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#mouette rieuse
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Mouette rieuse - Si sa tête est blanche avec un point noir sur les côtés hors de la saison de reproduction, elle arbore de mars à juillet, en plumage nuptial, une face brune foncée.
Lieu : Boulogne-sur-Mer, Côte d'Opale
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philoursmars · 6 months
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017. Et elle sera close par Marseille aux vacances de Noël.
Au Vieux-Port, le Quai du Port au coucher de soleil. On y voit aussi une mouette rieuse, la plaque commémorant l'arrivée des Phocéens 600 av. J-C. pour fonder Massalia et le marché de Noël
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unamass · 5 months
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Mouette rieuse
photo:Pascal Maire
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franceevasions-vw · 1 year
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MOUETTES RIEUSES-Paris
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Photo by Valérie Wanègue
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carraways-son · 3 months
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Mercredi
Journée grise et froide, contrairement au chaud soleil et grand ciel bleu de la veille. Au bord de la Garonne, en pleine ville, cohabitaient sur quelques mètres carrés aigrettes garzettes, hérons cendrés, mouettes rieuses, goélands, canards colverts, et cormorans. Exilé loin de l'océan, j'aurais de la peine à vivre sans la présence du fleuve, de sa trouée lumineuse, ses échappées sur le ciel, son flot puissant. Je crois à cet instinct primitif qui nous pousse vers l'eau d'où un jour surgit en s'ébrouant la vie. Les chiens répondent au même appel. J'aime bien regarder le courant ou les vagues en leur compagnie.
Pour les amateurs de botanique, l'arbre ci-dessus est un margousier (Melia Azedarach).
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girafeduvexin · 8 months
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Reco librairie mais ma préférée à Paris s'appelle La Mouette rieuse, elle a beaucoup de livres différents, et un étage entier pour la jeunesse + un café pas trop cher (pour Paris). C'est au 17bis rue Pavée dans le 4ème arrondissement et c'est fort chouette. Ils ont même un site !
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mysadecstasy · 1 year
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C’est une errance. Une pluie de questions sans réponse au cœur d’un désert sans horizon. Je n’aime pas raconter des histoires. Je préfère la peinture, les couleurs et le mouvement, la musique et la chair. Je préfère que ça transpire et ne mène nulle part. Je veux décrire le sang et la brillance de ton regard. Décrire les ventres noués et les attentes insolubles sous le porche mitraillé par une pluie drue dans la nuit enchevêtrée de lumières blêmes. Je veux embrasser le ciel, je n’ai rien à dire je ne sais que ressentir.
C’est une errance, une déviance, un va et vient de l’âme, une dévotion à l’Éternel. Une errance douce amère sur les eaux saumâtres des fleuves qui meurent en mer. Qui se répandent et se désagrègent dans l’infinie pureté de l’océan. Vague après vague, en combien de temps une goutte parcourt elle les océans ? Errance sous les falaises laiteuses comme ta peau, marcher le long de la grève entre les bateaux échoués à marée basse. Mouettes rieuses et galets blancs. Marcher et revenir. Le retour paraît toujours plus court. La découverte rallonge le temps. Sous les falaises coiffées d’herbe grasse. Soleil couchant par delà les vagues écumeuses. Blanches comme un linceul.
C’est une errance, éternel recommencement, ta main dans la mienne nous allons boire du vin dans une petite auberge de briques rouges. Un grand magnolia en fleur sur nos têtes égarées. Le temps arrêté. Je te bois, je me perds en songe dans tes yeux hurlants. Seule nourriture ou presque. Admirer ton existence et accueillir ton étreinte comme une bénédiction. Chaque soir, dans le noir qui m’effraie tant, tes doigts pianotent sur mon dos. C’est la dernière extase.
C’est une errance, le vrai voyage. Ne se fixer que très peu de points de repères, avancer avec son cœur, ne pas trop spéculer sur les voies impénétrables. Être humble. Ne pas s’éparpiller en rêves mais embrasser l’instant comme une félicité. Et repartir nu, les poches vides, l’amour à sec, le cœur essoré, tout donner et encore plus. Telle est la mélodie de mon cœur écharpé. Toujours battant. Qui n’attend rien mais déguste la vie par petits bouts. Note après note jusqu’au final enragé. Après la grande escalade c’est un soleil rougeoyant comme les enfers qui nous éblouit. Sur ta peau rosée par l’effort il scintille de mille feux. Nous le regardons se noyer derrière les montagnes voluptueuses au loin. Lumière dorée, reflets majestueux, sur une traîne de nuage s’imprime un rose angélique. La nuit enserre la lumière il faut se hâter. Tes pas dans mes pas. L’émerveillement intouchable. À la nuit tombée les étoiles s’allument une à une. Nous n’avons pas compté le temps.
C’est une errance, un émerveillement de chaque instant. Tout doit aller plus vite. À cette époque du tout maintenant et tout de suite, les plus belles choses gardent leur pureté virginale. L’amour se construit lentement, pierre par pierre on bâtit sa pyramide. La nature va toujours au même rythme et les jours n’ont pas rallongé. Vouloir aller trop vite c’est oublier le bonheur et le plaisir qu’offre le fait de surmonter difficultés et souffrance, travail et échecs. L’expérience ne s’achète pas et c’est elle qui nous façonne. C’est elle qui nous façonne dans notre touchante balbutiante errance. Ne pas savoir quel chemin prendre est un don du ciel. Avoir le droit de se tromper est une chance. Et on ne peut rien réussir d’autre que de voir sourire ceux qu’on aime.
Ta main dans la mienne sous la voûte criblée du ciel. J’erre encore. J’errerai toujours dans ce labyrinthe schizophrénique. Entre horreurs et merveilles. Silence glaçant quand la musique s’arrête. Plaisir indicible quand sous un soleil cinglant je plonge mon corps entier dans des fontaines de marbre. Dans une torpeur soudaine mille souvenirs m’envahissent. Les odeurs, les textures remontent à mon âme. On pourra tout me voler sauf mes souvenirs et mon désir d’abandon à l’instant présent. Mi acteur, mi marionnette, qu’est-ce que le libre arbitre ? Sans penser je vogue sur un bout de bois sur la mer infinie des possibles. Je vogue le sourire aux lèvres jusqu’à l’inéluctable noyade.
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abdou-lorenzo · 2 years
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Vrai ! L’écume danse quand le femme est heureuse.
Vrai ! Le ciel sourit quand la mouette est rieuse.
Chaque vague arrivait sur la plage en chantant.
Qui sait si Debussy savait en faire autant !
Mais elle sautait comme un mouton de l’azur
En ouvrant grand ses bras pour accueillir le vent.
Un bateau qui passait n’était plus vraiment sûr,
De hisser sa voile et de revenir souvent.
L’horizon écrivait sur sa ligne infinie
Où personne, il est vrai, ne tournera la page!
Mais elle, elle savait qu’une autre symphonie
La verrait sautiller sur le bord de la plage.... 🥀🦋
Joël G
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darkpalmor · 23 days
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6 MARS 2024
Programme martial
Échauffement en cinq minutes : Un haïku ou un tanka (5 minutes) : Thème imposé, l’oiseau. N’importe lequel… Le tanka est une sorte de haïku prolongé, et compte cinq vers très courts, de 5 - 7 - 5 - 7 - 7 syllabes. La rime n'est absolument pas obligatoire, ni même nécessaire.
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Sous leurs ailes noires Le paysage défile. Les corneilles passent, Leur ombre trace un chemin Sur la neige immaculée. Sous leurs ailes blanches Et leurs allures canailles, Les mouettes rieuses N’ont pas toujours la vie belle Et font souvent les poubelles. Le petit canard Égaré parmi les cygnes, C’est un beau connard ! Il va dans la cour des grands Et se fait casser la gueule !
1°) Échanges épistolaires (15 minutes) : Du courrier en cascade. On écrira les quatre lettres échangées successivement entre trois personnages : André écrit à Bruno pour lui demander d’intervenir auprès de Caroline, Bruno écrit à Caroline, Caroline répond à Bruno et écrit aussitôt à André pour lui faire part de son ressenti à propos de cette intervention. L’intervention dont il s’agit se situe dans la sphère personnelle, mais André et Bruno sont dans une relation professionnelle. Caroline est liée à Bruno professionnellement, et ses relations avec André sont d’ordre familial. Débrouillez-vous avec ces indications. Chaque lettre doit avoir une dizaine de lignes au maximum.
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A->B : Monsieur le Directeur, Je me permets de vous soumettre un cas difficile sur lequel j’aurais besoin de votre intervention. Ma cousine, madame Caroline Dupont, est régulièrement envahissante et a tendance à occuper au moins un quart, voire un tiers, de la surface du double bureau qui lui est assigné dans l’open space, en doublette avec madame Jacquard, qui n’ose pas s’en plaindre auprès de vous et en a fait part en confidence à mon épouse, qu’elle rencontre au salon de coiffure. Mais je m’égare. Vous comprenez bien que je n’ai pas au bureau l’autorité légitime pour dire à ma cousine de prendre moins de place. Et en famille, il est malvenu de parler travail. Aussi je vous demande d’intervenir en ce sens, mais sans lui dire que c’est moi qui ai pris cette initiative. Vous pouvez, par exemple, si je puis me permettre une suggestion, lui faire installer une table basse, ou la déplacer au bureau double de monsieur Duval, qui est tout seul, et qui en serait sans doute très heureux, car il lorgne souvent sur ses jambes, qu’elle a fort jolies, au demeurant. Avec mes respects, et dans l’espoir que ma requête saura vous toucher, veuillez agréer, Monsieur le Directeur, etc. etc. André Martin, agent de surface. B->C : Madame Dupont, J’ai ouï dire, par votre cousin monsieur Martin, que vous appréciez d’avoir été embauchée dans le service que je dirige, sur ses recommandations. Je n’ai pas encore eu le loisir de constater de visu votre efficacité, mais les rapports hebdomadaires m’informent que vous êtes ponctuelle, que vous vous entendez très bien avec votre collègue dans l’open space. Donc, afin de mieux faire connaissance avec vous et avec vos capacités, je vous propose de participer de plus près aux décisions du management. Je vais donc vous faire préparer un poste de travail dans une partie du bureau directorial. J’avais envisagé d’employer monsieur Duval à ce poste, mais je pense qu’un œil féminin sera préférable. Vous intégrerez ce poste à la fin de la semaine en cours. Soyez assurée de ma bienveillance, etc. etc. Le Directeur, Bruno Retailleau C->B : Monsieur le Directeur, Je ne sais comment vous remercier de votre proposition, que j’accepte volontiers. Je m’efforcerai de me montrer à la hauteur, et j’espère que ce changement sera accompagné d’une promotion et d’une amélioration de mes conditions salariales. Mon cousin, monsieur André Martin, délégué syndical, sera certainement très attentif à ce dernier point. Avec mon respect, etc. etc. Votre dévouée future collaboratrice, Caroline Dupont C->A : André, mon cher cousin, Comment vas-tu ? On ne se voit pas beaucoup au boulot, la boîte est trop grande, mais il faut que je t’en raconte une bien bonne. C’est rigolo, tu le constateras. Le grand patron, le Retailleau, veut me prendre comme collaboratrice managériale au sein du groupe directorial, c’est à peu près comme ça qu’il me l’a fait savoir. Par courrier ! Tu te rends compte ? Dans son propre burlingue… Je ne sais pas ce que ça cache, et je me méfie. Tu sais qu’il y a déjà ce pervers de Duval qui me reluque tout le temps, et il paraît que le Retailleau il est encore plus chaud-chaud… J’ai dit que j’accepte. Mais c’est la mère Jacquard qui va me manquer ! Celle-là, elle est trop sympa, elle se fait toute petite pour moi, elle prend une partie de mon travail… Bref, André, je te tiendrai au courant. Et s’il me tripote, le Retailleau, avec le syndicat on va lui mettre les prudhommes aux fesses ! Fesses qu’il n’a pas très jolies, entre nous. Je t’embrasse, Caroline
2°) Défragmenter (10-15 minutes) : Petits bouts perdus. Ces cinq fragments sont à compléter et assembler librement, puis à développer en un récit dramatique. « … attendait on ne sait trop quoi, mais … » « … étaient comme ensorcelés par … » « … jours un chien divaguait … » « … pour laisser derrière soi les ténèbres … » « … voient de nous des détails que nous … »
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Les personnes qui nous environnent, souvent, voient de nous des détails que nous ne croyons pas perceptibles, des petits gestes que nous faisons sans y penser, des manières de parler qui révèlent des pans de notre être profond. Et à ce sujet, je me souviens que l’année dernière, un de mes bons voisins s’est montré sous un jour que je n’aurais jamais imaginé. Il était comme aux aguets derrière la clôture de son pavillon, il attendait on ne sait trop quoi, mais j’ai compris qu’il guettait le passage d’un animal qu’il détestait : tous les jours, un chien divaguait dans le quartier, sans son maître, laissant ses marques odorantes et glissantes un peu partout. Mon voisin allait lui faire un mauvais sort, et il attendait, bâton à la main. Immobile, tête raide, ses yeux étaient comme ensorcelés par une haine qui le dominait au point de le rendre violent. Et le chien arriva, pissa tranquillement ses trois gouttes sur le portillon. L’homme se précipita sur la bête en hurlant, essayant de lui casser la tête. Ce fut raté : le chien était trop vif et partit en courant. Cet épisode me fit comprendre que le brave homme était capable, comme tout un chacun, peut-être, de se transformer en criminel. L’être humain, trop souvent, sort de son calme apparent et sombre dans la folie meurtrière, pour laisser derrière soi les ténèbres d’une vie fracassée, d’un psychisme dévasté, alors qu’il serait si simple d’avoir un peu de tolérance, même envers un chien qui fait ses besoins où il veut.
3°) Asphyxie expérimentale (5 minutes) : écrire sans la lettre R ! On improvisera un court texte sur le thème imposé du piercing, sans employer une seule fois la lettre R.
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L’ombilic clouté d’un diamant, les lobes piquetés d’épingles oxydées, des joues où passe un vieil os de poulet, le nez augmenté d’un bel anneau jadis destiné à un bœuf de belle taille, le haut des épaules plein de signes cabalistiques bleutés, tout cela, ajouté à quelques tatouages bien placés mais dissimulés aux inconnus, fait la joie de mes yeux aux aguets de la fantaisie de cette jolie punkette qui m’aguiche…
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chaotictomtom · 4 months
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trop mimi que les mouettes de valence elles s'appellent les mouettes rieuses
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terreorange · 8 months
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À cloche-pied
À cloche-pied Pour être franc, je ne sais pas si cette mouette (rieuse ?) avait perdu une patte. En tout cas, le vent soufflait fort, ce qui décoiffait la belle. #photographie #photography #mouette
Pour être franc, je ne sais pas si cette mouette (rieuse ?) avait perdu une patte. En tout cas, le vent soufflait fort, ce qui décoiffait la belle.
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Mouette rieuse - Elle doit son nom à son cri semblable à un rire.
Lieu : Parc Charles Bertin - Douai
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philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 54110 photos (nouveau compte )
2014. Le long de l’Huveaune, il y a encore de la vie !
Des mouettes rieuses et des ragondins, un Chevalier guignette et une Bergeronnette des ruisseaux.
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unamass · 1 year
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Mouette Dans le brouillard.
Hossegor / France.
photo: Pascal Maire
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patricelecointre · 9 months
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Pour un séjour découverte entre les rivières de l’Aven et du Bélon !
A RIEC SUR BELON dans Le FINISTERE, La Maison d'Hôtes de Charme "LA MOUETTE RIEUSE" vous accueille au cœur de la Cornouaille pour un séjour détente dépaysant. Vous serez hébergés au calme de la campagne bretonne, à 10 km de la mer. A DECOUVRIR SANS ATTENDRE SUR http://www.trouverunechambredhote.com/fiche.php?aid=835
#Bretagne #Cornouaille #Mer #Charme #Detente #Sejours #Hebergements #Chambresdhotes
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carraways-son · 1 month
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Lundi
Dans le ciel, la lune sur la voie sereine de sa plénitude (ce sera samedi). Au bord de l'eau, les mouettes rieuses adoptent peu à peu leur masque estival. Pourquoi alors cette sensation pénible d'immobilité ?
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