Tumgik
#mes oignons
fried-oignon · 9 months
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Some doodles since I got them both started in Corporate Clash, featuring that Grimace shake thing; starting my main from scratch hits different
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deescontinuity · 1 year
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Treating myself a cocktail bc i cooked a lot and i deserve something nice
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sleepingbeautylover · 2 months
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ok tonight is a crimson rivers night again ! one of the last i think bc im at chapter 64 !
im going to wash the dishes so that i can make pasta, i’ve already rolled, i have even put my clothes in the washer (i hope the neighbors wont mind) and it’s been days ive avoided it so its a good night ?
on friday night my besties are coming at mine for a sleepover party so it makes me happy but i rly have to clean the place and il trying to do it step by step.
the plan is to cook something, idk if i have the motivation to chop oignons for the tomato sauce but it would be nice and then when my meal is ready i sit somewhere confortable, put a tv show on (once upon a time i think) or maybe a youtube video idk and read cr !
ive been putting of finishing it, i dont want to say goodbye to them, i love this fic so so much and idk its been hard these last few days and cr made me feel comfort (yeah crazy aha)
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mailamoon · 4 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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ceilingfan5 · 1 year
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@taznovembercelebration soup/dessert
“You’ve made five kinds of soup.” Kravitz is stunned, honestly, partially because he was expecting Taako to be asleep when he got home, not attempting to vibrate through the kitchen ceiling in their little apartment. 
“Yep,” Taako says, proud and also watching him intently for a reaction. Kravitz isn’t exactly sure what that’s going to be. 
“Why do you have five crockpots?”
“Well,” Taako laughs, exasperated. “Why do you think?”
“For multiple, yeah, I, I walked into that, one, um,” Kravitz stares at the pot luck on his kitchen counter. “Can you- why did you make five kinds of soup, though?”
“Well,” Taako repeats, putting more emphasis on it this time. He keeps fidgeting with his hands–picking off his black nail polish, fixing his buttons, tapping the counter. “The wonders of modern convenience, are a, uh, a miracle, of the- what century is it now?”
“Twenty-first,” Kravitz says, incredibly fond. 
“And it turns out if you just pay a hideous fee, you can have any kinds of products and sundries delivered to your door, although I wasn’t terribly impressed by the onions they gave me–N'ont-ils jamais vu un bon oignon? Embarrassing. But anyway I bought a few things to try out because I got excited and I didn’t need to work today because I finished my project yesterday, and we just made that deal, and I know the cooking for you wasn’t part of it per se, but- but if I’m going to drink your blood I want you to be eating well, and-”
“Taako,” Kravitz says, rather slowly. “You don’t have to feed me.”
“No, I don’t, obviously, that would be-” he laughs again, “Ridiculous, I just- I got excited. And I haven’t cooked in so long. And the problem with soup. Is the waiting.”
“So you made five soups.”
“Are you going to eat the soups or not?” Taako screws up his face in embarrassed distress. “Should I just throw them away? It’s too much. Obviously it’s too much, I shouldn’t- It’s not like we’re, I just-” Kravitz is struck with the realization that if Taako could, he’d be blushing, and it’s a wild glimpse into his humanity. So to speak. He’s filled with affection that is beyond roommaterly, and he shoves it down and tries not to choke on it. They can’t be having a blood money arrangement and also kissing. It simply wouldn’t be right. 
Right?
“I’m going to eat the soups,” he says, smiling, putting Taako out of his misery. And putting a hand on Taako’s. You know, like roommates do. “What should I try first?” 
“Well,” Taako perks up like a dandelion in a coffee mug full of adderall. “If you’re a traditionalist, you’ll be entranced by my chicken noodle, this recipe is centuries old, and it’s perfect. Even if the onion is lacking. But if you’re feeling funky, maybe the cheesy broccoli is your jive. And then we’ve got…”
Kravitz absolutely hears the other words. They go in his ears and his ear drums wiggle and the sound goes right into his brain…and right back out again, because he’s in love with his vampire roommate, and he could listen to him talk about cooking all day. He truly can’t believe himself. 
“What about dessert?” he hears himself asking, and Taako smiles so big, Kravitz should win a trophy for the restraint it takes not to kiss him. 
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homomenhommes · 14 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 144
Comme promis lors de notre première rencontre avec Alex et Johan (SD 130), notre nouvelle rencontre s'est déroulée chez eux. Comme le temps commence à rafraichir sérieusement et que le climat est incertain, nous y allons avec mon SLS. 5h de route à vitesse autorisée, nous n'en mettrons que 4 car j'ai été très raisonnable dans mes excès de vitesse ! Le GPS nous amène jusque devant le portail d'une grande propriété en bordure de ville. Sonnette, vidéo, le portail glisse et je monte, entre les arbres, une allée en S cachant la maison de la rue.
Grosse maison bourgeoise XIXème avec perron à escalier double qui met le niveau de réception à un demi-étage au dessus du sol. Pas de gens de service, c'est Johan qui descend nous accueillir et prendre nos bagages (petits). Bisous, c'est effarant comme nous nous ressemblons. D'ailleurs Marc lui a déjà mis la main au cul ! Alex nous attend et nous offre de nous rafraichir, passage aux toilettes du niveau. Comme il est l'heure, nous attaquons avec un apéritif. Puis un déjeuner ou je fais attention de ne pas trop manger en prévision du reste de la journée.
Après le café, Alex nous fait les honneurs de leur maison. La cuisine et une bibliothèque / salle de billard manquaient à notre connaissance de l'étage. Au dessus un premier niveau de chambre, seulement 4 mais immenses équipées de lits King size, avec chacune une salle de bain digne du meilleur palace. Au dessus l'étage des commodités, lingerie, et trois chambres plus petites (pour le service quand il y en avait) et une salle d'eau commune, WC. Alex avait gardé pour la fin le meilleur, le sous sol. A demi enterré, d'étroites fenêtres horizontales au ras des plafonds éclairent les pièces. Le quart de la surface de la maison est occupé par une cave et la chaufferie.
Le reste vient d'être équipée à neuf. Nous reconnaissons l'influence de notre salle de sport et de notre donjon dans son aménagement. Nous pénétrons d'abord dans une salle de sport un peu plus petite que la notre mais bien équipé avec au fond les sanitaires, WC séparés mais lavabos et douches communes. Un passage derrière la dernière des douches donne accès à leur donjon. Sous un éclairage plus chiche, nous voyons que bien que plus petit aussi, il doit être capable de recevoir au moins une bonne demi douzaine de mecs.
Excité Marc chope l'un de nous deux par le cou et c'est en lui roulant une pelle qu'il devine qui c'est, et ce n'est pas moi ! Alex me pousse contre un sling, ses mains pétrissant mes fesses. Je le laisse faire un peu. Je déboutonne rapidement mon jeans et il le pousse vers le bas, dégageant le shorty avec et dévoilant mon fessier. Les chaussures volent, le polo aussi et je me retrouve nu installé sur l'appareillage de suspension. Je jette un coup d'oeil vers mon mec. Il s'occupe de remplir de ses 22cm la bouche de mon sosie (et sa gorge par la même occasion). Je n'ai pas le temps d'en voir plus, ma vue est soudain bouchée par l'apparition des 23 x 6 d'Alex qui réclament un abri. ;J'ouvre grand la bouche et le gland d'Alex y progresse sans s'arrêter jusqu'aux couilles. Je maitrise ma respiration et l'envie que j'ai de vomir. Bien que j'ai fait attention au déjeuner, j'ai trop mangé !
Quelques détails triviaux (exécutés dans les toilettes) plus tard, je reprends le taf et supporte sans broncher le ramonage de ma gorge. Absorbé par ma pipe, c'est dans le lointain que j'entends Johan gémir sous les mains et la bite de Marc. ;La bite que je suçais quitte ma bouche et c'est maintenant une langue que je sens sur mon anus. Alex prend le temps de bien me détendre la rondelle. C'est un pro de l'anilingus. Marc c'est pas trop son truc, un peu mais c'est surtout avec ses doigts qu'il me prépare la rondelle. Je ferme les yeux et concentre toute mon attention sur mon oignon. C'est divin. Il fait tourner sa langue ni trop ni pas assez vite, la pointe dans mon trou et y fait entrer de la salive... Je suis tout à l'attente de sensations à venir qu'il va provoquer en moi que je suis surpris de sentir Johan se coucher sur moi en 69.
J'ouvre les yeux sur son sexe et louche sur ses couilles rasée. Il me suce, je ne peux que lui rendre la politesse. Je vois bientôt la queue de Marc, couverte de latex, approcher l'anus de mon alter égo. Je place une main sur chaque fesse et écarte ces dernières pour faciliter le travail. Je sens aussitôt la même chose m'arriver et le gland d'Alex se poser sur ma rondelle. Nos deux hommes se mettent d'accord et en même temps s'enfoncent dans le mec de l'autre. La poussée étant bien égale, le sling ne bouge pas et le coup de rein de Marc en phase terminale pousse le gland de Johan dans ma gorge. Je sens pareillement mon gland dépasser la glotte de Johan dans le même temps ou je sens les couilles d'Alex me caresser le sacrum. Nos deux hommes nous regardent ainsi emmanchés quelques instants avant de se mettre à nous limer.
Une bouche sur son sexe avec un sexe dans sa bouche et un autre dans le cul, difficile de faire mieux question bouchage de trous ! Sous mes yeux, je vois la rondelle de Johan s'ouvrir sous la poussée de Marc et se refermé quand il en sort. J'ai l'impression de pouvoir voir la mienne se faire déplisser par la queue d'Alex tant leur synchronisme est bon.
Johan et moi nous savourons nos positions de passifs pas inactifs pour autant. Je tète sa bite comme si ma vie en dépendait et je le sens qui m'aspire avec autant d'ardeur. Les coups de boutoirs qui défoncent nos cul commencent tout doucement à se désynchroniser et nous finissons secoués, le sling balançant entre nos deux mâles. Je sens ma rondelle s'ouvrir encore un peu plus avant qu'Alex ne me fixe contre ses cuisses et décharge au fond de mon cul (dans sa kpote). C'est à peu près ce qu'a du ressentir Johan au même moment. Nous avons juste le temps de recracher nos bites avant de juter entre nous, barbouillant de sperme nos pecs et abdos.
Deux " plops " plus tard, nous étions libérés de nos " broches ". Johan est resté sur moi le temps de récupérer un peu et je n'ai pas eu la force de le virer. Ce n'est que quand Alex a gueulé que les douches étaient libres que nous nous sommes décollés (le sperme ayant séché entre temps) puis relevés. Quand nous sommes arrivés aux sanitaires séparant le donjon d'avec la salle de gym, Alex et Marc en sortaient en peignoirs. Alex nous dit de les rejoindre au salon quand nous serons prêts.
Avec Johan, nous avons pris tout notre temps sous les douches. Chacun savonnant, massant l'autre, nous avons fini dans les bras l'un de l'autre à nous rouler un patin magistral, trop bon cette impression de " masturbation ;continuelle ". Je pense que c'est un peu ce que doivent ressentir les jumeaux Tic et Tac, faudra qu'on en discute. Comme le mélange de salive avait ravivé notre libido, ma bite est venue très naturellement boucher le cul de Johan, pour son plus grand plaisir. sous les douches, je l'ai enculé debout, lui ses mains sur le mur carrelé amortissaient mes assauts, alors que les miennes sur ses hanches dirigeaient l'action.
Je l'ai fait jouir sur le carrelage blanc puis je me retirais pour juter sur son dos.
Nouvelle douche, un séchage qui a duré presque autant de temps que notre passage sous l'eau et nous sommes remontés rejoindre nos mâles. Ils étaient en train de discuter d'Ammed et Samir nos deux hommes de services. Alex demandait à Marc où nous les avions trouvés, combien ils nous coutaient et autres détails. Johan peu intéressé par le sujet me demanda si je pouvais l'emmener tester le SLS. ;Dans le même état d'esprit, je prévenais Marc et Alex que nous partions faire un tour en voiture. Marc me recommanda d'être raisonnable (difficile avec un tel monstre) et Alex nous dit d'être sérieux, ses contacts à la police n'étant pas de permanence ce WE.
Le bip du portail dans la poche, nous les avons laissé. Sous la direction de Johan qui connaît bien le coin, nous sommes arrivés à l'autoroute. Début de WE, je préfère prendre le sens province pour faire le repérage de radar et revenir sur la direction de Paris moins susceptible d'abriter les bleus.
Bien m'en a pris, sur 50Km nous repérons deux radars dans ce sens mais rien en face. Sortie puis retour. Peu de véhicules, dès la sortie de la bretelle, j'enfonce l'accélérateur au plancher. Les vitesses automatiques passent à une vitesse folle et nous sommes à 250 Km/h le dos collé au baquet.les voitures que nous doublons sembles aspirées vers nous. Johan est ravi. A peine 1/4 heure plus tard, nous passions devant notre sortie. Johan me dit de continuer jusqu'à la prochaine aire d'autoroute, ça y drague un peu. Au ralenti (135 Km/h), nous arrivons et je me gare devant le bloc sanitaire, dans l'enfilade de l'entrée homme.
Nous restons quelques instants à mater. Quelques mecs entrent et sortent des WC. Ceux qui en sont sortis flânent autour du bâtiment. Avec Johan nous décidons d'aller les narguer. Quand nous entrons, il reste deux places sur les 6 urinoirs nous nous plaçons cote à cote. Je pisse, il pisse et nous bandons. Quelques coups de poignet et les 4 autres matent vers nous. Nos queues égouttées, nous nous les échangeons. J'approche mon visage du sien et nous nous roulons un patin.
Silence de mort. Quand nous nous décollons, les 4 autres mecs bandent et se branlent. Je suis trop chaud pour qu'on en reste là. Un coup d'oeil à Johan, nous sommes d'accord. On se réajuste un minimum et sortons pour occuper les WC pour handicapés. Un mec essaye de nous suivre mais nous l'éconduisons, trop moche (ça, ça peut passer) et trop petitement monté (c'est rédhibitoire).
Comme un imbécile, j'ai laissé le matériel dans la caisse. Nous nous contentons de nous piper mutuellement. Je le fais juter en premier puis c'est son tour de m'amener à exploser avec sa bouche. j'ai failli me faire surprendre et lui juter dans sa gorge, tellement mon gland se plaisait derrière son larynx. Quand nous sortons, nous sommes matés par une bonne demi douzaine de mecs. J'attrape Johan par le cou et j'en rajoute une couche par un nouveau baiser accompagné d'une main au paquet. Quand nous nous écartons j'ajoute tout haut, " merci mon amour " et nous partons à la voiture.
Les regards nous ont suivis jusqu'à ce que nous sortions de l'aire de repos. Une fois sur l'autoroute, nous avons éclaté de rire. Johan super excité, c'était la première fois qu'il faisait ce genre de plan. Retour à la maison. Johan raconte à Alex notre " aventure ". ;Marc nous dit que nous n'avons pas été très courageux. Je lui dis que c'était pas l'objet et qu'en plus, la population était loin d'être à nos goûts.
JARDINIER
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ernestinee · 6 months
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Hier il y a eu 3 trucs bizarres dans ma matinée.
Je fais des courses et je cherchais un truc, je demande à une dame qui rangeait les rayons et elle ne savait pas, et finalement c'est 5 dames qui étaient en train de remettre des trucs en rayons qui ont cherché mon paquet d'oignons frits en se parlant (fort) d'un rayon à l'autre genre "Maryvonne c'est pas dans le tien les oignons frits ?? Ah attends peut-être.... Ah non peut-être Bernadette ? Bernadeeeeette c'est chez toi les oignons frits ?" (Je ne sais plus les prénoms ^^) j'étais 🤨 mais c'était sympa.
Puis après il y a une petite mamy qui m'a reconnue et moi non pas du tout mais au début je pensais que j'avais une mémoire de poisson rouge alors j'ai fait genre que je la reconnaissais le temps de me souvenir d'où je la connaissais et puis j'ai compris que je n'étais pas du tout la personne qu'elle pensait pcq elle me parlait de gens que je ne connaissais pas mais elle avait l'air tellement contente de me voir et elle était déjà tellement loin dans sa conversation que j'ai pas osé casser son truc du coup j'étais en mode "hmhm oui.... Oui oui..... Ah oui.... Ça va oui oui... Ah bon... Oh..."
Et puis je repars de cette ville bizarre et je suis derrière une voiture au feu rouge, et je vois que le truc qui pendouille à son rétroviseur c'est.... une souris morte ??? Peut-être juste un jouet pour chat mais ça avait l'air si vrai avec ses petites pattes là comme les souris congelées qu'on donne aux serpents et j'ai eu tellement de questions en tête avec ça.
Et sinon les travaux dans la maison sont terminés, je retrouve mon salon qui avait été transformé depuis une grosse semaine en chantier avec des plaques en bois par terre pour protéger le sol, des seaux d'argile, des briques, des outils, de la poussière etc. on a fait construire un poêle de masse, c'est un gros poêle maçonné dans la maison, avec des pierres réfractaires, un gros feu de bois d'1h et ça diffuse la chaleur sur 24h dans toute la maison. En plus on brûle ce qu'on veut, du sapin, des palettes, ça chauffe tellement fort qu'il ne reste plus rien, c'est juste une gestion différente de l'habitude. On est au bois depuis longtemps mais avec un poêle normal qu'il fallait recharger régulièrement. Et on a un four dedans, selon la t° du foyer on pourra faire cuire des pizzas ou faire mijoter des trucs. C'est notre projet slow qui évolue petit à petit c'est chouette.
Et sinon les oignons frits c'était pour mettre dans une soupe omg quelle tuerie : un demi butternut, 4 grosses carottes, un poivron rouge, 4 échalotes, 2 cubes de bouillon de légumes, une poignée d'origan frais et 4 grosses feuilles de sauge.
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losttranslator · 11 months
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Le bail du Graal dans Kaamelott me FASCINE you don't even know. C'est une forme de paganisme tellement méga poussée et pourtant les persos se considèrent christianisés. C'est trop intéressant pcq en plus, le syncrétisme bizarre présenté dans la série n'est même pas historique (mais alors PAS DU TOUT).
J'explique : le concept du Graal dans Kaamelott, c'est que cet objet est supposé être "la lumière pour tous les peuples," qui va apporter la vie éternelle et le salut aux hommes right? Càd les attributs de Jésus dans les évangiles; attributs qui lui sont exclusivement propres.
Ptit récap aux oignons pour ceux qui connaissent pas :
"En [Jésus] nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce." (Ephésiens 1:7)
"Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie." (Jean 8:12)
"Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes." (Jean 1:4)
"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous." (1 Timothée 2:5-6)
"Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier." (1 Jean 2:2)
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Jean 3:16)
"Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main." (Jean 10:27-28)
On voit bien que 1) tout ça, c'est exactement comment les persos parlent du Graal, donc comme si c'était Jésus lui-même, et 2) y a rien dans le texte biblique qui permette que ces caractéristiques de Jésus soient conférées à un objet. Mais c'est intéressant pcq le sacrifice de Jésus est souvent, par métonymie, appelé son sang (versé pour nous). D'où la déformation possible - si on venait à prendre 'sang' littéralement, d'un coup on aurait besoin d'être en présence physique du sang de Jésus pour être sauvé, plutôt que d'avoir foi en son sacrifice. Et du coup, puisque le sang ne peut pas exister par lui-même, il faudrait chercher l'object qui l'a contenu. Et du coup, l'objet devient l'objet de la quête.
(Sauf que cette coupe qui contient le sang de Jésus ? Spirituellement, c'est n'importe quelle coupe utilisée pour boire le vin de la sainte-cène, càd le pain et le vin partagés entre chrétiens en souvenir du sacrifice. Luc 22:19-20. Le rêve d'Arthur, où il s'imagine que Perceval paume le Graal dans les coupes de la taverne ? Bah c'est plus proche de la Bible finalement. Mais comme le Graal, c'est ramener sur le plan matériel des réalités qui le transcendent, ça devient le recipient de la première sainte-cène littéralement utilisé pour récolter le sang de Jésus.)
Et du coup cette quête c'est la chose la moins chrétienne qui soit pcq : - tu mets la grace universelle et sans limite du Dieu créateur dans un objet symbolique (définition de l'idolâtrie) - tu remplaces un salut surnaturel et transcendant qui réconcilie les humains avec le divin par un salut matériel basé sur l'adoration d'une chose terrestre (la foi spirituelle est replacée par la religion/les rites) - et tu prends un message clair et sans ambiguïté ('Jésus est mort et ressuscité pour le péché de ce monde, croyez et soyez sauvés') par une quête abstraite, apparemment impossible, 5 siècles après Jésus (donc personne n'a été sauvé entre temps, alors que sur la croix, Jésus a dit "tout est accompli").
Le Graal est flou, personne sait où il est, ce que c'est, s'il existe, même pas les dieux - ce qui est à l'opposé de Jésus, incarnation de la Parole (càd de la vérité/du sens/de la clarté). Rien dans le concept même du Graal ne colle avec la Bible. (Surtout pas l'interprétation d'Arthur, que Jésus est mort pour que tous soient coupables - pcq pour le coup oui, si la seule chose que sa mort donne à l'humanité c'est une Quête impossible pour le salut, Il a juste condamné tout le monde; sauf que c'est absolument pas ce qui est dit dans la Bible.)
D'où ça vient, alors ? Comment est-ce que cette croyance est apparue dans le monde de Kaamelott ?
Dans la vraie vie, l'apparition du Graal dans les légendes arthuriennes vient de fanfics de la mythologie celte mises à la sauce catho, mais ça s'est fait... au XIIème siècle !! (Plus exactement, le Graal lui-même est introduit au XIIème siècle, recyclé du concept irlandais du chaudron d'immortalité, et il n'est appelé une relique chrétienne qu'au XIIIème siècle.) Ce mélange est un énorme double retcon, en gros. Le Graal n'existait pas chez les celtes du 5ème siècle, ni en temps qu'objet de culte païen, ni en temps qu'objet païen adapté au christianisme.
Pareil avec le Saint-Suaire - la première fois qu'un texte quelconque en parle, c'est au XIVème siècle. (Fun fact : les clous, pas contre, y a des refs qui datent du 4ème siècle.)
Donc en gros, dans Kaamelott, les persos ont des croyances qui sont impossibles pour leur époque. Les anachronismes sont pas méga surprenants, vu par exemple la jeunesse d'Arthur dans une Rome des années 460 où le christianisme est à peu près aussi mainstream que le pastafarisme. Historiquement, Rome était officiellement 100% chrétienne depuis environ 140 ans. C'était plus Spartacus et Astérix.
Mais encore une fois, outre les anachronismes... le Graal vient d'où, dans Kaamelott ? Puisque dans la vraie vie, ce sont des chrétiens qui ont pompés des vieilles légendes celtes pour le créer, pas des celtes qui ont déformés leurs propres mythes quand leurs propres cultes existaient encore.
Pour moi, tout ce bazar justifie une interprétation clairement pas voulu par Astier - que 'in-universe,' on peut voir la Quête du Graal dans Kaamelott comme une invention par les dieux celtes non-sanctionné par le "Dieu unique," dans un pari désespéré pour que leurs cultes disparaissaient pas.
J'irais même jusqu'à dire qu'on peut défendre l'idée que Dieu est carrément contre et qu'Arthur a en fait deux destinées séparées : une avec Excalibur et le Graal, d'après les dieux celtes, suivant les lois et la morale celte, et une selon Dieu, avec la fidélité à Guenièvre notamment.
Pour étayer ça, y a le fait que la Dame du Lac - qui est très ouvertement celte, envoyée et porte-parole des dieux celtes - est une force moteur de la Quête du Graal sans jamais être capable d'expliquer pourquoi Dieu délègue. Y aussi que les ordonnances des dieux celtes, directement liées au succès de la quête, sont souvent à l'opposé exacte de la loi biblique (ex : Arthur commet une double faute en épousant Mevanwi et en l'épousant sans tuer Karadoc, alors que dans l'histoire de David, le plus grand des deux péchés n'est pas l'adultère mais le meurtre d'Uri, le mari de Bathshéba.)
Il y a bcp, bcp d'autres trucs, mais ce post est bcp trop long donc je détaillerai ça une autre fois.
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yakusoma · 9 months
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[FR]
Jour -3
Les Oignons, cette mystérieuse maison des Pikmin capable de transformer tout ce qui entre dedans en Pikmin ou en quelque chose de semblable?
J'espère que Pikmin 4 nous donnera plus d'éléments sur le fonctionnement de cette... chose, vu qu'ils ont l'air vraiment importants dans le scénario (enfin après 4 épisodes). Bizarrement, les symboles sur l'ognion ont complétement disparut avec ce nouveau design. Peut-être que l'oignon de pikmin 4 est immature? Ca expliquerait pourquoi ont ne peut pas utilisé 100 pikmins des le départ.
Sinon, je ne sais pas pour vous, mais à mes yeux, le design de Pikmin 1 et 2 est le meilleur de tous (le pire étant celui de Pikmin 3). Ils ont ce côté insectoïde avec leurs pattes qui le rend plus proche d'une créature vivante que d'un vaisseau extraterrestre. Surtout que techniquement, les Oignons ne sont pas des extraterrestres. Et en plus de ça, il ressemble vraiment à un oignon !
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Day -3
Onions, that mysterious Pikmin house capable of transforming anything that goes inside into a Pikmin or something similar?
I hope that pikmin 4 give us more information about how this... thing work, as they seem to be very important in the storyline this time. ( after 4 games). Strangely enough, the "symbols" on the onion have completely disappeared with this new design. Maybe the onion in Pikmin 4 is still immature? That would explain why we can't use 100 pikmins from the start.
By the way, I don't know about you, but in my eyes, the Pikmin 1 and 2 design is way better than the other (the worst being Pikmin 3 onions). They have that insectoid side with their legs that makes there more like a living terrestrial cretature than an extraterrestrial spaceship. Especially since Onions aren't technically extraterrestrial . And on top of that, it really does look like an onion!
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La vie selon les gens.
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Acte 1.
Ma journée a commencé très tôt vers deux heures du matin, quand j'ai été extirpé de mon sommeil paisible par des complaintes lancinantes de mon voisinnage. Il semblait s'agir d'une souris bionique courant sur le toit de Patochimbo. Après des investigations poussées par -15 degrés Kelvin, je découvris qu'il s'agissait en réalité d'une malheureuse sangle mal attachée. Ce problème enfin résolu, je pus retourner à la quiétude de mon sommeil sans rêves.
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Au matin, je pouvais admirer El Chalten dans toute sa splendeur matinale (et son absence du nuages. D'ailleurs El Chalten signifie pour les Telhuelche "la montagne fumante", d'où les nuages flottant perpétuellement au dessus de celles-ci.)
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S'ensuivit une belle journée durant laquelle le soleil nous ne nous quitta plus-ou bien nous fuyions la pluie, tout dépend du point de vue-. Nous marchions gaiement, et de superbes paysage succédaient à des panoramas de carte postale. Seule déconvenue, il était interdit de sortir du sentier (cependant, le temps que je m'en rende compte, j'avais ravagé la moitié des zones protégées du parc). Au final, ce fut un jour de plus vécu dans l'insouciance post-doctorale que le ciel sud-américain a bien voulu m'accorder.
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Acte 2.
Patochimbo et moi avons tout de suite noué des liens très forts. Lorsque la conduite nerveuse de Cothésard lui projette de féroces gravillons sur sa douce tôle, je couine de douleur de concert avec notre van. Et à mon image, il craint la pluie,le vent et le froid. Tout deux ce matin ,nous étions frigorifiés, inapte au moindre mouvement tant que les doux rayons du soleil ne se soient pas posés sur nos corps transis.
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Acte 3.
Après avoir été réveillée à 2h du matin par un énergumène bondissant sur le coffre de toit, puis à 3h par mon corps frigorifié atteignant le stade de rigidité cadavérique, je me résignai à utiliser un second sac de couchage par dessus le mien, pleurant par avance pour le trek du W que nous effectuerons la semaine prochaine. Ayant réussi à passer une fin de nuit tout à fait décente, c'est nullement perturbée par le nième décès de la batterie de Patochimbo que j'entame la journée, d'autant plus que l'attraction principale arrive bientôt : IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE !
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Dr Rathatton passera bien évidemment la journée à couiner, son mode humidité binaire activé : au premier flocon de neige, c'est terrible, elle est trempée ! Après trois heures à observer en gloussant ses épluchages successifs et sa transformation en oignon géant, je finis par commettre l'erreur fatale : je m'approche de la bête durant l'opération... Elle profite d'un moment d'inattention pour effectuer une manchette sauvage à la pommette, tirant avantage de mon étourdissement passager pour me voler gants et bonnet.
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Nonobstant cet événement marquant, IL NEIIIIIIIIIIIIIIGE. Du coup on lui pardonne. Tout est pardonné quand on fait Schkrounch dans la poudreuse. Et puis le paysage est quand même sacrément beau toute la journée 🥰
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En chemin, nous croisâmes (oh que je sonne érudite) un petit oiseau au déjeuner semblant bien plus concluant que notre restaurant de ce soir.
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Conclusion
A vous de voir quel protagoniste a rédigé quel acte de l'histoire.
Des bizoux 😘
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minivirgo · 8 months
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mon toro m'a traité aux petits oignons ces derniers jours 🤧 je me sens tellement choyée de partager ma vie avec une personne aussi attentionnée et devouée et affectueuse
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Parents told me we were going to get ice cream so I dressed in my normal 3 layers of black clothing and platform boots and then apparently we were going to walk there??? In this summer weather??
So as I was melting underneath the sky-candle I just blasted La Chanson De L Oignon through my airpods and marched for 20 minutes just zoning out pretending I was an infantry soldier 👍
Here’s the icecream :D
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pedanther · 1 year
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Some other differences between the older and newer translations of Chapter 115:
First, a slight difference of opinion about how well-read Danglars is:
Son premier mouvement fut de respirer, afin de s’assurer qu’il n’était pas blessé: c’était un moyen qu’il avait trouvé dans Don Quichotte, le seul livre, non pas qu’il eût lu, mais dont il eût retenu quelque chose.
His first idea was to breathe, that he might know whether he was wounded. He borrowed this from “Don Quixote,” the only book he had ever read, but which he still slightly remembered.
His first impulse was to breathe, to make sure that he was not wounded: this was something that he had come across in Don Quixote, not perhaps the only book he had read, but the only one of which he could remember something.
Then, a domestic anecdote about the Baron who considers himself a man of the people:
Enfin, ces oignons crus, affreuse alimentation du sauvage, lui rappelèrent certaines sauces Robert et certains mirotons que son cuisinier exécutait d’une façon supérieure, lorsque Danglars lui disait: «Monsieur Deniseau, faites-moi, pour aujourd’hui, un bon petit plat canaille.»
...while those dreadful vulgar onions recalled to his mind certain sauces and side–dishes, which his cook prepared in a very superior manner whenever he said, “Monsieur Deniseau, let me have a nice little fricassee to–day.”
Finally, those raw onions, the repulsive foodstuff of savages, began to evoke certain sauces Robert, certain dishes of boiled beef and onions which his cook had adapted to more refined palates when Danglars would tell him: “Monsieur Deniseau, give us a spot of plain home cooking today.”
Finally, another dash of religion:
L’estomac de Danglars lui semblait à lui-même percé comme le tonneau des Danaïdes; il ne pouvait croire qu’il parviendrait à le remplir jamais.
Danglars’ stomach felt so empty, that it seemed as if it would be impossible ever to fill it again
Danglars’ stomach seemed to have as many holes in it as the barrel of the Danaids. He couldn’t believe he would ever manage to fill it.
(The unfillable barrel of the Danaids is one of those poetic punishments dealt out in the Greek underworld, like Sisyphus’ rock that can never be rolled to the top of the hill, making it an apt allusion to attach to Danglars, undergoing his own poetic punishment underground.)
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sushis4kalyo · 1 year
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Changement de programme au jardin 🌾
Comme je vais avoir de nouveaux voisins en août et que le jardin est partagé, j'ai accepté que mon futur voisin commence le jardin en avance histoire d'avoir une récolte cet été.
Ça fait que je peux dire adieu à mon mini jardin "bébête friendly" bêché avec amour à la fourche-bêche triandine ... (oui, lui a sorti le gros motoculteur ...)
Du coup je me dis que c'est peut-être pas plus mal au fond ... même si je dois admettre sue je suis un peu déçue pour mon mini jardin. Je l'ai aidé à planter les oignons blancs et les salades (je suis courbaturée des orteils aux épaules !). Dans tous les cas j'apprends ... et comme ça je saurai ce que je dois et ce que je ne veux pas faire le jour où j'aurai vraiment mon propre jardin.
En attendant, il m'a offert 2 pieds de fraisiers sauvages, 2 autres pieds de fraisiers cultivés (avant j'avais des gariguettes, curieuse de voir s'il y a une grande différence ou non.) et de la menthe verte.
Bien envie de me prendre un groseiller pour finir de me consoler mais j'envisage de le mettre en pot ...
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manueillustrations · 7 months
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La seconde partie de l'histoire 'Aux petits oignons' est désormais disponible sur mon Patreon.
Il ne m'en reste qu'une à réaliser et je pourrai commencer le montage de mon recueil. J'ai vraiment hâte de pouvoir tenir entre mes mains un album de toutes ces bds que j'ai pu réaliser!
The second part of the story 'Aux petits oignons' is now available on my Patreon.
I've only got one more to go, and then I can start putting together my collection. I can't wait to be able to hold in my hands an album of all the comics I've made!
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