Tumgik
#matraque
lemondeabicyclette · 2 years
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Selon Children's Health Defense, l'interdiction pourrait être liée à une action qu'elle avait intentée à l'encontre de Meta, pour censure, devant la justice fédérale. La chaîne YouTube de l'association avait été supprimée en septembre 2021.
Meta, qui se voit régulièrement reprocher de propager de la désinformation, essaie depuis la dernière élection présidentielle américaine de s'éloigner des contenus politiques pour se concentrer sur les échanges entre proches et communautés d'intérêt.
nyt :
Au cours de la pandémie, Children's Health Defense a remis en question à plusieurs reprises la sécurité des vaccins contre le Covid-19, affirmant faussement que les vaccins causent des dommages aux organes et nuisent aux femmes enceintes. L'organisation a également essayé de semer des doutes sur d'autres types de vaccins. Au cours des deux derniers mois, il a affirmé que les vaccins contre le tétanos causaient l'infertilité et que les vaccins contre la poliomyélite étaient responsables d'une augmentation mondiale des cas de poliomyélite.
Meta a des politiques interdisant la désinformation médicale, mais a eu du mal à les appliquer. La société a eu plus d'une douzaine de discussions sur la suppression des comptes de Children's Health Defense de Facebook et Instagram au cours de la dernière année, ont déclaré deux personnes connaissant les conversations, qui ont demandé à rester anonymes parce qu'elles n'étaient pas autorisées à parler publiquement.
Le mois dernier, Nick Clegg, président des affaires mondiales de Meta, a écrit une lettre ouverte sur les politiques de désinformation médicale de l'entreprise. Il a déclaré que ses politiques strictes en matière de désinformation sur le Covid-19, qui ont été mises en place au début de la pandémie, pourraient devoir être reconsidérées à mesure que de nombreuses régions du monde sont revenues à la normale.
Avant la pandémie, Meta ne supprimait que les messages qui pouvaient « contribuer à un risque de préjudice physique imminent », a déclaré M. Clegg a dit. Pendant la pandémie, la société a élargi cela pour supprimer les fausses allégations concernant « le masquage, la distanciation sociale et la transmissibilité du virus ». Ces dernières mesures n'auront peut-être plus besoin de rester en place, a-t-il suggéré.
Il a ajouté que plus de 25 millions de contenus liés à la désinformation sur le Covid-19 avaient été supprimés depuis le début de la pandémie.
Les experts en désinformation ont déclaré que les théories du complot et les mensonges sur le Covid-19 restent importants sur Facebook et Instagram et ont continué d'attirer l'attention.
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the-bibrarian · 1 year
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Hi! This is a very important petition against a uniquely brutal anti-riot squad. Only french citizens can sign it, but if it reaches 100,000 signatures our assembly has to examine it, and it already has more than 87,000!
Even if you can’t sign it, can you reblog this so it reaches as many french people as possible on tumblr dot com the website and app?? 
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homomenhommes · 16 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 139
Le samedi matin, je descends de mon R1 flambant neuf devant la concession SUZUKI.
Je suis en avance et la porte est encore verrouillée. Je lis sur la porte qu'en fait ils ne vont ouvrir que dans trois quarts d'heure. Je quitte mon casque et mate la vitrine. bientôt un jeune (mon âge environ) vient vers moi et me fait signe de retourner à la porte. il m'ouvre, on se salut et il me demande (en me tutoyant) ce que je cherche chez eux vu le matos que j'avais entre les cuisses en arrivant et de me mater l'entrejambe.
Je ne sais pas pourquoi mais les vendeurs en concession moto sont toujours jeunes ! Moi ça ne me dérange pas, qu'ils soient jeunes ! Mais niveau allusions, faudrait qu'ils soient plus discrets ! Je l'observe de plus près : jeans moulant un cul étroit et un paquet conséquent, polo siglé de la marque couvrant des épaules larges et chaussure sport/ville Adidas et au dessus de tout ça une tête sympathique couronnée de cheveux blonds en bataille. Mon inspection était nettement visible et quand mes yeux ont rencontrés les siens, il m'a demandé s'il me convenait ou s'il faudrait qu'il se fasse remplacer par un collègue. Je le rassure en lui disant qu'à ce que j'ai pu voir jusque là, il me convenait (je pense que cela lui aurait couté de me lâcher, après tout ils sont payé en grande partie à la commission) mais que ma machine n'était que la partie émergée de l'iceberg. Un grand sourire accompagné du passage de sa langue sur ses lèvres m'ont indiqué que nous n'en resterions probablement pas là.
Les choses étant calées, nous avons abordés le sujet de ma présence, en l'occurrence l'achat d'un GSXR 1000. Devant la moto, il commence le panégyrique. Je le laisse faire 5mn puis je le coupe en lui disant que quoiqu'il me dise je lui en achèterais un. Il me regarde sans comprendre. Je lui dis alors que c'est un cadeau pour un ami qui ne roule qu'en GSXR 1000 depuis qu'il a eu son permis. il me regarde droit dans les yeux pour me dire que j'ai des amis qui ont beaucoup de chance. Je soutiens son regard, beaux yeux bleus, je souris et lui glisse que j'attends quand même qu'il donne de sa personne. Je suis compris, et très naturellement il m'indique les toilettes et pousse la courtoisie à m'y accompagner.
Dès la porte refermée, il me plaque dessus et me roule une pelle d'enfer. Chaud le jeune vendeur alors qu'il sait déjà qu'il a vendu la machine ! collé contre moi, je sens sa queue gonfler sous le jeans et la mienne en faire autant sous le cuir. Le premier il se baisse et ouvre ma combi pour sortir ma bite. Sans la laisser à l'air plus que nécessaire, il la recouvre de sa bouche. L'impression de rentrer dans une étuve. Chaud, humide avec une langue qui voltige autour de mon gland, du grand art ! Je le relève avant qu'il ne me fasse jouir. Je lui dis qu'il n'est pas obligé d'en faire autant, il l'a déjà vendu son GSXR. Il me répond qu'il avait flashé dès qu'il m'avait vu de l'autre coté de la vitre et redescend me sucer. Avec un effort supplémentaire, il me prend en entier. Dieu que c'est bon d'avoir le gland serré dans une gorge ! Mais il va me faire jouir ce con ! je le relève une deuxième fois. Il me roule un patin où je retrouve le goût de ma bite.
Mes mains sont sur ses jeans. La bosse s'est transformée en une barre horizontale conséquente. J'ai du mal à déboutonner la braguette en tension. Quand j'y arrive enfin, une belle matraque tombe entre mes mains. J'y jette un oeil, bien rose, gland découvert, j'ai l'impression qu'elle est plus longue et plus grosse que la mienne. Comme nous sommes face à face, je superpose nos deux sexes. Finalement je dois faire quelques mm de plus en longueur mais il les rattrape en largeur. C'est son étroitesse de bassin qui m'avait trompé. Je lui glisse un interrogatif, actif ou passif ? Il me souffle que c'est comme je veux qu'on a encore 1/2 heure avant que ça s'agite dans la concession.
Je me baisse à mon tour et lui avale sa bite, direct du premier coup derrière mes amygdales. Histoire de montrer que je suis pas novice non plus. Il apprécie l'attention en me prenant la tête et en me pilonnant la gorge, le tout agrémenté d'un " putain, c'est rare ! ". Mes mains libres sont parvenues à faire glisser le jeans de ses fesses et mes doigts ont pris le chemin de son trou, petit mais bien chaud. Je tends mes doigts vers le haut et il me les suce, les enduits de salive. Je peux alors lui préparer la rondelle. Un puis deux doigts entrent assez facilement. Il ne bande que plus dur. Après avoir pu lui mettre un troisième, je me redresse, le tourne vers les lavabos. Il s'y accroche et le temps de me kpoter, je me présente à sa porte arrière. J'ouvre quand même un sachet de gel au dessus de mon gland et pousse fermement. Mon gland entre accompagné d'un gémissement de plaisir. Je pousse jusqu'à disparaître complètement en lui. D'une main je vérifie qu'il bande toujours. Je l'encule une bonne dizaine de minute puis me retire, j'ai envie de sa bite en moi. La combi une pièce ne facilite pas la chose ! je fini par la virer complètement avec son aide. Et je prend sa place après lui avoir donné gel et Kpote.
Il commence par s'accroupir derrière moi et me préparer l'oignon avec sa langue. Déjà dans ma bouche je l'avais trouvé très longue (sa langue), il allait me le prouver une nouvelle fois, réussissant à pénétrer mon trou de bien deux à trois cm. Aussi bien préparé et surtout excité par la situation, je me suis ouvert rapidement et tout aussi vite il me l'a mise. Pas de délicatesse, rapport viril et fort, je me suis fait sauter en beauté. Jeune mais déjà bien expérimenté, il à joué de sa bite comme un virtuose de son archet sur son violon. J'ai éclaboussé la faïence, utilisant mes muscles annaux pour lui bloquer la queue. Il a été très surpris de ne plus pouvoir bouger. En deux à trois contractions de la sorte je lui ai fait remplir sa kpote. Quand il a déculé, il m'a dit que c'était la première fois qu'on lui faisait ce coup. Et qu'il avait super aimé. Je me suis rhabillé avec son aide et une fois vérifiés mutuellement nous sommes retournés au magasin. Seul son boss nous a vu sortir des toilettes. Nous sommes retournés devant le GSXR et il a fait semblant de me convaincre. 1/4 d'heure plus tard (pour être crédible), il m'emmenait à son boss pour conclure l'affaire.
J'achetais donc un GSXR 1000 de base, couleurs blanc et bleu classiques à livrer à la maison et au nom de Eric X. Je dis au boss que son vendeur étant tellement bon, je ne discutais en rien le prix catalogue afin de lui assurer la meilleur commission possible. Il me répondit que parfois il avait cet effet là. je lui conseillais alors vivement de le garder. Il me dit qu'il n'avait aucunement l'envie de le laisser partir que c'était son meilleur élément. Je lui dis que je lui faisais confiance sur ce point n'ayant pas " testé " les autres. Comme le vendeur en question était encore à nos cotés, j'ai eu le plaisir de le voir rougir jusqu'aux cheveux. J'ajoutais à l'achat qu'Eric X (le futur propriétaire) avait crédit ouvert pour modifier sa machine (freins, pot d'échappement, durites, bracelets...). Et pour le garantir, je laissais un chèque de caution de 4 000 € à charge pour eux de me fournir les factures signées d'Eric.
En dernier point je demandais à ce que la livraison soit effectué par son vendeur qui avait su si bien me convaincre. Point accepté de suite, et de fixer le jour de livraison. Et dernier détail j'exigeais un paquet cadeau rose vif avec un gros noeud rouge.
Quelques jours plus tard j'attendais impatiemment ma livraison. 18h la camionnette arrive. J'avais décidé de mettre la moto dans le garage à la place de la berline de Marc. Je le fais reculer jusqu'aux portes et le vendeur sort me saluer. Je suis en jeans polo. Il s'approche et comme je vais pour lui serrer la main, il me prend le poignet et la colle à son sexe. De son autre main, il tâte le mien et collés me roule un patin que j'accepte volontiers. Je me décolle et lui dis " d'abord les choses sérieuses ". Il est d'accord et j'ouvre le garage pour qu'il descende la moto. Il la place au milieu de l'espace vacant et retourne chercher la boite cadeau qu'ils ont réalisés. Il m'a dit qu'avec un de ses collègue, ils s'étaient bien amusés à la faire. Résultat : un grand paralépipède rectangle rose fuscia avec son noeud rouge dessus qui couvre parfaitement la moto. Choses faites, il regarde un peu autour et voit notre alignement de motos, VFR, X11, Ducat 1100 S et le R1 et devant ma SLS toute neuve. Il se retourne vers moi et me dit que je ne m'ennui pas ! J'acquiesce et lui donne un billet de 100€ plié pour la livraison et le colisage. Il me remercie sans regarder la valeur. Il n'a pas débandé depuis son arrivée et m'avait mis dans le même état que lui.
Camion garé et portes du garage fermées, nous avons repris notre salutation. Il a vraiment une langue plus longue que la normale ! Mais c'est très bon. Nos jeans respectifs déjà trop étroits, le sont devenus encore plus et ça a été une véritable libération que de les ouvrir. A même le sol (béton propre) nous avons entamé un 69 torride. A qui avalera le plus loin la bite de l'autre. Sur ce point je l'ai battu de vitesse. Son gland obstruait mes voies digestives et respiratoires avant que le mien n'en fasse autant.
Pendant tout un moment ça n'a été que Slurp, Slurp. Puis ses doigts comme les miens sont entrés en jeu et nous avons alternés pipe / doigtage et anilingus. Cette fois c'est lui qui a enculé en premier. J'ai retrouvé toute la fougue qu'il avait mis à notre première rencontre. A 4 pattes, je me faisait monter comme une chienne. Deux fois je l'ai calmé car sinon il aurait juté. Puis ça été mon tour, je l'ai enculé debout, plaqué contre mon SLS. Alors que par les cheveux je lui tournais la tête pour profiter de sa langue, j'ai entendu les portes s'ouvrir automatiquement et perçu les phares de la berline de Marc éclairer le paquet cadeaux. Mon vendeur s'est aperçu alors que nous n'étions plus tout seuls. Il se serait je crois bien retiré mais je le coinçais contre la carrosserie et il n'avait pas la carrure pour me repousser. Marc est venu à notre hauteur et m'a rouler un patin sans que je ne me désaccouple. ;
Le vendeur hallucinait de la situation. J'ai fait les présentation le temps que Marc baisse son pantalon et se Kpote puis, je me suis retiré et il a pris ma place. Ses 2cm de long et son cm de diamètre de plus ont propulsé notre jeune ami vers les cimes du plaisir. Comme il n'avait pas débandé, je me suis intercalé et je me suis planté sur sa bite. Sous le rythme imposé par Marc, nous sommes doucement monté en pression. Je sentais la queue de Daniel prendre encore du volume, il était en train de remplir sa kpote. Sa main qui me branlait depuis un moment a reçu mon sperme. Avant qu'il ne jette ma production au sol ou qu'il ne s'essuie sur son pantalon, je lui ai pris la main et l'ai nettoyée avec ma langue (miam). Un " quelle salope " est venu commenter le fait. Nous avons terminé Marc tous les deux avec une pipe à deux bouches jusqu'à ce qu'il couvre nos visages de sperme.
Vu l'heure, Marc a proposé au jeune vendeur de rester diner. Après un coup de fil à son boss pour lui dire qu'il ne ramènerait le camion que le lendemain matin, il a accepté l'invitation.
JARDINIER
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les putes sont déjà au bois
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Coups de matraque, engueulades, corps à corps situation hors de contrôle au salon de l’Agriculture ce jour 24 février 2024
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Bienvenue en France : Si vous aimez les rats ou les punaises de lit vous adorerez les coups de marteau sur la gueule à la Tour Eiffel ... L'entente Macronards-PS-Verts etc va vous enthousiasmer.. ! (et encore estimez-vous heureux de ne pas avoir en plus subi les matraques des cognes)
Bon entre nous, c'est bien fait pour la gueule des 808 107 têtes de con parigots qui ont voté macron le 22 avril 2022!
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thefakepolyglot · 7 months
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French Vocab from Hergé's L'Ile Noire
Recently visited Paris and picked up a French copy of one of my favorite series. Even though some of this language might be a bit outdated, I still enjoyed picking up on certain French sayings and specific vocab having to do with crime.
As always let me know in the notes if anything is incorrect or if you have anything to add!
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Sayings/Idioms:
sois sans crainte = have no fear
tant pis pour lui = too bad for him
faire la besogne à moitié = to do the job halfway
sapristi = holy shit
pour faire croire = to make it look like
bigre = damn
amas de ferraille = heap of junk
en avoir le coeur net = to get to the bottom of it / to be certain
faute de grives, on mange des merles = literally translates as “in the absence of thrushes, we eat blackbirds” used as a statement to substitute a commonly used thing for something else (can’t think of an English equivalent so put it in the notes if you can!)
hélas = alas
un brin de toilette = freshen up
sous les verrous = behind bars
beau coup de filet = nice haul
Verbs:
trahir = to betray
tenter = to attempt
défaire = to undo/loosen
ronger = to gnaw
égarer = to be lost/mislead
saisir = to seize
parvenir = to reach
aboutir = to culminate
déterrér = to dig up
guetter = to watch
ramasser = to pick up
ficeler = to tie up
cramponner = to cling
assommer = to knock out
parier = to bet
songer = to think
cerner = to surround
butter = to stumble
gémir = to groan/moan
Nouns:
une matraque = a baton
un témoignage = a testimony
des menottes (f.) = handcuffs
un gredin/coquin = a rascal
un sentier = a path
un asile d'aliénés = an insane asylum
des cartouches (f.) = cartridges (for a gun)
des indices (m.) = clues
des canailles (f.) = scoundrels
le brouillard = the fog
le vent du large = the sea breeze
un canot = a canoe
un donjon = a dungeon
un froussard = a coward
une longueur d'onde = a wavelength
la marée basse = the low tide
Adjectives:
saoul = drunk
épais = thick
étroite = narrow
épatant = amazing
louche = suspicious
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jloisse · 1 year
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Laurent Bigot ancien sous préfet 🗣️ "On recrute des teubés , ils parlent comme des voyous et portent des armes et une matraque je ne reconnais plus la police dans laquelle j'ai travaillé"
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lepoingleve · 1 month
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André Devambez, La Charge, huile sur toile, 1902. Musée d’Orsay.
« La Charge » dépeint une confrontation entre les forces de l'ordre et des manifestants dont les affiliations politiques restent évasives. L'œuvre vise avant tout à capturer l'essence d'une protestation et son affrontement avec la police. La scène, plongée dans l'obscurité, reflète la réalité des manifestations post-travail, souligne les tensions et les craintes associées à ce que le sociologue Gustave Lebon appellait « l'âge des foules ». Les agents de police chargent avec méthode, révélant une redoutable efficacité. Le tableau figura longtemps dans le bureau du préfet Chiappe (de 1927 à 1934), connu pour son penchant pour l'ordre et spécialiste de la répression des manifestations de rue. En contemplant cette scène, on réalise que le temps a beau filer, la façon qu'a la République de gérer ses contestataires reste d'une troublante constance. Les pas se suivent et se ressemblent, sur une piste éternellement pavée de coups de matraque.
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hectoromnis · 1 year
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Moi, après avoir reçu des coups de matraque pour avoir été arrogant avec un ami dominant
Me, after being beaten with a truncheon for being arrogant with a dominant friend
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nando161mando · 3 months
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🇵🇸Malgré leurs matraques, malgré leurs arrestations, déterminés à défendre notre droit à la résistance !
🇵🇸Despite their batons, despite their arrests, determined to defend our right to resistance!
From the river to the sea, #Palestine will be free !
✌️🇵🇸☝️
𓂆 ᖴᖇᗴᗴ ᑭᗩᒪᗴ𝓢TIᑎᗴ 🍉
#GazaGenocide #CessezLeFeu #UrgencePalestine
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albad · 10 months
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🇫🇷ATTAQUES FASCISTES DANS PLUSIEURS VILLES
En plus d'une répression militarisée, des groupuscules fascistes jouent le rôle d'auxiliaire de police dans plusieurs villes de France contre la révolte. Brigades paramilitaires qui frappent des jeunes. Commandos armés. Attaques à coups de bâtons de manifestations pour Nahel. Et tout cela avec la bienveillance des autorités. Tour d'horizon d'un pays en chute libre.
⚫Lyon : préparation d'attaque armée
Le 2 juillet, une centaine de néo-nazis se sont réunis devant la mairie aux cris de «Bleu-blanc-rouge, la France aux Français», «On est chez nous», avant de défiler dans le vieux Lyon. Sur Twitter, la préfecture dit que ce groupe a «tenté une opération de communication». Une curieuse manière de décrire une descente de fascistes organisés pour frapper des personnes non-blanches.
Plus inquiétant encore, la veille, deux trentenaires d'extrême droite ont été arrêtés en possession d’une arme et de munitions de calibre 12, près d'un hôpital de Bron en banlieue lyonnaise. La voiture était équipée de fausses plaques d’immatriculation et a causé un accident. Ce qui a provoqué leur interpellation. Sur la banquette arrière, un fusil de calibre 12, chargé de trois cartouches, et une boîte de 111 cartouches de calibre 12. La police a aussi trouvé deux fusils et plusieurs boîtes de munitions au domicile du passager. Cet homme était connu pour provocation à la discrimination et dégradations de patrimoine, et interdit de port d’arme. Il a expliqué aux policiers qu’il était question de «se faire des Noirs et des Arabes», en réponse aux émeutes.
⚫Chambery : milice fasciste
Dans la ville de Savoie, des groupes néo-nazis très violents organisent régulièrement des attaques. Le soir du match France-Maroc de la coupe du monde en décembre dernier, ils avaient notamment passé à tabac plusieurs personnes soupçonnées de supporter l'équipe maghrébine. Samedi soir, des militants sont descendus dans les rues en scandant «Français réveille-toi, tu es ici chez toi !»
Le lendemain, des militants d'extrême droite patrouillaient à nouveau dans les rues. Une vidéo les montre marcher au pas, clairement menaçants, dans les rues, alors que la police contrôle une voiture conduite par un jeune non-blanc quelques mètres en arrière. Sur leurs canaux de communications, les fascistes de Chambery se sont vantés «d'affrontements» et d'avoir mis «la racaille au tapis […] les nationalistes plus efficaces que la police». Une vidéo circulait lundi soir montrant en revanche l'un de ces militants d'extrême droite au sol, après avoir été corrigé.
⚫Lorient : brigade paramilitaire
Vendredi 30 juin au soir, une trentaine de jeunes portant des cagoules s'est déployée près de la base navale où stationnent des fusiliers marins et des commandos marines. Ce groupe a attaqué les jeunes soupçonnés de participer aux émeutes, en les plaquant au sol, les menottant avant de les remettre à la police.
«On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés», a expliqué une source policière. Interrogé, un membre du commando raconte tranquillement à la presse : «On se concertait avec la BAC qui nous disait où ne pas aller. Quant aux émeutiers, dès qu’ils nous voyaient, ils couraient. On courait aussi. Si on les attrapait, on leur mettait des Serflex aux mains.»
Un policier reconnaît : «certains d’entre nous ont finalement décidé de les disperser, se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort.» Le commando lui, explique «Nous sommes du bon côté, nous…» sans expliquer qui compose le groupe. Probablement des militaires de la ville.
⚫Angers : reconstitution de ligue dissoute
Vendredi 30 juin au soir, les fascistes du groupuscule l'Alvarium, en principe dissout pour des violences racistes, attaque de la manif d'homme à Nahel. «Sales noirs, sales singes, on va vous buter», a lancé un militant d’extrême droite. Le groupe d'extrême droite porte alors des barres de fer, des matraques et des battes de base-ball. Des personnes sont passées à tabac, par des fascistes à visage découvert, certains de leur impunité. La scène est filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Une des victimes sera transportée au CHU d’Angers. «Seize points de suture et traumatisme crânien».
Le lendemain soir, l'Alvarium organise carrément une soirée dans son local, dans le centre-ville. Une trentaine de fascistes poursuivent en courant des individus, «armés d’un couteau et de bâtons», puis font tirent un fumigènes incandescent.
Des riverains témoins attestent que la police «protège» l’extrême droite. En effet, après cette altercation, la police est allée protéger le local d'extrême droite, où la soirée a pu continuer tranquillement. «Les fachos, ils restent, et les autres, ils partent ?», lançait, samedi soir, un habitant, consterné.
Lundi soir à Angers, de nouveaux affrontements ont eu lieu devant le local de l'Alvarium.
⚫Les fascistes sont le bras armé de l'Etat et de la bourgeoisie.
C'est leur nature même, depuis Mussolini et ses brigades de briseurs de grève dès les années 1920 : ils maintiennent l'ordre. On se souvient qu'en 2016 déjà, des groupes d'extrême droite tentaient de s'en prendre aux manifestations nantaises ou Lyonnaises contre la Loi Travail, ou des attaques fascistes contre les cortèges de Gilets Jaunes en 2018. Pour mater la révolte des banlieues, le gouvernement Macron et sa police travaillent main dans la main avec des milices.
Ce mardi matin sur BFM TV, la porte parole de la gendarmerie était interrogée sur ces agissements : «C'est condamnable ?» demande la journaliste, «ils peuvent se mettre en danger aussi, il faut éviter qu'ils se mettent en danger» répond la militaire. La seule inquiétude des autorités, c'est que les miliciens armés puissent se faire des bobos.
Contre Attaque
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lisa972kdlz · 1 month
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Death to cows ! Death to cops !
Hail the Cayenne children, down with safety's ones !
C'est assez ironique je trouve que Cross déteste les vaches alors que c'est un garde royal...
Est-ce que du coup son amitié avec Epic est entachée puisque Policier Cookie ?
D'ailleurs, Policier Cookie utilise le Coq de la Loi pour matraque, est-ce que ça fait un poulet qui frappe avec un poulet ?
En amitié avec un mec qui a peur des vaches ?
...
Quelles étaient les probabilités pour que tous ces jeux de mots existent en français ?
So, I'm not sure what terms are used to talk about the cops in English, so if in doubt I'll explain the translation xD
Vache = Cow, but Vache is also a pejorative term for police officers, like the equivalent of Pig in English. Poulet (=Chicken) is also a French word for cop. (like the famous Cock of the Law, yeah yeah...).
And with it, an incalculable field of puns *0* !
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homomenhommes · 15 hours
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 151
Eric passe nous voir un soir avec sa nouvelle moto. Daniel et Cédric ont bien veillé à ses modifications et elle est maintenant parfaite selon Eric. Nous en faisons le tour et il nous décrit chaque changement. Les plus visibles étant au niveau de l'avant, fourche, freins. Eric me serre contre lui pour me remercier. Malgré l'épaisseur du cuir je sens sa queue bandée. Je glisse entre ses bras et relève le zip du bas de sa combi pour en sortir son " boa ". En glissant, je lui dis qu'il ne manque plus que de la baptiser. J'engouffre son gland et un peu plus pour une bonne pipe. Marc me laisse faire, il a deviné ce que je voulais faire. Quand je sens Eric prêt à jouir, je me recule et dirige sa queue vers sa moto. Il éjacule dessus de grandes trainées de sperme. Je lui dis alors qu'il vient de la marquer son empreinte, que maintenant c'est sa moto est vraiment à lui. Après un coup de Sopalin, nous allons à la maison, le fond de l'air est frais en cette fin novembre !
La maison est surchauffée et nous nous ;mettons rapidement en sous vêtements. Je ris car Eric a très peu débandé, il est juste devenu plus souple mais sans perdre en taille. Samir et Ammed nous débarrassent de notre surplus de vêtements. Eric s'éclipse un instant aux toilettes nettoyer sa bite avant de nous rejoindre. Au salon, devant la cheminée qui ronfle d'un beau feu de bois, ils nous servent l'apéritif. Quand je vois la dose qu'accepte Eric, je sais qu'il restera dormir ici.
La discussion aborde le dernier gang bang que j'ai organisé. Eric décrit rapidement à Marc la soirée et me félicite encore une fois, d'après lui tout était parfait, aussi bien les deux " attractions " que le buffet et la tenue des participants. Il me dit aussi qu'un bon nombre de mecs sont venus le voir pour qu'il me demande d'en refaire un avec Jimmy comme centre d'intérêt (pas étonnant qu'ils s'adressent à lui, sachant que c'est lui qui m'a fourni tous les clients blacks).
Vu que l'organisation d'un double gang bang n'est pas plus complexe qu'un simple, pour une rentabilité supérieure (une seule location de gîte), je discute avec Marc et Eric sur la possibilité d'adjoindre Ed à Jimmy. Je sais que le gamin est demandeur d'expériences nouvelles et qu'il s'est bien aguerri au contact de mes clients habituels. Il faut juste que je vérifie son endurance.
Marc me dit de le faire venir le WE prochain et que nous le testerions à plusieurs avec Eric. Igor et les jumeaux pourraient se joindre à nous et nous pourrions proposer à Xavier de passer nous voir. Nous testerions alors grandeur nature ses capacités.
Aussitôt dit, aussitôt organisé. Téléphone à l'oreille, j'appelle tout le monde. Ed en premier me donne un accord enthousiaste. Les autres aussi, enchantés de cette mini touze.
De penser à cela nous a tous fait bander ferme et fait monté notre taux de testostérone. Les shorty sont déformés par nos queues raide faisant épouser le tissu sur nos glands. Pas besoin de dessin, je passe à l'action. A genoux devant mon mec, entre ses cuisses, je bouffe sa bite au travers du tissu. Quand ce dernier est tellement mouillé qu'il ne cache plus rien, je descend l'élastique de la ceinture sous ses couilles et embouche sa matraque. Miam que c'est bon ! Ses mains sur ma tête poussent pour enfoncer son gland dans ma gorge. J'ai beau me concentrer sur ma pipe, je sens quand même les grandes mains d'Eric caresser mon dos, descendre sur mon cul et le mettre à nu. Puis elles (ses mains) passent aux choses sérieuses. Ecartement des fesses puis travaille de mon petit trou (malgré son utilisation régulière, mes exercices de contractions post enculages le maintiennent en bon état). Je sens bientôt sa langue venir au secours de ses doigts. J'adore me faire lécher l'anus, surtout par une longue langue qui après m'avoir détendu, arrive à s'insinuer en moi. Ma pipe s'en ressent et je m'ouvre des deux cotés. Marc s'enfile plus facilement dans ma gorge et Eric enfonce sa langue plus profondément pour mon plus grand plaisir. Changement de position. Marc et Eric me posent dos sur la table basse, ma tête dépassant du plateau. Eric me donne sa bite à manger pendant que Marc m'encule. Trop bon ! Je laisse les secousses engendrées par les coups de reins de Marc m'enfoncer la queue d'Eric dans la gorge. Ce n'est que sur le dos et la tête en arrière que j'arrive à prendre la totalité de la queue d'Eric dans ma gorge. Ses grandes mains sur mes oreilles, il gère en fonction de ma capacité respiratoire. Une ou deux fois il s'oublie et je manque de m'étouffer. Effet collatéral, ça me fait bander encore plus et m'approche dangereusement de la jouissance. Marc me lime le cul exactement comme j'aime. De la force, rythme varié... sa queue remplie juste comme il faut mon trou de salope. J'apprécie chaque intromission quelque soit l'entrée. La soumission à leur virilité est un plaisir naturel pour moi et je me donne à fond. Mon rythme respiratoire prend de l'amplitude, ce qui permet à Eric de rester un peu plus longtemps coincé dans ma gorge, il apprécie d'avoir son gland compressé et massé par mes déglutitions à répétition. Marc, lui, teste la puissance de mon sphincter anal. Je module allant de libre passage au blocage complet de sa queue dans mon cul.
Après un bon moment, Marc se retire et demande à Eric de le remplacer car il veut me faire boire son sperme. Eric se Kpote et je me détends au maximum pour qu'il puisse tout entrer dès la première poussée. Ce sera chose faite quelques secondes plus tard. En fait presqu'une minute, il prend son temps le bougre ! Moi à la moitié de sa bite je le voulais déjà à fond ! Marc m'a laissé le temps qu'Eric prenne possession de mon trou puis a présenté sa queue devant ma bouche. Je l'ai avalée directe et me suis appliqué à le sucer comme jamais. Un observateur aurait peut être trouvé que je ressemblais à un poulet sur une broche ! En attendant j'ai savouré chaque minute de ramonage. Quand Marc s'est senti prêt à décharger, il s'est retiré de ma gorge et m'a demandé de rester bouche ouverte. Quelques secondes plus tard, il m'envoyait son jus dedans. Pleine, j'ai du fermer ma bouche pour avaler. Comme il lui en restait encore dans les couilles je m'en suis pris sur le visage. J'ai juste eu le temps de sortir ma langue pour attraper ce qui allait couler au sol. Trop bon pour le gâcher !
Pendant ce temps là, Eric a atteint le point de non retour et m'a fixé sa bite au plus profond de mon trou pour juter et remplir sa kpote. Les effets conjugués m'ont fait jouir à mon tour dans la main prévenante de Marc. Une fois sûr que j'avais les couilles vides, il m'a donné à boire ma production avec ordre de tout garder en bouche. Puis il m'a redressé et nous nous sommes roulés un patin, nos langues nageant dans mon sperme.
Ammed était à nos cotés avec des serviettes chaudes pour que nous nous mettions présentables pour dîner sans aller nous doucher.
Malgré les " protéines " avalées un peu plus tôt, j'ai fait honneur à la cuisine préparée par Ammed. Mais comme Eric restait dormir, je me suis restreint pour pouvoir supporter sans problème sa grosse bite dans ma gorge. Après le repas, Eric m'a demandé si Jimmy pouvait nous servir le café. J'ai compris le sous entendu ! Et je suis parti appeler à l'appart. Il avait l'air content au bout du fil quand je lui ai dit que nous l'attendions à la grande maison et qu'Eric était là. De lui même il m'a répondu qu'il sautait sous la douche et qu'il arrivait. 5mn plus tard il était devant nous dans l'uniforme de service : le simple shorty en cuir moulant avec la variante d'un Zip total (devant et derrière) par rapport aux shorty de Samir et Ammed, eux complètement fermés. Samir qui l'avait accompagné nous a expliqué que le shorty c'était pour la condition de service et par contre comme le sien (de service) incluait le sexe à la demande, alors Zip. Marc a approuvé l'initiative et aussitôt Eric a testé le fonctionnement du " vêtement ". Ouverture par l'arrière jusqu'au périnée. Son cul est dégagé, enfin plutôt l'accès à son trou mais le reste tient en place. Sa main qui avant le dîner m'avait préparé le trou s'est maintenant posée sur les petites fesses de Jimmy et nous avons vu son majeur s'enfoncer entre. Un léger sursaut de Jimmy nous a appris que celui ci avait passé le sphincter anal.
Marc et moi avons assisté à la préparation de Jimmy par Eric. Hyper bandant ;de voir son petit corps (1,65m, 50 Kg) entre les mains d'Eric (1,80m, 90Kg de muscles). Il l'a soulevé comme de rien et lui a ventousé le trou avec sa bouche. Jimmy s'est retrouvé avec sous les yeux la braguette d'Eric. Aussitôt il s'y est attaqué et à son tour a fait sortir la bite qui se cachait derrière. Embouchée dès son apparition, nous n'avons pu voir l'état de rigidité qu'après que Jimmy l'ai recrachée. Là on a pu voir qu'Eric était méchamment en forme. Dans la position, Jimmy arrivait à la lui avaler totalement. Faut dire que ses nombreuses passes chez mes clients lui ont bien ouvert la gorge. Marc a ouvert son pantalon histoire de laisses sa queue se développer sans entraves. Je n'ai pas eu besoin qu'il me dise quelque chose pour que je me penche et me cale son gland derrière mes cordes vocales. Le silence n'était troublé que par les crépitements du feu et les " slurp slurp " des deux pipes. Après un bon moment à rigidifier les queues qui allaient nous prendre nos anus, et celui de Jimmy à point selon Eric, nous sommes passés au sérieux.
Eric s'est assis et a attiré Jimmy sur ses cuisses, face à face. ;Avec Marc nous avons regardé, la grosse bite (26 x 7) s'est enfoncée dans le petit cul étroit de Jimmy avec régularité jusqu'à ce que tout soit dedans. Quelques coups de reins, quelques Va et vient et Jimmy s'est attaqué aux tétons qui couronnent les pecs d'Eric. Passant de l'un à l'autre il les a fait grossir et durcir entre ses dents, laissant Eric gérer la sodo. Marc encore plus excité par le spectacle ma poussé en travers de la table basse et m'a investi comme un sauvage. Bon, très bon ! dans cette position, nous avions vue sur l'autre couple.
Eric pour calmer sa montée en pression a décollé Jimmy de son torse et l'a retourné sur sa bite sans déculer (l'avantage d'en avoir une longue !). Puis il a demandé à Marc de me mettre sur le dos pour qu'avec Jimmy je fasse un 69 pendant qu'ils nous limeraient. Je me suis donc retrouvé dos sur la table basse avec Jimmy au dessus de moi. J'ai senti aussitôt sa bouche me sucer alors que j'avais vue sur son trou écartelé par la noire bite d'Eric. Impressionnant à aussi peu de distance de voir cela, surtout avec les proportions des deux protagonistes, grosse bite dans petit cul. Marc a repris le limage de mon cul et en même temps Jimmy avalait consciencieusement mon gland. J'ai pris en bouche son sexe raide et avec ses 14cm j'ai même réussi à prendre ses couilles avec. Je n'ai pas insisté longtemps tellement j'étais secoué par les va et vient d'Eric.
J"ai senti Jimmy monter en pression au même rythme que moi et nous nous sommes recrachés au tout dernier moment, arrosant l'autre de longues trainées de sperme. Nos jouissances ont entrainé celles de nos enculeurs et chacun bien callé au fond du boyau qu'il défonçait à, pour Marc inondé mes boyaux de sa semence et pour Eric, à rempli à ras bord sa kpote pourtant taille XXL.
Affalés dans les canapés, Jimmy dans les bras d'Eric, nous avons repris conscience de la réalité. Ammed est alors arrivé avec les cafés.
JARDINIER
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a sporty excuse
+
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aurevoirmonty · 2 months
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Les matraques ne sont mauvaises que lorsqu'elles sont utilisées contre eux. C'est alors que la plus haute fonction de l'État, la télévision, l'intellectuel prêcheur entrent en scène pour les défendre.
Les matraques, en revanche, sont justes lorsqu'elles tombent sur la tête de ceux qui ne pensent pas comme eux. En effet, les matraques sont réclamées à cor et à cri dès qu'il y a quelqu'un qui manifeste et ne pense pas comme eux.
Intouchables et hypocrites.
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marie-swriting · 10 months
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Je Ne Peux Pas Me Permettre De Te Perdre - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu te fais tirer dessus pendant une mission, ce qui fait que tu meurs presque dans les bras de Bucky.
Warnings : coup de feu, blessure par balle, reader qui est presque morte, un peu d'angst, John Walker, Bucky est protecteur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
NdA : Ce one shot est basé sur cette request faite par @tieddown-withbattleshipchains , en espérant que ça te plaira ! Personnellement, j'ai adoré l'écrire, ton idée était très inspirante.
Tu entres doucement dans une pièce sombre, tes sens en alerte, à l'affût d’une potentielle menace avec tes matraques en mains. Tu regardes de tous les côtés quand tu vois une ombre venir vers toi. Juste à temps, tu arrives à bloquer le coup d’une Flag Smasher avec ton arme. S’ensuit alors un combat enchainé entre toi et la femme masquée. Malgré le sérum de Supersoldat coulant dans ses veines, tu arrives à t’en sortir plutôt bien. Grâce à tes entraînements avec Bucky, tu arrives à t’adapter facilement à un combat avec une personne ayant une force décuplée. Tu arrives à donner plusieurs coups, mais pas assez pour la mettre K.O. Tu as juste réussi à lui faire perdre son masque, découvrant que ton adversaire est une femme d’environ une vingtaine d’année. Vous continuez à vous battre quand un coup de feu retentit. Les yeux grands ouverts, vous arrêtez de vous battre. En baissant les yeux sur ton ventre, tu vois du sang. La Flag Smasher te pousse avant de fuir pendant que tu tombes au sol. Tu portes ta main sur ta blessure et essayes d’y mettre de la pression, malgré la douleur.
-Y/N ? C’était quoi ça ? Tu vas bien ? demande la voix inquiète de Bucky dans ton oreillette. Y/N ! s’écrie-t-il en ne t’entendant pas répondre.
-J’ai perdu la cible, arrives-tu à articuler après quelques secondes.
-Je vais m’en occuper, informe Sam. Tout va bien de ton côté ? 
Tu n’as pas la force de lui répondre, trop concentrée à ne pas te vider de ton sang. Tu balayes la pièce de tes yeux, espérant trouver le tireur, mais ne vois personne. Tu continues à regarder aux alentours à la recherche de quelque chose pour t’aider, en vain. Ta respiration se fait de plus en plus saccadée quand Bucky apparaît. Une expression inquiète prend place sur son visage alors qu’il accourt vers toi. Avant de t’atteindre, tu l’entends ordonner à Sam d’appeler les secours. Bucky s’agenouille à tes côtés, enlève tes mains et fait pression sur ta blessure. Doucement, tes paupières se font de plus en plus lourdes, mais Bucky te secoue d’une main pour te garder éveiller.
-Je t’interdis de t’endormir, tu m’entends ? Reste concentrée, Sam a appelé de l’aide, ils vont bientôt arriver. 
-J’ai sommeil, balbuties-tu en le regardant avec difficulté.
-Je sais, mais tu ne peux pas fermer les yeux, d’accord ? Tu vas t’en sortir alors reste éveillée. 
-Bucky, je…, commences-tu en posant ta main sur les siennes.
-Non, chut, t’interrompt Bucky avec douceur. Concentre-toi pour ne pas fermer les yeux. Tu me diras ce que t’as à me dire plus tard. Tiens bon, Y/N, tu vas t’en sortir, répète-t-il alors que ses mains se tachent un peu plus de ton sang. 
Tu essayes d’écouter Bucky et fais tout pour ne pas sombrer dans le sommeil, mais plus le temps passe et plus c’est compliqué. Tu commences doucement à abandonner quand les secours arrivent vers vous. Au loin, tu entends juste Bucky hurler ton prénom pendant que tu sombres.
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Quand tu ouvres les yeux, tu te sens attaquée par la lumière du lieu. Tu les refermes pendant une seconde avant de les rouvrir plus lentement. Quand tu t’habitues enfin à la luminosité, tu analyses ton environnement et réalises que tu es dans une chambre d’hôpital. Tes yeux se posent sur Bucky qui est assis à tes côtés, ses mains tenant ta main droite alors qu’il est perdu dans tes pensées. Tu bouges légèrement tes doigts pour attirer son attention. En sentant le mouvement, la tête de Bucky tourne instantanément sur sa gauche. Quand il te voit éveillée, il soupire de soulagement avant de se rapprocher de toi. De sa main gauche, il caresse doucement ta joue.
-Hey, comment tu te sens ? chuchote-t-il.
-Comme si je venais de me faire tirer dessus, dis-tu en essayant de sourire.
-Au moins, on est sûrs de pas l’avoir perdue, intervient Sam, faisant rouler des yeux Bucky.
-Tu as mal quelque part ? Tu veux que j’appelle une infirmière ? Je devrais appeler une infirmière pour la prévenir que t’es réveillée.
-Pas besoin. La perfusion fait encore effet. 
-Ça serait plus sûr et peut-être qu’elles ont besoin de vérifier certaines choses comme tu es réveillée, insiste ton petit ami en appuyant sur le bouton pour appeler une infirmière. 
-Pire qu’une mère poule.
-La ferme, Sam.
-Me faites pas rire, ordonnes-tu en sentant une douleur dans ton ventre alors que tu as à peine rigolé à cause de leur chamaillerie.
-Désolé, s’excuse Sam.
Bucky continue de te regarder comme s’il avait peur qu’en détachant ses yeux de ton visage, tu disparaisses. Tu le regardes avec tendresse, espérant le rassurer en lui confirmant qu’il ne t’a pas perdu. Pendant ce temps, Sam se sent un peu laissé de côté, mais il ne peut s’empêcher de regarder la scène affectueusement, sachant très bien tout ce que tu représentes pour Bucky. 
En effet, depuis ta rencontre avec l’ancien Soldat de L’hiver, tu as toujours fait attention à ce qu’il ne manque de rien. Tu l’as aidé, et l’aides encore parfois, à s’adapter au monde actuel et tu es une des rares épaules sur laquelle il arrive à pleurer, sans honte. Vos sentiments l’un pour l’autre se sont développés doucement et votre relation a changé au même rythme. Votre lien est fort et indescriptible. Tout ce que vous savez c’est que vous ne pouvez pas vivre sans l’autre. Bucky ne peut surtout pas te perdre, pas seulement parce qu’il t’aime, mais aussi car tu es l’une des rares constantes de sa vie depuis qu’il a retrouvé la mémoire. 
Quelqu’un frappant à la porte de ta chambre vous sort de votre bulle. Tu t’apprêtes à saluer une infirmière quand tu découvres John Walker, dans sa tenue de Captain America avec son casque en main. Tu fronces les sourcils, ne t’attendant pas à le voir. 
-John, quel plaisir ! commence Bucky sarcastiquement. Tu es là pour rendre le Bouclier ?
-Buck ! le réprimandes-tu et il te fait un faux air innocent. 
-Je voulais savoir comment vous alliez, Y/N, te demande John en évitant ton regard pendant une seconde.
-Ça peut aller, considérant que j’ai failli mourir. 
-A propos de ça, je voulais m’excuser.
-De quoi vous parlez ? questionnes-tu, les sourcils froncés.
Même si tu n’as pas vu qui t’a tiré dessus, tu supposes que c’était un Flag Smasher, car ta blessure a permis à ton ennemi de s’échapper, enfin jusqu’à ce que Sam la rattrape, alors tu ne comprends pas les excuses de John. 
-Je… J’essayais de viser la Flag Smasher, explique John en jouant avec son casque, mais quand vous étiez en train de vous battre, vous avez changé de place et je vous ai tiré dessus sans faire exprès.
En entendant la fin de la phrase John, Bucky voit rouge et lâche ta main avant d’essayer de se jeter sur John. Sam le retient de justesse, empêchant Bucky de briser la règle numéro deux de sa thérapeute. John recule jusqu’à la porte au cas où Sam n’arriverait plus à retenir Bucky. Ton petit ami se force à ne pas utiliser toute sa force contre Sam, il sait qu’il pourrait se défaire de son emprise facilement, mais il sait que ce n’est pas la chose à faire. Bucky a réussi à obtenir son pardon, il ne peut pas tout ruiner maintenant. Cependant, ça n’empêche pas que John a failli ruiner la relation la plus chère à ses yeux. Déjà que Bucky n’arrivait pas apprécier le nouveau Captain America, maintenant, il n’a qu’une envie : le défigurer ou retourner dans le passé et forcer Sam à garder ce maudit Bouclier ainsi, tu ne serais pas dans ce lit d’hôpital.
-C’était un accident, je le promets, assure John. Je suis vraiment désolé.
-Ils apprennent plus à viser à l’armée ou comment ça se passe ? crache Bucky alors que Sam resserre un peu plus son emprise. Enfin, si tu n’as pas le champ libre, tu tires pas, c’est de la logique ! A cause de toi, Y/N a failli y passer et on a presque pas arrêté la Flag Smasher. C’est pas possible d’avoir aussi peu de réflexion ! 
-Bucky, il a pas fait exprès, interviens-tu, espérant détendre l’atmosphère.
Même si tu détestes John autant que Bucky, tu ne veux pas que ton petit ami lui refasse le portrait. Tu ne peux pas avoir Bucky comme ennemi numéro un du gouvernement américain à nouveau. 
-Je m’en fiche de ça, te rétorque Bucky. T’as failli mourir dans mes bras à cause de son incompétence, continue-t-il en pointant John du menton. Tu parles d’un Captain America ! Rien que pour ça, tu devrais rendre le Bouclier.
-C’était une erreur. Et puis, je viens tout juste d’être Captain America, j’ai encore beaucoup à apprendre, tente de se défendre John, énervant un peu plus Bucky.
-Ne pas tirer sur les innocents ne devrait pas en faire partie ! Ça, t’es censé l’avoir appris au début de ton entraînement à l’armée. C’était bien plus qu’une erreur. T’as intérêt à partir maintenant avant que je fasse de toi un résident permanent dans cet hôpital. 
-Vous devriez partir, John, confirmes-tu, sachant très bien que la colère de Bucky ne va pas redescendre tout de suite. Merci de m’avoir dit la vérité.
-C’était le moins que je puisse faire. Encore désolé, Y/N.
Quand John quitte enfin la pièce, Sam relâche doucement Bucky, mais reste prêt à tenir de nouveau Bucky au cas où. Ton petit ami prend une profonde inspiration avant de poser son attention sur toi à nouveau. Même s’il a l’air plus calme, tu vois à ses yeux que la colère est toujours présente. Il se rassoit à tes côtés alors que Sam s’installe au bord de ton lit.
-Tout ça aurait pu être évité si tu n’avais pas donné le Bouclier, s’exclame Bucky, faisant rouler tes yeux et ceux de Sam.
-Encore avec ça.
-Comment tu peux ne pas être énervée contre lui alors qu’il t’a presque tué ? te questionne-t-il, perdu.
-Ecoute, tu sais très bien ce que je pense de lui comme Captain America et aujourd’hui nous prouve un peu plus que ça ne devrait pas être lui, mais le fait est qu’il ne m’a pas blessé intentionnellement. 
-Intentionnellement ou pas, j’aurais pu te perdre.
-Et ce n’est pas le cas. Je suis toujours là, lui assures-tu en caressant sa joue. 
Bucky est sur le point d’ajouter quelque chose quand l’infirmière qu’il a appelée entre dans ta chambre. Elle vérifie tes constantes, te pose quelques questions et t’informe que ton médecin passera plus tard avant de te laisser te reposer. Grâce à son intervention, Bucky laisse enfin le sujet “John” de côté, même s’il fulmine encore. Pour détendre l’atmosphère, Sam change de sujet en évoquant sa maison en Louisiane. Il parle des températures, de son bateau familial et des différentes activités que sa ville natale a à offrir jusqu’à ce que ton médecin l’interrompe. Elle t’explique qu’ils ont réussi à te sauver pile à temps et que tu auras une cicatrice sur ton ventre. Enfin, elle t’informe que tu vas devoir te ménager pendant un moment, t’interdisant formellement de retourner sur le terrain jusqu’à nouvel ordre. Tu ne peux t’empêcher de pousser un soupir de frustration à sa dernière information. La dernière chose dont tu avais besoin c’était de rester clouée au lit. Quand elle quitte ta chambre, Bucky essaye de te faire voir le bon côté des choses, sachant très bien que tu es agacée par ta situation actuelle. Cependant, peu importe ce qu’il dit, ça ne semble pas être suffisant pour faire disparaître la moue sur ton visage. Sam te propose alors de venir faire ta convalescence chez lui en Louisiane, loin de la ville. Tu pèses le pour et le contre avant d’accepter, non sans faire lever les yeux de Bucky au ciel. 
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Quand tu es enfin autorisée à partir de l’hôpital, tu découvres l'État où vit Sam. Ce dernier vous a laissé, à toi et Bucky, la chambre d’amis. Tu l’as remercié un nombre incalculable de fois pour sa gentillesse alors que Bucky lui a seulement lâché un petit sourire pour montrer sa gratitude. 
Pendant ta convalescence, les deux hommes sont aux petits soins pour toi. Sam te fait découvrir les plats typiques de la région ou encore ses recettes de famille. Tu dois avouer que Sam est doué en cuisine, ce que tu n’aurais pas cru au premier abord. Sam t’apporte également des choses à faire pour t’occuper depuis le lit, comme des jeux de société ou des activités manuelles. Tu te considères maintenant pro dans la création de bracelets avec des perles en plastique. Tu en as fait pour Sam, sa sœur Sarah et ses fils AJ et Cass, mais également pour Bucky. À part AJ et Cass, Bucky est celui qui en a le plus avec des mots mignons ou ridicules allant de “mon amour” à “grincheux”. Certains de tes bracelets sont en parfait contraste avec son bras en Vibranium. 
Bucky, quant à lui, est toujours à tes côtés et s’inquiète même quand tu affirmes que tu n’as pas de douleur. Il t’aide à nettoyer ta blessure, changer ton pansement et s’assure que tu es toujours dans une bonne position pour dormir. Enfin, le soir quand tu es dans les bras de Morphée, Bucky te colle - tout en faisant attention à ta blessure - en posant délicatement sa tête sur ta poitrine pour écouter les battements réguliers de ton cœur. En les entendant, Bucky arrive à respirer et à s’endormir paisiblement tout en se répétant que tu es encore en vie, tu es encore à ses côtés, il ne t’a pas perdu. 
Après plusieurs semaines allongée, tu peux marcher une plus longue distance que celle de ta chambre à la salle de bain. Assise sur le lit, tu enfiles tes chaussures quand un Bucky avec des yeux grands ouverts vient vers toi.
-Je peux savoir ce que tu fais ? Tu dois te reposer, te rappelle-t-il, t’empêchant de finir de lacer ta chaussure gauche.
-Le docteur m’a dit que je devais marcher pour aider la guérison, expliques-tu en jouant avec les perles de son bracelet formant le mot “vieillard”.
-C’est quel genre de conseil idiot, ça ? Tu dois rester au lit.
-Bucky, si je reste une seconde de plus sur ce maudit lit, je vais le cramer, informes-tu avec un air sérieux. Et puis, je ne vais pas courir un marathon, je vais juste marcher très lentement aux alentours de la maison. Viens avec moi, si ça peut te rassurer.
-Et si tu te faisais mal en marchant ? s’enquiert-il et tu te retiens de lever les yeux au ciel.
-Alors heureusement que mon merveilleux et fort petit ami sera à mes côtés pour m’aider. Bucky, je vais bien, assures-tu en le regardant dans les yeux. Je n’ai pas mal et j’ai besoin de bouger. Je n’en peux plus de faire la plante verte dans cette maison. Je connais tous les recoins de cette chambre, j’ai besoin de sortir.
Bucky semble considérer la situation, pesant mentalement le pour et le contre avant de soupirer et de hocher la tête. 
-Bon, d’accord, mais si tu ressens ne serait-ce qu’une petite douleur, tu as intérêt à me le dire et on rentre, ordonne-t-il en défaisant ton lacet gauche pour le refaire, et on ne marche pas plus de cinq minutes, finit-il.
-Quinze, négocies-tu.
-Dix. 
-Vendu, acceptes-tu avec un regard enfantin.
Bucky termine de lacer ta basket droite avant de te donner sa main pour t’aider à te lever tout en examinant ton visage pour le moindre signe de douleur. Pour lui prouver que tout va bien, tu lui souris avant d’embrasser ses lèvres chastement. Il prend ton bras droit et le place sur le sien pour te soutenir alors que vous quittez doucement votre chambre provisoire. En sortant - enfin - de la maison, tu prends le temps d’apprécier la chaleur du soleil sur ton visage. Vous marchez alors que tu partages à Bucky toutes tes observations sur le paysage s’offrant à vous. Depuis ton arrivée, tu n’as pas eu le temps d’admirer la beauté extérieur de la maison de Sam donc, tu regardes chaque arbre, fleur et vague, profitant de la nature que tu n’as pas à Brooklyn. 
Après quelques minutes de marche, tu demandes à Bucky de vous arrêter. Tout de suite, il te questionne, inquiet que tu risques de tomber dans les pommes à n’importe quel moment.
-Je vais bien, le rassures-tu, mais son expression inquiète ne quitte pas son visage.
-Désolé d’être autant sur ton dos, mais je veux juste m’assurer que tu ailles bien.
-Je sais. 
-Tu penses que je suis lourd ? questionne-t-il en touchant le bracelet avec l’inscription “mon ange”.
-Non, je trouve ça mignon la façon dont tu t'inquiètes, dis-tu en relevant son visage de ta main. Tu es une vraie mère poule et j’adore ça, ajoutes-tu, le faisant légèrement rire.
-Est-ce qu’on peut réellement m’en vouloir, j’ai bien cru que j’allais te perdre, dit-il en se remémorant le moment où il t’a rejoint pendant que tu te vidais de ton sang. Quand tu as commencé à fermer les yeux, j’étais persuadé que c’était fini. Et je ne peux pas te perdre, affirme Bucky d’une voix tremblante. Je sais que je ne te le dis pas souvent, mais ma thérapeute me dit que je dois apprendre à mieux communiquer ce que je ressens alors, je te le dis : Tu es importante pour moi, j’ai besoin de toi pour continuer à avancer. Ça peut paraître égoïste, mais je ne peux pas me permettre de te perdre et si ça devait arriver… je ne sais pas ce que je deviendrais, continue-t-il avec les larmes aux yeux. J’ai besoin de toi auprès de moi. Je t’aime tellement.
En voyant une larme couler sur sa joue, tu le prends dans tes bras et caresses son dos. Il cache son visage dans le creux de ta nuque et inspire ton odeur. Une partie de Bucky se sent mal d’être celui qui reçoit le réconfort alors que tu es celle qui a été blessée, mais il en a besoin. Te perdre est sa plus grande peur et depuis que John t’a tiré dessus, il a pris conscience que se peur pouvait se réaliser en une seconde. Tu continues à le serrer contre toi, lui prouvant que ça ne te dérange pas de le réconforter, car tu le comprends. 
-Je t’aime aussi, Bucky, murmures-tu dans son oreille. Tellement. 
Vous restez enlacés pendant quelques minutes jusqu’à ce que votre anxiété s’évanouisse. Quand vous vous séparez, une de tes mains se pose sur la joue de Bucky alors que la deuxième caresse le bracelet avec les perles “pour toujours” avant de prendre sa main gauche. 
-Je ne peux pas te promettre que je serai toujours en sécurité à cause de notre métier, mais je peux te promettre une chose : je ferai toujours tout ce que je peux pour rester à tes côtés et je veux que tu me promettes la même chose car j’ai besoin de toi autant que tu as besoin de moi. 
-Promis.
Comme pour sceller votre promesse, vous vous embrassez délicatement avec le soleil se couchant comme témoin. Bucky ne pose pas ses mains sur tes hanches, craignant de te faire mal involontairement donc ses mains trouvent leur chemin sur tes joues alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux.
Marvel Mastelist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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sushis4kalyo · 1 year
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Sauvez le tourisme en France : proposez des vacances culturelles ! 😁
J'vois plein de gens qui s'inquiètent du tourisme en France avec tout ce qui se passe ... alors qu'en vrai, si on regarde bien, on peut vraiment adapter nos offres touristiques à l'actualité !
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J'ai tilté ça en voyant de plus en plus de photos de gens, probablement des touristes, se faisant prendre en photo devant les poubelles et feux à Paris. Du coup, je me suis décarcassée pour qu'on puisse rester une bonne destination des tours opérateurs, voici quelques pistes :
Faire vivre la révolution française 2.0 aux touristes : Certains manifestent déjà devant les ambassades françaises, on peut convier les touristes qui sont déjà sur place à ce moment culturel 100% français ! On peut leur fournir une fourche sponsorisée par FO, une casquette à strass CGT et un photographe les prend en photo ! Imaginez comment ils seront fiers de raconter à leur famille comment ils ont accompagné les français dans leur lutte ! C'est pas donné à tout le monde de participer à un moment historique !
Prévoir des goodies ! Beaucoup de goodies ! Les casquettes CGT à strass auraient certainement du succès ! Ainsi que les boules de pétanque gravées "réforme des retraites 2023". Des sweats à capuche "qu'ils viennent me chercher" ou le badge "J'y étais" avec un gros 49.3 en flammes... même que les fonds pourraient être versés aux caisses de grève.
Des repas 100% traditionnels et conviviaux devant le journal de 13h. Le café en terrasse ... devant un bon feu de poubelle réconfortant. Possible partenariat avec Trogneux !
Faire un musée national de la Grève où les touristes peuvent découvrir comment on a obtenu ce droit, la création des syndicats etc.
Faire le parc à thème "Macronieland" où tu peux lâcher un pognon de dingue dans le 49.3 infernal (un rollercoaster où quand t'en veux plus, bah t'en as encore !), Tu peux aussi faire un tour dans le train BRAV-M (c'est comme le train fantôme sauf qu'au lieu des monstres, t'as des mecs qui te menacent avec des matraques en mousse et des fumigènes. Non, pas des vrais lacrymos, on est pas des monstres !). Les enfants pourront jouer à la pêche aux milliards (Comme la pêche aux canards, mais avec des petits bonhommes avec des logos McKinsey et BlackRock gravés) ... et niveau staff, on pourra même récupérer en CDD les anciens élus Renaissance quand ils traverseront la rue pour trouver du boulot.
Non franchement ... pourquoi on s'inquiète ?
Je déconne hein ... mais imaginez quand même !
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