Tumgik
#les pieds sur le nez
grandboute · 4 months
Text
Tumblr media
Longboard perfect style
Hang five - surfing spirit
C'est reparti !
107 notes · View notes
meirimerens · 1 year
Text
Tumblr media
« Vous a-t-on déjà peint?
[...] La question le prend par surprise — moins que l’enthousiasme à peine dissimulé qui fait trembler la voix qui la pose. Il se balance d’un pied à l’autre, nerveux, agité. L’architecte l’imite et lui, plutôt, semble danser. 
« Pas vraiment, répond-il. 
— Pas tout à fait un oui, pas tout à fait un non », Piotr fredonne, ses yeux perçants rampant le long de sa gorge, sur son menton, ses joues — Rubin s’en rend compte maintenant : le dessinant déjà… 
« Non, se corrige alors Rubin. Non, on ne m’a jamais peint », insiste-t-il, saccadé, comme s’il confiait un grand secret. 
Il sent le coup de crayon de son regard pointilleux sur l’aile, puis l’arête de son nez. 
« Puis-je ? » demande Piotr.
235 notes · View notes
mailamoon · 3 months
Text
Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
35 notes · View notes
aidenchampionnefeet · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
emma donne son coup pied droit fatal qui tape son adversaire sur son visage lui casse le nez lui brise la machoire est lui gonfle l oeil victoire emma
23 notes · View notes
jefaiscequejepeux · 9 months
Text
Ça fait un moment que je veux changer de médecin car la mienne est jamais dispo et un peu loin de chez moi à pied. Ce matin j'ai pris rdv chez une médecin que je connaissais pas car la mienne était pas dispo avant 4 jours (pour changer.....) bref je jaugeais si je voulais faire d'elle ma nouvelle médecin traitant et alors qu'elle m'auscultait elle a dit "j'aime bien votre t-shirt" j'étais ok 1 point. Plus tard elle a dit "vous avez eu le nez fin de venir car vous êtes vraiment en tout début de symptômes" alors là j'ai pris ma décision car j'adore les compliments j'ai dit "prenez vous de nouveaux patients ?" elle a dit "oui" j'ai dit 'voulez-vous devenir mon nouveau médecin traitant ?" elle a dit "oui" après elle voulait faire le changement direct sur le site de la sécurité sociale mais il buggait alors elle a dit "bon je vais pas m'énerver on fera ça la prochaine fois" bref encore un bel instant gâché par le service public
56 notes · View notes
homomenhommes · 10 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville. De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture. Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est. Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture. Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions. Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération. ;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler. Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis. Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle. Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés. Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ?? Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine ! Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte. Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer. Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma. Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon. Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé. Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison. Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend. J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre. Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ". De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison. Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage. ;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble. Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert ! Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave. Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon. Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter ! Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard. Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !! Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même ! Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5. Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo ! Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !! Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ???? Question ;1 : ont-ils de grosses bites ? Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui. Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs ! Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress. Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu ! Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux. Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes. J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie. Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
13 notes · View notes
puppy26 · 10 days
Text
Ce matin Princesse qui avait l’habitude d’aller chercher son pain à pied avait décidé de le faire. En sortant du village elle décide de faire une boucle pour se faire à ses nouvelles chaussures de marche. C’est la fin de l’été, il fait chaud et les vendanges sont annoncées prochainement. Attirées par de belles grappes, Princesse s’autorise à entrer dans une rangée pour y goûter quelques grains. Elle porte une jupe courte mi-cuisse et un t-shirt en raison des fortes chaleurs. Elle porte aussi un string ficelle noire et un soutien-gorge ouvert quart-cup de même couleur. Puis tout à coup une main se posa sur ses fesses exposées. Elle pousse alors un cri avant d’être attrapée manu militari par un agriculteur plutôt terrestre et costaud avec tatouages sur les avant-bras.
Tumblr media
-Petite voleuse, tu comptais remplir ton sac ?
-Pas du tout Monsieur, je goûtais quelques raisins…
-Dommage pour toi mais il va falloir payer !
Le coquin, il cachait bien son jeu !
-Je ne comprends pas ou vous voulez en venir. En fait elle compris ce qui l’attendait en voyant sa grosse bosse déformer son bermuda de viticulteur. Il n’a pas traîné et a relevé sa jupe et ses mains se sont faufilées entre ses fesses, jusqu’à cajoler sa chatte. Elle mouillait comme une dingue. Il l’a met à genoux.
-ici c’est moi le châtelain ! Et si tu veux manger mon raisin alors tu dois déguster ma grappe !
Faisant tomber son boxer sur ses mollets, une magnifique bite au gland rose est apparu. Elle n’a pas pu s’empêcher d’admirer l’engin. Son sexe dodeline sous son nez. Le bout de son sexe est tout mouillé d'excitation.
Sans plus attendre, il lui a enfoncé profond jusqu’à la gorge malgré ses protestations.
-Ah tu aimes ma grosse queue petite salope !
Je paris que ton mari n’en a pas une si grosse. Profites du spectacle !
Cela faisait très longtemps qu’il ne s'était pas vidé. Il était en rut total. L’éjac ne tarda pas à venir. Elle profita de tourner la tête pour éviter ses giclées de sperme en pleine figure.
Il en profite pour tâter ses fesses et lui annonce qu’il veut maintenant la punir par une bonne fessée à mains nues.
-ça va pas non !
-Enlève ta culotte.
- Pardon??
- Écoute. Je ne blague pas. Tu ne sortiras pas de ma parcelle avant que je ne t'ai donné une fessée… déculottée naturellement.
Aussi fou que cela puisse paraître, Princesse accepta la sanction. Le string glissa aux cuisses. C’est recroquevillée sur les genoux de l’agriculteur qu’elle reçu sa volée de fessées. Les émotions de Princesse étaient très intenses, évidemment. Elles étaient au-delà de la parole. Elle n'arrivait pas à surmonter sa gêne et son humiliation. Les claques s'enchaînaient, de plus en plus fortes jusqu’à ce que son cul soit tout rouge.
-Reviens me voir après les vendanges et ne dis rien à ton mari !
11 notes · View notes
sarahaubel · 5 months
Text
Concombre et fentanyl.
Tumblr media
En route pour Paris. Encore. Et quelle impatience. Toujours. Je suis partie en lui disant « je suis sûre d’avoir oublié quelque chose ». Et maintenant là sur le quai je sais. Mes chaussettes. Par contre j’ai pris 3 livres. Au cas où. 3 livres pour une nuit mais aucune paire de chaussettes. Je devine mon sens des priorités. M’évader en puant des pieds. Quelle vie de bohème je mène. / Voiture 15 place 48. Je le note là pour pas oublier. / Le chien des douanes ne s’arrête jamais sur moi. Non pas que je transporte 3kg de fentanyl mais j’aimerais tout de même qu’il me témoigne de l’intérêt. Sa truffe humide me méprise. Il me dépasse sans un regard. Ça me vexe à tous les coups. Il n’a pas vu la hors-la-loi qui sommeille en moi. / À chaque voyage, témoin de cette scène, je m’interroge : « je suis voiture 15 place 22 » « moi aussi » elle souffle « c’est de pire en pire ». Et l’un l’autre se mènent un duel sans merci à qui a raison, à qui sortira son billet le premier, mais si regardez c’est écrit là je vous dit, et l’autre de vérifier à son tour parce qu’il doute soudain. Ils se font monter la moutarde au nez alors que le wagon est presque vide. Ce n’est plus une histoire de sièges mais de faiblesse et d’autorité. L’être humain dans toute sa splendeur. / Sinon cette nuit j’ai rêvé qu’une ancienne copine de lycée, devenue actrice depuis me présentait son nouveau-né. Il s’appelle Concombre me disait-elle les yeux pleins d’amour. Entre nous je peux feinter devant une Clitorine ou un Robert mais la garce, elle m’avait coincée avec son Concombre.
Bref voilà. Je suis dans le train pour Paris. Je vous embrasse.
23 notes · View notes
sous-le-saule · 8 months
Text
Je suis en vie
Dans les fictions, les flics disent toujours que les 48 premières heures après une disparition sont cruciales. Cela faisait 50 heures que j’avais signalé la disparition d’Alice.
Je restais là, planté devant le lavabo, avec l’eau chaude qui coulait depuis je ne savais combien de temps, incapable d’une tâche aussi simple que me débarbouiller le visage.
Une partie de moi, lointaine, s’étonnait de ne pas être en état d’arrestation. La femme et, 15 ans plus tard, la fille ? Qui pouvait croire une coïncidence pareille ?
Mais, au fond, cela importait peu. Je voulais juste savoir si Alice était encore en vie. Sa mère aurait-elle eu ce légendaire instinct maternel qui lui aurait fait dire : « Elle est en vie, je le sens » ? Moi, je ne sentais rien, et j’en avais honte.
Je ne savais qu’une chose : Alice ne m’aurait pas fait ça.
La police pensait le contraire, évidemment. Une ado avec des problèmes à l’école, une dispute récente avec son père, et aucun indice ne laissant supposer un enlèvement ? Ca sentait la fugue à plein nez. Ils m’avaient demandé si des affaires manquaient dans sa chambre, et j’avais avoué, mortifié, que j’étais incapable de leur répondre. Son sac à dos, oui, mais ça ne voulait rien dire. Comment pouvais-je savoir s’il manquait de l’argent ou quelques vêtements dans cette chambre d’adolescente en désordre permanent et dans lequel j’avais gentiment été prié de ne plus mettre les pieds depuis ses treize ans (« mon intimité, papa, tu comprends ? »).
Ils m’avaient posé des questions pleines de suspicion sur notre relation mais je ne savais pas si c’était le traitement normal réservé au père ou si c’était à cause de la disparition de sa mère.
Elle aussi, sans une trace. Pour autant que je sache, elle était à la maison avec Alice. Quand j’étais rentré du travail, la petite pleurait dans son berceau, seule. Le désordre qui régnait dans la maison depuis sa naissance n’était pas pire que d’habitude. La porte était verrouillée. Aucune valise ne manquait, le passeport de Joanne était toujours là, et il n’y avait de mot nulle part.
Je l’avais cherchée. Pendant des années, je l’avais cherchée. Dans les hôpitaux, chez les membres de sa famille et tous les amis que je lui connaissais, dans la ville et puis dans d’autres, collant des affichettes avec sa photo, sur internet… J’avais longtemps été suspecté. Le mari, évidemment. La thèse du suicide avait fini par prévaloir. Dépression post-partum. Elle s’était probablement jetée dans le fleuve. On retrouverait le corps un jour, ou pas. Mais dans le regard de certains, je voyais bien que le doute subsistait.
Et voilà que je refaisais exactement les mêmes recherches, les mêmes démarches, et je ne comprenais pas comment il était possible que ça m’arrive une fois de plus, ni comment j’allais surmonter l’épuisement sans nom qui me gagnait.
Je me mis à pleurer, devant ce fichu robinet que je ne parvenais même pas à fermer. A pleurer comme un gosse, avec la morve et les gros sanglots qui déchirent la poitrine. Parce qu’Alice devait être morte. Parce qu’elle ne m’aurait pas infligé ce doute en sachant par quoi j’étais passé avec sa mère. Elle n’était pas cruelle. On s’entendait bien. Même si on avait nos désaccords. Principalement sur le fait qu’Alice continuait les recherches alors que je trouvais qu’elle, qu’on, devait aller de l’avant maintenant. C’était ça, notre dispute. La dernière fois qu’on s’était parlé.
Je poussai un cri animal et frappai du poing sur le lavabo. Ca ne pouvait pas être les derniers mots que ma fille avait entendus de ma bouche. Je relevai la tête, prêt à fracasser le miroir embué quand quelque chose arrêta net mon geste.
Il y avait une lettre écrite dans la buée. Un J. Puis un E, à l’envers. Des lettres maladroites s’ajoutèrent laborieusement, comme si les écrire demandait un effort considérable. Longtemps, je restai figé face au miroir, partagé entre la certitude que j’avais fini par perdre l’esprit et la crainte que le moindre mouvement ne fasse disparaitre le message.
« Je suis en vie »
22 notes · View notes
submissivegayfrenchboy · 11 months
Text
12 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Photos issues du blog de mon cher ami et co-auteur occasionnel, @tidodore2
COURTE HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
RESPIRER LES PIEDS D'UN GÉANT ARABE
Tumblr media
En plus d'être d'une taille très grande, Tarek avait des pieds immenses. Très bel homme arabe brun viril et barbu, Tarek avait les pieds tellement transpirants qu'une odeur nauséabonde causée par la sueur l'obligeait à se rendre régulièrement en extérieur pour aérer ses pieds, notamment dans des parcs où il se mettait à l'écart.
Ce jour-là, il était vêtu d'un tee-shirt jaune et d'un short, et, assis sur un banc, exposait ses pieds immenses.
Tarek ne le remarqua pas d'abord, mais il finit par voir un petit garçon en train de renifler ses immenses pieds.
Tumblr media
TAREK : "Qu'est-ce que tu fais là sous mes pieds, enfant ? Tu t'es perdu ? Quoi, tu es un adulte 😳 ? Mais regarde toi, tu es tellement petit et minable avec ton corps maigrelet ! Sérieux les Blancs sont vraiment minables 😅! Tu as un problème de croissance ? Mais tu arrives à mes genoux ! Quoi, m'être utile ? En léchant mes pieds ! Eh bah écoute, vas y, et surtout ne t'arrête pas tant que je te l'ai pas ordonné, gamin !"
Ce jeune homme de plus de vingt ans ressemblait à un garçon d'une dizaine d'années, une maladie l'avait empêché de grandir et de se muscler ou d'avoir des poils.
Le garçon était venu de son plein gré, attiré par l'odeur des pieds. Sa maladie empêchant sa croissance avait pourtant développer son odorat. Il était capable de sentir des pieds puants à plusieurs mètres de distance.
TAREK : "Et tu peut absorber l'odeur des pieds puants ?"
Le garçon blanc se mit à lecher les immenses pieds du grand mâle arabe très viril, et celui-ci apprecia de voir et de sentir la langue d'un garçon blanc léchant ses pieds suants par ce jour très chaud.
En fait, les petits poumons du jeune homme ressemblant à un petit garçon pouvait mieux fonctionner grâce à la puanteur des pieds.
TAREK : "Eh bien, pourquoi ne viendrais tu pas chez moi pour renifler les pieds puants et mes chaussures aussi ?"
Le garçon blanc était heureux car il avait besoin de pouvoir respirer des pieds vraiment très puants s'il voulait rester en vie.
Le garçon blanc accepta et passa le reste de sa vie à renifler et lécher les immenses pieds puants de Tarek, pieds plus grands que sa propre tête. Cela amusait tellement Tarek d'avoir son propre bouffon black renifleur de pieds qu'il invitait toujours ses amis, qui avaient bien évidemment des pieds moins puants que les siens, à se les faire lécher par l'enfant blanc qui n'aurait jamais pu trouver de travail en raison de son gabarit. Dormant dans un tiroir du meuble à chaussures de son maître, avec une paire chaussettes dans la bouche et sur le nez, le garçon blanc était heureux. Comme n'importe quel garçon blanc le serait aux pieds d'un viril mâle arabe.
FIN DE L'HISTOIRE
🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇲🇬🇧
SHORT PERSONAL FICTIONAL STORY
Pictures taken from my dear friend and occasional co-writer @tidodore2 's blog
BREATHING A GIANT ARAB MAN'S FEET
Besides being very tall, Tarek had huge feet. A very handsome, dark-haired, virile and bearded Arab man, Tarek had such sweaty feet that a foul odor caused by sweat forced him to go outside regularly to air his feet, especially in parks where he stood apart.
Tumblr media
That day, he was dressed in a yellow T-shirt and shorts, and, sitting on a bench, exposed his huge feet. Tarek didn't notice it at first, but eventually he saw a small boy sniffing his huge feet.
TAREK: "What are you doing there under my feet, child? Did you get lost? What, you're an adult 😳? But look at you, you're so small and shabby with your skinny body! Serious white people are really pathetic 😅! You have a growth problem? But you get to my knees! What, be useful to me? By licking my feet! Well listen, go ahead, and above all don't stop until I let you didn't order, kid!"
The young whiteboy began to lick the huge feet of the tall Arab man, and this one licked to feel and to see a white boy's tongue on his sweaty feet. It felt so relaxing on this hot day.
This young man of over twenty looked like a boy of about ten, an illness had prevented him from growing and gaining muscle or having hair. The boy has came of his own free will, attracted by the smell of the feet. His disease preventing his growth had yet develop his sense of smell. He was able to smell stinky feet several feet away.
TAREK: "And you can absorb the smell of stinky feet?"
In fact, the little boy-like young man's small lungs could work better thanks to the stench of the feet.
TAREK: "Well, why don't you come to my house and sniff these stinky feet and my shoes too, whiteboy ?"
The whiteboy was happy because he had to smell and lick the stinkiest feet possible if he wanted to survive. The stench helped him.
The white boy agreed and spent the rest of his life sniffing and licking Tarek's huge smelly feet, feet bigger than his own head. It amused Tarek so much to have his own foot-sniffing black jester that he always invited his friends, who obviously had less stinky feet than his, to have them licked by the white kid who could never have. find work because of his size.
Sleeping in a drawer of his master's shoe cabinet, with a pair of socks in his mouth and on his nose, the white boy was happy. As any white boy would be at the feet of a manly Arab male.
END OF THE STORY
💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳💛🌳
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
@arabmature @arabmanrebeu @rebeuarab @rebeudumetro @rebeux-de-la-classe @maitresrebeux @maitrerebeu @rebeuxporn @arabiandomination-blog @muslimfeet @muslim-arab4white @muslimsuperioritycannotbedenied @eurabiansub2 @eurabiafuture2023 @babtouboloss @babtoutou @cefrankahba @cefransoumisblog @cefranblanc @cefranpourrebeu @soumispourdomi @torinya @fartsandfacesitting @feeterotica @fartsniffer31469 @fartsandotherstink2 @whiteboyarab-blog @giantxxx2 @giant-tiny-people @gianttinyboys @giantworshipper @inanimatetffantasies @leftprogrammingroadtripdean @rainykpoptravelcreator
32 notes · View notes
grandboute · 7 months
Text
Tumblr media
Longboard perfect style
Surfing spirit
116 notes · View notes
ironist-lady · 10 months
Text
Avant l’orage...(Fics Pendra)
Le tonnerre avait commencé à gronder en début d’après-midi sans pour autant être suivi d’une quelconque goutte de pluie. Et pourtant, ils en auraient bien tous besoin ces derniers jours. Une vague de chaleur s’était installé sur l’île de Bretagne et particulièrement en Carmélide où les températures avaient atteint des sommets comme on en avait rarement vu ici. Personne n’était habitué à une telle chaleur à tel point que les corps n’arrivaient pas à suivre. Les nerfs étaient à vifs, les crises colère plus nombreuses que les autres jours et la fatigue se faisait ressentir dans toutes les pièces. Il n’était pas surprenant alors que certains habitants manquent à l’appel et qu’on finisse par le retrouver endormi dans une des rares chambres disponibles.
Alors au premier abord, il n’aurait pas dû être inquiet quand il ne l’avait pas vu au petit déjeuner, ni au déjeuner ce jour-là mais quelque chose dans la tête d’Arthur avait pointé le bout de son nez. Il n’aurait su dire quoi. Lorsqu’il s’agissait de Guenièvre, le roi de Bretagne ne savait plus trop comment expliquer ce qui se passait dans sa tête.
Avec les autres femmes, c’était simple. Elles lui plaisaient, provoquaient des papillons dans son ventre, de l’excitation, faisaient palpiter son cœur et ça n’allait pas plus loin. Aussi belles soient-elles, elles ne lui avaient jamais donné matière à se triturer le cerveau. Ce qu’il ressentait était basique, animal, simple. Mais Guenièvre, elle, elle avait le don pour provoquer des choses qu’il ne pouvait expliquer. Elle l’énervait sans pourtant avoir dit quelque chose de stupide ou de choquant, elle l’agaçait par sa simple bonne humeur à toute épreuve même quand elle se prenait des remarques désobligeantes, elle avait fait stopper son cœur rien qu’à l’entende de son nom dans les souterrains de Kaamelott puis lorsqu’il avait entendu sa voix alors qu’elle se tenait tout en haut d’une fenêtre de la Tour de Ban à déclamer des paroles romantiques à un abruti, elle lui avait donné envie de hurler aussi à ce moment-là et surtout elle lui flanquait une sacré frousse lorsqu’elle n’apparaissait pas à deux fichus repas dans la même journée.
En vérité, personne dans toute la forteresse ne pouvait imaginer que le célèbre Arthur Pendragon puisse être inquiet pour elle.
Mais voilà…
Il était inquiet pour elle.
Il avait beau avoir passé des nuits loin d’elle dans le passé, préférant les bras d’autres femmes ou se coucher seul dans le calme mais depuis son retour, il n’arrivait pas à imaginer une seule nuit sans entendre sa respiration ou sentir son corps contre le sien même si ses pieds étaient toujours aussi froids. S’il était un tant soit peu honnête avec lui, il avouerait que ses maudits pieds gelés lui avaient manqués pendant son exil. Combien de nuit avait-il passé à se demander ce qu’elle était devenue, si elle avait réussi à s’enfuir ou à être mise en sécurité loin de la folie bien souvent meurtrière de Lancelot et dont il avait écho ?
Peut-être était-ce parce qu’il savait maintenant ce qu’elle avait vraiment vécu pendant ces 10 dernières années qu’il se faisait un sang d’encre pour elle. Peut-être était-ce la culpabilité de l’avoir autant négligée puis laissée derrière lui qui parlait pour lui. Ou peut-être bien que c’était autre chose, une chose précise qu’il n’avait jamais voulu accepté depuis leur première rencontre et qu’il avait combattu pendant tout ce temps.
Alors lorsque le tonnerre se mit encore une nouvelle fois à gronder à l’extérieur, il tapa du poing sur la table et sorti s’aérer malgré la menace de la pluie au-dessus de sa tête. Il avait besoin de marcher sinon il allait passer ses nerfs sur quelqu’un, dire des choses qu’il regrettait et plomber encore plus l’ambiance au sein de la forteresse. Personne n’avait besoin de ça.
A la place, il allait un peu profiter de la nature environnante, de la forêt encore sauvage qui entourait la bâtisse pour laisser sa colère retomber. Il devait avouer que la Carmélide pouvait avoir ses charmes, lui qui avait retiré une bonne partie de la végétation de Kaamelott à l’époque pour construire son énorme bâtisse que tout le monde verrait avant de créer son propre jardin, comme s’il avait besoin de contrôler un peu la nature. La forêt avait toujours été synonyme d’exploration, d’aventures et surtout de danger mais ici, ici, il lui trouvait une certaine forme de sérénité surtout avec le chant des oiseaux nichés dans les arbres et qui diffusaient de douces mélodies jusque dans ses oreilles. De douces mélodies qui avaient étrangement l’air humaines. Ce n’étaient pas juste des petits roucoulements ou des cui-cui, c’était comme s’il pouvait entendre des paroles.
Arthur ouvrit alors soudain les yeux en comprenant pourquoi il avait l’impression d’entendre ces foutus piafs chantonner. Ce n’étaient pas les oiseaux.
« Non mais vous vous foutez de moi ! » hurla t’il quelques minutes plus tard quand, suivant la mélodie, il se retrouva face à une Guenièvre assisse tranquillement contre un arbre à se brosser les cheveux.
« Oh vous m’avez fait peur. Ça va pas de hurler comme ça. Vous êtes fou, lui répondit-elle alors que les battements de son cœur commençaient à redescendre.
—  Moi vous ? Non mais c’est une blague. C’est vous qui êtes complètement folle !
— Je vous demande pardon ?
— Vous savez depuis combien de temps on vous cherche ?! Vous ne savez pas combien on était tous inquiet de ne pas vous trouver dans la forteresse depuis ce matin ?!
Guenièvre fronça les sourcils et regarda par-dessus son épaule.
— Non vous, vous partez toute seule sans rien dire à personne et vous êtes là tranquille à vous coiffer.
— Ben j’avais besoin de prendre un peu l’air.
— Et vous ne pouviez pas le faire dans la cour non ? C’est pas assez grand pour vous, fallait venir au fin fond des bois où personne aurait pu vous trouver. Vous savez ce qui aurait pu vous arriver ? Vous auriez pu vous faire kidnapper.
— Comment j’aurais pu me faire kidnapper si personne ne pouvait me trouver ?
— C’est pas la question !
— Et puis je ne suis pas au fin fond des bois. On doit être à quoi…10 minutes de marche même pas de la forteresse et avant que vous ne vous mettiez encore à hurler, je vous rappelle que j’ai grandi dans ces environs. Je connais le coin comme ma poche contrairement à vous qui, pour quelqu’un qui trouve que je suis au milieu de nulle part où « personne n’aurait pu » me trouver…m’a trouvé étrangement rapidement. Ou alors très lentement surtout si on me cherche depuis ce matin. D’ailleurs où sont les autres ?
— Les autres ?
— Ben vous avez dit que vous étiez « tous » inquiet et que « vous », et par-là vous parliez probablement de ces mêmes « tous », étiez à ma recherche depuis ce matin. Alors ? insista t’elle alors qu’il gardait le ciel.
Arthur se contenta de lever les yeux au ciel, se faire demi-tour et de faire quelques pas pour s’éloigner sentant la colère arriver à nouveau.
Quelle bougresse ! C’était impossible d’être aussi têtue et aussi…perspicace !
Comment elle faisait pour autant le mettre dans l’embarras en utilisant ses propres paroles. Bon dieu, il était chef de guerre, il était censé être un fin négociateur. Il avait réussi à mettre fin à des conflits avec d’autres nations et à unir les clans de l’île de Bretagne nom d’un chien ! Comment pouvait-il alors perdre aussi facilement la partie ?
« Je suis désolée, finit-elle par dire d’une petite voix alors qu’il continuait à lui tourner le dos pour calmer son agacement. Je sais que j’aurais dû dire au moins à une personne où je comptais aller mais pour être honnête j’en avais pas la moindre idée. J’étais dans ma chambre, à tourner en rond comme tous les autres jours, à penser que ma journée serait exactement la même que celle d’hier et d’avant-hier et d’avant avant-hier…j’ai eu soudain ce même sentiment de solitude et de routine que j’avais quand j’étais dans la Tour. Cette sensation d’enfermement. J’ai eu besoin de prendre l’air alors je suis sorti et j’ai marché encore, et encore et voilà, je me suis retrouvée là. Et j’étais si bien que j’en ai profité et j’ai perdu la notion du temps. Je ne voulais surtout pas faire peur à qui que ce soit. De toute façon, je ne pensais même pas qu’on remarquerait mon absence. Ce n’est pas comme si je… »
Elle n’eut pas besoin de terminer sa phrase pour qu’Arthur sache parfaitement ce qu’elle voulait dire. Ce n’était pas la première fois qu’il l’entendait avoir ce type de paroles, dire des choses comme « je ne compte pour personne », « tout le monde s’en fout de moi »…etc. Il ne pouvait pas lui en vouloir de penser ça. Il avait été le premier à la faire ressentir de cette façon en la traitant comme une moins que rien pendant leur mariage. Puis elle avait passé 10 ans enfermée sans que personne ne vienne la secourir. Comment ne pas se sentir aussi invisible ou pas importante lorsque vos propres parents n’avaient rien fait pour vous retrouver ?
Et même maintenant qu’elle était revenue, personne ne semblait lui prêter attention. Sa mère était occupée à faire tourner la forteresse, son père à mener de nombreuses missions et négociations et lui, lui essayait de reprendre petit à petit sa place dans cette vie qu’il n’avait jamais vraiment aimé.
Le tonnerre gronda à nouveau au-dessus d’eux, beaucoup plus fort que les fois précédentes se faisant alors plus menaçant. Guenièvre prit ça pour un second signal, le premier étant la présence de son mari, et se leva de son petit coin sous les arbres. Du coin de l’œil, Arthur l’observa chassant de sa main les brins d’herbes qui s’étaient accrochés à sa robe et cachant-là par la même occasion ses yeux humides qu’il pouvait devenir derrière les longues mèches de ses cheveux.
Il n’avait pas voulu la faire pleurer, ni culpabiliser à ce point mais ça avait été plus fort que lui. Le Arthur d’avant, celui qui se laissait envahir par la colère avait refait surface en un éclair à la simple idée qu’elle ait pu être en danger. Et si elle s’était fait kidnapper par l’autre taré ? Et s’il lui avait fait subir des choses pire qu’un enfermement de 10 ans ? Et s’il ne l’avait jamais sorti de sa Tour et que toute cette histoire ne soit qu’une hallucination comme il en avait eu tant pendant son exil ?
« Ecoutez…je sais que ce n’est pas facile tous les jours, concéda t’il en brisant le silence qui s’était installé entre eux pendant le chemin du retour. Je sais que vous devez avoir l’impression de devenir folle à tourner en rond mais c’est juste que…ça reste dangereux. Je ne parle même pas des loups. On est encore en guerre d’une certaine façon. On a encore des ennemis un peu partout et je ne parle pas que de Lancelot, je veux dire les Saxons ne sont pas totalement digne de confiance ou même ma mère. Qui sait ce qu’elle pourrait bien faire.
— Mouais. Encore faut-il qu’elle ose quitter Tintagel et franchir la frontière en Carmélide.
— C’est vrai, rit-il doucement se rappelant combien sa mère détestait cette région. Malgré tout… Vous avez vu la chaleur qu’il fait en ce moment. Imaginez si soudain vous aviez fait un malaise. Vous avez sauté un repas en plus, enfin même deux puisque je ne vous ai pas vu non plus au petit déjeuner après mon entrainement. Je comprends que vous ayez eu besoin de sortir et de vous évader mais par pitié la prochaine fois prévenez quelqu’un même une bonniche, même un cheval n’importe qui.
— Promis, répondit-elle entre deux éclats de rire. Je préviendrai quelqu’un la prochaine fois. Et je prendrais de l’eau et des vivres avec moi si ça peut vous rassurer et vous éviter de vous inquiéter.
— Oh je n’étais pas inquiet, enfin pas si inquiet que ça, » mentit-il alors que le tonnerre grondait à nouveau.
Cette fois, la panique les prit tous les deux. Cela n’avait rien à voir avec le bruit du tonnerre qui était, une fois de plus, encore plus menaçant qu’auparavant. C’était plutôt la luminosité environnante qui s’était soudain dissipée alors que des nuages beaucoup plus nombreux et sombres s’étaient formés au-dessus de leur tête. Ils n’avaient pas besoin d’un nouveau coup de tonnerre ou de voir un éclair pour savoir ce qui allait arriver. Ils accélérèrent le pas mais rien n’y fit. A peine quelques secondes plus tard, les premières averses firent leur apparition et tous les deux se retrouvèrent trempés de la tête au pied.
Il ne leur restait qu’une dizaine de mètres mais ils savaient que c’était déjà trop tard pour eux. Leurs bottes étaient couvertes de boues tant leurs pieds s’étaient enfoncés dans le sol à chacune de leur foulée, leurs cheveux ne ressemblaient plus à rien et les mèches se bouclaient déjà à cause de l’humidité tandis que leurs vêtements collaient à leur peau. Ils étaient dans un état lamentable l’un et l’autre, bien loin de l’image royale qu’ils étaient censés représenter et pourtant, plutôt que de se sentir totalement paniqués ou ridicules, ils se sentaient étrangement euphoriques comme si la pluie avait fait fondre leurs doutes, leur mal-être et surtout toute la pression qui pesait sur leurs épaules.
Totalement à bout de souffle, Guenièvre se laisser tomber contre un mur de l’entrée de la forteresse, un immense sourire sur son visage. Ça faisait tellement de bien, elle n’avait plus ressenti ça depuis si longtemps. Elle se sentait tellement libre et heureuse alors qu’elle ne ressemblait à rien.
« Je croyais que vous aviez peur de l’orage, lui lança alors Arthur surpris de la voir aussi souriante.
— Si vous saviez…si vous saviez depuis combien de temps je n’ai pas ressenti ça. Je n’ai pas senti la pluie contre ma peau depuis…plus de 10 ans. Enfin si, parfois j’arrivais à sentir quelques gouttes sur mes doigts quand je passais la main par la fenêtre mais rien de plus. C’est bête c’est que de l’eau et pourtant…ça fait tellement du bien. »
Arthur acquiesça en silence, un sourire prenant place sur son visage tout en sentant une petite pointe dans son estomac. C’était tellement du Guenièvre ça, s’extasier devant une chose aussi simple que de la pluie comme une enfant et en même temps c’était d’une tristesse infinie. Il ne pouvait pas s’arrêter de penser à toutes les choses dont elle avait été privée pendant tout ce temps, des choses aussi simples que de sentir la pluie contre son visage.
Un visage qui rayonnait de bonheur comme il en avait rarement vu chez elle. Il fallait dire qu’elle n’avait pas souvent eu des raisons d’être heureuse à ses côtés étant donné la façon dont il la traitait et pourtant, il avait déjà vu ce visage. La dernière fois, c’était dans sa chambre à la Tour quand il avait défoncé sa porte et qu’elle l’avait vu pour la toute première fois comprenant alors qu’il était encore en vie comme elle l’avait tant espéré.
Soudain, alors qu’il ne pouvait détacher ses yeux de son si doux sourire, il comprit alors ce qu’il se passait vraiment dans sa tête lorsqu’il s’agissait d’elle et pourquoi il n’arrivait pas à se l’expliquer jusqu’à présent. Pourquoi elle provoquait des choses en lui qu’aucune femme qu’il avait déclaré aimer n’avait provoqué chez lui.
« Je ne pourrais pas m’en remettre ni me le pardonner s’il vous arrivait quelque chose, avoua t’il sans réussir à contrôler ses paroles.
— Ah oui ? Je croyais que vous n’étiez pas inquiet pour moi.
— Je n’ai dit pas que je n’étais pas inquiet, j’ai dit que je n’étais pas « si inquiet que ça ». C’est différent.
— Ooooh. Donc un tout petit peu inquiet alors. C’est toujours mieux que pas inquiet du tout, » plaisanta-t-elle lui offrant alors un sourire timide mais tout aussi charmant que le précédent.
Et il n’y résista pas. Doucement, sans la quitter des yeux, il s’approcha d’elle lui laissant le temps de comprendre la situation comme lorsqu’il l’avait rejoint dans la Tour après l’avoir escaladée et de décider ainsi de le repousser. Mais elle n’en fit rien. Comme dans la Tour, elle ne lâcha pas son regard, se tenant droite devant lui sans jamais faiblir et lui offrant alors toute sa confiance comme elle le faisait depuis leur mariage. Elle ne lâcha pas son regard jusqu’à ce que leurs visages ne se retrouvent qu’à quelques centimètres l’un de l’autre et que ses lèvres effleurèrent les siennes.
Le ciel s’illumina pendant une fraction de secondes tandis qu’un éclair zébrait entre les nuages et le tonnerre gronda encore une fois tandis qu’à l’entrée de la forteresse, à l’abri de l’averse qui faisait rage dehors, le roi Arthur embrassait tendrement sa femme, acceptant pour la première fois de sa vie, l’idée folle qu’il puisse en être amoureux.
18 notes · View notes
ink-flowers · 1 year
Text
Tumblr media
Hello Tumblr. J'ai l'impression que ça fait un siècle que je ne suis pas venue ici...
Je vous donne quelques nouvelles.
Ma vie de raleuse insatisfaite professionnellement est révolue. Une page se tourne. Ma vie a évoluée, en bien. Je suis enfin posée, sereine et épanouie. Ma nouvelle vie pro a changée ma vie. Ce n'est pas tous les jours rose mais pour rien au monde je ne retournerais en vente. Fini le commerce. Basta j'ai assez donné. Physiquement et mentalement.
Je profite d'un nouveau rythme. Je souris, je ris, je kiffe ma vie.
Je travail avec une super équipe et une chef d'enfer, dans une entreprise qui valorise ses salariés et qui pense à leur bien être. Ça me fait encore tout drôle parfois. J'ai toujours l'impression que quelque chose va me tomber sur le coin du nez mais non... je suis juste dans une bonne entreprise. J'ai des horaires de bureau à la cool, je fais du télétravail et j'ai des primes sans avoir à les demander. Quelle belle avancée n'est-ce pas ?
Dans quelques semaines, cela fera un an que j'ai pris un risque pour éviter le burn-out et pour privilégier ma vie perso. Un an où je n'ai pas eu envie de démissionner ou que j'ai regretté mon choix.
Avec Doudou tout va parfaitement bien. On s'accorde des petits plaisirs de la vie qu'on ne pouvait pas s'offrir jusqu'ici. On prend du temps pour nous. On apprecie enfin notre vie de trentenaire
Notre vie à 2 avec les zamours nous convient toujours et on est pas prêt de changer. On subit, surtout moi, toujours le jugement des personnes peu ouvertes d'esprit qui ne comprennent pas nos choix de vie, comme le faite d'enfanter et de nous unir ne soit pas dans nos projets. Mais vous savez quoi...
Tumblr media
#This is Our life
On ne fera jamais taire ce genre de personne mais bon... On ne changera pas pour autant donc tant pis.
Tumblr media
Tumblr a été un excellent compagnon pendant des années. Un véritable pansement. Merci à ceux qui liront mon pavé (je ne change pas mes habitudes 😁) et qui sauront par quoi je suis passé. Peu des anciens seront là, mais je vois encore quelques pseudos dans mon fil qui me sont familiers. Alors... toi qui lis... Merci de ta patience, de ton temps et de ta bienveillance. Ça m'a fait un bien fou de vivre cette aventure. C'était fun. J'espère avoir pu te rendre lappareil à un moment donné.
Tumblr media
Une page se tourne pour moi. Et l'idée de vous quitter définitivement me trote dans la tête.
Je continue à vous lire de temps en temps. Mais je ne ressens plus le besoins de me confier. J'ai un sentiment d'apaisement. Comme si j'avais été au bout d'une thérapie.
A voir... mais ça en prend le chemin.
Tumblr media
24 notes · View notes
pompadourpink · 2 years
Note
salut maman tu vas bien j'espère! could u pls explain when u would use possessive pronouns with body parts? lessons always say u would just use definite pronouns which i get but i also hear possessive pronouns being used and I can't figure out when to use which. also how do u say creepy? (as in that guy staring at us is creepy) merci beaucoup et bonne journée à toi!
Salut chou,
I'm good thanks! It is true that you usually wouldn't use possessive pronouns when talking about a body part as you are already using a personal pronoun in the sentence and both would make it redundant. The average French hates pleonasms!
For example:
Talking about pain: J'ai mal à la tête - I have a headache
Reflexive verbs: Je me suis coupé le pouce - I cut my thumb
Prepositions: J'ai mes chaussures aux pieds - My shoes are on my feet
Description: J'ai les mains sèches - I have dry hands
You will use the possessive:
For emphasis: Je le tiens dans mes mains - I'm holding it in my hands
In informal sentences: Ma tête me tue - My head is killing me
When giving instructions: Mets-les sur mon nez - Put them on my nose
Creepy is Glauque (although that is not a word we use a lot), you can also use Flippant for scary or Malaisant (slang) for cringy.
Hope this helps! x
Tumblr media
84 notes · View notes
Text
Ils étaient forts, ils étaient beaux, ils sentaient bon le sable chaud... De leur vertu et de leur gloire, on fascinait les auditoires ! Les bons, les braves et les coeurs purs suivaient en choeur leurs aventures ... Au firmament des âmes aimées, brillaient leurs noms d'un feu sacré ! *Oooooh*
Tumblr media
Bien, la scène étant posée, vos aventuriers ont a priori survécu à la nuit avec tous leurs organes encore connectés au réseau habituel, et se réveillent donc comme des fleurs avec les hurlements indignés des canards à 7 heures. C'est notre nouvel ennemi local.
Tumblr media
Nous prenons un délicat petit déjeuner à base de pain et de fromage frais, lorsque sous le regard ébahi des deux docteurs, ma tartine s'essaye aux acrobaties (10/10 pour les figures effectuées) avant de me faire gagner un supplément terre et cailloux. Ça croustille sous la dent.
C'est ensuite tout guillerets et parfaitement sereins que nous entamons nos 5h de trajet jusqu'à la nouvelle frontière argentine, absolument persuadés que tout va bien se passer, comme hier. Après tout, Dr X a un tel karma qu'on estime au million le nombre de chatons tués dans son ancienne vie, que pourrait il mal se passer ?
En approchant de la frontière, le monde nous envoie un petit message en nous faisant traverser 20km de forêt crevée, dans une atmosphère digne d'Halloween.
Tumblr media
Et bien mes amis, comme nous en étions intimement convaincus, nous avons ... Passé la douane sans aucun souci. Hormis le meurtre abject d'un paquet de clémentines et de notre gousse d'ail, volés par les contrôles sanitaires (heureusement qu'ils n'ont pas mis le nez dans nos chaussettes, on serait partis en quarantaine direct), le procédé a pris au moins 5 minutes !
Tumblr media
Les douaniers nous ont demandé un quart des papiers d'hier, m'ont posé une question que je n'ai pas compris, ont dit "oh tant pis, on s'en fiche" quand je leur ai signifié mon incompréhension, et on tamponné les papiers. Fin. C'est un peu anticlimactic comme résultat je trouve, mais ... ON EST EN ARGENTIIIIIIIIIIIIINE
Tumblr media
Nous découvrons alors (enfin, "on", Dr X et Touille, les mauvais élèves, Dr Rathatton ayant bien bachoté son trajet depuis deux mois) que le début de l'Argentine va être fort agréable : c'est un immense parc naturel !
Tumblr media
Il y a encore pas mal de neige, ce qui nous limite dans la découverte des petits sentiers, mais déclenche des libérations de pulsions enfouies depuis hier par certain.e.s.
Tumblr media
Après un déchaînement de violence qui vaudrait bien un reportage sur la crevette, nous faisons nos emplettes habituelles à l'arrivée dans un nouveau pays : carte sim et sousous.
Tumblr media
Ici, c'est très bizarre : il y a de telles variations de la monnaie dans le pays qu'il y a carrément deux taux... Le taux blue, taux officieux auquel s'échangent les dollars dans le pays, et le taux officiel, utilisé par les banques et les cartes de retrait. On a quand même presque un facteur trois entre les deux ! On passe donc par western Union pour retirer des sousous, récupérons l'équivalent de 500 000 pesos argentins, et réalisons avec bonheur que nous allons pouvoir faire une imitation fort réaliste de Picsou : ici, le billet maximal est de ... 2000 pesos. Et vu qu'ils sont rares, on n'en a qu'une vingtaine, le reste est constitué de billets de 1000 et de 500. Vous avez déjà tenu une liasse de 550 billets dans la main ?
Tumblr media
Ce sont donc trois mafieux devant planquer des centaines de billets qui partent se coucher ce soir, posés au bord d'un lac, et surtout ... Du bon côté de la frontière !
5 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 89
Nouvel an (suite et fin)
Nous passons les grands manteaux sur les peignoirs ou directement sur la peau et traversons rapidement la cour (il fait pas chaud !) pour aller au donjon.
Là, les thermostats à fond, nous entrons dans une bulle tropicale. J'étais à coté de Xavier. Notre installation l'a fait encore plus halluciner que notre salle de muscu. Il n'avait jamais pensé que des particuliers pouvaient avoir ce genre d'installation, que c'était réservé aux décors de porno ou de boite de nuit " spéciale ".
Eric me l'enlève au prétexte que leur similitude niveau appareil sexuel le rend plus apte que moi à lui faire découvrir les tenants et les aboutissants de chaque poste et entraves.
Alors que certains se douchent (spécialement la face interne de leur trou) d'autres sont déjà en position. Ce coup ci c'est Manu et Jérôme qui se retrouvent en croix attachés contre le mur, Bruno et Jean Black dans leur dos. Jean et Ric se battent pour l'utilisation de la selle à gode. Chacun voulant assouplir son trou pour les futures doubles sodos. Je m'approche d'eux et je décide que Ric irait en premier s'asseoir sur le " pal " pendant que je goderais de plus en plus gros le trou de Jean.
Les autres se dispersent entre les deux niveaux. Tic, Tac, Théo se font suivre à l'étage par Olivier, Frédéric et Nicolas. Eric et Xavier entreprennent de s'occuper des cul de Phil et Luc pliés cote à cote en travers de deux selles. Comme ils ne sont pas loin de moi, je les préviens que je leur prépare deux culs pour double sodo.
Marc entreprend Pierre et Igor, Arnaud pendant que Kev se fait préparer à la sodo par Frédéric le copain de Jérôme. Pour un pur actif, son passage entre les cuisses d'Eric, et surtout l'élargissement de son petit trou vierge par sa bite lui ont fait découvrir de nouveaux horizons !!
Nos deux beurs, Samir et Ammed, font le service. Ils nous approvisionnent en Kpotes, gels et même poppers pour moi. Je compte bien l'utiliser pour pouvoir élargire encore plus les trous déjà accueillants de mes deux poulains. Je note au passage qu'ils bandent encore comme des ânes, leurs shortys cuir paraissant trop petits.
Avant de goder mon petit Jean, je l'encule (après il sera trop " large " pour moi tout seul !). j'ai plaisir à retrouver ce trou que j'ai rodé, formaté (et qui me rapporte tant). Je m'arrête avant de jouir, c'est trop tôt !!
Je décide qu'en 4 godes il sera prêt à monter la selle. Gel plus un peu de poppers (pour aller plus vite), je lui élargi le trou. Il gémit comme la bonne salope qu'il est. De plus de voir sous son nez Ric s'enfiler sans souci le plus gros engin de notre collection, le motive. Quand il est prêt, je fais descendre Ric. Pour le faire patienter, je le plug gros puis j'installe Jean et lui demande de s'asseoir. Les pieds calés sur les étriers, les cuisses en tension, il descend tout doucement. Il veut profiter des sensations provoquées par l'intromission de chaque cm de plastique (et il y en à 28 !!).
Avec Ric à mes cotés, nous voyons tout le travail de Jean (surtout de sa rondelle) à absorber le plastique. Vers les 24cm il peine un peu à cause du diamètre. Je lui fait sniffer du poppers à chaque narine et il reprend sa descente. Je n'ai pas besoin d'en remettre avant que ses fesses touchent le cuir de la selle. Il se relève doucement. Je remets une couche de gel avant qu'il ne se l'enfonce de nouveau. Nouvelle pause au contact avec la selle. Je pose mes mains sur son épaule droite et demande à Ric de faire de même sur celle de gauche. A mon signal, nous appuyons. Les fesses de Jean s'écartent et c'est alors son trou qui touche le cuir. Ce dernier effort le fait gémir ! Pour les autres va et vient, Jean s'écarte tout seul les fesses de ses mains ;, comme quoi !
Mes deux jeunes sont prêts. Je rameute tout le monde que les doubles sodo vont commencer. Avec Marc, j'organise les montées en puissance dans chaque cul. A part Pierre et Arnaud, tous veulent essayer ! Nous accouplons les bites et décidons de l'ordre de passage, de l'ensemble le moins gros jusqu'à celui fait par Eric et Xavier (un monstre de 26cm de long mais surtout 10cm de diamètre !!).
Une seule position : le mec avec la bite la plus longue couché sur le tatami, l'enculé à cheval sur lui et le second à genoux derrière.
Les duos se succèdent dans les deux culs, chacun voulant tester les deux trous ! Si les premiers se passent bien vu la préparation que je leur ai faite, ça ne tarde pas à se corser et je rouvre le flacon de poppers pour les aider.
Nos deux salopes prennent un plaisir fou. Quand une légère fatigue prend les enculeurs, c'est d'eux même qu'ils bougent pour pomper les queues avec leur cul ! Même si chaque changement de couple leur demande un petit effort supplémentaire.
Avant l'apothéose, leur dernière double est faite d'une part d'Eric + Marc et d'autre part de Xavier et Igor. Nous sommes tous autour à bander comme des malades et à branler la bite voisine.
Le silence n'est brisé que par les halètements des protagonistes au taf et les gémissements enculés.
Jean est le premier à se prendre la méga double sodo. Pendant ce temps là Ric patiente avec Marc et Igor pour éviter un resserrement trop rapide de sa rondelle. Malgré les précédentes, je dois le re doser en poppers. La pénétration est lente et longue. Les plus jeunes debout, autour grimacent de compassion avec Jean. La sueur coule du front de Jean et l'inexorable envahissement lui tire quelques larmes d'effort ! Il lui faut plus de 10mn pour réussir à tout prendre. Il est beau dans l'effort et les autres jeunes l'admirent et l'encouragent. Ric ne perd pas une miette de l'exploit ! Dès qu'ils ressortent, j'applique une nouvelle couche de gel sur les queues. Ça glisse mieux et Jean s'ouvre bien. Ric et Xavier nous confient être bien serrés et que les sensations sont sans commune mesure avec une sodo simple. Jean jette l'éponge au bout d'un bon 1/4 d'heure. Je fais un signe et Samir aidé d'Ammed vient l'aider à se sortir de sa situation. Ils le couchent sur le dos au coté de ses " envahisseurs ". Ric très excité ne perd pas de temps il attend juste que Samir et Ammed aient changé et graissé les Kpotes pour venir s'asseoir à son tour sur le " pal " de chair. Il met moins de temps pour les prendre entièrement. Sans aide, il monte et descend les 26cm. C'est très beau à voir. Ses muscles gonflés, la peau imberbe, il bande encore malgré ce qu'il a dans le cul ! Son plaisir se voit sur son visage, il jouit vraiment de la situation. Il alterne les descentes complètes avec des massages de gland par sa rondelle. Mais la plus part du temps il profite de toute la longueur de l'ensemble exceptionnel qui le perfore. Xavier et Eric ont de plus en plus de mal à se retenir ! D'un commun accord, ils relèvent Ric et le couche à coté de Jean. Une fois debout, ils rejoignent le cercle de branle que nous faisions autour d'eux. Ils sont les deux premiers à juter, envoyant leur sperme sur les deux héros de la soirée. Nous les suivons tous en cascade. La quantité de sperme est telle qu'il coule des corps de Jean et Ric sur les tatamis. Samir et Ammed derrière nous ont juté dans leurs shortys car les bosses que faisaient leurs bites ont disparue.
Nous laissons le premier tour de douches aux " vieux ". Pendant se temps là, je m'occupe avec les autres jeunes de Jean et Ric. Ganté, je vérifie l'état des " dégats ". L'anus de Ric est déjà bien refermé, celui de Jean un peu moins. Quand je lui demande s'il continue toujours à bien faire ses exercices de musculation de son anneau, j'ai droit à une grimace explicite. Je l'engueule un peu pour la forme mais insiste sur l'importance de la chose s'il ne veut pas finir avec une " chatte baveuse " ! Il me promet de s'y remettre sérieusement.
Après une douche qui ferait lever les cheveux sur la tête des écolos (vu le temps qu'on a passé sous l'eau chaude !),
Nous nous sommes retrouvés, calmés à la maison. Là, chacun a fait ce qu'il voulait. Champagne, whisky, canapés et petits fours, nous avons repris des forces.
Le dimanche, tout le monde est parti, les " couples " les premiers, Kev pris en charge par Eric..... !!! (je saurais ce qui c'est passé), Jean ramené chez lui par Igor, il ne m'est resté que Ric à rendre à son père. Chose faite en milieu d'après midi pour le plus grand plaisir de son géniteur qui l'attendait avec une telle impatience (3 jour sans le baiser) qu'à peine la porte fermée, il lui faisait téter sa queue. Je les laissais à leurs retrouvailles familiales et rentrais.
Impressionnant le silence ! Après 3 jours et demi à 25. Marc me dit que nos deux beurs sont au donjon à tout nettoyer. Je m'affale à ses cotés dans le canapé, tué par ce nouvel an ! Il me prend dans se bras et nous nous faisons un grand câlin. Vers 19h nos deux beurs sont venus nous dire qu'ils repartaient chez eux. Je donnais à chacun son enveloppe avec dedans 1000€, c'est pas tous les jours le nouvel an !
JARDINIER
Tumblr media
~
Tumblr media
+
Tumblr media
11 notes · View notes