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#le grand tour
overwhelmedandlonely · 2 months
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you all would’ve loved the rendition i saw yesterday.
gavroche and grantaire spent the whole show goofing around.
when eponine fell gavroche tried to run to her side but grantaire stopped him. he held him as she died and once she passed gavroche turned and buried his face in grantaire’s clothes.
after drink with me enjolras tried to comfort grantaire but he pushed him away. instead it was gavroche, who went to his side and pulled him away from the wall. gavroche eventually fell asleep with his head on grantaire’s shoulder.
when gavroche was shot at the top of the barricade, enjolras was holding the front of his shirt. he caught the boys body in his arms as he fell then slowly turned around and handed him off to grantaire. as the fighting raged on, grantaire stood center stage, holding the boy, staring at him. he eventually made his way off to the side where he collapsed to his knees and just held him, shaking his head, shaking gavroche, then just staring at his face.
cannon fire dropped enjolras to the ground and grantaire crawled to his side, begging him to stay. enjolras shoved him to the ground and climbed back up, grabbing a flag. as bullets made enjolras fall once more, grantaire kissed gavroche on the head, grabbed a bottle, and climbed to the top of the barricade. it looked like he tried to grab the flag but didn’t make it. he was the last to die.
these actors were incredible. i spent every scene he was in watching grantaire on the sidelines, either goofing off with gavroche or staring at enjolras. i was delighted at how they embodied these characters and the clear love grantaire had for enjolras. even from the back of the balcony, it was clear where grantaire was staring.
it was my first time seeing the show in person and i hope i have many more opportunities. but i don’t know if anyone will beat them. devin archer and kyle adams were the perfect e/r.
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indochineofficiel · 2 months
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youtube
Le clip de la semaine : Le Grand Secret, ft. Melissa Auf der Maur, Live 3.6.3
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marcelskittels · 10 months
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transistoradio · 1 year
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Four paintings, oil on canvas, by Mike Worrall (b. 1942): 1) Le Grand Tour La Mer (2001), 2) A Period Drama (2010), 3) Incident on Platform 6 (2003), and 4) The Carnivorous Forest (2014-15).
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lilias42 · 11 months
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On se remet au dessin en faisant la tête de Pyrkaïa !
Bon ! Je m'étais dis que j'essayerais de me remettre au dessin alors, j'ai dessiné Pyrkaïa, l'ancêtre de Catherine, dite la Flamme Passionnée et Brave liée au feu ! Son inspiration est surtout à trouver dans la période grecque et la cité de Sparte / Lacédémone.
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Bon, déjà, Pyrkaïa est très musclée ! C'est une sorcière qui s'entraine tous les jours à manier le feu et la chaleur, ainsi qu'une forgeronne qui manie le marteau toute la journée dans des ateliers où il fait très chaud (mais c'est pas elle qui va être gêner par la température) et qui sait se battre pour mener une bataille à elle toute seule à mains nues alors, elle a du muscle Déesse !
En plus, elle est vraiment très grande. Catherine est déjà la plus grande femme jouable du jeu avec son 1m75 mais, elle est limite petite à côté de Pyrkaïa qui fait tout de même 1m90 (ma fanon des Charon, c'est que toutes les femmes de la famille soit très grande, même si c'est souvent moins le cas chez les hommes). Elle est aussi grande qu'Hanneman, Raphaël ou Lambert et dépasse même beaucoup de ses contemporains, ce qui l'aide à obliger les hommes à l'écouter, vu que de toute façon, elle est plus grande et plus forte qu'eux donc, on ne peut pas la faire taire par la force.
Et voici comment elle aime s'habiller quand on ne lui dit rien et qu'on ne lui casse pas les pieds. Sa tenue est composé d'un chiton arrivant à ses genoux qui la laisse libre de ses mouvements, avec très peu d'accessoires ou de fibule pour le tenir mais là, la raison est assez simple : c'est que quand elle utilise ses pouvoirs et sa sorcellerie, elle s'enflamme et la température de son corps augmente beaucoup alors, elle fait fondre à peu près n'importe quoi. C'est aussi la raison pour laquelle, elle se bat toujours à mains nues, elle fait fondre ses armes alors, elle trouve que c'est du métal gâché. Elle préfère donc coudre certains pans de ses vêtements (ça peut arriver avec les vêtements grecques, surtout sur la fin) ou les attacher avec des nœuds, plutôt que de les accrocher avec des fibules qu'elles feraient de toute façon fondre.
Au début, elle était obligée de se couper les cheveux afin de les tisser, pour se refaire des habits qui supportent la chaleur qu'elle dégage quand elle se bat (ou juste s'énerve quand elle était jeune et qu'elle maitrisait encore un peu mal ses pouvoirs, et même sur la fin de sa vie, son contact devient vraiment brûlant dès qu'elle se prépare au combat). L'étoffe qu'elle porte ici par contre est un cadeau de son mari, un nabatéen qui est arrivé à fabriquer avec l'aide du dragon des flammes (celui qui a l'emblème de Daphnel) un tissu qui supporte les températures extrêmes. C'est pour ça que le motif sur le bas de sa tunique est le même que celui que porte Sothis, Rhéa, Seteth et Byleth, c'est l'étoile céruléenne telle que la représente les nabatéens.
Cela lui a aussi permis de garder ces cheveux très longs comme tous les sorciers car à cette époque, ils pensaient que la magie était stocké dans le corps (ce qui est vrai à Fodlan) alors, plus on aurait les cheveux longs, plus on aurait de place pour la stocker. Elle met donc la grosse majorité de ses cheveux en chignon avec une partie qui retombe dans son dos.
Son chiton est un peu particulier car, l'étoffe est en fait plus longue qu'elle en a l'air, assez pour faire un péplos (la tunique féminine grecque pour faire vite) et dans ces cas-là, elle ressemble plus à ça :
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(en bas à droite, vous avez à peu près l'échelle de taille entre - de droite à gauche - Pyrkaïa, Catherine et Shamir [Pyrkaïa rencontre la femme de sa petite-fille en parlant épée ^^])
La jupe est alors bien plus longue et tombe jusqu'à ses pieds ou un peu plus haut étant donné que c'est tout de même une étoffe principalement drapée alors, c'est assez facile pour elle de l'ajuster. Dans le premier dessin, sa jupe est relevé très haute, d'où la sorte de volant / côté bouffant qui est accroché sur ses hanches avec une première ceinture, puis maintenu près du corps avec une seconde ceinture. C'est pour ça qu'elle en porte deux même en péplos, ça lui permet d'ajuster rapidement ses habits en cas de besoin. Le pan de tissu sur sa tête lui sert à se protéger du soleil d'Almyra, étant donné qu'elle est née là-bas avant qu'une partie de sa cité migre en Fodlan afin de trouver de meilleures terres pour nourrir tout le monde. Elle laisse toujours deux mèches de cheveux s'en échapper, simplement parce qu'elle aime bien et ça permet de montrer sa chevelure blonde assez rare en Almyra, tout comme ses yeux bleux qui vont bien avec son teint assez sombre (elle a la couleur de peau de Cyril, et ça passe pour ses cheveux blonds vu que c'est rare mais, on a tout de même des femmes blondes en Grèce, c'est juste plus rare)
Si elle n'est pas tout le temps en chiton, c'est moins parce qu'elle aime aussi porter un péplos que parce qu'elle veut être tranquille dans sa vie de tous les jours. C'est une périèque (soit des libres sans être citoyen) vivant dans l'équivalent de Lacédémone puis une de ses colonies une fois arrivé en Fodlan donc, ça aurait pu être pire, c'est pas une hilote (donc une esclave avec un statut assez particulier car, Sparte est assez particulière au milieu des cités grecques, j'y reviendrais dans son billet) mais son principal problème qui va la suivre toute son existence longue d'environ 800 ans, c'est que c'est une femme dans une cité grecque. Elle n'a donc pas de statut autre que celui de mineur soumise à son père, puis à son mari (et à la cité si vraiment elle a plus personne). Bon, vu le caractère très volontaire, déterminé et fort qu'elle a - elle ne s'est pas tournée vers la maitrise du feu pour rien), c'est pas elle qui va faire la femme parfaite qui reste gentiment dans le gynécée à s'occuper de l'économie domestique et de la famille (surtout que n'étant pas fille de citoyen, elle n'a pas accès à l'éducation qu'on réserve aux femmes spartiates qui est très musclée pour qu'elles fassent des citoyens forts, même si étant fille d'artisan, son père tenant à elle et qu'il a vite remarqué que sa fille ira loin, elle a eu une bonne éducation, rien que pour avoir un bon mariage) elle va vite envoyer ça sur les roses, même si ça va être un combat permanent afin qu'on la respecte. Elle continue à porter un péplos dans la vie de tous les jours afin de ne pas devoir se justifier à chaque coin de rue. Etant donné que cela ne la gêne pas et que ses vêtements restent solides et mis de manière pratique, ça ne la gêne pas, même si elle a dû se battre pour avoir le droit de porter sa tunique comme les hommes.
Pour ses fiertés, il s'agit de vaisseaux qui traversent tout son corps mais, ça fait comme si elle était craquelé, un peu comme j'ai essayé de le dessiner en haut à droite du deuxième dessin. ça fait vraiment une peau assez épaisse et dure (limite pierreuse à l'aspect) qui est séparé par des veines assez sombre quand elle n'utilise pas sa magie mais, qui se mettent à briller et surtout brûler quand elle commence à l'utiliser ou à s'énerver. ça la rend assez résistante à des coups d'épée vu que sa peau est solide et que de toute façon, elle dégage une telle chaleur qu'elle va surement faire fondre la lame de métal ou réduire le bois en cendre dès qu'on l'attaque. Elle a aussi ses orbes où sa magie se concentre et qui sont également extrêmement chaud. C'est de là que partent ses flammes quand elle attaque ou se défend, ou alors quand elle entoure son corps de flammes pour impressionner son adversaire. Elle ne se voie pas très bien ici mais, son oeil gauche est très souvent enflammé en permanence, même si elle peut l'éteindre au besoin.
Son autre fierté la plus importante est son sang qui est très chaud en permanence et qui ressemble plus à de la lave à la fin de sa vie. Faites vous toucher par une seule goutte de son sang, et vous serez brûlé au dernier degré, si elle ne s'en sert pas pour vous enflammer au combat. Pyrkaïa le fait rarement mais, elle peut faire tomber quelques gouttes de ses blessures sur le sol, histoire de montrer de quoi son sang est capable et prévenir son adversaire que si elle s'énerve, il n'a aucune chance de s'en ressortir sans séquelles alors, il ferait mieux de s'enfuir. Elle peut être très dure et ne machera pas ses mots mais, elle préfère éviter devoir finir par tuer quelqu'un alors qu'elle aurait pu trouver d'autres solutions. Pendant sa longue vie, elle a vu que c'est souvent quelque chose qui empire la situation plutôt que l'améliorer alors, elle évite un maximum de devoir en arriver à tuer quelqu'un, surtout avec sa sorcellerie où si elle ne tue pas, laisse gravement brûlé et handicapé à vie donc, Pyrkaïa est très prudente avec son utilisation et se contente souvent de sa force et de son endurance surhumaine pour se battre.
En fait, elle est une personne qui détesterait Lonato de toute son âme et n'aurait aucun problème à le défoncer quand il attaque GM : il prend la décision pour tout le monde sans consulter son peuple, les emporte dans sa décision stupide et les fait tuer stupidement en faisant souffrir ceux qu'ils croisent car LUI était en colère. Elle le traiterait surement de connard irresponsable, surtout qu'étant grecque, elle hallucinerait de voir qu'une seule personne peut décider pour tout un peuple sans passer par le vote, qui n'est même pas élu et verrait cette situation comme une tyrannie bonne qu'à être renversée, surtout que les rois de Lacédémone sont extrêmement contrôlés et ont encadré par les lois de la cité et peuvent être puni s'ils se comporte mal, c'est qu'en expédition militaire qu'ils ont beaucoup de pouvoir (ils sont même deux issus de deux familles différentes à Sparte, comme ça, ils se tirent dans les pattes et c'est les éphores et la gérousia qui dirigent la cité en période de paix)... et Déesse, ce serait vraiment la galère autant pour Lonato que pour GM si elle atterrissait en plein milieu de la mission contre lui ! D'un côté, elle serait un excellent élément pour arrêter Lonato vu que comme côté GM, c'est surtout des mineurs et qu'elle sent que Catherine est de sa famille, elle irait se battre pour les protéger mais de l'autre, elle n'aurait aucun état d'âme à affronter des civils, vu que quand c'est la guerre dans le monde grec, c'est les citoyens qui vont défendre la cité selon l'idéal du citoyen-soldat et là, on prend tout le monde vu qu'il n'y a pas d'armée professionnelle (sauf plus ou moins à Sparte mais, là encore, c'est un cas à part) et techniquement, c'est pas un problème pour un grec d'attaquer quelqu'un qui s'enfuit du champ de bataille, c'est même à ce moment qu'on fait des dégâts (cf cette vidéo et allez voir cette chaine, elle est géniale sur l'histoire militaire), même si elle, elle les laisserait s'enfuir sans trop de souci s'il n'y a pas de risque qu'ils reviennent. Et il y aurait surement de belles incompréhensions entre une grecque qui connait le système de la cité avec une certaine forme de démocratie pour tous ses voisins, et des prises de décisions collégiales ou collectives (on vote la guerre à Athènes par exemple, c'est l'ensemble des citoyens qui disent si oui ou non, on fait / continue la guerre ou non), à des monarchies, ça passerait mal et elle aurait beaucoup de mal à comprendre pourquoi ils acceptent cela, même si elle reconnaitrait qu'il doit y avoir des avantages si les habitants de Fodlan ont adopté ce système plutôt qu'un autre.
Pour sa palette de couleur, c'est assez varié étant donné que les grecs adoraient les couleurs vives et que c'était un symbole de richesse d'avoir de belles couleurs. Elle est cependant issus d'un milieu relativement modeste, même si elle n'a pas trop de problème d'argent (elle a réussi à posséder sa propre forge d'où elle tire ses revenues) alors, Pyrkaïa aborde des couleurs relativement courantes et abordables. Pour les tissus que lui a offert son mari, je pense que c'est plus dans les tons de bordeaux avec des motifs blancs à la nabatéenne qui s'accorde avec ses cheveux blonds, ou des bleus qui vont bien avec sa peau sombre et font ressortir ses yeux et ses flammes qui sont devenus bleus tellement elles sont chaudes. Sinon, elles ressemblent énormément à Catherine pour ce qui est du visage et de son apparence générale.
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beardedmrbean · 2 years
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philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2013.Sortie scolaire à Paris. Les Invalides, et, après un coup d’œil à la Tour Eiffel, l’enfilade menant au Pont Alexandre III et aux Grand et Petit Palais.
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histoireettralala · 2 years
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Condé vs Mazarin: power and legitimacy.
By April 1649 Mazarin had survived the biggest challenge so far to his ministerial rule. A political revolt had briefly united popular unrest with the discontents of the bourgeoisie, the most senior judicial officers, and a large group of the court aristocracy. A combination of military threats and wide-ranging concessions had apparently calmed the situation; most significantly perhaps for Mazarin’s future calculations, it had demonstrated that his opponents would find it extremely difficult to militarize their opposition in any effective way. But relief was premature. For Mazarin’s new problem was that the military support he had drawn upon in early 1649 had cost him his previous near-monopoly over power and influence. Condé’s blockade of Paris had set him, as the defender of absolute royal authority —and thereby Mazarin’s ministry— directly against his own relatives and much of the great nobility. Hitherto idolized as the young military hero, he was now execrated by all those who had regarded the uprisings since August 1648 as a justified attempt to overthrow ministerial tyranny. Setting aside his personal ambitions, it was essential to his reputation that he should demonstrate as publicly and as vigorously as possible that he was no lackey of the first minister, and that his actions had been on behalf of the crown, not Mazarin.
Who then was Louis II de Bourbon-Condé, who was to become Mazarin’s nemesis for a decade from 1649? The duc d’Enghien, as he was titled until his father’s death in 1646, was no stranger to the realities of ministerial power. His father, Henri II, had rebuilt the material and political fortunes of the cadet branch of the Bourbon family on the basis of a close alliance with cardinal Richelieu after 1626. Henri de Condé provided Richelieu and his regime with the legitimizing support of a prince of the blood, and Condé in return benefited from a spectacular flow of political and territorial rewards. The benefits of the alliance were so great that he was ultimately cajoled into marrying his son, Louis II, to Richelieu’s niece, Claire-Clémence de Maillé-Brézé. The marriage, celebrated at the Palais Cardinal on 9 February 1641, was a spectacular mésalliance for the duc d’Enghien, wished upon him by his father’s ambitions. Enghien, who until 1638 had stood only three lives from the throne, shared with his father an authoritarian ideology of an absolute monarchy mediated only by the king’s ‘natural advisors’, the princes of the blood. But the association with Richelieu and his family brought him into a close, stakeholder’s connection with the ministerial regime. Through this channel would flow the financial opportunities, patronage, and influence that had been enjoyed by his father over and above what would have been his as a prince of the royal blood.
Enghien would have been an important figure in the politics of the 1640s, just as his father had been in the previous decade. But the decision in 1643 to grant him the overall command of the army operating on the north-eastern frontier was not just a reflection of his status and political connections, but a remarkable act of confidence in a young man of twenty-three with no previous experience of overall military command. Enghien was surrounded by experienced lieutenants —most notably Jean, comte de Gassion— yet much would still depend on his untested ability to demonstrate qualities of leadership and decision-making. The French army faced a Spanish invasion, poised to take the town of Rocroi, and previous encounters in the field with the veterans of the Spanish army of Flanders had not ended well for the French. Enghien and his lieutenants took the decision to engage the Spanish army in an all-or-nothing bid to try to save Rocroi. Around 7.30 am on 19 May 1643 Enghien led a cavalry charge from the right flank of the French army which shattered the Spanish horse opposing him and left the infantry centre of the Spanish army exposed to his well-executed flanking attack. The magnitude of the victory over the best troops in the Spanish monarchy was unprecedented. The young duc d’Enghien became a legend overnight, a status that he never lost in the eyes of contemporaries.
Enghien’s successive military achievements through the 1640s in different campaign theatres were not just about heroic, charismatic leadership and calculated risk-taking. There was real tactical skill, partly learnt and partly intuitive, in his military deployments, his assessment of the strengths and weaknesses of his own and enemy positions, and, above all, his ability to exploit surprise, shock, and speed to devastating advantage. Like his great contemporary, Henri de La Tour d’Auvergne, vicomte de Turenne, he recognized the fundamental importance of keeping his troops fed and equipped, and was free with his own resources to maintain supplies. Unlike Turenne, who had the well-regarded reputation of being thrifty with the lives of his own troops, Condé was unconcerned by heavy casualties in pursuit of his strategic objectives. Yet soldiers serving under his command recognized his remarkable talent for victory. On the eve of the battle of Bléneau in April 1652, one of Condé’s lieutenants wrote of the effect of the prince’s arrival, pulling the army together through the belief, above all among the common soldiers, that he was invincible.
The charisma of a young, brilliant general extended beyond the armies: in the 1640s contemporaries noted that he was regarded with both awe and considerable fear. Madame de Motteville wrote that, even after Mazarin had arrested him, ‘the reputation of M. le Prince imposed itself on everyone, and generated a curious veneration for his person, such that sightseers would go to visit the chamber where he had been imprisoned at Vincennes’. Numerous accounts confirmed that even powerful and well-established individuals found it difficult to stand up to Condé in any face-to-face confrontation, and his anger had an unpredictable character that few wished to test. The legend gained further weight from the fictional, centre-stage representation of Condé in Madeleine de Scudéry’s best-selling novel Le Grand Cyrus, published between 1649 and 1653.
The very particular danger Condé posed to Mazarin, or to any government which sought to control him, was the intractable nature of his own ambitions. His father had been manageable because he was rebuilding the Condé inheritance after its devastation in the sixteenth-century Wars of Religion, and was rehabilitating his own political reputation after rebellion and imprisonment. By the 1640s the Condé had become the wealthiest aristocratic family in France, and more territorial grants, positions, and financial rewards, though demanded, were no guarantee of further tractability. Moreover, a family strategy that aimed to consolidate the pre-eminence of the Condé-Bourbon over any other aristocratic family in France would lead Condé to target further desirable assets, especially lands and governorships, whose possession would challenge the hegemony of the crown in areas of the kingdom.
Yet at base the prince was more interested in power and influence at the centre of the state than in local power and quasi-monarchical status built up across the provinces. This desire for influence did not mean that he wished to take over government, to oust Mazarin or supplant the role of ministers in general. Indeed, the detailed, procedural business of government, the workings of the executive, would have been considered by Condé to be beneath his status, and appropriate to (interchangeable or dispensable) professionals of modest birth like Mazarin. What Condé wanted for himself was a decisive influence in the formulation of royal policy, the ability to oversee and, where necessary, shape decision-making without negotiation or compromise with other parties. During the regency he considered that this was his right by virtue of his blood, and by his acquired status as the military paladin of the young monarch. He would expect to maintain this privileged role of high-status advisor and intimate councillor after the king came of age, with the assumption that his voice would naturally outweigh others in royal decision-making. Despite the charges variously made against him by Mazarin and the court, all on the basis of notably scant evidence, Condé was far too deeply committed to the principle of divinely ordained absolute monarchy to wish to replace the king. Such an act of usurpation would radically challenge his own ideology, which linked his own status to a God-given hierarchy headed by the sovereign. Indeed, his hostility to both the Parisian frondeurs and to Mazarin was precisely because they sought to trespass upon what were the fundamental prerogatives of the monarchy.
In seeking to unravel Condé’s personality and his motivation, it is no less necessary to retrieve him from the condescension of posterity. Equipped with hindsight which sees the defeat of the Fronde as a triumph for ministerial government and its modernizing, state-building initiatives, Condé’s fate becomes a facile metaphor for the fate of the traditional ‘sword nobility’ as a whole. His reckless and inappropriate ambitions for political autonomy, personal glory, and immoderate reward were vanquished by the agent of state power, cardinal Mazarin. Defeated, forced into exile and into the service of Spain at the end of 1652, Condé was required to make a humiliating submission to Louis XIV in 1659 as the price of his ‘pardon’. After this he was reduced to an obedient vassal of the monarch. This supposedly parallels the traditional nobility as a whole, whose last irresponsible and doomed act of self-assertion was the Fronde. After this final defeat they were reduced to well-ordered servitude in the court and army of the Sun King, whose powerful, centralized state represented the triumph of bourgeois administrators, the heirs of Mazarin’s victory over the frondeurs. On this interpretation, Condé’s chief crime, if he is relieved of the charge of attempted usurpation, is setting up an ideal of autonomous political action and individual liberty in defiance of the ‘modern’ requirement for disciplined, collective obedience to the crown imposed by its faithful ministers. Indeed, even by the standards of the collective ideal of aristocratic liberty, it is suggested that Condé went too far in pursuit of uncompromising self-assertion, and helped to undermine the very values that he sought to uphold.
The real problem posed by Condé for Mazarin and his regime was not Condé’s uncontrolled individualism, his ‘folle liberté’, but the perception of contemporaries that he held more legitimate right to participate in the decision-making of a regency by virtue of his blood than did a ministerial appointee of the queen mother. Indeed, it is a remarkable triumph of a well-entrenched historiography that Condé’s actions are perceived as illegitimate attempts to challenge what is treated as the legitimate royal government personified in its first minister. By conflating Mazarin with the authority of the crown, the crucial dynamic of the conflict building up from 1643 and climaxing in the Fronde is misunderstood. Mazarin’s attempts to resist Condé’s claims to involvement in the political decisions of the regency did not deny the essential legitimacy of those claims. His approach most frequently relied on alarming both the queen mother and the king’s uncle, Gaston d’Orléans, that Condé would squeeze them out of the decision-making which was no less their right by family. Mazarin hardly needed to be reminded, and the mazarinades would have done the job for him, that his own position enjoyed no such legitimacy.
David Parrott- 1652- The Cardinal, the Prince, and the Crisis of the Fronde.
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Nigel Mansell.
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lolochaponnay · 3 months
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Trois générations d'une même famille jouent à un jeu qui consiste à trouver une phrase contenant un mot choisi à l'avance par un des membres, et chacun à son tour. Le plus jeune qui a 25 ans choisit le mot "bande", et enchaîne : - Moi, je bande quand je veux! Son père de 50 ans déclare : - Moi, je bande quand je peux! Et le grand-père de 75 ans dit : - Moi, je.........euh........ bande de cons!
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LE RAID DES ALPILLES
A Maussane-les-Alpilles, le 15 octobre 2023
Rendez-vous en Provence pour le dernier dossard de la saison pour ce qui sera ma 3eme participation à ce Raid des Alpilles. Pas de changement par rapport à l’an dernier avec Maussane en ville hôte et un parcours de 120km avec 1200m D+ au cœur des Alpilles avec les cols de la Vayède et de Sarragan du côté des Baux-de-Provence ou le Pas de la Figuière comme principales difficultés. La météo reste encore sur le mode soleil mais il faudra composer avec un très fort vent de nord qui a bien rafraichi l’ambiance même s’il ne fera pas si froid pour le départ sur le coup des 9 heures.
En avance sur place j’ai le temps de faire une petite boucle d’échauffement sur le début de parcours jusqu’aux Baux-de-Provence et je constate déjà les belles rafales de vent qui seront de face peu après le départ. De retour à Maussane où 900 coureurs sont annoncés (un beau succès), je laisse le gilet et décide de partir léger : tenue d’été avec simplement un sous maillot un peu plus chaud car je ne pense pas qu’on va trop musarder en chemin !
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Placé en première ligne les 1ers km sont faciles pour garder ma place à l’avant et très vite on se retrouve en direction des Baux sur une route balayée par le vent de face puis plus de côté ensuite ; bien évidemment personne n’est trop motivé pour mener la troupe et comme je préfère rester à l’avant j’imprime un petit tempo tranquille jusqu’aux pentes du col de la Vayède : là ça attaque très fort et même en mettant 500/600W je me trouve vite débordé ! Cela dit, pas de panique car je sais que les écarts seront faibles et le peloton très étiré se regroupera certainement plus tard. Il faut encore s’employer pour passer le col de Sarragan avant une descente technique, très sinueuse : je suis le mouvement et envoi encore très fort dans les lignes droites finales pour rester au contact. Après 25’ de course, ça se calme légèrement du côté de St-Etienne-du-Grès et j’en profite pour revenir aux avant-postes mais ça va repartir de plus belle un peu plus loin avec le vent favorable cette fois.
Le retour sur Maussane pour la 1ere boucle du parcours se fait à haute vitesse ; vent souvent dans le dos c’est à bloc, pratiquement en file indienne et presque sans aspi dans les roues ! Quelques-uns parviennent à attaquer sans succès avant un bon coup de 6 hommes après 25km (Julien Pesce et Antoine Magaud notamment). Derrière ça ne débranche pas encore et je suis une bonne opportunité : on prend quelques longueurs mais ça revient lorsque l’on repasse par Maussane. On reprend alors un cap au sud et de nouveau du bon vent favorable et il faut encore sans cesse relancer mais les fuyards ont fait le trou. Après une bonne heure de course ça se calme enfin en même temps qu’on met le cap au nord et qu’on prend donc le vent pleine face ! Ici l’échappée va vraiment creuser l’écart car on ne roule plus ; j’assure un petit rythme minimal avec un autre gars avant que la bagarre reprenne du côté de Mouriès.
Ce coup-ci je sens le bon coup et n’hésite pas à suivre Dorian Ravinel : de longues minutes entre seuil et PMA qui nous permettent de former un groupe de 7 avec le futur vainqueur Noé Mélot (champion de France junior en titre). Noé imprime un rythme infernal et je suis à 2 doigts de sauter mais ça passe avant qu’on s’organise bien. Aureille et le Pas de la Figuière se profilent : vent de face c’est compliqué mais tout le monde fait l’effort ; je suis plutôt pas mal avant un terrible effort à PMA sur une partie roulante où Noé relance très fort. Au sommet on nous annonce 2’ de retard et on file plein gaz en direction d’Eyguières avec un vent plutôt ¾ favorable et de dos pour l’arrivée dans cette localité : on est totalement désorganisé les uns derrières les autres et j’ai un mal fou à rester dans les roues avant de retrouver de longues lignes droites balayées par un fort vent de côté. De nouveau ça ne roule plus est je fais l’essentiel du tempo ce qui n’empêche pas quelques retours de l’arrière. 2-3 autres gars râlent et invitent à prendre des relais mais rien n’y fait alors que l’on revient sur Aureille pour la 2eme montée du Pas de la Figuière. Dorian fait un gros boulot dans le vent, je passe un relais sur le replat avant une fin de montée plus appuyée mais qui ne passe finalement pas si mal : on nous annonce 1’30 de retard. Toujours dans le vent pour une petite descente on change de cap pour la montée du Destet : de nouveau 2-3’ sur un très gros seuil je suis dans les dernières positions d’un groupe d’une petite vingtaine à présent. La partie vallonée nous ramenant à Maussane pour le 2eme passage fait encore mal ; plusieurs fois je dois faire de gros efforts en queue de groupe pour suivre, en même temps que l’on nous annonce à peine une minute de retard sur la tête ! Après une courte accalmie les offensives reprennent à 20km de l’arrivée : pas mal placé je tente d’y aller mais butte face au vent ; d’autres passent comme des balles sans que je puisse prendre les roues avant de parvenir à accrocher 2 gars. Mais sur une nouvelle relance je laisse 2-3 mètres et plus personne derrière moi pour m’aider : je ne lâche pas et insiste mais fini par rendre les armes à 15kms de l’arrivée d’autant que j’aperçois un groupe conséquent pas loin derrière.
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Une fois repris je peux enfin souffler dans les roues avant que le rythme s’effondre ! Vent de face ça n’avance plus et personne n’est motivé pour rouler. On reprend alors la route de St Etienne-du-Grès où même là avec un vent bien moins présent personne ne roule : j’emmène tout le monde sur un tout petit tempo qui semble convenir avant d’attaquer la montée finale au col de Sarragan : 3.3kms à 4.3% (les derniers 1500m à 6%). Je mets le curseur gros tempo puis seuil sur la fin ; 5-6 gars termineront plus fort me dépassant sur le final sans grandes conséquence puisque nous arrivions pour la 19eme place (et accessoirement le podium de ma catégorie est occupé par des hommes du 1er groupe).
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C’est donc Noé qui l’a emporté devant Alexandre De Marans et Frolichs Pieter puisque le groupe de contre dont je faisais partie est revenu sur les échappées à 10km du but. Pour ma part c’est une 25eme place (4eme de caté) qui laisse finalement peu de regret : je n’aurai pu jouer un rôle intéressant dans le final étant trop « cramé » et aurait probablement terminé 19eme ! La course fut très intense avec des records de puissance battus de 1h45 à 3h20 ce qui explique mes difficultés de fin de course. Cela dit bien content du week-end sous le soleil provençal avec un samedi après midi passé en touriste aux Baux-de-Provence et une course qui fut finalement intéressante puisque j’ai pu y être acteur presque jusqu’au bout. Enfin c’était la dernière manche du chalenge Cyclo Tour Rotor et les jeux étaient déjà fait : je m’impose pour la 3eme fois (après 2019 et 2021) sur ce challenge qui m’aura occupé une grande partie de la saison sur des épreuves que j’apprécie avec toute la sympathique équipe de LVO aux manettes !
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Avec Eva Poirot (1ere femme du challenge) & Jean-Noël Jacquemod (1er master 50ans et +)
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drinkinlovecom · 1 year
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Explore the City of Lights
Find the Best Restaurants in Paris! Are you looking for the best restaurants in Paris? Look no further! Paris is a world-renowned city with a diverse and vibrant food scene. From traditional French cuisine to innovative fusion dishes, the city has something to suit every taste. From Michelin-starred restaurants to family-run bistros, here are some of the best restaurants in Paris. Le Cinq is a…
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zuntoshere · 3 months
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List off all funny player books from the library ( stream from the 3rd / third of February 2024, QSMP 2024 return ) .
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English-speakers :
BadBoyHalo — 100 Recipes Sweeter than Candy FitMC — Getting a Brazilian Boyfriend for Dummies Foolish — 101 Facts about Sharks Jaiden — Animation Techniques Philza — He & She: An Archaeology Marvel Slimecicle — Correct Usage of Mouse Buttons Wilbur Soot — From a Fallen Country to a World Tour Ironmouse — A complete guide to Cinnamonroll Nihachu — Ghost Hunting: A Guide Teana* — Dating as a Demon Tubbo — 101 Ways to crash a server
Spanish-speakers:
Quackity — Cómo no morir a las moscas Luzu – Binario: para tontos ElMariana — Cómo ser un buen papá Missa — Cómo detectar nubes de lluvia Roier — Como casarte con un brasilieño Vegetta777 — El arte de la simetria en minecraft WillyRex — Como poner 100 minas en un dia Carre — TÁCTICAS PUNKY
Portuguese-speakers:
Cellbit — Como traumatizar seus jogadores de RPG ** — Dirigindo Grandes Navios Mike — Ter uma Deusa como Esposa Pac — Ser um bom Padrasto Bagi — Encontrado seu gêmeo perdido
French-speakers:
Antoine — Techniques de méditation Aypierre — Grands Vins Français Baghera — Manuel d’utilisation de la tronçonneuse Etoiles — Être le meilleur * Not a mistake, just Tina's pseudonym. ** The plate had no name, but we all know it was Felps.
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Paris in July 2022: Day 13: Le 14 juillet
Paris in July 2022: Day 13: Le 14 juillet
Paris in July 2022 #ParisinJuly Co-hosted by Readerbuzz and Thyme For Tea Day 13 Le 14 juillet Bonne fête du 14 juillet ! Yes, today is Bastille Day, as we say in English, though in French we just call it Le 14 juillet,  just like we celebrate the 4th of July in the US. Are you going to do anything special today? My husband loves watching the military parade, but I am stuck with 5 hours of…
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bergsmotiv · 2 years
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Souvenir de Lausanne-Ouchy
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