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#le gothique féminin
honeybeeshepherd · 2 years
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The Fangirl & The Final Girl
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uchiha-kimimaro · 7 months
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Uchiha Sarada : Time Skip
Texte anglais pdf traduction google ci-dessous
Mes interrogations :
Qui est-ce ? Quel est ce personnage féminin ? Est-ce Sarada ? L'héritière des Uchiha ? Vraiment ? Dois-je regarder son emblème pour savoir à quelle famille elle appartient ? Où est elle donc passée la Sarada pleine de prouesse et de promesses de Kishimoto sensei ? Toutes enfants ressemblent à leurs parents, plus ici, alors, qui est-ce encore un fois ? Qui est -ce cette Sarada qui ne ressemble plus à sa maman ni à son papa ni même à aucunes des femmes Uchiha [Mikoto, Izumi, Naori] ? Je ne la reconnaît plus, elle ne ressemble plus du tout à une Kunoichi mais à un spectre. On dirait qu'elle est une pauvre enfant perturbée depuis que le père qu'elle estime, Nanadaime Hokage n'est plus là. Elle est devenue méconnaissable et coupée de ses liens familiaux [culturel surtout]... misère...
Mon malaise :
D'abord dans l’attitude de Sarada ; elle s’affiche libertine et est vêtue de manière débrayée et devenue carrément irrespectueuse envers la nouvelle autorité de Konoha ou surtout comme une adolescente en perdition [souvent en conflit avec papa] se trimbalent avec des genoux cagneux percher sur des hauts talons qu'Ikemoto lui fait porter comme une prostituée depuis ses 11- 12ans et qui ne sont portées que par des femmes adultes comme Tsunade et Sakura par Kishimoto-Sensei. Son attitude donne plus l’impression qu'elle est une ados qui sort de boite de nuit, plutôt qu'une Kunoichi qui sort de terrain d’entraînement. Ce sont des attitudes que l'on ne retrouves nullement dans l'adolescence et adulte de sa mère Sakura Uchiha.
L'apparence et l'habillage :
Mal fagotée et d'apparence gothique, elle n'est en rien élégante, ni même mignonne, cela ne ressemblent en rien à ses parents ni du Clan Uchiha pour ses membres connus. On dirait plutôt quelle débarque d'un autre manga et cela fait contre nature. Elle est plutôt un composite de plusieurs personnages qui sont sans liens avec elle [excepté Karin] !
La Tsuchikage Kurotsuchi pour la coiffure garçonne et les boucles d'oreilles.
Karin Uzumaki pour les lunettes depuis Gaiden.
La Mizukage Meï Terumî pour les épaules entièrement dénudées.
Eida pour le micro-short.
Avec tous ses éléments, on va encore se demander « qui est sa mère ? ».
Autre éléments troublant : Pourquoi lui faire mettre une veste qui évoque l'Akatsuki à Sarada ? C'est de très mauvais goût que de faire cette référence au passé sombre de son père et son oncle en vu de l'assombrir ! Pauvre Sarada, qui en plus d'être assombrie, devient laide avec cette nouvelle coiffure qui la dévisage et avec ses lunettes qui ne l’embellisse pas. Elle n'est plus féminine, mais tout bonnement féministe [y a pas de ça à Konoha] et cela ne ressemblent, une nouvelle fois, en rien à la coiffures de sa mère, de son père. Des inutiles hauts talons qui ne permettent pas le dynamiste des courses au combat. Une veste tombante et surdimensionnée au couleurs de l'Akatsuki, [manquent plus que les nuages rouges] qui ne convient pas au combat, cela ne fait qu'entraver les mouvements des bras en attaque. Ou alors dans un autre cas, en général, quand une jeune femme porte une veste surdimensionnée, c'est que cette veste est celle de son petit ami [QUI ?] mais le problème reste le même. Visiblement Ikemoto ne conçoit pas la nécessité de costume de Kunoichi pour Sarada, il ne la considère pas. Il ne conçoit de vêtements féminins que pour l'appât !
Commentaire :
Il aurait été tellement judicieux, subtile et intelligent [comme la pichenette d'Itachi ❤], qu'Ikemoto donne quelque référence culturel familial à Sarada en la laissant ressembler à Mikoto Uchiha, plutôt qu'à je-ne-sais-qui. Ainsi au travers de sa petite-fille en mission partie combattre, on aurait pu s'imaginer dans le dynamisme des actions, comment aurait pu être les attitudes et les compétences de Kunoichi de Mikoto dans sa carrière, vu que l'on n'a aucune connaissance sur le sujet. Cela aurait été un coup de génie, un coup de maître de la part d'Ikemoto vu que Kishimoto-sensei n'a jamais écrie dessus. Une connexion Sarada – Mikoto aurait été magnifique ❤ ! Une Sarada qui ne ressemble plus à une Uchiha est-ce encore l'héritière des Uchiha ? Ou dans un autre genre, un Boruto qui au lieu d'être devenu badass et Shinobesque, serait vêtu comme un proxénète et devenu un pervers-narcissique à lèvres vertes, ça serait déconcertant pour tous [sauf ceux aux goûts iconoclastes].
Un Boruto qui ne ressemblerait plus à un Uzumaki est-ce encore le fils du Nanadaime Hokage et du petit-fils Yondaime Hokage ?
Je n'ai trouver nul part parmi les fan-arts officiels et non-officiels (Tumblr, Pinterest, DeviantArt) une Sarada aussi terne, mal fagotée et horrible !
Au contraire, j'en trouves beaucoup avec des costumes Kunoichi dans un style art Kishimoto avec cheveux longs, ressemblent à sa grand-mère Mikoto, sans lunette, badass et mignonne, non sexualisée ou peu. Sarada sous Kishimoto-sensei : Était d'élite et respectée, elle avait une grande quantité de chakra et savait naturellement l'affiner, elle avait éveillées ses Sharingan et savait instinctivement les utiliser en bons escients, le sens de l'analyse accrue, elle utilisa le Taijutsu de sa mère « l'Ôkashô ». Elle rayonnait et son rêve était grand celui de devenir Hokage Légitime. De ce fait, elle aurait parachevé le rêve de son père en rétablissant l'honneur des Uchiha et mettant fin une bonne fois pour toutes au cycle de la haine de son clan. Mais hélas, son histoire c'est arrêter à Gaiden. Sous Boruto : Naruto next generations d'Ikemoto tout cela n'est plus qu'une fumisterie... Ikemoto ne conçoit pas Sarada pour être Hokage Légitime, trop peu d'efforts lui son consacrés pour qu'elle obtiennes des hauts-faits, une seul fois en tant qu'accroche, elle à marquée un point pour l'obtention c'était contre Boro-la-purge ! N'étant pas mâle et risquant de concurrencer le héros Boruto, la voilà systématiquement réduite à être une Loli destinée uniquement à l'appât, affichant ses cuisses de grenouilles, à un intérêt amoureux inutile et une demoiselle en détresse toujours...
Bref donner Sarada Uchiha à Ikemoto, c'est jeter des perles aux pourceaux. Vraiment navrant !
Je terminerais par cette illustration entre la Sarada de Kishimoto et celle d'Ikemoto.
Aurevoir Sarada-chan
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Note d’espoirs :
On peut encore espérer, quelques arroches pour rehausser son niveau :
Qu'elle obtienne un Kama de Kaguya Ôtsutsuki. Puisque Naruto & Sasuke ont perdu leurs pouvoirs, cela pourrait la libérer temporairement du Fûinjutsu Rikudô — Chibaku Tensei pour quelle puisse choisir Sarada comme réceptacle.
Qu'elle devienne le Jinchûriki de Kokuô [Gobi]. Cela lui rehausserait premièrement son niveau de chakra qui famélique et l’aiderais considérablement à se servir de ses Sharingan. Secondement à décupler sa force physique. Cela avait été utile pour Naruto contre Kaguya Ôtsutsuki.
Qu'elle devienne au dépend de son identité, une Nin-Cyborg par les soins d'Amado. Cela lui donnerais au minimum le niveau d'une Delta ou de Jigen au mieux + des pouvoirs sans chakra et magiques et permanent comme Eida & Daemon.
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J24 ▪️ Mellrichstadt - Irmelshausen
20,3 km [533,0]▫️+395 m [+11 710]▫️19 °C
Quel bonheur ! Aujourd’hui on part sous le ciel bleu. Enfin, ne nous enflammons pas non plus. Pour être précis, c’est sous la moitié bleu du ciel que nous partons, parce que là-bas, c’est gris. Mais nous, on s’en contentera bien.
Aujourd'hui, c’est la huitième de finale France - Maroc à 13 heures (du championnat du monde de foot féminin évidemment). Compte tenu de l’heure qu’il est, que l’hôtel ouvre à 14 heures et que l’étape semble roulante, si on ne mollit pas trop et que la télé dans la chambre marche, on devrait pouvoir voir la fin du match ! En attendant, on suivra l’évolution du score sur le smartphone. Enfin, s’il y a du réseau. On aura du réseau qu’il y aura déjà 2-0, puis 3-0. Même plus de suspens !
On arrive au village après avoir fait le tour du château local ceint de douves (ce qui en fait un Wasserschloss, nous apprend la pancarte). L’hôtel est une vieille bâtisse. Pas de terrasse, de baie vitrée, d’enseigne, juste « Gasthof zur Linde » (hôtel des tilleuls) peint en lettres gothiques sur la façade. On monte les quelques marches du perron. La porte est fermée. Un écriteau indique de passer par la cour derrière l’hôtel. Il y a là une petite terrasse. La porte semble fermée. Pas de sonnette. On essaie. C’est ouvert… et on tombe nez à nez avec une vieille dame qui sort de la cuisine. Elle nous envoie dans la salle pendant qu’elle retourne d’où elle vient. La salle est dans son jus. Le vieux fils arrive en boitant. Il ne trouve pas notre réservation. Puis la trouve, on a la 9. Une voix derrière lui dit qu'elle n'est pas prête. On aura la 1. Frühstück ? 8h30. Abendessen ? 18h30. Si nous n’avons plus besoin de rien ils vont nous laisser car ils doivent partir. Ils seront de retour vers 17h00. Et ben on a eu chaud !
Après avoir remis le câble de l’antenne, on aura les dernières minutes du match sur la ZDF.
Le Abendessen est un peu triste. La dame est toute seule. Pas de clients à part nous, puis une dame seule en tenue de randonneuse. La carte tient sur un recto avec un plat « Vegetarische ». Parfait ! Sur le bout du comptoir, il y a une vieille photo d’un monsieur qui n’était déjà plus tout jeune, avec un petit bouquet dans une chope en grès et la photocopie de ce qui ressemble à un avis de décès. Pas sûr que « Les tilleuls » refleurissent au printemps.
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mmepastel · 2 years
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Je voulais que ça soit ma saga de l’été, mais j’ai déjà fini le 1...
Car oui, ça se dévore.
Pour l’instant, l’ambiance gothique située en Alabama au début du XXe siècle est parfaite, les figures féminines passionnantes, le cadre social avec riches blancs et noirs asservis bien rendu avec causticité. Des ingrédients bien dosés et savamment noués pour faire faire tourner les pages.
Je me régale.
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Mexican gothic de Silvia Moreno-Garcia
[résumé du livre]
Honnêtement, j'ai adoré ce livre ! Mais d'une manière extrêmement personnelle et un peu cachée. Je ne crois pas que j'irais crier partout que tout le monde doit lire ce roman car il est merveilleux. Mais ce n'est pas non plus un pécher mignon, je n'ai pas honte d'aimer ce livre, il n'est pas mauvais. En fait je crois que c'est de la bonne littérature, très clean, ce qui fait vraiment plaisir. Je l'ai lu il y a plusieurs mois maintenant et j'y repense encore de temps en temps. Il est si clair, si bien mené, l'ambiance est si bien tissée, l'intrigue si bien ficelée et les personnages si complets, que cette histoire fait maintenant partie du corpus de mon imagination.
En même temps c'est un livre plutôt simple et réconfortant. Rien de trop spécial je crois, mais impactant pour moi ! Je n'avais jamais lu de livre "gothiques" (à part Dracula si ça compte) et je ne sais pas si ce livre est un bon représentant du genre. Je n'avais jamais lu de livres où la maison est un personnage à part entière. Je n'avais jamais lu un livre comme ça.
Moi j'aime quand les livres critiquent le racisme, l'eugénisme, le patriarcat, la société dans toute sa pourriture, les livres de solidarité féminine, de femmes fortes et d'angoisse.
Ne t'attends pas à du frisson, ce n'est clairement pas horrifique. L'ambiance est pesante et étouffante, il y a des fantômes, oui, des meurtres, oui, des monstres, oui, mais ce n'est pas de l'horreur. C'est sans doute ce qui m'a plu. Je déteste qu'un livre bascule dans le gore ou dans l'épouvante.
Je recommande si tu es trouillard.e, que tu aimes une ambiance lugubre qui transporte et les situations désespérées.
informations sur le livre : - âge conseillé : adulte - date de parution : 2021 - thèmes : secret de famille, eugénisme, colonialisme, magie, maison hantée, historique
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omagazineparis · 3 months
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Brentiny propose une sélection de robes satinées pas chères pour femmes
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Dans le monde de la mode, les robes satinées occupent une place de choix pour leur élégance intemporelle et leur capacité à mettre en valeur la silhouette féminine. La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny se distingue par sa qualité, son style et sa diversité, offrant ainsi une réponse adaptée aux besoins et aux envies de chaque femme. Cet article explore en profondeur pourquoi la collection de Brentiny mérite toute votre attention. Une variété de styles pour toutes les occasions La première raison de se tourner vers Brentiny pour trouver la robe satinée parfaite réside dans la variété exceptionnelle de styles proposés. Que vous recherchiez une robe pour une soirée élégante, un événement formel, ou simplement pour ajouter une touche de sophistication à votre garde-robe quotidienne, Brentiny offre un éventail de choix qui répond à tous les goûts. Des coupes classiques aux designs modernes, chaque robe est conçue pour valoriser la beauté naturelle de celle qui la porte. Qualité et accessibilité : une combinaison gagnante L'un des atouts majeurs de la sélection de Brentiny est la qualité irréprochable de ses robes, alliée à des prix accessibles. Conscients que le budget est un critère important pour de nombreuses consommatrices, Brentiny s'engage à offrir des robes satinées de haute qualité à des prix compétitifs. Cela signifie que vous n'avez pas à sacrifier la qualité pour le prix, permettant ainsi à chaque femme de s'offrir le luxe d'une robe satinée sans se ruiner. Des tissus satinés haut de gamme pour un confort absolu Le choix du tissu est essentiel dans la conception d'une robe, et Brentiny l'a bien compris. Les robes satinées de la marque sont fabriquées avec des tissus de haute qualité, choisis pour leur douceur, leur brillance et leur capacité à flatter la silhouette. Le satin, connu pour son toucher soyeux et son aspect lustré, confère aux robes une allure sophistiquée et un confort inégalé. Que ce soit pour une longue journée de travail ou une soirée dansante, vous vous sentirez à l'aise et élégante dans une robe satinée de Brentiny. Une mode responsable et durable Dans un contexte où la mode éthique et durable gagne en importance, Brentiny se positionne comme un acteur responsable. La marque s'engage dans une production respectueuse de l'environnement et des conditions de travail, en choisissant des fournisseurs qui partagent ses valeurs. En optant pour une robe satinée de Brentiny, vous faites donc un choix éclairé, soutenant une mode qui respecte à la fois les individus et la planète. Des conseils stylés pour sublimer chaque silhouette Brentiny ne se contente pas de vendre des robes ; la marque accompagne également ses clientes dans leur choix grâce à des conseils stylés personnalisés. Que vous ayez une silhouette en A, en H ou en O, vous trouverez sur le site de Brentiny des recommandations pour choisir la robe qui mettra le mieux en valeur votre forme. Cette approche personnalisée garantit que chaque femme peut trouver la robe satinée qui lui convient parfaitement, en fonction de son style personnel et de sa morphologie. A voir : Introduction au style gothique dans la mode féminine Une expérience d'achat en ligne optimale L'expérience d'achat sur le site de Brentiny est conçue pour être aussi agréable et efficace que possible. Avec une interface utilisateur intuitive, des filtres de recherche précis et des descriptions détaillées des produits, trouver la robe satinée idéale devient un véritable plaisir. De plus, la politique de retour flexible de Brentiny assure une satisfaction totale pour chaque cliente, renforçant ainsi la confiance dans la marque. Un choix évident pour les amatrices de mode La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny représente un choix incontournable pour toutes celles qui cherchent à combiner élégance, qualité et accessibilité. Avec une variété de styles, une attention particulière portée à la qualité des tissus, un engagement envers une mode responsable et des conseils personnalisés, Brentiny se démarque comme la destination parfaite pour trouver votre prochaine robe satinée. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir cette collection exceptionnelle et de faire de Brentiny votre allié de choix dans la quête de l'élégance et du style. Read the full article
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mysteriis-moon666 · 3 months
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KROH - Altars
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Kroh est un groupe de Doom de Birmingham, patrie de Black Sabbath, Judas Priest.
Paul Kenney le compositeur et guitariste saupoudre ses riffs fuzzy au coulis doom sur la rythmique de plomb d’une lenteur ritualiste de Rich Stanton, avec un chant féminin envoûtant d’Oliwia Sobieszek, pour qui sait apprécier celui de Pat Benatar pour les 80’s et le neo metal des 90’s. Elle écrit les paroles également. Paul Harrington à la guitare et Darren Donovan à la basse couvrent les arrières ryhtmique mélodique.
La recette est coutumière, la sorcellerie enchanteresse est présente dans un style Doom occulte avec des accointances gothiques. Manque de la profondeur pour vraiment être emporté dans un marais incantatoire et crypte de l’enfer.
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marciamattos · 5 months
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Les Époux Arnolfini de Jan van Eyck.
LIVRE/Les époux Arnolfini de Jan van Eyck disséqués par Jean-Philippe Postel
Crédits: National Gallery, Londres
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C'est l'un de plus célèbres tableaux du monde. Conservé depuis 1843 à la National Gallery de Londres, ce panneau de moins d'un mètre de haut se voit intitulé, pour des raisons de commodité, «Les époux Arnolfini» (1). Son auteur ne fait aucun doute. Il s'agit de Jan van Eyck, qui l'a pourvu d'une très visible signature. L’œuvre porte une date, 1434. Le caractère alambiqué de l'inscription en caractères gothiques, «Jan van Eyck fut ici en 1434», ne permet cependant pas de savoir si c'est l'année de sa création ou si l'événement rapporté s'est déroulé cette année-là. De toute manière, ce chef-d’œuvre admirablement conservé ne saurait être postérieur de beaucoup. Van Eyck, dont on ignore la date de naissance, est mort en 1441.
La peinture a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle pose des problèmes complexes d'interprétation. Ancien médecin, Jean-Philippe Postel n'est pas historien de l'art. Il utilise ici les travaux des chercheurs professionnels, en y ajoutant une «observation clinique attentive». Il s'agit en effet de tout voir, même ce qui se révèle microscopique. Van Eyck reste le maître absolu du détail, même s'il y en a tout de même moins ici que dans la «Vierge du chancelier Rolin», à l'iconographie plus simple, qui se trouve depuis la Révolution au Louvre. Là, certains personnages d'un paysage urbain presque infini mesurent moins de trois millimètres.
Une histoire connue depuis 1516
Le tableau connu sous le nom des «Arnolfini» n'a pas toujours porté ce titre. On ne sait rien de son exécution. Il apparaît en 1516, ce qui semble déjà remarquablement précoce, chez Don Diego de Guevara, qui l'offre à Marguerite d'Autriche, régente des Pays-Bas. Il passe ensuite à Marie de Hongrie, la sœur de Charles-Quint, qui s'occupe des mêmes provinces. Elle le ramène en Espagne où il pend encore au début du XIXe siècle au Palacio Nuevo, qu'occupe Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon, promu roi à la force des baïonnettes. Après, on ne sait pas. Joseph quitte le pays avec nombre de tableaux, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui à Aspley House, la maison des ducs de Wellington en plein Londres. Le colonel William Hay aurait retrouvé celui-ci en 1815 dans une maison belge...
L’œuvre a toujours passé pour mystérieuse, à la manière d'un rébus. Marie de Hongrie l'avait fait fermer par des volets cadenassés, signe de secret à cacher. Dès 1516, le personnage masculin est nommé Hernoul-le-Fin. Par assonance, le historiens en ont fait Arnolfini. Il s'agirait d'un membre (mais lequel, au fait, vraiment Giovanni?) d'une des ces nombreuses familles italiennes faisant du commerce à Bruges, dans le port de laquelle entre vers 1430 jusqu'à 100 bateaux par jour. Les Florentins ou les Lucquois passent quantité de commandes à Van der Weyden, Hugo van der Goes ou Memling.
Le petit chien sans reflet
Le tableau montre un couple bourgeois et prospère. L'homme et la femme ne se regardent pas. Lui tient une main en l'air, dans l'attitude du serment. Elle lui tient la main. Il y a devant eux un ravissant petit chien dont le reflet ne se retrouve pas sur le miroir placé au fond du décor de chambre. Postel va donc se lancer, à la suite de Margaret L. Koster (2003) dans une histoire de mort. La femme en vert est décédée. Elle est un instant sortie du Purgatoire. Sa main brûle celle de son veuf. L'auteur s'appuie là sur des textes médiévaux mêlant théologie et histoires de revenants. La dame n'est donc pas enceinte. Il s'agit d'une mode des débits du XVe siècle, que l'on retrouver dans le costume féminin national coréen, le hanbok.
Le couple a pourtant eu un enfant. Mort-né, sans doute. Le prouverait une troisième bougie du splendide lustre de cuire. Allumée, la première incarne l'homme. Elle se trouve du reste dans la partie gauche du tableau, le lieu de vie. Eteinte et à droite, la seconde désignerait l'état du spectre. Mais il y a un moignon de cire sur une troisième bobèche. La femme sans identité (on a parlé de Giovanna Cenami) a-t-elle été remplacée? Oui pour Postel. Il y a au fond du tableau des pantoufles, signes d'une félicité nouvelle. «Elles préexistent à l'apparition et elles persisteront après elles.» Ce sont donc celles de la remplaçante, à moins que l'époux fidèle n'ait laissé la chambre, meublée avec un luxe extrême, en l'état après la mort de son épouse. En couches, sans doute.
Un jeu de construction
Je ne vous donne là que quelques-unes des innombrables suppositions que l'auteur aligne en tenant compte des mentalités de la fin du Moyen Age. Il s'agit d'un jeu de construction. Tout demeure improuvable. Il existe même le risque que l'hypothèse de départ soit fausse. Passionnant, le jeu n'est pas nouveau en soi. Certaines œuvres attirent le commentaire, au danger de la sur-interprétation. Notons que beaucoup d'entre elle sont flamandes et remontent aux années 1500. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque «Jérôme Bosch et la fable populaire» de Jacques Darriulat (Lagune, 1995), un auteur qui semble avoir disparu. Il y ramenait «L'escamoteur» à une légende médiévale mettant en scène l'empereur romain Néron. J'ignore quelle est aujourd'hui la version officielle du sujet d'un petit tableau de Bosch en apparence très anodin. On dit et on écrit tant de choses...
(1) Les Anglais, plus aventureux, parlent cependant de "The Arnolfini Weddding".
Texte d'Etienne Dumont.
«L'affaire Arnolfini», de Jean-Philippe Postel préface de Daniel Pennac, aux Editions Actes Sud, 159 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livreles-epoux-arnolfini-de-van-eyck-disseques-jean-philippe-postel
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lonesomemao · 6 months
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Au Museum d'Histoire Naturelle
Attention
Avec le Haut-Karabakh
Pas une seule image
De militaires azéris
L'info n'est donc pas com il faut
Mais il est vrai
Il faut défendre la démocratie en Arménie
UE le PPE au féminin va mal
Trop au Centrum catho
Art gothique Allemand
Retour de l'ordre moral
Paritaire Dieu et Marie échec fatal
Et Madame Ursula Von der Leyen
Colonie Pénitentiaire
En son sein courageusement
Elle légifère
Mai attention elle gère
Un racisme d'enfer
Où il y a Wagner et Gerhard Schröder
Dimanche 1er octobre 2023
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memoriae-lectoris · 8 months
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“Les citoyennes de Strasbourg sont invitées à quitter les modes allemandes, puisque leurs coeurs sont français.”
Cette proclamation du 25 brumaire an II (15 novembre 1793) est signée des deux représentants du peuple à l’armée du Rhin, Saint-Just et Le Bas. Elle s’inscrit dans un ensemble de mesures visant à mettre en réquisition manteaux, chaussures et métaux précieux pour vêtir les armées républicaines. Elle souligne aussi l’embarras des élites face à la diversité costumière française, diversité que refusait leur sensibilité esthétique et leur aspirations politiques à l’unité. En Alsace néanmoins, leur xénophobies anti-allemande leur permet de rendre compte sans embarras de particularismes, qui ne sont pas seulement vestimentaires mais aussi linguistiques, et cela sans toucher au dogme d’un modèle unique et nécessaire de développement culturel pour toutes les provinces françaises.
Jean-Louis Fesquet en l’an VII affirme en effet que “ce pays tient beaucoup à la langue, aux moeurs, préjugés, superstitions et usages allemands. Par les costumes divers et antiques, on peut distinguer les habitants d’un tel ou tel village ; ils les ont presque tous conservés depuis plus de 600 ans, quoiqu’il y ait plus d’un siècle qu’ils sont soumis à la France”. L’étrangeté d’une coutume et plus généralement à l’inconnu, sont au XVIIIe siècle toujours assimilés à des archaïsmes, survivances des temps gothiques et pour cela prétendument aisés à extirper.
Plus précis dans ses description, le savant Antoine Camus insiste sur une des particularités du costume féminin strasbourgeois : ce n’est pas encore le grand noeud (il est réduit sur le devant des coiffes d’artisanes à une minuscule coque de rubans), mais le ” Schnepper*”, coiffe précieuse à trois pointes, recouverte de brocart doré et argenté et rebrodés de fils d’or et de paillettes. Comme pour les Cauchoises de Normandie à la même époque, ce coûteux couvre-chef n’est en fait que l’apanage que des femmes mariées et fortunées. “Le costume des hommes de Strasbourg n’est pas différence en général, de celui de l’intérieur de la France. Quant aux femmes, celles du commun portent le gros corset à baleine, une cravate noire dont le noeud et les pendants sont sur le derrière du cou, bonnet ou toque, soit en or, soit en argent ; une cocarde en rubans au-dessus du front. On peut juger de la multitude et de la valeur de ces toques, par un inventaire de celles qui furent offertes à la Société Populaire de Strasbourg au commencement de la Convention : 1 061 toques en or, estimées 10 540 F ; 424 toques en argent, estimées 2 544 F. Les femmes au-dessus du commun font coupeur leur robes et disposer leur coiffure d’après les descriptions du Journal de Paris : cependant, elles ne sont pas mises à la parisienne.” Le provincialisme est déjà en France une tare.
Il est intéressant de constater que , moins imbus de la supériorité des modes parisiennes, moins exclusivement obnubilés aussi par les modes féminines, les voyageurs étrangers ont été surpris par d’autres éléments de parures locales : le Russe Karamzine n’a vu des Alsaciennes que leur chevelure : “La parure que les femmes portent sur la tête est tout-à-fait étrange. Après les avoir peignés et pommadés, elles assemblent leurs cheveux de devant et derrière sur le milieu de leur tête et attachent au sommet une petite couronne. Rien ne saurait être plus laid que cette parure.” Quant à l’Allemand Storch, il a été surtout sensibles aux odeurs ; il l’a été aussi à la couleur des bas d’une foule, à ses yeux hautaine et riche : “J’ai dû à plusieurs reprises fermer ma fenêtre, parce que les parfums odoriférants, surtout les jours de soleil et de fête, mettaient mon nez à contribution. Les vieillards à cheveux gris portent des habits à la mode et des bas verts, rouges ou couleur d’acier. “
En mai 1789, le Bourguignon Marlin circule, pour ses affaires entre Clermont-Ferrand et Rouen via Saverne, Sedan et Arras. La germanité des modes, des usages et de la langue attire son attention et il se plaît à décrire, malgré la “laideur” de leur toques, la sveltesse, la fraîcheur et la propreté des paysannes des environs de Comlar. Il est frappant de constater que fort prolixe lui aussi sur les coiffures féminines, il n’évoque les tenues masculines que comme preuve de l’aisance de la paysannerie alsacienne : aucune des villageoises “n’a cet air misérable que les femmes de leur condition ont en d’autres provinces. Nos villageois sont presque tous bien vêtus, ; ils portent pour l’ordinaire, un petit gilet rouge sans manches ; les boutons de cuivre ou de métal blanc, sont petits et ronds, ou allongés en poires, et ils en mettent un double rang, moins par utilité que pour une forme plus gracieuse(…). Les villageois vers Solgues sont la plupart vêtus de toile ou d’une mauvaise étoffe de laine, et ont un air souffrance, il y a de pires contrées dans le royaume, et des paysans plus dénudés, mais nous sortons d’Alsace.”
Pellegrin, Nicoles. Les vêtements de la liberté.
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clemjolichose · 9 months
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AURA - ACTE I, Scène 5
Fandom : Vilebrequin
Pairing : Pierre Chabrier x OC féminin, Sylvain Levy x OC féminin, Gaytipla (Pierre Chabrier x Sylvain Levy)
Nombre de mots : 1 048 mots
Avertissement : Propos validistes
Résumé : Couleurs et émotions. D’un côté, la fierté. De l’autre, la honte. Comment avancer avec les pieds cloués au sol ? Comment communiquer quand le corps est lui-même restreint ?
Les réponses ne sont pas innées. Il faudra les chercher, partir à l’aventure dans un monde inconnu, quitte à découvrir plus qu’on ne le voudrait…
Note d’auteurice : Vous pouvez également lire cette pièce de théâtre sur Wattpad et AO3 ! <3
Partie : ACTE I, Scène 5
Personnages & Sommaire | ACTE I, Scène 1 | ACTE I, Scène 2 | ACTE I, Scène 3 | ACTE I, Scène 4 | x | ACTE I, Scène 6
Pierre entre dans le bureau où Lou se trouve déjà, en train de peindre, sur la deuxième moitié de la scène. Lou peint deux corps androgynes enlacés, sans que les visages ne soient encore reconnaissables. Son compagnon lui apporte un thé, qu’il pose sur la desserte à côté d’elle. Il l’enlace et l’embrasse brièvement.
PIERRE. Tu peins quoi ?
LOU. Ce qui me vient. Pour l’instant, je ne sais pas encore ce que c’est. On dirait un couple, tu trouves pas ?
PIERRE. Tu nous peins nous ?
LOU. Je te dis, j’en sais rien.
Elle se remet à peindre, alors Pierre trouve un coin pour s’y installer et l’observer, en silence. Il sourit, heureux de la voir s’épanouir dans son art.
LOU. Je pense que c’est Lou et Tristan. L’amour impossible, qu’on passe des années à s’imaginer sans jamais pouvoir le toucher – ou, quand c’est le cas, tout tombe à l’eau. Un amour de merde parce que le mec fait n’importe quoi et joue avec les sentiments de la pauvre Lou sans le savoir, et elle est trop naïve et plonge quand même dans la gueule de… euh, du loup. Jeu de mot involontaire.
PIERRE, grimaçant au fur et à mesure. C’est un message ? Tu parles encore de la BD ?
LOU. Oui, relax chéri, évidemment que je parle de la BD. Et après il y a eu Paul. Et Marie-Emilie. Rien ne marche, elle va de relation en relation sans trouver son bonheur. A titre personnel, je trouve qu’elle est plus heureuse avec Marie-Emilie, mais ça c’est parce que j’adore toujours un bon couple lesbien. Une hippie, une gothique, c’est parfait !
PIERRE. Tu sais que je ne vois absolument pas de qui tu parles ?
LOU. Oui, je sais. Ça m’aide à réfléchir, alors tais-toi et écoute. Ça peut être la mère de Lou, aussi. Elle est malheureuse en amour comme sa fille, avec la malédiction supplémentaire de se faire larguer chaque fois qu’elle tombe enceinte. Pour Lou comme pour Fulgor.
PIERRE. Fulgor ? C’est quoi ce nom ?
LOU. Tais-toi j’ai dit ! C’est le petit-frère de Lou. Mais c’est pas important. Enfin si, parce que c’est la cause de la fuite de Richard, mais c’est pas le personnage le plus important. En revanche, Marie-Emilie est super importante, mine de rien. Presque plus que Mina, la meilleure amie de Lou dès le début. Marie-Emilie se fait embrasser par Tristan pour rendre Lou jalouse, mais elle finit par s’en rendre compte. Et après elle se fait embrasser par une majorette. Elle est trop belle en même temps, je comprends. Marie-Emilie, hein, par la majorette. Enfin, la majorette est belle aussi, mais elle apparaît moins souvent. Je crois que j’avais envie d’être à sa place. Merde, j’en ai toujours envie. Marie-Emilie, c’est un crush d’enfance. Comme toi et… et qui déjà ?
PIERRE. L’acteur américain ? Page. Elliot, maintenant.
Elle lui lance un regard appuyé avec un sourire, qu’il ne comprend pas.
LOU. C’est ça. Et il est canadien. T’es toujours en crush ?
PIERRE. C’est un mec.
LOU. Je sais. T’es toujours en crush ?
Silence. Pierre détourne le regard et croise les bras, mal à l’aise.
LOU. J’ai compris. On parle pas de ta fascination pour, hum, certains mecs. Mais tu sais bébé, je suis moi-même bi, je t’en voudrais pas si t’étais pas hétéro.
Elle se remet à peindre. Pierre, lui, fouille ses poches et son environnement.
PIERRE. J’ai mis où mon téléphone ?
Il quitte la pièce. Lou le regarde faire puis revient à sa peinture.
Quand il revient, quelques secondes plus tard, son téléphone en main, Lou pose son pinceau dans une des deux tasses posées sur la desserte.
PIERRE. Sylvain m’a appelé.
LOU. Ah ? Il t’a envoyé un message pour te dire pourquoi ?
PIERRE. Il a laissé un message…
LOU, avec une grimace. Merde, il déteste en laisser, d’habitude. Écoute vite.
Pierre acquiesce, il tapote rapidement sur son téléphone, concentré. Lou attrape la tasse sans pinceau, la porte à ses lèvres… et recrache tout. Surpris, son petit ami relève la tête et rit, moqueur.
PIERRE. J’irais te refaire un thé, je crois.
LOU. La ferme. Putain, à chaque fois…
Elle se met à nettoyer le sol et à ordonner son espace de travail pendant que Pierre écoute le message, tout à fait concentré dessus. On voit au fil des secondes son visage se fermer, affichant une expression peinée et inquiète. Il l’écoute entièrement et reste figé un instant à regarder son téléphone une fois fini.
LOU. Alors ?
PIERRE. Charlotte l’a quitté. Il va pas bien du tout, il—merde, faut que je me dépêche. Faut que j’y aille, je vais te faire ton thé rapidement et—ou bien tu veux venir ?
LOU. C’est à toi d’y aller, Pierre. T’en fais pas pour mon thé, je suis une grande fille, je peux me le faire seule.
Pierre la regarde un instant puis, sûr de lui, il quitte la pièce. Lou commence à remballer son matériel, mais il revient pour l’embrasser. Elle s’éloigne.
LOU. Va le retrouver. C’est avec lui que tu veux être ce soir.
PIERRE, confus. Ça veut dire quoi ?
LOU, avec un sourire. Que je te connais, Pierre. Allez, arrête de parler, il a besoin de toi.
Il embrasse sa joue et repart.
LOU, avant qu’il ne quitte la pièce. Et n’hésite pas à l’inviter à la maison !
Il quitte la pièce. Lou finit de ranger et quitte la pièce à son tour, laissant Sylvain seul de son côté de la scène, où il essayait de survivre à sa crise.
Il bouge peu, ou sinon des mouvements répétitifs qui le rendent honteux. Des mouvements d’enfants en plein caprice. Ce n’est pas le cas, mais il ne le sait pas. Il pleure encore, par intermittence. Alors, quand c’est le cas, la lumière augmente. Elle devient vive et le reste quand la porte s’ouvre, l’effrayant.
C’est Pierre. Il entre, les yeux fixés sur son meilleur ami, et s’assoit au sol, à un mètre de lui, sans oser parler. Il n’en a pas besoin et il le sait, au moins. Il attend que Sylvain vienne à lui.
Il prend son temps, mais peu à peu, Sylvain rampe jusqu’à lui et se blottit dans ses bras. Pierre le serre fort contre lui, si fort qu’il a l’impression de le briser. Il continue. Il est en train de le réparer, ne serait-ce que pour ce soir, cette nuit, qu’il passera avec lui… La lumière baisse doucement, paisible, jusqu’à s’éteindre sur leur embrassade.
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honeybeeshepherd · 1 month
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mytherbalegwladys · 2 years
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Nom, Prénom: Tara Suzuki Identité secrète: Okami Age: 18 ans Sexe: féminin Yeux: orange Habitat: Manhattan (États-Unis) Lieu de naissance: Tokyo (Japon) Équipe: les Blade Moonstorm, la Justice des Ténèbres, les Titans East Ses alliés: les Blade Moonstorm (son équipe), les Core Blazing et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, les yakuzas, Dame Chie et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #4 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Andrea Libman & VF - Karine Foviau Thème principal: https://www.youtube.com/watch?v=wHv4J23Ui8g Capacités: Okami se défend avec ses griffes du loup (Tsume), elle peut utilise les ténèbres comme piège, elle maîtrise les techniques du Okuchi-no-Makami, et elle est capable de se transformer en loup à trois queue. Sa passion: Les styles gothiques, les sushis, la musique de rock et son peuple. Histoire: Tara Suzuki alias Okami est une descendante des loups japonais et réincarnation de la bête sacrée, Okuchi-no-Makami. Elle est calme, sombre et parfois colérique.Il y a 1000 ans, Tara Suzuki et son peuple vivaient paisiblement dans la nature sauvage au Japon. Mais à l'adolescence, elle a été trahi par les humains qu'elle avait juré de les protéger, puis un sortilège a emprisonné elle et la moitié de son peuple dans un cristal. Des années plus tard au temps moderne, Tara et ses congénères sont libérés de la malédiction par les yakuzas. Devenue méfiante, elle vole un masque d'Okuchi-no-Makami et s'enfuit du Japon avec ses congénères vers les États-Unis pour se cacher. Là-bas, Tara rencontre Ken Fujiwara, Yasuo Kaneko et Daichi Endo qui sont des demi-démons comme elle. En mettant le masque, elle réveille ses capacités d'okami et se met à tuer des criminels. En formant une équipe nommé "Blade Moonstorm", elle devient la rivale de Daji et les Aero Firetail.
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Nom, Prénom: Ken Fujiwara Identité secrète: Qirin Age: 18 Sexe: masculin Yeux: turquoise Habitat: Manhattan (États-Unis) Lieu de naissance: Nara (Japon) Équipe: les Blade Moonstorm, la Justice des Ténèbres, les Titans East Ses alliés: les Blade Moonstorm (son équipe), les Core Blazing et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, les yakuzas, Dame Chie et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #4 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Crispin Freeman & VF - Laurent Vernin Capacités: Qirin est des capacités du cheval draconique qui lui permet de courir très vite et de lancer des éclairs. Il est aussi capable d'électrocuter ses adversaires. Sa passion: Le sport, l'art martial, la méditation et l'or. Histoire: Ken Fujiwara alias Qirin est né de l'union entre une humaine et un qirin. Il est sage, calme et un peu sinistre.Souhaitant rencontre sa mère américaine, Ken quitte le Japon pour aller au États-Unis. Arrivé à Manhattan, il rencontre Tara Suzuki, Yasuo Kaneko et Daichi Endo. Ayant appris les techniques d'art martiaux et les pouvoirs du qirin, Ken rejoint les Blade Moonstorm pour égaler les Aero Firetail.
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Nom, Prénom: Yasuo Kaneko Identité secrète: Tora Age: 19 Sexe: masculin Yeux: noir Habitat: Manhattan (États-Unis) Lieu de naissance: Himeji (Japon) Équipe: les Blade Moonstorm, la Justice des Ténèbres, les Titans East Ses alliés: les Blade Moonstorm (son équipe), les Core Blazing et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, les yakuzas, Dame Chie et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #4 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Greg Ellis & VF - Yann Pichon Capacités: Tora possède des pouvoirs du mythique Tigre Blanc: vitesse, force herculéenne et griffes d'acier. Et il est capable de contrôler le magnétisme. Sa passion: Le sport et les chats. Histoire: Yasuo Kaneko alias Tora est un fière descendant du Tigre Blanc, puisque son père est membre de son clan japonais et sa mère est américaine. Il est doux et parfois colérique.Yasuo a grandi dans le clan Tora, mais il se demande pourquoi sa mère l'avait abandonné à sa naissance. Il quitte son clan avec son masque et son pays pour partir à la cherche de sa mère en Amérique, malheureusement, cette dernière a été assassinée par les yakuzas. En rejoignant les Blade Moonstorm, Yasuo jure de punir le responsable et devient Tora en honneur de son clan.
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Nom, Prénom: Daichi Endo Identité secrète: Chulyen Age: 17 Sexe: masculin Yeux: doré Habitat: Manhattan (États-Unis) Lieu de naissance: Nagano (Japon) Équipe: les Blade Moonstorm, la Justice des Ténèbres, les Titans East Ses alliés: les Blade Moonstorm (son équipe), les Core Blazing et les anti-héros. Ses rivaux: les Aero Firetail et les Wave Blossom. Ses ennemis: Général Akuma, les yakuzas, Dame Chie et les super vilains. Univers: DC Comics Premier apparition: Aero Firetail #4 Apparition Movies & TV: La Ligue des Justiciers: Nouvelle Génération, The Flash (Série TV 2014) Apparition dans les jeux vidéos: Aero Firetail Voix: VO - Matthew Mercer & VF - Fred Colas Capacités: Chulyen possède des techniques comme les tengus comme la capacité de voler et de trancher avec ses serres. Et il peut contrôler les ombres. Sa passion: Le rock et le tir à l'arc. Histoire: Daichi Endo alias Chulyen est le fils d'un grand chef des tengus. Il est têtu, sinistre et sauvage.Né de l'union entre une humaine et un tengu, Daichi s'est entrainé dur pour être fort et puissant et obtient un masque de tengu. Mais comme ce n'est pas suffisant, il part en Amérique pour faire des études à Manhattan, où il va rejoindre les Blade Moonstorm, prenant sous le nom de Chulyen.
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L’EPAULE
L’ÉPAULE Socle d’orientation qui mène chaque sein à la bouche,sorte de gargouille gothique de la cathédrale féminine je laisse ma barbe s’y poncer Il a plu durant la nuit du gouvernail de l’une pour accoster dans l’estuaire Le roulis horizontal se dresse sur ses jambes et tu m’empoignes hissée sur ta quille à pleine bouche. Niala-Loisobleu – 2 Septembre 2022 Je
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omagazineparis · 3 months
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Brentiny propose une sélection de robes satinées pas chères pour femmes
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Dans le monde de la mode, les robes satinées occupent une place de choix pour leur élégance intemporelle et leur capacité à mettre en valeur la silhouette féminine. La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny se distingue par sa qualité, son style et sa diversité, offrant ainsi une réponse adaptée aux besoins et aux envies de chaque femme. Cet article explore en profondeur pourquoi la collection de Brentiny mérite toute votre attention. Une variété de styles pour toutes les occasions La première raison de se tourner vers Brentiny pour trouver la robe satinée parfaite réside dans la variété exceptionnelle de styles proposés. Que vous recherchiez une robe pour une soirée élégante, un événement formel, ou simplement pour ajouter une touche de sophistication à votre garde-robe quotidienne, Brentiny offre un éventail de choix qui répond à tous les goûts. Des coupes classiques aux designs modernes, chaque robe est conçue pour valoriser la beauté naturelle de celle qui la porte. Qualité et accessibilité : une combinaison gagnante L'un des atouts majeurs de la sélection de Brentiny est la qualité irréprochable de ses robes, alliée à des prix accessibles. Conscients que le budget est un critère important pour de nombreuses consommatrices, Brentiny s'engage à offrir des robes satinées de haute qualité à des prix compétitifs. Cela signifie que vous n'avez pas à sacrifier la qualité pour le prix, permettant ainsi à chaque femme de s'offrir le luxe d'une robe satinée sans se ruiner. Des tissus satinés haut de gamme pour un confort absolu Le choix du tissu est essentiel dans la conception d'une robe, et Brentiny l'a bien compris. Les robes satinées de la marque sont fabriquées avec des tissus de haute qualité, choisis pour leur douceur, leur brillance et leur capacité à flatter la silhouette. Le satin, connu pour son toucher soyeux et son aspect lustré, confère aux robes une allure sophistiquée et un confort inégalé. Que ce soit pour une longue journée de travail ou une soirée dansante, vous vous sentirez à l'aise et élégante dans une robe satinée de Brentiny. Une mode responsable et durable Dans un contexte où la mode éthique et durable gagne en importance, Brentiny se positionne comme un acteur responsable. La marque s'engage dans une production respectueuse de l'environnement et des conditions de travail, en choisissant des fournisseurs qui partagent ses valeurs. En optant pour une robe satinée de Brentiny, vous faites donc un choix éclairé, soutenant une mode qui respecte à la fois les individus et la planète. Des conseils stylés pour sublimer chaque silhouette Brentiny ne se contente pas de vendre des robes ; la marque accompagne également ses clientes dans leur choix grâce à des conseils stylés personnalisés. Que vous ayez une silhouette en A, en H ou en O, vous trouverez sur le site de Brentiny des recommandations pour choisir la robe qui mettra le mieux en valeur votre forme. Cette approche personnalisée garantit que chaque femme peut trouver la robe satinée qui lui convient parfaitement, en fonction de son style personnel et de sa morphologie. A voir : Introduction au style gothique dans la mode féminine Une expérience d'achat en ligne optimale L'expérience d'achat sur le site de Brentiny est conçue pour être aussi agréable et efficace que possible. Avec une interface utilisateur intuitive, des filtres de recherche précis et des descriptions détaillées des produits, trouver la robe satinée idéale devient un véritable plaisir. De plus, la politique de retour flexible de Brentiny assure une satisfaction totale pour chaque cliente, renforçant ainsi la confiance dans la marque. Un choix évident pour les amatrices de mode La sélection de robes satinées pour femmes pas chères de Brentiny représente un choix incontournable pour toutes celles qui cherchent à combiner élégance, qualité et accessibilité. Avec une variété de styles, une attention particulière portée à la qualité des tissus, un engagement envers une mode responsable et des conseils personnalisés, Brentiny se démarque comme la destination parfaite pour trouver votre prochaine robe satinée. Ne manquez pas l'opportunité de découvrir cette collection exceptionnelle et de faire de Brentiny votre allié de choix dans la quête de l'élégance et du style. Read the full article
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mysteriis-moon666 · 1 year
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AARA – Triade II Hemera
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"Triade II: Hemera" est le 4e album des petits Suisses d’Aara, et deuxième chapitre de leur trilogie Faustienne.
Ce duo de Black Metal atmosphérique fondé en 2018 par Berg (Guitare / Basse / Batterie) et Fluss (Chant) a basé son triptyque sur le roman gothique de 1820 "Melmoth the Wanderer" de Charles Robert Maturin, en résonnance avec le mythe de Faust. J’y vois aussi la trilogie cinématographique de Georges Méliès « La Damnation de Faust » de 1898, « Faust aux enfers » de 1903, et enfin en 1904 « Damnation du docteur Faust ». Le duo est dissimulé sous un masque de carnaval vénitien,  c’est le boris brejcha du black metOl.
La musique suit la résultante de sa double nature contradictoire infiniment vile et basse et contrastée par sa pureté absolue dans un mélange grandiose de glace vertigineuse, et de brasier épique et exalté. Les hurlements sont des entrailles tordues, se situant entre les dernières limites de la vie humaine et les frontières de la vie supérieure, dans cette lumière où ‘’Lucifer latent est installé dans tout cœur humain’’
Le compositeur/guitariste Berg associée à la sauvagerie vocale sublimée de Fluss – entremêle des chœurs chrétiens, le shofar juif et des échantillons vocaux indiens traditionnels dans cet opus, créant un liant spirituel.
L’opus est un velours noir vertigineux, avec des moments de refuge et de cauchemars, tous tournés vers l’antre où git fantasmes et de voyages obscurs.
L’errance sombre et les visions hypnotiques s’accouplent à des mélodies voluptueuses et agressives. Pour cela le duo Helvète expérimente les hallucinations d'un esprit perdu dans la nuit, de manière vive, poétique et sombre.
Aara fait tout le temps apparaitre une lumière dans son obscurité rugissante, dans une tournure sonique de cet éternel féminin qui nous élève.
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