Habitas en mi subconsciente tanto como en mi conciencia y basto el verte pocas ocasiones para crear un mundo de fantasía donde tu eres el centro, mil y un formas en las que te he imaginado , en las que te he invitado a salir, en las que te he cortejado, bastaron solo unas ocasiones para llevarte desde entonces dentro de mis sueños, para no querer alejarme de ti apesar de la distancia existente, bastó solo verte sonreír algunas ocasiones para saber que quiero seas tu y que mis decisiones y acciones me llevarán a ti. Basta com cerrar mis ojos para ver los tuyos, tu pelo, tus labios, tu aroma y tu piel.
The early stages of power sharing during Guilford Transportation Industries attempt at ruling the northeast's rail systems is evident here as this Delaware & Hudson freight departs East Binghamton, NY crossing the Susquehanna River for points north with Maine Central power head up.
November 1984
I STILL EXIST!!!! Albiet just barely…
Yes, I am still here. I know many have been keen on the next Demon of Namek page, as well as other upcoming projects. I am sorry that neither have been posted yet. There have been many, MANY reasons as to why. But I dare not bore you with all of those (yet). Please know that production on all projects, is slowly returning to levels of 'normal.'
For now, I'd like to tell you that an animation production I have been involved with, Twende, has recently released a trailer. Please enjoy!
If you have access to Showmax, I urge you to check out this series when it airs from December 4th. Don't worry, when it starts airing I will most certainly remind you to watch it. Repeatedly.
Add another to tally Maybe I got time for one or two more minis before the year's end #battletech #mec #miniaturepainting https://www.instagram.com/p/CmxexmWvbee/?igshid=NGJjMDIxMWI=
Downeaster passes Guilford freight at Newfields, NH
On a sultry July day in 2008, the rear unit of Downeaster train 693 to Portland passes the head end of a westbound Guilford freight at the Newfields, NH siding south of Rockingham Jct.
Salut les filles, c’est Herma. Je voulais vous partager mon kif ! (Sur mon Insta’ privé bien sûr, pas sur mon Insta’ bikini. LOL !) Alors voilà : c’est le grand bonheur ! Le papa est fou de joie, il est aux petits soins pour moi et bosse dur pour faire terminer aux ouvriers la chambre du bébé. Vous savez, il y a deux ans, je flippais ! Quand on s’est retrouvées confinées, c’était l’horreur. Plus un dragueur dans la rue, plus un garçon pour venir déplacer un meuble... ou me changer un joint de robinet... ou me poser un interrupteur… ou m’écouter. Même plus de livreurs de buddha bowl ! La lose totale. Tous les jours je faisais défiler Tinder, OkCupid, AdopteUnMec, tout ça… Que dalle ! Toujours les mêmes mecs déjà vus et revus (dont un paquet que j’avais déjà testés au pieu). Ah, c’était nul ! Je déprimais. Trente ans et enfermée comme dans un couvent. J’ai même fait une tentative de suicide. Avec du Nutella. Mais j’ai tout vomi quand les pompiers sont arrivés. Ils étaient vieux et moches, parce que j’étais chez mes parents en province. C’est pas Paris, quoi. Même les pompiers sont nazes, là-bas. Je ne vous raconte pas les bars-à-mecs : c’est le bassin aux hippopotames ! Si je n’avais pas pris mon dildo préféré, je serais morte.
Bref, au déconfinement j’ai pris les choses en main et je suis sortie tous les soirs. Et puis juste après, ils ont mis le couvre-feu ! Heureusement, j’ai rencontré Julien au Monop’, au rayon des apéritifs. Il faisait une soirée chez lui, je me suis faite invitée. Un grand loft dans le 10e, exactement mon style ! Il est chef d’entreprise, il a fondé une start-up d’informatique. Son père était PDG d’une grosse boite, mais maintenant il passe la plus grande partie de l’année à faire du bateau en Méditerranée (il est super sympa). Julien m’a tout de suite plu : grand, musclé, ingénieur, un peu voyou… J’ai su que c’était lui et qu’il était trop tard pour rentrer.
Malheureusement, j’ai dû bloquer les hateuses. Ça m’a rendu triste, je pensais que c’était des vraies copines. C’est vrai qu’on s’était toutes jurées de ne pas faire d’enfant, et surtout pas avec un homme. Et bien, je m’en fiche, j’ai eu envie, voilà… Et puis le mariage c’était pour me faire plaisir aussi. C’est comme le voile, c’est pas un symbole patriarcal si on en a vraiment envie ! J’ai surkiffé la robe ! Et puis, comme ça, Julien a pu mettre la moitié du loft à mon nom. Vous voyez bien : c’est une vraie relation égalitaire. Jalouses.
A kilómetros de distancia, pero tu tan presente en mi mente como sí diario estuvieras aquí o yo allá, a ya varios años sin verte pero aún recordando tu cabellera y su aroma, más aún años sin hablar en persona, pero aún recordando tus gestos, tu aura, tu sonrisa, tus muecas al hablar de tu día, imaginando que vas conmigo cuando manejo disfrutando las ciudades y los paisajes, aún imagino que te sientas en la misma mesa que yo probando lo que cocino, comiendo lo que yo pido en los restaurantes por que se te hace más rico, aún espero despertar y tener la fortuna de verte y aún dormido sueño con miles de citas, miles de situaciones romanticas, graciosas y emocionantes que aún no pasan, que no te platico pues aunque soy esceptico la idea de que eso sera real me hacen callarlo y me generan nostalgia como si el deseo no solo fuera eso, como si supiera que pasara y el universo siempre lo ha sabido.
Junior G Boat by Citizen of the Galaxy
Via Flickr:
Sure they looked better in Harvest Yellow, but I'll take a U18B any color they come in. Maine Central No. 406 wears the Big G at East Deerfield, MA on 13 July 1984.