Tumgik
#marécage
guilbertjj · 1 month
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Le plan d'eau dans le marécage à la pointe de Mousterlin
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luma-az · 8 months
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Et boum
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 17 août 
Thème : Marécage/dur à cuire
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Tu sais à quel point c’est dur de faire un feu, dans un marécage ?
Oui, ici, TOUT est humide. En permanence. Tu veux sécher ton bois pour le feu ? Il te faut du feu. Plus de feu que le bois que tu arriveras à sécher un jour. Oui, c’est un putain d’enfer.
Sans les flammes. Du coup.
Donc voilà, faire un feu c’est DUR, ultra-dur. Il te fait un chaudron en métal pour mettre le feu lui-même. Une pâte très spéciale dont la composition est aussi un enfer dans le chaudron. Et un briquet. Non, un feu follet ne fera pas l’affaire. Un briquet, lui aussi bien protégé.
Et maintenant que tu as ton feu, comment tu comptes la cuire, ta viande ? En la mettant dessus pour qu’elle grille tranquillement ? Tu parles. Il y a rien de plus dur à cuire que la viande de dragon des marais. Tu pourrais y passer des HEURES, et je te le promets, ton feu, il va pas durer des heures. Ou alors quoi, au bouillon ? En comptant sur l’eau pour attendrir ta viande ? Et ben bon courage. Tous les moustiques vont trouver qu’elle sent drôlement bon, ta tambouille, et une fois rameutés ils ne vont pas tarder à se dire que derrière ta croûte de vase séchée, toi aussi tu sens la chair fraiche après toi. Ils vont te dévorer vivant, c’est moi qui te le dit.
Non, non, le seul moyen, l’UNIQUE moyen de manger du dragon des marais, c’est la chasse au miroir. Tu t’avances doucement derrière un grand miroir. Le dragon, il se voit de dedans. Il se dit « oh putain, un autre dragon sur mon territoire ! » parce que c’est pas fut-fut, les dragons des marais, on va pas se mentir. Alors là il se met à gonfler, histoire d’impressionner l’autre. Et là il voit que dans le miroir, l’autre dragon se met à gonfler aussi ! Genre c’est un intrus et il essaye de l’impressionner ! Alors il va se gonfler encore plus ! Tu sais que les dragons se gonflent avec leur propre gaz. Et au bout d’un moment, à force de vouloir être plus gros que lui-même…  ET BOUM ! Il va exploser.
Et là j’aime autant te dire, dragon des marais grillé par l’explosion de son propre gaz, il va être impeccable. Délicieux ! Et ça sera nettement moins fatiguant.
Crois-moi, quand on veut manger une viande aussi dure à cuire, il faut en avoir dans le ciboulot.
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sous-le-saule · 8 months
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Marécage
Le marécage est son royaume.
Elle seule connait les sentiers secrets qui serpentent entre les eaux stagnantes. Gare à ceux qui les ignorent et qui, téméraires, tenteraient de violer son domaine. Le marécage ne recrache pas ses proies. Ses brumes sont faites des âmes de ceux que la vase a engloutis. Même les guerriers de la Horde, après le massacre du village, ne se sont pas risqués à la suivre.
Au cœur du dédale, elle s’est aménagé un abri entre les troncs d’un bosquet de saules. De sa lance taillée dans une branche, elle harponne les anguilles et les poissons-chats. Elle a appris à aimer le gout du souci des marais et de la racine de bardane. Parfois, elle découvre un nid entre les joncs et y subtilise un œuf.
A la nuit tombée, les feux follets guident ses pas. Des grenouilles, loutres et oies sauvages, elle a fait ses amis et sa garde rapprochée. Même le renard gris est de moins en moins farouche, et le jour viendra où elle pourra caresser sa fourrure épaisse.
Le jour viendra peut-être aussi où elle retournera vivre parmi les humains, mais elle n’est pas certaine d’en avoir envie.
En attendant, du haut de ses huit ans et demi, elle règne sur le marécage.  
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fidjiefidjie · 2 years
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🗣 Hep ! Tu vas salir tes claquettes ! 😁 🤣
Source: Bukay Renée
Bel après-midi 🙋‍♀️
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witchy-d · 8 months
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N°17 - 30 jours pour écrire
Les flux de pensées qui me traversent
Sont tels des marécages au tour de la source
Dans lesquels rôdent
Des histoires du passé
Des expériences erronés
De la tristesse
De la mélancolie.
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Marécage (jour 17)
A l'échos de tes pas bien ancrés dans la terre, je sors la tête de l'eau. Tu ne me vois pas et tu ignores sûrement que je suis là, tu ne sais pas où je me trouve. Tu te vois, grand aventurier, arborant la jungle en beau héros. Oh, que tu est imposant du haut de tes bottes boueuses à ton chapeau lassé autour du cou. Viens, approche, enfonces toi un peu plus près et rejoins moi dans l'eau. Entends-tu mon chant ? En comprends-tu le son ? Troublé et fasciné, tu te stoppes dans ta démarche. Es-tu arrivé ici tout seul ou as-tu eu quelques compagnons ? Sont-ils morts avant d'arriver jusqu'ici ? Blessés et laissés au pied d'un arbre, à attendre qu'un serpent ou un scorpion achève leur misérable douleur ? Oui, je suis là, suis ma voix, bel étranger. Ta main tendue vers mon visage au loin, tu sembles me faire parvenir un mot. Une phrase, une interrogation ou autre. Peu importe. Je retourne sous l'eau et traverse le marécage pour que ton corps soit près du mien. Que ta présence soit si proche que tu puisses m'atteindre. Je veux que tu me vois. Je veux que tu m'entendes. Je veux que tu me touches. Oui, touche-moi comme tu n'as jamais désiré toucher aucune autre femme. Je n'en suis pas véritablement une. Si seulement tu savais ce que cache l'opacité de l'eau... Tu ne mettrais pas les pieds dedans. Tu n'essaierais pas de m'atteindre. Tu n'attraperais pas ma main. Tu ne pousserais aucun cri en tombant dans le marécage. Tu ne serais pas trempé et mort de peur. Tu verrais peut-être le danger sous mes traits parfaitement créés pour attirer les mâles de ton espèce. Tu ne serais pas attiré dans les tréfonds de ces eaux troubles, essayant de te débattre de l'emprise que j'ai sur ta chemise. Tu ne serais pas prit au piège. Tu ne te noierais pas. Tu serais peut-être toujours en vie. Ou peut-être pas.
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bibliobouc · 8 months
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Marécage
Humanité décadente
Sur les réseaux sociaux
Marécage d'opinions croupies
Déversoir de commentaires crasseux
Par des fauteurs de haine
Dans le meilleur des immondes
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lalignedujour · 8 months
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Je me disais "Quand je vais mal, je vais en forêt." Je m'y tenais. C'était un réflexe. Parce que quand je vais mal, si je commence à me poser des questions, je fais rien du tout, et je vais toujours mal.
Mais pendant les phases où je vais bien, j'ai le temps de me poser des questions, et donc j'ajuste. L'ajustement c'est l'eau. Il me faut de l'eau. Un étang, une rivière, un lac, la mer, l'océan. Plus le mal est lourd, plus l'étendue d'eau doit être grande.
Là, ça va pas bien, mais modérément. Donc, je marche jusqu'au marécage, et je me pose un peu. Parfois, je fais en même temps deux ou trois trucs utiles, genre passer des coups de fil administratifs ou passer en revue les personnes qui comptent vraiment pour moi et imaginer dans quel ordre je préfèrerais qu'elles meurent, m'imaginer perdre l'une sans le soutien de l'autre, puis vice-versa, imaginer perdre la plus importante d'abord comme ça c'est fait et ce sera plus facile pour les suivantes, ou l'inverse, enfin je profite bien.
Mais là, non, j'ai laissé la musique se terminer dans mes écouteurs (c'est un lecteur CD avec lequel je marche, oui oui, ça fonctionne encore ces trucs-là). J'ai gardé mes écouteurs, et juste je regarde l'eau, ça m'apaise. Elle est pas hyper propre, mais bon ça marche quand même.
A ma droite, il y a des roseaux et des ronces. Et normalement, c'est tout, il y a jamais personne. Mais là, à droite des roseaux et des ronces, il y a un mec au téléphone. Il a l'air de se confier. Il écoute aussi beaucoup en faisant "m", pas "mmmmm", juste "m". Il sait pas que je l'entends, ou alors il sait très bien et il s'en fout, c'est possible aussi, ça me fait ça quand je suis au téléphone des fois, je me dis, bon, soit je mets mon énergie à ce qu'on m'entende pas, je me déplace ou quoi, soit je profite de mon coup de fil et puis bah les gens prennent, tant pis.
Bon, allez, c'est pas génial, mais je vais écouter sa conversation. J'ai que ça à faire et puis c'est intéressant cette fenêtre sur la vie intérieure de l'inconnu qui vient aussi se poser près du marécage car il va mal.
Il dit qu'il accepte la proposition d'un ami de lui louer sa maison à la campagne pas cher, que ça lui fera du bien. Je comprends qu'il vient de se séparer, qu'il est en arrêt maladie. Mais y a un truc beaucoup plus lourd derrière tout ça, je sens, parce qu'il dit qu'il sait pas s'il pourra un jour reprendre comme avant, en fait non, même, il est sûr qu'il pourra jamais, c'est sûr, jamais, en fait, il dit. Je sais pas pourquoi, mais lui il sait, et la personne à qui il parle aussi, donc y a aucune raison pour lui de lui dire sinon celle de me le faire entendre.
Il y connaît rien lui, à la campagne, il dit, d'un air inquiet. C'est marrant, ça me fait vraiment penser à moi. Quand il y a un bruit chelou dans ma maison, avant je m'en inquiétais pas. J'avais le réflexe de penser que c'était la cage d'escalier, enfin non, même, j'y pensais pas. J'ai toujours eu l'habitude des bruits parasites dans mon immeuble. Et là, dans la maison, j'étais sur mon canapé comme ça en train de lire, y avait un gros badaboum qui venait du toit, et j'interrompais pas ma lecture. Sauf qu'au bout d'un moment, j'ai commencé à m'alerter : s'il y a un bruit chelou, c'est potentiellement un truc qui casse, un truc qui craque, un truc qui fuit, un truc qui se fait bouffer par une souris, enfin bref, lui il admet que ça lui fera de changer complètement de vie. Sauf qu'il connaît personne ici, et qu'elle lui manque tellement. Ses sanglots montent.
Il se met à pleurer, et ça moi je peux pas, ça me gêne de ouf. C'est trop gênant qu'il pense que j'écoute. Mais c'est pas le moment pour partir, parce que s'il m'entends partir pile quand il pleure, il va voir que j'écoutais. Bon, je remets ma musique.
J'ai pas vu son visage. Je l'ai peut-être croisé sans le savoir en voiture ou sur un marché du coin. Mais je l'ai jamais vu ou réentendu au marécage.
J'ai connu Jed.
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philoursmars · 2 years
Photo
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Je reprends mon projet de présenter la plupart de mes 52461 photos (oui, ça a encore augmenté !).
2005. Fin d’été et retour dans le Nord, à Douai !
- les 3 premières : chez Jean-Luc. Son balcon au dessus de la Scarpe était superbe !
- chez moi, où j’ai la surprise, à mon retour de vacances, de surprendre deux de mes nounours en fâcheuse position (of course , Nours est dans le coup !)
- dans les environs : un phytolacca aux étranges couleurs !
- les 2 suivantes, Douai toujours, au Parc Bertin
- le long du canal
- les 2 dernières : sortie scolaire à Escaudain.
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lespetitsratons · 2 months
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Choix d'un milieu naturel
Marais Réal-D.-Carbonneau @ Sherbrooke
Potentiels pédagogiques
Accès au marécage,
Apprentissage des milieux humides,
Observation de la faune et de la flore; 50 espèces d'arbres et d’arbustes; faune riche en amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères (Marais Carbonneau, 2024),
Signalisation touristique sur place,
Circuit pédestre d'auto-interprétation (2 km),
Aire de jeux.
Risques pour la santé/sécurité
Près d'une grande route,
Se perdre,
Tomber dans le marécage,
Escaliers de la tour d'observation.
Règlements
Demeurer sur les sentiers,
Ne prélevez pas d'éléments naturels,
Ne nourrissez pas les animaux sauvages,
Gardez votre chien en laisse, jetez les excréments aux endroits prévus,
Ne circulez pas en bicyclette dans les sentiers,
Jetez vos déchets aux endroits prévus,
Ne chassez pas, ne posez pas de pièges et ne faites pas de feux.
Impacts environnementaux de son utilisation
Le marais est un endroit protégé, l'utilisation de celui-ci aura un impact minimum sur la faune et la flore.
Autres aspects pertinents à votre situation
Le marais est un endroit public accessible à tous,
Accès pour personne à mobilité réduite,
Stationnement gratuit,
Près de mon lieu de résidence.
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Carte des sentiers ici.
Merci au site internet du Marais Réal-D.-Carbonneau pour toutes les informations.
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tropikg · 7 months
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Loin du temps, de l’espace, un homme est égaré, Mince comme un cheveu, ample comme l’aurore, Les naseaux écumants, les deux yeux révulsés, Et les mains en avant pour tâter le décor
— D’ailleurs inexistant. Mais quelle est, dira-t-on, La signification de cette métaphore : « Mince comme un cheveu, ample comme l’aurore » Et pourquoi ces naseaux hors des trois dimensions ?
Si je parle du temps, c’est qu’il n’est pas encore, Si je parle d’un lieu, c’est qu’il a disparu, Si je parle d’un homme, il sera bientôt mort, Si je parle du temps, c’est qu’il n’est déjà plus,
Si je parle d’espace, un dieu vient le détruire, Si je parle des ans, c’est pour anéantir, Si j’entends le silence, un dieu vient y mugir Et ses cris répétés ne peuvent que me nuire.
Car ces dieux sont démons ; ils rampent dans l’espace, Minces comme un cheveu, amples comme l’aurore, Les naseaux écumants, la bave sur la face, Et les mains en avant pour tâter le décor
— D’ailleurs inexistant. Mais quelle est, dira-t-on, La signification de cette métaphore « Minces comme un cheveu, amples comme l’aurore » Et pourquoi cette face hors des trois dimensions ?
Si je parle des dieux, c’est qu’ils couvrent la mer De leur poids infini, de leur vol immortel, Si je parle des dieux, c’est qu’ils hantent les airs, Si je parle des dieux, c’est qu’ils sont perpétuels, Si je parle des dieux, c’est qu’ils vivent sous terre, lnsufflant dans le sol leur haleine vivace, Si je parle des dieux, c’est qu’ils couvent le fer, Amassent le charbon, distillent le cinabre. Sont-ils dieux ou démons ? Ils emplissent le temps, Minces comme un cheveu, amples comme l’aurore, L’émail des yeux brisés, les naseaux écumants, Et les mains en avant pour tâter le décor — D’ailleurs inexistant. Mais quelle est, dira-t-on, La signification de cette métaphore « Mince comme un cheveu, ample comme une aurore » Et pourquoi ces deux mains hors des trois dimensions ? Oui, ce sont des démons. L’un descend, l’autre monte. À chaque nuit son jour, à chaque mont son val, À chaque jour sa nuit, à chaque arbre son ombre, À chaque être son Non, à chaque bien son mal, Oui, ce sont des reflets, images négatives, S’agitant à l’instar de l’immobilité, Jetant dans le néant leur multitude active Et composant un double à toute vérité. Mais ni dieu ni démon l’homme s’est égaré, Mince comme un cheveu, ample comme l’aurore, Les naseaux écumants, les deux yeux révulsés, Et les mains en avant pour tâter le décor — D’ailleurs inexistant. C’est qu’il est égaré ; Il n’est pas assez mince, il n’est pas assez ample : Trop de muscles tordus, trop de salive usée. Le calme reviendra lorsqu’il verra le Temple De sa forme assurer sa propre éternité.
L'explication des métaphores Raymond Queneau
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guilbertjj · 1 month
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Les arbres blancs
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vanessalim-art · 2 months
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"Un début de soirée au marais" 24 x 16 cm - Aquarelle, crayons de couleur et gouache sur papier
Peinture disponible, plus d'infos sur mon site www.vanessalim.fr
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lamusique1 · 9 months
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Gerard Depardieu. Voyage Voyage. 1492 Conquest Of Paradise Mix DJ Francuz
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cookie-nigel-dolan · 1 year
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Mario Kart Wii  |  Wiggler Wetlands  (v1.1)  by BillyNoodles
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philoursmars · 1 month
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle. Bri étant fatiguée, c'est Sylviane qui me fait découvrir la belle île d'Oléron.
Avant le pont, sur le continent, la ville fortifiée de Brouage. Elle est entourée de marécages avec des cabanes d'ostréiculteurs très colorées. Ici c'est le royaume de l'Huître !
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