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#mon dieu j'étais à fond
chifourmi · 5 months
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Quel anniversaire de fou cette année, c'est parti dans tous les sens. Déjà ici vous m'avez régalé, ensuite quelques potes m'ont fait des montages dans leur story insta, le Dieu Grec m'a proposé un massage comme cadeau la prochaine fois qu'on se voit. Je suis allée au ciné rien qu'avec mon frère pour la toute première fois, je suis allée dans un resto italien avec ma famille et un monsieur m'a offert une fleur et le serveur une bouteille de prosseco.
Mais SURTOUT énorme plot twist en fin de journée, j'ai reçu une illustration personnalisée qu'un gars qui était à fond sur moi a commandé à un illustrateur. Je suis super mal à l'aise parce qu'on est pas sur la même longueur d'ondes et je crois que c'est parce que je n'avais pas été assez claire la dernière fois qu'on s'est parlés. Et en même temps c'est totalement de ma faute parce que j'étais revenue vers lui dans un moment où je n'avais plus personne et je savais que lui serait là pour moi. C'est un gars que j'affectionnais beaucoup mais je ne l'aimais pas de la même manière qu'il m'aimait. En fait j'avais essayé de lui faire comprendre que je l'aimais beaucoup mais que je ne me voyais pas avec lui et je crois qu'il n'a pas compris. Pourtant on s'était même embrouillés à ce propos. Fin bref c'est horrible je me sens trop mal et j'ai pas du tout envie de lui faire du mal mais cette fois c'est plus possible je dois poser mes limites sinon cette histoire ne s'arrêtera jamais.
(06/12/2023)
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flora-eis · 4 months
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Il faut que tu comprennes que mon bonheur n'existe que parce que tu en fais parti. Je ne peux pas simplement te regarder partir, mal, sans être à tes côtés. Ni supporter que tu choisisses pour moi ce qui doit faire mon bonheur.
Tu pointais mes traumas pour ne pas penser aux tiens et tu refuses qu'ils prennent sur mon bien être. Pourtant toi tu as été là quand j'étais au fond, je peux et je veux être là pour toi aussi. Seul on va plus vite, à deux on va plus loin. Tu n'as pas à garder tout ton mal-être pour toi, je t'aime et je veux t'aider. Je ne ferai pas le travail pour toi, mais je veux t'aider, t'épauler, être à tes côtés quand tu grandis.
J'ai bien compris, je t'ai entendu, je sais ce qu'il y a en toi. Ton besoin de te retrouver ne peut se faire que seul, sans personne qui ne prenne la place dans ta tête. Mais sache que tu n'es pas seul. Que je vais t'attendre. Tu veux que je trouve quelqu'un qui peut me donner ce que j'attends, mais toi tu peux me le donner. Pas aujourd'hui, pas demain, mais ce n'est pas grave. Je suis patiente. Patiente et amoureuse. De toi, de ce que tu étais, de ce que tu es, de ce que tu sera. Je te veux égoïste, je te veux franc, je te veux vivant. Je veux des plages et des montagnes, des champs de souvenirs et des veillées au feu de nos baisers.
Je suis triste de ce qui t'a mené à être là, je suis triste de devoir lâcher cette main le temps que tu te retrouves. Il n'y a aucune certitude que je la reprenne, aucune promesse, aucun mot, papier, étoile, dieu, qui ne puisse me jurer que l'on se retrouvera. Juste l'espoir qu'un jour tu te réveilles en pensant à mon dos contre le tien, au café que je te prépare. Être compagnon du quotidien et de nos folies. Je veux pouvoir t'épauler quand tu es fatigué, te faire rire quand tu es plein de courbatures, accueillir ta tristesse quand la vie est rude.
Je veux que tu n'ais pas à te dire à ma place ce qui est bon ou non. Je peux te laisser partir deux ans, si, au moment où tu passes la porte, tu me dises que tu reviens. Que je reçoive la certitude que tu penses à moi de temps à autre, et qu'à ton retour l'appartement soit lumineux de nos retrouvailles. Je veux partager ton affection et ton bonheur. Que l'on se promène sur la plage avant de rejoindre nos amis. Que tu sois loin des vicissitudes de ce monde. Sans doute grandir dans l'idée des martyrs m'a donné la capacité d'endurer plus que ce que certains ne pourraient, car j'ai gardé cette naïveté christique de "l'après". Après 40 jours de déluge, où l'espoir de la colombe avec sa branche, cette histoire coule dans mon esprit. Je navigue dans une coquille de noix, de courant d'air en raz de marée, espérant retrouver l'arbre au sommet duquel jirai écrire.
Dans ce jardin je creuse un trou, dans lequel je pose, maigres dons, les lettres, quelques cheveux et je murmure ton nom. Sans doute que les roseaux qui pousseront à cet endroit soupirerons ton nom aux secrets perdus.
[Août 2023, lettre non envoyée]
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e642 · 1 year
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Un truc que j'ai toujours énormément apprécié avec mes parents et dieu c'est que j'apprécie pas grand chose avec eux c'est que je n'ai jamais été récompensée. Par là, je veux dire que peu importe ma réussite (brevet, bac, fac, bonnes notes ectt), ils ne m'ont jamais rien acheté pour me récompenser. Et je trouve ça bien. Ils ont toujours été très carré sur le fait que si je réussis c'est bien, si je réussis pas, je réessaie mais abandonner n'est pas vraiment une option. Et ça m'a appris à me gérer. Ils n'ont jamais regardé mes notes ou mis une pression. Ils m'ont toujours fait comprendre que j'ai tout intérêt à réussir pour moi. C'est pas qu'ils s'en foutent que je rate mais ils n'ont jamais voulu me faire penser que ce que je faisais c'était pour eux, même quand c'est le cas, genre mes études actuelles. Ils sont toujours encourageants quand je réussis mais jamais ils ne m'achetent quoique ce soit. Alors que je connais beaucoup de personnes pour qui c'est le cas. Je pense que c'est pour que ma motivation vienne de tout sauf un truc matériel. Je ne bosse ni pour eux, ni pour avoir une paire de pompes. Mais bien pour moi. Et donc, réciproquement, ils ne m'ont jamais puni pour quelconque échec. Tant que je m'adapte et que je me relève c'est ok. C'est pas aussi idyllique que ça paraît car ça peut être dur, surtout quand j'étais plus jeune d'entendre un "c'est bien d'avoir eu ton année mais c'est normal, tu travailles pour ça". Ils ont toujours normalisé le fait de réussir, ce n'est pas exceptionnel à mon niveau ou ce que j'entreprends, mais au fond, ils ont raison. C'est une part de leur éducation que j'apprécie réellement.
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yes-bernie-stuff · 1 month
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Le dessein de Dieu est de changer le mal en bien, selon ce qui est écrit : « Toutes choses concourent ensemble au bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains 8:28).
Les desseins du diable sont de nous engloutir au travers de nos souffrances, de nos épreuves, mais nous pouvons nous approprier ce texte de l’Écriture, et demeurer dans la foi en toutes circonstances.
L’histoire de Joni Erickson Tada a fait l’objet d’un film, et a fait le tour du monde. Voici ce qu’elle écrit : « J'avais 17 ans, en plongeant imprudemment, j'ai heurté le fond ; et me suis brisée la nuque. J'essayais de retenir ma respiration en espérant que quelqu'un viendrait à mon secours. Ma sœur était sur la plage quand un crabe lui a mordu l'orteil. Alors elle s'est retournée, et m'a crié : "Joni, fais attention aux crabes". Ne me voyant pas, elle se mit à me chercher. Je remercie Dieu pour ces crabes ; grâce à eux, je fus arrachée à la noyade. Je suis convaincue que cela illustre la souveraineté de Dieu : il y avait peut-être une chance sur un milliard que ma sœur soit mordue par un crabe juste à ce moment-là. » 
Ce que dit cette croyante souligne le fait, que Dieu dans sa souveraineté n’a pas voulu qu’elle périsse noyée, mais dans sa souveraineté, il n’a pas empêché l’accident. Nous avons parfois du mal à concilier souffrance et souveraineté divine. D’ailleurs, alors qu’elle est amenée à l’hôpital, Joni est furieuse contre Dieu. Voici ce qu’elle dit : « Sur mon lit d'hôpital, je ne pouvais reconnaître la souveraineté de Dieu : au contraire j'étais furieuse contre lui. Comment ce qui m'arrivait pouvait prouver sa bonté ? N'aurait-il pas pu mettre deux anges pour me garder ? Lorsqu'un enfant naît avec des malformations est-ce un hasard ? Qui contrôle toutes ces maladies et ces handicaps : est-ce Dieu ou le diable ? » 
Nos souffrances, nos deuils, nos peines, nos handicaps, nos drames, sont-ils dus à une négligence divine conjuguée à un assaut subtil du diable ? La souveraineté de Dieu a-t-elle des limites ? Non, rien n’échappe à son regard. Sa souveraineté, sur nos vies et sur les évènements de nos vies, est totale.
« Seigneur, je ne comprends pas pourquoi les souffrances nous atteignent ; pourquoi le malheur nous frappe ; mais avec ta Parole, je veux déclarer que tu es souverain, et que tu connais toutes les circonstances de ma vie, que tu fais concourir à notre bien, toutes choses. 
Alors que je n’ai pas de réponse à tous mes "pourquoi", je crois que tu restes le maître de la situation. Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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christophe76460 · 1 month
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VIVRE DANS LE PÉCHÉ, SE REPENTIR JUSTE AVANT DE MOURIR ET ENTER AU CIEL
Frères, beaucoup de chrétiens sont présentement dans la vie du péché et sont parfaitement conscients qu'ils vivent une double et vie et beaucoup parmi eux connaissent l'existence de l'enfer et du paradis et savent très bien que si la mort leur trouve dans cet état de péché, ils iront tout droit en enfer or il y'a certains qui se disent que si la mort venait à les surprendre, ils se repentiront rapidement avant de mourir et ainsi ils iront au ciel et c'est là un très beau schéma de salut mais est-ce réellement applicable ?
Je me souviens il y'a de cela plusieurs années lorsque j'étais amorcé par le monde et sa convoitise au point où bien que conscient de l'existence de l'enfer et du paradis à travers les témoignages, je ne voulais pas abandonner le péché et je me disais moi aussi que si la mort venait, je me repentirais et j'irais au ciel et ce fut là mon état d'esprit puisque le péché avait amorcé mon âme et tous mes désirs se tournait vers le monde et ce qu'il peut offrir, je ne voulais pas vraiment retourner au Seigneur et c'est ainsi que je vivais parfois même dans la peur.
Un jour alors que j'avais emprunté une moto, nous fîmes un accident au point où je me retrouvais au sol et les choses se sont passées très rapidement et je me suis juste retrouvé au sol sur la chaussée et un camion était juste à côté et s'en est fallu de peu pour qu'il m'écrase. Je n'avais eu aucune blessure pas même une égratignure j'avais juste perdu ma clé ; alors lorsque je me levais et je montais encore sur la moto; nous continuâmes notre chemin quand une voix me parla "EST CE QUE TU AS EU LE TEMPS DE TE REPENTIR ?" Frères, j'avais mal et même honte car si c'était réellement la mort je n'ai même pas eu le temps de penser à la repentance tellement les choses se sont passées très rapidement et en une fraction de seconde j'étais au sol et le camion allait m'écraser mais par la grande miséricorde du Seigneur Jésus-Christ, j'ai échappé sinon je serais déjà en enfer entrain de me repentir et de me rappeler tous les témoignages que j'ai lus et toutes les fois que j'ai eu l'occasion de me repentir mais Dieu a eu pitié de moi dans sa grande bonté car il est très bon notre Seigneur et je lui suis infiniment reconnaissant pour toutes les opportunités qu'il a multiplié pour mon salut; à lui seul soit la gloire pour tous les siècles. Amen.
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Par cet incident nous comprenons que satan est menteur et trompeur car il te glisse des pensées telles que "vis dans ton péché lorsque la mort viendra tu pourras te repentir en être sauver" or c'est juste une manipulation car satan je te laissera pas le temps de te repentir et d'ailleurs tu ne pensera même pas à la repentance et c'est seulement de l'autre côté, que tu pensera à la repentance mais il sera déjà trop tard et malheureusement beaucoup ont vécu cela et sont déjà condamnés.
Beaucoup vivent dans le péché faisant des choses honteuses et inavouables et disent qu'ils sont captifs car chaque fois ils essayent de quitter mais tombent toujours or cela est simplement due à une mauvaise fondation car si quelqu'un ne renonce pas définitivement à lui-même et aussi au monde, le monde et son péché le rattrapera et le ramènera car nul je peut avoir les yeux fixés sur le ciel et en même temps sur la terre. Je sais ce que je dis puisque moi-même j'ai vécu dans le péché et dans les choses honteuses et je ne savais pas qu'un jour je pourrais en sortir mais tout a basculé le jour où j'ai pris la ferme résolution de renoncer à définitivement à moi-même et au monde et j'ai pleurer devant le Seigneur en lui disant que je ne voulais plus de cette vie et il m'a pris dans sa main et m'a purifier de mes péchés bien que ce n'était pas facile à cause des passions de la chair qui m'agitais de toutes part mais ma décision était déjà un fondement solide puisqu'au fond de moi j'avais renoncer définitivement, le Saint-Esprit me conduisit premièrement au dépouillement des choses du monde que j'avais et à la séparation d'avec les copines et les autres obstacles à mon salut. C'était très difficile mais l'assistance du Saint-Esprit était visible et progressivement le Saint-Esprit m'a conduit dans les sentiers de la sanctification et aujourd'hui j'ai une totale assurance de mon salut en Jésus-Christ car le péché n'a plus de pouvoir sur moi.
Je ne suis pas le seul à avoir expérimenté cela avec le Seigneur Jésus-Christ mais beaucoup de personnes qui vivent aujourd'hui dans la piété aussi l'ont expérimentés. Tout part du renoncement car c'est l'unique fondement sur lequel l'on peut se poser pour suivre Jésus sinon on sera très vite rattraper par le péché.
Puis il dit à tous: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix, et qu'il me suive. Luc 9:23.
Le Seigneur a donné ce commandement à tous même aux apôtres.
Sachez donc que Dieu est bon et qu'il continue de donner des occasions de repentance à beaucoup d'entre vous mais vous ne savez pas quand viendra votre dernière occasion et peut-être que c'est ici votre dernière occasion de suivre Jésus véritablement sinon vous mourez pour l'enfer.
Beaucoup de ceux qui sont enfer aujourd'hui ont vécu sur la terre et ne s'attendaient pas à une fin aussi tragique.
Au reste je sais que Christ pardonne les péchés des vivants peu importe la quantité il les effaces par son sang c'est pourquoi n'hésitez plus mais venez et il vous déchargera de vos fardeau.
Que le Seigneur Jésus-Christ fasse souffler dans la vie de chacun, un vent de repentance.
"Les Degrés de la Révélation"
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a-dream-our-story · 6 months
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Mois de septembre 2021
Me voilà, brisée, par 6 mois de harcèlement intensif. Un harcèlement qui est allé du chantage affectif, à de fausses tentatives de suicides, pour finir par une prétendue mort. La période la plus sombre de ma vie. C'est à cet instant que j'ai compris ce que voulait dire "vivre avec sa conscience". Vivre en pensant être une mauvaise personne, une personne qui fait du mal, ce mal qui apporte des conséquences terribles. Des conséquences avec lesquelles on devra vivre. Si j'étais croyante je dirais dieu merci d'avoir été si bien entourée. Si j'avais dû, un jour, mettre fin à mes jours, ça aurait été à cet instant. Tout ce mal m'a fait remettre ma vie en question. J'ai voulu quitter mon travail pour faire je ne sais quoi. Partir parce que mon équipe avait démissionné elle aussi. Partir sans réfléchir, sans plan B. Partir pour survivre. Partir pour avoir la sensation de repartir à zéro. Je faisais insomnie sur insomnie, l'alcool commençait à prendre une place importante dans mes soirées, parfois mes journées et mon silence pesait lourd sur le cœur. Ma décision était prise. Il ne me restait plus que 4 mois avant de partir de ce travail. 4 mois à serrer les dents, à se lever la boule au ventre et à compter les heures jusqu'à ce que la journée touche à sa fin. En attendant cette délivrance, je me suis tournée vers tous les moyens pour ralentir ma chute. C'est là que j'ai rencontré cette énergeticienne. Je crois que quand tu as l'impression de ne plus rien avoir alors tu n'as plus rien à perdre et c'est là que certains chemins deviennent envisageables. Ça a été une bouffée d'air de voir cette femme. Terminée les terreurs nocturnes et ce sentiment de légèreté, comme si le bruit avait diminué dans ma tête. Elle a réussi à remettre un peu d'ordre dans tout ça, elle m'a aidé à prioriser certains éléments de ma vie. C'est là qu'elle m'a dit cette phrase "tu vas rencontrer l'amour de ta vie, quelqu'un que tu connais déjà, ça viendra quand tu arrêteras de chercher". Cette phrase sonnant comme de la poudre aux yeux pour les esprits terre à terre a été une lumière chaude et réconfortante au fond de moi. 
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the-dark-words · 11 months
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Il m'a dit...
Il m'a dit ce soir à 20 heures, tu seras nue sur la table avec ton cul en l'air et tu m'attendras comme ça.
A l'heure dite, je me suis déshabillée et j'ai pris la position demandée, les fesses relevées, les cuisses écartées...
J'ai entendu la porte s'ouvrir et ils sont entrés.
J'ai voulu descendre de la table, il m'a dit de ne pas bouger et de fermer les yeux.
Je l'ai fait.
Ils étaient autour de moi, silencieux, ils me regardaient.
J'ai soudain senti une langue sur ma vulve. léchant doucement, s'introduisant délicatement entre ma chair.
Quelqu'un a pris mon visage dans ses mains et a enfoncé sa verge dans ma bouche.
Le gland est venu frapper le fond de ma gorge, ça m'a fait tousser mais il a continué à me remplir la bouche. 
Le goût était très fort, ça m'a donné envie de vomir, mais je l'ai quand même sucé.
Il a joui rapidement et j'ai avalé le sperme chaud et dégoutant pendant qu'un autre me prenait. La verge frappait violemment dans mon vagin, ses couilles heurtaient mes cuisses. 
J'étais très mouillée, ça glissait très bien en moi et c'était gros et dur comme je n'avais jamais eu.
Je lâchais d'impudiques petits cris.
Pour me faire crier plus fort, sans doute, j’ai reçu des claques sur mon cul et puis une autre queue dans ma bouche pour étouffer mes gémissements.
J’ai vu un ventre couvert de poils s’approcher jusqu’à toucher mon visage.
J’ai baissé la tête pour trouver en dessous le pénis, assez petit, que j’ai pris en bouche. J’ai sucé très lentement le bout qui dépassait sous le gros ventre et l’homme à commencé tout de suite à grogner et gémir.
Il disait “Oh mon dieu ! Oh mon dieu !”
J'avais du mal à le sucer correctement à cause des coups de reins de l'homme qui me baisait. Quelquefois le sexe court sortait de ma bouche et frappait mon visage, je léchais les couilles et tout le long de la bite et le gros homme était en extase. 
L'autre, le puissant, me tenait fermement aux hanches et me traitait de pute en me prenant. Pute ! Pute ! Toujours ils me traitaient de salope.
Ils aimaient dire ces mots. Ils aimaient m'utiliser.
J'étais cette salope offerte pour être baisée.
Je les sentaient tellement excités, tellement fébriles, tellement pressés de lâcher leur foutue semence.
Lui, l'homme qui m'offrait, il adorait les voir jouir en moi.
J'ai joui bien avant que l'homme qui me pénétrait n’éjacule. J’ai joui car il me prenait comme un animal prend une femelle et il durait plus qu'aucun autre. Son sexe épais allait et venait rapidement, il soufflait et tenait fermement mes hanches.
Le gros homme s'est vidé dans ma bouche par petites saccades aigres et gluantes et j'ai failli m’étouffer. Je n'ai pas pu avaler tout ce sperme qui a coulé sur moi, le long de mon menton, sur mon cou...
L'autre continuait à me baiser en levrette.
Les deux gars qui avait joui dans ma bouche me caressaient tout le corps et surtout mes seins qui pendaient lourdement et remuaient sous moi.
Ils se sont mis à les lécher, puis, chacun un téton dans la bouche, ils ont sucé sans retenue.
J'ai eu un autre orgasme déclenché par les mouvements de la queue en moi et les sucions des bouches avides sur mes mamelons.
L'homme allait jouir aussi, il a sorti sa bite de ma chatte mais LUI, l'homme qui m'offrait aux autres, a dit : “Tu peux jouir dedans”.
Alors l'homme m'a pénétré à nouveau, fébrilement et il a joui en gémissant très fort. 
Il est resté un long moment en moi, je sentais encore les petites saccades et le sperme qui coulait, mais il ne bougeait plus.
Il m'a caressé le dos et le cul. 
Je me suis redressée, j'avais mal aux genoux. J’étais assise sur la table et les deux autres continuaient à me sucer les seins.
Le gros homme était de nouveau en érection, sa petite queue dressée, rose et luisante.
Je les ai allaité tous les trois, tenant mes mamelons gonflés dans leurs bouches comme une mère le ferait.
Puis, je me suis mise à quatre pattes sur le sol et j'ai reculé vers le gros homme pour qu'il me baise.
J'ai senti sa queue glisser en moi et j'ai remué mon cul car il ne faisait rien. Je me suis frotté contre son ventre de façon obscène.
Il disait encore : "Oh mon dieu !"
Il a joui presque tout de suite.
Ensuite j'ai léché et sucé les bites des trois hommes. A genoux, je passais de l'un à l'autre pour les nettoyer. Je léchais leur couilles délicatement et toute la surface de leurs pénis.
L’homme qui m’avait offert à ses amis m’a dit d’aller me laver. 
Quand je me suis levée, l’un deux d’abord, puis les autres m’ont embrassé. Sur la joue, sur le ventre, sur le cul, sur la chatte…
J’ai pris une douche, j’ai lavé le sperme et la sueur.
Quand je suis sortie, deux d’entre eux étaient partis, mais l’homme gras était encore là.
Je me suis allongée sur le lit, nue, et le gros homme s’est couché lui aussi entièrement nu près de moi, le visage contre ma poitrine.
Il a commencé à me téter comme un enfant, il bandait et j’ai posé ma main sur sa bite et ses couilles tout en l’allaitant.
Ce gros homme m'attendrissait. Il tremblait et n'osait presque pas me toucher, alors j’ai pressé sa tête sur mes seins et il a sucé plus fort. J’ai ouvert mes cuisses pour que sa grosse jambe vienne toucher ma chatte.
J’ai frotté ma vulve chaude et humide sur lui, doucement.
Il était tout ce que je déteste, gras, poilu et laid, il a éjaculé une nouvelle fois et j’ai senti le sperme gicler jusque sur mon ventre.
Il a continué à téter mon sein pendant que je finissais de le branler, du foutre à encore jailli dans ma main.
L’homme qui m’avait offert à ses amis est entré et il a voulu que je nettoie le sperme sur le sexe et le ventre du gros homme. Pendant que j’accomplissais ma tache répugnante, vautrée sur le bas ventre du gros, le cul en l’air, il m’a sodomisé brutalement.
Mon visage, ma bouche, mon nez, se sont retrouvés plaqués sur le sexe sale et entre les cuisses grasses et luisantes de sueur.
J’ai senti la petite bite du gros homme se redresser encore.
Il était de nouveau dur.
J’ai pris sa queue dans ma bouche pour le sucer, mais il s’est dégagé, m’a soulevé et c’est glissé sous moi.
J’ai compris qu’il voulait me baiser, alors j’ai largement écarté les cuisses et il m’a pénétré facilement.
Il ne bougeait pas, mais le mouvement provoqué par la sodomie suffisait pour que je sente sa bite remuer.
Ça n’a pas duré longtemps, les deux sexes en moi ont déclenché immédiatement un orgasme violent et douloureux. j’ai voulu me dégager mais ils m'ont retenu et m’ont bourré le cul et la chatte jusqu’à ce qu’ils aient éjaculé.
J’ai joui encore quand ils se sont retiré et je me suis effondrée sur le corps du gros homme.
Ils m’ont caressé longtemps, dans cette position, allongée cuisses ouvertes et l’homme qui m’avait offert à ses amis s’est mis à me lécher la chatte et l’anus avec application.
Le gros homme me caressait le dos et m’embrassait le front. 
J’ai posé ma bouche sur la sienne et je l’ai embrassé avec la langue.
J’ai senti pendant ce baiser son pénis qui durcissait entre mes cuisses encore une fois.
Quand il a été suffisamment dur, je l’ai pris dans ma main et l’ai introduit dans ma chatte et j’ai remué mon bassin jusqu’à ce qu’il jouisse à nouveau tout en continuant à l’embrasser. J’ai senti les soubresauts de l’éjaculation mais il n’y avait cette fois plus de sperme pour me souiller.
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contesdefleurs · 1 year
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Thread et Fiction
J'ai écrit un thread horreur fictif sur un coup de tête. C'était la première fois que je faisais ça, j'avais juste besoin d'écrire. Je n'ai évidemment pas inventé le concept, mais je m'étais dit que ce serait bien d'utiliser le format du thread pour de la création littéraire, d'autant plus qu'à ce moment-là c'était aussi le format le plus pratique. Concernant mon premier thread fictif, il n'est clairement pas travaillé, il a été écrit de manière très spontanée. Inspiré par une photo prise pendant une balade nocturne, durant laquelle j'avais ironisé sur le fait qu'un garage pouvait m'évoquer les Backrooms. Il s'agit de tout un lore horrifique sur la toile, si vous n'avez jamais entendu parler de tout ce pan des internets, je vous invite à visionner les vidéos de Feldup sur le sujet :
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Concernant le thread, j'ai trouvé ça très amusant de réaliser un texte sous une forme qui me plaît à certaines occasions sur Twitter, pour du racontage de vie ou de la vulgarisation. Je vous partage le texte ici, tel qu'il a été écrit, donc navrée pour les répétitions et le style brouillon. Pour celleux qui ont du mal avec le format thread, vous aurez peut-être un peu plus d'aisance pour le lire ici. Je vais en profiter pour le titrer, comme je n'ai pas pris le temps de le faire. Bonne lecture et désolée pour vos yeux !
Voici la photo prise pendant la balade :
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Comment je suis tombée dans les backrooms
Je suis tombée dans les backrooms et ceci est mon récit.
Je marchais tranquillement pour rentrer chez moi, je baladais tard. J'étais avec un ami et puis en seulement quelques instants je n'ai pas compris. J'ai regardé par terre. Des feuilles mortes sous mes pas, et un sol qui est différent de celui du trottoir. Je lève la tête. Et là je ne comprends pas. Je suis tétanisée, je ne trouve plus mon ami, je suis seule dans un espace fermé, qui ressemble à un grand garage, mais il n'y a aucune sortie. Je prends mon téléphone : impossible de joindre qui que ce soit. Pas de réseau. Pas d'internet.
À ce moment-là, je sens l'angoisse monter, j'ai super mal à la poitrine. Au début je ne réalisais pas, je ne voulais pas y croire, alors j'ai essayé de trouver une sortie. Pas d'escaliers, pas d'alarmes, pas de voiture derrière les portes m��talliques ouvertes. Toutes les autres portes sont verrouillées, impossible de les ouvrir moi-même à moins de posséder les clés, je cherche quand même à les casser avec un extincteur en espérant trouver quelque chose derrière, et là je fais une énorme crise.
J'ai rarement sangloté autant de toute ma vie, mais là je vous jure j'étais loin d'imaginer une situation pareille. J'ai appelé au secours jusqu'à ne plus avoir de voix, le silence était total, il n'y avait que les néons qui émettaient un petit son constant. Pendant au moins une heure je suis restée dans un coin en me demandant ce que j'allais devenir, si mes proches allaient me retrouver, si je n'étais pas en train d'halluciner ou autre. Bref. J'ai overthink à mort en ayant mal au ventre au point où j'avais du mal à marcher.
Mes bras tremblaient si fort que j'arrivais à peine à tenir mon téléphone. Dieu merci j'avais encore beaucoup de batterie, je me rassurais en me disant que soit c'était un mauvais rêve, soit quelqu'un allait venir me chercher. Par où je sais pas, mais je priais intérieurement. J'ai tenté de rationaliser en me disant ok je suis bloquée, mais peut-être que si je me place quelque part dans cet endroit je pourrai choper le réseau. Ce que je fais, mais rien. En faisant encore le tour je remarque qu'il y a une porte rouge rouillée.
En fait le garage est en U, j'ai fait plusieurs aller-retours pour trouver UN emplacement pour avoir au moins UNE saleté de barre pour appeler avec mon tel. J'ai carrément sursauté en la voyant parce que je peux tout vous jurer, elle était pas là avant. Je m'en approche, pas de poignée, et pendant que je l'examine, j'entends un bruit de fond. Ça vient de l'autre côté du garage. Rien que de l'écrire ça me glace le sang. Quelque chose semble gratter une des portes. Par réflexe je me cache derrière une porte ouverte. Je me mets à respirer de plus en plus difficilement, je suis totalement pétrifiée, je m'assois par terre le plus délicatement possible pour ne produire aucun son. Les bruits deviennent comme des ongles qui griffent la porte. Les néons commencent à clignoter. J'ai cru mourir.
Je couvre ma bouche de peur d'être repérée. Je regarde la porte de loin tout en sentant mon corps tout entier se liquéfier de terreur. Je remarque qu'il y a des petits trous en bas de celle-ci avec de la lumière. Ça ressemble au sol qu'il y a ici. Au moment où je me décide presque à regarder de plus près, une porte explose. Je glisse avec mes jambes dans l'ombre en essayant de ne pas respirer trop fort. Je suis une personne très anxieuse je vous dis pas l'effort que ça m'a demandé, surtout dans un moment comme celui-là. Instinctivement, je sens que c'est pas une personne qui a pété cette porte. Je reste silencieuse. J'entends cette chose se déplacer lentement, et à chaque pas, le sol vibrait légèrement. Je l'entendais et je la sentais se rapprocher.
Migraine, vertiges, nausées, j'étais au bout de ma vie. La chose, en passant sous les néons, a saccagé la luminosité. S'il y a un truc qui me fait super peur après ce genre de situation, c'est être dans le noir, qui plus est dans un lieu que je ne connais pas et où je suis seule. Elle fait plusieurs aller-retours, et pendant ce temps je réfléchis à ce que j'allais faire. Y a une porte, je ne sais même pas si elle s'ouvre, plongée dans le noir j'ai juste remarqué qu'il y avait de la lumière derrière. Il fallait que je sache si elle s'ouvre. J'ai écouté les mouvements de l'autre truc, j'ai compté le nombre de secondes qu'il mettait pour se déplacer jusque vers là où j'étais. Après ça j'ai attendu le bon moment. Je sais pas s'il voit dans le noir alors j'ai attendu qu'il soit de l'autre côté.
J'ai retiré mes baskets entre temps pour éviter tout risque de faire le moindre petit bruit. Je m'avance vers la porte, les bras levés devant moi pour éviter de me cogner et donc de faire du bruit. J'arrive devant la porte. Et juste en posant ma main dessus je l'ai poussée. Ça grince. Bordel j'ai failli hurlé. Je recule rapidement en faisant quand même attention, je ne sais pas de quoi la chose est capable. Énorme silence. La chose ne bouge plus. Je l'entends respirer et grogner. Et là, plus grande peur que j'ai eue. La chose s'est précipitée violemment vers la porte et l'a DÉGOMMÉE. Le fracas était si fort que j'en ai versé des larmes. J'ai entendu la chose s'éloigner dans l'autre pièce, elle semblait énervée. J'avais envie de m'effondrer sur place. J'attends. 20 min. 50 min. 1h30. Je regarde très discrètement mon portable pour compter les heures. C'est tout ce que j'arrivais à faire. Je veux aller dans l'autre partie du garage, mais l'entendre se déplacer là-bas avec des néons qui marchent une fois sur trois, ça m'effrayait trop. alors j'ai réfléchi.
La chose s'attaque à tout ce qui produit des sons. Je prends la coque de mon tel, la jette à l'autre bout du garage pour l'attirer, la chose arrive dans l'immédiat et je vous jure je sais pas où j'ai trouvé la force de courir furtivement pour aller de l'autre côté. Comme les néons clignotaient je ne voyais pas quel porte était ouverte ou non, mais en tentant de faire vite, j'ai remarqué que le garage était encore plus grand. Je tourne plusieurs fois, chaque chemin se ressemble et là je tombe sur une autre porte. Je profite des derniers instants de boucan pour la pousser, mais c'était une erreur... À peine j'ai franchi cette porte que j'ai entendu la chose arriver. Dans ma course, je prends le premier extincteur que je vois pour l'activer, le jeter et partir. Mes poumons étaient en feu, j'avais mal au jambe j'avais l'impression qu'on m'arrachait tous mes muscles mais je ne pouvais PAS rester. Alors j'ai couru, jusqu'à risquer de m'évanouir, et puis je suis tombée sur une porte noire. Comme pour les autres, je l'ouvre.
Après ça plus rien. Je ne me souviens même pas comment j'ai fait pour revenir. Tout ce que je sais c'est que depuis cet événement, j'entends encore les pas de la chose, rodant autour de moi.
Et vous, êtes-vous déjà tombé-e dans les backrooms ?
À bientôt pour de nouvelles aventures !
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douceconstellation · 1 year
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Spor fra fortiden.
Une fois, j'ai dû subir à nouveau une intervention. Encore.
Je m'en rappelle comme si c'était hier.
Le médecin était là, à parler à maman comme si j'étais inexistante et il a prononcé ces mots : "Il y a un risque sur deux qu'elle tombe dans le coma."
Ouais, le coma. Ça craint.
Ce jour-là, j'étais totalement absente. Je n'étais plus moi. J'étais juste présente physiquement, mais mon esprit était ailleurs. Parce que ça m'a foutu la trouille. J'avais seulement 15 ans.
Alors en rentrant à la maison pour chercher quelques affaires avant de retourner dans une énième chambre d'hôpital, j'ai fait ce qui me semblait le mieux : je l'ai quitté.
Non pas que je ne l'aimais plus, non. Mon amour pour elle ne peut même pas se décrire. Il est inconditionnel. Intemporel. Éternel.
Non. Je ne l'ai pas quitté parce que je ne l'aimais plus, mais parce que je voulais que si jamais il venait à m'arriver quoique ce soit, elle, elle puisse continuer à vivre.
Vivre pour moi, pour nous, mais surtout pour elle.
Il était hors de question qu'elle continue à m'attendre si je venais à avoir la malchance sur deux de tomber dans ce sommeil. Parce que nul n'était capable de prédire le temps que ça pouvait durer, si ça venait à se passer. Je voulais qu'elle continue à vivre sa vie, sans s'accrocher aux heures et aux minutes.
Ou pire. Je ne voulais peut-être pas qu'elle m'attende, mais je ne voulais pas non plus qu'elle continue à m'aimer si, dans l'hypothèse du coma, la suite suivrait. Je ne pouvais pas. Je ne pouvais juste pas l'imaginer continuer à m'aimer alors que j'allais peut-être devenir inexistante. Qu'elle continue de s'accrocher à un fantôme, à attendre mon retour, à être malheureuse. Non. Je voulais son bonheur. Qu'elle continue d'être qui elle est. D'être elle. D'aimer. Et d'être aimée. Parce qu'elle le mérite.
Alors oui, je l'ai quitté.
Ce jour-là, elle m'a traité d'égoïste d'avoir pensé ainsi. Parce que pour elle dans le fond, je n'avais pensé qu'à ma gueule. Mon dieu ce qu'elle se trompait.
Mais peut-être qu'elle n'avait pas tord au final. C'est moi que je cherchais à rassurer en ne la laissant pas toute seule, au final. C'est moi qui voulait m'assurer que quelqu'un lui prodiguerait toujours de l'amour. Pas autant que j'aurais pu lui en donner, pour sûr, personne n'y arrivera. Parce que je lui ai donné mon cœur tout entier. Mais du moins, je voulais qu'elle continue à sentir à quel point elle est importante. Et à quel point elle fait du bien au monde, même sans moi dedans. Tout comme elle fait du bien à mon monde à moi.
L'opération a alors eu lieu.
Et si j'écris ça aujourd'hui, c'est que j'ai eu la chance sur deux de me réveiller, il y a de ça quelques mois.
Mais ce n'était pas un réveil normal, non. C'était douloureux. Et angoissant. Parce que ce jour-là, je me suis réveillée avec un tuyau dans la bouche qui m'aidait vraisemblablement à respirer.
Et c'est bête, mais à nouveau, ma première pensée était en partie pour elle. Parce que ça a toujours été le cas. Avec maman et mes frères.
À chaque opération, au fameux "compte jusqu'à 10" une fois le masque posé, je ne comptais pas jusqu'à dix, non. Je pensais à maman. Je pensais à mes frères. Et je pensais à elle. Et je lui disais une énième fois "je t'aime" silencieusement, comme si les étoiles là-haut pouvaient lui transmettre mes mots.
Alors c'est ce que je lui ai dit en revenant du bloc, et après avoir dormi une bonne journée en voyant son message qui me demandait si tout s'était bien déroulé et qu'elle avait peur pour moi. Je lui ai simplement répondu "Je t'aime." et ça suffisait.
Pas besoin de précision sur l'intervention. Sur mon état. Sur mon réveil. Sur ma douleur. Je voulais juste pouvoir lui dire de moi-même et ne plus laisser les étoiles s'en charger. Je voulais qu'elle le sache. Parce que si je l'aimais, alors cela signifiait que mon monde continuait de tourner. Parce qu'elle est mon monde.
Ça a été difficile. Tellement difficile.
Je dormais toute la journée. Ma tension était basse au possible. Parler m'épuisait. Je ne tenais pas éveillée, même lorsque mes frères venaient me rendre visite.
Maman elle était là tout le temps, de mon réveil le matin, assise sur la chaise à côté de moi, jusqu'à ce que je m'endorme le soir. Pas une seule seconde de la journée ne se passait sans qu'elle soit à mes côtés. Et le seul moment où elle s'en allait, la nuit, je ne le réalisais pas. Et je crois que ça, ça me rassurait. De ne pas être seule. D'être entourée.
Mais c'était difficile. Très difficile.
J'ai dû réapprendre à manger. Les bases de l'alimentation de A à Z, parce qu'une cuillère de yaourt n'était visiblement pas suffisant pour les médecins.
J'ai dû réapprendre à parler longtemps, à ravoir des réflexes, parce que ça aussi, c'était important pour eux.
Puis j'ai dû réapprendre à tenir debout droite, puis à marcher droite. C'était une sorte de rééducation sans en être une. Mais c'était long et complexe.
J'ai dû réapprendre des gestes du quotidien, comme me doucher seule même si je passais une heure dans la salle de bain parce que le moindre mouvement me demandait une force inhumaine. Mais je l'ai fait.
Au final, j'ai dû réapprendre à tout,
Sauf à l'aimer. Ça, j'ai toujours sû le faire et ça ne changera jamais.
Et aujourd'hui je suis reconnaissante. Reconnaissante envers moi-même, de m'être battue. Parce qu'aujourd'hui, je peux de nouveau tout faire toute seule. J'arrive à nouveau à tout effectuer, comme avant.
Reconnaissante envers les médecins qui ont fait un bon travail.
Reconnaissante envers l'infirmier au bloc, qui a marqué ma vie à jamais et à qui je ne pourrais jamais dire merci de vive voix. Alors je lui dis ici : merci énormément.
Reconnaissante envers mes frères et ma maman, qui sont venus me voir tous les jours. Qui ont toujours continué de me soutenir jour après jour une fois à la maison. Qui ont toujours eu foi en moi.
Et reconnaissante envers elle. De m'avoir donné la force et l'amour nécessaire pour continuer à me battre.
Merci d'avoir changé ma vie.
Merci d'être toi.
Merci de m'aimer.
Merci de m'offrir l'univers du bout de tes lèvres.
Merci.
Je t'aime.
2020
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Mercredi 22 mars 2023
Morrissey, Bob Dylan et les copains
Je suis obligé de relire ma dernière note histoire d'être sûr de ne pas me répéter... vous comprenez, parfois je radote, après tout je suis plus tout jeune...voilà, je radote encore, je l'ai déjà écrit dans une note précédente, que je radote, non ?
Depuis la dernière note, j'ai un peu bougé, enfin, ne vous emballez pas, je n'ai pas quitté le territoire français (c'est impossible d'ailleurs, je n'ai plus de papiers d'identités et mon passeport est périmé), je suis seulement allé à Lyon pour voir Morrissey, ce qui est déjà énorme pour moi.
Oh, j'exagère un peu, ce n'est pas comme si je ne quittais jamais ma chambre, après tout j'étais à Paris il y a un mois de ça !
Je suis parti avec Justine qui devait partir en train et qui, avec les grèves, a fini par devoir partir en bus, comme moi, ce qui m'arrangeait bien puisqu'on s'est retrouvés dans le même bus.
Le trajet Clermont-Ferrand -Lyon n'est jamais très long, c'est l'affaire de deux petites heures passées à papoter et à écouter la musique.
Justine s'était occupée de réserver une chambre d'hôtel, et on a localisé ce dernier après avoir tourné en rond au moins 5 bonnes minutes (ah, mon Dieu, comment faisaient les gens avant l'ère du gps?). C'était une chambre à deux lits, tout ce qu'il y a de plus convenable.
Moi, vous savez, quand c'est propre et qu'il y a des toilettes, ça me va. Et puis la note n'était pas trop élevé, je crois que nous avons payé 40€ chacun.
Pendant ce temps, nous avons convenus de nous retrouver avec Charly et Nassim devant l'amphithéâtre, et nous nous y sommes donc rendus en Uber (ah, mon Dieu, comment faisaient les gens avant l'ère des Ubers?). Je n'ai pas eu de mal à repérer Charly parce que je l'avais vu en photo et il se ressemblait vachement (les gens ont tendance à se ressembler) et au même moment Nassim s'est joint à nous. Concernant ce dernier, je ne l'aurai pas reconnu, je dois l'avouer, parce que je ne l'avais aperçu qu'une fois en photo et elle datait un peu.
Toujours est il qu'on s'est salués et on a fini par se poser à une terrasse tout en dégustant une pinte offerte par Charly (je lui revaudrai ça un de ces jours, j'espère).
Nous avons bien papotés et ce n'était pas sans une certaine anxiété de ma part (l'ont ils remarqués ? J'espère que non) parce que depuis quelques années j'ai cette peur constante de faire une crise d'angoisse lorsque je dois rencontrer des gens nouveaux.
Ca ne m'est pas arrivé depuis au moins cinq ou six ans, mais cette peur subsiste toujours au fond de moi.
Mais, ici, tout s'est bien passé et mon angoisse s'est vite estompée après avoir échangé avec mes trois comparses.
Et puis le moment est venu pour nous d'aller à la salle de concert, ce que nous avons fait tandis que le sympathique Nassim nous quittait.
Nous nous sommes dirigés vers le stand de souvenirs et nous sommes repartis avec des tshirts (pour Justine et Charly) et un poster de la tournée que je compte bien faire encadrer, ce sera un beau souvenir (de là même façon que trône chez moi depuis 16 ans maintenant une affiche de concert de Dylan à Clermont-Ferrand, encadrée, c'est un souvenir qui me tient à cœur, mon premier concert de Bob Dylan, mais, nous reviendrons au Zim un peu plus tard...).
Puis Justine et moi sommes allés trouver nos places (les moins chères).
Nous étions bien installés, je pouvais même étendre mes grandes jambes, c'est assez rare pour le souligner !
Nous avions une belle vue sur la scène.
Et puis en guise de première partie, des images ont été projetées sur la scène avec une bande son très cool (qu'on imagine approuvée par Morrissey lui même) : il y eu du Stooges, du Eddy Cochran...
Et puis ce fut le moment pour Morrissey d'entrer en scène.
Les gens, Justine et moi, étions au taquet et nous l'avons accueilli avec l'enthousiasme qu'il mérite.
Il faut préciser que Justine et moi étions sans doute  parmi les plus jeunes fans, étant donnés qu'on écoute sa musique depuis « seulement » une dizaine d'années (peut être douze ans ou treize ans pour moi) : le public était truffé de clones plus ou moins loupés de Morrissey, arborant tous une houpette plus ou moins blanchie par le temps, telle celle que porte leur idole depuis trente-cinq ans.
Ca nous a pas empêché de prendre notre pied.
J'avais beaucoup d'espoir concernant la setlist en me basant sur les deux concerts des dates précédentes et je n'ai guère été déçu.
Il a chanté Girlfriend In A Coma, ce qui valait bien le prix du concert, mais il a joué encore d'autres chansons des Smiths et quelques unes de mes chansons préférées de sa carrière solo, comme Everyday Is Like Sunday (mon hymne) ou encore Suedehead (celle ci je n'avais pas osé l'espérée, puisqu'elle n'avait pas été jouée lors des deux dates précédentes).
Il a aussi jouée cette petite chanson sans prétention que j'affectionne particulièrement, « The Bullfighter Dies », hymne anti corrida qui fut jouée avec, projetées au fond de la scène, des images de toreros se faisant encornés, histoire de nous mettre dans l'ambiance.
Extraits :
Hooray, hooray
The Bullfighter Dies
And nobody cries
Because we all want the bull to survive
Je ne peux que chanter en chœur, moi qui déteste cette pratique barbare du plus profond de mon être (on en reparlera plus bas concernant Hemingway).
Le concert s'est terminé après quelque chose comme une heure et demi. Un spectateur d'âge mûr au t-shirt Led Zeppelin devant nous a laissé entendre son désespoir « c'était bien mais trop court ! ».
Moi, en tout cas, j'étais comblé et Justine aussi.
Quand nous sommes sortis j'avais très faim.
Je n'ai pu m'empêcher de saisir toute l'ironie de porter un t-shirt meat is murder tout en désirant au plus profond de moi même dévorer un bon burger avec un steak bien saignant.
Oh, parfois je me hais...
Nous avons retrouvés Charly avec lequel nous avons traversé tout le hall sans avoir réussi à localiser le moindre restaurant d'ouvert.
Ensuite nous avons appelé un Uber et nous nous sommes quittés.
Arrivés à l'hôtel, nous avons décidé de commander des menus chez McDonald's et c'est Justine qui a payé notre repas du soir, malgré mes (maigres) protestations.
Ce jours là, je m'en sors bien, pinte et burger gratuit, il fait bon d'avoir des amis généreux !
Nous n'avons pas eu grand mal à nous endormir et nous nous sommes levés très tôt pour prendre notre bus qui était prévu à 6h30.
Je ferais l'impasse que le retour sans histoires.
C'était vraiment une belle soirée, en y repensant, nous étions ravis.
Des soirées comme ça j'en voudrais bien chaque semaine...
En ce moment je suis encore dans ma biographie de Ernest Hemingway par Carlos Baker, j'arrive à la fin du premier volume.
La vie de l'illustre écrivain ne manque pas d'aventures et c'est donc sans m'ennuyer que je suis ses péripéties qui le mène à travers le monde, de Paris à Cuba en passant par New York ou Key West.
Quelque chose cependant me gène un peu (il serait peut être exagéré de dire que ça me choque) : la cruauté envers les animaux.
En effet, si vous êtes sensibles à la cause animale, ne lisez pas ce livre, car les animaux s'y font tuer environ toutes les deux pages, Hemingway ne pouvant s'empêcher de se payer un ours par ci, un canard par là, un cheval ici (il les tuait pour les utiliser comme appât à ours!), quand il n'est pas en train de s'extasier sur une corrida...
Tout cela ne m'empêche pas d'apprécier papa Hemingway mais je ne peux m'empêcher de déplorer tous ces massacres.
Mais, qui suis je pour parler, moi le carnivore qui vivrait mal sans sa part de quotidienne de charcuterie ?!
Avant d'achever ce récit (qui semble s'écrire tout seul, c'est agréable), il faut que je vous dise, j'ai fait une folie, alors que des concerts de Bob Dylan en France ont été annoncés, j'ai chopé une place pour une date à Lyon (on y reviens toujours) fin juin, et je n'ai pas fait les choses à moitié puisque j'ai pris une place catégorie diamant c'est à dire la meilleure place que je pouvais trouver, et elle m'a coûté très cher. Mais, on ne vit qu'une fois et puis, je n'ai pas revu Dylan en concert depuis presque treize ans et lui étant octogénaire, c'est sans doute la dernière fois que j'aurai l'occasion de le voir et de l'entendre.
Ainsi s'achève la note d'aujourd'hui, que j'ai pris, beaucoup de plaisir à écrire, j'espère que vous en aurez aussi à la lire, vous les trois ou quatre dernières personnes à me lire encore !
Veuillez pardonner mes fôtes d'orthographes et à la prochaine !
Bande son : Rough And Rowdy Ways, Bob Dylan
                     Playlist Morrissey & the Smiths
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beatlesonline-blog · 1 year
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windapapillon · 1 year
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Le monstre s'apprête à sortir. J'ai envie de boire. En fait non, juste en écrivant la première phrase, la bête s'est apaisée. L'envie s'est coupée.
Parfois j'ai l'impression d'être méchante, d'être mauvaise, même si je sais que je ne le suis pas bien-sûr. On a tous une part sombre n'est-ce pas ? Pendant des années j'ai lutté et enfouie cette bête au fond de moi, je ne l'ai pas laissée s'exprimer. Je la laissais sortir lorsque j'étais seule dans ma chambre, et c'était pas joli joli. À coups de bouteilles de vin blanc vidées et d'entailles sur les bras, je pensais l'apaiser. En fait, je ne faisais que la nourrir et la rendre plus forte. Je viens de m'en rendre compte, assise sur les marches froides d'un escalier en pierre. Mon cœur s'ouvre. Mon âme s'apaise. Et tout à coup, la gratitude m'envahis. J'ai envie de partager au monde ce que j'ai appris. J'ai envie de le crier dans la rue. "LES GARS, J'AI TROUVÉ LA CLÉ, J'AI TROUVÉ LE SECRET ! GLOIRE À DIEU, GLOIRE À L'AMOUR !"
Merci ✨
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yes-bernie-stuff · 11 months
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◀ 1ER JUIN ▶ Tout Pour Qu'Il Règne
Fils de l'homme, ces ossements peuvent-ils revivre ? Ezéchiel 37:3
La question renversante
Ce pécheur peut-il devenir un saint ? Cette vie tordue peut-elle se redresser ? Il n'y a pour cela qu'une seule réponse : "Seigneur, tu le sais, mais je ne le sais pas." Ne prétendez pas ici faire intervenir votre bon sens, en disant : "Oh ! oui, avec la lecture plus assidue de la Bible, un peu plus de piété, un peu plus de prière, nous arriverons à un résultat." Il est beaucoup plus facile de faire quelque chose que d'avoir confiance en Dieu. Stimulés par la peur, nous agissons. Mais ce n'est pas de l'inspiration, ce n'est pas de la foi véritable. Et c'est pourquoi tant de gens travaillent pour Dieu, sans collaborer vraiment avec lui. Au fond, est-ce que je crois que Dieu pourra faire ce qui m'est impossible ? Moins je me rends compte que Dieu est capable de venir à mon aide, et plus je suis enclin à désespérer de la conversion des autres. Si j'étais, grâce à mon expérience personnelle, tout pénétré de la grandeur et de la puissance de Dieu, alors je ne douterais plus qu'il pût sauver les autres, quelle que fût leur déchéance. Plus je manque de vie spirituelle, plus je suis envahi par le doute et la crainte. "Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel : Je vais ouvrir vos tombeaux..." Quand Dieu veut me révéler la corruption de la nature humaine, il ouvre mon tombeau. Il me fait voir en moi, pour autant que je suis en dehors de sa grâce, bien plus de possibilité de mal que le pire criminel n'en a jamais réalisé. "En moi, dit Paul, dans mon être charnel, il n'y a rien de bon." Dieu nous révèle ainsi par son Esprit ce que nous sommes naturellement, avant que sa grâce toute-puissante ait agi en nous. - Lire plus ici
: https://chretien.news/meditations-bibliques/?Tid=153&t=2
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christophe76460 · 2 months
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Liberté de l'esclavage après 12 ans... 😃😃
Regardez ce incroyable témoignage d'Anna à Dallas.
Il y a un pouvoir dans l'évangile de Jésus pour sauver et libérer les gens.
C'est ce qu'elle a dit :
Je m'appelle Anna. Quand j'avais 19 ans, je me souviens d'être allongé dans ma chambre, incapable de dormir sans raison particulière. La nuit suivante j'étais rempli d'anxiété, de peur de ne plus dormir. Cette peur m'a saisie. J'étais tellement confus. Cet été-là, ma famille pensait qu'il était préférable de traiter mon anxiété en passant plusieurs semaines en traitement résidentiel.
C'est à 19 ans qu'on m'a prescrit des médicaments et diagnostiqué pour la première fois. Ce fut le début de 12 ans de tourment. Médecin après médecin, médicaments après médicaments, diagnostic après diagnostic.
J'étais un mystère médical. J'ai toujours su au fond de mon cœur que les médicaments n'étaient pas la solution. Je n'ai jamais cru aux diagnostics non plus. J'ai été étiquetée et diagnostiquée avec un trouble anxieux généralisé, un trouble dépressif majeur, un trouble bipolaire I, un trouble bipolaire II et une psychose NOS.
Je restais éveillé pendant des jours et je pensais que j'étais fou en se basant sur la façon dont j'étais étiquet Chaque fois qu'un médecin essayait de comprendre, je me mettais en colère. Personne n'a compris le vrai problème. J'ai commencé à croire que Dieu m'avait abandonné. Le diable m'avait nourri de mensonges pendant des années, et je me suis finalement accroché et je suis arrivé à un accord. Quand j'étais plus jeune, j'aimais Jésus, mais j'ai maintenant pris la décision consciente de m'éloigner de Dieu. J'étais tellement en colère contre mes circonstances de vie
Cette colère a finalement et injustement été tournée vers Dieu. Je me suis accroché à ma morale aussi longtemps que j'ai pu. C'était à cette époque, j'avais des comportements tellement hors de mon caractère. Je me suis tourné vers l'alcool, la drogue et le sexe. La destruction m'a suivi. Perdre mon ex petit ami à cause d'une overdose d'héroïne m'a réveillé pour devenir sobre. Bien que Dieu ait béni cette décision, mon insomnie m'a toujours saisie.
J'ai commencé à regarder les vidéos de Torben en janvier 2019. J'ai entendu son message sur la repentance et le baptême. Bien que j'ai été baptisé quand j'étais jeune, j'ai ressenti cette poussée et cette envie en moi de me faire baptiser à nouveau. J'avais récemment changé toute ma vie. Cela a été un long processus pour moi d'abandonner toutes les substances prescrites et la nicotine. Mais je l'ai fait. Je pensais juste qu'il ne fallait qu'un miracle pour guérir. Je me suis accroché à Dieu avec tout en moi, encore tourmenté la nuit par quelque chose à l'intérieur qui n'était pas moi.
J'ai dit à mon ami que je voulais que Torben me baptise. Jamais je n'aurais su qu'il me baptiserait une semaine plus tard. Mon ami m'a surpris en m'emmenant voir Torben. Il venait d'arriver en Amérique. Aucune autre explication que Dieu ne peut décrire ce week-end au Texas.
Miracle après miracle, guérison après guérison. J'ai été baptisé et après le baptême j'ai parlé avec une femme qui a parlé dans ma vie. J'ai été prié et délivré et puissamment rempli du Saint-Esprit. J'ai rencontré Dieu au Texas et j'ai été guéri. J'ai une paix aujourd'hui que je n'ai pas ressenti depuis 12 ans. Je suis une nouvelle création. Dieu a restauré mon corps, mon esprit et mon esprit.
1 Timothée 1:7 dit ceci :
« Car Dieu ne nous a pas donné l'esprit de peur, mais le pouvoir, l'amour et l'esprit sain. "
C'est ainsi que Dieu nous a créés pour opérer. J'encourage tous ceux qui souffrent d'une maladie mentale, n'abandonnez pas. Tu n'es pas seul. Ce n'est pas toi. La liberté est possible ! Repentez-vous, demandez et recevez. Et laissez venir des bénédictions que vous ne saviez pas possibles.
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theoppositeofadults · 3 years
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je suis allée courir ce matin, caramba de chez caramba j’étais motivée comme jamais, c’était triple workout, non seulement mes jambes couraient comme si ma vie en dépendait, mais en plus j’avais une nouvelle playlist trop bien où je chantais (silencieusement) chaque chanson, et pour accompagner ce travail intense de mes poumons, mes bras faisaient les chorégraphies 
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chifourmi · 2 years
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Au fond rien n'a changé, hein? Tu ne m'as jamais quitté, toi, ma boule au ventre.
T'étais là quand j'étais en maternelle et que je faisais des cauchemars sur la mort. Mon père t'appelait "le nuage noir". Il plaçait sa main sur mon ventre pour essayer de te faire disparaître.
T'étais là en primaire quand ma meilleure amie ne m'autorisait pas à prendre plus de place qu'elle. Une enfant unique à qui on donnait toute l'attention. À partir de là, tu t'es mélangée à une profonde jalousie envers tous ceux qui vivaient comme ils le voulaient sans que personne ne les rabaisse.
T'es devenue ma différence, celle qui m'empêche d'agir, celle qui m'a rendue calme, trop calme.
En secondaire, je n'étais plus que l'ombre de moi-même parce que tu avais pris encore plus de place au creux de mon ventre. Tu me faisais constamment mal comme si t'étais devenue un ulcère. Chaque jour était un supplice.
Avec les confinements, tu as enfin disparu pendant un temps parce que je n'étais plus confrontée à mon manque de confiance en moi. Je pouvais être en paix avec moi-même.
Maintenant, tu reviens en force parce que j'ai ce putain de cours qui demande de la participation et Dieu sait à quel point je suis incapable de m'exprimer en public. T'es vraiment devenue une ennemie coriace qui me donne envie de m'arracher le ventre, le cerveau et le cœur.
J'espère sincèrement qu'un jour on pourra bien s'entendre.
(23/03/2022)
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