Tumgik
#même pas de collègue avec qui discuter
homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 125
Les vacances se déroulent bien. Le trio de copain est devenu nos amis et nous baisons à peu près tous les jours ensemble. Avec ou sans Manu et Théo. Jérôme n'est pas revenu cette année à la boutique de fringue et nous nous sommes contentés des draps de bain que nous avions laissé dans l'appart l'année dernière. Nous finissions la première des deux semaines prévues quand la gendarmerie est venue à la résidence.
Les voir en uniforme sur la terrasse venir vers notre table, nous a fait un peu peur. Y aurait-il un mineur dans le trio ?? Arrivés devant nous ils ont décliné mon nom. Je me suis " dénoncé ". Ils m'ont demandé de les suivre. Je me suis levé en maillot et j'ai écarté les bras en leur demandant " dans cette tenue ". Le plus âgé m'a regardé et m'a dit que nous pouvions aller dans l'appartement. Marc s'est levé et nous a accompagnés. Après l'entrée, il me dit que ma tenue importe peu, il devait juste m'informer que mes parents avaient eu un accident la veille et que malheureusement, ils étaient décédés.
J'ai eu d'un coup les jambes coupées et Marc a juste eu le temps de me rattraper. Dans le brouillard, j'entendais Marc engueuler la marée chaussée pour la délicatesse avec laquelle ils avaient délivré le message. J'émergeais avant qu'ils ne se fâchent. D'une voix blanche je leur ai demandé les circonstances. Quelques explications plus tard, à leur demande je me suis préparé à rentrer. Marc a décidé de rentrer avec moi, ne me sentant pas d'attaque à faire le trajet tout seul. Les gendarmes m'ont alors prévenu que deux des leurs (motards) nous escorteraient, le député local que mon paternel connaissait bien avait joué de son influence pour mon retour.
Marc m'a dit avoir fait passer le message, par Manu croisé en descendant aux motos, que nous quittions la station. ;Les gendarmes avaient eu le temps de prévenir leurs collègues et ils nous attendaient devant la résidence. ;Je suis rentré au radar. Il y avait trois motos devant moi pour m'ouvrir la route et j'ai copié chacun des gestes et chacune des positions de Marc. Sur l'autoroute j'ai enregistré comme une simple info le fait que nous roulions à fond. Les motards devaient être pressés de livrer le colis ! Marc m'a dit plus tard que toute sirène hurlante, nous sommes rentrés à 200 Km/h. Ce n'est que devant la morgue de l'hôpital que j'ai de nouveau repris contact avec la réalité. A postériori, je regrette de ne pas avoir savouré les pointes de vitesse que nous avons faites sur l'autoroute. Les policiers locaux m'attendaient. Descente à la morgue, il fait froid, quelques heures plutôt, je brulais sous le soleil. Deux corps sont sur les tables inox recouverts de draps. ;Ce sont bien mes parents (même si les papiers qu'ils avaient sur le prouvaient indubitablement). Marc me tient par les épaules. Même si je ne les aimais pas plus que cela, que nous ne nous voyions plus que deux ou trois fois par an, leurs morts me choque.
Marc discute des détails sordides avec les keufs et nous sommes autorisés à rentrer chez nous.
Dans la précipitation, Marc n'avait pas prévenu Samir et Ammed. Ils ont été très étonnés de nous voir arriver. Marc les a mis au courant en deux mots et après m'avoir présenté leurs condoléances, nous ont précédé à la maison pour l'ouvrir et la mettre en ordre de marche. De retour du garage, Jimmy était au courant et sans un mot est venu me serrer dans ses bras. Est-ce la fatigue, les nerfs ou la gentillesse de tous, mais je me suis mis à pleurer sans pouvoir m'arrêter. Je n'ai plus de souvenir conscient du reste de la soirée. Je me suis réveillé le lendemain matin dans les bras de Marc. Tout ce qui s'était passé la veille m'est revenu d'un seul coup, les keufs, le retour, les cadavres de mes parents. Marc m'a détaillé les obligations du jour. Retour chez les flics, visite aux Pompes Funèbres pour l'organisation des obsèques, notaire. Je passe les détails mais trois jours plus tard, je me retrouvais en possession de mon héritage. Merci Monsieur Sarkozy pour les frais de successions !! Je décidais de tout vendre sauf le chalet à la montagne, la villa à la baule et quelques meubles et bibelots qui avaient bercé mon enfance. Je gardais aussi les bijoux de ma mère (quelques beaux cailloux).
Avec l'aide d'André, le père de Ric, je plaçais mes avoirs, une vraie petite fourmi !!
Cette histoire m'avait bouffé notre seconde semaine de vacances, à croire qu'ils l'avaient fait exprès !
Marc reprenant le travail et les déplacements, il me dit de repartir à La Palmyre pour me changer les idées. Quand je lui faisais remarquer que le trio s'y trouverait encore, il me dit qu'il en était conscient et qu'il ne me demandait pas d'être fidèle. Je l'adore mon mec ! Trop fatigué, j'ai pris le Z8. Quand je suis arrivé, Marc avait prévenu par téléphone Manu de mon retour, et l'appart était prêt. J'ai retrouvé le trio à la piscine, juste un peu plus bronzé. Je leur ai demandé s'ils étaient retournés à la plage. Réponse négative que sans nous cela manquait de charme ! Le soir même ils restaient avec moi et nous avons passé la nuit dans le grand lit.
Bien sur nous avons baisé et j'ai pris le rôle de dominant. Avec les petits jeunes, j'adore. Avec les deux crevettes, ça été tout seul, de toute façon c'était déjà des passifs soumis. Avec leur pote musclé, il m'a fallu user de persuasion pour qu'il accepte que je l'encule aussi. La première semaine, il ne l'avait accepté que de Marc. Mais j'ai quand même réussi à lui mettre ma bite dans son cul. Ça valait le coup ! Son anus encore vierge 15 jours plus tôt et inutilisé la semaine passé était bien serré et j'ai pris un plaisir immense à sentir ma queue le défoncer. Pas encore très coopératif, il serrait son anneau jusqu'à réussir à m'immobiliser de temps en temps. En fait c'était meilleur que les culs faciles de ses deux potes. Il a admis plus tard que c'était quand même bon de se faire enculer. D'autant plus que ses deux amis n'étaient pas restés inactifs. L'un lui suçait la bite et l'autre mordillait ses tétons. Le lendemain, je les emmenais à la plage bien décidé à leur faire découvrir les charmes des dunes et du sous bois. Dès notre arrivée, je bifurquais sur la droite en haut de la dune. Il ne nous a fallu que quelques 10aines de mètres pour que nous tombions sur un couple entrain de baiser dans une déclivité. Je poussais en avant le trio qui sinon serait resté à les mater. Plus loin un quadra se faisait démonter l'anus par un jeune mec. Il lui demandait explicitement de l'enculer comme une salope. Nous nous sommes installés sur la plage. J'ai pu admirer que leurs culs avaient pris des couleurs. Explication : bronzage à poil sur le balcon de leur appart.
Les questions ont fusées. C'était qui ces mecs ?, c'est toujours comme ça ?, y'en a d'autres ?... Je les informais de ce qui se passe en haut et derrière la dune, leur disant qu'il fallait faire attention car de temps à autre, il nous arrivait de tomber sur de l'étrange. Le fait que Marc ne soit plus avec nous, nous n'avons pas tardé à attirer des mecs. Il faut dire que 4 beaux jeunes mecs ensemble c'est plutôt rare.
Nous avons éconduit trois vieux avant qu'un jeune (de mon âge) arrive nous voir venant d'un couple installé un peu plus loin. A poil, comme 99,99% de la population de la plage, nous avons pu détailler son anatomie plus que correcte. Contact, il nous demande direct si nous étions partants pour une mégatouze que son ami organisait le soir même à sa villa. Après quelques détail sur les participants, nombre : environ une trentaine de mecs, types : tous, blonds, bruns, beurs, blacks, âges : de 18 à 45ans mais bien foutu au minimum. Avec l'accord excité du trio, je prends l'adresse et promet que nous en seront. Il ajoute alors que tous les plus jeunes (c'est-à-dire nous) repartirons avec un cadeau. Nous le questionnons un peu plus mais il refuse de nous le dévoiler. Le reste de l'après midi, nous bronzons et nageons. La visite guidée du sous bois attendra un autre après midi. Bien qu'excité par la perspective du soir, nous gardons nos forces en réserve. Le soir même nous sonnions au portail indiqué. Le jeune mec nous ouvre. Petit chemin en S et nous débouchons sur une grosse villa avec piscine. Il y a déjà une vingtaine de mec. Après présentation au maitre de maison, notre quatuor se délite non sans que je leur aie rappelé les règles de sécurité, pas de baise sans kpote.
Les mecs présents sont vraiment plus que corrects. On se croirait plus à un casting de film porno que d'une touze réelle. Tout le monde est en maillot et certains commencent à être trop petits ! Sonnerie et de nouveaux " amis " arrivent. Je remarque qu'il y a quand même une majorité de jeunes avec une forte proportion de trentenaires. Quelques apéros plus tard, les choses ont commencé à changer. Le signal a été donné par un des jeunes qui un peu trop alcoolisé a retiré son maillot pour nous montre son cul en nous disant que ce dernier était disponible à la sodomie. Le trentenaire le plus proche l'a alors attrapé par les hanches et s'est mis à frotter sa bite entre ses fesses. Moi de mon coté j'avais repéré le plus beau mec de la soirée, trentaine, très bien musclé, rasé avec un méga-paquet dans le slip. Bien que déjà entouré d'admirateurs, je me lançais. En jouant des coudes je me suis fais une place et alors que tous les autres semblaient figés par le mec, je lui ai carrément mis la main au paquet, histoire de soupeser la marchandise. Est-ce mon audace, mon physique pas trop moche ou ma gueule de voyou (voir le diam qui pendouille à mon oreille), mais toujours est il qu'il a fixé son attention sur moi au grand désarroi du reste de son aréopage. ;Description du " Bo-gosse " : trentaine, châtain, clair, 1,90m musclé, sûrement 100 Kg, bronzé, imberbe ou rasé je ne le saurais que plus tard, visage avenant et sourire à fondre. Bien sur, maillot de bain gonflé d'un organe prometteur. Lui me détaille de la même façon et le résultat doit lui plaire puisqu'il passe son bras sur mon épaule avec l'air de dire il est a moi.
D'un coup je me sens protégé, probablement son physique au dessus de la normale ! Comme nous nous sommes trouvés, nous ne sommes pas pressés. Ensemble nous déambulons entre les autres mecs. Je repère que le trio a éclaté et qu'ils sont entre des mains expérimentées. Apéros, grignotage, matage, nos maillots ne s'aplatissent pas et nous nous faisons toucher, tâter au point que mon collègue en a mare et m'entraine vers l'intérieur de la villa. Encore deux, trois obstacles et il me pousse dans une chambre. Vu la taille du lit, c'est plus un baisodrome qu'un lieu de repos !
Un coup de spleen m'attaque. D'un coup je me demande ce que je fais là. Le mec se jette dos sur le lit et me tend les bras. Je me couche sur lui et reste sans bouger au creux de ses bras. Il me laisse faire et attend que je sois prêt. Je me secoue, rester de marbre dans les bras d'un apollon, ce n'est pas trop mon genre, d'autant plus que je ne peux ignorer le développement qui déforme encore plus son shorty de bain.
Lentement je glisse le long de son corps et mes yeux se posent enfin sur l'excroissance. La cordelette dénouée, sa queue en profite pour sortir et se dresser au delà de son nombril. A première vue, 24cm par 5,5de diamètre. Ses boules rasées apparaissent dès que je baisse son maillot au dessous, grosses ! Je lèche d'abord les boules puis ma langue remonte la hampe gigantesque jusqu'au gland. J'agace un moment le dessous de la couronne avant d'attaquer le gland dans son ensemble. Un beau gland bien rose-violet, en forme de cône, ce qui doit bien faciliter la pénétration. En bouche, je l'aspire, fait tourner ma langue dessus, l'agace et exacerbe ses terminaisons nerveuses. Il n'y tient plus et je sens ses mains sur mon crane pousser doucement. J'ai compris et ma bouche descend avalant cm par cm sa bite. A mi chemin, le gland bute dans ma glotte. Un petit effort et il passe l'obstacle. Cela tire de mon partenaire un gémissement approbateur. Mais la position ne me permet pas d'avaler la totalité de son engin. ;Je me dégage et me couche sur le dos. Bo-gosse a compris et se lève. Je glisse ma tête en dehors du lit et il me remet sa bite en bouche. Il s'enfonce, petit coup de rein au passage dans la gorge et enfonce le reste jusqu'à ce que ses couilles se posent sur mes yeux. Je l'entends me féliciter pour l'exploit de l'avaler entier. Il est tellement content qu'il oublie de sortir et que je m'étouffe ! il s'excuse et adapte son rythme de pénétration pour que je puisse respirer un minimum ! Il me dit que c'est une première de se faire bouffer la teub entière. D'ailleurs je la sens se gonfler, prémices d'une jouissance annoncée. Je calme le jeu. Reculant pour sortir mon défonceur de gorge et serrant fermement la base sous ses couilles pour arrêter le flux montant. Il me dit que ce n'est pas nécessaire et qu'il peut jouir plusieurs fois de suite sans débander entre. Je relâche ma pression et il me jouit sur les abdos un quart de litre de sperme blanc (un peu moins en réalité !).
De juter ne l'a pas démobilisé et effectivement sa queue reste raide à souhait. Il me dit de me mettre à 4 pattes et je sens son souffle sur mes fesses puis sa langue lécher ma rosette. Putain que c'est bon ! Il salive bien et je m'ouvre comme la bonne salope que je suis. Il prend son temps et je sens sa langue pousser l'entrée et pénétrer mon oeillet. Je bande comme un malade. Sa main vient traire ma bite en complément. Ce mec me rend fou avec sa langue. Il l'a remplace par deux doigts qui s'enfoncent direct tout entiers. La salive déposée lubrifie efficacement l'entrée d'un troisième doigt. Il me tire la queue en arrière et complète le travail par un léchage de gland très excitant. Je suis tellement excité qu'il n'a plus besoin de bouger, je m'encule moi-même sur ses doigts. Je l'entends mettre une kpote et il pose son gland à mon entrée. Comme il attend, je recule doucement. C'est ce qu'il attendait ! Un petit coup sec et son gland me pénètre, putain qu'il est gros ! Pourtant je le savais après qu'il m'ait défoncé la gorge ! Je me détends, il a sentit ma résistance et me propose du poppers. Je sniffe comme un drogué en manque, une puis deux narines, je me sature. Direct ça me chauffe. La tête gonfle et mon cul s'ouvre. Je sens avec plaisir s'enfoncer le reste des 24cm.
Ses mains sur mes hanches, il se bloque tout au fond de moi. Je le laisse mener la danse. Il se retire doucement mais totalement avant de me pénétrer de nouveau complètement. Il me fait le coup pendant bien 5mn c'est long mais c'est bon ! Puis il se déchaîne. Je me suis fait défoncer ! Petits coups de rein, grandes glissades, changement de positions, il m'a sorti le grand jeu. Comme il avait joui précédemment, il a tenu un bon moment avant de remplir sa kpote. Entre temps j'avais juté et mes cris de plaisir avaient alerté la chambre d'à coté d'où l'apparition à la porte d'une demi douzaine de tête.
Avec Bo-gosse nous avons assuré le spectacle jusqu'à nos deuxièmes jouissances. Les salves d'applaudissements nous ont remis les pieds sur terre, les voyeurs partant, nous sommes restés enlacés un bon moment avant de rejoindre les parties communes. Curieux, nous avons ouvert les portes en passant. Ça baisait dans toutes les pièces. J'ai revu les membres du trio emmancher (pour le plus actif) ou se faisant prendre pour les deux crevettes. Près de la piscine, le buffet avait été dressé et nous nous sommes jetés dessus affamé par nos exercices précédents. J'ai alors remarqué que, comme moi, mon partenaire bronzait en maillot. Il me dit qu'il préférait, qu'il trouvait ça sexy. Je ne pouvais qu'abonder dans son sens. Il a sorti deux mecs de la piscine, ils baisaient dedans et risquaient d'y juter ! D'un plongeon, j'ai entamé quelques longueurs pour détendre me muscles. Un plouf plus tard, j'étais rejoint par Bo-gosse qui alignait un crawl parfait. Bo-gosse, sportif, intelligent ?? Ce serait injuste pour les autres !! Sans vraiment participer à la touze, nous avons nagé un bon moment. Accoudés au bord, l'un à coté de l'autre, il a cherché à me connaître un peu plus. Ce que je faisais dans la vie, si j'étais seul, comment j'étais arrivé là... un véritable interrogatoire en règle. Ce qui le surprenait le plus c'est que de mon coté aucune question. Après tout je ne chercherais pas à le revoir. Lui par contre m'a semblé un peu accro. Du coup je lui ai dit que j'avais déjà un mec et que je ne cherchais pas un deuxième. Ça ne l'a pas refroidi et je l'ai senti bander de nouveau contre mon cul. De ce coté là pourquoi pas il baise bien. Nous nous sommes trainés jusqu'à trouver deux matelas de piscine vides (pas facile à cette heure de la touze). Kpoté et mon cul graissé, sur le ventre j'ai écarté les cuisses et il m'a enculé de nouveau. Trop bon ! Comme un lion, j'ai senti sa bouche sur mon cou et ses dents imprimer leurs marques. Chaque coup de ses reins faisait frotter ma queue sur le tissu excitant mon gland. Un jeune mec est venu me proposer sa bouche. Pas moche (mais le tri avait été fait sur le physique !), environ 18ans, je me suis mis à 4 pattes poussant Bo-gosse à me prendre en levrette. Le ptit, mec s'est glissé sous moi et m'a avalé entier (encore un innocent !). Entre mon cul et ma bite, plusieurs fois j'ai faillit jouir. Mais mes deux acolytes sans se concerter, à chaque fois ont calmés le jeu et leur expertise m'a tenu en halène un bon bout de temps. Ils m'ont fait jouir ensemble, du cul et de la bite en même temps. Assez ravageurs comme effets ! J'ai bien mis 1/4 d'heure, 20 mn avant d'émerger totalement. Mes deux compères hilares dans les bras l'un de l'autre, Bo-gosse m'a présenté le troisième élément comme sa moitié. Je comprends mieux alors leur parfaite entente sur mon corps. Me sentant un peu responsable du trio, je les ai cherchés un bon moment. Les crevettes en 69 se faisaient sodomiser par le maitre de maison et un de ses potes la quarantaine bf. Le musclé, lui, était en train d'emmancher un type plus âgé. Quand il m'a vu, il a levé le pouce comme si c'était une victoire pour lui !
Ils m'ont tous dit qu'ils restaient encore un peu. Je retrouvais le Bo-gosse et sa moitié pour les prévenir que je partais. La moitié s'est insurgé qu'il n'avait eu qu'un avant goût de ma bite et espérait bien se la prendre dans le cul avant mon départ.
Soudain je n'ai plus l'esprit à cela et je les quitte en leur donnant rendez vous sur la plage.
JARDINIER
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14 notes · View notes
marie-swriting · 5 months
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Tout Ira Bien - Emily Prentiss [1/2]
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Masterlist
Speak Now TV Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Quand Emily apprend que Ian Doyle s'est échappé, elle sait qu'elle doit tout faire pour te protéger, même si ça veut dire briser ton coeur.
Warnings : commence pendant le 6x13 et se finit pendant le 6x18, mort de personnage (pas la reader), angst, rupture, fin triste, funérailles, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.9k
Chanson qui m'a inspiré : Last Kiss (Taylor's Version) par Taylor Swift
-Ian Doyle s’est évadé de prison. Interpol n’arrive pas à le retrouver.
La phrase de Sean retentit dans les oreilles d’Emily. Elle n’arrive pas y croire. Ian Doyle devait faire partie de son passé. Son nom ne devait plus qu’être un souvenir. 
-Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
-On ne sait pas où il est, Emily.
-Est-ce que tu crois qu’il va venir ici ? demande Emily avant de marquer une pause. Je suis en danger ?
-On l’est tous.
L’inquiétude prend place sur le visage d’Emily, comprenant la gravité de la situation. Ce n’est qu’une question de temps avant que tout tourne mal, elle en a conscience. Elle doit réfléchir à la façon dont elle doit agir pour se protéger. 
Ses pensées sont interrompues par la sonnerie de son téléphone. Elle détache les yeux de Sean et sort son portable. En voyant ton prénom et ta photo sur son écran, elle est d’abord attendrie avant d’avoir une prise de conscience. Elle doit aussi te protéger. Ian Doyle pourrait s’en prendre à toi pour se venger. Elle s'éclaircit la gorge puis répond en prenant un ton naturel.
-Allô, Y/N, tout va bien ?
-Hey, Em’, je t’appelle pour savoir si je t’attends ou si tu vas rentrer tard, expliques-tu et Emily peut entendre que tu es en train de rentrer dans ta voiture.
-J’ai encore de la paperasse à faire. Je ne pense même pas que je dormirai à la maison. Je dois régler quelques détails avec l’équipe.
-Oh, d’accord, dis-tu en essayant de cacher ta déception. Tiens moi au courant. Tu me manques.
-Toi aussi. 
Sur ces mots, tu raccroches. Emily regarde pendant quelques secondes son écran avant de discuter avec Sean des informations qu’Interpol possède sur l’évasion de Doyle. En l’écoutant, son cerveau fuse à mille à l’heure, cherchant tous les plans pour arrêter Doyle et protéger ceux qu’elle aime. 
En quittant son ancien collègue, Emily passe la nuit dans un hôtel. Elle a besoin d’être seule pour réfléchir. Elle doit réfléchir à une solution pour que tu sois saine et sauve. Le problème, c’est qu’elle ne peut pas te parler de Doyle. Elle doit t’éloigner sans que tu saches la réelle raison. Emily en vient à la triste conclusion qu’elle doit te briser le cœur - et le sien par la même occasion. Elle préfère vivre une peine de cœur et te voir respirer plutôt que te garder près d’elle et te voir mourir sous la main de Doyle. Elle ne peut pas prendre ce risque. Elle doit rompre avec toi.
Le lendemain, Emily se réveille avec difficulté. Son sommeil n’a pas été reposant. Elle n’a pas cessé de réfléchir à ce qu’elle pourrait te dire. 
Elle va dans votre appartement quand elle sait que tu es partie au travail, voulant t’éviter jusqu’à ce que tu rentres le soir. En t’attendant, Emily prépare quelques affaires.
Quand tu passes le pas de la porte de votre appartement, le visage d’Emily prend une expression neutre. Elle ne doit montrer aucune émotion. Elle ne doit surtout pas laisser ces mêmes émotions parler. Elle sait ce qu’elle doit faire. Avec un grand sourire aux lèvres, tu te diriges vers Emily, prête à la prendre dans tes bras. Toutefois, quand tu vois son visage impassible, tu fronces les sourcils.
-Em’, tout va bien ? questionnes-tu en posant ton sac.
-On doit parler, Y/N.
-De quoi ?
-Je pense qu’on devrait s’arrêter là, annonce Emily de but en blanc et il te faut quelques secondes pour répondre.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Ça ne sert à rien de continuer. Ces derniers temps, j’ai été pas mal occupée avec mon travail. Et puis, je ne serai jamais capable de te donner la vie que tu mérites. C’est mieux pour tout le monde.
-Qu-quoi ? Tu n’es pas sérieuse ? Emily, ça sort d’où ça ? 
-Je cite juste un fait. Je suis presque tout le temps en déplacement, ça ne sert à rien de perdre notre temps.
-D’accord, tu es souvent ailleurs, mais on ne perd pas notre temps. Notre relation fonctionne. On a un équilibre. Pourquoi tu veux tout abandonner maintenant ? demandes-tu, perdue et avec les larmes aux yeux. 
-J’y pense depuis un moment. 
-Mais, tout allait bien entre nous. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait quelque chose ? 
-Ce n’est la faute de personne, c’est juste ce qu’il y a faire de mieux, affirme-t-elle en te regardant droit dans les yeux.
-Selon qui ? 
-Y/N, on savait toutes les deux que cette relation était vouée à l’échec. Elle n’était pas faite pour être durable. Pas quand on fait mon métier.
-JJ y arrive très bien pourtant. 
-Ce n’est pas pareil. De toute façon, ma décision est prise. 
-Donc, tu veux même pas essayer d’en parler ? De régler le problème ? Tu baisses les bras aussi vite ?
Emily sait que tu n’abandonneras pas. Tu as un air déterminé sur ton visage, malgré tes yeux larmoyants. Emily prend une grande inspiration avant de dire la phrase la plus compliquée qu’elle ait eu à dire : 
-Je ne t’aime plus, Y/N. Tu es quelqu’un de bien, mais je n’ai plus de sentiments pour toi.
-Ce n’était pas l’impression que tu donnais il y a encore quelques semaines, contredis-tu, incrédule. 
-J’ai essayé de retrouver mes sentiments pour toi, mais c’est impossible.
Tes yeux analysent Emily, cherchant une preuve que les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas la réalité. Toutefois, Emily a sorti son plus beau jeu d’acteur ; tu dois croire à ces mots tranchants. Comprenant que tu as bien entendu ce que t’a dit Emily, tes larmes commencent à couler sur tes joues. Tu n’y prêtes pas attention, essayant encore de trouver une solution pour rester auprès d’Emily. En voyant ton cœur se briser sous ses yeux, à cause d’elle, Emily se retient de t’avouer la vérité. Cependant, elle se répète que c’est la chose à faire. 
-Je… J’irai dans un hôtel pour les prochains jours. Je vais sûrement devoir repartir dans ce laps de temps, ça te donnera largement le temps de reprendre tes affaires, informe doucement Emily en prenant deux sacs. 
Tu ouvres un peu plus grand les yeux à sa dernière phrase. Bien évidemment, tu ne pouvais pas t’attendre à vivre encore avec elle si vous êtes séparées, mais tu pensais que vous alliez en parler, savoir si vous vendiez l’appartement ou qui le garderait. 
Emily se sent mal en te virant de votre chez vous, mais elle sait qu’elle ne peut pas te le laisser. Doyle le trouverait en une recherche sur Emily et elle ne peut pas risquer qu’il vienne chez vous alors que tu y habites encore. Elle doit te garder loin d’elle et loin de votre appartement. 
-Em’, je t’en prie.
Emily lutte pour te prendre dans ses bras en t’entendant la supplier. Elle ne te répond pas avant de te dépasser pour passer la porte de votre appartement. Elle retient un sanglot jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa voiture. 
De ton côté, tu restes debout, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la porte d’entrée. Tu n’arrives pas à croire que ta relation avec Emily est réellement finie après cinq ans. Tu n’aurais jamais cru entendre ces mots. Tu n’avais pas prévu qu’Emily change d’avis sur vous. Pour toi, elle est - elle était celle avec qui tu allais finir ta vie. Il faut croire que ça ne sera pas le cas.
Un mois s’est écoulé depuis votre rupture. Dans une tentative désespérée, tu as essayé de la contacter pendant les premières semaines de votre séparation, sans aucune réponse de sa part. Tu n’as pas l’air de lui manquer autant que toi, elle te manque. Tu ne sais pas quoi faire pour que tu lui manques. Alors, à contrecœur, tu as fini par abandonner. Tu n’arrives toujours pas à t’en remettre. Tu n’arrêtes pas de repenser à votre relation, cherchant ce que tu aurais pu faire de différent pour éviter cette fin. 
Tu n’aurais jamais pensé que vous finiriez de cette façon. Tu n’aurais jamais imaginé que tu ne saurais plus sa routine, où elle est, quelle enquête elle fait. Tu n’aurais jamais cru que tu ne la serrerais plus contre toi. Tu n’aurais jamais cru que vous auriez un dernier baiser. 
Tu essayes de faire bonne figure, même si au fond de toi, tu restes dans cet état d’engourdissement. Mais ça doit changer, tu dois apprendre à avancer. Pour cela, rien de mieux que de sortir avec des amis. 
Tu retrouves Penelope dans un café non loin de ton lieu de travail. Penelope est celle dont tu es le plus proche de son équipe avec Rossi. Tu la considères comme une sœur et c’est réciproque de son côté. Penelope était choquée en apprenant votre séparation et elle a essayé de faire changer d’avis Emily, sans succès. 
En arrivant dans le café, tu prends Penelope dans tes bras. Tu arrives à lâcher un soupir de soulagement en la serrant contre toi. Ces câlins ont un pouvoir, tu en es sûre. Vous vous installez après avoir passé commande. Au début, votre discussion évoque des sujets banals - vous ne vous étiez pas vues depuis un petit moment alors vous rattrapez le temps perdu. Puis vient un moment où Penelope raconte une anecdote drôle sur l’équipe où elle mentionne Emily. À la mention du prénom de ton ex, tu baisses le regard, ignorant le pincement dans ton cœur. Penelope s’arrête de rire quand elle voit ta réaction. 
-Oh, mon Dieu ! Désolée ! Je… Je n’ai pas réfléchi. Je n’aurai pas… Je suis désolée, s’exclame Penelope, embarrassée.
-Ce n’est pas grave. Ça fait un mois, après tout, la rassures-tu avec un faux sourire.
-Mais quand même. Vous êtes restées longtemps ensemble. C’est normal si ça te fait encore mal. 
-Je sais. Comment elle va, Emily ? 
C’est plus fort que toi, tu avais besoin de poser cette question, elle te brûlait les lèvres depuis un mois. Tu as besoin de savoir si ton impression est une réalité. Penelope prend une grande inspiration avant de te répondre. 
-Elle ne montre rien, mais je suis sûre qu’elle souffre tout autant. Parfois, elle est un peu plus discrète. Elle semble être plus souvent perdue dans ses pensées, ce qui est compréhensible au vu de la situation.
-C’est elle qui a dit qu’elle ne m’aimait plus, rétorques-tu séchement. Désolée, je n’ai pas dit ça pour que tu prennes mon parti ou autre, te reprends-tu avec un air coupable. Je suis juste encore surprise par comment tout a basculé du jour au lendemain. 
-Vous vous retrouvez. C’est une certitude, affirme-t-elle en serrant ta main.
-Je n’y crois pas trop. Elle avait l’air déterminée à rester loin de moi. 
-Y/N, l’amour que vous aviez ne peut pas se perdre. Quand ça sera le bon moment, vous serez de nouveau ensemble et tout ira bien. 
Tu vois au visage de Penelope qu’elle croit dur comme fer à ses mots. Elle ne les dit pas juste pour te faire te sentir mieux, elle est persuadée d’avoir raison. Penelope a tendance à tout voir en rose, c’est vrai, mais tu as besoin de ce petit espoir.
En rentrant chez toi, tu poses ton sac à côté de ton entrée puis, tu t’installes sur ton canapé. Tu balayes ton appartement du regard, indifférente. Malgré tous tes efforts, tu n’arrives pas à te sentir chez toi. Chez toi, c’était ton appartement avec Emily. Chez toi, c’était Emily. Mais tu n’as plus Emily et tu ne l’auras plus.
Tu te lèves de ton canapé avant de te diriger dans le placard de ta chambre. Tu l’ouvres et prends un carton qui est placé en haut. Tu le saisis et t’assois par terre puis, tu cherches au fond du carton, à la recherche de quelque chose de précis. En tombant sur le cadre, tu le retournes afin de pouvoir regarder la photo à l’intérieur. 
Cette image date d’il y a deux ans, c’était au début du mois de juillet, vous êtes en train de vous embrasser devant la Tour Eiffel. 
Vous étiez partis à Paris pour vos vacances - par miracle, Emily avait réussi à avoir deux semaines de repos. Vous aviez passé un séjour inoubliable. Le fait le plus marquant de ce voyage, selon toi, est Emily parlant en français. Tu sais qu’elle parle un nombre incalculable de langues et tu fonds à chaque fois qu’elle parle l’une d’entre elles. Cependant, ce n’est pas souvent alors quand tu as pu l’entendre parler français pendant deux semaines complètes, tu étais aux anges. 
Un soir, vers la fin de vos vacances, vous étiez restées dans votre chambre d’hôtel. En temps normal, vous profitiez aussi de la soirée pour visiter un peu plus Paris, mais ce soir-là, vous étiez trop fatiguées pour marcher dix pas de plus. 
Vous vous étiez assises sur votre balcon, admirant la vue, la Tour Eiffel illuminée au loin, et vous étiez en train de parler de l’avenir. Vous faisiez des projets en tout genre, imaginant à quoi ressemblerait votre vie dans un an, cinq ans, dix ans, même dans trente ans. 
-J’ai si hâte de vieillir avec toi, avait déclaré Emily avec un sourire.
-Moi aussi. Tu serais magnifique avec les cheveux grisonnants, avais-tu dit en caressant ses cheveux. 
-Je ne sais pas.
-Crois-moi, tu le seras. 
-Et toi, tu serais magnifique dans une robe blanche, avait-elle affirmé en plongeant ses yeux dans les tiens.
-Quoi ?
-On en a jamais vraiment parlé, mais j’adorerais qu’on se marie. Pas maintenant, sois rassurée ! avait précisé Emily en voyant tes yeux grand ouverts. Je n’ai pas de bague et ça, ça n’est sûrement pas ma demande en mariage, mais je peux nous y voir, en train d’échanger nos vœux et de nous embrasser devant nos proches.
-Je peux nous y voir aussi. J’adorerais t’épouser un jour, avais-tu avoué, prenant sa main dans la tienne. 
-Tant mieux, comme ça, je serai sûre que tu ne pourras pas te débarrasser de moi.
-C’est toi qui en auras marre de moi avant, avais-tu rigolé et Emily avait secoué la tête.
-Jamais. Je t’aime trop pour me lasser de toi. 
Et sur ces mots, vous aviez partagé un baisé langoureux rempli d’amour. Tu n’avais jamais été aussi sûre de votre relation que ce soir-là. Tu savais que c’était fait pour durer et tu n’avais qu’un hâte, créer de nouveaux moments aussi romantiques que celui-ci. Malheureusement, tout comme vous avez eu un dernier baiser, vous avez eu un dernier moment romantique. Ces instants ne sont plus que des souvenirs placés dans un cadre.
Quelques semaines plus tard, alors que tu es plongée dans ton travail, tu reçois un appel. Tu prends ton téléphone en te demandant qui peut bien t’appeler aussi tard. En découvrant le nom de JJ, ton estomac se tord. Elle ne t’a presque jamais appelé. Si elle le fait, c’est qu’il y a quelque chose de grave. Avec appréhension, tu réponds. 
-JJ, qu’est-ce qui se passe ? Emily va bien ?
-Tu dois venir à l’hôpital tout de suite. Emily est en train de se faire opérer, informe JJ d’une voix tremblante.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demandes-tu en te levant de ta chaise.
-Je t’expliquerai à l’hôpital, c’est trop long par téléphone. Je te rappellerai si les médecins donnent des informations avant que tu n’arrives. 
-Je serai là dans vingt minutes grand maximum. 
Tu raccroches et te dépêches de te préparer avant de courir jusqu’à ta voiture. Pendant le trajet, tu es contrôlée par ton anxiété. Tu n’as jamais roulé aussi vite de ta vie. Dans ta tête, tous les scénarios défilent, te faisant monter les larmes aux yeux. Le manque d’informations de la part de JJ n’aide pas à te calmer. 
Tu cours à travers de l’hôpital, à la recherche de l’équipe d’Emily. Tu les trouves assis, une expression inquiète sur leur visage. Hotch te voit arriver en premier et vient à ta rencontre, JJ sur ses talons. Hotch garde la tête froide même s’il peut ressentir ton stress au plus profond de son être. Il t’invite à le suivre dans un endroit plus discret de l’hôpital alors que JJ va te chercher un verre d’eau. Quand elle te le donne, Hotch est en train de te raconter l’évasion de Ian Doyle. Au fil de son récit, tout prend du sens dans ta tête. 
Tu comprends enfin pourquoi Emily s’est éloignée si soudainement, pourquoi elle a été si dure dans ses mots. Elle pensait te protéger de Doyle en restant loin de toi, mais en le faisant, elle n’a pas pensé à se protéger, elle. Emily est dans un état critique et tu ignores si tu auras jamais l’occasion de lui reparler, de la sentir contre toi à nouveau. 
Quand tu es au courant de toute l’histoire, tu retrouves le reste de l’équipe. Rossi t’informe qu’aucune nouvelle n’est encore arrivée. Tu t’assois à ses côtés et commences à te ronger les ongles. Tu attends avec agonie un médecin qui va très probablement t’annoncer une mauvaise nouvelle. 
Tu aimerais être nulle part qu’ici. Tu aimerais que tout soit un mauvais rêve. Tu aimerais être dans votre appartement, à toi et Emily, enlacées dans votre lit alors que le soleil se lève comme vous aviez l’habitude de le faire.
Un matin, environ un an après votre voyage à Paris, Emily avait eu un jour de repos, vous permettant ainsi de rester au lit jusqu’à tard. Tu t’étais réveillée en premier - chose assez rare - et tu t’étais mise à la regarder. Son visage était complètement relaxé alors que sa main droite était posée sur ta hanche. Tu ne sais pas combien de temps tu étais restée ainsi, tu voulais juste profiter de la présence d’Emily. À un moment, Emily avait commencé à se réveiller et avait souri en remarquant que tu avais passé ton temps à la regarder.
-Tu me regardes depuis longtemps ?
-J’en sais rien.
-Pas du tout flippant, avait-elle blagué en te rapprochant de son corps. 
-C’est pas un crime d’admirer ma petite amie quand même ! 
-On a arrêté des stalkers pour moins que ça.
-Tu vas finir par dormir sur le canapé, avais-tu rétorqué avec un faux air énervé.
-Tu n’oserais pas.
-Ne me tente pas. 
-Tu m’as manqué, avait soudainement déclaré Emily.
-Toi aussi. 
-J’espère qu’on aura encore l’occasion de se réveiller ainsi pendant longtemps.
-Je veillerai personnellement à ce que ça soit le cas, avais-tu affirmé avant de te blottir contre Emily. 
Tu avais relevé la tête vers Emily avant de l’embrasser tendrement. Elle t’avait répondu avec passion et vous aviez fini par passer la majorité de votre journée au lit. 
Maintenant, tu passes la majorité de ta soirée sur une chaise inconfortable d’hôpital. Tu as le regard perdu sur le sol alors que tu continues à penser à des moments heureux avec Emily tout en te disant que tu n’en auras sûrement plus jamais. 
JJ apparaît dans la pièce, une expression grave sur son visage, les yeux rougis. Vous n’avez pas besoin qu’elle prononce un mot pour comprendre ce qu’elle va vous annoncer. Toutefois, tu ne veux pas y croire. Certes, tu n’étais pas optimiste sur l’état d’Emily, mais une partie de toi espérait, priait, pour que tout aille bien et que vous laissiez cette histoire derrière vous. Penelope murmure un “non” désespérée pendant que tu continues à fixer JJ. Elle n’ose pas te regarder quand elle prononce la phrase que tu redoutes : 
-Elle est morte pendant l’opération.
Immédiatement, les larmes coulent sur ta joue. Tu sanglotes fortement, sous le choc alors que Rossi se penche vers toi pour te serrer contre lui. Tu acceptes son étreinte, versant toute ta douleur. Tu entends Spencer se lever, mais tu n’y prêtes pas attention, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer. 
Tu pensais que ton cœur s’était brisé quand Emily avait rompu, mais tu avais tort. Cette fois, la douleur est pire dans ta poitrine. Tu n’as même pas l’impression que ton cœur se brise. Ton cœur ne bat plus et il ne battra plus jamais. Comment pourrait-il ? Tu ne pourras plus jamais voir le sourire d’Emily, entendre son rire, toucher sa main. Elle est morte et ton cœur est parti avec elle. 
L’enterrement d’Emily est quelques jours plus tard. Pour la première fois depuis l’annonce de sa mort, tu te prépares. Contrairement au moment de la rupture où tu semblais insensible à tout ce que tu faisais, tu ressens chacun de tes gestes. Ta douleur n’est pas qu’émotionnelle, tous tes membres sont lourds et te font souffrir. 
Rossi est celui qui vient te chercher. Depuis la mort d’Emily, il fait attention à toi. Rossi a toujours considéré Emily comme sa fille et il t’a tout de suite adopté quand vous vous êtes mises ensemble. Il déteste te voir aussi misérable, il aimerait pouvoir prendre ta douleur et l’ajouter à la sienne. 
En voyant l’équipe porter le cercueil d’Emily, ta douleur se décuple un peu plus. Tu ne peux pas croire que la femme que tu aimes soit enfermée dans cette boite. Tu n’arrives pas à comprendre comment votre histoire ait pu se finir ainsi. 
Tu n’écoutes pas le sermon du prêtre, tu gardes tes yeux fixés sur les fleurs blanches posées sur le cercueil. Si Emily avait pu voir ce moment, elle aurait dit que tout est trop solennel à son goût, tu souris doucement à cette pensée. Penelope te tient la main jusqu’à ce que tu ailles poser une rose rouge en premier sur son cercueil, les joues baignées de larmes. Tu restes à côté d’Emily alors que l’équipe imite ton geste. Rossi place une main sur ton dos pour te réconforter et tu fais tout pour ne pas fondre en larmes dans ses bras. Par tu ne sais quel miracle, tu arrives à rester debout alors qu’Emily s’enfonce dans la terre. 
En rentrant chez toi, tu n’as pas le courage de t’allonger dans ton lit. Tu t’assois sur le sol de ta chambre après avoir mis un tee-shirt d’Emily. Tu l’avais mis dans tes cartons sans faire exprès et comme Emily ne l’a jamais réclamé, tu l’as gardé. Tu apportes le tissu à ton nez, espérant sentir l’odeur familière d’Emily, mais elle a déjà disparu. De nouvelles larmes coulent sur tes joues réalisant que bientôt, toute trace d’Emily aura à jamais disparu. Elle ne sera plus qu’une partie de ton passé.
Tout le reste de la journée, ton esprit est tourmenté par les souvenirs avec Emily. Tu repenses surtout à la fin de votre relation. Tu repenses à tous ces derniers moments que tu as vécus avec elle sans savoir qu’il n’y en aura pas d’autres. Si tu avais su ce qui allait se passer, tu les aurais appréciés un maximum et si tu le pouvais, tu aimerais pouvoir en changer certains comme votre dernier baiser.
C’était un matin, très tôt - trop tôt pour toi -, tu t’étais réveillée après Emily. Tes yeux se fermaient tout seul alors que tu te rendais dans votre cuisine. Tu préparais ton café quand Emily avait fait son apparition. Tu lui avais fait un rapide sourire alors qu’elle t’annonçait qu’elle devait vite partir au boulot. Elle t’avait embrassé chastement et tu avais à peine pris le temps de lui répondre, encore trop endormie. Elle t’avait lancé un “je t’aime” avant de prendre son sac et de quitter son appartement. Tu lui avais seulement marmonné une réponse, ayant besoin de ton café pour parler. 
Tu aurais aimé que votre dernier baiser soit différent. Tu aurais aimé pouvoir l’embrasser avec passion, apprécier le mouvement de ses lèvres contre les tiennes et lui dire clairement “je t’aime”. Malheureusement, tu ne peux pas changer le passé et tu n’auras plus jamais de nouvelles chances. Ce baiser est condamné à être votre dernier tout comme tu es condamnée à vivre sans Emily pour le restant de tes jours. Et tu es condamnée à avoir son nom à jamais sur tes lèvres tout comme votre dernier baiser. Finalement, Penelope avait tort, rien n’ira bien.
Partie deux
Masterlist
Speak Now Masterlist
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Apprécier de dormir du sommeil du juste 
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle 
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés 
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur 
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée 
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser ! 
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine 
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping 
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur 
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée 
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin 
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner 
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel 
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes 
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin 
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer 
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là 
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane 
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes 
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque 
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi 
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur 
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée 
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle 
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble 
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid 
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots 
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simonrileyfiction · 3 months
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Inattendu - 1 (Simon Ghost Riley)
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Je tiens à préciser que cette fiction s'inspire de l'idée de départ de SigLoverofWords. Il s'agit d'une rencontre entre Simon et un personnage féminin fondée sur un échange de messages.
Le reste de l'histoire est bien évidemment écrit à ma sauce :) !
[0161765 4321] : Demain, 5h tapantes, ne soit pas en retard.
[Moi] : ?
[0161765 4321] : J’déconne pas Johnny, je t’attendrais pas.
Perplexe, je regarde l’écran en fronçant les sourcils. L’expéditeur de ce message s’est sans doute trompé de numéro. En tout cas, il ne semble pas de très bonne humeur.
[0161765 4321] : J’suis pas ton putain de baby-sitter. Si t’es pas là à l’heure j’te laisse rentrer à pied.
Je réalise qu’il s’agit sans doute de quelque chose d’important. Si ce fameux Johnny ne reçoit pas le message, il risque de passer une sale journée. Je décide alors d’appeler ce fameux numéro afin de prévenir l’expéditeur de ce sms.
L’inconnu décroche dès la première sonnerie, ce qui me prend un peu de court.
"Qu’est-ce que tu veux encore ?!" me répond une voix grave teintée d’un fort accent britannique.
"Euh… Excuse-moi… Je ne suis pas la personne que tu essaies de contacter", je balbutie en jouant nerveusement avec mes doigts, "tu as fait un faux numéro."
L’inconnu ne me répond pas mais il respire avec difficulté, ce qui m’interpelle instantanément.
"Je voulais m’assurer que tu n’attendes pas Johnny pour rien demain matin", je continue la voix tremblante.
"C’est gentil à toi", me répond-il en murmurant d’une voix rauque.
Cet homme ne semble pas aller bien.
"Est-ce que tout va bien ?"
L’inconnu ne répond pas mais je l’entends toujours respirer bruyamment.
"Monsieur ?"
"Oui."
"Je m’appelle Maya", je continue d’une voix qui se veut plus posée.
"Maya, je suis désolé de t’avoir dérangé."
"Tu ne me déranges pas !" Je m’empresse de répondre. "Comment tu t’appelles ?"
L’inconnu semble hésiter.
"Simon."
"Enchantée Simon ! Alors comme ça, tu fais le taxi ?" Je lance sur un ton plus léger.
Simon ne me répond pas tout de suite. Sa respiration est toutefois moins saccadée.
"Je dois prendre un de mes collègues devant chez lui pour aller au travail demain matin", m’explique-t-il, "sa voiture est au garage."
"Et ça arrive souvent à ton collègue d’être en retard ?" je demande, curieuse.
"Tout le temps, je passe ma vie à l’attendre", râle-t-il.
Je ne peux m’empêcher de retenir un petit rire : "Il a l’air d’être un sacré personnage."
"Ah ça… "soupire-t-il.
"Je peux te demander ce que vous faites tous les deux comme métier ?"
"Oui, tu peux, mais je ne peux pas te répondre."
Surprise, je hausse les sourcils.
"Pas de problème", je réponds rapidement. "Ça fait très James Bond comme réponse."
Simon lâche un ricanement étouffé et je souris, heureuse de voir qu’il semble aller un peu mieux.
"Et toi Maya ? ça t’arrive souvent de discuter avec des inconnus au beau milieu de la nuit ?"
"Eh bien non-figures-toi ! J’étais en train de travailler sur mon TD au moment où j’ai reçu tes messages. J’ai profité de la distraction pour penser à autre chose qu’à mon commentaire d’arrêt."
"Tu es étudiante ?"
"Yep !"
"Qu’est-ce que tu étudies ?" me demande-t-il avec curiosité.
"Le droit pénal et les sciences criminelles", je réponds en m’étirant sur ma chaise, "pour mettre les méchants en prison."
"Oh je vois, une âme de justicière donc", lâche-t-il sur ce que je comprends être un ton de plaisanterie.
"Venant de James Bond lui-même je prends ça pour un compliment", je rétorque en baillant.
"Il est 3h du matin, tu devrais dormir", souligne-t-il d’une voix plus douce.
"Pas de repos pour les justiciers !" Je lance sur un ton faussement enjoué. "J’ai travaillé toute la soirée pour gagner un peu d’argent alors je me retrouve à me pencher sur mes cours un peu tard, je l’admets."
"Qu’est-ce que tu fais comme boulot ?"
"Je travaille dans une station service."
"Je vois."
"Ouais, c’est moins passionnant que ton travail d’agent secret", dis-je en ricanant.
Un silence confortable s’installe, je baille de nouveau.
"Je suis désolée !" je m’exclame en réalisant, je te tiens éveillé !
"C’est pas un souci", me répond Simon.
"Mais tu dois récupérer Johnny à 5h ! Comment tu vas faire ?"
"Je ne vais pas dormir, je dois me lever dans peu de temps."
"Oh, je suis vraiment désolée", je balbutie.
"Ne t’excuse pas. Je vais devoir te laisser Maya. Repose toi bien."
"Merci Simon, bon courage pour ta journée."
Il raccroche.
Je prends le temps d’enregistrer son numéro et j’éteins la lampe qui se trouve à mon chevet.
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Avec mon ancien amoureux on a passé la soirée ensemble l'autre soir, on a mangé vite fait chez moi et on est allé voir un spectacle d'impro, j'avais peur que ça soit très gênant, et ça l'étais un peu mais c'était drôle parfois. Et il y avait pleins de ses amies dont j'avais déjà entendu parler, et ils étaient tous et toutes beaux et belles, et bossaient dans le social, et quand on me demandait ce que je faisait dans la vie je répondait "ouais ouais je fait ça mais c'est nul c'est pas important comme métier genre j'aide personne concrètement", bref une approche très pessimiste de mon taff, et j'ai pensé à mes collègues qui auraient trop bien su se vendre mais moi je sais pas faire ça. Et donc la moitié de ses amies sont ses ex, et elles sont toute trop belle et intéressante, je me sentait trop nulle à côté et je comprends pas comment on peut avoir eu une relation ?! Et il dragouillait une meuf, et ça m'a mis un peu mal à l'aise mais en même temps elle était tellement belle et chouette que je le comprends.. ensuite on est rentré à pied tout les 2 et on a parlé un peu de notre relation et j'ai pas réussis à lui dire ce que je voulais... on est resté 1h dans le froid devant chez moi à discuter c'était un beau moment. Il dit que quand on est tout les 2 le temps est dilaté, et c'est vrai. Je lui ai dit que je voulais aller voir la mer, et il a pas proposé de venir avec moi. Il est chouette, mais il comprend pas, et il pourra jamais comprendre, et je sais pas quoi faire. Je l'adore mais je crois que c'est compliqué parfois, mais c'est pas sa faute, c'est ma faute, c'est mon cœur qui comprend pas ce que ma tête dit.
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fuckuuufuckingfuck · 7 months
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Adorable : je suis allé dans un centre de dépistage queer etc et le garçon qui s’est occupé de moi était hyper intimidé?? il a rougit plusieurs fois.
Il m’a demandé si je voulais qu’on aille dans un box pour discuter, mais qu’on pouvait aussi se poser sur la terrasse. J’ai opté pour la terrasse question logistique puisque j’ai pas mis du monoi pour les murs et que j’avais super envie d’une clope. Bref il me dit qu’on peut se tutoyer et quand je me roule une clope il me demande si il peut en avoir une. J’ai oublié mon BRIQUET SSH du coup je lui demande son feu et oh tiens il n’en a pas. Et surtout, je l’ai vu fumer : il crapote. Le cumul de ces différents éléments m’amènent à la conclusion qu’il ne fume pas.
Au bout d’un moment je n’ai plus de questions, on a vraaaaaiment fait le tour mais il me regarde en silence. Du coup même si c’est adorable et qu’il était vraiment beau et sympa (ce qui rend la chose encore plus flatteuse) je n’osais pas le regarder dans les yeux. Jsp si vous imaginez mais fin on ne se parlait plus quoi et jsp du coup je le remercie et lui demande si il veut une autre clope ET LÀ JE M’APERÇOIS QUAND FAIT IL NE L’A MÊME PAS FUMER. genre il a fumé 3 taffes mdrr
Il rougit à nouveau et me dit que non ça ira puis qu’à un moment son patron est sorti sur la terrasse et qu’il l’a vu fumer or il n’est pas censé fumer avec les gens qui viennent. Bref il m’a dit que l’endroit était présent sur les réseaux et notamment grindr mdrrr
Bref en partant jsp pq j’ai fait ça mon dieu
Mais je en soit c’est fait pour
Bref il y avait des capotes et je sais que celles-là coûtent cher parce que ma coloc J m’en a déjà fait don et bref du coup j’en ai pris une sauf que j’ai eu un eye contact avec le type en prenant la capote et il a sourit et rougit et ses collègues le regardaient en mode AH et moi j’ai poussé la porte au lieu de la tirer et bref clôturons cette histoire
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grand-mechant-loup · 11 months
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L.
Je travaille dans l'informatique, pour une grosse boîte. Mon boulot consiste à gérer un gros parc informatique et à aider les utilisateurs en cas de problème.
Il y a un an je fais la connaissance de L. Petite blonde joviale pleine de charme. Elle m'appelle pour un souci informatique. Je me rends dans son bureau et je la dépanne. Elle est intelligente, drôle et elle rougit vite. Passer du temps en sa compagnie est agréable. Le lendemain elle me fait revenir pour un autre problème. Et ainsi de suite tous les jours. Quand elle n'a plus de problème elle invente des projets qui nécessitent ma présence et mon expertise.
Cela dure pendant des mois !
Quand je suis en vacances, elle n'a plus de demande. Plus de problèmes. Mes collègues ne connaissent même pas son existence. Quand je reviens, le rythme reprend. J'y suis tous les jours.
C'est une collègue et elle est plus jeune que moi, deux bonnes raisons qui me font rester un peu en retrait. Mais son charme m'attire et il est évident que je lui plais.
Cependant quelque chose cloche sans que je sache dire quoi.
A chaque fois que je tente un rapprochement, pas physique mais ne serait-ce que dans la conversation, elle semble se rétracter. Signe contradictoire par exemple avec sa propension à me contacter sur mes jours de congés pour me dire qu'elle m'expliquerait volontiers en quoi consiste son travail de façon plus précise (je lui avais posé la question et sa réponse avait paru quelque peu lapidaire). Bref je ne comprends pas tout.
Entre temps je rencontre P avec qui j'ai une courte histoire mais qui me chamboule pas mal. J'essaie de me détacher un peu de L. et de son comportement yoyo à mon égard. Et puis il y a A qui voudrait bien qu'on se voit pour "baiser" et qui annule toujours au dernier moment me plongeant à chaque fois dans un état cafardeux.
Bref le contact avec L s'estompe peu à peu.
Jusqu'au jour où L me recontacte soi-disant pour un problème assez urgent. Je me rends dans son bureau et règle en fait un problème mineur.
- J'ai de bonnes nouvelles ! me dit-elle enjouée. - Ah oui ? Raconte ! - Je suis enceinte et mon copain et moi nous allons acheter une maison !
Je tombe quasiment littéralement de ma chaise.
A ce moment là je me demande si je suis un gros affabulateur qui a vu des signes là où il n'y en avait pas ou bien... ou bien quoi ?
J'en discute quelques temps plus tard avec un couple d'amis. Elle, toujours dans l'analyse, me dit que L a voulu se tester avant d'entrer de plein pied dans sa vie d'adulte. Lui conclut l'affaire par : "C'est une connasse !" Puis il s'explique : "Elle savait que tu sortais d'un divorce, que tu n'étais pas forcément dans une période facile de ta vie et elle s'est foutu de ta gueule délibérément. C'est une connasse !!"
Quand j'y repense, je me souviens de toutes ces fois où j'ai tenté d'en savoir plus sur elle et où elle aurait aisément pu simplement me dire qu'elle avait qqn.
Or elle ne l'a JAMAIS fait.
Elle a tout du long gardé cette information jusqu'à l'annonce de sa grossesse. J'ai compris plus tard (génie que je suis) que toute la période où elle s'était rapprochée de moi coïncidait avec la période durant laquelle elle essayait d'avoir un enfant.
Aujourd'hui cette histoire m'amuse plus qu'elle ne m'attriste mais elle me laisse tout de même perplexe.
Je reste malgré tout en bons termes avec L.
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francoise-nadine · 1 year
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Dispute
Je sais très bien ce qui va se passer. Je le savais déjà vendredi. 
Vendredi, de sa petite voix de grand-mère là, il m’a annoncé qu’il avait réfléchi à une solution. Je croyais qu’on en avait déjà une de solution. Une solution discutée et arrêtée ensemble. Depuis des semaines, c’est vrai, je sentais qu’il ne voulait pas de cette solution, qu’elle ne lui plaisait pas. Et plutôt que de me le dire “la solution que l’on a trouvée ensemble, en discutant ensemble, elle ne me plait pas, j’en cherche une autre” il m’opposait un silence borné les quelques fois où j’abordais le problème. 
Ce n’est pas qu’il noyait le poissons. Non, il ne fait même pas cet effort. Il ne répondait rien. Un silence suffisamment long pour que je comprenne toute seule qu’on n’aurait pas de discussion à ce sujet. Je défends quiconque de ne pas se sentir niée et méprisée face au silence de quelqu’un. Mais je mettais mes émotions dans un petit paquet pour ne pas l’importuner.
Je le connais. J’ai compris. 
Je l’ai poussé à sortir du bois. Il en est sorti comme une grand-mère s’accroche à son sac, tremblante de tout son corps, quand il s’agit de traverser une place sur laquelle au loin une bande de jeunes fume des bédos. 
Y a pas à dire, mon corps entier me rappelle que c’est ce que je déteste profondément de lui. Cette peur de vieux monsieur fragile.
Il m’annonce qu’il a une autre solution. Elle va à l’encontre de celle que l’on avait discuté et décidé ensemble. Ca, il ne le dit pas, c’est moi qui doit le dire.
Je sais, au moment où je raccroche le téléphone, que l���on va passer un très mauvais moment. Je sais que l’on ne va pas s’adresser la parole de la journée. Qu’il n’y aura pas de messages gentils vers midi pour savoir si la matinée s’est bien passée et qu’il n’y en aura pas dans l’après midi pour savoir si l’après midi se passe bien. Ouais, on est ce genre de débiles-là.
Je sais aussi que ce soir, il a un pot d’adieu avec ses collègues pour l’une d’entre elle qu’il ne connait pas bien. Il m’avait proposé de venir et il m’avait dit qu’il ne resterait pas trop longtemps, de toute façon. Je sais qu’il ne me proposera plus de venir et je sais aussi qu’il restera longtemps, sans m’envoyer le moindre message. 
Le soir arrive. Je suis seule à la maison. La soirée n’est pas mauvaise, je suis heureuse qu’il y reste à son pot d’adieu. S’il pouvait y passer la nuit, je signerais aussi. 
J’avale un zopiclone et un autre truc. Je veux dormir d’un sommeil si lourd quand il revient que je ne sente pas sa présence dans le lit.
S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est sentir sa présence à mes côtés, dans le lit, quand une dispute couve et qu’il fait merveilleusement bien comme si de rien n’était. 
Le lendemain, je me réveille, totalement abrutie encore par les médocs, sur les coups de 13h. Et le voilà, mignon comme un bichon maltais, qui fait le gentil. Houlala, mais tu as bien dormi, toi. J’ai réservé un resto pour ce soir. Et ça s’est bien passé hier avec ta copine ? 
Je ne suis pas du genre à exploser. Je n’ai pas explosé, donc. 
Oui, j’ai bien dormi. Ok pour le resto. Voilà comment ça s’est passé avec mon amie... 
Et tout mon être me crie que je le déteste profondément quand il est comme ça. Quand il nie ce qui se passe entre nous. Quand il pense pouvoir mettre sous le tapis.
Je retourne me coucher. Je l’ai déjà trop vu pour la journée. S’il n’est pas décidé à me parler de ce qui s’est passé la veille, qu’il aille se faire foutre. 
Il vient me voir. “Je vais faire des courses, tu veux quelque chose”. 
Bichon... 
“Tu es fâché pour hier”.
Non, tu crois ? Dis-moi, pourquoi donc serais-je fâché ? C’est si agréable d’être traitée par son mec comme une ennemie dangereuse.
Ni l’un ni l’autre on arrive ni à s’écouter ni à se parler. Je fulmine mais je me contiens. Il me demande de me calmer. Oui, c’est facile d’être toujours celui qui demande à l’autre de se calmer. Il n’attend que ça, que je me calme. Que je fasse comme si de rien n’était. Que je ne ressente rien. Que je flotte au dessus de tout sans rien ressentir. Tiens, je devrais peut être augmenter ma dose d’antidépresseur. Qu’est-ce que tu en penses chéri ? C’était bien non, quand je sortais de l’hôpital et que mes émotions étaient bien rangées dans des boîtes de cachets. C’était plutôt confortable, qu’est-ce que t’en penses ? 
J’ai fini par me barrer. Passer la soirée chez des potes ça vaudra toujours mieux que de l’entendre dire que je lui fait peur et que c’est pour ça qu’il ne me parle pas. Mes émotions, dit-il, sont désajustées et débordantes. Elles me débordent. Ah non, bien sûr, pas cette fois. Il ne parle pas de cette fois. Ni même de la fois d’avant. Non. C’est vrai. Ca fait un petit moment. Mais quand même, elles m’ont souvent débordées mes émotions, je ne peux pas le nier, non ? Il y a quand même quelque chose de pas normal dans ma façon de vivre mes émotions. Et lui, bha ça lui fait peur. 
Petit bichon...
Je te fais peur, mon amour... Je te fais peur... Est-ce que tu te souviens, quand tu te tapais la tête contre les murs ? Tu te souviens comme je m’interposais entre le mur et toi pour que tu ne te fasses pas mal ? Et quand tu t’arrachais littéralement les cheveux devant moi ? Quand tu te traînais sur le sol en te donnant des coups sur la tête en répétant “je suis une pauvre merde” parce que j’avais osé dire que le fait que tu m’avais trompé avec ton ex continuait à me hanter. Ah, et cette fois où tu m’as jetée sur le lit et où tu t’es ensuite jeté sur moi en martelant le matelas autour de moi de coups, frôlant mon corps et mon visage ? Et cette fois encore où de rage tu as donné un coup de pied dans notre porte vitrée, que ton pied est passé au travers et que tu t’es retrouvé aux urgences.... 
Elles étaient comment tes émotions, là ? Dis-moi... 
Tu te souviens ce que j’ai dit de tes émotions ?
Est-ce que je t’ai dit qu’elles étaient désajustées ? Anormales ? Débordantes ? Est-ce que je t’ai fait comprendre que tes émotions étaient tellement désajustées que ce n’était pas à moi de les prendre en charge ? Que tu ne pouvais pas décemment attendre ça de moi ? 
Non. 
Simplement non. 
Toute mon empathie d’humaine s’est tournée vers toi pour mettre du baume sur ta souffrance. 
Si tu souffrais au point de te faire du mal, peu m’importait que ta souffrance ne s’exprime pas comme j’aurais aimé qu’elle s’exprime. Je te prenais dans mes bras, j’accueillais tes larmes, et je t’écoutais parler pendant des heures. 
Je n’ai jamais tapé ma tête contre les murs. Je ne me suis jamais arraché les cheveux. Je ne me suis jamais traînée au sol en me donnant des coups sur la tête, je ne t’ai jamais dominé de ma force pour te faire peur, je n’ai jamais pété le double vitrage et fini aux urgences.
J’ai fait d’autres choses. J’ai hurlé quelques fois dans une pièce de l’appartement, comme un animal qu’on égorge, pour sortir de moi toute la colère de ne pas être entendue. J’ai claqué des portes jusqu’à en faire trembler les murs, encore, pour me faire entendre. J’ai pleuré si fort et si longtemps que mes paupières ont mis des jours à dégonfler.  Un jour, j’ai jeté un verre contre un mur puis j’ai attrapé le tesson à pleine main, j’en ai encore la cicatrice au creux de la paume. Tu m’as traitée de folle, tu te souviens ? 
C’était ma souffrance à moi et la forme qu’elle prenait.
Et maintenant, tu as peur.
T’es vraiment une petite chose fragile, mec.
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biarritzzz · 4 months
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Je discute avec une fille qui veut faire une randonnée en Europe mais uniquement en auto-stop. Je lui dis que c’est de la folie furieuse (je paraphrase) et évidemment elle refuse de m’écouter et me dit que tout va bien se passer et que j’exagère le danger.
Je lâche l’affaire. On ne peut pas sauver les idiotes d’elles-mêmes.
Cet échange me fait repenser au cas de ces jeunes scandinaves qui étaient parties faire de la rando au Maroc dans l’idée sans doute de montrer que non non les Arabes ne sont pas des sauvages!! Leur culture est magnifique et ils sont incompris par les méchants racistes!!
Résultat: elle ont fini violées et assassinées par la vermine habituelle.
La vidéo circulait en ligne à l’époque, ce dont m’avait obligeamment informé un collègue musulman qui s’était vanté de l’avoir regardée.
La haine que je ressentais pour ces sous-merdes était déjà grande à l’époque. Elle n’a fait que grandir depuis.
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nanaqui · 11 months
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Concept : une série dans le style des séries immobilières Netflix (Selling Sunset, Buying Beverly Hills, etc) qui suit le quotidien d'un service d'archives départementales français et ça s'appelle "Le Service". Les mêmes plans, les mêmes filtres glamour, la même musique, sauf que c'est une archiviste en polo & baskets qui arrive à la mairie d'une petite commune du département en renault clio. De retour aux archives elle discute avec une collègue de drama qu'elle a vu de loin quand une autre collègue était en salle de lecture. Régulièrement il y a des réunions de service où on filme en gros plan les gens qui lèvent les yeux au ciel quand quelqu'un d'autre parle. À la fin de l'épisode la directrice discute avec son assistante de conservation. La tension est palpable. "On nous a encore coupé le budget", dit-elle. "Encore ? Mais c'est pas possible ! On devait faire des travaux dans l'annexe", répond l'assistante. "Je sais bien", dit la directrice. "Mais là, je sais pas comment on va faire." BOUM musique bass boosted avec des paroles genre "I'm a bad bitch & you'll never catch me cos I'll make it to the top yeah" PRODUCER ADAM DIVELLO
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Donner aux enfants les clés de lecture du Porno, c’est notre travail d’adulte.
J’ai écrit cette chronique pour l’émission les Beaux-Parleurs, de la Radio Télévison Suisse. On parlait de porno et j’ai dit qu’il fallait accompagner les enfants à la compréhension du porno, leur expliquer ce que c’était et ce que ça n’était pas. Devant l’intérêt de mes collègues, je  m’y suis mise. Ce texte pourrait aller beaucoup plus loin, et c’est mon objectif.
Les statistiques montrent que 98% des jeunes regardent du porno avant l’âge de 18 ans. Les tentatives pour les en protéger sont malheureusement inefficaces. Il faut donc les préparer et les informer à ce sujet. Difficile, mais indispensable, et avant l’adolescence, car après le rapport avec eux et l’usage qu’ils en ont, rendent la discussion vraiment délicate.
Alors voici une lettre à l’attention de mon fils de 11 ans. Si vous voulez vous en servir pour votre usage, ne vous gênez pas.
Mon chéri, comme tu as un téléphone à toi et que tu aimes jouer dessus, tu dois savoir une chose. Il existe un genre de cinéma qui s’appelle le porno et qui met en scène des gens qui font du sexe. Ce genre existe et il est très rependu sur internet. Tu risques de tomber dessus par hasard, tes amis pourraient t’en montrer et un jour tu pourrais le chercher toi-même parce que tu aurais envie d’en regarder. C’est pour ça qu’il y a des choses que tu dois savoir.
La première c’est que personne ne peut te forcer à regarder du porno. Montrer du porno aux enfants est très interdit. Tu as toujours le droit de dire non. Mais sache que si tu en vois et que tu as besoin m’en parler, je ne te gronderai jamais. Certaines images peuvent déranger, et tu si tu as besoin d’en discuter avec moi, tu pourras toujours.
Ensuite, tu dois savoir que le porno, on croirait que c’est la réalité, mais ça n’est vraiment pas la réalité. C’est comme Spiederman, c’est de la fiction. Monter sur des immeubles à main nue, ça existe dans les films mais personne ne le fait en vrai. Ce qui se passe dans le porno, c’est pareil, c’est du spectacle. Comme les acteurs de Spiederman, les personnes qui jouent dans le porno sont choisis pour leur rôle. Le sexe et les vraies personnes ne sont pas comme dans le porno. Le sexe n’est pas un spectacle, et les vrais corps ne sont pas comme ça.
Il y a Spiderman mais il y a aussi la Grande Vadrouille ou La Reine des Neiges, ce sont des styles différents. Le porno aussi est varié, mais le scenario est toujours un peu le même. La sexualité est beaucoup plus variée en vrai. D’ailleurs, comme dans Spiderman, on s’intéresse toujours au héro dans le porno. Les filles ne sont là que pour servir le rôle masculin et tout tourne autour de son plaisir. Mais dans la sexualité, les filles sont aussi importantes que les garçons et ce qui est mis en scène dans le porno ne suffit pas à faire plaisir aux filles, en général.
Si tu dois monter à un mur d’immeuble dans la réalité, tu vas utiliser un harnais. Tu ne vas pas y aller comme Spiederman, sans te protéger. Dans le porno, les acteurs et actrices ne se protègent pas non plus contre les maladies. Dans la réalité, on utilise des préservatifs. C’est très important.
Dans le porno, tout le monde a envie de sexe, et même quand certains disent non, on les force et ça finit par leur plaire. Ça non plus ce n’est pas vrai. On a pas toujours envie de sexe et parfois, une personne en a envie et pas une autre. Mais pour faire du sexe avec quelqu’un, il faut que tout le monde en ait envie, et on ne doit jamais jamais insister. Le sexe c’est très chouette mais ça peut aussi faire beaucoup de mal quand on y est forcé. Ce qu’on appelle le consentement, c’est très important.
Le porno, ce n’est pas de l’éducation sexuelle. Pas plus que Spiederman est une université. Ce n’est pas dans le porno qu’on apprend ce qu’est le sexe. On apprend ce qu’est le sexe tout le long de la vie. Parfois ça marche très bien, parfois pas, c’est normal. Le but de la sexualité n’est pas d’être performant. Le but de la sexualité c’est d’être bien, confortable, en sécurité. Si tu regardes du porno plus tard, peut être que ça va te plaire, et ce n’est pas honteux. N’oublie pas que ce n’est pas un exemple à suivre, juste du cinéma. Ça ne remplace pas la vraie vie ou l’imagination. Et surtout, n’oublie pas qu’on peut en parler car le sexe n’est pas un sujet tabou.
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Pour voir la chronique en vidéo: c’est ici! 
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lalignedujour · 2 years
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Depuis que c'est arrivé, resurgissent les souvenirs de quand j'étais vivant.
Arriver à l'étranger avec un gros sac. Je m'installe ici au moins pour l'année qui vient. J'attends quelqu'un à la sortie de la gare routière. Il est 15h, il fait nuit. La fille descend d'une voiture qui stationne 30 secondes, puis repart. Elle me dit que c'est ses parents qui voulaient s'assurer que je sois pas dangereux. Je comprends pas comment je peux assurément paraître d'une personne de confiance en 30 secondes, mais on passe à autre chose. Je me rends compte que mes chaussures ne sont pas du tout adaptées à la neige. Elle me dit qu'on ira acheter des chaussures demain, elle sait où il y a des magasins ouverts le dimanche.
Cette amitié éphémère. On fait deux ou trois sorties vélo par semaine. Au départ, c'est purement pratique, on va à notre cours de théâtre ensemble. Elle grille les feux rouges, alors moi aussi. Et puis, on va de plus en plus loin. On discute de mieux en mieux. Une fois, on va jusqu'à la mer, alors on a nage un peu ensemble. On se parle de choses dont on a jamais parlé avec personne - mais pas de tout ce dont on a jamais parlé. C'est une relation pas très profonde, mais inédite. Et puis, elle a un problème de dérailleur, il y a du mauvais temps en octobre, alors on arrête de se voir. On avait parlé de faire un triathlon, on l'a jamais fait.
Le gars qui est trop fort en conversations, je me rappelle plus de son prénom. Il a l'air détendu comme ça, à la table pleine de mecs et de bière, mais en t'écoutant il te fait des matrices alliés/opposants pour retourner les opinions. On a juste 17 ans, mais il est déjà super woke. Il s'y connait à fond en féminisme, il débunk les blagues misogynes avec le sourire : "ah c'est trop drôle, parce que ça veut dire que les femmes elles sont faaaiiibles ! Et nous ça nous fait marrer parce qu'on est des meeeeecs !". Il fait rire tout le monde, et à la fin, on se rend compte que nos blagues sont complètement con même si c'est juste des blagues. Plus tard, les autres le perdent de vue parce qu'il est gay. Il monte à Paris, je le revois une seule fois, et je me rends compte qu'il part en vrille. Il me dit qu'il couche avec des connards par souci d'inclusion. Je coupe les ponts avant qu'il me retourne encore le cerveau.
Vendredi soir au bureau, une première bière avec quelques collègues, puis tout le monde part. Restent seulement moi et 2 ami·es. Elle avait prévu le coup et mis une blanquette de veau au frigo, entre les Club Mate et les Beck's. On déplace une table près dans la grande salle, on ouvre la fenêtre sur la ville en nuances de bleu-rose. On se sert pour la première fois de la plaque de cuisson réglementaire de la boîte, on fait un magnifique dîner. Deux semaines plus tard, j'apprends qu'iels sont en couple. Quelques années plus tard, je les reçois chez moi et iels conçoivent leur enfant dans mon lit d'appoint.
J'étais vivant. Maintenant, je fais semblant. Derrière le comptoir, je me retourne pour prendre un verre, je masque un peu mon visage derrière le torchon, je sanglote vite fait dans le son du cappuccino et je reprend mon sourire. On rigole bien, on fait des accents, on parle un peu mercato, on nettoie et puis on rentre.
Avant, il y avait la vie. Maintenant, il y a quelques joies simples au milieu du sec.
Imposteur au milieu des vivants.
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manuitchezbina · 1 year
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Analyse de séquence: Elephant (2003), dir. Gus Van Sant
00:58:16 - 01:00:36
Caractéristiques esthétiques  Gus Van Sant refuse le montage pour la séquence analysée : il y a qu'un long plan séquence qui suit Michelle de dos, ce que fait appelle à l’univers des jeux vidéos, un sujet très discuté dans les études sur le film.
Au même temps, le choix d’encadrer Michelle de dos donne l'impression que quelqu’un la suit, qu’elle est coincée, sur préssion, ce qu’on voit dans la scène antérieure, avec la prof de gym qui insiste pour que l’adolescente s'habille plus légèrement pour son cours, même qu’elle soit évidemment pas confortable. Également, elle sera bientôt coincée face à l’attaque des tueurs qui vont, selon l’ordre chronologique, entrer à la bibliothèque et la tirer dessus quelques instants après le début de son travail. 
Le choix de mettre Eli et John en flou dans l'arrière-plan mais de maintenir le son de leur conversation si clair indique que dans ce moment-là on accompagne Michelle, mais que, malgré son déconcertement et mal à l'aise, il y aura toujours la coexistence avec les autres adolescents. Elle n’aura pas le temps de s’isoler pour digérer la violence soufferte dans son cours de gym, elle doit continuer à vivre entourée de ses collègues et d’aller travailler.  
Indices visuels et sonores La principale fonction des indices visuels et sonores dans cet extrait est de montrer au spectateur l’angoisse de Michelle: La caméra qui la suit comme un policier qui suit un voleur; 
la musique, qui est peut-être intradiégétique mais apporte quand même une sensation funèbre; son cri très subtilement entendu parmi l’ambiance. 
Structure et enjeux dramatiques La séquence se passe dans un seul temps, sans raccords et sans ellipses. Pendant tout son chemin, on voit le mal à l’aise de Michelle dans le lycée. Après son arrivée à la bibliothèque, elle est encore timide et déplacée, mais l’acte d’avoir une tâche à accomplir semble la distraire un peu de son inconfort général. 
L’idée aussi de que Michelle parle à personne dans son chemin et que les deux seuls élèves qu’elle croise interagissent entre eux met en évidence sa solitude et son manque d'habiletés sociales en général. 
Description détaillée  La séquence est composée d’un long plan séquence, un travelling qui suit Michelle. Ce parcours s’initie avec un plan taille sur la lycéenne de dos, qui sort d’une chambre où la lumière est complètement rouge pour arriver au couloir du lycée, où il y une lumière qui semble naturelle, rentrant des grandes fenêtres du côté droit. On entend l’ambiance du lycée, une musique lente et Michelle qui semble pleurer subtilement. 
Au fond du couloir, Eli et John se croisent et discutent brièvement. Ils sont en arrière plan, flous. 
L'alarme sonne et Michelle commence à courir et le travelling s’accélère pour la suivre. Elle rentre dans une séssion plutôt obscure. La caméra continue à la capturer de son dos mais l'échelle se serre plus et Michelle rentre en plan épaules.
La personnage entre dans la bibliothèque et le bibliothécaire vient lui parler pour expliquer ses tâches: il faut qu’elle commence par mettre des livres en rayons. Elle prend son chariot et commence son travail. On écoute les bruits des livres manipulés. 
Ensuite, Michelle entend un bruit étrange et tourne en arrière, c'est-à-dire vers la caméra, pour regarder ce qui se passe. 
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les2minutesduprof · 1 year
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Éloge de la discrétion.
Dans le classement des rituels historiques dans la vie d'un établissement scolaire, on trouve en bonne position le fameux conseil de classe. C'est toujours pour les enseignants un moment intéressant qui permet d'avoir une vision globale sur une classe. Cette réunion multilatérale permet de réunir autour d'une table ce qu'il convient d’appeler aujourd'hui l'ensemble de la communauté éducative*.
*Article L111-3 du code de l'éducation : « Dans chaque école, collège ou lycée, la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l'établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à l'accomplissement de ses missions.
Certes, un moment intéressant mais c'est aussi le théâtre de l'un des plus grands drames de ma vie : les remarques sur le manque de participation des élèves. On attend des élèves d'aujourd'hui qu'ils nous posent des questions, qu'ils répondent aux nôtres, qu'ils participent et discutent spontanément, tout le temps et sur tous les sujets. Et, lorsque ce n'est pas le cas, les remarques du bulletin s'alourdissent de petites phrases faussement anodines et réellement démoralisantes :
'' élève discret " " manque d'investissement à l'oral " " gagnerait à participer davantage "
En tant qu'ancien élève discret et actuel professeur tout aussi discret, je mets chaque année un point d'honneur à rassurer les parents d'élèves dits ''timides'' lors de nos réunions parents/profs. Ne vous inquiétez pas, ne culpabilisez pas, la discrétion n'est pas un handicap et encore moins un défaut. Redonnons ces lettres de noblesse à cet adjectif.
J'aimerais donc profiter de ces quelques lignes pour rappeler une chose importante : non, milles fois non, la discrétion n'est pas un manque d'implication !! De grâce, arrêtez de vouloir soigner les discrets en les forçant à changer leur nature. Ils ne sont pas malades et ne manquent pas forcément de confiance en eux. Montrez à une personne introvertie que vous respectez son caractère et vous gagnerez un ami fidèle.
Il est un paradoxe qui m’étonnera toujours chez nous autres enseignants : si l’a classe participe trop, on parle d’un groupe hyperactif, bavard et ingérable mais si elle participe peu on parle d’un groupe amorphe, endormis ou non motivé. Jamais contents.
Vous seriez d’ailleurs surpris de constater que les élèves discrets se débrouillent souvent très bien lors des oraux, ils se révèlent parfois plus encore lors d’entretiens ou d’exposés individuels. Ils peuvent même mal tourner et devenir prof à leur tour, payés à parler toute la journée.
Alors, pour le bien de mes collègues de langues, je ne peux que vous encourager à participer à l’oral, ne serait-ce que pour s’entrainer à parler en public et s’exprimer de façon audible. Mais ça je l’écris en tout petit.
Timides, je vous aime !! Laissez-les parler, ils ne vous comprennent pas. Laissons-les parler, ils ne nous méritent pas.
La petite citation stylée :
" Dans une société qui valorise le paraître et les confessions à grand spectacle, la discrétion est une forme heureuse et nécessaire de résistance. "
Pierre Zaoui – Philosophe français.
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langedesenfers · 12 days
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Petit verre du jeudi soir
En ce moment ça va pas fort. Je me sens assez mal et ça empiète beaucoup sur ce que ressent envers Alexandre. Je n’ai pas envie d’une confrontation et ça me démoralise un peu plus encore.
Alors j’ai préféré sortir. Comme mercredi, où au final bien que pensais sortir seul son envie de venir m’a été bienvenue.
Mercredi on a passé un bon moment au sauvage, sur le sable. Je pensais aller à la plage mais vu l’heure l’envie de me baigner m’était passée, et m’assoir à un table pour boire ne me disais rien de plus. Son idée de la route du sauvage ne me semblait pas bien différente mais sans destination, je n’avais pas meilleure idée. Et finalement se coucher de soleil au bord de l’eau avec un bon verre en main était génial. C’était un bon moment de paix et ça m’a fortement calmé intérieurement.
Pour autant, je ne me sentais guère mieux le lendemain. J’appréhendais fortement une soirée télé avec lui à la maison, il me fallait être en extérieur.
Le passage du chat me semblait un bon compromis, aller dans le nord plutôt que l’ouest de la veille, dans un endroit que j’ai souvent trouvé chaleureux par le passé.
Rien que le verre à leur effigie me ramenais à ces moments. Les couleurs du bar, le bruit environnant, le monde m’avais souvent fait me sentir moins seul.
Ça me faisais étrange de me retrouver là dans cet état avec Alexandre. Mon ressenti face à lui n’avait guère changé, mais je comptais sur cet endroit pour faire passer le temps de manière plus douce et agréable.
Par surprise, Pauline était dans un bar à côté depuis un bon moment avec l’une de ses collègues. Après une bonne IPA et un petit jeu de carte nous l’avons rejoint.
Cette deuxième partie de soirée m’a été plus difficile, j’ai bien vite sombré dans mon mal-être, mes doutes, et mes peurs. Le vin n’a sans doute pas arrangé les choses, et fort heureusement être un jeudi était une bonne excuse pour ne pas trop tarder à rentrer.
L’idée rassurante d’être à nouveau chez moi m’a permis d’y passer de bons derniers instants.
Sur la route, à la maison, je n’avais plus un brin d’énergie. Le lit me semblait être le dernier havre de paix de la journée. J’hésitais à m’isoler dans ma chambre d’ami, tant je me sentais mal, mais Alexandre devant préparer son repas du vendredi midi - et accessoirement manger son repas du soir - me laissait un peu de temps pour m’endormir, seul.
Je pense qu’il a senti mon bad mood, dans quelques petites intentions sa et là qui ne le ressemble pas.
C’était une belle surprise ce matin d’apprendre que la barquette au frigo était pour moi. Sans que je n’eut rien demandé.
Mon bad mood ne c’est pourtant pas envolé. Mon ressenti face à lui s’est apaisé, un instant, avant de se remettre à me torturer.
Il y a une semaine de cela je sautais partout, plein de joies et d’excitation. Je le sentais présent et chaleureux. Cette semaine tout ne me semble que déception, tristesse et trahison.
C’est si dur mais je suis si fatigué de ce ressenti qui semble se répéter si souvent. Si fatigué de ces constatations qui me semble traduire une vérité tout autre que celle à laquelle je crois quand tout semble bien.
Ce soir j’hésitais à sortir à nouveau, mais je n’avais pas réellement l’envie. Pas la force.
La soirée est calme, Alexandre est présent. Les déceptions s’animent toujours, le mal-être se cache à peine. L’envie d’une confrontation reste inexistante, et pourtant cette dernière a semblé vouloir pointer son nez.
Faire face à mes démons.
C’est là ce que j’essaie de faire. L’envie d’avoir le contrôle, d’être aux manettes, de prendre de mes décisions.
Discuter ? À quoi bon. Ici je parle seul face à un mur qui tantôt se défend, tantôt répète mes mots. Jamais je n’en sort satisfait.
Alors, de moi même, à moi même. Gérer ses émotions, écouter son cœur, rester calme, prendre du recul. Aller de l’avant.
Je ne resterais pas dans une telle situation longtemps. Ma patience semble avoir atteint ses limites, et cela se traduit par une autre manière de voir les choses.
À moi de gérer ma vie, mes relations. D’entendre mes envies, d’être mon pilote. De prendre des risques quand il le faut, d’être calme et compréhensif quand il le faut.
Désormais, je veux à nouveau m’appartenir. Et une chose semble sûre, ça commence en faisant mal.
Vendredi 12/04/24
Fabien
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calypso1962 · 1 month
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L’assertivité est une compétence de communication qui permet à une personne d’exprimer ses pensées, ses sentiments, et ses besoins de manière directe, honnête et respectueuse, sans être passive ni agressive. Elle implique le respect de soi-même et des autres, et vise à établir un équilibre entre l’expression de ses propres droits et la prise en compte des droits d’autrui. L’assertivité permet de défendre ses intérêts personnels et de dire “non” lorsque nécessaire, tout en maintenant des relations saines et constructives. Elle est particulièrement utile dans la gestion des conflits, la négociation et dans les interactions quotidiennes, facilitant une communication claire et la résolution de problèmes de manière efficace. L’assertivité est l’art de s’exprimer et de défendre ses droits de manière positive et respectueuse, sans être agressif ni passif. C’est communiquer ses idées, ses sentiments et ses besoins de façon claire et directe, tout en respectant ceux des autres. Vous êtes submergé de tâches et… Imaginez une situation de travail où vous êtes submergé par les tâches. Plutôt que de garder le silence (passivité) ou de vous plaindre de manière agressive, vous choisissez d’exprimer calmement à votre superviseur : ‘Je me sens actuellement surchargé et je crains que la qualité de mon travail en pâtisse. Pourrions-nous discuter des priorités de mes projets ? Cet exemple illustre l’assertivité en pratique : affirmer ses besoins tout en étant ouvert au dialogue. Cela favorise la compréhension mutuelle et la recherche de solutions bénéfiques pour toutes les parties concernées. Conflit avec un collègue Vous travaillez sur un projet important avec une échéance serrée. Un collègue, qui doit vous fournir des informations essentielles pour avancer, prend du retard, mettant en péril le respect du délai. Au lieu de laisser la frustration s’accumuler ou d’adresser le problème de manière agressive, vous décidez d’approcher votre collègue de façon assertive. L’assertivité se distingue des autres réponses au conflit – évitement, compétition, compromis, et accommodation – en offrant une voie de communication ouverte, honnête et respectueuse.Plutôt que d’éviter le conflit, de le dominer, de faire des concessions ou de s’y soumettre, l’assertivité nous permet d’exprimer nos besoins et nos opinions de manière constructive, tout en valorisant ceux des autres. Dialogue Assertif : Vous demandez à votre collègue un moment pour discuter : “Pourrais-tu disposer de quelques minutes pour parler du projet X ? J’aimerais discuter de notre progression et de comment nous pouvons respecter notre délai.” Pendant la discussion, vous exprimez clairement et calmement votre préoccupation : “Je suis inquiet car sans les informations que tu as, je ne peux pas finaliser ma partie du projet. Cela pourrait nous amener à manquer notre échéance.” Vous proposez une solution ou demandez son avis pour trouver un compromis : “Comment penses-tu que nous pourrions résoudre ce problème ? Y a-t-il quelque chose que je peux faire pour t’aider à avancer ?” Cette approche ouvre un espace pour la communication et la collaboration, permettant à votre collègue de comprendre l’impact de son retard sans se sentir attaqué. Ensemble, vous trouvez une solution qui permet de respecter le délai du projet. Prévenir les Conflits En amont, l’assertivité permet de prévenir les conflits en encourageant une communication transparente et directe. Par exemple, lors d’une réunion d’équipe, exprimer clairement vos attentes concernant les délais et les responsabilités peut éviter les malentendus et les frustrations futures. Gérer les Conflits Complexes Dans les situations de conflit complexe, adopter une posture assertive aide à naviguer dans les tensions avec équilibre. Face à un désaccord persistant sur la gestion d’un projet, l’assertivité vous permet d’organiser une médiation où chaque partie pe...
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