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#nouvelle
gyerome · 3 months
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"Wow Karz, I'm glad you volunteered to keep me company!"
"Bwuh??"
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zegalba · 9 months
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H.R. Giger: "Harkonnen" environment in the "Nouvelle" restaurant (1982)
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vhscorp · 4 months
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En cette nouvelle année, je ne veux plus souffrir de mes vieux souvenirs, terminé les regrets, ce qui est fait est fait, je veux, sur l’avenir, avoir un œil nouveau, retrouver le plaisir, espérer le plus beau…
V. H. SCORP
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prosedumonde · 6 months
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Nous mettons des fleurs devant nos fenêtres pour nous distraire. Le spectacle ordinaire du monde, nos admirables champs et forêts, ruisseaux et fleuves, montagnes et plaines, ne nous distrait pas. Notre richesse ne nous distrait pas ; notre monnaie ne nous distrait pas. Notre femme, nos enfants ne nous distraient pas et nous ne distrayons pas notre femme et nos enfants. Aimer ne nous distrait pas du tout. Rien de tout ça ne nous distrait de notre condition ; ne nous sort de notre condition. Et la vérité vraie, la triste vérité, comme on dit, est que, sans distractions, la vie est pire que la mort, elle est inutile et, à chaque minute, nous sommes face à face avec son inutilité. 
Jean Giono, Faust au village • Silence
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thescarletnightfall · 2 months
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Nouvelle
Trickywi Vtubers character nouvelle fanart
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francepittoresque · 4 months
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COUTUME | Présents du Jour de l'An : tradition malmenée sous la Révolution ➽ http://bit.ly/Presents-Jour-An Si le façon de fêter le Jour de l'An se trouve profondément bouleversée par les révolutionnaires dès 1790, certains estimant que « la satisfaction de se rapprocher les uns des autres » ne devrait s'exprimer que le 14 juillet, la coutume antique, passagèrement et d'ailleurs incomplètement négligée, retrouve toute sa vitalité et reprend tout son empire à l'aube du XIXe siècle
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La Nouvelle Gare Maritime - Vue Interieure
vintage postcard
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lerefugedeluza · 6 months
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Vlog de lecture, n'hésitez pas à regarder si vous aimez les livres et/ou la culture coréenne ! Et comme toujours, merci pour vos retours, vos j'aimes et vos partages ♡ Bisous !
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jesuissurecoute-blog · 4 months
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Imposture Artificielle / Artificial Deception
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Un des premiers films fait avec des vidéos générées par Intelligence Artificielle en téléchargement gratuit ici http://horsnorme.org/666999/ (il y a aussi une nouvelle de fiction psychotique qui l'accompagne) Maybe the first feature film made with videos generated by Artificial Intelligence, surely the first release free here http://horsnorme.org/999666/ (and there is also a short novel)
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doublearobase · 9 months
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Traduction / Trahison, une nouvelle de hess-f.
Marigane, étudiante dans une Université future, se réjouit de partager son appartement et sa vie avec une colocataire alien. Ravissement que la découverte de sa culture, de sa biologie, de sa personnalité pétillante… mais attendez une minute, est-ce que ladite colocataire ne serait pas en grave danger ?
Lien hypertextes qui vont bien :
article sur mon blog avec du blabla commentaire de texte
lien direct vers le PDF
lien direct vers l'ePub (généré avec Calibre donc si c'est pas nickel désolée mais j'ai plus la force de débugger les ePub à la main)
lien direct vers le Calaméo (si vous êtes le genre de personne qui aime ce truc)
(Ceci est techniquement le premier post de ce genre que je fais sur Tumblr alors ça paraît un pas trop mauvais endroit pour dire : bonjour ! Je suis @now@n, une écrivaine sur le web qui n'essaie pas de prouver des trucs ni d'en vivre du coup je partage mes textes gratuitement en numérique et parfois je fais des petites éditions physiques qui sont elles payantes parce que le papier n'est pas gratuit. Enfin juste pour dire que y a pas un paywall derrière les liens. Bisous.)
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ko-core-o · 2 years
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Return Refs
A group of friends who pull off heists and beat up nightmares in the dream world!
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gyerome · 4 months
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"Lookout again? Are you sure you don't need my help?"
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melubi · 26 days
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COURS DE DESSIN
Salut tout le monde !
Pour ceux qui vivent à proximité de Nantes, sachez que le 20 avril j'organise un petit cours de dessin à la librairie Les Étincelles (Nort-sur-Erdre) ! Pas besoin de ramener de matos, tout est prêté !
Plus d'infos ici :
https://perdspaslenort.fr/evenements/atelier-dillustration-avec-melubillus/
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belladevnirfou · 10 months
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Ma dernière histoire en lecture libre. Pas cochonne, pour une fois (même s'il y a des gens à poil dedans...) Et un petit poème qui va avec : Voici le bout de l’aventure Fini pour toi vieux game over Il est temps qu’on te restructure        Rêveur La reine néandertalienne Voyait en toi comme un sauveur Gare à ces liens qui vous aliènent        Rêveur Tu sais le nom de chaque plante Te souviens des moindres saveurs Ton frère chaman se lamente        Rêveur D’où vient ce vide sous ton pagne Parlant pourtant en ta faveur Pas l’ombre d’un mât de cocagne        Rêveur Or dans le futur on te baise Te voilà K.O. game over À moins que tu files à l’anglaise        Rêveur
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prosedumonde · 6 months
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Rien n’éteint le soleil comme une idée noire. 
Jean Giono, Faust au village • Silence
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electronicparadise · 8 days
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Headspace: The Therapist Room
“Life isn’t quite what I thought I’d be”, c’est ce qu’il dit à chaque fois qu’il se retrouve dans ce petit carré servant de dépositoire à pensées. Un havre jaune doré enfermé entre quatre murs, une fenêtre donnant sur l’étoile couchante à l’est et la porte fermée devant son tapis avec un Welcome écrit dessus. Sol jaune, murs jaunes - juste un peu plus pastel - où se colle une armoire brune, dans le coin. Un cintre, un seul cintre à l’intérieur, ne portant aucun vêtement. Une chemise, une seule chemise, au-dessus de l’armoire, atrocement bien plié, grise au col blanc. Longeant le mur et au coude à coude avec cette armoire deux commodes de la même couleur, quoiqu’une un peu plus claire. Elle à des poignets et des tiroirs coulissants, l’autre n’est qu’un long bloc, qui comble tout le reste du mur, de bois. Fièrement posé sur la première se tient une petite plante toute touffue et verdoyante, une sorte d’arbre miniature que l’on sort des cartoons. Une plante qui fait jolie et qui rassure. Plus loin, un morceau de métal gris qui se tord en un embout à son extrémité comme s’il devait porter quelque chose. Plus on y réfléchit, plus on pourrait avoir des idées sombres en le regardant. C’est ce qu’il pense.
Juste à côté encore, un cube. Juste un petit cube en bois de sapin. Quelque chose qui serait potentiellement agréable à tenir en main tellement il est lisse. Un petit peu d'esthétique ne mange pas de pain. En bout de commode, une petite peluche sans couleur. Parfois elle est là, parfois non. Elle est difficile à décrire quant à sa petite taille et à sa faible apparition dans ce cube jaune. Pour ajouter au poids de cette paroi, une peinture s’y tient avec splendeur et dédain. Un joli paysage, peint avec tant de précisions, détails et patiences qu’il ressemble à une photo. Une dune verte qui en rencontre une autre au second plan, surplombé par un ciel bleu qui porte lui-même son nuage gris.
Un tapis, à mèches longues, bleu marin au centre de la pièce, subtilement placé entre le fauteuil et le tabouret juste en face, qui spiralent vers l’intérieur formant un typhon réconfortant d’eau. Il a parfois envie de flotter dedans, voir où le courant pourrait l’emmener, voir où ces pensées s’en vont, et ainsi les rejoindre en relâchant tout. Le canapé, qui pourrait servir de plongeoir, est en cuir mais étrangement ne fait aucun bruit quand il se frotte dessus ou s’asseye dessus. Peut-être que la cause de ce manque de signal provient du tabouret qui se trouve de l’autre côté du grand bleu. Un simple tabouret avec un pied unique en métal qui se divise en trois à la plante. Le siège est d’un cuir noir comme on peut trouver dans les bars lambdas.
Il était assis sur le canapé depuis une longue heure déjà, peut-être plus. La notion du temps a toujours été un vide de sens pour lui ici. “Les bonnes choses prennent du temps”, comme il dit souvent, trop souvent. Et si, parfois le temps lui filait entre les aiguilles ? Qu’en réalité tout ce qu’il fait ne fera aucun impact à une plus grande échelle ? Sera-t-il encore là dans dix ans ? Est-ce qu’on le connaîtrait encore, même s’il venait à mourir ? En fait, est-ce qu’actuellement son entourage ne voudraient plus de lui ? Peut-être qu’en vérité ça serait un bon vent de donner les secrets dans son dos et pouvoir finalement s’en débarrasser. Le mécanisme est enclenché. Plus rien ne peut l’arrêter, de toute façon à la fin, c’est lui qui décide. À la fin, s’il veut revenir en arrière, il peut. À la fin, “good things take time”, comme il dit souvent.
Voilà, cela est le genre de choses qui font qu’il vient souvent ici. La petite inconvenance lançant une machination monstrueuse et autodestructrice impossible à stopper à priori. Des moments où le poids d’une force invisible se rajoute sur tout son être amenant un sentiment de peser le double de son propre poids. Une peine à respirer apparaît soudainement sans panique, un souffle du mort s'émise. Le souffle que personne n’entend, que personne ne peut entendre car il n’y a plus de souffle. Le seul et unique moyen de savoir si un cœur est encore en train de battre serait de poser une main sur sa poitrine. Tout sauveteur se doit de le savoir. Lui, il le sait. Il sait aussi qu’il n’y a pas de pulsations à ce moment, comme si le temps s’arrêtait soudainement, que tout s’arrêtait avec lui. Une précieuse seconde suspendue dans le temps, lorsque tout devrait s’écrouler, qui dure des heures, mais rien ne s’écroule. Tout est déjà à terre, la poussière ne se dégage pas, elle s’amasse. Les débris d’un monde qu’il avait connu se forment. Tout est dans sa tête.
Cette maison, qui appartient à son ami, est détruite. Ce château au bord de l’eau a rejoint les flots. Le ciel est gris, mais il ne pleut pas. Personne à l’horizon, l’horizon n’a rien hormis un fond de poussière. Un monde irréel, surréel, ressenti comme un cauchemar. Ces fleurs, ses préférées, les convallarias, sont mortes.
Tout est dans sa tête. Tout commence d’une petite inconvenance. Il vient dans ce cube jaune pour espérer ne pas griser son pelage blanc. Un pelage qu’il n’ose pas regarder avec le dernier objet de la pièce. Il préfère regarder le mur derrière. Fixer cet objet c’est se fixer. Le fixer c’est savoir si c’est un rêve, un cauchemar ou les deux. Le fixer c’est voir les yeux morts qui ne clignent pas assez, droit dans le blanc de chaque globes occulaires. Le fixer c’est être proie à rester plus d'une heure, qui est suspendue dans une seconde, qui est dans sa tête. Il a peur de fixer un miroir rectangulaire, qui fait sa taille. Ce miroir derrière le tabouret le consulte. Il parle, et parle, et parle. Il parle autant que le patient, aussi longtemps que lui. Il est toujours prêt à le fixer en retour, ne rate pas une seconde pour attraper son regard.
Il est seul dans ce cube, dans sa tête. Et à chaque fois qu’il rentre, il sait qu’il sera libre de dire ce qu’il pense et qu’il entendra ce qu’il veut. Il n’a pas de réponse. Il est seul. Il ne ressortira pas de si tôt, puisqu’une heure ici c’est une seconde suspendue dans le temps, qui est dans sa tête. Il n’a jamais vu quelqu’un d’autre ici. Et pourtant, la peluche n’est pas toujours là.
“Welcome Bron, I feel like we had a slight inconvenience today, as always. Take your seat and I hope one day we find better than ourselves, because let’s face it: we have done a disgusting job until now. We’re not professional. We’re tired of being a nuisance… By the way, I think you forgot about it, but there’s a new lamp on your right! Maybe keeping this room in the dark at night is the problem. Did we put it here or someone else has found a way in?”
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