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#nacre victoire
igniszzz · 8 hours
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kittynacrevictoire · 6 months
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mauvecityextra · 2 years
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Red or blue?
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chic-a-gigot · 2 months
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La Mode illustrée, no. 8, 21 février 1897, Paris.
Toilette de promenade. Modèle de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 67.
Tablier suédois pour jeune fille. Modèle de chez Mlle Rimbot, rue de Richelieu, 73.
Robe d'intérieur en cachemire uni et cachemire brodé. Modèle de chez Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43.
Toilette de jeune fille en mohair gris. Mod. de chez Mmes Brun-Cailleux, r. de la Victoire, 48.
Robe en serge d'Irlande vert. Modèle de chez Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43.
Robe en mohair bleu marine. Modèle de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 67.
Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Toilette de promenade.
Robe en drap mastic. Un galon de passementerie simule sur la jupe une robe de dessus aux deux coins de laquelle se trouvent des ornements en passementerie. Le corsage plat fait à pointe s'ouvre avec de larges revers sur un plastron plissé en soie de nuance claire, terminé au bord supérieur par un col droit plissé en soie. Les revers encadrés de galons en passementerie se rattachent derrière à un col carré; on rattache aux devants une ceinture Médicis en velours, ornée de grands boutons de nacre. Les manches garnies de galons en passementerie, ont des bouillonnés courts.
Mastic cloth dress. A trimming braid on the skirt simulates an outer dress on both corners of which are trimmings ornaments. The flat pointed bodice opens with wide lapels onto a pleated light silk bib, finished at the upper edge with a straight pleated silk collar. The lapels framed with braids are attached behind to a square collar; A Medici velvet belt is attached to the front, decorated with large mother-of-pearl buttons. The sleeves, trimmed with trimmings, have short ruffles.
Tablier suédois pour jeune fille.
Ce tablier suédois est fait en drap léger jaune soufre foncé; il se compose d'un seul morceau droit ayant 65 centimètres de largeur, 1 mètre 12 de longueur; ce morceau est froncé deux fois au bord supérieur, de façon à lui laiser 26 centimètres de largeur; on l'orne avec un morceau replié en dessus, triangulaire coupé en drap brun clair, ayant 16 centimètres de largeur au milieu, 4 centimètres sur les côtés, orné d'une bordure brodée étroite. On fixe sur le bord inférieur une bordure en drap brun clair ayant 26 centimètres de largeur, et l'on coud en même temps au bord inférieur du tablier une double bande de drap soufre, ayant 4 centimètres de hauteur, brodée de légères courbes au point de cordonnet. Les motifs ronds et ovales des deux bordures, dont les fig. 36 et 37 représentent le dessin, sont appliqués partie en soie vert olive, partie en soie blanche; on les brode en soie de cordonnet blanche, jaune, bleue au passé et points de fantaisie; les autres motifs sont faits avec les mêmes couleurs au passé et au point de cordonnet. Le tablier est retenu à la taille par une ceinture en drap jaune; le plastron du tablier est fixé au corsage par des épingles de fantaisie.
Le tablier peut être également exécuté en toile de couleur, et orné de bordures au point de cordonnet ou bien au point de croix.
This Swedish apron is made of light dark sulfur yellow cloth; it consists of a single straight piece 65 centimeters wide, 1 meter 12 long; this piece is gathered twice at the upper edge, so as to leave it 26 centimeters wide; it is decorated with a piece folded on top, triangular cut from light brown cloth, 16 centimeters wide in the middle, 4 centimeters on the sides, decorated with a narrow embroidered border. We attach to the lower edge a border of light brown cloth 26 centimeters wide, and at the same time we sew to the lower edge of the apron a double strip of sulfur cloth, 4 centimeters high, embroidered with slight curves in stitch. cord. The round and oval patterns of the two borders, including figs. 36 and 37 represent the design, are applied partly in olive green silk, partly in white silk; they are embroidered in white, yellow, blue cord silk with paste and fancy stitches; the other patterns are made with the same colors in past and cord stitch. The apron is held at the waist by a yellow cloth belt; the bib of the apron is attached to the bodice with fancy pins.
The apron can also be made in colored canvas, and decorated with cord stitch or cross stitch borders.
Robe d'intérieur en cachemire uni et cachemire brodé.
Cette robe est faite en cachemire bleu pâle uni, et cachemire brodé de même couleur. La robe-princesse est faite en cachemire uni; le plastron, les manches et la garniture sont faits en cachemire brodé. Les devants sont croisés et terminés à gauche sous une draperie formant écharpe. Le col et les manches sont entourés d'une fraise en cachemire.
This dress is made in plain pale blue cashmere, and embroidered cashmere of the same color. The princess dress is made of plain cashmere; the bib, sleeves and trim are made of embroidered cashmere. The fronts are crossed and finished on the left under a drapery forming a scarf. The collar and sleeves are surrounded by a cashmere ruff.
Toilette de jeune fille en mohair gris.
La jupe en mohair gris est entourée de six rangs de galons-mohair gris foncé; le corsage-blouse est orné devant et derrière de quatre rangs de galons. La fermeture du corsage sur le côté est couverte par un double volant de velours. Ceinture et col droit en velours; la ceinture est ornée d'un nœud sur le côté, on fait retomber une fraise en dentelle sur le col droit. Les manches terminées par un volant de dentelle sont garnies de bouillonnés courts au bord supérieur.
Le chapeau rond en paille noire, est garnie de soie mauve et de gloxinias.
​The gray mohair skirt is surrounded by six rows of dark gray mohair braid; the bodice-blouse is decorated front and back with four rows of braid. The bodice closure on the side is covered by a double velvet ruffle. Belt and straight collar in velvet; the belt is decorated with a bow on the side, a lace ruff falls on the right collar. The sleeves ending with a lace ruffle are trimmed with short bubbles at the upper edge.
The round black straw hat is trimmed with mauve silk and gloxinias.
Robe en serge d'Irlande vert.
Cette robe faite en serge d'Irlande verte, est garnie de rubans de velours noir, qui ornent le côtés gauche et le bord inférieur de la jupe. On fixe sur les côtés trois beaux boutons et des boutonnières simulées. le corsage plat fermé devant en biais, est garni sur le devant de gauche, avec des rubans de velours posés horizontalement; on pose sur le devant un morceau plissé, formant revers, orné de ruban de velours. Une ceinture de velours entoure la taille et se termine sur le côté par un nœud. Le haut col droit est garni en ruban de velours. Les manches sont garnies de ruban de velours, et ornées au bord supérieur avec deux volants.
This dress, made in green Irish twill, is trimmed with black velvet ribbons, which adorn the left sides and the lower edge of the skirt. Three beautiful buttons and simulated buttonholes are attached to the sides. the flat bodice closed at the front at an angle, is trimmed on the left front, with velvet ribbons placed horizontally; we place on the front a pleated piece, forming a lapel, decorated with velvet ribbon. A velvet belt surrounds the waist and ends on the side with a bow. The high, straight collar is trimmed with velvet ribbon. The sleeves are trimmed with velvet ribbon, and decorated at the upper edge with two ruffles.
Robe en mohair bleu marine.
Cette robe en mohair bleu marine est garnie au bord inférieur de la jupe avec plusieurs rangées de galons et de soutaches. Cette garniture se reproduit sur la veste courte à revers carrés, ornée de beaux boutons. La veste à manches est posée sur une blouse sans manches en soie rouge plissée, terminée par une ceinture et un col droit en velours bleu marine.
This navy blue mohair dress is trimmed at the bottom edge of the skirt with several rows of braid and soutache. This trim is reproduced on the short jacket with square lapels, decorated with beautiful buttons. The sleeved jacket is placed over a sleeveless blouse in pleated red silk, finished with a navy blue velvet belt and stand-up collar.
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trueallyps · 11 days
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Netzach - Le Cycle des Cieux
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La séphira de Netzach accueille le Royaume élohien de la Victoire. Sa capitale est Nogah et son archange-roi est Haniel.
Netzach est la septième des séphiroth. Elle est gouvernée par le choeur des principautés et par l’archange-roi Haniel.
A l’aube du Tohou, Netzach représentait le flanc gauche d’Adam Kadmon, le corps-univers. 
Dans le langage des élohim, le terme “netzach” signifie les émotions, et la victoire.
Netzach est l’univers des émotions, des sentiments, de l’amour. 
Les âmes doivent apprendre à céder à ces émotions, pour cheminer vers l’acceptation et l’amour. Une fois leurs émotions acceptées et développées, les âmes sont victorieuses et peuvent poursuivre leur chemin.
Netzach est un royaume-océan, ponctué d’îles luxuriantes et de palais de nacre. Au dessus s'étendent de vastes cieux bleus et violets, ponctués de nuages blancs.
Les élohim de Netzach font constamment la fête et leur réjouissances illuminent le paysage.
L’océan de Netzach est infini, comme le cosmos de Malkouth. Les élohim vivent autant au-dessus qu’en dedans. Mais cet océan peut être dangereux. Les élohim qui s’y aventurent trop profondément ne reviennent parfois pas.
L’heptagramme est un symbole de Netzach. Ainsi que la croix de vénus.
Découvrez Netzach dans, Le Cycle des Cieux, Tome 1, Les Gardiens de Sicad, disponible sur @worldanvil
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claudehenrion · 3 years
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Vacances n°8 : une autre humanité…
  Le 4 août (“Vacances, n° 5”), nous évoquions lesbouleversements qu'a subi notre univers de référence… en moins de temps qu'il n'en faut pour devenir vieux, mais d'autres sujets se sont intercalés. Il n'en est pas moins vrai que ce qu'on appelait “le monde” depuis des millénaires s'est effondré, comme un château de cartes. Les plus âgés d'entre nous se sentent parfois comme des rescapés d'une de ces catastrophes météorologiques qui ravagent la Grèce, la Californie, l'arrière-pays niçois ou le Var en une demi-journée : nous re-sortons de nos abris et nous ne reconnaissons plus rien. Les écolos-punitifs y voient du CO² et croient expliquer que ça devait arriver, etc… Au fond de nous, nous savons que ce n'est pas vrai.
En revanche, ce qui est vrai c'est que, en quelques décennies, on a assisté à la disparition totale de certains “types” humains, qui étaient le fruit d'un monde avant tout agricole. Je me souviens que fut très longtemps considéré “normal” un type d'hommes qui ne différaient que très peu de ce à quoi avait ressemblé leur grand-père… et le grand-père de son grand-père. L'archétype de “l'homme de la rue” était encore souvent assez proche de Clemenceau : grosses moustaches, embonpoint rassurant, canne, couvre-chef en toute circonstance, costume-cravate toujours, et col rigide parfois. Chaque année, nous allions en vacances en Haute-Savoie (il se disait qu'un séjour en altitude était nécessaire aux petits coloniaux –je n'ai jamais compris pourquoi) et j'étais toujours frappé par le fait que, tout au long de leur vie, les paysans des villages où nous allions ressortaient, à  chaque dimanche et fête carillonnée, le costume qu'ils avaient porté le jour de leur mariage –le seul de leur vie : usé, lustré par le temps, veste et pantalon plus du tout à la bonne taille… mais c'était le seul : pas le choix ! Et personne ne s'en étonnait : c'était “normal’’…
Plus tard, étudiant dans les années 1955 (et ce terrible hiver 1956, où nous traversions la Seine à pied sec sur 20 cm de glace), je me souviens de tout un monde de petits boutiquiers qui vivaient on ne sait comment, en vendant je ne sais quoi… mais dans un immense dégagement de vraie chaleur humaine, de familiarité polie, de serviabilité prête à se donner…  Paris et les grandes villes étaient une juxtaposition de villages, d'enclaves populaires dans des quartiers souvent partagés (dans la bonne humeur) avec ’‘les gens de la haute” (“Et pour Mâhhâme, ce sera, Mâhhâme ? Et deux boutons de nacre, deux !”, entendu chez la mercière du 92 rue de Rennes). Etudiant, je n'aurais jamais envisagé un petit déjeuner ailleurs que “Au rendez-vous du Bâtiment - Maison Paradou et de confiance”, entre deux égoutiers devant leur “champo” (mi-café, mi rhum) et un clodo entre deux alcools encore plus douteux. Seuls les films en noir et blanc des années 1960 peuvent donner une idée de ce qu'était la vie… Une vie qu'on considérait normale, et qui l'était : il y a 60 ans, on rencontrait encore dans les rues des personnages qu'on se souvenait avoir croisés dans “les Mystères de Paris”, d'Eugène Sue…
Le monde d'alors ne ressemblait presque en rien au “nôtre”. Il y avait encore dans les rues autre chose que des boutiques-de-fringues-de-marque…  Le “bistro-charbons” du bougnat devant lequel stationnait sa charrette de sacs de boulets, éternellement noirs lui et eux, la marchande des quatre-saisons et son charreton, le ramoneur et son échelle, l'ex-“gueule cassée” dans sa petite guérite où il vendait tous les de temps en temps un billet de loterie éponyme, un cordonnier dans une échoppe de 2 m sur 3, une vieille comtesse dont la mari avait épuisé une immense fortune “avec des gourgandines” et qui poussait à jamais un reste de voiture d'enfant contenant son univers, sans but ni “asile de nuit”… Et puis… l'univers fantastique des Halles, ses mille métiers et ses foultitudes qui vaquaient là, faute d'autres endroits à fréquenter et d'autres choses à faire… Eh ! bien, tous ces gens gardaient au fond d'eux-mêmes, dans la vraie dureté de leur vie, quelque chose d'indescriptible qui témoignait d'une continuité de la race humaine depuis l'origine du monde : des mêmes traits non seulement physiques mais moraux, sociaux et psychologiques, et une manière de se confronter avec la vie qui s'enracinait dans la mémoire d'une société traditionnelle… qui ont, tous, disparu aujourd'hui. Tous.
Un seul exemple suffira à montrer ce “grand chambardement civilisationnel” : le rapport à la mort. Jusque dans le années '60, comme depuis les tout débuts de l'Humanité –qui commence à partir du moment où nos lointains ancêtres ont “enterré” leurs morts, comme pour les accompagner vers des no man’s lands éternels– la porte de la maison ou de l'immeuble où quelqu'un était mort était ornée de grands voilages noirs : avec le mort, on honorait la mort, qu'on ne cachait pas comme maintenant où elle est ressentie comme une maladie honteuse, à taire, à ignorer, à oublier le plus vite possible. La mort d'un proche se confirmait pendant 6 mois ou un an par le port de vêtements noirs pour les femmes et d'un ruban noir (“le crèpe”) sur le revers de la veste ou autour du bras, pour les hommes. La solidarité, alors, n'était pas un mot, et c'est sans doute là l'un des signes les plus marquants –et les plus significatifs– du changement de civilisation qui a fait de nous des êtres “de passage”, sans racines, sans “début” donc sans finalité : n'ayant plus de passé, notre présent étant ce qu'il est, comment pourrions-nous avoir un futur ? N'ayant plus “été”, nous ne pouvons plus “être”, dans la complétude de ce terme.
C'est à partir du grand chambardement des années 1965-1968 que tout ce qui était, par définition et par construction, simplicité, gaîté, pudeur, réserve, respect de l'autre parce qu'il est “l'autre”, mais aussi confiance sans arrière-pensée et foi dans l’entraide mutuelle (qu'il faut un cataclysme et la présence de caméras pour voir, de nos jours) a commencé à disparaître. Ce peuple-là s'est d'abord étonné de ne plus se retrouver lui-même en lui-même, puis il s'est dissous, tristement. Une nouvelle humanité a vu le jour, qui se proclamait plus solidaire, ce qui était faux : elle dépendait en tout de l'Etat anthropophage, et plus de la gentille voisine du dessus –une Fleur de Marie qui n’était pas une dévoreuse, elle. Mais qu’elle était serviable !
Bientôt, comme le suggère Patrick Buisson, tout ce changement-pas-toujours-pour-du-mieux allait déborder sur un “Homme nouveau” –rêve des fous, hantise des sages– obsédé par un  hédonisme inauthentique car trop anthropocenté : on nous faisait croire que Dieu était mort… alors qu'Il nous regardait simplement nous enfoncer, puisqu'on l'avait rejeté… L’idéologie d'un pseudo bien-être redéfini par des technocrates n'a pas rapproché l'humanité du bonheur, au contraire. Le grand lavage de cerveau d'un soi-disant humanisme progressiste, qui est en réalité rétrograde et déshumanisant, a débouché sur ce que Noam Chomsky avait appelé “le troisième totalitarisme” (dans Chroniques orwelliennes), dans lequel nous nous enfonçons sans espoir –mais sans nous en rendre toujours compte–, et contre lequel grévistes, gilets jaunes, bonnets rouges, non-vaccinés, anti-éoliennes, pompiers, soignants, parents d'élèves –et dans le fond : tout le monde, peu à peu et à tour de rôle– se révolte en vain : le “système” refuse de nous entendre. La fin de l'humanité que nous avons connue et aimée est “en marche”. Elle semble, pour l'instant, voler de ses victoires en nos défaites. Jusqu'à quelles profondeurs abyssales ou jusqu'à quelles violences allons-nous tomber ?
On découvrira trop tard que ce qui a disparu dans ce grand ethnocide culturel, c'est l'Homme et cette “race humaine” qui savait, par transmission et par sagesse ancestrale, que ’'on n'a pas besoin du bonheur pour être heureux’’, surtout tel qu'imaginé par un énarque. Au fond, il suffit d'aimer ce que l'on est et ce que l'on a… en attendant, en espérant ou en refusant (c'est selon !) une éternité  à laquelle croient certains –et qui existe peut-être : personne n'est jamais revenu dire qu'il n'y avait rien, de l'autre côté, et les systèmes réputés 'intelligents’’ ou “raisonnables” (puisque qu'ils obéiraient à cette “raison raisonnante” qui était si mal définie par les “Lumières”) qui  reposent tous sur des hypothèses guère plus démontrées que les fariboles (?) de nos ancêtres. A ceci près qu’ils avaient le plus souvent, un espoir, eux, alors que nous… Sommes-nous pleinement satisfaits de notre situation actuelle ? sommes-nous plus heureux qu’avant ? avons-nous raison de persévérer dans ce sens ? Ou, à l'opposé : aurions-nous vraiment tout faux ? et si “oui”, comment rectifier la trajectoire, s'il est temps encore ? Bonne fin de vacances…
H-Cl.
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raketawatches-blog · 5 years
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igniszzz · 2 months
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