de ses parents. Le fait intéressant à propos de Jade c'est qu'il peut juste faire sauter l'angleterre du jour au lendemain sans trop d'effort, donc son facteur de menace était à la hauteur de son habilité à performer la masculinité. Inexistant, sauf si. Donc ses parents le forçaient à prendre toute sortes de cours et de patentes culturelles vraiment plates pour essayer de combler son absence de stimulation. Erreur la chose empire souvent dans ces conditions là. Jade avait l'aimable manie de détester tout ce qui lui était imposé. Donc Nephry, donc Saphir par asociation. Saphir, malgré tout, est en mesure de comprendre. Mais aussi il n'aurait aucun ami sans ces deux là. Il tolère, mais n'en fait pas l'obsession du siècle. Après dix minutes, Saphir constate une seule chose: personne ne semble vraiment être intéressé à jouer à quoi que ce soit ici, bizzarement. En fait, Saphir constate une chose: la seule raison qu'il connait cet endroit c'est qu'il a su que l'héritier du throne en personne aurait finalement l'audace de faire une présentation publique et pas question de manquer ce moment historique des politiques du pays. L'existence du jeune prince avait toujours été camouflé pour certaines raisons. Saphir n'était pas certain de toute la chose, la consultation du score à ce sujet était incroyablement limité pour ce que c'était à l'époque. Bref, ce soir il se présente enfin au publique et prévoit jouer du piano. Intéressant comme approche pour une première approche, il tente le coup de séduire le publique dès le départ. C'est bien de savoir que nos chefs de demain puisse offrir la chansonnette du bas de ses treize ans. Ça fait présentement quatre heures qu'ils sont au même endroit. La foule est de plus en plus de mauvaise humeur, en fait, facteur intéressant: si ce n'était pas de Jade, les trois auraient probablement eu certains problèmes à maintenir la prison. Plus la foule prenait place plus ils constataient qu'il n'y avait que des hommes. Les hommes les plus gros et les plus caustauds que Saphir avait vu de sa vie. Popa venait de tirer sa révérence à ses yeux à cet instant même. Mais tout le monde savait pour Jade, donc la totalité des villageois n'oseraient jamais s'y attaquer de près ou de loin malgré le jeune age. Six heures, six heures de la musique la plus chaotique que Saphir avait entendu de sa vie. Rien ne faisait de sens ici, le son était intolérable, mais Nephry et le petit prince, elle voulait tellement voir le petit prince. Soudain pied dans la porte et elle éclate. "Aye vos yeules c'était compliqué" La foule se soumet dans l'immédiat. Silence complet. Le prince, non le roi est là. Étrangement ce roi a treize ans et n'a aucunement essayé d'arranger la situation sur son cas. Ses cheveux atteignent le bas la nuque, un blond platine mais sans tonifiant (la raison pourquoi Nephry fait une fixation sur Saphir, les cheveux roses c'est comment pis pourquoi c'est pas rose gomme balloune à la place (non pas fucking rose balloune criss, c'est juste le tonifiant mauve mal rincé après un bleach, mais lui y te gagne des lotteries de la génétique et il l'obtient de manière u n i f o r m e, dans vraie vie c'po comme, tsé, y'a des désastres des fois qui se produisent. C'est pas pour tout le monde les gateries capilaires qui sortent bien) Bref, premier contact visuel avec la foule. Personne ne retient son attention sauf Nephry, seule fille dans la place, sept ans, beau parcours de vie ma grande. Cependant elle ne semble pas vraiment retourner celle-ci avec le niveau d'intensité escompté. Peony observe l'entourage qui l'accompagne: aucune raison mis à part que personne ne sait à quoi s'attendre. Il ne se présente pas, il ne s'excuse pas, il n'a aucune sympathie pour son audimat (à cet instant). Il s'approche en fin de l'instrument qui throne au centre de la pièce. Il commence à cogner hasardeusement les touches. C'est jamais trop important pour ce gars là: roi dans la pièce. Il commence, première chanson. Première chose qu'il fait c'est d'établir le plus gros contact visuel avec Saphir en premier lieu. Le mec à coté n'a rien à voir, en fait personne dans cette situation à de quoi voir avec ce qu'il se produit par la suite. Il semble savoir ce qu'il fait, mais d'une manière beaucoup plus médiocre qu'escompté, il semble vouloir introduire quelque chose, mais impossible de définir la chose. Tout ce qu'il fait c'est observer Saphir de la manière la plus perçante possible. De bas en haut pendant que ça doit faire environ 45 secondes qu'il clavarde les mêmes notes mais avec aucune cadence et aucun sens du rhythme et finalement, finalement il débute. Sans rentrer dans les détails. A ce moment là la situation prend un tournant inespéré. Il commence par essayer de s'introduire à titre individuel sans trop savoir, sans aucune réelle préparation. Il doit répéter la même chose environ cinquante fois, mais comme si il voulait que chacune des cinquante fois spécifie un intérêt différent. Enfin il commence à faire ce qui était attendu de notre roi dès le départ: il passe en revue tout ce qui ne fonctionne pas ou fonctionne trop ou pas avec sa personne. Tout est analysé. Chaque détail est énuméré a la loupe dans le pire language ordurier produisable. Le tout doit en fait durer en tout quatre ou trois minutes au plus, mais vu le niveau de pression tout les yeux sont rivés vers Saphir ensuite vers Jade ensuite vers Nephry qui se mets automatiquement à pleurer. A ce moment là tout s'arrête. Une jeune fille pleure hey yo on arrête les shows. Pas dans vraie vie mais ici ça lowball. Bref, Saphir fait ce qu'il fait de mieux et il le fait bien: il cesse les larmes de Nephry. La foule applaudit compte-tenu de la situation hautement embarrassante et humiliante, la rectitude politique a prit un assault dans cet échange à sens unique. "Nephry, arrête, le gars est juste obsédé" Tout arrête directement à cet instant. La. Fin.
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 21 : Le désir immobile 
Comme un fil tendu
Sur le point de rompre
Les paroles du texte étudiait dans la journée en cours ne cessait de tourner dans sa tête. Elles illustraient avec un peu trop de justesse la situation présente, se dit-elle, alors qu'Alice s'alanguissait sur ses genoux. Ça n'avait rien de surprenant, Alice venait toujours s'asseoir sur ces genoux en soirée, mais ce soir, dès son arrivée, elle avait été plus câline. Ça faisait trois ans qu'Emma était tombée amoureuse d'elle, mais Alice semblait être hétéro. Pour le plus grand malheur d'Emma, qui se maudissait de n'aimer que des hétéro. Tout paraissait s'être arrêté alors qu'elle sentait son parfum avec une intensité nouvelle, ce mélange de Bepantene, de Spéculoos, et cette petite odeur de riz. Emma passa délicatement sa main sur la cuisse d'Alice, avant de la retirer. Alice, en grande conversation avec un ami, attrapa sa main et la remplaça dans le creux de sa hanche. Emma respira profondément. Riz soufflé non assaisonner. Fleur. Ce soir, tout basculerait. 
Comme avant un orage 
L'air dense et lourd 
Sur le point de craquer 
Ils étaient 4 assis autour de la table. La discussion allait bon train. Personne ne pouvait soupçonner que deux d'entre eux luttai contre les apparences. Depuis qu'ils s'était retrouvé cet après-midi, ils n'avaient cessé de détourner le regard. Chaque fois qu'elle le regardait, elle sentait une envie profonde la submergée. Chaque fois qu'il la regarder, la même envie le prenait, et il avait rapidement dû trouver des parades pour se camoufler. Ils s'évitaient de peur de craquer. Ils détournait tout sujet qui pourrait démasquer les émotions inavouables qu'ils avaient l'un pour l'autre, terrorisé qu'on les découvre. Il maudissait et bénissait la chaleur qui l'avait amené à porter une tenue si courte, si désirable. Elle maudissait et adorait les musiques aléatoires qui se succédaient. La conversation s'interrompit soudain : untel alla aux toilettes, et l'autre chercher des boissons. Seuls. Ce qu'ils avaient craint toute l'après-midi arrivait finalement. Ils se regardèrent. Semblant parler de futilités, ils abordait ce désir par des mots cachés. Une attitude. Un mouvement de lèvres. Chacun remerciait la table de se trouver entre eux, piégeant leur désirs dans un instant immobile. 
Désir immobile. 
Martin regarda l'œuvre, une sorte de fondu de couleurs opposé qui jamais ne se mélangeait totalement, puis le titre de l'œuvre. Non, décidément, il ne comprenais rien à l'art abstrait. Et les audio guide le perdait plus qu'autre chose. Il commença à avancer vers l'œuvre suivante, quand son regard fut attiré par un des peintres de la galerie : courbé sur son chevalet, car trop grand, son nez en trompette touché presque la toile. Il portait une casquette à l'envers, recouverte de peinture. Un t-shirt trop larges, qui cachait à peine son caleçon, dépassant d'un pantalon portait trop bas. Il jurait dans le décor, comme une tache de peinture. Il jurait par rapport à son œuvre, comme une tache de bleu dans du rouge. Il leva les yeux vers lui. Il avait en effet de la peinture sur le nez. 
Xavier observa le visiteur. Depuis le temps qu'il peignait dans les musées, il était habitué à ce que les gens le regarde. Mais c'était toujours des amateurs d'arts avec leur petit fascicule, ou des touristes avec des audio guide. L'homme qui le regardait avait sa veste sous le bras, comme s'il ne savait pas qu'il y avait des casiers à l'entrée. Il portait une chemise rouge et un pull marron. Les couleurs juraient ensemble, mais jurait encore plus avec sa peau blanche et ses joues rouges. Ses cheveux bouclés en bataille sur son crâne, brun terreux, ne s'accordait même pas au pull. Et le pantalon jaune. Il ne réalisait pas qu'il était comme les tâches de peintures de l'œuvre derrière lui. 
Ils avaient envie de se parler. De se connaître. Martin s'approcha de Xavier, quand un imposant groupe de touristes les sépara, les éloignant hors de cet instant. 
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xyanmajor · 2 years
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FF14 - September Writing Challenge
Theme : Cooking (Pick yourself) I'm so late about the challenge, and the text is : 1 - in French 2 - really fast written. I'm a bit sad tonight and this was my cope way. Note : The text is using Spectral Daar'jen (@hikarinokusari character that I overused cause i dont know anybody else and this is an UA cause his character must suffer in a bad way before dying and in my version, Nixyan is his friend and thats not compatible in a way. Sorry for using again your Miqo'te. Nixyan would be so alone without you.) ---------
Il n'y avait pas beaucoup de choses que Nixyan savait faire seule.
A bien y réfléchir, se débrouiller dans la nature n'avait jamais été son fort : elle avait beau dire le contraire, elle avait toujours eu sa caravane autour d'elle dans le désert.
Se battre : elle avait failli mourir tellement de fois en pensant être bonne surineuse, qu'elle avait finie soigneuse...
Soigner ? Il fallait quelqu'un d'autre pour soigner : ça ne fonctionnait pas vraiment sur le vide.
Partir à l'aventure ? Seule ? Impossible... et puis à quoi bon, si c'était pour partir le ventre noué par la solitude.
Mais il y avait une chose que la Miqo'te savait faire seule : et c'était cuisiner. Et cuisiner pour elle toute seule, ça, c'était encore plus bête.
Alors depuis qu'elle savait sortir les épices d'un pot, allumer un feu et tourner une cuillère dans une marmite, Nixyan avait toujours préparer plus que pour elle seule.
Pour son père, le Hyur qui l'avait adoptée.
Pour la Manaa du clan. Pour ses amis de la caravane. Pour son petit Poki. Pour les aventuriers qui partaient en mission difficile, pour 'Raha, lorsqu'il était encore avec elle...
Et puis un jour, son père, ses amis, sa caravane, la Manaa et même Raha... disparurent.
Les aventuriers aussi, peu à peu autour d'elle. Et la nourriture devint fade.
La part qu'elle préparait en plus n'était jamais mangée, alors, au bout de quelques mois, elle cessa de la préparer.
Un poisson suffisait pour deux jours. Le légume si beau, fânait avant le repas du lendemain dans son sac. Elle n'osait plus acheter d'épices de peur qu'elles ne fadissent avant d'être utilisées...
La nourriture ne rimait plus avec la joie, les odeurs en préparation, les rires et les mines comblées, les soupirs de digestion. Ce n'était plus qu'un acte qu'on effectuait mécaniquement, deux fois par jour, par nécessité.
La solitude et les couleurs ne prirent fin qu'à son arrivée. Lorsque le Miqo'te dont l'odeur du repas avait failli faire défaillir la précieuse cuisinière.
Sa chair d'étagne, carbonisée en surface, crue et presque faisandée à coeur... Ses légumes pris trop jeunes et pleins de sève amère, dont le jus qui aurait pu devenir intéressant, avait été gâché par le fumée d'une braise non entretenue. La sauce – Nixyan en avait déduit que c'en était une – tellement épaisse qu'on aurait dit une purée pour bébé chaton...
Ce soir-là, alors qu'elle partageait un peu fortuitement le repas d'un autre, elle ne put se résoudre à manger mécaniquement.
Elle avait regardé spectral avec une mine déconfite. Mais pas celle qui l'avait accompagnée durant presque deux ans. Celle qui pleurait intérieurement de la souffrance animale et végétale de l'assiette.
Nixyana avait pris les restes encore potables de cette nourriture et devant les moqueries et les râlements de l'homme-chat, elle avait accommodé le tout avec une hâte sans nom.
Nixyan ne savait pas faire grand chose seule. Mais elle savait cuisiner. Pour les autres. Et en voyant le sourire de Spectral se dessiner sur les bords de la chair marinée mi-cuite au feu d'un bois de pin, elle sut que la vie à nouveau, reprendrait ses couleurs à l'heure des repas.
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les3petitpoint · 25 days
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Une histoire de malik et Laura 😍
L'histoire commence par un homme qui n'est pas vraiment douée avec les femmes, mais sa femme idéale c'est une femme rousse d'1,60m extrêmement belle une silhouette fine et d'une gentillesse douce Un jour, cet homme a croisé le regard d'une femme correspondant parfaitement à sa description. Elle s'appelait Laura et elle travaillait dans le café du quartier. Il décida de l'aborder et de lui offrir un café. Ils commencèrent à discuter et il découvrit qu'ils avaient beaucoup en commun.
Ils passèrent de plus en plus de temps ensemble et leur relation devint de plus en plus sérieuse. Laura était vraiment la femme de ses rêves et chaque jour passé à ses côtés le comblait de bonheur.
Cependant, un jour, Laura lui avoua qu'elle devait déménager dans une autre ville pour des raisons professionnelles. L'homme fut dévasté, mais il décida de prendre son courage à deux mains et de lui proposer de la suivre. Laura fut touchée par cette proposition et accepta avec joie.
Ils emménagèrent ensemble dans cette nouvelle ville et leur amour ne fit que grandir. L'homme se rendit compte qu'il avait enfin trouvé la femme de sa vie et qu'il était prêt à tout pour la garder à ses côtés. Ils vécurent heureux pour toujours, entourés de l'amour qu'ils se portaient mutuellement. Mais soudainement quelques choses arrivent brutalement a la vie des deux amoureux Laura fut diagnostiquée d'une maladie grave et incurable. L'homme fut bouleversé par la nouvelle et décida de soutenir sa bien-aimée coûte que coûte. Il passa ses journées à ses côtés, l'aidant dans les tâches du quotidien, la réconfortant dans les moments de découragement et l'accompagnant à chaque rendez-vous médical.
Malgré la douleur et la tristesse qui les envahissaient, ils continuaient à se battre ensemble, main dans la main. Leur amour était plus fort que jamais, et même dans les moments les plus sombres, ils savaient qu'ils pouvaient compter l'un sur l'autre.
Finalement, Laura perdit sa bataille contre la maladie et s'éteignit paisiblement dans les bras de l'homme qui l'avait tant aimée. Il était anéanti par la perte de son âme sœur, mais il savait qu'elle resterait à jamais dans son cœur.
Il décida de continuer à honorer la mémoire de Laura en vivant sa vie pleinement, en se souvenant toujours de l'amour profond qu'ils avaient partagé. Chaque jour, il pensait à elle, et savait qu'elle veillait sur lui de l'au-delà.
Et même si la vie leur avait réservé des épreuves difficiles, l'homme était reconnaissant d'avoir connu un amour aussi pur et intense, même si ce bonheur avait été trop court. Il savait qu'il garderait à jamais un morceau de Laura dans son cœur, et qu'ils se retrouveraient un jour, dans un autre monde, pour continuer leur amour éternellement, quand ta lui il commença à se reconstruire petit à petit, en se concentrant sur les bons souvenirs qu'il avait partagés avec Laura. Il savait qu'elle aurait voulu qu'il trouve le bonheur à nouveau, même sans elle à ses côtés.
Il décida de se plonger dans son travail et dans ses passions, pour continuer à avancer malgré le vide laissé par Laura. Il rencontra de nouvelles personnes, fit de nouvelles expériences, mais jamais il ne put oublier celle qui avait été sa lumière dans les moments les plus sombres.
Finalement, l'homme réalisa que Laura resterait à jamais dans son cœur, mais qu'il pouvait également trouver un nouveau bonheur dans sa vie. Il savait qu'elle veillait sur lui, et qu'elle lui donnerait la force nécessaire pour avancer.
La vie reprenait son cours, avec ses hauts et ses bas, mais l'homme savait qu'il garderait toujours une place spéciale pour Laura, son amour éternel. Et dans les moments de doute ou de tristesse, il se rappelait toujours des moments heureux qu'ils avaient passés ensemble, pour lui donner la force de continuer.
Ainsi, l'homme apprit à vivre avec le souvenir de Laura, à avancer malgré la douleur de sa perte, et à trouver un nouveau bonheur dans sa vie. Il savait qu'elle serait à jamais son âme sœur, et que leur amour resterait gravé dans son cœur pour l'éternité.
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christophe76460 · 3 months
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Bon weekend a tous 🙋‍♂️🙋‍♀️
Mais l'Éternel dit à Samuel : Ne considère pas son apparence ni la grandeur de sa stature, car je l'ai rejeté ; car l'Éternel ne voit pas comme l'homme voit, car l'homme voit ce qui est devant les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur. 1 Samuel 16:7📖
Combien de personnes luttent pour sauver les apparences, vivent une vie de mensonge, de mensonges, parfois même de péché, essayant de se cacher même de leur propre famille, et souvent par fierté, ou peut-être par peur de s'exposer, parce qu'elles s'en soucient trop. sur les avis des autres !!! Plus personne ne veut être comme il est, tout le monde veut être comme tout le monde !!! La parole du Seigneur nous rappelle que la vertu de l'homme est en lui, dans son cœur. David était un homme selon le cœur de Dieu, non pas parce qu'il était bon, ou parce qu'il était parfait, mais parce qu'il avait un cœur brisé et repentant devant le Seigneur, mais il était aussi un pécheur tout comme nous, mais il savait comment reconnaître sa dépendance totale devant Dieu, et était plus préoccupé par l'opinion du Seigneur que tous les autres.
PRIÈRE : Seigneur Dieu, je te demande pardon pour ma fierté, ma honte, ma peur et mon idolâtrie de donner plus d'importance aux opinions des gens qu'aux vôtres. Aide-moi à m'engager envers le Seigneur, en reconnaissant que mes caractéristiques physiques et ma manière d'agir, qu'elles soient agréables ou non à mes yeux, sont aux yeux du Seigneur des vertus insignifiantes par rapport aux attitudes de mon cœur. Je vous remercie parce que je comprends que l'amour du Seigneur pour moi ne change pas, Jésus a déjà payé le prix fort sur la croix, j'ai été atteint par sa grâce et je n'ai rien à faire pour gagner cet amour, je prie en ton nom de Jésus. Amen.
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claudehenrion · 1 year
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L'Eglise avait un AVANT, je m'en souviens.                         A-t-elle encore un APRES ?
  De plus en plus de nos contemporains s'éveillent à ce constat morose que ce sont, la plupart du temps, les mauvaises décisions prises par nos dirigeants plus irresponsables que responsables, qui ont contribué à faire ce qu'il est du monde dans lequel nous survivons, sans y être trop heureux, si on en croit... ce qu'on voit. Une tendance à la fermeture sur nous-mêmes nous rend très (trop?) sensibles au court terme, à nos petits plaisirs et à nos grands malheurs, à nos ambitions et à nos échecs, à nos espoirs et à nos haines, à nos amours et de nos chagrins, à nos fascinations et à nos dégoûts,  à nos joies –fussent-elles futiles-- et à nos tristesses. Mais, ces non-réponses à des questions mal posées nous mènent vers quoi et jusqu’où ? Juste avant Pâques, il n'est pas idiot de parler de Dieu... et de l' Eglise...
Longtemps, pour beaucoup d'entre nous, il existait, sans même qu'on s'en serve souvent –mais on savait intuitivement que ''c'était là''--  ‘’l'espoir d'une île’’, ou d'un moment de tranquillité, de calme et  d'espérance : entrer dans une église –surtout l'été, par grosse chaleur, où la touffeur du monde nous quittait pour un instant. Là, croyants ou pas, tout le monde (sauf, bien entendu, le petit pourcentage des ''anti catho’’ pathologiques : il faut des exceptions, pour qu'une règle soit... la règle !) se réconciliait dans le silence, la pénombre et un ''je ne sais quoi’’ qui a très largement disparu de nos jours. Une question angoissée est : ''disparu des hommes, ou de l'église ?''. Essayons de trouver un chemin vers une réponse possible : notre avenir en dépend... ce dont de moins en moins de français veulent être conscients...
Les phrases qui servaient d'ossature au discours catholique –et à tous les prônes dominicaux-- tournaient autour de références que nous trouvions simples (et dont on nous explique aujourd'hui qu'elles ne l'étaient pas, mais alors... pas du tout) : Dieu nous enjoint de... Jésus-Christ a dit et répété que... Les Ecritures (variante : ''les Evangiles'') sont claires ou clairs...  Il arrivait que l'on cite, en cas de nécessité, un Saint (choisi parmi les plus connus, comme Saint Augustin, ou un Docteur de l'Eglise --les 2 Saintes Thérèse, d'Avila ou de l'Enfant-Jésus, étaient très souvent appelées à l'aide). Mais en 1962, sous une impression dystopique ''qu'il fallait tout changer'',  nous avons troqué ce référentiel à vocation éternelle contre un calendrier humain, et notre perspective eschatologique contre des réalités devenues plus ou moins scatologiques (la suite l'a montré, hélas). La vision ou une des définitions de l'Homme a troqué sa dimension verticale, ancrée dans son passé et espérant un futur, contre une opinion horizontale, synonyme d'appauvrissement majeur : ''coller au monde''... Cinquante ans plus tard, l'ancien montage multiséculaire a disparu.
Je me souviens de mon chagrin lorsque, brutalement, le monde catholique est passé d'une douce pénombre dite périmée à une soi-disant lumière invisible, et que des ‘’ils’’ sont venus me raconter que tout ce que je croyais, faisais, ou disais était faux... et que tous mes bons maîtres, admirés, m'avaient raconté des fariboles... En rationalisant en une seule fois ce qui avait mis si longtemps à se construite, on a cru simplifier : le seul et unique référentiel accepté est devenu  ''Vatican II nous dit de... ou que...'' (variantes : ''Depuis Vatican II, nous savons que...'',  ''D'après Vatican II,...'', etc...), et une iso-pharmacopée semble avoir pour but, rôle et fonction de tourner le dos au passé, sous toutes ses formes...  oubliant une des rares choses qui ne fait pas de doute : on a toujours tort de renier son passé, de ''cracher dans la soupe'' ou de ''couper ses racines'' : on ne connaît pas de cas où ''ça'' ait marché, et la chute en cours de notre civilisation en est la preuve ! Mon Dieu, c’est Dieu, nom de Dieu, et rien d’autre ! Et il est assez grand pour ‘’reconnaître les siens’’. Sans vous ni votre monde, si changeant !
L'Eglise catholique avait une Histoire, un passé, des racines, et elle était le fruit de plein de petites touches et retouches –pour essayer d'intégrer le temps humain, dont nous avons l'impression qu'il ''fugit irreparabile'' (= ''nous file entre les doigts'') dans le temps de Dieu qui est ''un et plusieurs, éternel... et donc sans direction''... ce qui lui donnait un petit air vénérable que certains (?) trouvaient antique et archaïque, voire démodé, mais que l'immense majorité (qui ne se posait pas de questions, au fond, ni en 1962 ni maintenant), trouvait solennel, majestueux, et respectable –donc respecté... Chercher à plaire à un éventuel ''corps électoral'' en suivant la mode, en se pliant à de soi-disant ''exigences du temps'', en misant sur le court terme ou en privilégiant la tactique contre la stratégie sont des tentations qui peuvent –à la limite-- se comprendre... sauf dans ce domaine qui n'existe que par et pour les finalités de l'Homme et son ''demain eschatologique'', et qui ne vit que parce que, à l'opposé complet de la démocratie, la ''vox populi'' n’a rien à voir avec une ''Vox Dei'' qui parle à l'âme... et de son Salut ! C’est une très mauvaise pioche !
Désormais, l'Eglise prétend avoir abandonné ce passé au profit d'un ''présent'' que tout le monde cherche.. et qui ne se trouve pas lui-même –et pour cause ! Ce Présent ne semble pas aussi merveilleux ni prometteur que certains de ses chantres le rêveraient.  Je ne suis pas le seul, il s'en faut de beaucoup, que la décision honteuse qui a été prise par nos épiscopes lors de la fausse crise/ vrai drame dit ''du covid'', de subordonner le Service de Dieu aux grossières erreurs de jugement de César (Question : ''Qui a jamais dit : ''offrez à César ce qui est à Dieu''?), a ''douché'', pour longtemps : en d'autres temps, de vrais hommes-de-Dieu seraient morts pour ne pas fermer nos églises au moment où l'Humanité tout entière n'avait plus rien ni personne vers qui se retourner, à invoquer, pour maintenir la vie... en vie ! Nos ''bergers'' ont capitulé sans même combattre... 
Le tremblement de terre qu'a été Vatican II –je n'ai jamais pu oublier certaines expériences traumatisantes, vécues dans les années 1965-- aurait pu s'arrêter là dans la fabrication de dégâts collatéraux. Une génération –la mienne-- aurait été perdue (comme elle l'a été, en grande partie), mais la sève aurait continué à irriguer le bois encore vert. Mais non ! Grisés par une impression de victoire –qui était ''à la Pyrrhus''-- nos Monsignori ont persisté, accéléré, redoublé, accentué... jusqu'à atteindre l'absurde le 16 juillet dernier, lorsque le Motu Proprio ''Traditionis Custode'' de SS le pape François a annulé le ''Summorum Pontificum'' de SS Benoît XVI, son prédécesseur, qui était encore vivant... une première, dans l'histoire de l'Eglise.
Curieusement et de manière assez inexplicable, l'Eglise de France se retrouve dans une situation presque comparable à celle où se trouve la France : un épiscopat de plus en plus coupé de tout contact avec le peuple (ici appelé ''les Fidèles''), une conduite des affaires qui n'a pas d'écho et n'est relayée que du bout des lèvres par de moins en moins de ''votants'' (= les pratiquants réguliers), une autorité suprême de plus en plus lointaine –Bruxelles d'un côté, Rome de l'autre... même si un parallèle entre le Pape François et Ursula von der Leyen est impossible
Les deux ''éditos'' suivants permettront (je l'espère...) de rentrer un peu dans le détail des choses, pour que chacun ait une chance de ‘’se’’ fabriquer son propre ''aggiornamento'' en revisitant ces 50 dernières années où certains,  –qui trouvaient les églises trop pleines, sans doute-- ont cru malin d’évoluer vers une modernité mensongère, et se retrouvent avec 2 à 3 % de pratiquants réguliers, survivants d’une vieille garde qui se fera tuer, sans doute, sans se rendre... (dont moi malgré mes réticences, mes réserves, mes regrets et mes ''rabias''... Et je profite de cette parenthèse pour demander pardon à ceux que je pourrais choquer). (A suivre)
H-Cl.
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allen-kunekune · 9 months
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July 14th Fraxus Week Eve: Wine and Blood / Scars and Flowers
Les cicatrices n'étaient pas rares. Le travail de mage était parfois dangereux, et l'unité Rajine ne s'attardait pas sur des missions simples et confortable. Ils n'étaient pas à leur première guilde noire, ni même à leur premier adversaire qui avait manqué de les tuer.
Cela laissait leur peau touchée pas plusieurs cicatrices. Toutes différentes. Toutes avec une histoire.
Que se soit la cicatrice de Laxus que Freed touchait parfois, habituer et ayant l'impression que le blond l'avait toujours eu. Ou bien des cicatrices gagnaient en combat, car ils étaient trop faibles, ou pour protéger un ami. Chacune était la preuve qu'ils avaient survécu.
Il était facile d'oublier que des cicatrices avaient fleuri bien avant cela. Freed ne pouvait pas les voir de toutes manières, des signes d'abus effacer par le temps en des lignes maintenant discrète et presque invisible, des ronces dans son dos traduisant d'une violence qui l'avait fait arriver à FairyTail.
Un mal pour un bien. Il était heureux ici.
Il était heureux alors qu'il était allongé dans son lit, laissant Laxus passait sa main sur son dos.  Ils ne disaient rien, il n'en avait pas besoin. Laxus savait déjà tout qu'il avait besoin de savoir, et Freed n'avait pas envie d'en reparler. De se replonger dans le passé. Malgré que la peau n'était plus aussi marquait, aussi à vif qu'avant, le bruit des coups oui. Toujours aussi frais, comme une fleure qui ne cesserait d'éclore. Jamais elle ne fanerait. C'était ainsi qu'était certain souvenir.
Éternelle comme une rose prise dans la glace. Douloureuse comme des ronces qui frappaient encore et encore son dos, ses poignets, jusqu'à ses jambes. Une marque qui disparaît mais pas la douleur. C'est ce qui l'avait construit, fait de lui l'homme qui se tenait contre Laxus. Dans le pire et le meilleur. Il ne sursaute pas quand Laxus embrasse l'une de ses marques. Cela laisse quelque chose fleurir dans son cœur.
De plus doux. Cela laisse un frisson le parcourir. Il ne sait pas si c'est normal d'être encore surpris de ressentir de la douceur en des endroits marquaient par la douleur. C'est parfois encore difficile de laisser fleurir tout cela, même si c'est agréable. Un jour il oubliera totalement ses mauvaises herbes qui s'accroche à lui. Le temps était bon pour cela. Et il passait vite bien entouré.
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coulisses-tv · 3 months
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Place au cinéma : "L'homme qui en savait trop" d'Alfred Hitchcock sur France 5 vendredi 26 janvier 2024 - Vidéo
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swedesinstockholm · 4 months
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24 novembre
deuxième jour de mon futur fertile et navigable j'ai terminé et envoyé mon poème sonore, j'en suis pas entièrement entièrement satisfaite mais c'était pour me mettre en jambes, j'ai appris plein de choses et je me suis pas laissée décourager par les difficultés techniques rencontrées comme d'habitude. deuxièmement: m. m'a appelée pour me dire qu'elle serait en espagne en janvier et que je pourrai avoir son appart pendant ce temps-là, si c'est pas du futur fertile et navigable ça je sais pas ce que c'est. ça va être la merde et stressant x1 million mais au moins je serai sur place et ce sera du concret. troisièmement: en trainant sur fb je suis tombée sur un appel à candidatures de la kulturfabrik qui cherchent leur nouvel.le artiste en résidence et cette fois c'est dans le domaine littéraire et il faut pas nécessairement avoir été publiée pour postuler, c'est une résidence de trois ans qui accompagne une oeuvre depuis sa création jusqu'à sa publication et sa diffusion avec maintes bourses, périodes de résidence rémunérées, possibilités de partenariats, conseils, ETC, c'est le starter pack de rêve ultime et je meurs de peur de me faire avoir par la delulu de nouveau parce qu'en lisant l'appel j'avais l'impression qu'il avait été inventé pour moi, moi spécifiquement, que c'était MOI qu'ils voulaient, mais je me dis qu'il vaut mieux la delulu et la souffrance qui en découle plutôt que de ne rien tenter du tout, comme avant que je décide à me prendre au sérieux.
25 novembre
jour 3 de mon futur fertile et navigable j'ai passé l'après-midi à un workshop de chant où j'ai pas chanté parce que j'avais trop peur. je sais pas si c'est le cours de chant de l'autre jour qui m'a traumatisée ou quoi parce que j'ai eu l'idée saugrenue de vouloir chanter piece of my heart de janis joplin et la prof m'a clairement dit que j'étais pas prête pour chanter ce genre de chanson, mais j'ai passé l'après-midi à trembler. à la pause la prof est venue me parler pour voir ce que je pourrais chanter, elle me posait plein de questions pour essayer de me faire cracher un titre et je faisais que dire je sais pas, comme si je connaissais zéro chanson, comme si j'avais jamais entendu parler de musique de ma vie. la femme qui chantait super bien me regardait avec consternation depuis sa chaise et j'entendais ses pensées qui disaient elle est vraiment paumée la pauvre petite. à la fin on a décidé je sais pas comment que je chanterais chasing pavements d'adele mais je me suis défilée au dernier moment et puis dès que je suis rentrée à la maison je l'ai chantée cinq fois d'affilée en version karaoke devant mon ordi. un mystère demeure cependant: je comprends toujours pas comment j'ai fait pour chanter all that jazz sur la scène du grand théâtre en faisant croire à tout le monde que j'étais une artiste pro qui savait ce qu'elle faisait. en fait il me faut une scène gigantesque et un public de mille personnes ou rien.
à la fin du cours, après avoir bien pesé le pour et le contre (attendre le bus pendant une heure dans le noir et dans le froid mais avoir la paix ou rentrer confortablement en voiture mais subir la torture de la conversation?) j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai demandé si quelqu'un rentrait en ville et le mec qui chantait très fort du rock en forçant sur la voix m'a prise avec lui. sa voiture sentait l'homme et après deux remarques sur la météo il m'a demandé ce que je faisais, mais j'ai vite réussi à faire dévier la conversation en usant de mon nouveau stratagème: poser mille questions sans laisser le temps à la conversation de revenir sur moi. je l'ai pas lâché. relentless. il s'est avéré qu'il était prof de philo dans mon lycée à l'époque où j'y étais, il m'a parlé de son projet avec les cochons qui avait fait scandale quand j'étais en troisième mais les seuls souvenirs qui m'en sont restés sont les fesses de yannick dans ses skinny jeans dans la cave où y avait l'enclos. en arrivant en ville, juste pour être on the safe side, je lui ai demandé pourquoi il était devenu prof de philo, mais on aurait pu rouler jusqu'en belgique parce que j'avais plein de questions en réserve encore (c'est qui ton philosophe préféré? tu connais whitehead? y a trois ans une philosophe géographe whiteheadienne a changé ma vie, etc) avant de me faire sortir il m'a demandé mon fb pour rester en contact si jamais il avait besoin d'une écrivaine pour un projet au lycée mais je l'ai forcé à m'ajouter sur insta. je l'ai tutoyé d'emblée de jeu et je lui ai dit qu'il faisait vraiment pas son âge et je me demande si j'étais pas à la limite du flirt parfois, involontairement parce que ew, mais ça m'a donné envie d'être flirty flirty avec quelqu'un de flirtable.
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belovedaries · 5 months
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if you'll have me ?
Cela faisait désormais plusieurs semaines que les deux jeunes hommes parlaient de la distance les séparant, vivre sur deux continents différents, séparés par des milliers de kilomètres n'était plus une situation vivable pour Alaska. Ce qu'il faisait passer pour des semi blagues était absolument sérieux, il préparait son déménagement et ses cartons étaient en effet prêts. Aidé par ses connaissances sur la ville de l'amour il avait petit à petit envoyé ses affaires, ses meubles, ses livres et ses précieux souvenirs de toute la première partie de sa vie pour entrer dans cette nouvelle ère. Celle qu'il espérait voir durer jusqu'à ses vieux jours aux côtés de l'homme qu'il aimait et auquel il avait offert son cœur depuis quatre mois. Son avion s'était déjà posé depuis deux jours, il avait parcouru les rues et les monuments touristiques de sa future ville en parfait inconnu en attendant la soirée qui ferait passer les calendriers du 5 au 6 décembre. Le temps était doux, il bouillonnait d'impatience, le Russe n'avait jamais été très bon pour cacher les surprises mais il tenait à garder celle-ci secrète.
L'heure fatidique s'approchant à grands pas, il se plaça devant l'appartement de son petit ami, le chemin familier lui rappelant certains souvenirs qui lui colorèrent les joues d'une jolie teinte rosée. Il blâmerait le froid hivernal.
Après une profonde inspiration, il appuya sur la sonnette attendant de voir apparaître le visage de son bien aimé dans l'ouverture de la porte. Alaska rayonnait, d'amour, de bonheur peut-être un petit peu d'appréhension, mais il le voulait plus que tout et il savait que Raja l'attendait aussi. Dès l'instant où il aperçut la figure familière de son amant il se faufila dans ses bras, le serrant contre son corps comme si sa vie en dépendait. Ses doigts glissèrent tendrement jusqu'au cou de son tendre, son beau Raja avant de se poser sur son joli visage surpris. Alaska déposa un long baiser sur ses lèvres, refermant la porte derrière lui d'un petit coup de pied. Après un instant où toutes ses pensées étaient concentrées sur le fait qu'il embrassait enfin son copain après tout ce temps passé loin de lui, il lui adressa un grand sourire et souffla finalement, comme s'il lui murmurait un secret ;
-Joyeux quatre mois mon soleil. J'ai pris la liberté de laisser ma valise à l'hôtel mais je pense être prêt à déposer mes affaires chez toi, pour que ça devienne notre chez nous ? La vie au Japon était trop fade sans toi, j'ai besoin de me réveiller dans tes bras tous les matins. Si tu veux toujours de moi, je serais un excellent colocataire. Petit ami colocataire ? En tous cas je promets de bien prendre soin de toi.
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