Tumgik
#longs orteils sexy
callmemademoiselles · 5 years
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Jo (2/2)
Jo répondît rapidement, j’imagine qu’il devait attendre ce message. Il était okay pour me revoir, ça tombait bien. Avant cette nouvelle entrevue, une préparation matérielle était de rigueur. Un amant m’avait un jour recommandé une boutique et s’est donc naturellement que je lui proposa de m’y accompagner. C’était ma première visite au Sexodrome, sex-shop gigantesque de Pigalle. Je me souviens avoir été impressionnée par sa surface de vente ; le rez-de-chaussée et ses trois niveaux... bondés d’étagères et de vitrines consacrées à l’unique promotion de l’industrie du sexe, sur fond de « faites-vous plaisir ». Une version contemporaine de la caverne d’Alibaba, fourrée de godes, fleshlight, tenues sexy et autres gadgets sexuels colorés, aussi intrigants de par leurs formes, leurs textures ou leurs fonctions. Toutes les chances d’y trouver mon bonheur. Après exploration des rayons, prise en note des quelques conseils d’une vendeuse et deux ou trois précisions auprès de mon ami, je me dirigeais vers la caisse, accompagnée d’un petit panier bleu bien remplit. Paiement, retour au domicile, déballage des achats... J’étais parée.
Quelques jours après mon passage en boutique, je retrouvais Jo chez lui, à la fin de ce que l’on pourrait appeler, une longue journée. Il n’avait fait aucun effort apparent, ça commençait bien... Je devais m’affirmer c’était évident mais j’ignorais comment faire cela... Sans trop réfléchir, me contentant de suivre instinct et envies, je pris sa main et lui demanda qu’il me mène à la salle de bain. L’appartement était étroit mais tout de même raisonnable pour le quartier, en partie grâce à la mezzanine. Il faisait clairement partie des plus grands logements que j’ai pu visiter dans Paris, bien qu’il fut peu optimisé par son locataire... mais agréable surprise, il y avait une baignoire ! Chouette alors ! Je me planta devant Jo. Mes yeux plongés dans les siens, le toisant d’un regard à la fois amusé et assuré, autant qu’il m’était possible alors. Je lançais, un peu hésitante, mon premier ordre. « Fais donc couler un bain ». Pendant qu’il obéissait, je ne le quittais pas des yeux, son visage si sérieux, son air si docile... nous étions comme rendus muets. Savourait-il l’instant autant que moi ? Si près que je le touchais presque, j’ôta mes vêtements avec une lenteur exagérée, guettant ses éventuelles œillades en coin et observant son jogging se tordre et se tendre à mesure de l’effeuillage. Il inclina la tête quand il s’adressa à moi, le bain était prêt. Je palpitais de désir à son égard, le contrôle devait être de rigueur pourtant je ne pu m’empêcher d’empoigner sa verge, tentante, toujours gonflée sous son survêtement. Il en fut si surpris qu’il se cambra, dans un soubresaut. Plaisante réaction. Je m’approcha jusqu’à venir accoler ma nudité le long de son flanc, ma main droite enserrant sans ménagement son sexe, la gauche remontant du bout des doigts la courbe de son dos jusqu’à venir se planter dans sa chevelure hirsute. Mes lèvres à quelques centimètres de son oreille, je jubilais intérieurement. Je lui susurra quelques mots, l’invitant à se mettre à poil prestement. D’une petite tape sur la queue, il eut le top départ et s’exécuta si vite qu’il manqua d’en perdre l’équilibre. Un petit rire narquois lui fit une fois de plus baisser la tête. J’en profitais pour me servir de son membre comme d’une main galante que l’on daigne saisir pour passer un obstacle, et fondis ainsi dans le bassin d’eau fumante.
La température était idéale, ne manquait que la mousse, costume d’écume qui aurait revêti mes attributs et enivré nos sens... Jo ramassa une éponge et me proposa ses services. J’acceptais volontiers. Tandis qu’il provoquait par pressions de chaudes cascades dévalants mon dos, mes bras, mes seins, faisant naître de mon être une rivière, je me laissais aller à profiter de ces premières caresses. Timidement, Jo me questionna, il voulait s’assurer que j’avais bien réfléchi à propos de notre dernière discussion aux abords de la mairie. Sourire malicieux. En effet, j’y avais songé, il devait l’avoir deviné mais cela devait le rassurer de m’entendre lui dire... Relevant les pieds tour à tour pour qu’il puisse les frotter, j’entrepris de lui apporter une réponse plus complète. Il voulait m’être soumis et moi je désirais lui prendre une chose précieuse en échange... la virginité de son cul. Un mot existait pour définir cette pratique mais qui donc aurait pu me l’apprendre ? Heureusement, sur internet on trouve tout ou presque ; le pegging ou chevillage définissait cette pratique sexuelle où la femme pénètre l’homme à l’aide d’un gode ceinture. Jo hésita à l’annonce de la requête, d’abord décontenancé, il se laissa finalement convaincre. J’avais promis d’être bonne avec lui. Le bain retrouva son ambiance, au détail près que la discussion avait échauffé de plus belle mon esprit. Ma main attirée par sa queue, s’en saisie pour la seconde fois, provoquant de nouveaux tressaillements chez ma proie. Son érection ne se fit pas attendre, si bien que, vite mes doigts glissaient jusqu’à son petit trou innocent... véritables tremblements. Frappé lui-même de constater qu’il adorait ça, sous un léger voile de honte. Prenant appui sur les bords de la baignoire, je me redressa, exposant directement mon pubis sous son nez. Quel air penaud avait-il, je m’en réjouis toujours. Je réclama qu’il prenne du savon et vienne laver de ses mains mon sexe fiévreux. C’est avec la plus grande des délicatesses qu’il s’appliqua à obéir, tirant profit de l’occasion pour exciter délicieusement mon clitoris. Quand ce fut trop, c’est face à mon fessier qu’il se trouva, déglutis et poursuivit la toilette, s’affairant sur ma rondelle rosée. Trop court à son goût car je replongeais vite sous les eaux en un éclat obligé. D’un geste, il sut qu’il devait me rejoindre dans l’étroite loge. Je repliais un peu mes jambes pour que nous puissions nous voir en tête à tête. En immersion, mon pied serpenta et se posa sur son anus, alors que je le branlais nonchalamment. Il ne pipait plus mot, il subissait mes fourberies. Concentrée sur mes gestes, mon orteil se faufila et perça sans difficulté son antre, j’accélérais la cadence avec sa bite, attentive au moindre soupirs, gémissements que je provoquais chez Jo. Son cul était ouvert, il m’attendait, me réclamait...
Sans aucune notion du temps, je finis par sortir de cette merveilleuse léthargie, annonçant la suite des événements. Je le libéra et il se précipita de quérir une serviette pour accueillir ma sortie des flots, et me sécher. Autre directive, récupérer un petit sac rose que j’avais laissé en bas, me le déposer et m’attendre à quatre pattes, croupe offerte, sur le lit. Pendant qu’il s’installait, de mon ballot je dégagea mon nouveau jouet, ma nouvelle extension. Un harnais auquel je venais fixer mon premier jouet anal, noir, de forme progressive et d’une longueur moyenne. J’avais également préparé une tenue, petite nuisette noire en dentelle, simple et efficace. J’œuvrais à me parer de cette combinaison inédite, songeant au « cul bénit » qui se languissait de l’autre côté de la porte... complétant d’un préservatif et emportant mon flacon de lubrifiant.
Qu’il était exquis de miroiter ses parties intimes ainsi exposées, sa posture suppliante et soumise. Qu’il était savoureux de voir un homme ainsi offert. Je n’étais qu’une femme et lui était là pour me servir. Une vague de chaleur m’enveloppa de son halo quand je vins couvrir sa fente de ma langue, à le dévorer de la sorte, des vagues de chaleurs nous immergeaient tous deux. Épiant ses couinements émoustillés, je me régalais tandis que mes doigts impatients recouvraient sa verge si dure, la frottant à un rythme plus ou moins certain. Ma vulve quant à elle, palpitait de ce festin tant physique que sensoriel, je le désirais tellement.
Jo, le cadeau que tu me fis ce jour là fut si précieux.
Je me redressa , t’ordonna d’écarter chacune de tes fesses, t’enduisis de lubrifiant et progressivement te pénétra lentement. J’y étais ! Je baisais ton cul et c’était ineffablement bon. Mes coups de reins faisaient cela, j’avais ce pouvoir et j’en étais assoiffée. Je repris ta queue dans ma paume, tu bandais mou, ce n’était rien, mes va-et-vient arrangeraient cela. La béquille de retour, mes mouvements se firent plus amples, plus profond, mon excitation était à son apogée. Extase ! Jouissance mentale ! Folle euphorie à la découverte de ces nouvelles sensations, à mesure que je te culbutais, je prenais conscience que j’avais donc bien un vice ! ... Un seul ?
Tellement absorbée par mon propre plaisir j’en oublia celui de Jo, il ne tenait plus la sodomie, déjà bien pour une première. C’était bon, mais trop. Je stoppa mes mouvements sans toutefois m’extraire de ma nouvelle cachette. Quelque chose me chatouillait la cuisse et il me suffit d’y poser les doigts pour comprendre à quel point cette expérience m’avait stimulé. J’étais trempée comme jamais de ma vie je n’avais été. Ma cyprine si abondante, je ne pus m’empêcher de labourer son cul une bonne fois pour toute à cette petite chienne, tirant sur sa touffe, hissant sa tête vers moi pour voir sa gueule tordue par mon gentil matraquage. Je l’acheva, le perforant au plus profond de son être. Je cracha sur sa belle petite gueule et m’écrasa tout contre lui, essoufflée, chamboulée... Je me retira, enfin. Il n’en pouvait vraiment plus le pauvre, son innocence avait pris cher, jusqu’à anéantissement. Mais loin de laisser filer la fièvre, j’expédiais mon sexe de substitution pour lui présenter l’authentique, il devait s’en occuper, je ne tenais plus.
Sur sa tige droite, il ajusta une capote. Le chien devait satisfaire sa nouvelle dominante, et bordel, je le voyais vraiment comme tel ! Un chien juste bon à se frotter piteusement, semblable à un caniche s’excitant sur les pieds de sa maîtresse. Mon orgasme raisonna en une fulgurante montée en décibels, il retrouvait un peu de son honneur après s’être fait fourrer comme une vulgaire dinde. Il vint se joindre à moi, explosant dans mon vagin après avoir bander durant ce qui nous parus des heures. On s’effondra, convulsant dans une parfaite hébétude satisfaite..
Jeune femme timide à prime abord, la transformation était entamée. Telle une chenille dans sa chrysalide, la délivrance venait d’opérer. Je me sentais belle, puissante et monstrueuse.
Ainsi fut la naissance d’une Déesse, la nouvelle vie de Mademoiselle S.
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pieropolis · 5 years
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P.3
Il l'embrassa avec autant passion que lui-même, il ne se reconnaissait plus. Un pouvoir l'avait entrepris et possédé. Il ne dirigeait plus son corps. Tout ce qui était présent, c'était la sensation intense qu’elle lui procurait avec ses mouvements, avec les frottements, avec ses mains sur ses joues et surtout sa tiède bouche. Des sensations cachées; comme une force électromagnétique. Deux pôles opposés qu'une fois unis, c'était très difficile à séparer. Ces sensations qu'il avait survolées dans ses rêves où elle était la partie plus chaude des nuits froides. Et, il ne croyait pas sa peau; la chaleur onirique personnalisée avec arôme à femme était sur lui. Leurs bouches sont restaient collées longtemps. Leurs lèvres qu'au début étaient saveur à fraises; elles sont devenues sa saveur préférée; saveur à elle. Et cela lui avait rendu un fou amouraché. Car, jusqu'à présent, il les avait juste regardés de loin et il se demandait ça pourrait être quoi de les embrasser? Et voilà, à présent, il glissait ses lèvres entre les siens. Si c'était un rêve, il ne voulait pas se réveiller. Et pendant, qu'il était concentré à toutes ces sensations et à ces pensées; il s'est rendu compte à quel point il la désirait. Elle, de son côté, cherchait à qu’il dise combien il aimait ses baises. Les swings lents que suivaient ses mouvements ondulatoires, sa bouche semi-ouverte qui cherche sa langue comme une personne affamée, ses yeux fermés, sa grimace de plaisir; c'était sa réponse. Il était hypnotisé par elle. Simple biologie ou beaucoup chimie. Il aurait pu dire que son cœur allait éclater pour elle. Mais, les mots étaient partis et c'étaient leurs corps qui parlent. Ce langage primitif, instinctif et universel qu’avait le sexe. Si elle l'aurait donné la chance de dire quelque chose, s'aurait été qu'il n'aimait pas seulement la saveur de ses lèvres, la forme de ses yeux, la couleur de sa peau, la forme de ses hanches, la texture de ses cheveux ou son parfume, mais plutôt “elle” et tout ce qu’avait un rapport avec elle. Il l’aimait depuis longtemps et l'avait désiré dans innombrables nuits et la lune avait été témoigne.
Et pendant cet instant, leurs langues s'entrelacent doucereusement. Il avait encore ses yeux fermés, car un baiser si passionné et plus joignable et sensitif dans l'aveuglette. Et, en fermant les yeux, il s’était donné tout à elle. Il était très concentré dans la douceur de ses lèvres. La même danse de ses hanches se reproduisait avec leurs langues. Elle avait ses deux mains à chaque côté de son visage. Elle voulait le tenir; s'assurer que sa bouche n’allait pas s'éloigner ou s’échapper. Qu’elle allait rester proche à la sienne. Sa respiration accélérée était le rythme de la danse qu'ils faisaient sur le divan. Ses cheveux tombent en couvrant le visage à lui, en couvrant le baiser. Leur boule intime, où personne ne pouvait rentrer. Car, il n’y avait pas d'espace pour une autre personne; seulement elle et lui. Et pendant, qu'elle était sur lui; il avait toujours une main sur sa hanche et l'autre avait glissé lentement jusqu'à rentrer ses bouts de doigts sous son jeans. Et, aux pas très ressemblants à celle d’une lambada lente, ils se sont aimés.
Elle changea la direction de ses mouvements pelviens;  sens inverse. Son pelvis ne faisait plus des bagues vers l'avant. Mais, plutôt vers l'arrière. La marée avait changé de direction, car sa lune faisait une plus grande pression sur lui. Il pensait à sa chambre, à  son lit, à elle toute nue. Et, elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait avec lui. Il était prêt à se donner dans tous les sens, complètement sur le lit. Toute autre chose est devenue juste une banalité, des problèmes éphémères. La suite de choses au lendemain? Sans importance... Car il avait juste le présent et pas de futur. Le présent était les deux et rien de plus qu'eux. Un futur sans ce moment aurait été une vie, en quelque sorte insipide et manquante. Il tournait sa tête vers sa droite pour prendre des bouffées d'air. Elle chercha sa bouche, mais lorsqu'elle voit qu'il essayait de respirer, elle fait un gros sourire. Il la regarde de manière agitée. Il se sentait au paradis. Sa poitrine gonflait fortement. Lorsqu'il regarde son sourire tendre, ses belles dents et sa bouche mouillée. Il dégage un sourire d'amour. En voyant ça, elle sent que son cœur fond. C'était l'amour en état pur ou l'excitation incontrôlable. Ce qu’était certain, c'était la suite.
Il se lève rapidement, la prend par la main et la tira vers lui, en traversant le salon. Elle était confuse pendant quelques instants; jusqu'au moment où elle réalise qu’il était en train de la diriger vers sa chambre. Il la fait rentrer dans la grande chambre bleue. Elle était semi-illuminée. Des rayons orangés rentrent par l'ouverture des rideaux. Le mur en face de la grosse fenêtre était coloré par le coucher du soleil. Tout cela rendait une atmosphère incandescente. Tel que l'état de leurs corps. Le grand lit blanc, sa couverture était étendue à la perfection et il attendait se faire désigner par les silhouettes de leurs corps. Elle rentra et se plaça devant le lit, se tourne vers lui et voilà, encore une fois, cette d'expression faciale. Ses grands yeux et son sourire gêné; mon Dieu qu'elle est tellement belle!
Il dit à voix haute:
-OK Google! Jeu n'importe quelle chanson de ma playlist.
L’assistant numérique lui répond avec une voix synthétique:
-Ok, je mets “When the night is over” de Lord Huron sur spotify.
Le premier accord de la guitare basse et la percussion sonnent, c'était la chanson qu'il avait autant de fois écoutée pendant ces innombrables nuits blanches; quand il y avait rien qu’elle dans ses pensées. La chanson parfaite pour une telle occasion.
Il la regarde de loin et s'accote sur la porte pour la fermer. Personne n’allait rentrer ou sortir de la pièce. Cette espace et cet instant étaient à eux. C'était le moment. Il s'enlève d'un seul mouvement sa chemise carrée et elle finit de se déboutonner sa blouse céleste. Entre temps, il s'approche vers elle, de façon maniaque, pour l'embrasser pendant que les manches sont restées poignées au niveau de ses mains. Il essaie d’enlever sa chemise au complet. Mais, avant il s'approcha encore et encore pour une autre baiser. Comme si à chaque mouvement de son corps devait être accompagné par un baiser; comme un plongeur dans l'océan. Ce baiser qu'elle savait tellement bien faire et que ça faisait déjà une très courte éternité sans elle.
“My one and only love
I've been lonely long enough
Will I find you when the night is over?🎶
Le temps s’était dilaté pour eux. Tout est devenu au ralenti...
Tell me where did you go?
I've been searching high and low
I have only 'til the night is over”🎶
Ils sourient. La blouse était sur un coin du lit. Et lui, il avait forcé les boutons des poignées de sa chemise. Il ne l’avait même pas senti tomber. Il s'en foutait carrément. Par contre, il se débarrasse de ses souliers d'un seul coup.
Son soutien-gorge balconnet faisait un contraste coloré avec la tonalité de sa belle peau.
“In every window, I pass
Your reflection in the glass
Makes me wonder if my mind is going
Shadows shifting in the rain
Slowly driving me insane
By the stars above, I know we were in love
I have only ’til the night is over”🎶
Elle s'assit sur le lit pour défaire les lacets de ses courtes bottes. Elle les avait serrés trop fort et maintenant, elle avait la misère à défaire le nœud. Il se pencha pour l'aider avec l'autre botte.
“I feel the weather change
I hear the river say your name”🎶
Sans trop tarder, ils finissent à même temps. Une fois les bottes foncées mises de côté; elle se releva pour enlever son jeans.
“I watch the birds fly by
I see an emerald in the sky”🎶
Mais il l'arrêta. Il posa ses mains sur les siennes et il demanda de lui laisser la déboutonner. C'était le moment, l'instant rêvé. Et, il voulait le faire si lentement qu'il voulait enregistrer ce moment dans ses yeux, dans son cerveau, au plus profond de son hippocampe. Face au bouton bronzé. Le silence entre eux, la couleur rougeâtre du Sunset sur la couverture blanche du lit et son parfum est resté imprégné au plus profond de sa mémoire pour toujours. Finalement, il déboutonna le bouton métallique du jeans; descends lentement le zipper. Entre l'ouverture du ceci, elle se trouva une culotte hipster noire avec des détails bordés qu'il trouva si sexy que ses yeux restent séduits. Il baisse son jeans au rythme de la musique et en profita pour caresser ses jambes, ses genoux, ses mollets jusqu'à ses pieds. Pour elle, cette délicate caresse faite par les paumes et les doigts le procure une sensation extrêmement agréable. Une simple caresse n'a jamais était si plaisant à sentir.
Les bordures de sa culotte marquaient à la perfection les contours et les reliefs de son bassin. Il n'a pas pu se résister d'embrasser sa peau au bas de son abdomen. Ses lèvres ont eu la sensation de toucher le pétale d'une rose. Si douce, si délicate. Elle s'accota sur le lit.
Now how the trail has gone cold
I don’t know where else to go🎶
Il s'approcha pour s'allonger sur elle et l'embrasser sur ses joues rouges, mais elle met son pied droit sur sa poitrine, ce qui l'arrêta à  l'instant. Pas si vite! Il la regarde; elle sourit de manière coquette. Elle voulait encore jouer avec lui. Elle adorait jouer et lui, il aimait expérimenter, être spontané et se laisser aller. Il prit son petit pied avec ses deux mains et l'embrasse sur la plante du pied. Dès son talon jusqu'à son gros orteil; lequel finit par être caressé par ses lèvres et par le bout de sa langue. Elle dégagea de respirations plaisantes. Ses yeux fermés, son cou étiré vers l’arrière, la courbure de son épine dorsale levée; elle était excitée...
And my time, I fear, is nearly over
When the ocean drinks the sky
And the city winks its eye🎶
Il descend avec sa bouche par le côté intérieur de sa jambe. Toujours en descente; il embrassa sa cheville avec de petits bisous passionnels. Ensuite, par le péronier; sa bouche descendait comme un enfant sur une glissade. Suivi par son mollet jusqu'au côté latéral du genou. Lieu où il ralentit. Elle, toujours allongée dans la blancheur du lit, lui regard en serrant ses lèvres de bouche. Une bouche serrée que criait de désir. Feu vert! Si extasié, il commença le pèlerinage. Le long et lent trajet de sa cuisse vers le début son labium; pas à pas, pouce à  pouce, pore à pore. Des yeux fixés vers ce visage en feu. Plus il s'approcha vers le centre, plus elle se contorsionnait subtilement et gémissait en silence; plus il donnait des bisous intenses. Il prit avec ses doigts les côtés de sa culotte noire. Elle leva son bassin pour qu'il puisse  la descendre. Son hipster noir se roula sur lui-même vers le bas par ses jambes. Un liquide gluant s'étira et parte avec elle.
When the night is done, you’ll vanish in the sun
Will I hold you when the night is over?🎶
Il finit par l'enlever complètement et continue le chemin vers les marchés à son autel de plaisir. Une fois la bouche pèlerine arrivait à sa destination; il approcha le bout de sa langue vers l'autel, comme s’il serait en train de toucher le statut d'une déesse en forme d'ogive. Il finit par démontrer sa dévotion passionnelle et sa frénésie. Il trouva l'oasis pour sa soif de sa libido et de son désir envers elle. La déesse aphrodisienne met ses mains sur la tête à lui et bougea au swing circulaire. La danse plus harmonieuse qu’ils n’ont jamais fait.
Am I lost inside my mind?
There’s an emerald in the sky🎶
Il s'incorporer en genoux sur le lit, entre ses jambes écartées. Lui sur elle, à torse nue; leur contact physique, leurs bouges qui se cherchent mutuellement, l’amour dans leurs yeux. Elle l'entoure avec ses bras et le colla vers elle. Ils s'unissent finalement. Il sentait la chaleur charnelle à l'intérieur d'elle. L'excitation traduite dans leurs mouvements. Des sons omatopediens de jouissement. Ils étaient un seul être. Un seul missionnaire.
I hear the river say your name
By the stars above, I know we were in love
I hear the river say your name
I have only ’til the night is over🎶
Des mouvements lents et de fois rapides, mais toujours synchronisées et au rythme de la musique qui leur élèvent vers le ciel. Ils arrivent au climax; à l'extase ultime. L'orgasme parcourt leurs corps, des pieds au cerveau. Il s'allongea à côté d'elle. Entre l'ouverture des rideaux; les étoiles sont présentes. Il voit une émeraude dans le ciel...
Leurs torses gonflent exagérément; ils sont épuisés. Leurs mains sont inséparables; les doigts annulaires se touchent. Elle s'approcha vers sa joue et lui offre deux bisous si tendres que son cœur reprend son état. Elle finit par mettre sa tête sur son épaule. Entre mots semi-endormants. Elle prononça: -Je t'aime. Il lui répond avec tendresse: -Et moi, je t'adore.
La nuit était arrivée depuis quelques heures. Elle s'endormit collé à lui. Il l’a regarda dormir et il demanda si elle serait tu en train de rêver quelque chose? Elle serait-tu en train de rêver avec lui? Où s’il serait-tu en train d'avoir un rêve vif comme d'autres fois? Son bras contournait bien son dos. Il pouvait sentir son pouls et sa respiration sur son épaule. Il se tourna, l’entoura avec son bras, l'embrasse sur son front et il s'endort. Peu importe si elle s'en va ou si elle reste; il l'aime trop et il sait maintenant que cette nuit, elle lui aimait aussi.
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i-bobjia · 3 years
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chaussure course a pied homme
Je veux manger à Oklahoma Joe.égale Dans American Hustle, qui a reçu sept candidatures Golden Globe et est en train de générer de gros Oscar buzz, costumière Michael Wilkinson canalisé la glamour et sexy des années 1970 à l'aide de cuir, les lignes audacieuses et beaucoup de Vintage Shoes. Pierce Collants Homme Pas Cher a été ramassémais l'étiquette commencera son big push de gros au salon le mois prochain. Bleu marine, vert olive, le chocolat et l'or sont parmi les teintes, incluent le cuir et les matériaux, de l'autruche et de soie, avec de somptueux feather imprime, gouttes d'encre et brocarts figurait également dans l'ensemble de la collection. boisson de choix: Sangiovese. C'est un intéressant jouer pour nous. En ce qui concerne les matériaux qu'il utilise, il semble être nubuck doux sur la zone des orteils, un renfort de talon en plastique, filet le long des panneaux latéraux, et la construction de chausson intérieur. comme le fabricant de nike air jordan 6 retro pour l'entreprise Site Web axé. Dans un rapport récent, l'American Apparel & Footwear Association a mis en évidence une baisse de 2, 7 pour cent dans les importations de nike roshe run prix aux États-Unis en provenance de Chine en 2012, la plus Chaussures De Running Homme récente année suivis. Nous servons nos clients où qu'ils soient. Ici, Schultz parle de sa boisson de choix, de frapper la salle de gym et son tout-temps favori paire de jordan 6 low black metallic. Les détaillants peuvent s'attendre à une autre bonne année dans la propriété hunt. Rédactrice de Mode: Mosha Lundström Halbert assistant éditeur de Mode: Valeria marché Boucas Editeur: Kristen Henning Tommy Bahama ne croit pas à donner des coups de pied dans le sable autour de pieds nus.tout ce qu'il fait est avec une sensibilité de mode internationale finement réglé indépendamment du price point, et qui vient de la grande expertise de l'équipe. Revêtir un tout foin supérieure, vous pouvez voir le cuir se trouve sur les panneaux latéraux, guérir et rousseurs, tandis que maillage orne la zone des orteils, de la langue et de la cheville collier. Où puis-je inscrire pour faire une collab. un bon, mais pour être mieux que Skates Moins Cher lui.Comment les changements dans le procédé de fabrication affecté l'apparence des produits de plein air. www.sportifsoldes.com/running/vetements-homme/corsaires-et-collants
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maximepistorio · 7 years
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ITALIE : Les pigeons voyageurs
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À Venise, les pigeons volent bas. J'ai encore failli m'en prendre un dans l'œil. Quant aux arnaques, je ne sais même pas si la vigilance aurait pu nous protéger. Tout est suspect. J'avais pourtant bien joué mon coup en choisissant ce Airbnb sur l'île de Giudecca, préservée des invasions barbares. Notre hôte, M., un dandy argentin, nous dévoile son rêve : faire de Giudecca le "Venitian Soho". Il nous raconte ses projets de galeries d’art. Il nous a laissé une bouteille de vin entre deux chandelles allumées. Je n'avais pas remarqué dans l'annonce que je réservais deux nuits dans le "Casanova Appartment". Il va falloir être à la hauteur...
Car la splendide cité aux mille gondoles est avant tout la ville des amoureux, où l'on attend que vous vous bécotiez dans un contrejour cuivré, entre le Spritz et la lasagne. Je me demande combien de connards ont traîné leur pouffiasse en vaporetto jusqu'au milieu de la place St Marc, pour s’agenouiller devant leur sac à main et les demander en mariage… à portée des vendeurs de roses et au son d'un saxophone soprano qui fait du Kenny G.
À Venise, les restaurants qui affichent des prix normaux manient l'art de la portion pour vous obliger à commander trois services. Puisque je n'ai pas voulu me rabaisser à cela, j’ai préféré continuer la journée comme si de rien n'était et crever de faim au point d'en devenir franchement désagréable. On avait commandé un caprese à 8,5 euros, et on a vu arriver une misérable tomate industrielle, alternée avec les tranches jaunes d'une mozzarella carrée. Huile d'olive du Spar pour agrémenter soi-même son extase. En plus j'avais très mal aux pieds. Mes vieilles Converse ne tenaient déjà plus à Bruxelles, alors ici...
Les vaporettos sont chargés comme des boat people, et les visiteurs internationaux se font coucou d’un bateau à l’autre. Un paquebot arrive, les vaporettos tanguent. Il déverse sa marée de touristes parés de leurs plus somptueux atours pour réussir ce séjour unique. On croise des chinoises prêtes à recevoir le Lion d'or et des allemands sapés en cowboys. Chacun se met en scène et ne regarde que soi dans le grand décor à selfie.
Les vrais habitants doivent être cloîtrés derrière leurs portes métalliques, dans les ruelles étroites. Ou alors ils sont restés commerçants comme leurs ancêtres, et ce sont eux qui marchandent des verreries, de la maroquinerie, des masques de carnaval et des cappuccinos.
Il pleut à torrents quand nous sortons du Palais des Doges, où nous avons contemplé les plus grands peintres décrivant la suprématie militaire de leurs mécènes. Un vendeur de graines pour pigeons manque de nous agresser. On le repousse comme on chasse un moustique. Mes Converse usagées sont submergées dès la première flaque.
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J'ai rêvé que l'armée vénitienne assiégeait Constantinople tandis qu'un demi-dieu arrachait la tête de Méduse. Dans une chapelle de Bologne, on a vu une statue allongée de Jésus, tripes à l'air, en couleurs. Ça m'a rappelé les panneaux québécois de sécurité routière, où l'on voyait un enfant dans une mare de sang rouge, avec l'inscription "ça pourrait être le vôtre". C'est certes macabre, mais beaucoup plus clair que leurs autres panneaux "Attention à nos enfants"... qui font craindre on ne sait quelle attaque de marmots carnassiers.
Les amis québécois qui nous hébergent à Bologne nous ont préparé des crêpes. – Maxime, tsu veux-tsu une crêpe au fromâoge ? – Vorrei provare. Ils me félicitent pour l'emploi du conditionnel mais leur fille de dix ans, en immersion complète, me corrige. "Assagiare" serait plus juste. Je retiens.
J'aime bien Bologne, ses arcades, son histoire gauchiste, sa vie culturelle, ses proportions. C'est une ville qui respire et qui vit. Les gens sont en forme. La bonne humeur et le soleil me font presque oublier ma douleur à la plante des pieds, et nous allons manger avec les amis de nos amis. G., post-doc en agronomie, est au chômage. Elle présente son compagnon D. comme un humaniste. Il est historien de l'Orient, spécialiste de l'Islam, et au chômage. – Il n'y a pas de travail pour un spécialiste de l'Islam !? – Non, on est dans le déni de l'Islam. D. sait tout sur Bologne, et nous explique que l'église de Santo Stefano (où nous avons vu le christ gore) permettait aux fidèles de faire un pèlerinage sans quitter la ville, car tous les symboles sont présents pour qui voudrait s'adonner sérieusement à la contemplation. Sacrés italiens, quelle idée lumineuse pour que les touristes restent chez eux !
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– OOH VOUS ÊTES TROP MIMI ! ENTREZ, ENTREZ ! MAIS QUE VOUS ÊTES BEAUX TOUS LES DEUX ! I., notre logeuse, a quitté la France pour devenir guide à Florence et louer une chambre sur Airbnb. Elle a mis ”Clair de Lune" de Debussy à fond la caisse pour nous accueillir. On est au début de l’œuvre, je parie qu’elle a lancé la musique au moment où nous avons sonné pour nous épater. Je n'ai jamais vu une hôtesse supplier autant pour qu’on lui laisse 5 étoiles. – Vous voulez de l'eau plate ou pétillante ? Plate ? Mais vous êtes des petits coquins ! Avant même que nous ayons posé nos fesses, I. ouvre la fenêtre et nous raconte toute l'histoire de l'église Santo Spirito, où naquit l'humanisme. Séduction a plein nez, emploi du passé simple et du futur simple : – il naquit en... il vint à Florence pour... et il concevra... il se distinguera... Et toi tu vas voir, dit-elle en s'adressant à Agathe, Santo Agostino c'est le plus sexy de tous les saints ! Autant que ton mec ! On tire encore un peu sur nos sourires, on garde notre air intelligent. Je n'écoute pas un mot, je pense à ne sourire ni trop ni trop peu. Essayer de la rassurer pour qu'elle se détende, mais sans me montrer sous le charme, pour ne pas lui donner le pouvoir. – Et pour demain, vous avez un guide ? Je la sentais venir. On se défile habilement. Debussy se termine. I. retourne sur YouTube et met Satie, "première gymnopédie". Ça va, on a compris que t'es française.... – ... Et vous claquez la porte derrière vous, le nez en l'air et le sac fermé ! Vous êtes libres ! J'ai loupé le dernier passage, mais je consens à un rire pour accompagner la ponctuation. – Je vous sens tous les deux très réceptifs à l'histoire de l'art. Toi en particulier, poursuit-elle sur le ton pénétrant d'une chiromancienne. Tu dois avoir un cursus en histoire. Je me dévoile. Oui, nous sommes sensibles à l'émotion artistique, mais nous n'avons pas de formation intellectuelle en la matière. La voilà rassurée sur mon compte.
On est allés se promener et admirer les statues de l'enlèvement des Sabines en face du Palazzio Vecchio, mais ma douleur aux pieds devenait si intense que j’ai tout interrompu. "On entre dans le premier magasin de sport qu'on voit, et j'investis tout ce que j'ai dans une paire de baskets." Chez Universo Sport, je trouve de magnifiques Adidas Gazelle jaunes et bleues. Je sors mon plus bel italien : – Vorrei assagiare questi in quarantaquattro. La vendeuse éclate de rire. Ainsi je voudrais goûter des godasses ! Je rigole avec elle. Il fallait dire "provare". "Assagiare" c'est pour les crêpes au fromage mais pas pour les pompes... bien que, lorsque j'enlève mes reliques de Converse, elles aient à peu près l’odeur des crêpes au fromage. J'essaie de dire en italien que j'apprécie ces chaussures, j’achète de l'imperméabilisant car il va pleuvoir dans une heure, je paie, on sort, je n'ai plus mal, et, enfin, mes pieds soulagés m’ont permis de comprendre pleinement, sur le parvis du Duomo, le mot RENAISSANCE ! Il n'a pas plu une goutte, et après une heure de marche je souffrais le martyr comme une toile du bas moyen-âge. "C'est normal, elles doivent se faire." Agathe est rassurante… elle aimerait aussi que je change de sujet.
Le lendemain, je me félicite de trouver, à la pharmacie, des pansements pour talons. Je suis prêt pour la Galerie des Offices. La terre entière est là. Botticelli provoque, chez les touristes de toutes générations le besoin de sortir leur smartphone et de prendre une dizaine de photos de leurs enfants devant Vénus sortant de sa moule. J'ai trop mal aux pieds, je suis en sueur. Je me cache aux toilettes pour retirer mes chaussures, desserrer les lacets au maximum, et j'essaie de les remettre. J’ai moins mal à mes ampoules, mais maintenant c'est les orteils qui me font souffrir. En particulier le gros, compressé contre son voisin plus long que lui. Les chaussures sont trop petites, je les ai choisies trop vite.
"Elles vont se faire. Elles vont se faire." Tel le Christ sur son chemin de croix, je tente d'oublier la douleur en gravissant la colline jusqu'au belvédère de Michelangelo. Nous avons encore marché cinq heures. Je sens mes cernes se creuser, j'ai envie de pleurer. On achète des timbres pour nos cartes postales. Je dessine une grande colonne d'ordre corinthien, avec une statue de moi à poil qui mange une glace. J'attribue l'œuvre à Gelatus Maximus l'Ancien. Je dessine aussi des gondoles au coucher du soleil, des anges et des vierges dans des halos hallucinés de lumière divine.
On rentre. J'enfile mes Converse pourries qui me semblent étrangement confortables, et on ressort visiter l'expo Bill Viola Electronic Renaissance. C'est crevant les vacances, vivement le travail, que je me repose. J'ai bien aimé les œuvres, mais j'ai failli mordre quand un groupe de connasses sexagénaires sont arrivées avec leurs smartphones du diable pour photographier les installations vidéo sans même les regarder, sans se demander quelle est la chute du film de 34 minutes qui défile devant elles. Une vieille salope se met juste devant mon nez pour enregistrer le film qu’elle n’a pas encore vu. POURQUOI OBLIGE-T-ON LES ADULTES À ALLER AU MUSÉE ? Ne pouvait-on pas les laisser se dessécher ce soir devant le débat Macron-Le Pen comme tous les honnêtes gens ?
Venise - Bologne - Florence, mai 2017
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