Tumgik
#maison nue
hommedessept · 1 year
Photo
Tumblr media
Shigeru Ban
22 notes · View notes
entre-image-blog · 1 year
Photo
Tumblr media
La Maison Nue, Marion Fayolle, éditions Magnani, disponible sur entre-image.com
4 notes · View notes
mistydeyes · 11 months
Text
perfumes i think the 141 boys enjoy
┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊
summary: Scent is one of the most powerful senses, so what kind of fragrance do the 141 boys + Alejandro like on their significant other?
pairing: 141 x Reader
warnings: none
a/n - i also work for a perfume company so I've had a couple of ideas about what scents the boys like :)
┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊
price - loves expensive, smokey scents on anyone. imagine the scents of a fresh cigar-that's what price wants in a fragrance. notes like pepper, leather, tobacco, cedar wood, and iris will make him crumble.
masculine
oud wood - tom ford notes: oud wood, sandalwood, chinese pepper
osmanthe kodoshan - maison crivelli notes: leather, tobacco, sichuan pepper, apricot, peach
functional fragrance - the nue co. notes: cardamom, iris, palo santo, cilantro
unisex
hinoki fantôme - boy smells notes: tobacco leaves, oak moss, and smoked leather
jazz club - maison marigela notes: pink pepper, rum, tobacco
lumière d’iris - veronique gabai notes: rose, iris, cedarwood, amber
feminine
baccarat rouge 540 - maison francis kurkdjia notes: jasmine, ambergris, saffron, cedar wood
cuir béluga - guerlain notes: leather, powder, vanilla
platinum 22 - floris london notes: rose, violet leaf, blackcurrant, oat, black tea
soap - woodsy, floral scents are soap's surprising pick. it brings back memories of the scottish countryside, adventuring in the woods and smelling the fresh flowers his mam had. notice notes of herbs (sage, rosemary, mint), lavender, and violet.
masculine
sauvage - dior notes: pepper, amberwood, bergamot, powder
h24 - hermès notes: clary sage, narcissus, rosewood
new york wall street - bond no.9 notes: sea kale, cucumber, lavender, ambergris, vetiver
unisex
voodoo chile - dries van noten notes: rosemary, patchouli, hemp
libre - yves saint laurent notes: lavender, musk
dirty grass - heretic notes: black pepper, lemon, hemp, violet
feminine
melancholy thistle - jo malone london notes: thistle, english ivy, cool wood
portrait of a lady - frédéric malle notes: frankincense, black currant, raspberry, patchouli
la tulipe - byredo notes: tulips, cyclamen, fressia, rhubarb
gaz - FLORAL CITRUS will make this man fall in love with you. it reminds him of a warm summer day sitting in the grass and smelling flowers. look for summery fragrances with notes of citrus, lemon, sage, and fresh herbs.
masculine
bleu de chanel - chanel notes: citrus, labdanum, sandalwood, cedar
polo black - ralph lauren notes: iced mango, lemon, tangerine, sandalwood, sage, patchouli
l'homme - yves saint laurent notes: bergamot, ginger, cedar wood, vetiver
unisex
cactus garden - louis vuitton notes: maté, bergamot, lemongrass
velvet cypress - dolce & gabbana notes: pine, lemon zest, bergamot, clary sage
eau de campagne - sisley notes: grass, citrus, herbs, jasmine, lily of the valley
feminine
brazilian crush cheirosa 62 - sol de janeiro notes: pistachio, almond, sandalwood, heliotrope, jasmine
her blossom - burberry notes: mandarin, plum blossom, sandalwood
flora gorgeous jasmine - gucci notes: mandarin, jasmine, magnolia, sandalwood
ghost - likes a light, musky scent! he loves when a scent adds to a person's natural smell (he hates sugary, gourmand scents). ingredients like musk, ambrox, pepper, sandalwood catch his eye as he pictures fresh sheets and a rainfall in a forest.
masculine
geranium pour monsieur - frédéric malle notes: mint, aniseed, sandalwood, geranium, frankincense
atlantis - blu atlas notes: orris, oak moss, violet, musk, ambrette seed
gentleman - givenchy notes: pear, lavender, patchouli
unisex
glossier you - glossier notes: pink pepper, iris, ambrette seeds, ambrox
not a perfume - juliette has a gun notes: ambergris
santal 33 - le labo notes: violet cardamom, cedar wood, iris, ambrox
feminine
missing person - phlur notes: musk, bergamot, jasmine, neroli, sandalwood
golden nectar - nest notes: florals, orchid, amber, musk
apollonia - xerjoff notes: white floral, orris butter, white musk
extra! alejandro - if ghost likes it simple and light, then alejandro is the exact opposite. he loves when he can smell someone's fragrance across the room. focus on bold fragrances with spicy notes of nutmeg, myrrh, and rum that is mixed with the gourmand of vanilla, almond, and tonka bean.
masculine
the last day of summer - gucci notes: cedarwood, cypress, nutmeg, patchouli, vetiver
bibliothèque - byredo notes: peach, peony, violet, leather, patchouli, vanilla
london myrrh & tonka - jo malone notes: almond, vanilla, myrrh, lavender, honey
unisex
tobacco vanille - tom ford notes: tonka bean, vanilla. cacao
dark rum - malin + goetz notes: anise, plum, leather, rum, patchouli, amber
tao dao - diptyque notes: sandalwood, cedar, cypress, myrte
feminine
lost cherry - tom ford notes: black cherry, tonka bean, almond
brazil aroma - costa notes: white jungle flora, orange oil, pink pepper, bourbon, vetiver, patchouli
babylon - penhaligon's notes: saffron, nutmeg, coriander, cedar wood, vanilla, cypriol
┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊ ⋆ ┊ . ┊ ┊┊
608 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 106
C'est la dernière semaine de l'ancienne organisation (travail et baises).
Mercredi,
Jean fait sa dernière passe chez le vieux au valet. Dès que nous entrons, j'annonce la nouvelle au client. Il est content et nous demande d'attendre 5mn. Il revient avec mon enveloppe. Elle me parait plus épaisse que d'habitude. Le temps de monter à la chambre, je l'ouvre et effectivement il a ajouté 50%. Ça a du bon le changement de personnel !
Bien que la confiance se soit installée, je ne voudrais pas qu'il s'autorise sur Jean des " excentricités " pour sa dernière passe et je préfère rester avec eux.
Ce n'est pas désagréable d'autant plus que le valet (toujours aussi stylé et appétissant) vient me servir. Il m'offre un verre et comme j'écarte les cuisses (ce qui plaque bien mon jeans sur ma bite bandée) il s'agenouille et dégrafe ma braguette. Je lui prends la tête ente mes mains et après qu'il eut dégagé ma queue, lui force (façon de parler, il est consentant) la bouche. ;C'est un vorace en manque, il me l'avale jusqu'aux couilles. Je dois plutôt le ralentir que le pousser à m'avaler entier ! Pendant ce temps là sur le lit à baldaquin, Jean se fait démonter la rondelle. Je relève le valet et lui ordonne de quitter le bas. Je vais l'enculer à demi-déshabillé. Il s'exécute et de lui-même se penche en appui sur un dossier de fauteuil, écartant des deux mains ses fesses. Sa rondelle glabre me fait toujours autant d'effet et kpoté, je m'enfonce avec délice dans ce trou.
J'ai bien fait de rester avec Jean car je surprends une ou deux fois le client tenter des trucs pas " catholiques " style, enculage sans kpote et au final jutage dans la bouche de Jean. Les deux fois un regard appuyé à suffit à éviter le pire. Je jute dans la kpote bien calé au fond du valet. Trop bon ! De son coté Jean à fini. Douches rapides et nous rentrons. Jean me remercie d'être resté avec lui car il aurait été mal pour refuser les excès (vu la différence de force entre lui et son client). Je lui dis que c'est normal, je me suis toujours bien occupé de lui. Il me demande s'il doit continuer à amener des jeunots à sa mère. Je lui réponds que cela vaudrait mieux sinon elle risque d'être méchamment en manque.
Il me dit alors que la moyenne d'âge va augmenter, les portes du lycée s'étant refermées. Par contre des copains étudiant en manque et surtout en manque de baise plus originale qu'en position du missionnaire, il en trouve quand il veut. Je lui dis qu'il la gère comme il veut, pour moi, maintenant ce n'est qu'une source de revenu parmi d'autre. Je lui demande de continuer à enregistrer. Peut être découvrirons nous un " spécial pervers " dans le lot. Il me dit que le bourge qui avait enculé son pote c'était déjà pas mal. J'en conviens. Je le laisse devant sa porte, je ne tiens pas particulièrement à rencontrer sa reum.
Jeudi, Je passe chez Emma. J'aime bien mes jeudis " hétéros ". Elle est chaude comme à notre deuxième rencontre. Aussitôt la porte de la maison passée, elle me saute dessus. Elle est nue et ses bras autour de mon cou, ses cuisses sur mes hanches, elle se colle à mon cuir comme une sangsue. Nous nous roulons un patin d'enfer alors que je la plaque contre le premier mur venu. Je bande sous le cuir et ne peux libérer mon sexe. Elle le sait et serre encore plus les cuisses autour de ma taille.
Sa chatte commence à mouiller mon cuir, je nous pousse jusqu'au séjour et la dépose sur la table. Je dé zippe ma combi en partant du base et kpote ma bite raide avant de lui défoncer la chatte. C'est chaud et ça rentre tout seul ! Elle reste accrochée à mon cou et nous continuons à mélanger nos salives. C'est pas mal, mais elle sait que je préfère son cul (c'est souvent le cas chez les bis tendance très homo !).
Je la retourne, ses pieds au sol, les seins écrasés sur le plateau de la table, je regarde quelques seconde ce cul avant de le perforer de ma bite. Hargggh que la résistance d'un anus est plus plaisant que la mollesse d'une chatte ! J'ôte mes gants de moto et lui prend les épaules pour appuyer chacun de mes coups de reins. Ça lui soulève les pieds du sol. Elle apprécie la force de l'enculage.
Je glisse une de mes mains sur sa chatte et joue avec son clito. Je sens aussitôt son anus se serrer convulsivement. C'est encore meilleur ! Je glisse ma deuxième main sur un sein. Entre la stimulation anale, celle clitoridienne et le malaxage de son téton gauche, elle abdique et jouit bruyamment. Je suis obligé de maintenir ses hanches de mes deux mains pour éviter d'être éjecté de son corps.
Je continu des va et vient désordonnés, bloqué dans mes mouvements par les contractions de son anus. Mais c'est trop bon et j'en rempli ma kpote. Fatigué, je me retire et me couche, dos sur la table à coté d'elle. Elle rampe sur moi et se colle sur mon coté. Nous restons quelques instants. J'attends qu'elle sorte de l'état post coïtal en lui caressant délicatement le dos. Un bon 1/4 heure plus tard, elle se relève sur un coude le regard fixé sur moi. Je ne bouge pas.
Elle dé zippe ma combi du bon coté pour l'enlever, écarte les pans et relève mon t-shirt pour me caresser les pecs et les abdos. Je ne bouge toujours pas la laissant dans ses pensées. Elle finit par me dire " bonjour ", c'est vrai que nous n'avions pas eu le temps de nous saluer ! Elle se penche sur mon nombril, pose sa langue dessus t remonte doucement. Passage sur mes tétons encore raidis par le plaisir, glissement sur ma pomme d'Adam et atterrissage sur mes lèvres pour une pelle langoureuse.
Après quelques instants, je me redresse. Je descends de ;la table, m'extirpe de ma combi et la dresse sur une chaise. Je pars me doucher. Au passage dans la chambre je choisis un shorty dans la collection qu'elle a acquise pour moi et me coule dans la douche. Emma me rejoint quelques minutes plus tard alors que je me rince et reste sous le jet brûlant, délassant mes muscles. Je la savonne, la caressant plus que l'étrillant. Ses seins sont encore hypersensibles et le passage de mes paumes sur les tétons la fait frissonner. Je la rince et nous restons embrassés sous le jet. Une fois séchés, j'enfile le shorty, Emma un peignoir et nous allons prendre un café à la cuisine.
Nous papotons, je lui fais part de ma nouvelle organisation (travail à la maison en indépendant, pas le recrutement de mes deux nouvelles putes !), elle me félicite d'avoir fait le pas et me demande si je suis toujours " escort ". Je lui dis - oui bien sûr. Du coup elle me demande si je pourrais me libérer un samedi soir, elle voudrait que je l'accompagne à une soirée organisée par un des associés de feu son mari. Quand je lui en demande la raison, elle me dit vouloir se débarrasser d'un soupirant auprès de son portefeuille d'action ;en lui montrant qu'elle n'a besoin de personne pour mener sa vie. L'idée d'être un homme objet ne me fait pas peur, il faut juste que j'obtienne l'accord de Marc. La date annoncée me laisse le temps d'acquérir un vernis de connaissance du milieu des affaires auprès du père de Ric. Pour ce qui est du commerce, ma petite affaire m'a appris les rudiments de l'offre et la demande et niveau culturel, mon éducation m'a laissée de beaux restes.
Nous refaisons l'amour avec plus de tendresse, la furie étant passée avec notre premier rapport.
Dès que Marc rentre je lui parle de la demande d'Emma. Il me dit être d'accord. Depuis notre clash, nos rapports ont évolués et il me fait confiance. Il sait que même si je m'investi plus en tant qu'escort, c'est lui que j'aime.
Nous passons la soirée à faire l'amour. Je le fais monter doucement en pression alternant pipes avec gobages de couilles et léchages du périnée. En apéritif, je réussis à le faire juter dans ma bouche. Je le bois et il me prend la bouche pour en récupérer une partie. Petit dîner et nous remettons cela. Simplement, dans notre lit (chose assez rare il est vrai) il m'a fait l'amour divinement. Ses baisers, ses caresses et la force de sa pénétration font de lui un amant parfait. Après m'avoir amené à le supplier de m'enculer, il s'est exécuté pour mon plus grand plaisir. Chaque centimètre se sa queue participe à la montée de l'excitation. Je m'applique à lui rendre la pareille en serrant mon anus pour lui masser la verge, arrivant à le bloquer quand il n'y laisse que le gland. Nous continuons ainsi, faisant varier les positions jusqu'à ce qu'il explose dans mon cul écrasant mes cuisses sur mon torse afin de pouvoir me rouler un patin. Sans me toucher, je jute entre nos deux corps collés. Avant de nous endormir je lui dis que je l'aime et j'ai le plaisir de l'entendre me le dire aussi (ce qui est rare même si cela fait quelques temps qu'il en a convenu).
Vendredi
C'est mon dernier jour chez mon patron, je lui amène Jimmy pour le présenter et qu'ils fassent connaissance. L'entretien se passe bien. Je lui fais visiter la boite, le vestiaire avec son placard, ses cottes et ses chaussures de sécurité, la salle de repos, les quelques bureaux. Son charme agit déjà sur celle qui s'occupe de l'administration (et qui n'est autre que la femme du boss), je ne m'en fait plus pour lui !
Au retour, je lui dis qu'il est très sexy dans sa combi de travail à double zip. Il rigole et verifie de sa main l'effet qu'il à produit sur moi. Je bande dur. Sans que je ne demande rien, il me déboutonne le ;jeans et me pipe alors que je conduis. Heureusement que la voiture connait le chemin, car je n'ai pas vu grand-chose de la route. Arrêté dans la cour de la maison, j'ai pris sa tête entre mes mains et la bloquant contre le volant, je lui ai sodomisé la gorge. Il m'avait trop excité de ptit con ! J'ai juté dans a gueule en lui disant de tout avaler pour pas tacher le cuir des siège. Quand nous sommes sortis, Samir et Ammed nous attendaient. Samir voulait savoir comment s'était passé l'entretien d'embauche. C'est Jimmy qui lui a dit qu'il était pris et de tourner sur lui-même pour faire admirer la cotte grise et bleue. Samir m'a remercié d'avoir tiré Jimmy de l'avenir de dealer qui l'attendait.
Dès le samedi après midi, j'ai été chercher Ed. A partir du moment où il prend son portable, ses parents le laisse faire ce qu'il veut. Je lui montre ses quartiers, qui sont les même que ceux de Jimmy et lui dis que le lit est assez grand pour eux deux (deux mètres par deux, pour deux crevettes d'1,65m par même pas 50Kg).
En attendant, WE de formatage au futur taf. Nous passons le plus clair de notre temps au donjon. De temps à autre, Marc nous rejoint pour se vider les couilles. J'organise des pauses où nous profitons de la piscine. Autant je laisse Jimmy prendre le soleil, un beur bronzé ça le fait, autant Ed se couvre d'un peignoir quand on se repose sur les chaises longues, lui son attrait de blond c'est aussi sa peau très blanche. A la fin du W, avec Marc nous les double-sodomisons. Je les ai préparés comme il faut et ils sont demandeurs. Après un galop sur la selle équipé de notre plus gros gode (le 28 x 7.5) où Ed a expliqué (fort de son expérience de cavalier) à Jimmy comment mimer les mouvements. Nous avons commencé par Jimmy. Mes jambes emmêlées à celles de Marc, nos bites collées, couvertes de graisse, j'ai demandé à Jimmy de venir s'assoir dessus. Le gland de Marc juste entré dans le sphincter, j'ai senti le mien pousser à la porte. Un petit coup de cul et Jimmy l'a fait passer. La suite a été un vrai délice. Lentement il s'est assis sur nos cuisses. Ed à coté n'en perdait pas une miette, il savait que plus tard ce serait son tour. Jimmy l'a rassuré en nous disant que c'était trop bon ! Avec notre aide, il a amorcé un mouvement de pompe qui avait l'air de lui faire autant plaisir qu'à nous.
Après quelques instants, ça a été le tour d'Ed. Avec lui il faut toujours un peu de poppers pour faciliter la chose. Une fois bien callés dans on cul, nous avons vu notre ptit beur venir lui bouffer la tige. J'ai laissé faire. Quand il s'asseyait sur nos cuisses, il sortait de la bouche de Jimmy pour y rentrer dès qu'il retirait nos bite de son cul. Poppers, pipe ou excitation du moment, toujours est il qu'il s'est déchainé et s'est défoncé l'anus sur nos bites raides à un rythme infernal. Bien stimulés par la première double-sodo, nous avons tout lâché quand lui-même tapissait la gorge de son comparse de son sperme.
Nous nous sommes retrouvés tous les 4 dos sur les tatamis à récupérer de nos efforts. Pas longtemps, Ed s'est rappelé que Jimmy n'avait pas joui et a vite remédié à cela. Petite pipe et 30 secondes plus tard il avalait le sperme. Ils sont revenus vers nous, Jimmy se couchant sur moi alors qu'Ed se posait sur Marc. Petits bisous et ils se sont endormis leurs têtes callées dans le creux de nos épaules.
Avec Marc, nous nous sommes regardés et avons décidé de ne pas bouger tout de suite. Du coup nous nous sommes endormis aussi et c'est Samir et Ammed qui nous réveillés. Isolé, le temps ne passe pas avec la même vitesse dans le donjon.
Douches pour tout le monde et j'ai raccompagné Ed quand Samir se chargeait de Jimmy.
Quand il faisait son petit sac à dos, je lui ai offert un plug de travail, pour qu'il puisse en semaine se roder l'anus accompagné de son pot de graisse.
Comme l'autre fois, son frère était seul à l'attendre. C'est un gentil môme. Quand nous avons passés la porte, il nous a sautés au cou. C'est vrai qu'il a du s'ennuyer ferme, seul pendant deux jours. Il a cuisiné Ed pour savoir ce qu'il avait fait du WE. Ce dernier a éludé en inventant des balades en moto. A mon départ j'ai nettement senti sa petite bite raide sous son short contre mon cuir. Du coup j'ai glissé dans l'oreille d'Ed que bientôt il faudra qu'il lui apprenne à se masturber !
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
22 notes · View notes
mega-adam-blr · 6 months
Text
Tumblr media
Je suis la fille de celle qui écrivit cette lettre, -Cette lettre et tant d'autres que j'ai gardées. Celle-ci en dix lignes, m'enseigne qu'à soixante seize ans elle projetait et entreprenait des voyages, mais que l'éclosion possible, l'attente d'une fleur tropicale suspendait tout et faisait silence même dans son cœur destiné à l'amour. Je suis la fille d'une femme qui, dans un petit pays honteux, avare et resserré, ouvrit sa maison villageoise aux chats errants, aux chemineaux et aux servantes enceintes. Je suis la fille d'une femme qui, vingt fois désespérée de manquer d'argent pour autrui, courut sous la neige fouettée de vent crier de porte en porte, chez des riches, qu'un enfant, près d'un âtre indigent, venait de naître sans langes, nu sur de défaillantes mains nues... Puissé-je n'oublier jamais que je suis la fille d'une telle femme qui penchait, tremblante, toutes ses rides éblouies entre les sabres d'un cactus sur une promesse de fleur, une telle femme qui ne cessa elle-même d'éclore, infatigablement, pendant trois quarts de siècle...
Sidonie-Gabrielle Colette
12 notes · View notes
albad · 10 months
Text
Tumblr media
FRANCE FASCISTE : LE TUEUR DE NAHEL BIENTÔT MILLIONNAIRE ?
Il y a tellement de fascistes en France que des dizaines de milliers de personnes sont prêtes à subventionner l'exécution d'un adolescent. C'est ce qui se passe avec le tueur de Nahel. Le policier qui a braqué son arme sur l'adolescent de Nanterre en hurlant qu'il allait «lui mettre une balle dans la tête» avant de l'exécuter froidement.
Florian Menesplier, le policier tireur est un ancien militaire passé par le lycée privé catholique Sainte-famille Saintonge, avant de rejoindre le 35ème Régiment D’infanterie puis entrer dans la police. En commettant ce crime, il a touché le gros lot. C'est un fait atroce, insoutenable, vertigineux, mais c'est bien réel. Il y a trois jours, le polémiste d'extrême droite Jean Messiha lançait une «cagnotte de soutien» au tireur. Elle dépasse ce dimanche les 700.000€ de dons !
Il faut ajouter à cette somme hallucinante une autre cagnotte : celle lancée par les collègues du tireur, les motocyclistes des Hauts-de-Seine, qui récolte quant à elle près de 50.000€. Preuve supplémentaire que les policiers criminels ne sont pas des «brebis galeuses» et que ces faits ne sont ni des «bavures» ni des «dérapages». En cas de violences policières, tout un réseau de solidarité extrêmement puissant et organisé, disposant d'importantes ressources médiatiques et financières, s'active au sein des forces de l'ordre.
Le racisme et la propagande policière atteignent un niveau tel que des personnes récompensent massivement ceux qui tuent un jeune d'origine maghrébine. Dans la liste des donateurs, on trouve par exemple le pseudonyme «Jean Culas Mélenchon» qui a versé 1102€, parmi d'autres dons à 4 chiffres. Il y a en France des riches fascistes prêts à mettre près d'un SMIC uniquement pour subventionner un tueur en uniforme. Pour le féliciter financièrement.
Florian Menesplier sera peut être millionnaire pour avoir tué un adolescent ! À ce rythme, le policier peut déjà s'acheter une deuxième maison voire même se mettre en retraite anticipée.
Il s'agit clairement d'autre chose que de soutien, c'est un symbole : financer la répression des quartiers, faire une démonstration de suprématie blanche. Il s'agit d'une manifestation des gens lâches, une manifestation sous forme financière, de tout ce que la France compte d'amoureux de l'ordre, de syndicalistes policiers et de fascistes.
En 2019, le gouvernement avait fait sauter en moins de 48h une cagnotte en faveur de la famille Christophe Dettinger, boxeur Gilet Jaune qui avait repoussé à mains nue des gendarmes en armures qui matraquaient une femme au sol. Les autorités avaient prétexté que cette cagnotte «encourageait la violence». Le ministre de l’intérieur de l'époque évoquait un «financement de la violence». Marlène Schiappa demandait à ce que les contributeurs soient identifiés. Élisabeth Borne hurlait son indignation.
Ces centaines de milliers d'euros récoltés par des fascistes pour un agent mis en examen pour «homicide volontaire» contre un mineur, eux, ne provoquent pas la moindre réaction gouvernementale.
Contre Attaque
18 notes · View notes
sous-le-saule · 8 months
Text
Corbeaux
Saletés de piafs !
Le jour de la mort de sa femme, il n’a pas particulièrement prêté attention au corbeau perché dans le pommier dégarni par l’automne. Le choc, les appels à passer. Il se souvient juste avoir pesté contre les croassements incessants alors qu’il tentait de fournir des explications aux amis et aux membres de la famille en larmes à l’autre bout du fil. Un stupide accident. La pluie. Un camion. On ne sait pas ce qui s’est passé au juste.
Le lendemain, il a fallu commencer à organiser les funérailles et il avait autre chose à faire qu’à penser aux deux corbeaux qui poussaient des cris chaque fois qu’ils le voyaient à travers la fenêtre de la cuisine. Voilà ce que sa femme en avait faits, à force de les nourrir et de les abreuver quotidiennement : des parasites incapables de trouver leur pitance tout seuls. Oh, ils pouvaient bien réclamer, il n’avait aucune intention de reprendre à sa charge le culte des corbeaux que sa femme entretenait. S’ils voulaient de l’eau dans leur stupide petite baignoire de pierre, ils n’avaient qu’à attendre qu’il pleuve.
Les jours qui ont suivi, il avait beau être tracassé par la conclusion de l’expert – pas de trace de freinage, un problème technique à la voiture -, il n’a pas manqué de remarquer que c’étaient à présent trois puis quatre corbeaux qui le lorgnaient d’un œil torve depuis les branches nues.
Aujourd’hui, à son retour du cimetière, il fulmine. L’autre, les paupières rouges et gonflées, a eu l’audace de venir à l’enterrement. Il est resté dans le fond de l’église, puis quelques tombes plus loin au moment de la mise en terre, comme un lâche. Croyant sans doute qu’il ignorait l’aventure de sa femme et le visage de son amant.
Il doit avoir épuisé sa réserve de sang-froid en se retenant d’aller casser la gueule de ce salopard. C’est la seule explication à la peur irrationnelle qui l’envahit face aux cinq corbeaux qui font comme une haie d’honneur de part et d’autre de l’allée et le fixent en silence tandis qu’il introduit en tremblant la clé dans la serrure. Saletés, saletés de piafs !
Il entre précipitamment dans la maison, claque la porte et la verrouille. C’est ridicule. Comme si de bêtes oiseaux allaient parvenir à le suivre à l’intérieur. Il ne peut pas s’empêcher d’aller à la fenêtre de la cuisine, se cachant derrière le rideau qu’il écarte un peu pour jeter un œil au pommier. Ils sont là. Leur cinq petits regards noirs tournés vers lui. Il ne peut retenir un glapissement et lâche le rideau dans un mouvement de panique.
Demain, ils seront six. Il en est persuadé. Tout comme il est persuadé, de façon aussi absurde qu’incontestable, que les corbeaux savent.
15 notes · View notes
swedesinstockholm · 7 hours
Text
18 avril 2024
peut être que je devrais écrire mon livre sur r. comme ça ça avancerait dix fois plus vite parce que j'ai toujours envie d'écrire sur r. hier soir j'ai réussi à lire que deux pages de pessoa parce que j'étais encore en train de penser à notre conversation d'hier soir. j'ai pas écrit dans mon journal exprès pour éviter de nourrir la bête mais la bête se nourrit toute seule. je me suis enregistrée en train de répéter i'm in love i'm in love and maybe if i keep repeating it it won't be true anymore en partant d'un ton très matter of fact qui devient de plus en plus dramatique.
sur ig je suis tombée sur une vidéo d'un type qui fait du slam, je crois que c'est un ami de c., on l'avait rencontré au marché des créateurs des rotondes et il avait montré zéro intérêt pour mes zines, et donc là sur la vidéo il faisait du stand-up sur la scène d'un bar avec des murs en pierre et c'était pas très drôle mais les gens riaient, et ce type quand on le voit il a l'air encore plus timoré que moi, enfin il a pas une personnalité à faire du stand-up je veux dire, et pourtant il était là sur scène à faire rire les gens. j'ai immédiatement cherché where to do stand-up in luxembourg, j'ai trouvé deux bars qui font des open mic et j'ai ouvert un fichier word intitulé STAND-UP dans la foulée. j'ai rien mis dedans encore mais je me suis dit que j'aurais aucun mal à trouver vu que la moitié de mon journal c'est du stand-up. peut être qu'en fait depuis le début je me trompe de carrière. peut être que je veux pas écrire un livre mais je veux juste raconter des blagues sur ma vie. mon texte de sabir c'était déjà à moitié du stand-up. du stand-up littéraire et poétique certes, mais ce qui m'excite le plus quand je lis mes textes en public c'est quand les gens rient. je veux faire du stand-up hybride. peut être que je pourrais parler de r. peut être que ça me soulagerait, vu que je veux en parler à personne, là au moins je pourrais le tourner en farce, je pourrais grossir le trait encore plus puisque c'est ça qu'on fait dans le stand-up.
je viens de vider le lave-vaisselle en écoutant manu payet qui parlait de stand-up à la radio et je me disais que mon journal était peut être pas assez basique pour en faire du stand-up. pas assez universel. trop référencé et surtout trop autoréférencé. mais ça doit pouvoir se transformer. mais d'abord je dois arriver à me faire écrire. le seul truc que j'arrive à écrire c'est mettre mon journal sur tumblr, parce que ça requiert aucun effort. je devrais peut être faire une retraite dans un monastère comme r. il m'en a parlé hier soir, il m'a dit qu'il y allait régulièrement parce que c'était un des piliers de son bien-être et puis il m'a reparlé de son père et moi je pensais à la colère intérieure que j'ai contre maman et tous les reproches que je lui fais dans ma tête, qu'elle a pas fait attention à moi, qu'elle me voit pas et qu'elle a jamais cherché à me comprendre et que donc même si je suis ce qu'elle aime le plus au monde je me sens pas aimée. mais je lui ai pas dit tout ça parce que c'était une conversation de dm instagram qui allait vite et moi il me faut du temps. mais même quand il m'avait posé des questions à la maison poème j'étais restée très vague. en fait c'est lui l'archétype de la fille qui overshare et fait du trauma dumping au premier date. c'est lui la lesbienne, pas moi. cf. adrianne lenker. sauf que c'était pas un premier date et qu'on se connait depuis un moment maintenant, mais soit.
juste avant je lui avais envoyé une pub pour un truc qui écarte les fesses pour se faire bronzer la raie parce que ça s'appelait raidorée et ça me faisait mourir de rire et il m'a dit tu l'utiliserais toi? moi peut être et j'ai dit déjà je bronze pas nue et il a dit pas pour bronzer et j'ai dit ahh et il s'est excusé en disant PASSONS. voilà pourquoi je peux pas parler de cul avec les gens, je suis trop naïve. ça m'a rappelé quand nik m'avait offert un mini vibromasseur en secret la veille de mon départ de la clinique et dans ma grande naïveté j'avais dit mais t'en fais quoi? et il m'avait dit c'est pour l'anus! et il s'était pas excusé d'avoir heurté mes chastes oreilles lui. quand il est parti se coucher parce qu'il avait un concert le lendemain il m'a dit gros bisous et j'ai dit bonne nuit r. comme l'amoureuse qui souffre en silence que je suis. comme j'étais incapable de me concentrer sur pessoa après ça j'ai cherché le monastère dont il me parlait et j'ai regardé des photos des chambres à lit une place en m'imaginant serrée contre son petit cul sous le grand crucifix en bois.
20 avril
ce matin chez le coiffeur je me demandais si je pouvais faire des séances d'emdr pour me débarrasser de r. le considérer comme un choc traumatique. pas lui en tant que personne mais le fait qu'il m'aime pas. ça m'affecte tellement que j'en ai fait une insomnie cette nuit. j'avais une tête de zombie chez le coiffeur. avant l'insomnie j'ai rêvé qu'il m'inondait de messages pour me raconter sa journée et qu'il était un peu triste parce que la fille qu'il aimait bien lui avait dit non et qu'il en avait marre qu'on lui dise non, il m'a dit que je l'avais rencontrée quand on s'était vus au café de pancakes, c'était la fille qui mangeait des pancakes avec lui. elle avait un petit accent non identifié et elle ressemblait pas du tout à adrianne lenker, elle était brune et sexy. j'étais tellement anéantie que je me suis réveillée au milieu de la nuit avec un énorme noeud dans le ventre. c'était horrible. c'était comme si je revivais le cauchemar du mois de juin de l'année dernière. d'où l'emdr. j'arrivais à penser à rien d'autre. quand j'ai commencé à entendre le trafic des avions qui reprenait j'essayais de m'imaginer à la place du pilote dans le cockpit face aux nuages dans la nuit, je me demandais si les avions avaient des phares, je me suis dit que je chercherais des vidéos de vol de nuit sur youtube une fois levée, ça m'a distraite pendant quelques instants, et puis je me rappelais pourquoi j'étais réveillée et la douleur dans le ventre revenait. ç'a commencé à aller un peu mieux quand j'ai vu que le jour se levait. je me sentais moins livrée à la nuit et à la tyrannie de mon esprit. moins impuissante.
2 notes · View notes
grompf3 · 10 days
Text
La variole du singe, l'Afrique et le lanceur d'alerte
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Plus de 300 morts liés à la variole du singe depuis le début de l'année en République Démocratique du Congo. Des centaines en 2023.
C'est grave.
Regardez ceci maintenant.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Vous allez me dire que c'est encore un de ces comploplos débiles et vous allez me demander où est-ce que je suis encore allé dénicher ce phénomène et pourquoi est-ce que je vous fais ch... avec ça.
Et bien je suis allé le chercher là :
Et je me fous pas de votre gueule.
C'est du top niveau-là.
Une enquête poignante.
Un documentaire co-produit par la RTBF, co-financé par France Télévision, diffusé sur des grandes chaînes, récompensé par plusieurs prix, porté aux nues par la critique....
Tumblr media
Et le monsieur que vous voyez là est le héros du film. Un lanceur d'alerte. Un chercheur audacieux qui n'a pas hésité à affronter de puissants lobbies. Le premier auteur de 2 études démontrant les incroyables propriétés d'une simple tisane (aux côtés de la fondatrice de la Maison de l'Artémisia, Lucile Cornet-Vernet, mais aussi du célèbre Pr Christian Perronne).
Il a eu droit à pas mal d'articles élogieux dans toutes sortes de médias.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Un héros donc.
...
Enfin.
Les 2 fameuses études sur les tisanes d'Artémisia étaient falsifiées à 100% (les résultats cliniques, les résultats de labo et même les listes de participants étaient bidonnées). Mais bon, c'est pas grave, à part l'Express, aucun média généraliste n'a jugé utile de signaler ce "détail". Du coup, on va dire que c'est comme si le problème n'existait pas.
Le documentaire qui l'avait rendu célèbre, je me suis penché dessus, et c'est une grosse daube complotiste. Mais là encore, les médias qui l'ont financé, diffusé et promu, font semblant de ne pas être au courant. Dons là aussi, c'est comme si le problème n'existait pas.
Et puis son rôle dans la pandémie de Covid. Dans les premiers mois, il avait été invité à Madagascar et avait conseillé le pouvoir en place pour promouvoir un "remède local" à base d'artémisia, pour combattre le Covid. De beaux discours sur le thème du "remède africain". Ouaip.
Alors pas mal de médias ont expliqué à quelle point cette stratégie, misant tout sur un remède bidon, avait provoqué un désastre sanitaire. Mais on a "oublié" que le chercheur vedette à la base de ce désastre avait été promu par des gens bien de chez nous, notamment des grands médias.
Célébré à la fois comme un lanceur d'alerte et comme un grand chercheur, ici en Europe. Présenté ensuite comme un héros en Afrique, notamment dans son pays d'origine, la RDC.
Il a eu droit aux tapis rouges, les politiciens ont cherché à l'avoir de leur côté, il a multiplié les interviews et a pu monter un business de "remèdes" naturels africains...
Tout en diffusant ce genre de thèses :
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Voilà donc notre grand lanceur d'alerte, notre scientifique audacieux.
Et je pourrais continuer comme ça un moment.
Mais revenons à notre épidémie de variole du singe. Certains pays ont lancé des campagnes de vaccination. D'autres pas.
Quelle a été l'influence d'un homme présenté comme un scientifique génial et un héros dans de nombreux pays d'Afrique, interviewé dans des journaux, courtisé par les gens de pouvoir ?
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En fait, je ne sais pas.
Et vous non plus.
Mais le ce qui est sûr, c'est que les conséquences dramatiques de la variole du singe sont désormais impossibles à occulter...
...Alors que ce monsieur en riait il n'y a pas si longtemps sur les réseaux sociaux, en ramenant le problème à un énième complot de Big Pharma, de l'OMS, de Bill Gates, des médias, etc.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
hommedessept · 1 year
Photo
Tumblr media
Maison Nue Shigeru Ban
13 notes · View notes
entre-image-blog · 1 year
Photo
Tumblr media
Marion Fayolle, La Maison Nue, éditions Magnani, disponible sur entre-image.com
6 notes · View notes
verseau-lion · 8 months
Text
J'ai attrapé un coup d'soleil Un coup d'amour, un coup d'je t'aime J'sais pas comment, faut qu'j'me rappelle Si c'est un rêve, t'es super belle J'dors plus la nuit, j'fais des voyages Sur des bateaux qui font naufrage J'te vois toute nue sur du satin Et j'en dors plus, viens m'voir demain
Mais tu n'es pas là Et si je rêve, tant pis Quand tu t'en vas J'dors plus la nuit Mais tu n'es pas là Et tu sais, j'ai envie D'aller là-bas, la fenêtre en face Et d'visiter ton paradis
J'mets tes photos dans mes chansons Et des voiliers dans ma maison J'voulais m'tirer, mais j'me tire plus J'vis à l'envers, j'aime plus ma rue J'avais cent ans, j'me reconnais plus J'aime plus les gens depuis qu'j't'ai vue J'veux plus rêver, j'voudrais qu'tu viennes Me faire voler, me faire je t'aime
Mais tu n'es pas là Et si je rêve, tant pis Quand tu t'en vas J'dors plus la nuit Mais tu n'es pas là Et tu sais, j'ai envie D'aller là-bas, la fenêtre en face Et d'visiter ton paradis
Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine J't'ai vue descendre d'un arc-en-ciel Je m'jette à l'eau, des pluies d'été J'fais du bateau dans mon quartier Il fait très beau, on peut ramer La mer est calme, on peut s'tirer
Mais tu n'es pas là Et si je rêve, tant pis Quand tu t'en vas J'dors plus la nuit Mais tu n'es pas là Et tu sais, j'ai envie D'aller là-bas, la fenêtre en face Et d'visiter ton paradis
Mais tu n'es pas là, non non non Mais tu n'es pas là Et si je rêve, tant pis Quand tu t'en vas J'dors plus la nuit Mais tu n'es pas là Mais tu n' es pas là non, non non non non
J'ai attrapé un coup d'soleil Un coup d'amour, un coup d'je t'aime J'sais pas comment, faut qu'j'me rappelle Et si je rêve, tant pis J'ai attrapé un coup d'soleil Un coup d'amour, un coup d'je t'aime Un coup d'amour, un coup d'je t'aime Non non non, non non
Le coup de Soleil - Richard Cocciante
9 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville. De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture. Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est. Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture. Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions. Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération. ;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler. Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis. Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle. Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés. Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ?? Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine ! Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte. Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer. Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma. Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon. Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé. Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison. Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend. J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre. Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ". De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison. Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage. ;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble. Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert ! Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave. Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon. Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter ! Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard. Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !! Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même ! Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5. Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo ! Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !! Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ???? Question ;1 : ont-ils de grosses bites ? Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui. Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs ! Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress. Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu ! Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux. Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes. J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie. Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
12 notes · View notes
red-hemlock · 1 month
Text
𝐖𝐇𝐀𝐓 𝐒𝐂𝐄𝐍𝐓𝐒 𝐃𝐎 𝐎𝐓𝐇𝐄𝐑𝐒 𝐀𝐒𝐒𝐎𝐂𝐈𝐀𝐓𝐄 𝐖𝐈𝐓𝐇 𝐘𝐎𝐔?
Tumblr media
Musk, sandalwood, ylang-ylang, and amber
Quiet afternoons in the comfort of your favourite resting place, nursing a cup of your favourite beverage, nestled in your own corner. You catch a glimpse of the leaves falling outside and breathe a sigh of relief. Scents recommended for you: Bal d'Afrique by Byredo, Cuir Intense by Guerlain, Forest Lungs by The Nue Co, Replica: Whispers in the Library by Maison Margiela ♡
Tagged by: (Stole from the broseph @bluefeathrs) Tagging: (Whoever wishes to do this! <3)
3 notes · View notes
tarnishedhalo · 3 months
Text
What combination of scents do others associate with you?
Tumblr media
musk, sandalwood, ylang-ylang, and amber quiet afternoons in the comfort of your favourite resting place, nursing a cup of your favourite beverage, nestled in your own corner. you catch a glimpse of the leaves falling outside and breathe a sigh of relief. scents recommended for you: bal d'afrique by byredo, cuir intense by guerlain, forest lungs by the nue co, replica: whispers in the library by maison margiela ♡ ~*~ tagged by: Beth didn't tell me this is a chick quiz. Do it at your own risk.
2 notes · View notes
actio4marchal · 6 months
Text
Les Community Managers et la maîtrise de la Revolution Numérique.
https://youtu.be/H-aUee06oSQ?si=K6qVr-yo_o3SI4D1
La Révolution Numérique est l'un des plus grands événements du XXI ème Siècle . Peut être le plus important car dans notre monde teinté d'hédonisme , elle nous touche personnellement.
C'est d'ailleurs pour cela que l'on peut la comparer à la bombe atomique.
Pas seulement parcequ'elle touche aussi nos foyers ; mais comme l'arme atomique qui est un flux de puissance supérieure à toutes les armes fabriquées jusque-là , la Révolution Numérique crée un flux d'images et d'informations comme on en avait jamais vu jusqu'à nous. Cela sur le moindre comme sur le grand.
Aujourd'hui l'individu lambda, Monsieur ou Madame Toutlemonde, peut-être aussi connu, sinon mieux, que les célébrités des époques antérieures.
Aujourd'hui, un produit, un service, peut être étudié, "mis à nue ", avec ses qualités et ses défauts, comme seulement le faisaient les spécialistes des bureaux d'études, lorsqu'ils produisaient leurs rapports ; rapports dont les conclusions se limitaient à des réunions pre-productives. Ou destinés à figurer dans des magazines spécialisés réservés à une minorité de consommateurs désireux d'être avertis.
Le système actuel de vente internet permet, bien entendu, une meilleure flexibilité pour l'Entreprise, le client ayant la possibilité d'acheter sans se déplacer et à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Et s'il lui permet ainsi d'avoir accès à tout ce qui concerne le produit désiré, des communications publicitaires aux démonstrations sérieuses, elle lui donne aussi accès aux mauvaises critiques voire aux démonstrations négatives. Tout cela en quelques clics.
L'image, en général, et l'image de marque en particulier, "The Brand", ont donc prit une plus grande importance. Nouveauté compte tenu de la facilité avec laquelle on peut la construire ; mais aussi de la rapidité avec laquelle on peut la deconstruire. Sans parler de la rapidité de circulation des informations jusque dans nos maisons ; sur nos ordinateurs, téléphones et tablettes.
La construction de cette image de marque est devenue une priorité impérative pour l'Entreprise et ses produit. Mais doit se construire indépendamment du chemin parcouru par la dite entreprise et ses produits. Car si auparavant l'image de marque se construisait par le travail et la qualité des produits finis : Il suffisait de faire savoir, ensuite les vendeurs et leurs clients faisaient la majorité du reste...Ou pas. De nos jours, la rapidité et la profusion de l'information exige une présence permanente.
L'absence peut devenir une arme pour la concurrence. Dégommer un produit, un service...(Mais cela n'est pas le sujet de cet article...)
La simple absence de réaction, qu'elle soit adéquate ou pas, peut-être catastrophique pour l'indice des ventes. Voire empêcher simplement l'Entreprise de décoller.
Et donc, s'il faut construire cette image de marque, il faut ensuite l'imposer tout en se préparant à la défendre. C'est là qu'intervient le Community Manager et les agences de Communication ! S'en passer, n'est pas seulement une erreur, mais prendre un risque aux conséquences incalculables pour l'Entreprise.
Car il est impératif de maîtriser cette Revolution Numérique afin d'éviter de se noyer dans la saturation d'images et d'informations ; bien souvent peu utile. Et de se trouver une place solide, dans ce grand magasin ouvert à tous les vents qu'est devenu la "toile". Une fois installé, de la défendre avec assiduité.
J.MARCHAL
3 notes · View notes