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#max morise
the-cricket-chirps · 7 months
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Yves Tanguy, Joan Miró, Max Morise, Man Ray
Cadavre Exquis (Exquisite corpse) Nude
1926-27
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oldsardens · 6 months
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Yves Tanguy, Man Ray, Max Morise, Andre Breton - Cadavre exquis
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crazy-so-na-sega · 2 months
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Man Ray, Yves Tanguy, Joan Mirò, Max Morise
Ogni uomo oggi nasce morto. Per diventare vivo deve riconoscersi in obiettivi e scopi che lo trascendono e imporsi una disciplina per realizzarli.
-@IlFlautoCinese
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pagansphinx · 4 months
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Max Ernst (German) • Au Rendez-vous des amis ( Friends' Reunion) • 1922 • Museum Ludwig, Cologne, Germany
Seated from left to right: Rene Crevel, Max Ernst, Dostoyevsky, Theodore Fraenkel, Jean Paulhan, Benjamin Peret, Johannes T. Baargeld, Robert Desnos. Standing: Philippe Soupault, Jean Arp, Max Morise, Raphael, Paul Eluard, Louis Aragon, Andre Breton, Giorgio de Chirico, Gala Eluard
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marciamattos · 6 months
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Photo de Georges Malkine de Man Ray.
Georges Alexandre Malkine est un peintre et un acteur français, né le 10 octobre 1898 à Paris 5e, ville où il est mort le 22 mars 1970 (dans le 4e arrondissement).
Lié au premier groupe surréaliste, ami de Robert Desnos, d'André Masson, de Max Morise, Georges Malkine est le seul peintre à figurer sur la liste du Manifeste du surréalisme de 1924. Pour la revue La Révolution surréaliste, il dessine l'emblème qui figure sur le papier à lettres de la R.S.. En 1927, il expose, avec succès, à la galerie Surréaliste. Mais cette reconnaissance le déconcerte. Il quitte alors la France, part pour l'Océanie, en compagnie de son ami le peintre et photographe Émile Savitry et d'une Canadienne: Yvette Ledoux que celui-ci vient de rencontrer. La belle finit par jeter son dévolu sur Malkine et Savitry poursuit seul son voyage. Malkine revient à Paris en 1930. Il donne trois illustrations à Desnos pour son poème The Night of Loveless Nights.
Il cesse toute expression plastique en 1933. Il ne reprend la peinture qu'en 1946, d'abord à Paris puis aux États-Unis où il reste pendant 20 ans. Revenu à Paris, il expose de nouveau, en 1966, une semaine après la mort d'André Breton. L'exposition est conçue en tant qu'hommage à Malkine et réunit Louis Aragon, Jacques Baron, Simone Collinet, Max Ernst, André Masson et Jacques Prévert. Aragon : « [Malkine] inventa cette sorte de baiser florentin : l'abstraction sans le dire. »
Malkine fut également acteur de théâtre dans la troupe de Michel de Ré, acteur de cinéma, violoniste, photographe, correcteur d'imprimerie, monteur de manèges, plongeur à bord d'un navire... Il a écrit quelques textes surréalistes pour la R.S. et un roman paru en 1977.
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parure-d-insomnie · 1 year
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‘‘Séance de rêve éveillé’‘ (1924)___________photo Man Ray.
Avec Max Morise, Roger Vitrac, Jacques Boiffard, André Breton, Paul Eluard, Pierre Naville, Giorgio de Chirico, Philippe Soupault, Simone Collinet-Breton, Robert Desnos, Jacques Baron.
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Série de "Cadavre Exquis" (extrait) d'Yves Tanguy, Marcel Duhamel, Max Morise et André Breton (circa 1928) à l'exposition "Amitiés, Créativité Collective" au Mucem (Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée) à Marseille, novembre 2022.
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already-14 · 2 years
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(via Qu'est-ce qu'un rêve surréaliste ?)
Les surréalistes, amateurs d'expérimentations jouant avec les limites du savoir et du sentir, ont tout de suite vu dans le sommeil hypnotique un moyen de délivrer le processus de création de toute tentative de contrôle par la raison. C'est ainsi que dans le salon d'André Breton, fédérateur de plusieurs artistes rattachés au mouvement surréalistes tels que Man Ray, Max Morise ou Robert Desnos, se mettent en place des séances de rêves éveillés, supposées stimuler l'imaginaire en renouant avec les désirs et souvenirs inconscients. Ce fut plus précisément René Crevel qui introduisit le groupe à ces expériences hypnotiques, en déclamant avec emphase un récit extravagant à base de grenouilles et de femmes qui noient leurs maris. André Breton croit déceler dans ce chant à la fois terrifiant et fascinant le "spectre sensible" de Crevel. Parmi tous ces artistes transformés par ces réunions hypnotiques "en une sorte d’agents mystérieux ou d’ambassadeurs royaux d’un domaine attirant et étrange", selon les mots de Simone Breton, c'est Robert Desnos qui en fut le représentant privilégié. Est-ce que cela nous révèle l'aspect obscur de ce désir propre aux surréalistes de s'approcher de l'inconscient, de ses désirs enfouis et de sa violence bridée ? Ils n'avaient en effet pas de distance avec ces essais et s'y jeter corps et âme. Est-ce que le rêve était une nouvelle forme de pensée ? Avait-il une visée artistique et littéraire ou s'agissait-il simplement de tester ses limites?
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mybeingthere · 2 years
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Man Ray, Séance de réve éveillé (1924) “Waking Dream” Seated - Simone Breton.From left to right- Max Morise, Roger Vitrac, Jacques-André Boiffard, André Breton, Paul Éluard, Pierre Naville, Giorgio de Chirico, Philippe Soupault, Jacques Baron, Robert Desnos.
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instintodejuego · 11 days
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Exquisite corpse. Max Morise, Man Ray, Yves Tanguy, Joan Miró. 1927.
Jugando como los surrealistas - Cadáver Exquisito
El cadáver exquisito consiste en que los jugadores se turnan para escribir una palabra o frase en una hoja de papel y luego doblar el papel para que solo la última palabra o frase sea visible para el siguiente jugador. El resultado final es un poema o una frase con conexiones sorprendentes e inesperadas entre palabras y frases. El nombre se deriva de una frase que surgió cuando los surrealistas lo jugaron por primera vez, "Le cadavre exquis boira le vin nouveau". (“El cadáver exquisito beberá el vino nuevo”).
En las artes visuales, el Cadáver Exquisito se puede adaptar a un juego de dibujo. En esta versión, los jugadores se turnan para dibujar cualquier cosa, doblar el papel para ocultar su dibujo dejando solo unas pequeñas líneas de guía y pasárselo al siguiente jugador. El resultado final es una imagen colaborativa y a menudo surrealista como la mostrada.
Tanto la versión literaria como la visual del juego pueden usarse como inspiración o punto de partida para proyectos artísticos.
Paso 1
Arme un grupo de al menos tres personas. No necesitan ser personas que sepan dibujar.
Paso 2
Reparta una hoja de papel a cada jugador y cada uno comienza a dibujar libremente en una sección de la hoja.
Paso 3
Se recomienda establecer un tiempo no muy prolongado para dedicarle a cada sección. Por ejemplo, mínimo 20 segundos y máximo 1 minuto, todos deben cumplir el mismo tiempo.
Paso 4
Una vez las personas acaban de dibujar su sección del papel, la doblan de manera que solo se vean unas pocas líneas para que la siguiente persona pueda continuar el dibujo.
Paso 5
Se repite el mismo proceso. La actividad acaba cuando todos han dibujado algo en cada hoja y el dibujo se complete.
Paso 6
Discutir los resultados e ideas con el grupo
Paso 7
Cada persona puede dejarse una copia de los dibujos realizados y tomarlos de inspiración para crear algo nuevo.
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sentimentallyeducated · 7 months
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Article du blog 5 - La mort d'Emma!
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Une pièce sans titre de "Cadavre Exquis" par Max Morise, Man Ray, Yves Tanguy, Joan Miró (1927).
Au moment où Emma a consommé l'arsenic, j'ai su que la scène suivante allait être malheureuse. Mais j’ai été surpris par la façon dont sa mort s’est déroulée.
Maintenant, ne me critique pas, mais je pense qu'il y avait une intimité frappante entre Emma et Charles lorsque le poison l'a initialement affectée. Quand elle est presque essoufflé de douleur, Charles « la regardait avec des yeux d'une tendresse comme elle n'en avait jamais vu » (409). D'abord, j'ai lu cette phrase littéralement. Mais, en considérant l'employment de Flaubert de discours indirect libre, j'ai songé si Emma faisait ce qu'Emma fait le mieux -- sa souffrance, même au pire. Une telle indulgence ne dure plus longtemps. Le douleur devient trop fort et la engloutit.
La scène de sa mort continue pour presque onze pages plus (!), mais je pense que le moments final de la dialogue intérieure d'Emma arrête avec cette passage à la page 411: « Elle en avait fini, songeait-elle, avec toutes les trahisons, les bassesses et les innombrables convoitises qui la torturaient. Elle ne haïssait personne, maintenant; une confusion de crépuscule s'abattait en sa pensée, et de tous les bruits de la terre Emma n'entendait plus que l'intermittente lamentation de ce pauvre cœur, douce et indistincte, comme le dernier écho d'une symphonie qui s'éloigne. » Il y a aussi une indulgence dans cette description, mais j'y trouve un sentiment nouveau pour Emma: une démission paisible. Pas de regret, d’apitoiement sur soi ou de frustration. Et, pour cette raison, il semble que ce soit le moment où la voix narrative d'Emma se résigne à son corps, qui bientôt « n'existait plus » (420).
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the-cricket-chirps · 4 months
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Man Ray, Andre Breton, Yves Tanguy, Max Morise
Exquisite Corpse
1928
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oldsardens · 8 months
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Yves Tanguy, Man Ray, Max Morise & Joan Miro - Cadavre Exquis
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viewingparty4one · 7 months
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Exquisite Corpse, 1928, Man Ray (Emmanuel Radnitzky) (American, 1890-1976), Joan Miró (Spanish, 1893-1983), Yves Tanguy (American, born France, 1900-1955), Max Morise (French, 1900-1973), Pen and black ink, and graphite with smudging, with colored pencils and colored crayons on tan wove paper, 36.2 × 23.1 cm (14 5/16 × 9 1/8 in.)
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To Salvador Dalí Paris, 24 June 1929 Dear Salvador, I sent you a selection of photographs a few days ago, some pretty good ones, considering they are just stills from a particularly interesting bit of film. I’m very keen to know if you liked them. The film is doing well. Thanks to the machinations of the director of Studio 28, Mauclaire, the censors are not going to veto it and Mauclaire wants to hold on to it for a two-month screening in the Autumn saison. It will be shown at a luxury beach resort for three days this summer. The Count of Noailles has hired it for a screening at his palace on 2 July and he’s opening up his salon on the 3rd for me to invite anyone I like. Picasso wants to come. I’ve met all the surrealists and they are delightful especially Queneau, Prévert, Max Morise, Naville, they are all ‘stupendous’, and just the way we imagined them. On Saturday they borrowed the film to finish off a series Artaud and Roger Vitrac were organizing at Studio 28. The theatre was full. The (very mixed) audience reaction was marvellous. There was applause and whistling at the end. But they all howled and laughed in the right places. Afterwards they screened poor old Deslaw’s film, which was booed. You could hear people making fun of him, saying ‘this is so vanguard!’ It left me firmly convinced people can’t stand upside-down houses and car wheels passing by. I’ve been asked for some photographs, Variétés, Cahiers d’Art, Cahiers de Belgique, Bifur, Du cinéma, etc., etc., etc. I’ve reminded everyone I’ve been able to speak to about your central role in the conception of the film. As you know, the only people discussed in relation to films (so far at least) are the director or the actors. Auriol, Desnos, Brunius, etc., will mention both our names, so we’ll be presented as a team. The article by Montes is not bad: it’s a shame he mentioned the vile jota and the filthy Ebro. Every day I meet more people who want to be introduced to us. I shall buy and send on the jacket for your sister in the next two or three days, when I have the money. I’ll write to you on the day I send it so please let me know the best address. That son of a bitch Federico has not turned up. But his pederastic news has reached me. That wily fox, Concha Méndez, wrote to Vensssensss saying: ‘Federico was in London and he’s told me all about Buñuel and Dalí’s great failure. What a shame, poor boys.’ As you can see, the world is so full of whores they’ll be taking over soon. Alberti m’a fait chier and it’s time to do something about it. I’ll wait until we’re together to put together a plan of attack. I can’t wait to see you again under more favourable circumstances. I’ll be with you by mid-August. Plans: all of them, in particular BOOK, magazine and film. I’m sending some articles from Pour Vous, Intran and Ami du Peuple. The most important ones haven’t come out yet. Much love, Buñuel PS Hinojosa is writing the vilest little poems and is in charge at Litoral. The other day Zervos asked me: ‘Who do you know in Spain who could write a good article on Dalí?’ (that’s significant and is at least partly related to your growing reputation in Paris, intensified by the film). I asked Goemans, who agrees it should be done, he says Éric de Haulleville will write it. I’ll tell Zervos today. If you don’t like the idea, let me know. But I do think everyone has the right to their opinion and that one should stay very much on the side-lines. It would be very different if the piece were signed by you. The other day someone said to me: ‘If Breton knew you were giving your film to Vitrac and Artaud, he would be furious’. Of course, I feel personally closer to Breton (who is now surrounded by foul little surrealists like Thirion, Megret and friends), but the film will be shown wherever they pay for it. So, I’m giving it to Noailles, because he’s offering 1,000 francs. That said, I haven’t accepted his invitation to dine at the reception. Magritte liked some things in it a lot and was annoyed by others. The film does mock his painting a bit of course.
Jo Evans & Breixo Viejo, Luis Buñuel: A Life in Letters
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deepartnature · 2 years
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Idle Hands: Surrealism versus the work ethic
“... This sensational conflict is recounted by art historian Abigail Susik in her recent book Surrealist Sabotage and the War on Work. Taking the amorphous if persistent ‘anti-work position’ of Surrealist artists in interwar Europe and postwar United States as its purview, Susik’s account considers symbolic, rhetorical, and ‘parapolitical’ manifestations of sabotage in the writing and automatist practices of the Parisian Surrealists, the paintings and sculpture of Canary Islander and late-coming Bretonian Óscar Domínguez, and, across the Atlantic, the protest performances and exhibitions of the Chicago Surrealists in the 1960s. The book interprets these artistic interventions alongside contemporaneous political movements and material cultures, with particular attention paid to a shifting gendered division of labor. ...”
ARTFORUM
Man Ray, Séance de réve éveillé (Walking Dream Séance), 1924, Left to right: Max Morise, Roger Vitrac, Simone Breton, Jacques-André Boiffard, André Breton, Paul Éluard, Pierre Naville, Robert Desnos, Giorgio de Chirico, Philippe Soupault, Jacques Baron.
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