Tumgik
#ni l'un ni l'autre
mona-liar · 1 year
Text
Nothing is more enraging than people getting heated about topics they completely miss everything about and then only proceed to talk complete bullshit
6 notes · View notes
coolvieilledentelle · 3 months
Text
La vie s'apparente à la mer. Il y a le bruit des vagues, quand elles s'abattent sur la plage, et puis le silence d'après, quand elles se retirent. Deux mouvements qui se croisent et s'entrecoupent sans discontinuer. L'un est rapide, violent, l'autre est lent. (…) C'est ça la vie… C'est le mouvement, c'est le rythme, le fracas parfois, durant la tempête, et le doux clapotis quand tout est calme. Mais le clapotis quand même. Un bord de mer n'est jamais silencieux, jamais. La vie non plus, ni la vôtre, ni la mienne.
Agnès Ledig
99 notes · View notes
allen-san · 18 days
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Autant dire que le cheveux inversé ça ne va bien ni à l'un, ni à l'autre XD
14 notes · View notes
cendres-et-volcans · 7 months
Text
Elle était radicale en tout, sans aucune concession dans aucun domaine.
L'amour, le travail, l'écologie, l'amitié, la politique, l'art... sur un pied d'égalité.
Elle m'aimait avec la même force qu'elle luttait pour un monde meilleur.
Comment ne pas l'admirer ni en prendre ombrage ou s'offusquer ?
Elle était mon opposée en tout, presque, mais pas seulement.
Elle travaillait dans un musée, avec des enfants. Jamais elle ne m'a expliqué quoi que ce soit. Je l'attendais seul, ou plutôt, j'attendais seul.
Face a un bronze, un tableau ou un planning. Sans instructions ni orientations. Regarder pour exister ou comprendre.
Je n'étais la que pour elle. L'art pour moi, est secondaire. Comme la ponctuation ou les encadrements. Elle est un astre et moi je prioretise.
Cependant, assis, patientes heures, j'ai côtoyé la beauté.
Comme d'autres. Merci.
Sans la comprendre souvent, sans savoir. Mais là aussi, reconcilions sensations et savoir et oublions les hiérarchies. L'un ne va pas sans l'autre a priori.
De longues heures donc, antichambre de sa beauté. Parce que la voir, l'embrasser, la retenir et la dévêtir a toujours eu le goût de l'éternité.
Je pense à elle, je pense a toi devant chaque tableau
A chaque fois.
21 notes · View notes
claudehenrion · 15 days
Text
Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
7 notes · View notes
firebirdxvi · 4 months
Text
Fils du Feu Seconde Réminiscence
Tumblr media Tumblr media
Le petit garçon attrapa la balle en cuir dorée qui roulait vers lui dans sa main potelée. Il l'examina sous tous les angles, la passant d'une main à l'autre avec intérêt, et la laissa échapper. Avec une plainte sonore, il se déplaça à quatre pattes de quelques centimètres sur le tapis précieux qui recouvrait le sol de la chambre d'enfant et parvint à la récupérer avant qu'elle ne soit hors de sa portée. Il la fit rouler un instant sur le sol, puis avec toute la force dont pouvait faire preuve un enfant d'un an, l'envoya en direction de son grand frère qui se trouvait à quelques mètres.
- "C'est bien, Joshua !"
Son petit frère ne savait pas viser juste et Clive dut s'allonger de tout son long par terre pour attraper le jouet, ce qui fit rire le bébé. Clive aimait particulièrement ces fins d'après-midi ensoleillées, quand les rayons du jour commençaient tout juste à baisser et teintaient de feu tout ce qu'ils touchaient. C'était le moment où on le laissait jouer avec son frère sans rien lui demander d'autre. Il ne ratait pas un seul progrès de Joshua. Tout à l'heure, ils iraient prendre une collation légère, et ensuite ce serait le dîner. Insoucieux de tout sauf de s'amuser avec son frère, il renvoya la balle, pas trop fort pour que le bébé puisse l'attraper. Ce qu'il fit avec brio en étendant à peine le bras.
Ils n'étaient pourtant pas seuls dans la pièce. Une gouvernante les surveillait de loin, occupée à astiquer les meubles, un sourire aux lèvres. Sourire qu'elle perdit en se rappelant qu'à quelques mètres d'elles, l'archiduchesse Anabella était occupée à un travail d'aiguille, assise dans un fauteuil de velours rouge. Elle ne regardait pas ses fils, et restait concentrée sur son ouvrage. La broderie était l'une des rares activités auxquelles une femme de son rang pouvait s'occuper sans s'attirer de moqueries.
Le motif représentait un phénix doré, les ailes déployées, sur fond rouge sang. Il était destiné à être cousu sur une courtepointe pour le jeune Joshua. L'enfant n'avait encore manifesté aucun pouvoir particulier, mais l'espérance d'Anabella ne faiblissait pas.
Tumblr media
L'archiduchesse avait fait montre de la plus grande patience depuis qu'elle avait épousé son cousin Elwin. Il n'avait jamais été question d'amour entre eux. Le but de leur union avait toujours été, depuis le début, de redonner vie au Phénix. Depuis que le père d'Elwin, le précédent Emissaire, avait connu une mort précoce - ce qui semblait le lot de tous les élus du Phénix -, on avait guetté avec attention les signes du Primordial chez un de ses deux fils. Mais ni Elwin ni Byron n'en avait manifesté le moindre. Les Emissaires ne découvraient leurs pouvoirs que dans leur jeunesse, rarement après quinze ou seize ans. Passé cet âge, on devait se résigner à attendre la prochaine génération.
Elwin avait accepté d'assurer la régence jusqu'à ce que l'un de ses enfants se révèle le prochain Emissaire. Ce n'était pas la première fois que cela se produisait, mais les Rosaliens étaient attachés au Phénix et préféraient que leur archiduc soit aussi leur Emissaire. Cependant, le peuple adorait Elwin ; pour ses positions que l'on qualifiait de progressistes sans doute. Anabella était loin de partager toutes ses vues, notamment au sujet des Pourvoyeurs. Elle estimait que chacun devait demeurer à sa place dans le monde et pour éviter des querelles avec son mari, elle n'avait pris aucune Pourvoyeuse à son service personnel.
L'archiduchesse piqua de nouveau son aiguille et leva les yeux vers les deux enfants cette fois. La balle roulait entre eux, accompagnée des babillements de Joshua et des encouragements de Clive. Elle se demandait bien pourquoi son aîné trouvait ça si amusant... Elle n'avait eu aucun attrait pour ces jeux avec Clive, et n'en ressentait toujours aucun aujourd'hui. Pourtant, la naissance de Clive lui avait procuré une grande joie. Etant le fruit de l'union de deux Rosfield, il avait toutes les chances de devenir le futur Phénix. Sa fierté d'avoir accompli le devoir pour lequel elle pensait être née l'avait sans doute fait trop anticiper le résultat...
Six ans s'étaient écoulés et Clive restait un enfant des plus ordinaires. Ressemblant trait pour trait à son père cependant. Anabella détestait l'ordinaire. Elle voulait donner naissance à un dieu, pas à un petit garçon sans intérêt. Bien qu'elle ne désespérât pas que son aîné se révèle être le Phénix plus tard, Joshua lui semblait plus prometteur. Peut-être parce qu'il lui ressemblait davantage, à elle, avec ses cheveux d'or et ses yeux clairs. Elle avait lutté pour qu'Elwin pense à son devoir conjugal... Le Phénix, le Phénix, lui répétait-elle sans cesse. Il fallait que le Phénix revienne. Et surtout, qu'elle en soit la mère. Elle n'accepterait jamais que son mari la répudie si elle échouait. Même si Elwin passait davantage de temps auprès de ses soldats, dans les casernes ou les écuries, qu'auprès d'elle dans la chambre maritale... Elle ne doutait pas que si on avait le moindre doute sur son capacité à donner naissance au prochain Emissaire, on la forcerait à partir. Elle savait qu'un certain ordre occulte, lié au Phénix, attendait le retour de leur dieu et qu'il disposait d'un certain pouvoir politique, même si Elwin prétendait le contraire... Un de ses fils devait absolument devenir l'Emissaire de Phénix au plus vite ; Anabella était capable de patience mais seulement jusqu'à un certain point...
Tumblr media
Elle était encore jeune et belle, si elle devait enchaîner les grossesses jusqu'à ce que cela arrive, elle le ferait. Quitte a rappeler à Elwin ses devoirs d'époux le plus souvent possible...
- "Oh ! Vous le taquinez beaucoup trop, messire Clive !" s'exclama la gouvernante, qui se rattrapa aussitôt en se rappelant que sa maîtresse l'écoutait.
Anabella lui lança un regard courroucé avant d'observer de nouveau les deux enfants. Son aîné jouait à lancer la balle en l'air et à la rattraper ; le petit Joshua scrutait, fasciné, le mouvement du jouet de haut en bas, mâchonnant son propre pouce. A un moment, Clive tendit la balle vers son frère, ponctuant son geste d'un amical "allez, viens, la chercher, Joshua !", sachant bien que son petit frère n'avait pas son pareil pour évoluer à quatre pattes. Il donnait souvent bien du tracas aux gouvernantes qui devaient aller le chercher sous les tables ou les lit dès qu'il lui prenait l'envie d'explorer une nouvelle pièce.
Anabella soupira d'ennui et retourna à son ouvrage minutieux. Une maille après l'autre, l'oiseau de feu prenait forme... Elle sourit pour elle-même. Bientôt, très bientôt...
Cependant, les deux Rosfield continuaient de s'amuser. Ayant fini de mâchonner son doigt, et comme hypnotisé par son frère qui lui tendait les bras pour l'inviter à le rejoindre, le petit Joshua fronça les sourcils et serra ses petits poings sur ses yeux. Il contracta ses bras, les lança en avant et se prépara à avancer grâce à son moyen de locomotion favori... Joshua se pencha en avant et son frère cru un instant qu'il allait faire une simple galipette, et voulu se précipiter pour le retenir, mais ce ne fut pas ce qui se passa.
Le petit tendit les jambes et resta dans cette position, la tête en bas pendant un moment, avant de pousser sur ses mains. Ce faisant, il parvint à se redresser sur ses jambes flageolantes, piétinant un moment sur place pour trouver son équilibre. Clive n'en croyait pas ses yeux.
- "Joshua, tu es... hey ! tu t'es mis debout, je rêve pas ?!"
Le petit garçon tourna sur lui-même, comme un peu perdu par cette nouvelle perspective sur le monde autour de lui, puis fit de nouveau face à son grand frère dont les yeux étaient tout à fait écarquillés de surprise. Clive, fou de joie, ouvrit les bras vers Joshua et se mit à l'encourager comme il le pouvait, mais sans faire un pas vers lui. Il resta assis sur le tapis à quelques mètres, attendant ce que son frère allait faire.
Il n'attendit pas plus longtemps. Retirant son pouce de sa bouche, décidé à affronter la situation dans laquelle il s'était mis, Joshua posa un pied devant l'autre. Ecartant les bras pour assurer son équilibre, il sembla comprendre la manoeuvre à effectuer.
- "Oh, par le Fondateur ! Ma Dame !..." cria de nouveau la gouvernante qui avait abandonné son chiffon.
Anabella leva encore les yeux et faillit lâcher son ouvrage de surprise. Elle vit son cadet, âgé d'à peine un an, debout sur ses courtes jambes tremblantes, avançant à petits pas vers son aîné, qui ne cachait pas sa joie. Son visage était radieux, ses paroles à fois douces et énergiques, et Joshua y répondait avec empressement. Trop peut-être. Il se prit les pieds dans un pli du tapis et tomba du haut de sa petite taille face contre le sol. Clive retint son réflexe premier de voler à son secours, car l'enfant ne s'était apparemment pas fait mal, le tapis étant bien assez épais pour amortir sa chute. Au lieu de cela, il redoubla de conseils de bravoure :
- "Allez, Joshua ! Il faut te relever ! Il faut toujours se relever quand on tombe ! Ca fait pas mal, tu es plus fort que ça ! Tu peux le faire !"
Tumblr media
Le petit garçon, le visage tordu par la déception qu'avait causée sa chute, une petite larme au coin de l'oeil, regarda de nouveau son grand frère, et, bien décidé à l'atteindre, réitéra la même opération délicate que quelques minutes plus tôt. Il raidit ses jambes, prit appui sur ses mains, qu'il frotta un peu comme si elles étaient sales une fois debout, mais ne tourna pas sur lui-même ; cette fois, il se dirigea droit vers Clive sans y réfléchir. Il levait bien ses petits pieds pour ne pas tomber une nouvelle fois. Clive était aux anges ; son frère avait parcouru la moitié de la distance.
Anabella contemplait cette scène sans oser intervenir. Mais ses doigts étaient crispés sur sa robe... Inconsciemment, elle espérait que Joshua se lasse de ce jeu, se laisse tomber à terre pour rejoindre son frère, ou même mieux encore : qu'il retourne à sa place loin de Clive et que celui-ci cesse de sourire bêtement... Une rage sourde qu'elle n'avait encore jamais connue lui fit bouillir les veines. Elwin aimait tellement Clive... Si Joshua se mettait aussi de la partie, elle n'allait pas pouvoir le supporter...
Cet enfant osait lui voler un moment qui aurait du être le sien. C'était vers elle que Joshua aurait du marcher. Elle était sa mère. Ses premiers pas auraient du être pour elle. Pas pour... lui.
Tumblr media
Elle se força à rester calme et à attendre la fin de cette humiliation en silence. Lorsque les doigts de Joshua touchèrent ceux de Clive, le petit, épuisé, se laissa tomber dans les bras de son aîné, qui l'entraîna au sol avec lui, ivre de joie pure. Les deux enfants se roulèrent sur le tapis, comme deux vulgaires garçons de ferme, Clive pressant son petit frère contre son coeur.
- "Tu l'as fait, Joshua ! T'es le plus fort ! Je suis si fier !"
Joshua gloussa de plaisir en tâtonnant le visage de Clive de ses doigts curieux.
- "Claaaaa... Claaaa," répéta-t-il en attrapant l'oreille de son frère.
Ce n'était pas la première fois que Joshua essayait de prononcer son nom mais Clive se sentait beaucoup trop heureux aujourd'hui.
- "Oui. Encore. Vas-y : Claaaaa-iiii...", prononça l'aîné, tenant son petit frère attentif sur ses genoux.
L'archiduchesse n'en supporta pas davantage. Elle se leva et ce fut à ce moment que Clive se rappela de sa présence.
- 'Mère ! Il... il marche !" osa-t-il dire en limitant son enthousiasme.
- "Vraiment ? Merveilleux."
- "Père devrait le savoir, c'est un jour important..."
- "C'est un jour comme les autres. Quand il aura manifesté le pouvoir du Phénix, ce jour-là sera un jour important."
Elle quitta la chambre sans un mot de plus, ni aucun geste maternel envers ses fils, suivie de sa servante.
Elle s'était sentie trahie, mise de côté par ses propres rejetons. Elle n'était pas prête de l'oublier. Mais si Joshua se révélait être l'Emissaire, elle pourrait peut-être lui pardonner.
Peut-être...
Tumblr media
12 notes · View notes
homomenhommes · 3 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 78
Samedi PM
J'arrivais à la maison en même temps que Marc. Je lui racontais ma matinée. Il est toujours mort de rire de mes petits plans annexes. Quand je lui donnais le montant du " butin ", il me demanda sérieusement si c'était vrai. Je lui dis que je n'en mettrais que les 2/3 dans le plan officiel que m'avait organisé le père de Ric (banquier) sur lequel je payerais impôts et retraite et avec le reste, j'allais m'acheter un nouveau casque et une nouvelle combi en cuir.
Mon pécule monte vite (et officiellement) et bientôt je pense que je pourrais m'acheter une voiture sportive. Encore quelques gang bang de Ric et si je veux l'acheter neuve, il faudra que je fasse passer Jean au même régime (20K euro net par soirée, ça élargit vite le panel de model !).
Bon j'aime pas les Porches ni les italiennes, je préfère les anglaises.
Pendant que nous déjeunons, Marc me dit avoir contacté deux " jeunes serveurs " pour nos soirées spéciales. Il avait laissé une petite annonce sur un site de cul (il ne veut pas me dire lequel !) et dans la masse de réponses a sélectionné pour commencer deux jeunes beurs. Il me dit avoir choisi en fonction de l'age (majeur, mais pas plus), du physique (bo mec), de la musculature (bien musclés) et de leur expérience en service et obéissance.
Ils doivent venir vers 17h pour " évaluation " et seront là jusqu'au dimanche soir. Du coup pour demain, il a demandé à Bruno et Arnaud, Igor et les jumeaux ainsi qu'à Eric de se joindre à nous pour un brunch.
Je suis impatient de les voir.
17h pile sonnette. Marc est content de la précision.
Je vais ouvrir. Sur le perron deux beurs, 1,80m environ cheveux courts, rasés de près, en jeans baskets et blousons cuir. Ils ont l'air un peu surpris d'être deux. Derrière dans la cours deux voitures propres à défaut d'être récentes.
Ils me demandent : Monsieur XXXX ? Je leur répond " non " mais que je les conduits.
Marc nous attends dans son bureau (sérieux !). Une fois entrés je referme la porte et reste adossé à elle. Ils sont debout devant le bureau. Quand Marc lève les yeux de leurs dossiers, ils se présentent. Ammed XXXX. Samir YYYY. Marc les examine de la tête au pieds. Il demande à voir leurs papiers. Ils s'exécutent, carte d'identité et permis de conduire. Marc leur explique que ce WE sera un test pour eux et que si ils donnent satisfaction, ils seront retenus. Il leur demande de se mettre à poil. Sans gène, les deux jeunes hommes se déshabillent. Marc les stoppe quand ils sont en slip. Samir est en jock blanc qui ressort bien sur sa peau naturellement bronzée. Son paquet est avantageux bien qu'il ne bande pas. Ammed lui est en slip blanc Dim. Il semble être lui aussi bien pourvu par la nature. Après cette pause, Il leur dit d'enlever ce qui reste. Placé dans leurs dos, j'ai une vue directe sur leurs fessiers qui se contractent lorsqu'ils se baissent pour faire attraper leurs slip et les mettre sur le tas de vêtements. Marc se lève et s'approche d'eux pour les examiner de plus près. Je me place sur leur profil afin de voir leurs deux faces. Marc palpe leurs muscles, vérifie la tonicité de leurs peaux, soupèse leurs couilles. Moi, j'observe qu'ils ont l'air bien monté car sans bander leurs bites circoncises font déjà bien 12/13cm. Marc leur demande de bander. Un peu gênés par l'aspect clinique de la chose, ils ont un peu de mal à démarrer. Mais à se mater l'un l'autre, ils arrivent à un résultat fort honorable. Marc me demande de prendre les mesures. Samir gagnant avec un engin de 19,5cm x 6 avec un gland en champignon Ammed second avec une bite de 19,2cm x 5,6, gland en forme de grosse olive.
Marc leur signifie que ça lui va. Il leur précise ce que l'on attend d'eux. Tous les vendredi soirs ils viendront faire le ménage de notre donjon. Au cas où une touze sera organisée pour le WE, ils resteront sur place et commenceront leur service aussitôt, sinon il seront libre le WE. Ils devront maintenir leurs musculatures en l'état actuel et même augmenter leurs volumes si possible. Pour cela ils auront accès pendant 1 à 2h à notre salle de muscu avant chaque service. Ils oeuvreront en shorty en latex ou cuir, jamais totalement nu. Ils devront veiller à : - La présence de tout le nécessaire (Kpote, gel, godes, savon et draps de bains et PQ dans les sanitaires) aux bons endroits (plan à l'appui). - Faire le service lors des repas, buffets et autres phases de restauration. - Prévenir tout risque de pénétration sans Kpote hors quelques couples bien définis dont ils auront les photos pour les mémoriser. - Réponde à toutes demandes autres qu'un acte sexuel. C'est à dire aider à la manutention des corps, mises en places etc. Car bien sûr, aucun acte sexuel avec quelqu'invité que ce soit n'est autorisé. Pas plus une petite pipe qu'une sodo. Ce serait un motif de renvoi immédiat. Une dernière chose, il vont devoir se raser ou s'épiler totalement les bras, Jambes, fesses et couilles avant toute chose.
A l'énoncée de ces quelques précisions, pas de réaction jusqu'à la réduction pilaire, surtout de Samir un peu plus velu que son collègue. Marc précise que ce dernier point est impératif.
Comme ils ont l'air d'accord, Marc leur dit de remettre leurs slips et leur propose un tour des lieux.
La visite commence par la maison, cuisine puis salle de muscu et sanitaires qui les laisse sans voix. Marc précise que c'est là les installations qu'ils pourront utiliser. Ils ont l'air assez contents. Pour les passage entre les bâtiments, Marc a acheté pour eux des grand manteaux blancs type doudoune de ski alors que nous et nos amis utilisons de longs manteaux de fourrures. Il leur dit de les mettre et nous traversons la cour. Entrée au donjon. Ils sont impressionnés par notre installation. Marc leur précise tout ce qu'il y a à faire pour maintenir l'endroit en l'état. Sols, sanitaires, graissages des cuirs (sans excès)... ils découvrent l'étage et sa literie spéciale. Marc précise que les draps spéciaux doivent être changé entre chaque partie lors des touzes. Nous finissons la visite par " mon " appartement qui sera le leur lors des quelques heures de repos qu'ils pourraient avoir. Disposer d'un seul grand lit pour deux ne les choque pas. La petite cuisine avec le frigo. Pour leurs repas, ils se débrouilleront pour venir y manger à tour de rôle. De retour dans la maison, ils nous disent être d'accord avec les conditions.
Quand Marc ajoute que chaque WE complet sera payé 750 euros et les vendredi simples 150, ils demandent où ils doivent signer.
Il est déjà 19h30. Marc décide d'une séance de muscu pour tous afin de voir leurs musculatures après travail.
Nous descendons puis Marc et moi nous nous mettons en jock. J'en choisis un à lacets qui moule encore plus mon paquet.
Nous avons droit à quelques commentaires élogieux sur notre propre plastique. Marc dirige la séance et nous sommes tous à suer. Nous tournons au développé couché. J'arrive actuellement à soulever sans problème 110Kg. Les deux beurs, eux, calent à 60. mais l'effort à bien fait gonfler leurs pecs. Nous enchaînons par un peu de travail des dorsaux puis pour finir une bonne demi heure d'abdominaux. Les serviettes sur les bancs ont pompé une bonne partie de la sueur mais nous sommes quand même ruisselant en fin de séance.
Marc aligne Samir et Ammed et contrôle de nouveau leurs physiques. Les muscles ont bien gonflé et ils sont encore plus beau. Y'en a qui vont avoir du mal à pas leur sauter dessus !!
Tous sous la douche. lavage. Rinçage et Marc annonce la réduction de leurs pilosités. Là c'est à moi d'oeuvrer. Je vais chercher la crème dépilatoire et les rasoirs.
Ils sont très brun mais peu poilu. Heureusement pour eux. J'étale une bonne couche de crème sur les avants bras, les jambes et les cuisses puis fini par leurs fesses et le triangle du bas du dos. 15mn plus tard, je racle la crème et tous leurs poils viennent avec. Je les rince et leur applique une crème apaisante. Ils sont étonnés du résultat. J'attrape le rasoir et entame la partie avant. Mousse à raser sur les couilles. Malgré l'appréhension ils bandent. Ça va me faciliter le travail. A genoux devant eux, je leur demande d'écarter les jambes et attaque les bourses. Une fois ces dernières bien lisses, je remonte sur la touffe pour la réduite à une barre horizontale de 10cm de large sur 1cm d'épaisseur et je taille cette dernière à 1cm de longueur. Je rince le tout et me recule. Marc et moi admirons le résultat. Ils sont superbes. Nous sommes excité et nos bites le montre. Je glisse dans l'oreille de Marc que nous nous pourrions quand même profiter de leur corps. Il hésite un peu puis leur demande si cela les intéresseraient de se faire un petit intermède avec nous. comme ils sont d'accord, il leur ordonne d'installer les slings après leurs avoir montré où ils étaient et les anneaux du plafond. Puis il leur dit de se placer dessus. L'obéissance est parfaite, on voit leur expérience. Ils placent direct leurs pieds dans les cales prévues et les bras tendus tiennent fort les suspentes. J'arrive avec les Kpotes et enfile la mienne après avoir recouvert Marc. Marc prend Ammed et je m'occupe de Samir. Un peur de gel sur leurs anus et nous les défonçons d'un puis rapidement de deux doigts. Ils entrent bien. Quand j'essaye de les écarter dedans, je sens une bonne résistance. Je demande à Samir de serrer et je me retrouve comme pris dans un étau. Je le félicite pour une telle rondelle. Marc à coté teste aussi l'élasticité du sphincter dont il s'occupe. Ensemble nous enfonçons nos bites dans leurs culs. Ils prennent sans manifester la totalité de nos queues. Juste Ammed qui ferme les yeux en fin de pénétration. Je prend Samir aux hanche et balançant le sling je le lime doucement puis de plus en plus vite. Il prend des couleurs, sa bite bande et son gland est bien violet. A mes cotés Marc fait de même. Nous limons nos " hommes de services " un bon 1/4 d'heure avant de faire l'échange. Nouvelles kpote et nous testons l'autre cul. Samir qui s'était bien fait à mes 5cm de diamètre doit s'adapter aux 6 cm de Marc. Il accuse le coup les deux ou trois premiers coups de rein. Moi, dans Ammed je rentre facile. Je lui dis de serrer son anneau pour que je le sente plus. Il y arrive sans soucis. Sa rondelle me paraît bien musclée elle aussi.
Nous les enculons jusqu'à ce que l'excitation soit trop forte. Je décule violemment, arrache ma kpote et jute sur les abdos d'Ammed. Marc fait pareil sur Samir. Les déculages, avec l'excitation finale due à la libération de leurs intérieurs ou bien les passage en force de leurs prostates, les font jouir sans qu'ils se touchent et les mares de spermes s'agrandissent remplissant les sillons délimitant leurs abdos.
Je me tourne vers Marc le prend dans mes bras et nous nous roulons une pelle géante. Je le félicite de ses choix. Il me confirme que nous allons les garder.
Marc demande à nos deux serviteurs s'ils ont apprécié et à leurs réponses positives, il emmène tout le monde sous les douches.
En sortant, après avoir demandé à Samir et Ammed de ranger la salle, il leur dit que pour ce soir ils allaient dîner avec nous et de nous rejoindre à la cuisine.
Pendant le repas, ambiance de confiance et vin aidant, nous avons à peu près tout appris de leurs vies. Enfances en banlieues de grande ville, découverte du corps de l'homme en sport, initiations aux sexes masculins, ruptures familiales, recherche d'un job, SMIC... coté sexe, pour l'un 1ère expérience avec son prof de sport après les cours dans la réserve à ballon, pour l'autre un oncle bienveillant mais aussi bien monté ! et une garde à vue pour racolage.
Je me suis promis que si nous les engagions pour plus d'un WE, je demanderai à mon client commissaire de faire une petite recherche sur eux pour valider leurs propos.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
rayondelun3 · 4 months
Text
J'ai tellement de haine, de colère, de rage.
Je repense au plaisir que j'ai pris à tabasser le connard qui a agressé une de mes sœurs. Comment je l'ai piégé, le fait que j'ai son adresse, que ça fait des mois que je lui pourris la vie pour qu'il se dise que se tuer sera moins douloureux que la vie que je vais lui faire mener. Parce que je ne lâcherai pas. Il a pourri son quotidien, lui a fait croire des choses immondes et s'est pris pour Dieu. Je vais lui montrer que le Diable est en chacun de nous. Il va l'imprimer. Je le ferai avec mes poings, avec mes armes, avec tout ce que j'ai à ma disposition et toute mon imagination de sadique.
L'anonyme m'a fait rire. «Tu fais la dure» parfois oui. Parfois je le suis tellement que je brise un connard pendant des mois jusqu'à ce qu'il en crève d'une manière ou d'une autre.
Je ne pense pas qu'on ait la même vie. Ni qu'on puisse me comprendre. J'ai pris un risque en parlant de certaines de ces activités à mon infirmière. Elle sait que je veux les tuer. Que si ça ne tenait qu'à moi je les tuerai de mes mains... Mais je suis tellement vicieuse, tellement sadique, que je prends le temps de les briser ces sales trous du cul. Je les brise.
Le type qui s'en ai pris à ma sœur l'a harcelé après l'avoir agressé sexuellement. Se justifiant qu'il n'avait rien fait de mal et qu'au fond elle avait aimé ça. Elle avait aimé ça parce que les femmes aiment être vulnérables. Cette espèce de petite merde.
La première fois qu'il m'a vu il m'a appelé l'épée de Damoclès. La seconde fois qu'il m'a vu il a failli crever.
J'aurais sa peau.
La sienne et celle de tous les putains d'agresseurs de cette ville de merde. S'ils ne crèvent pas en taule, si les plaintes ne donnent rien, y a juste à me donner le numéro de la personne et j'en fais mon affaire. Avec les réseaux sociaux c'est d'autant plus facile pour les piéger, les géocaliser.
Il y a une part de moi qui fait le bien. L'autre qui venge. Dire que les deux sont compatibles serait me prendre pour quelqu'un qui a le droit de vie et de mort sur quelqu'un. Ce n'est pas le cas. Mais si jamais l'un d'eux croise ma route, j'en fais ma proie.
La chasse a commencé.
Nous sommes tous des monstres, des âmes en peine, des marginaux, et je sais qu'en moi grandit un pouvoir aussi grisant qu'effrayant.
11 notes · View notes
zeroducks-2 · 4 months
Note
(been writing fics in french for a francophone fandom, so i scribbled this in between two sessions :3)
Le sang coule, les larmes tombent et son rire résonne encore dans les oreilles de Barry.
"Tu es à moi, rien à moi, toujours à moi!"
Barry hurle son refus, sa haine mais il sait au fond de lui qu'Eobard a raison. Il lui appartient tout entier. Il est irrémédiablement lié à l'homme qu'il hait le plus au monde. Eobard triomphe, riant comme un possédé dans une danse macabre.
"Mais toi aussi tu m'appartiens, tu es à moi, tout à moi, et je ne veux pas de toi!"
Barry sourit, ses dents rouges avec l'ardeur du combat, alors qu'Eobard le regarde en silence, tué par les mots de l'homme qu'il voulait le plus et qui ne voulait pas de lui. C'est un ourobos de haine et d'amour, un cercle sans fin de souffrance, et ni l'un ni l'autre ne veulent s'en échapper.
merci ♥ You should translate it, the Eobarry folks would appreciate :3
And that's how they work btw! Eo does belong to him whether Barry wants him to or not hah, he's had no say on that from day 1 apparently. That feeling when your stalker loves you so much he'd let you kill him if it meant having that intimate moment with you (literally, he does).
10 notes · View notes
satinea · 5 months
Text
JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non immédiats, c'est salubre en dépit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
10 notes · View notes
hansfallada · 4 months
Text
Tumblr media
14 songs for 14. a collection of songs about friendship, gender, loss & running away (in a blue box). enjoy.
1. friends – e^st
"my friend, you've been looking so weary // you say you're fine, but i know you're not, clearly // why don't you breathe a little bit with me?"
2. sommeil – stromae
"prends-moi la main // sinon à quoi on sert nous ?"
3. through me (the flood) – hozier
"with each grave // i think of loss and i can only think of you // and i couldn't measure it"
4. space cadet – the technicolors
"but i know i don't belong // i knew it all along // because i'm just a space cadet // with nowhere to lay my head"
5. they / them / theirs – worriers
"what if Ii don’t want something that applies to me? // what if there’s no better word than just not saying anything, anything?"
6. bâtard – stromae
"ni l'un ni l'autre, je suis, j'étais et resterai moi"
7. summertime – my chemical romance
"how long until we find our way in the dark and out of harm? // you can run away with me anytime you want"
8. the loneliest – måneskin
"'cause i don't even care about the time i've got left here // the only thing i know now is that i want to spend it // with you, with you"
9. so much (for) stardust – fall out boy
"the stars are the same as ever, but i don't have the guts to keep it together"
10. francesca – hozier
"though i know my heart would break // i'd tell them, "put me back in it" // i would do it again // if i could hold you for a minute // i'd go through it again"
11. everything matters – aurora, pomme
"here we are, an atom and a star // you're a part of the movement and everything matters (to me)"
12. save the world – wolfie's just fine
"but i'm gonna save the world // yes, i'm gonna save the world"
13. it's not enough – the modern post
"i could right all wrongs, or ravage // everything beneath the sun // it's not enough, it's not enough // to make me whole"
14. abstract (psychopomp) – hozier
"darling, there's a part of me // i'm afraid will always be // trapped within an abstract from a moment of my life"
8 notes · View notes
perduedansmatete · 5 months
Note
Au lycée je passais tout mon temps avec un gars (qui du coup était mon meilleur pote) et un jour pour une raison qui m'échappe encore on a fini par se chauffer, sauf qu'on ne pouvait ni aller chez lui ni chez moi pour faire quoi que ce soit. On a fini par trouver un endroit qu'on pensait discret derrière des jardins et on s'est sucé l'un après l'autre c'était cool sauf qu'on s'est rendu compte après coup que n'importe qui dans le voisinage qui sortait dans son jardin aurait pu nous voir snif
Et en plus de ça c'était trop bizarre entre nous deux autres du coup on a fini par arrêter de se parler et j'ai perdu mon meilleur pote gros sniff
exhibitionnisme snif snif :(
7 notes · View notes
humanbra · 5 months
Text
Tumblr media
Our Way Back
Chapitre 9 : Saisir, Agir, Fuir
Où Morgane et Karadec se courent l'un après l'autre et Morgane tente de réparer ses conneries.
"Plus tard, il l'aurait couverte de baisers. Il l'aurait conduite à sa chambre, dont il aurait changé les draps la veille pour qu'ils soient encore frais quand elle s'y coucherait. Il lui aurait fait l'amour autant de fois que leurs corps leur auraient permis, l'aurait fait jouir autant de fois qu'elle l'aurait laissé faire, ne se serait jamais lassé de l'entendre gémir ni de la sentir se cambrer contre lui.
Et tout ça aurait pu arriver.
C'est presque arrivé.
Sauf qu'elle s'est enfuie en plein milieu du dîner.
Sauf qu'ils avaient déjà couché ensemble sous substance."
5 notes · View notes
lekintsugihumain · 2 months
Text
Je ne sais pas comment développer un esprit propice à l'acquisition et à la mémorisation des connaissances.
Je suis allé me confronter à la chose que j’aime et que je redoute, les sciences. Là où on m’a toujours dis que j’avais du potentiel mais mon manque d’investissement me freinait dans la réussite de cette discipline.
Je vois ceux réussir dans les maths, aussi facilement qu’ils diraient bonjour pendant que moi je galère à avoir un niveau bac s (bon cette prépa veut faire de nous des futurs étudiants en médecine ou ingé alors je suppose que c’est plus que le niveau bac s)
Il y a beaucoup de chose que je ne sais pas faire que des collégiens savent faire.
Pour l'instant j'en suis encore où je récupère un sommeil décent, je mange deux fois par jour, mon hygiène est décente, je vois mes amis, je sors, je me remets au sport, j'améliore mon image.
La prochaine étape c'est les diplômes et tout ce que ça implique dans ce parcours...
J'en ai aucune idée de si j'ai les épaules pour.
J’en doute…
Tout ça me fais douter vraiment de mon intelligence et j'ai aucun moyen de la vérifier c'est ça le pire
Entre les « t'es limité » de l'un et les « jsp si tu es bête en fait » de l'autre. La répétions ça fais assimilation.
J'ai l'impression d'être une personne debile et lente et que je suis le seul à ne pas le voir que je suis comme ça.
C’est pas les maths ni la physique qui est difficile, c’est moi qui est stupide.
Le tda ajouté à tout ça, me désespère encore plus, il est un tel handicap dans ma réussite sur tout les plans.
Suis-je au max de mon potentiel ? En ai-je un btw ? Si j’arrive pas à réussir ça à acquérir ce diplôme comment je vais faire après ? C’est représentatif de ma pauvreté intellectuelle.
Je suis sûr que je suis en dessous de la moyenne en terme de Q.i
Je suis lent, j’arrive pas à comprendre les choses, rien à voir mais suffit de me voir avec ma kiné, j’arrive pas à reproduire la moitié des exercices qu’elles me donne comme si j’avais un problème au niveau psychomoteur, de la motricité, il doit être au niveau d’un nouveau né.
Je suis trop stupide pour ce monde, enfin, le monde du travail, j’ai mis 10 000 ans à mesurer un angle de mur pour y insérer un meuble svp
J’ai envie de me foutre en l’air, premier degré ça fais partie de mes raisons.
Il suffirait que quelqu’un me dise clairement les choses, que oui un lycéen serai faire ce que je n’arrive pas à faire en math, que j’ai un vocabulaire et une expression digne d’un primaire, et que je suis long à la détente.
Vous savez quoi ? Je ne comprend toujours pas comment on trouve la solution à ça
Une baguette et un bonbon coûte 1.10€ au total, la baguette coûte 1€ de plus que le bonbon, combien coûte le bonbon ?
Voilà je crois que j’ai envie de pleurer tellement je suis médiocre et que tout le monde le sait mais personne me le dit
3 notes · View notes
Text
Tumblr media
«Je propose que la seule chose dont on puisse être coupable, au moins dans la perspective analytique, c'est d'avoir cédé sur son désir.
(...)
Faire les choses au nom du bien, et plus encore au nom du bien de l'autre, voilà qui est bien loin de nous mettre à l'abri non seulement de la culpabilité mais de toutes sortes de catastrophes intérieures? En particulier, cela ne nous met certainement pas à l'abri de la névrose et de ses conséquences. Si l'analyse a un sens, le désir n'est rien d'autre que ce qui supporte le thème inconscient, l'articulation propre de ce qui nous fait nous enraciner dans une destinée particulière, laquelle exige avec insistance que la dette soit payée, et il revient, il retourne, et nous ramène toujours dans un certain sillage, dans le sillage de ce qui est proprement notre affaire.(...)
Ce que j'appelle céder sur son désir s'accompagne toujours dans la destinée du sujet - vous l'observerez dans chaque cas, notez-en la dimension - de quelque trahison. Ou le sujet trahit sa voie, se trahit lui-même, et c'est sensible pour lui-même. Ou plus simplement, il tolère que quelqu'un avec qui il s'est plus ou moins voué à quelque chose ait trahi son attente, n'ait pas fait à son endroit ce que comportait le pacte - le pacte quel qu'il soit, faste ou néfaste, précaire, à courte vue, voire de révolte, voire de fuite, qu'importe.
Quelque chose se joue autour de la trahison, quand on la tolère, quand poussé par l'idée du bien - j'entends, du bien de celui qui a trahi à ce moment - on cède au point de rabattre ses propres prétentions, et de se dire - Eh bien puisque c'est comme ça, renonçons à notre perspective, ni l'un ni l'autre, mais sans doute pas moi, nous ne valons mieux, rentrons dans la voie ordinaire. Là, vous pouvez être sûr que se retrouve la structure qui s'appelle céder sur son désir.
Franchie cette limite où je vous ai lié en un même terme le mépris de l'autre et de soi-même, il n'y a pas de retour. Il peut s'agir de réparer, mais non pas de défaire(...)
Je vous ai articulé trois propositions.
La seule chose dont on puisse être coupable, c'est d'avoir cédé sur son désir.
Deuxièmement, la définition du héros - c'est celui qui peut impunément être trahi.
Troisièmement, ceci n'est point à la portée de tout le monde, et c'est la différence entre l'homme du commun et le héros, plus mystérieuse donc qu'on ne le croit.
Pour l'homme du commun, la trahison, qui se produit presque toujours, a pour effet de le rejeter de façon décisive au service des biens, mais à cette condition qu'il ne retrouvera jamais ce qui l'oriente vraiment dans ce service.
Enfin, le champ des biens, naturellement ça existe, il ne s'agit pas de les nier, mais renversant la perspective je vous propose ceci, quatrième proposition :
Il n'y a pas d'autre bien que ce qui peut servir à payer le prix de l'accès au désir - en tant que ce désir, nous l'avons défini ailleurs comme la métonymie de notre être.»
Jacques Lacan. Séminaire, livre VII : L'éthique de la psychanalyse
7 notes · View notes
loup-venant · 8 months
Text
Vivantes
"Comment veux-tu que je reste calme ?" Melhurmur accompagne sa plainte d'une voix geignarde et de coups dans l'eau. "Il fait noir. Je suis trempée jusqu'aux os. J'ai mal partout. Le grimoire est au fond de la Brume. J'ai aucune idée d'où nous sommes. Et, on continue à s'enfoncer dans ce marais nauséabond qui me glace le sang!" Elle doit être au bout de ses limites.
Une branche craque à une dizaine de mètres et capte mon attention. "Chhhhhhhhh!" "Madeaaa," gémit Melhurmur, non convaincue par ma vigilance. "Ce lieu est désert. Je n'ai pas entendu ne serait-ce qu'un seul oiseau chanter depuis qu'on y est entré". "Exactement, c'est ce qui m'inquiète," En temps normal, les oiseaux alarment le reste du bois quand on pénètre dans leur domaine. Et ici, pas un cris, ni d'autre bruit, si ce n'est l'eau qui clapote. "J'aimerais bien les voir ceux qui nous suivent, avec de l'eau jusqu'au dessus du nombril." soutient Melhurmur d'un ton agacé. J'estime que si je ne vois rien, nos éventuels poursuivant n'en voit pas plus. Je m'approche de Melhurmur et cherche à attraper sa main. Elle sursaute, "Hey ! Qu'est ce que tu fais ?!" J'essaie de la rassurer, "Donne moi ta ma main, allons-y." "Je ne suis plus une enfant !" crie-elle, indignée. J'en ai plus qu'assez de ses crises et je laisse s'échapper d'un coup toute ma frustration, "Tu préfères te débrouiller toute seule pour sortir d'ici ? Peut-être que tu serais mieux avec ces quatre guerriers aux sourires libidineux et la dague tranchante ?". Je m'arrête et respire, mais la tension reste, alors je poursuis, "Non ? Alors, donne moi ta main," sur un ton qui ne laisse aucune place au choix. Melhurmur ne répond pas tout de suite. Je ne la vois pas mais je sais qu'elle est là, car l'eau reste calme. Après un instant, je sens sa main contre moi. Elle reste silencieuse.
J'avance doucement, une main devant moi me sert de guide, et l'autre derrière tient celle de Melhurmur. Mes pieds cherchent leur stabilité et se posent l'un après l'autre. Melhurmur n'a rien dit depuis que j'ai haussé la voix. Je ne pensais pas que ce serait si efficace, et une partie de moi s'en veut de lui avoir crié dessus. "Tu sais, ce n'était pas contre toi." C'est vrai. "C'est la première fois qu'on me demande d'escorter une enfant." Melhurmur ne répond pas, mais une légère tension dans sa main trahis sa frustration. Elle n'apprécie sans doute pas être considérée comme une enfant.
J'avais vingt et un ans quand j'ai quitté Val Tereigne pour la première fois, et même si elle n'a que deux ans de moins, j'ai du mal à cerner autre chose que la naïveté qui rayonne de son comportement. Qu'est ce qu'elle croit, honnêtement ? Un vieil homme frappe à la porte de chez ses parents et la presse de le suivre sans lui expliquer quoi que ce soit. Et elle le fait sans se retourner. Une semaine plus tard, ils arrivent à Holiad. Quelqu'un essaie de les tuer tous les deux, et elle continue à le suivre. Ce même vieil homme lui explique qu'il a une affaire urgente à régler. Qu'il l'attendra à Val Tereigne à la fin du mois quand le premier quart d'Ismeer soulignera l'absence d'Or. Pour s'y rendre, il lui indique uniquement le chemin qui permet de descendre le long de la Brume jusqu'à sa rencontre avec le Raenor, et elle accepte à nouveau sans broncher. Si je n'avais pas entendu leur conversation à Holiad, elle y serait restée dans la Brume.
7 notes · View notes