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#la vilaine lulu
jacquesdemys · 2 years
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i will not stop until my opinions regarding la vilaine lulu are made known
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19660413 · 3 months
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lhommeinconscient · 1 year
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hypnoccult · 6 years
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La Vilaine Lulu meet La Vilaine Riri #celebrityworship #rihanna #YvesSaintLaurent #metgala #pope _ _ #fashion #Spells #hypnosis #masshypnosis #occult #religion #occultsymbols #Esoteric #hypnosis #illusoryMatrix #ancientknowledge #illuminati #illumination #witchcraft #witch #wiccan #magick #media #symbols #control #sigils #disclosure #everydaylife #youaresleeping #wakeup
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moodboardrpg · 6 years
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First, un peu de connaissances utiles pour commencer votre aventure
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Le B.A.B.A des surnoms (aka l’horreur pour la personne qui se tape toute l’écriture, aka moi)
- Rayan as Le Narcissique  😊 (DC de Wil’)
- Cody as P’tit Loup 🐺
- Allison as La dite Pochtronne et bébé de Bébouille 😂❤️
- Archie as Le mal aimé de FB 2.0
- Zack as Big Kang ☄️
- Elysia as Badass avec un fouet 😘
- Auréa as Oréo Boréales 😇
- Chase as Le fromage, le panneau publicitaire et Stalkeur 👻
- Ajeya as Pascal la vachette maître du relou grognon 🐮
- Kaz as He kazually brekker a deal 😇 (DC d’Isak)
- Kéryort as Grand-Mère Feuillage l’Encyclopédie 🍀 (QC d’Adel)
- Thomas as Thomato Ketchup 🍅🍅
- Zed as Le fils renégat 😖
- Gunther as Le ruisseau de la pièce rapporté 😎 (TC de Winnie)
- Elena as Elle n’est pas une méchante vampire ! 😇
- Louka as Cendrillon d’Adel & Client de Blanche 😂
- Dagmar as La Revenante 😂
- Naël as Lance moi ta cheveluuuuuuuuuure 💇 (DC d’Adel)
- Isak as Kitty Apprentie 2 l’Agent Phoque 😽Paranique Flemser
- Eloween as Rivale du Parc d’attraction😜  (TC d’Elysia)
- Zéphyr as The Monkey Hello Kitty 🙈 (TC de Kyle)
- Maël as Aramis - Parabatai en mousse 🙄 
- Delfinya as Philadelphia au neutre 🌼 (DC de Jake)
- Noëlia as Miss Caravane 😏 (DC D’Ari)
- Cassiopée as Trichelieu 🙏
- Jared as Jafar le deuxième le plus pervers 😧
- Lyana as Professeur Kellogs  😶❤️
- Blanche as Porthos - Stalker de Ship professionnel 😬
- Zaryna as Mme La Commandante 😎 (DC D’Elysia)
- Lucifer as Marquise Maman Lulu Castagnette des Anges 👑
- Rhys as Rice Pudding-Stalkeur de compétition 😎SuperMario (DC de Maël)
- Adel as Adel prince de Cendrillon et chevalier servant <3
- Winnie as The Huggable Winnie The Pooh 🐻 aka Popcornavore
- Elwina as Wina reine capricieuse  😎 (DC de Chase)
- Wilhelma as La schizo infernale 🤩 Teddy de Kevin 🧸
- Ingrid as Chef de resto Bonjouuuur 😁 (DC de Cassiopée)
- Jahanna as Représentante LGBTQ+😎  (DC de Caly)
- Elias as Cindy Sanders 😂
- Loéva as Loéva, parce que nous le valons bien  😎 (DC de Blanche)
- Gideon as Athos - Papou beaucoup trop sexy 😝 (TC d’Adel)
- Selene as La malade mentale présumée et perverse 😤 (DC d’Eryn)
- Jake as Maximus 🐴 le chou fourrée aka Bebouille  😎
- Calypso as Petit poney, glace, pizza, cocktail 🦄🍦🍕🍸
- Lissa as Lapin Asiatique  😁
- Daysi as La meuf avec le même nom que nous perturbant  😂
- Anastasia as Miss Jeunesse tout simplement  😂
- Kyle as Kyle X-Y 👽 Lucky Luke🔫
- Eryn as Phoque. Agent, Phoque 😎 Peach 🍑
- Arno as Le Frenchie (DC de Jo)
- Vanille as D’Artagna - Roulette aka Bébé mouton n°2 😁 (DC de Winnie)
- Arween as Une louve dans le coeur 😘
- Harjit as L’Hedwige de la Vachette  😎
- Johann as Le Vilain Pô et Papy du RPG 👴
- Aristote as Le grand mr qui fait peur 😈 la pièce rapportée
- Blake as Baby Bland Blonde Blake (B^4) (TC d’Ari)
- Everly as Kevin 😃
- Kassandra as Kar sans draps tu pisse au lit 😹
- Siobhán as Raaiiipoooonnncceee ! 😇 (TC de Maël)
- Peter as Relou grognon et femme au foyer 😶 (DC de Lulu)
- Chrissy as Sabrina l’apprentie sorcière 🎃 (TC de Blanche) 
- Sérénity as Miss Yoga 🤗 (DC de Kyle)
Révisez bien vos leçons 😇
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forayoff · 4 years
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Granby, jour 1. Cher journal, Comme l’a dit Lulu ce matin; à Granby, le soleil est moelleux comme une escalope. Je le rejoins dans son allégation. Il est 9 heures et nous hésitons encore entre la piscine ou le spa confort. Nous nous séparons alors, Titi cherche de la wifi ainsi que des piles pour son mini synthé. Lulu tente de terminer son mémoire*. Il en est au chapitre « l’ocarina dans les magasins de type Maison du Monde », malgré un titre particulièrement long, sa réflexion interpèle. Il a remarqué que, systématiquement, le Sib frottait avec le Do. Si bien que le cerveau du client interprete cela comme le vent d’automne dans une futaie de hêtre. Ce qui provoque l’achat compulsif d’appareils à raclette, de petits ustensiles pour faire des soupes ou carrément de services à fondue*. L’être humain, tel un mammifère de base, anticipe alors la rudesse des longues soirées d’hiver. Même si je n’ai pas tout compris, c’est mathématique. J’ai hoché la tête en faisant un petit bruit de bouche, comme le faisait Mif*** il y a deux semaines, pendant notre tournée CCAS. Cela fait plaisir de revoir Granby. J’ai eu cette petite palpitation au coeur, comme quand je me rends au quartier Danton au Havre ou au carrefour de Barentin. Là où il s’est passé des choses qui ont marquées mon existence. Ici, j’ai rencontré des gens fabuleux avec qui je suis resté en contact depuis, les revoir me mets en joie. Toujours est-il que l’ambiance était déjà là quand nous y sommes arrivés hier en milieu d’après midi. Déjà, dans le minibus, j’avais fait la connaissance de RIVE, un groupe franco-belge très cool avec qui j’ai pu parler de tout, et cela jusqu’à notre arrivée. Après avoir pris possession de nos chambres, les gars avaient très envie de découvrir les bières québécoises et comptaient sur moi pour mener à bien leur souhait. C’était ma 3ème venue ici, j’ai donc pris mes responsabilités et nous avons ainsi entrepris la descente de la rue Principale qui mène au centre ville. Dans mes souvenirs, je savais qu’il fallait un certain panache pour y accéder. Ce que je prenais pour une petite promenade apéritive d’un quart d’heure s’est transformée en un trek de 3,4 kilomètres de l’hôtel jusqu’au Palace (la salle de spectacle de Granby), au milieu de la circulation dense et sans ombrages. Nous n’étions pas préparé à cela, le réveil à Paris à 6h30, le voyage en avion de 7h40, les 1H45 de voyage en bus se sont fait sentir peu à peu dans nos organismes. Nous suivions Titi qui ouvrait la marche, tel le petit poucet, il semait des gouttes de sueur sur le macadam en fusion. Lulu regretta à plusieurs reprises de ne pas avoir acheté de vraies Birkenstocks, les siennes menaçaient de s’autodétruire à tout moment. De mon côté, une vilaine cloque de la taille d’une pièce d’un dollar canadien se formait dans mes chaussures anglaises. À chaque pas, je claquais des dents, essayant de me souvenir de cette chanson de Felix Leclerc, « moi, mes souliers ont beaucoup voyagé, il m’ont porté de l’école à la guerre.. » afin de tromper mon cerveau et de ne plus penser à la douleur. Comme je ne connaissais pas la suite, je commençais à délirer en dépassant l’église Saint Georges (lieu où nous jouerons mardi, à 15h). Nous trouvâmes enfin une terrasse pour éponger notre soif de l’infini. Notre joie fut de courte durée, puisque nous rendîmes compte que le restaurant où nous devions souper était juste après l’hôtel, à cela s’ajoutait le cocktail de bienvenue au Social Bar, vers 19H30, à deux rue de là où nous étions posés. Il était 18h30, un genre de contre la monte s’engagea alors. Il fallait ravaler notre amertume boréale et brûler notre cosmos-énergie pour rejoindre la rôtisserie Score. Ce que nous fîmes. À cause du décalage horaire, nous étions de moins en moins en verve après notre repas mais à l’heure pour prendre la navette qui menait à la cérémonie d’introduction. Là-bas, il y avait déjà beaucoup de monde, je retrouvais avec émotion certaines personnes croisées deux ans auparavant. Nous avons aussi retrouvé nos amis belges qui nous ont gentillement proposé de nous prêter leur alimentation pour le concert de mardi. Les différences de voltages entre l’Europe et l’Amérique du nord peuvent parfois engendrer des bugs matériels, en plein concert. Je me souvenais de mon expérience, il y a deux ans, quand mon ordi et ma carte son s’étaient subitement arrêtés pendant « l’amour s’en va ». À l’époque, le concert se passait aussi dans une église. Je pensais que c’était la faute du fantôme de la sœur de Monica la mitraille avec lequel j’avais plaisanté au début de mon set. La panne avait duré longtemps, le temps pour moi de faire ample connaissance avec le public professionnel réuni face à moi. Alors que je pensais un plan B (une reprise de Michel Rivard, « pour en finir… »), la musique rejaillissait, comme si de rien n’était. La salle s’était alors levée, applaudissant la performance. De nombreuses personnes étaient venues me voir ensuite en pensant que cela faisait partie du show, il fallait cependant que je fasse attention au timing; j’avais dépassé mon temps de passage de 25 minutes. C’était le fun sans être plate, mais je m’étais p'tête enfargé dans les fleurs du tapis. Je dois déjà aller rejoindre les gars, ils m’attendent depuis deux heures pour aller manger, ensuite nous irons répéter un petit set acoustique pour la soirée « vive la France » demain soir. Je te raconterai tout, promis. Je t’embrasse, fou comme un balai. Foray Ps: cette photo a été prise ce matin, vers 9h30 devant notre hôtel. Notre hôtel est bien confortable. *voir post Jour 4 « off à Munster » pour connaître le sujet de ce mémoire passionnant. **cas extrême, observé à Cuisinella de Barentin, en ajoutant l’intervalle à mouvement obligé cela donnerait envie de faire fondre plusieurs fromage ensemble avec du vin blanc et d’y tremper du pain ensuite. Cela pourrait être le point de départ d’un autre mémoire. *** Voir post jour 1.« Mif et la nature luxuriante »
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lux-filia · 7 years
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brigittecrespo · 4 years
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"La Vilaine Lulu" d'Yves Saint Laurent, ce que ARTE n'a pas montré...
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jacquesdemys · 2 years
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the star of la vilaine lulu is the rat though
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biofunmy · 5 years
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Of Comic Books and Couture
In 1967, Yves Saint Laurent introduced La Vilaine Lulu, the beastly little star of a comic book — or bande dessinée — that he wrote and illustrated.
Short and squat with a froggy face, wearing a beribboned boater and a scarlet cancan skirt that she would flip up to expose her naked derrière, La Vilaine Lulu terrorized her teachers, schoolmates, passers-by — well, everyone, really. A devil child, that Lulu.
Now she is a cornerstone for “Mode et Bande Dessinée” (“Fashion and Comic Books”), which its organizers say is the first major exhibition to take a comprehensive look at fashion in comic books and graphic novels, through Jan. 5 at the Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l’Image in Angoulême, France.
As the fall couture season begins on Monday in Paris, the show is a reminder that, while luxury fashion is often viewed as elitist, it has a way of trickling down commercially and artistically to unexpected yet highly accessible places — and vice versa. Comic-Con International and the elaborate character outfits worn by fans are just one flash of the impact.
“Jean Paul Gaultier, Jean-Charles de Castelbajac and Thierry Mugler were obviously influenced by B.D.s,” said Thierry Groensteen, the exhibition’s curator, using the French nickname, pronounced “bay-days,” for comic books. “You see it in Castelbajac’s sweater dresses, with B.D. motifs, and Mugler’s Cat Woman suit, with its cagoule with little ears.” Both are represented in the show.
Two hours by train from Paris, Angoulême is France’s capital of comic books. Each year since 1974, it has hosted the Angoulême International Comic Festival, a four-day event that last year drew more than 200,000 B.D. enthusiasts. The Cité, which opened in 1990, now houses 13,000 original plates and 250,000 B.D.s — the world’s second largest collection of French-language comics (after the Billy Ireland Cartoon Library & Museum at Ohio State University in Columbus).
Pierre Lungheretti, the Cité’s director, said its collection traces the genre, known officially in France as “the 9th art,” from “the birth of comic books in the 19th century to today.”
In addition to the museum, which has about 70,000 visitors a year, there is a reference library, two screening rooms, bookstore, a restaurant and residences where as many as 50 comic book authors are invited to spend from three months to four years working on their latest projects.
So loved are comic books in France that the Ministry of Culture has declared 2020 the “Année de la B.D.,” with dozens of events scheduled throughout the country.
“Twenty-five years ago, about 500 comic books were published annually” around the world, Mr. Lungheretti said and now it’s 5,000. “In a world saturated with images and graphics, comic books open the human imagination and an interpretation of society that allows for satire, humor, and poetry.”
Also some great clothes.
Curiously, Mr. Lungheretti said, no museum other than the Metropolitan Museum of Art and its 2008 “Superheroes: Fantasy and Fashion” show has mounted a thorough exploration of the relationship between comics and clothing. And yet, “there have always been characters who were dressed in very identifiable or signature outfits,” he said, mentioning Bécassine, a young Breton housemaid who first appeared in a French weekly in 1905 and traditionally has been depicted in a long green peasant dress, white apron, head scarf and clogs.
“Even Tintin has a look,” Mr. Lungheretti said.
The Cité’s six-part exhibition begins with a study of similar pen strokes found in renderings by fashion designers like Elsa Schiaparelli and Saint Laurent and such B.D. luminaries as Winsor McCay, the early 20th-century American cartoonist of “Little Nemo,” and Jean Giraud, the French artist also known as Moebius, who died in 2012.
In this section La Vilaine Lulu pops up at her most naughty — hosing chums with ice water, stringing up innocents, lashing adults to bedposts or tossing them out skyscraper windows — in original drawings on loan from the Musée Yves Saint Laurent in Paris. “It’s remarkable to see that Saint Laurent chose this mode of expression to illustrate his universe, with an imagination that was very tortured, even violent,” Mr. Lungheretti said, adding that the comic “explains a lot who he was.”
The show then turns to B.D. homages and influences on the catwalk and in advertising, such as Parfums Dior’s Eau Sauvage campaign of 2001, which featured Corto Maltese, the enigmatic title character of Hugo Pratt’s high seas adventure series. There also are panels from Marvel’s Millie the Model, which ran from 1945 to 1973, as well as Les Triplés, a regular comic feature about three precocious children that has appeared in Madame Figaro, Le Figaro’s weekly fashion supplement, since 1983.
For a 1990 strip, the Triplés author Nicole Lambert, herself a former model, drew a camellia-adorned black velvet boater just like one Karl Lagerfeld had originally designed for Chanel (the cartoon and hat are both on display). Though perhaps no B.D. so closely joined the shows and the comic squares as Annie Goetzinger’s “Jeune Fille en Dior,” or “Young Woman in Dior,” a 2013 graphic novel that recounted the adventures of a junior fashion reporter covering the couture house’s first défilé.
As the brand prepares for yet another, it could be required reading on the front row.
Sahred From Source link Fashion and Style
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- "Ce n'est pas la peine d'offrir un sacrifice d'enfants à la Nouvelle Lune pour espérer conserver le pouvoir ! Le diable ou le démon, qu'importe son nom, n'est pas le Maître du temps, ni de vos destinées humaines", affirme "YSL", appelé "Yves SAINT LAURENT" de son vivant, ancien adepte de rituels dits satanistes et auteur du célèbre album de bandes dessinées, "La Vilaine Lulu", à une voyelle près "La Vilaine Lilù (Lilith)", un démon femelle babylonien.
– “Ce n’est pas la peine d’offrir un sacrifice d’enfants à la Nouvelle Lune pour espérer conserver le pouvoir ! Le diable ou le démon, qu’importe son nom, n’est pas le Maître du temps, ni de vos destinées humaines”, affirme “YSL”, appelé “Yves SAINT LAURENT” de son vivant, ancien adepte de rituels dits satanistes et auteur du célèbre album de bandes dessinées, “La Vilaine Lulu”, à une voyelle près “La Vilaine Lilù (Lilith)”, un démon femelle babylonien.
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mespersosbordel · 6 years
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Mélusine, 16 ans, race inconnue.
Elle a jamais fait connaissance avec papa et maman. Abandonnée peut être, dans le fond ça a pas d'importance. Elle devait surement mourir à la base, Lulu, c'est pas pour rien qu'elle était paumée dans cette petite ruelle humide. C'était pas pour qu'elle survive, si c'était le cas, elle n'aurait jamais eu ce bâillon autours de la bouche, elle n'aurait jamais eu les mains liées. Pour faire ça a un nouveau né fallait tout de même sacrément se méfier. Fallait vraiment avoir envie de s'en débarrasser.
C'est la vieille Jane, qui l'a élevé. Elle avait la descente facile niveau picole à l'époque, elle avait l'habitude de traîner dans des coins où personne ne va jamais. Du genre folle aux chats, mais, sans chats. Elle est tombée sur la petite, la défaite de ses chaînes et l'a emmené chez elle. Personne à jamais rien demandé, c'était sa fille désormais. Fallait pas chercher plus loin. Mélusine c'est sa gosse, sa ptiote, sa p'tite tête de pioche.
Jane, elle a bien compris qu'il y avait quelque chose d'étrange chez la gamine, blotti dans le creux de ses bras. P'tit démon, venant surement d'une autre planète. Une planète lointaine très lointaine dans une galaxie lointaine, très lointaine.
Mélusine, est élevée avec des rêves plein la tête. Elle, fan des super-héros qu'elle admire dans les vieux comics et parfois, à la télé.
_ Plus tard, je serais comme captain America ! J'irais défendre les gens, avec mon super costume, tu verras, tu verras bientôt ce sera moi !
Qu'elle disait le nez collé à la télé. La vérité c'est que Mélu elle a plus du super-vilain. Mélu elle a le corps fait de fumée, parfois, gamine, son p'tit bras devenait transparent. Du genre à disparaitre, à s'évaporer, à se balader dans la pièce tel un p'tit nuage. Lulu, elle peut modeler son corps ainsi, le rendre solide comme celui d'un être humain ou bien, devenir un être fait de gris. Mélusine, elle peut se transformer, en fumée, totalement ou partiellement, elle peut modifier ses molécules pour devenir autre chose que de la matière.
Le problème c'est que ce pouvoir, elle ne peut pas seulement s'en servir pour esquiver les coups. Après tout c'est bien pratique, devenir du vent quand on attaque de front. Non le vrai problème c'est qu'elle peut rentrer dans les gens, quand elle est dans cet état. Quand elle devient ce petit morceau de brume elle peut simiscer dans n'importe qui, détruire ses organes, le tuer de l'intérieur ou bien le contrôler. Elle peut disposer de qui elle veut, il suffit qu'elle sacapare un corps pour qu'elle en devienne le propriétaire.
La vérité c'est que Mélusine c'est pas vraiment un corps en réalité. C'est surtout cet esprit étrange et terrifiant, cet esprit translucide qui a du s'emparer d'un corps quelconque, celui d'un gosse venant de naître surement. Ce corps, c'est que son hôte principal, rien de plus. Sauf qu'il s'y sent bien dans ce corps, parce que cet esprit, aussi dangereux qu'il puisse être il est pas bien mauvais. C'est comme un gosse un peu paumé qui sait pas quoi faire de ce qu'il est.
Mélusine, elle vient de fêter sa seizième bougie mais peut être que l'esprit lui, vient de fêter son siècle d'existence. La vérité c'est qu'elle est un mystère total.
Mais, voilà, elle a jamais pu contrôler son don, son corps, ses pouvoirs. Elle a jamais su et elle a jamais vraiment voulu. Elle est bien, sa petite vie de lycéenne tranquille. Elle s'y plaît bien dans cette existence mais, au plus profond d'elle même quelque chose l'appelle.
Mélusine elle a toujours voulu aider les gens, combattre le crime. Être comme ceux qu'elle admire depuis toujours.
D'un naturel optimiste, petite douceur, du baume au cœur dans ce monde mauvais.
Plus le temps passe et plus elle rêve. Plus elle regarde les derniers exploits des Avengers à la télé. Plus elle se plonge dans ses comics, dans les journaux relatant tous les derniers miracles accomplis par ces héros.
C'est décidé. Demain, ce sera à elle de faire la une des journaux. Demain, ce sera elle qui se trouvera toute souriante entre Iron Man et captain America, fière d'avoir pour la première fois de sa vie, fait quelque chose de concret. D'avoir aidé quelqu'un, sauvé des vies. Oui vraiment c'est tout ce qu'elle souhaite.
Mais, en attendant elle va encore devoir attendre un peu. Faut bien réviser pour le contrôle de math.
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actuenfrance · 7 years
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#ActuEnFrance Yves Saint-Laurent et La vilaine Lulu : décryptage de sa BD pic.twitter.com/FcrN
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utopiedujour · 7 years
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CHINE – Coup de chapeau à Monsieur le Consul…, par DD & DH
Billet invité.
Chacun sait bien, d’expérience, comment se passe toute tentative de « désherbage » dans une bibliothèque : on se promet dur comme fer de trier sévèrement et de se montrer sans faiblesse au moment d’écarter les « indésirables » ou les « dépassés ». Et, à pied d’œuvre, au lieu du coup de balai auquel on s’était par avance fermement résolu, assailli soudain de vilains remords, on feuillette, on atermoie, on hésite, et finalement… on relit ! C’est la mésaventure qui nous est arrivée avec Monsieur le Consul de Lucien Bodard, paru et couronné du Prix Interallié en 1973, promis chez nous il y a quelques jours à un prompt « déstockage ». Non seulement il ne va pas laisser sa place sur le rayonnage à un nouvel arrivant, mais nous est même venue l’envie de vous faire partager cette re-découverte. Si le cœur vous en dit…
Lucien Bodard, né à Chongqing en 1914, était « Lulu le Chinois ». Surnom dont il aimait se parer et qu’il n’usurpait pas puisqu’il avait grandi, entouré de Chinois et parlant leur langue, à Chengdu où son père exerça la fonction de « Consul de France » à l’époque de ces aventuriers de la diplomatie qui rêvaient conjointement d’exotisme et de grandeur de la France. De 1916 à 1929, Albert Bodard disposa à Chengdu d’un petit bout de France de la taille d’un yamen de mandarin de seconde classe mais avec un jardin où sa femme faisait pousser des tomates dont elle régalait toute la mince communauté des « expat » de l’époque.
Cette époque des années 20 en Chine est de celles que nos manuels d’histoire éludent le plus volontiers. Elle n’attire pas, elle ne « prend pas la lumière », comme dirait un photographe. Au mieux, quand on la traite, elle assomme vaguement comme une parenthèse confuse et un peu terne coincée entre le Mouvement intellectuel et progressiste du 4 mai 1919 et l’élimination des communistes par Tchiang Kai-chek à Shanghai en 1927 relatée par Malraux dans « La condition humaine« . Le grand mérite du roman de L. Bodard est de nous faire vivre au galop cette poignée d’années en nous plongeant tête première dans la grande marmite bouillonnante et puante d’une Chine de western ! Loin de Shanghai qui, elle, pour le coup, « prend la lumière » et la prend même toute dans les récits des magazines et des journaux occidentaux de l’époque, Albert Bodard arbore son grand uniforme à dorures dans un recoin paumé de la Chine de l’ouest où la vie quotidienne sent la merde, l’opium des fumeries et le sang des massacres. Ce poste au Sichuan n’est pas vraiment un cadeau du Quai d’Orsay et, pendant qu’en Indochine le personnel colonial a su recréer une fiction assez réussie de vie provinciale à la française, notre consul se morfond à Chengdu dans une grande solitude, aux côtés de missionnaires, en particulier l’évêque, qu’il déteste et d’un homologue anglais dont il redoute à tout moment les coups fourrés (la perfide Albion !).
Pour mieux mesurer l’ampleur de cet « exil » consenti par Albert Bodard (et subi par son épouse), quelques mots sur la situation du Sichuan pourraient s’avérer utiles.
La géographie a fait du Sichuan une forteresse naturelle. Le très fertile « Bassin rouge » est en effet au cœur d’un énorme bastion haut perché dû au rude coup d’épaule de l’Himalaya qui a déchiqueté son relief et hissé ses points culminants à des 6000 m d’altitude ! Son artère principale est le Yangzi Jiang qui y reçoit ses principaux affluents, Chengdu est bâtie sur l’un d’eux. Les brutales inondations dues aux crues du fleuve (montée des eaux pouvant atteindre une trentaine de mètres en quelques heures) ont été longtemps aussi dévastatrices et coûteuses en vies humaines que les innombrables glissements de terrain et autres tremblements de terre dont est responsable le chaos géologique de la province. Cette artère fluviale du Yangzi n’a pas que des accès de méchante humeur, elle a mis aussi beaucoup de mauvaise volonté à devenir vraiment utile aux déplacements : en amont (au Yunnan) c’est un torrent indomptable et vers l’aval, après Chongqing, son cours encombré d’écueils à fleur d’eau se fraie un chemin à travers trois majestueuses gorges qui furent longtemps redoutées de tous les pilotes d’embarcations. Tout le monde a en tête ces images impressionnantes du halage des bateaux remontant le Yangzi par d’immenses colonnes de coolies-fourmis ployés en deux et accrochés, pieds nus, à l’à-pic rocheux de la rive, comme cela était la norme à l’époque du consul et s’est pratiqué jusqu’aux années 1950 et aux premiers dynamitages d’écueils. De fait, le Sichuan est un territoire fortement enclavé, un genre de bout du monde en marge des axes de circulation (ce n’est que l’essor du transport aérien et la mise en service des grands barrages, celui de Gezhouba d’abord (1988), puis celui des Trois Gorges (2009) qui ont véritablement permis un réel désenclavement de la province).
Albert Bodard, bien conscient de la situation ingrate qui fait tant de tort à une province qui pourrait être si prospère, caresse un rêve qu’il couve amoureusement et qui justifie à ses yeux tous les mécomptes qu’il y endure : ouvrir un autre accès au Sichuan ! Un chemin de fer dont la réalisation serait son grand œuvre ! Ce chemin de fer viendrait, en prolongement de celui du Yunnan déjà réalisé par les Français (ligne inaugurée le 31 mars 1910), relier le Sichuan à Hanoï pour la plus grande gloire de la France qui effectivement, sous la présidence de Paul Doumer, se serait bien vue étendre sur le sud de la Chine son implantation coloniale en Indochine ! Hélas (?), de ce chemin de fer mythique ne sera jamais posé le moindre mètre de rails ! Le chantier des 465 km à voie unique du Yunnan avait duré 6 ans et nécessité des prouesses techniques hors-normes. 60.700 ingénieurs et ouvriers (chinois pour la plupart) y avaient travaillé dans des conditions épiques, l’ouvrage ayant exigé 172 tunnels et 3.456 ponts, viaducs et aqueducs. Le tout avait coûté 12.000 vies humaines (à 99,9 % celles de coolies chinois). Le relief fantaisiste du Sichuan laissait augurer des conditions plus extrêmes encore. C’était une folie et le Consul dut se résigner à ne voir rouler à Chengdu que le train électrique de son fils arrivé pour un Noël par la valise diplomatique !
Cette Chine méconnue des années 20 qui sert de toile de fond aux souvenirs d’enfance hauts en couleurs de Lucien Bodard est celle dite « des seigneurs de la guerre« . « Seigneurs » parce que, ruffians nés comme champignons après l’averse sur les décombres de la dynastie effondrée, ils se sont taillé des fiefs à la mesure de leur appétit sur lesquels ils exercent un pouvoir qui n’a de bornes que leur bon plaisir. Et « de la guerre » parce que pour la plupart ils ne connaissent que ce langage, le plus fruste de tous et le moins codifié dans un pays qui n’a jamais connu de code d’honneur des armes. Celui qui règne sur Chengdu est un général Yunnanais. Un fantoche toujours aux aguets devant de possibles rivaux et dont la politique se résume à tuer (beaucoup !) avant d’être tué et à s’en mettre plein les poches au plus vite avant une toujours possible défaite. La ville, désormais cul par dessus tête, est livrée à une soldatesque barbare et cupide qui brûle, pille, rançonne, rackette et tue au petit bonheur d’ordres reçus ou, assez souvent, de sa propre initiative. Citons un article paru le journal « Dagongbao » de Tianjin le 14 septembre 1923 : Pauvre peuple du Sichuan, voici dix ans que nous souffrons du fléau du militarisme, plus destructeur que les hautes eaux, que les bêtes féroces. (…) Le peuple restant désarmé, les soldats passent et les brigands les suivent, puis les brigands se retirent et les soldats repassent. — Bien plus ce sont les armées qui entretiennent chez nous le fléau du brigandage. Tout soldat remercié se fait brigand ; et quand on désire un soldat de plus, on enrôle un brigand. L’armée achète des munitions et ce sont les brigands qui les reçoivent. Que les brigands pillent tant qu’ils veulent, les officiers font semblant d’ignorer et aucun soldat ne bouge. Disons le mot, soldats et brigands sont une seule et même raison sociale. » (in « La Chine moderne« /tome IV de Léon Wieger 1923). Or, ces généraux chamarrés et plastronnant qu’on dirait volontiers d’opéra-bouffe (façon Général Boum dans « La grande duchesse de Gerolstein » ) s’ils n’étaient d’une insatiable cruauté, le Sichuan n’en a pas l’exclusivité, on les retrouve, région par région, du nord au sud de la Chine et certains s’illustrent par des exactions et des massacres plus inventifs encore que ceux auxquels s’adonne, dans son fief de Chengdu, le seigneur de la guerre auquel a affaire Albert Bodard !
A l’époque dont nous parlons, les Occidentaux jouissent à plein régime du système des « concessions » extorquées à la Chine par les Traités inégaux qui ont mis fin aux guerres de l’opium. Privilège d’exterritorialité et suppression de tout droit de douane font les beaux jours des « merchants » et « taipans » dont les parts du gâteau sont de jour en jour plus grosses et savoureuses ! Mais comme Shanghai et Hankou (concession à l’emplacement de l’actuelle ville de Wuhan) ne suffisent plus à calmer un appétit de plus en plus féroce (c’est bien connu : il vient en mangeant, et, pour manger, ils mangent ! Ils bâfrent même !), c’est la « ruée vers l’Ouest » : malgré les dangers, ils remontent le Yangzi vers l’amont, donc vers le Sichuan. On ne l’a pas encore dit, mais ce qu’il y a de vraiment bien avec les seigneurs de la guerre, c’est qu’ils ont tous de très gros besoins en armement ! Comme la Grande Duchesse d’Offenbach, Anglais et Français de Shanghai ont donc d’excellentes raisons d’entonner à l’envi le célèbre : « J’aime les militaires ! J’aime les militaires !« . Les commandes affluent et armes et munitions dernier cri sont livrées avec le plus grand zèle à des intermédiaires chinois qui peaufinent le travail en organisant à leur profit les dernières étapes du trafic. Comme des embarcations repartant à vide constitueraient un manque à gagner regrettable et, pour tout dire, une véritable hérésie dans un capitalisme bien compris, il est fortement suggéré aux maîtres des lieux de mettre à profit la fertilité du Sichuan pour y planter tout le pavot possible et fournir une marchandise pour laquelle le Bengale commence à se montrer défaillant et à laquelle il ne saurait être question de renoncer. L’opium est une telle bénédiction ! Occupant peu de place il réduit les coûts du transport, il crée et assure à long terme un marché d’une grande fidélité, il est d’une rentabilité de rêve et il garantit de surcroît le désarmement moral des populations spoliées. Quand il s’est coltiné un de ses compatriotes particulièrement débectant (un certain Dumont, crapule d’envergure officiant à Shanghai, que nous recommandons à votre attention) et que ses rêves d’implantation d’une gare à Chengdu ont du plomb dans l’aile, même Albert Bodard cherche à oublier son écœurement en faisant grésiller quelques pipes consolatrices !
Bien sûr, le système des concessions n’aurait pas été aussi performant sans l’appui de quelques natifs pour huiler au mieux tous les rouages. Lucien Bodard dépeint avec la même férocité que les blancs cette clique de redoutables et énigmatiques chafouins enduits de bonnes manières (tous têtes à claques à égalité, blancs et jaunes, dans le grand jeu de massacre qu’il nous offre). Faut-il rappeler, mais c’est sans doute toujours un peu utile, que tout ce qu’une concession compte comme puissants à la peau blanche œuvre main dans la main avec la pègre locale et qu’à Shanghai les autorités les plus haut placées sont cul et chemise avec la Bande que Bodard appelle « Bleue », mais qu’on nomme aussi « Verte » (c’est le même mot en chinois), redoutable mafia de gangsters sans foi ni loi bien connue pour la poigne qu’elle met à faire régner « l’ordre » (et qui sera à la manœuvre en première ligne en 1927 pour éliminer les communistes). La Bande Bleue pour la « pacification » nécessaire aux affaires et les compradores pour l’entregent, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ! « Heureusement qu’il y a les compradores ! Ils règlent ces embrouillaminis. Ils sont les intermédiaires merveilleux entre les poignées de taipans et l’immense Chine. Les taipans restent dans leurs « offices » à faire leur métier de gentlemen. L’attente des ordres de Londres. La comptabilité. Les registres. Les factures. Les rapports. Pendant ce temps, leurs compradores s’occupent de la Chine réelle ; arrangeant tout avec les Chinois de toutes sortes : mandarins, négociants, bandits, sans compter les centaines de millions de Jaunes. Peu à peu ces messieurs, intégrés par le haut au système européen, tirent les ficelles de la Chine au profit des taipans et à leur profit. Ne sachant plus s’ils sont jaunes ou blancs, appartenant aux deux mondes, ils deviennent milliardaires pour leur propre compte. Et c’est par eux, grâce à eux, malgré la morgue des « merchants », que la Vieille Chine s’occidentalise peu à peu, de façon impure et contradictoire ».
Cette page d’histoire des années 20 marque la première véritable rupture de la Chine avec elle-même : plus de mandarins, plus de concours triennaux, plus de culture, des rites devenus pantalonnade, le pillage systématique du patrimoine, l’appât du fric, « le sens du dollar que nous avons donné à ces gens-là et qu’ils n’avaient pas », bref un chambardement profond des mentalités et des conduites dans un pays démembré, dépecé et livré au plus offrant avec la complicité de ses éléments les plus troubles… Et ce désastre s’est accompli sous notre houlette. À notre exemple peut-être. Le brave garçon, à la fois mou et vaniteux, qu’était Albert Bodard n’a rien pu empêcher. Le dernier mot à Lucien Bodard lucide (cynique ?) à propos de l’aventure occidentale d’un siècle en Chine, de la première guerre de l’opium (1842) à l’évacuation des derniers occupants de concessions (1942) : « C’est la plus immorale épopée de l’homme blanc faite au nom de la moralité ». Se peut-il que ce soit pour cette raison que nous lui trouvons peu d’intérêt ?
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