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#objectifs de cheveux
sunsblogs · 7 months
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REDEMY ISTANBUL - DEVASA+ (2)
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La clinique esthétique Remedy Istanbul est une destination de choix pour la chirurgie esthétique en Turquie. La clinique est réputée pour son expertise en matière de greffe de cheveux et de procédures d'implantation, très appréciées des patients cherchant à restaurer ou à améliorer la racine de leurs cheveux. Remedy Istanbul propose une gamme d'options de greffe de cheveux, notamment les techniques FUE et DHI. La clinique offre une consultation gratuite, une anesthésie sans aiguille et un suivi d'un an pour garantir les meilleurs résultats possibles. De plus, Remedy Istanbul a été classée parmi les meilleure clinique turquie de greffe de cheveux turquie, selon diverses critiques et classements. En plus des procédures de greffe de cheveux, Remedy Istanbul propose également des options de remodelage du corps telles que la liposuccion et abdominoplastie, implant capillaire turquie. Ces procédures peuvent aider les patients à obtenir une apparence plus tonique et sculptée en éliminant l’excès de graisse et de peau des zones ciblées du corps. Les chirurgiens expérimentés de la clinique utilisent les dernières techniques et technologies pour garantir des résultats optimaux tout en minimisant l'inconfort et les temps d'arrêt. Les patients peuvent s’attendre à un plan de traitement personnalisé adapté à leurs besoins et objectifs uniques. La rhinoplastie, ou chirurgie de remodelage du nez, est une autre procédure populaire proposée chez Remedy Istanbul. Les chirurgiens qualifiés de la clinique peuvent effectuer des procédures de rhinoplastie à la fois esthétiques et fonctionnelles, répondant à des problèmes tels que l'asymétrie nasale, les difficultés respiratoires et l'équilibre global du visage. Les patients peuvent s’attendre à un processus de consultation et d’évaluation approfondi pour déterminer la meilleure approche pour leurs besoins spécifiques. Les procédures de rhinoplastie de Remedy Istanbul sont réalisées avec précision et attention aux détails, ce qui donne des résultats naturels et durables.
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metacarpus · 9 months
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7 août - tomber, encore
Le temple se tenait aux confins d'un haut plateau, comme en équilibre au bord du précipice. Aucune harmonie n'était perceptible à l'oeil humain dans son dessein : tours, créneaux, corniches, reliefs, ce n'était qu'un amas de morceaux disparates, lisses et d'un noir d'encre, formant une façade accidentée dont il était même impossible de deviner l'entrée.
Mais Kébir savait comment entrer.
Le pas long, elle avançait tout droit vers le temple, traînant derrière elle, par les cheveux, un homme à demi inconscient. Elle avait les yeux rivés sur son objectif et du sang maculait son visage dur. Autour, le vent sifflait sur le plateau. Le ciel était sombre, si bien qu'il était impossible de savoir s'il faisait jour ou nuit. Tout semblait figé, terne, éteint.
Pour pénétrer dans le temple-forteresse, il fallait s'agenouiller, et prier. Kébir ne l'ignorait pas.
Elle jeta devant elle son fardeau, l'homme balbutiant et terrifié qu'elle avait traîné jusqu'ici. Comme mu par une force extérieure, il se mit à genoux. Une dévotion inquiétante teinta son regard et la litanie commença--il priait.
Kébir l'abandonna à sa transe et poursuivit vers l'édifice. Elle posa les deux mains sur la roche noire, énorme bloc de lave refroidie, puis l'oreille.
D'abord, elle n'entendit que ses propres battements de coeur, mais bientôt la grave, lente, terrible pulsation se mit à résonner. A mesure que l'homme psalmodiait, les battements se faisaient plus clairs. Ils semblaient monter de la terre, l'ancien volcan réveillé. Doucement la terre sous ses pieds se fit meuble ; trembla ; céda. Kébir tomba dans les profondeurs du temple.
Elle ne révérait pas ces dieux, mais connaissait leur pouvoir. Il y avait longtemps qu'elle cherchait un passage vers l'envers du monde, où les tours symétriques se dressent blanches dans le soleil, où l'herbe pousse dans les champs et le vent n'écorche pas les joues. Comme elle tombait, elle sentait la chaleur de l'envers, sa douceur, et son visage se détendit. Cette fois-ci, ça marchait. Enfin, grâce à l'homme saint, elle passait, elle y arrivait. La lumière éclairait son visage.
Devant le temple, l'homme épuisé avait cessé de chanter. Les dieux avaient ouvert un passage, mais pas pour lui. Son heure n'était pas encore venue de fuir cet endroit stérile, le lieu désolé de son errance. Libre, Kébir gisait sans vie sur le sol rocailleux.
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swedesinstockholm · 3 months
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17 janvier
m. est rentrée d'espagne un peu avant minuit et la vie qu'elle a fait entrer dans l'appart m'a fait réaliser à quel point c'était une mauvaise idée, la pire idée de venir passer une semaine ici toute seule sans voir personne parce que la solitude me laisse vriller sans limite. je me demande aussi si mon anxiété diffuse et ma non-envie de sortir de la maison sont liées à mon dérèglement hormonal. je sais pas pourquoi l'idée me rassure, que ce soit mon cors qui est cause et pas moi, ma tête, la partie qui a le contrôle. c'est pas MA faute. très bon moment de la journée sinon: quand j'ai sorti les draps chauds du sèche-linge et que je les ai serrés contre moi sous les yeux du coloc qui attendait que je sorte de la salle de bain et à qui j'ai murmuré bonsoir. j'adore cette salle de bain, le plafond est en bois et il est très bas et je regardais la neige tomber par la fenêtre en contrebas et puis je me suis prise en photo en me souriant dans le miroir parce que je me trouvais jolie avec mes cheveux courts et pour me dire que j'allais m'en remettre. je m'aime je m'aime je m'aime et un jour on va m'aimer aussi mais en attendant moi je m'aime. autre très bon moment de la journée: tout le reste de la journée passée à regarder la neige tomber à gros flocons sur les saules pleureurs en écoutant des chansons douces.
18 janvier
cet après-midi en longeant le parc quand je suis tombée sur un morceau de chris weisman dans ma playlist j'ai dit non et j'ai mis avril lavigne et je me suis dit que j'aurais du faire ça depuis le début. j'ai aussi écouté une playlist de l'été 2022 et en tombant sur un morceau de danitsa que j'avais entendu dans la voiture de c. un jour en allant aux répèts à lasauvage je me suis dit et si la solution pour oublier r. était de me mettre à écouter uniquement du hip-hop féminin? j'ai presque envie de demander à c. de me faire une playlist antidote. il a passé le mois de décembre en grèce à travailler dans une pépinière et maintenant je crois qu'il est à budapest. moi aussi je veux partir. en attendant cet après-midi je suis sortie dehors et les trottoirs étaient pas salés et je marchais tellement précautionneusement que je me faisais dépasser par tous les vieux parce que j'ai zéro confiance en mes jambes mais j'ai pas fait demi-tour parce que j'étais concentrée sur mes objectifs: voir la grosse pomme gonflable sur le toit du musée magritte et ramener des mochis frais de la confiserie japonaise à m. qu'on a finalement oublié de manger parce que j'ai fait des gnocchis de patate douces et elles ont volé la vedette.
20 janvier
hier en allant à esch pour la sortie de résidence d'une autrice de théâtre j'ai mis sexy sushi parce que ça faisait longtemps et j'avais l'impression de me retrouver, comme si je m'étais perdue avec r. et sa mélancolie douce. parce qu'avant qu'il s'immisce je voulais faire des trucs électroniques, au printemps avec ru. et s. on parlait midi controler et ableton live et sampler avec des carrés qui clignotent et pas guitares enregistreurs quatre pistes et beatles. mais je l'avais un peu oublié ça.
j'ai vu f. et n. et celui qui faisait le bourreau à la soirée wip en juin et je me demandais qui d'autre dans la salle était dans le comité de sélection, s'ils avaient déjà lu mon dossier et s'ils étaient embarrassés pour moi à cause de la médiocrité de mes idées et du degré de vulnérabilité dont j'ai fait preuve dans ma note d'intention. j'avais l'impression que tout le monde savait qui j'étais. mais j'ai bien aimé la pièce qu'a présentée l'autrice avec les deux comédiens, ça se passait dans un institut un peu vague de santé mentale et ça m'a donné envie d'écrire sur la clinique. j'ai failli pleurer quand une des personnages se met à parler de sa jeunesse qui lui a été volée par son mari qu'elle a rencontré à 19 ans alors qu'il était plus vieux en listant toutes les expériences dont elle a été privée, comme être frivole avec les garçons et s'amuser et être légère. je me suis pas mariée à 19 ans moi mais c'est un peu comme si. à la fin l'autrice m'a fait un sourire appuyé comme si elle avait deviné et puis j'ai dit bonjour à f. mais j'ai pas osé aborder les autres alors j'ai mangé un mini sandwich triangle au jambon cru pour me donner une contenance et je suis partie.
21 janvier
ce soir je suis allée voir poor things au cinéma et j'ai complètement reconsidéré mon plan d'écrire un roman d'autofiction pour écrire un livre de science fiction à la place. un poor things contemporain et à ma sauce. j'ai réservé le livre à la bibliothèque dès que je suis rentrée du cinéma. je veux écrire un personnage hilarant et cru qui se comporte de façon non encombrée par son égo, qui a un gros désir de savoir et de connaissance et qui soulève le voile sur le monde. le seul truc que j'ai pas aimé: les scènes de sexe qui m'ont mise mal à l'aise. je sais pas si c'est à cause de mon traumatisme du sexe non expliqué, ou si c'est parce que c'était trop douloureux de voir cette fille qui découvre le monde découvrir le sexe avec joie, un truc que je suis censée connaitre mais que je connais pas, ou alors si c'est juste une histoire de male gaze. mais à part ça ce film m'a apporté beaucoup de joie et d'exaltation et j'aime tellement quand le cinéma fait ça.
après le film je suis allée manger une pizza avec maman et d. et n. et pendant qu'il me parlait de rognons et de pattes de poule je voyais l'écran de mon téléphone qui arrêtait pas de s'illuminer avec des notifs de r. qui répondait à mes messages et j'étais contente d'avoir une distraction, même si c'était juste une pizza et le père de a. qui me parlait d'abats. je lui ai raconté mon épopée du weekend dernier avec chris weisman (à r. pas au père de a.) et il me disait qu'il le trouvait un peu agaçant parce qu'il exagérait trop et je me suis dit merde est-ce que je l'ai idéalisé comme j'idéalise r.? mais je crois pas que j'idéalise r. je lui ai pas répondu, j'essaie de le traiter comme le commun des mortels de mes autres amis, c'est-à-dire: mettre trois plombes à répondre.
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hobarimin · 9 months
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Comment atteindre mon objectif? 🎀
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Faire du sport, tous les jours. Aller courir, commencer le fitness, danser, peu importe. Je dois faire une activité physique tous les jours en plus de mon travail qui est déjà physique.
Boire plus d’eau, 1,5-2L par jour. Ne pas boire de soda ni de boisson sucrée. Café et thé sont acceptés.
Être moins sur mon téléphone, profiter de mon temps libre pour lire, me promener, me cultiver.
Tenir une journal de mes envies, mes projets. Y écrire tous les jours.
Manger sainement, de tout. Légumes, fruits, un peu de viande, poisson, œuf… Varier. Mais manger en petite quantité et bannir la nourriture industrielle, les repas à emporter, à réchauffer. Manger sain, somme toute.
Économiser.
Aller dormir plus tôt, me réveiller tôt. Être productive le matin.
Prendre soin de ma peau, de mes cheveux. Utiliser de bons produits et me créer des routines skincare à suivre tous les jours.
Trouver mon style vestimentaire.
𝐷𝑜 𝑖𝑡 𝑓𝑜𝑟 𝑦𝑜𝑢𝑟𝑠𝑒𝑙𝑓.
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billiemarshk · 9 months
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Traduction de l'anglais vers le français de l'article Spyro Reignited Trilogy – the joy of replaying a childhood favourite du journal The Guardian
Spyro Reignited Trilogy, ou le bonheur de redécouvrir un bijou de nostalgie
Trois des meilleurs jeux familiaux de l’époque de la PlayStation 1 ont été remis au goût du jour pour les enfants d’aujourd’hui, et aussi pour les enfants nostalgiques des années 90
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« Repensé et imprégné avec davantage de personnalité… » Spyro Reignited. Crédit photo : Activision
Avant de faire partie de l’univers des Skylanders, Spyro le Dragon était l’une des figures de proue de Sony, ainsi que le brave protagoniste d’une trilogie exclusive à la PlayStation et développée par Insomniac Games, aujourd’hui davantage connu pour Ratchet & Clank et Spider-Man. Les nostalgiques de la licence ont conservé de bons souvenirs de ces aventures de jadis, alors Toys for Bob, les créateurs des Skylanders, ont sorti cette compilation rematricée.
J’avais huit ans quand le premier Spyro est sorti ; mes adelphes et moi y avons beaucoup joué, j’ai même envie de dire que nous l’avons usé jusqu’à la corde. Lorsque j’ai démarré le premier opus de ce rematriçage, il m’a semblé tellement familier, que ce soit dans l’agencement des niveaux, la disposition des objets dans lesdits niveaux, la musique, les bruitages et les doublages (malgré le fait que Spyro soit ici doublé par Tom Kenny, ce dernier n’ayant doublé le personnage que dans les deuxième et troisième jeux). Tous ces détails ont amené mon cerveau à croire que la licence Spyro était telle quelle depuis le début dans son style graphique.
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Spyro Reignited dissémine des détails supplémentaires dans le niveau typique Villa Ensoleillée. Crédit photo : Activision
Il est évident que la PlayStation ne possédait nullement de telles capacités graphiques. Là où le Spyro original gambadait dans de l’herbe rase, celui de Reignited doit récupérer les gemmes nichées dans de l’herbe touffue et mouvante. Désormais les bâtiments ont une structure homogène, et les objets ont une ombre propre ; il n’empêche que les différents mondes conservent leurs couleurs et leur clarté, tout en étant plus somptueux encore.
La cerise sur le gâteau est l’ajout de personnalité (qu’ils n’avaient pas forcément avant) et la façon de repenser l’apparence des dragons que Spyro sauve de l’émeraude dans le premier jeu. Les développeurs ont également étoffé les autres personnages : Sheila le kangourou, pour ne citer qu’elle, a maintenant des cheveux roux attachés en couettes, une veste et du mascara. La plupart des utilisateurs de Reddit arguent leur mécontentement quant à ces ajouts esthétiques car ils ne sont pas à la hauteur de leur imagination nostalgique. Cependant le style visuel global est cohérent et concorde avec le ton léger du jeu original.
Spyro le Dragon est, sans la moindre gêne, accessible à toute la famille. Les vilains méchants dignes de cartoons disparaissent dans un nuage de fumée, l’écriture et l’humour se veulent franchement enfantins et les objectifs de base consistant à passer les niveaux et à vaincre les boss ne sont jamais trop difficiles. Néanmoins, c’est bien Spyro le Dragon qui m’a lancé dans mes premières recherches sur le Net de ce qu’on appelle un walkthrough (une solution pour avancer dans un jeu vidéo) afin de trouver ce fichu dernier dragon d’émeraude. Les joueurs ont un paquet de secrets à (re)découvrir, et l'augmentation des points de compétence dans les trois jeux récompense la joie d’enflammer les plantes en pot disséminées dans le niveau, pour ensuite se rendre compte que les développeurs savaient que vous alliez essayer de le faire.
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Tous les personnages du jeu original ont été épaissis de détails inédits, tout en conservant leur charme d’antan. Crédit photo : Activision
Ce rematriçage rend la trilogie davantage cohérente qu’elle ne l’était à la base, à commencer par rendre possible certaines actions dans les trois jeux, là où c’était impossible dans la trilogie originale. On peut citer la possibilité de diriger Sparx, la libellule accompagnant Spyro, vers la gemme la plus proche. Mais il met également en lumière les différences, qu'elles soient minimes (comme l'incapacité de Spyro à nager ou à planer dans le premier jeu) ou plus importantes.
Là où le seul objectif de Spyro le Dragon était de délivrer les dragons de leur condition de statue, Spyro 2: Ripto’s Rage! a apporté des personnages non-jouables qui offrent une large gamme d’objectifs tels que cracher des pierres sur des lézards ou conduire des bébés tortues en lieu sûr. Spyro: Year of the Dragon a familiarisé les joueurs avec des personnages jouables aux capacités uniques, avec des niveaux qui leur sont consacrés ; on en revient à Sheila qui peut faire un double saut, ou encore au Sergent Byrd, un pingouin armé de lance-roquettes.
L’on peut relever un facteur constant dans ces jeux : la façon dont Spyro se déplace dans ces mondes merveilleusement variés. Il se sert de ses ailes pour planer d’une plateforme à une autre, or il ne peut voler que dans les niveaux spéciaux (par exemple Vol de jour dans le premier opus). Mais la plupart du temps, il court, cornes baissées, avec des traînées de lumière qui soulignent sa vitesse, et ses pattes qui claquent projettent des bouffées de fumée. Qu’il soit en train de charger un voleur d’œufs plaisantin, une rangée de coffres au trésor métalliques tandis que Sparx ramasse dare-dare les gemmes, ou que Spyro revienne sur un terrain familier, le bonheur demeure intact comme il y a 20 ans.
Voilà, dites-moi ce que vous pensez de ma traduction. Je précise que j'entre en Master de Traductologie dans moins de deux mois, donc ma traduction ne sera forcément pas parfaite. Toute critique constructive est la bienvenue ! 💜 🧡 
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minashiro-mcl-etc · 1 year
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Armin Épisode 5 - 100 Continue (solution)
ILLUSTRATION PROPOSITION
Armin n°1
De ce que je veux qu’on fasse de notre week-end, plutôt: c’est un jeu co-op!
A. (Je me suis forcée à sourire. Ce n’est pas vraiment ce que j’avais imaginé...) B. ( J’ai souris largement. Passer le week-end sur un jeu ne peut que me faire du bien!) Illustration
Armin n°2
Je vois, direct dans le vif du sujet! Parfait! Illustration Il n’y a pas d’écran titre? Pas de menu, rien...?
Choix de la tenue: AFK 195G (Lance / Épée 65G, Gants 20G, Robe 70G, Bottes 40G)
Armin n°3 (neutre, sans conséquence)
Non non, prends celui que tu préfères, je prendrai l’autre!
A. Ok! Alors je prends le chevalier, si ça te va. (tenue rouge) B. Très bien, alors je prends le mage, si c’est bon pour toi. (tenue bleu)
Armin n°4
C’est quand même une grosse responsabilité...
A. C’est long surtout. On joue bientôt, tu penses? B. Chut! On est les seuls à pouvoir le faire! Illustration
Le maire Deraim n°1
Aventuriers! Acceptez-vous cette noble et dangereuse quête?
A. Tu crois qu’on peut dire non? Ça a l’air compliqué. B. Allez, Armin, il faut dire oui! Tu vois bien qu’on est leur seule chance! Illustration
Le maire Deraim n°2
Après quoi je vous délivrerai la CLÉ du TOMBEAU DES VOIES PERDUES.
A. Il est sérieux?! Le monde est en danger, on a dit! B. Parfait! Ça nous mettra en jambes pour sauver le monde! Illustration
Armin n°5
Alors, comment tu veux faire? Tu prends ceux des tomates, je prends ceux des citrouilles?
A. Je ne sais pas... Ils son mignons, non? J’ai pas envie de les tuer... B. Hahaha! Comme si j’allais t’en laisser la moitié! Illustration
Armin n°6
Le maire va pouvoir faire de bonne soupe grâce à nous!
A. Je trouve qu’on démarre très fort! Illustration B. Allons le voir justement, on a pas toute la nuit.
Objectif N°1 - Rends-toi au tombeau des voie perdues.
Armin n°7
Bon. Tu es prête à affronter un labyrinthe “truffé de monstres et de Piège”?
A. Je suis plus que prête, je suis impatiente! Illustration B. Je ferais bien une pause, avant de nous lancer.
Objectif N°2 - Entre dans le labyrinthe.
TATA
Condition: Avant d’entrée. Lieu: Village Cadeau: Fauteuil gaming Coût: 18 PA
Armin n°8 (neutre)
On peut essayer... Qu’est-ce que t’en penses?
A. Franchement, comme tu veux. Vas-y on essaie de foncer, on sera plus vite fixés. B. Je trouve ça tiré par les cheveux. Restons prudents.
Armin n°9
Qu’est-ce que tu penses qu’il faut faire?
A. On devrait rester ensemble. Nous séparer ne peut pas être une bonne idée. B. Allons au plus simple: chacun prend sa couleur. C. Chacun prend la couleur de l’autre? Complémentarité, tout ça...? Illustration
Armin n°10
A. On est vraiment des aventuriers hors pair! Illustration B. C’est trop facile, c’est même pas drôle!
Armin n°11
Le pauvre Nath a perdu un pari... Encore...
A. Moi aussi, je peux parier? On pourrait avoir le double de burgers! Illustration B. Tu lui a Vraiment fait traverser toute la ville?! C. J’espère que ce n’est pas le même genre de paris que tu fais avec moi...?
Nathaniel
A. Tu peux nous regarder jouer un peu, si tu veux. B. Aller, tu me fais de la peine. Prends ma place un moment, si tu veux. C. Pas de chantage affectif avec moi, il faudra attendre ton tour! Illustration
Armin n°12
A. Tu diras à ton pote que son labyrinthe est décourageant B. Tu pourras dire à ton pote que son labyrinthe est très réussi! Illustration
Ephraim Dred
Pourquoi n’ai-je pas écouté la mise en garde de L’ORACLE AVEUGLE?!
A. Oui, bon, on a compris, c’est bon, meurs! B. Ahahah! C’est tellement too much! Illustration
Armin n°13
À mon avis on a fini, il n’y a plus de danger.
A. Si il n’y a plus de danger, J’ai bien une autre idée, pour... célébrer notre victoire...
B. Magnifique,! Je m’en vais l’ouvrir de ce pas! Illustration
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C. Bon, très bien, finissons-en!
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Coût de l’épisode 706PA (avec Tata)
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ILLUSTRATION HOT
Armin n°1
De ce que je veux qu’on fasse de notre week-end, plutôt: c’est un jeu co-op!
A. (Je me suis forcée à sourire. Ce n’est pas vraiment ce que j’avais imaginé...) B. ( J’ai souris largement. Passer le week-end sur un jeu ne peut que me faire du bien!) Illustration
Armin n°2
Je vois, direct dans le vif du sujet! Parfait! Illustration Il n’y a pas d’écran titre? Pas de menu, rien...?
Choix de la tenue: AFK 195G (Lance / Épée 65G, Gants 20G, Robe 70G, Bottes 40G)
Armin n°3 (neutre, sans conséquence)
Non non, prends celui que tu préfères, je prendrai l’autre!
A. Ok! Alors je prends le chevalier, si ça te va. (tenue rouge) B. Très bien, alors je prends le mage, si c’est bon pour toi. (tenue bleu)
Armin n°4
C’est quand même une grosse responsabilité...
A. C’est long surtout. On joue bientôt, tu penses? B. Chut! On est les seuls à pouvoir le faire! Illustration
Le maire Deraim n°1
Aventuriers! Acceptez-vous cette noble et dangereuse quête?
A. Tu crois qu’on peut dire non? Ça a l’air compliqué. B. Allez, Armin, il faut dire oui! Tu vois bien qu’on est leur seule chance! Illustration
Le maire Deraim n°2
Après quoi je vous délivrerai la CLÉ du TOMBEAU DES VOIES PERDUES.
A. Il est sérieux?! Le monde est en danger, on a dit! B. Parfait! Ça nous mettra en jambes pour sauver le monde! Illustration
Armin n°5
Alors, comment tu veux faire? Tu prends ceux des tomates, je prends ceux des citrouilles?
A. Je ne sais pas... Ils son mignons, non? J’ai pas envie de les tuer... Illustration B. Hahaha! Comme si j’allais t’en laisser la moitié!
Armin n°6
Le maire va pouvoir faire de bonne soupe grâce à nous!
A. Aller, Allons-y! Hauts les cœurs! Illustration B. J’ai le temps de finir mon macchiato?
Objectif N°1 - Rends-toi au tombeau des voie perdues.
Armin n°7
Bon. Tu es prête à affronter un labyrinthe “truffé de monstres et de Piège”?
A. Je suis plus que prête, je suis impatiente! B. Je ferais bien une pause, avant de nous lancer. Illustration
Objectif N°2 - Entre dans le labyrinthe.
TATA
Condition: Avant d’entrée. Lieu: Village Cadeau: Fauteuil gaming Coût: 18 PA
Armin n°8 (neutre)
On peut essayer... Qu’est-ce que t’en penses?
A. Franchement, comme tu veux. Vas-y on essaie de foncer, on sera plus vite fixés. B. Je trouve ça tiré par les cheveux. Restons prudents.
Armin n°9
Qu’est-ce que tu penses qu’il faut faire?
A. On devrait rester ensemble. Nous séparer ne peut pas être une bonne idée. B. Allons au plus simple: chacun prend sa couleur. C. Chacun prend la couleur de l’autre? Complémentarité, tout ça...? Illustration
Armin n°10
A. On est vraiment des aventuriers hors pair! Illustration B. C’est trop facile, c’est même pas drôle!
Armin n°11
Le pauvre Nath a perdu un pari... Encore...
A. Moi aussi, je peux parier? On pourrait avoir le double de burgers! B. Tu lui a Vraiment fait traverser toute la ville?! C. J’espère que ce n’est pas le même genre de paris que tu fais avec moi...? Illustration
Nathaniel
A. Tu peux nous regarder jouer un peu, si tu veux. B. Aller, tu me fais de la peine. Prends ma place un moment, si tu veux. C. Pas de chantage affectif avec moi, il faudra attendre ton tour! Illustration
Armin n°12
A. Tu diras à ton pote que son labyrinthe est décourageant B. Tu pourras dire à ton pote que son labyrinthe est très réussi! Illustration
Ephraim Dred
Pourquoi n’ai-je pas écouté la mise en garde de L’ORACLE AVEUGLE?!
A. Oui, bon, on a compris, c’est bon, meurs! B. Ahahah! C’est tellement too much! Illustration
Armin n°13
À mon avis on a fini, il n’y a plus de danger.
A. Si il n’y a plus de danger, J’ai bien une autre idée, pour... célébrer notre victoire... Illustration B. Magnifique,! Je m’en vais l’ouvrir de ce pas! Illustration C. Bon, très bien, finissons-en!
Armin n°13
Il reste plus qu’à ouvrir le coffre...
A. Tu as raison, on doit finir de sauver le monde!
B. Tu as dit qu’il n’y avait plus de danger, on a tout notre temps. Illustration
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C. Bon, d’accord. Je vais ouvrir le coffre. Et après...
Coût de l’épisode 748PA (avec tata)
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evaspleen · 2 years
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Date: 2022/09/20
Title: soumise à de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner à baiser à ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tête au sol et écarta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lèche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
Lèche là et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois à te baiser."
La main profite d'être trempée pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien écartées elle gémit il accélère et glisse deux doigts de plus dans le trou serré.
L'un d'eux viens àvec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivèrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maître s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulève la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il râle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derrière elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faîte pour ça.
Le troisième se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraît plus énorme encore qu'à l'écran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maître lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et écarte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obéi et s'assied sur le canapé jambes écartées le rustre se mets à genoux pour bien regarder le sexe trempé, il écarte les lèvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre àvec force dans le vagin de la fille qui commence à s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue à sucer , une queue trop longue à avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tête.
il fini par petit à petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pénètre le trou qu'il écarte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tête pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'après ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était très grand massif son sexe aussi . Il était très impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accès aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vînt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible écarte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux à queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir à ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maître se leva et revient àvec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maître se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pénétra la fente baveuse et serrée elle cria de plaisir et de douleur le sexe était énormeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'être si prise.
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ladyniniane · 2 years
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Enid arrive au monastère
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J’aurais au moins réussi à finir ça ce mois-ci ! Et c’est un peu plus long que mes autres chapitres. J’espère que ça te plaira @lilias42 !
Si jamais vous tombez là-dessus et que vous voulez en savoir plus sur le contexte etc. vous trouverez toutes les infos dans mon tag “Fire Emblem 4 mariages et 1 enterrement”.
En franchissant la porte, Enid leva les yeux vers la cathédrale de Garreg Mach, dont les hautes tours tutoyaient le ciel.
Son impatience croissait à chaque pas, chaque allée franchie. Des gens en armes se bousculaient autour d’elle, l’on s’apostrophait, se rendait prestement au terrain d’entraînement. Beaucoup de rumeurs  lui étaient parvenues : l’armée royale était affamée, dirigée par un fou. Pourtant, elle ne vit pas de régiments d’ombres mais des guerriers déterminés, comme autant de graines prêtes à croître et à pulvériser la couche de givre.
Son œil entraîné vit également les laissés-pour-compte, les civils, jeunes et vieux, à l’air inquiet qui tentaient de se rendre utiles, ployant sous le poids de leurs charges. Des silhouettes fantomatiques se traînaient sous les arcades, figées par l’attente. Des infirmes déambulaient, le désespoir au fond des yeux, serrant leurs moignons, regrettant peut-être de ne plus pouvoir prendre leurs armes.
C’était l’un des derniers bastions pour  les miséreux, les fugitifs, les déshérités. L’empire promettait à chacun un statut égal à son mérite, mais que pouvait offrir ce système à ces gens ? Devaient-ils mourir gentiment dans leur coin ?
Enid se savait impuissante à améliorer leur sort : elle n’avait plus de victuailles et à peine de quoi entretenir son équipement. La seule manière dont elle pouvait leur être utile était de se battre.
Lorsqu’elle trouva Léoba, cette dernière soignait les blessures d’un magicien dont la main était noyée sous une marée sanglante, un chemin de gouttes derrière lui. Un accident d’entraînement, très certainement. Dents serrées, livides, il ne cessait de murmurer :
-Mon doigt n’est pas tranché, ça ira, n’est-ce pas ?
La guerrière contempla la scène avec détachement, trop habituée à ce genre de tableaux. La lumière des doigts de l’évêque s’éteignit alors et le flot se tarit. L’homme était en effet passé à côté du pire. Avec un peu de travail, il parviendrait à conserver une partie de la mobilité de son doigt, à défaut de pouvoir la retrouver entièrement. Une telle blessure laissait en effet des séquelles indélébiles.
-Vous êtes tiré d’affaire maintenant, consola Leoba, nous allons laver et bander ça et vous allez vous reposer. D’accord ?
Elle fit signe à un infirmier de s’occuper du blessé.
La femme d’église se releva alors et apperçu Enid. Toutes deux échangèrent alors un signe de tête.
-Pardonnez-moi de vous arracher à vos devoirs, votre excellence, commença Enid, pourrions nous converser en privé ?
-Bien entendu. Suivez-moi, offrit alors cette dernière.
Enid se précipita à sa suite. Elle était plus proche que jamais de son objectif. La jeune femme prit une grande inspiration : elle verrait le prince Dimitri et la générale Byleth. Quoi qu’il en coûte.
*
L’évêque était semblable à son souvenir : une physionomie qui respirait le calme et la bienveillance, ses cheveux noirs tirés en arrière. Des ombres dévoraient néanmoins désormais ses traits.
-La Déesse soit remerciée, vous êtes en vie et bien portante, s’exclama alors l’éclésiastique, dîtes-moi tout.
Son aspect austère et ses yeux froids conféraient à première vue à Enid une allure de sicaire. Mais Leoba connaissait sa vraie valeur. Cette combattante lui avait sauvé la vie. Bien que l’église de Seiros ait été chassée de l’empire un siècle auparavant, la foi y restait présente. Leoba s’y était aventurée afin de venir en aide à ses coreligionnaires persécutés par le nouveau régime. Enid lui avait, par son sang-froid, son jeu d’épée et ses talents de dissimulation, permis de sortir de ce bourbier avec un groupe de prêtres.
La résistante s’approcha alors et glissa dans un murmure de brise :
-Je dois voir son altesse et la générale. J’ai obtenu des informations d’une importance capitale concernant la nature de notre ennemi. L’empire coopère avec une société secrète de mages noirs.
La jeune femme en livra suffisamment pour que Léoba comprenne la gravité du problème, sans pour autant tout déverser d’un seul coup.
Bien que soufflés, les mots restaient clairs et distincts, décochés comme des flèches.Toute l’attitude d’Enid était impérieuse, une rivière dont on ne saurait dévier le cours. La fatigue du voyage avait glissé sur elle, son ardeur demeurait intacte et éclairait son regard minéral. Du sang avait été versé, des vies immolées pour ces informations. Enid se devait de terminer la mission pour eux.
Leoba comprit tout cela par le poids de ses mots et de son regard. Elle se changea en acier et approuva :
-Je m’occupe du nécessaire. Je ne vous cache pas que son Altesse et la générale sont très occupés, mais je ferai en sorte qu’ils vous reçoivent au plus vite.
Enid approuva vivement de la tête, elle se trouvait dans l’antichambre maintenant. La vraie bataille débuterait bientôt. Elle se tourna vers la pièce autour d’elle.
-Installez-vous, mettez-vous à l’aise en attendant, l’écclesiastique lui désigna une chaise, vous pouvez aussi vous rendre au réfectoire, si vous demandez autour de vous, on vous montrera le chemin.
-Soyez mille fois remerciée pour votre aide. Que la Déesse vous bénisse, lança alors Enid, les yeux emplis de gratitude, avant que Leoba ne quitte la pièce.
Elle prit alors sa place sur la chaise, mains posées le long du corps, droite, immobile comme une sentinelle, une statue.
*
A son retour, Leoba trouva Enid, dans la même position. Un frisson de malaise la traversa : était-elle restée ainsi figée, à regarder le vide sans ciller ? Son invitée tourna alors lentement la tête vers elle en une oeillade lourde d’expectative.
-J’ai réussi, se reprit alors Léoba, la générale et son altesse vont vous recevoir. Messire Seteth, le plus haut dignitaire de l’église après l’archevêque Rhéa, sera aussi présent.
Enid bondit alors de sa chaise. Une puissante vague d’adrénaline déferla sur son corps crispé par l’attente.
-Eh bien, on peut dire que vous avez ramené un sacré comité d’accueil, ironisa-t-elle alors, je vous remercie de nouveau, votre excellence, vous allez sans doute contribuer à sauver des vies.
Le trajet fut à la fois long et  bref, comme un rêve fiévreux. Enid apprivoisait le lieu du regard, mais le poids se massait sur ses épaules. La pensée des enfants morts, des sacrifiés ne la quittait pas un seul instant. La guerrière était prête à tout pour eux, pour que nul n’ait plus à subir ce tourment. L’épreuve à venir testerait les limites de son courage, elle devrait sans doute se dévoiler devant des inconnus. Il lui faudrait convaincre, car la méfiance restait vivace en tant de guerre. Et comment les blâmer ? C’était le bouclier qui protégeait des coups en traître.
Enid s’y préparait comme à un long combat,  de ceux dont on ignorait si l’on verrait encore le soleil se lever. Elle consentait à mettre son ego et ses douleurs de côté. Il le fallait. Mais c’était une chose de le dire avant les hostilités, restait encore à s’y tenir. Surtout quand il s’agissait de réflexes qui la poussaient à mordre comme une bête acculée. Enid grimaça, ses dents serrées presque douloureuses.
La chevaleresse de Seiros à l’entrée lui demanda ses armes. Elle força ses doigts à se décrisper et lui tendit son épée et son poignard avant de se soumettre à une rapide fouille. Relâchée, Enid se sentit aussitôt légère, vulnérable, comme délestée d’une partie d’elle-même.
Mais Leoba l’encourageait déjà d’un signe de tête. Elle prit alors une grande goulée d’air et  se drapa dans sa conviction comme une armure.
Tête haute, hiératique, elle entra alors.
La triade l’attendait devant un bureau recouvert de paperasse. L’ensemble était spartiate et les armes alignées sur un râtelier au fond donnaient le ton.
L’emblème sur la vêture du grand jeune homme revêtu de bleu et d’argent lui indiqua que ce dernier ne pouvait qu’être ne pouvait qu’être le prince Dimitri. Concentré, maître de lui, il paraissait être l’inverse des racontars qui le dépeignaient comme une bête.
La générale Byleth aurait pu paraître minuscule à ses côtés. Pourtant, ses traits sereins et sa manière d’occuper l’espace étaient ceux d’une femme habituée à se faire obéir. Comme l’on s’y attendait de la part de celle qui avait défait l’impératrice et le grand duc de l’alliance. Il se murmurait qu’elle était une envoyée de la Déesse, une nouvelle Seiros. Ses cheveux probablement coupés avec une dague, et la sobriété de sa mise, un pantalon sombre et une tunique assortie, trahissaient son passé mercenaire. Sa légendaire épée veillait à son côté, prête à s’embraser sous ses doigts. Une désagréable impression de familiarité la submergea en croisant son regard. Les yeux de Byleth étaient deux puits sans fond : ils paraissaient avoir déjà tout vu, contemplé la mort et la naissance des étoiles.
Le dernier homme ne pouvait donc être que Seteth. Son apparence était surprenante avec des yeux et des cheveux du même vert intense. Son expression était sévère, il la jaugeait d’ores et déjà. Enid fut bien incapable d’estimer son âge : quelques années de plus que Dimitri ? Ses traits creusés et la gravité de son regard racontaient une tout autre histoire. La guerrière songea alors qu’elle devait renvoyer aux autres la même impression. Elle comprit également à sa silhouette qu’il ne s’agissait pas d’un simple bureaucrate, mais d’un combattant aguerri. Il était le porteur de l’emblème majeur de Cichol après tout, celui qui protégeait l’église avec la redoutable lance d’Assal. La noblesse de son visage et la sévérité de son expression correspondaient d’ailleurs bien à l’image qu’elle se faisait de ce saint guerrier. Sa vêture somptueuse le paraît par ailleurs d’une grandeur princière.
Enid s’inclina alors dans une révérence impeccable. Nemain lui avait appris à faire face à toutes les situations.
-Votre altesse, générale, votre excellence, salua-t-elle alors, mon nom est Enid Fresnay et je vous remercie de me recevoir.
Sa voix lui parut étrangère, un peu sèche, comme sous le coup d’un essoufflement. Elle prit alors une grande inspiration, la sentit gonfler ses poumons. Il ne fallait pas céder sous le poids de l’urgence.
-Relevez-vous, l’invita alors Dimitri, nous vous écoutons.
Elle encaissa l’assaut de leur trois regards sur elle, consciente du pouvoir qu’ils détenaient en cet instant. Mais Enid avait déjà traversé de terribles épreuves et se raccrocha à cette certitude. Lorsqu’elle reprit la parole, ce fut d’un ton plus assuré :
-Comme vous le savez sans doute, les habitants de l’empire sont loin de suivre aveuglément l’impératrice. Nombreux sont les opposants qui travaillent en secret à sa chute, comme le seigneur Ferdinand von Aegir.
Enid n’avait jamais eu personnellement affaire à lui, seulement par le truchement de contacts interposés. Ce noble s’employait à lutter avec une petite troupe et l’armée impériale n’avait pas encore réussi à mettre la main sur lui. Il s’agissait sans doute d’un nom que ses interlocuteurs connaissaient et leur intérêt fut en effet piqué.
-Je fais moi-même partie d’un semblable groupe, continua-t-elle alors, je suis née dans l’empire mais j’ai passé une bonne partie de ma vie dans le royaume. J’ai subi, sa trachée se resserra mais elle se fit violence pour continuer, et j’ai été témoin de la brutalité des troupes impériales et de ceux qui coopèrent avec eux. C’est pour cela que j’ai juré de me dévouer corps et âme à les combattre.
Elle assena ces dernières lignes avec le grondement d’une tempête dans la voix. Ses interlocuteurs notèrent alors, sans nécessairement être persuadés de sa sincérité, combien sa rage était convaincante. Elle évoquait en effet la fureur du brasier, d’un flambeau qui  jamais ne s’éteindrait. Sûre de sa mission, elle brandissait haut l’étendard de la vengeance.
-L’un des agents de notre groupe a réussi à mettre la main sur ces documents, elle tendit alors ses feuillets vers l’avant, ils avaient été saisis par l’administration impériale sous le contrôle d’Hubert von Vestra qui les considérait comme dangereux. Et vous penserez sans doute la même chose lorsque vous les aurez lus. Vous avez eu affaire sur le champ de bataille aux mages masqués, tout de noirs vêtus. Les seuls à savoir contrôler et donner naissance aux bêtes démoniaques. Ils ne font pas partie d’une unité spéciale, comme nous étions nombreux à le penser. En réalité, il s’agit d’une société secrète bien plus ancienne, avec qui l’empire s’est allié.
L’envie de détailler l’ensemble de leurs exactions lui brûlait les lèvres, mais elle leur laissa le temps d'assimiler ses révélations. C’était le cap à franchir. Peut-être refuseraient-ils de la croire. Dimitri s’empara alors des documents et ses deux acolytes le rejoignirent et ils parcoururent avec un front plissé et soucieux. Enid resta immobile pendant tout le temps que cela dura, poings serrés si fort qu’elle crut que ses os allaient cisailler sa peau.
Les enfants morts, cadavres entassés aux bras ballants, leurs yeux comme des billes de verre…
Les bêtes qui ne retrouvaient leur humanité que dans la mort…
Se réveiller avec cette douleur, inconcevable, insoutenable qui calcinait les nerfs, incapable de crier…
Elle glissa de nouveau, spectatrice en retrait. Non, elle ne pouvait pas se le permettre, il fallait rester présente et concentrée. Elle se débattit, but la tasse, mais garda la tête hors de cette marée infernale.
Un détail capta alors son attention. Les trois dignitaires échangèrent un regard, suivi d’un hochement de tête complice. Comme s’ils pensaient tous à la même chose. Enid se tendit alors, attendit leur réponse.
-Nous prenons bonne note de ces informations, Seteth s’exprima alors mais elle sentit qu’il s’agissait surtout d’une formalité, vous dîtes que vous avez pu observer plusieurs fois les agissements de ce groupe, pourriez-vous nous en dire plus ?
La vraie épreuve commençait. Ils allaient bien entendu la questionner, tenter de déceler les failles de son discours. Enid se prépara alors à plonger dans l’eau glacée. Quoi qu’il arrive, elle devait l’endurer.
-Ces mages noirs étaient déjà présents dans le royaume lorsque Cornelia Arnim a pris le pouvoir. Ils sont venus réquisitionner la maison de ma famille, qui a refusé d’obéir à leurs ordres et en a payé le prix.
“Et moi je n’ai pas pu les sauver”. Sa tête commença alors à tourner, sa bouche devint pâteuse. L’engourdissement gagna Enid, comme si elle peinait à se mouvoir, que l’air autour d’elle s’épaississait et que le temps suspendait son cours. Le froid referma alors ses doigts autour de son cœur et elle eut soudain l’impression que tout ceci n’était qu’un cauchemar qui arrivait à une autre.
-Mon groupe les a affrontés plusieurs fois, il nous est arrivé d’intercepter leurs “livraisons” “d’atouts stratégiques” au front…j’ai aussi appris que ces gens travaillent en étroite collaboration avec Volkhard von Arundel, elle vit Dimitri serrer les dents, sa bouche devenue une simple et fine ligne, mais surtout…ils mènent des expériences sur les êtres humains. Pour créer les bêtes démoniaques, mais aussi pour des tentatives d'implantations d’emblèmes ou de modifications diverses. Dans l’empire, et sans doute aussi dans le royaume maintenant, des enfants, des gens que personne ne viendra jamais réclamer, disparaissent.
Elle réussit à terminer sans trembler, par chance, sa voix était restée claire. C’était comme si malgré tout la force de l’impératif la tenait à bras le corps, la tirait encore et encore vers le haut.
D’autres questions suivirent et elle perdit le fil. Ils traquaient méthodiquement les incohérences dans son parcours. Enid répondit seulement la vérité, détailla la manière dont elle obtenait ses informations. Par chance, elle n’eut pas à remonter vingt ans en arrière, son enquête lui avait fourni d’autres manières d’étayer ses dires. Lorsqu’une accalmie vint, elle en tremblait presque de soulagement.
-Que comptez-vous faire désormais ? Byleth s’adressa alors à elle, allez-vous retourner dans l’Empire ? Ou souhaiteriez-vous rester ici ?
-Si je suis venue ici, c’est parce que j’aimerais me battre pour libérer le Royaume, Enid se retrancha derrière sa fierté ombrageuse, afin de préserver la face malgré cette épreuve.
-Nous ne connaissons pas vos antécédents et nous n’avons pour l’instant aucune preuve concrète de vos dires. Il vaudrait donc mieux que vous retourniez dans l’empire, ordonna alors Seteth comme si l’affaire était close.
La douleur de cette inconnue était presque palpable, ses propos correspondaient aux maigres informations qu’ils possédaient. Pourtant, il ne pouvait se laisser guider par sa compassion. Léoba prétendait que cette Enid lui avait sauvé la vie et assurait qu’elle était digne de confiance. Mais l’évêque avait toujours été d’une nature confiante, généreuse, frôlant parfois l’inconscience. Peut-être cette femme était-elle en réalité un agent double en pleine tentative d’infiltration du monastère, leur donnant des informations en apparence fiables pour mieux gagner leur confiance et les attirer ensuite dans un piège. Ou pire, une envoyée de ces individus aux doubles visages qui étaient derrière l’enlèvement de Flayn et Remire…
Une étincelle de fureur jaillit alors dans le regard de l’intéressée. Des yeux singuliers qui lui rappelaient douloureusement ceux qui étincelaient autrefois à Zanado. Sa rancœur était compréhensible. Mais elle représentait l’inconnu, l’imprévisible. Et il ne pouvait pas prendre ce risque, pas après avoir vu ce dont leurs ennemis étaient capables.
L’orgueil d’Enid rua alors. Un frisson d’urgence la parcourut en entendant cet homme parler comme si tout était acté. Ses espoirs étaient en train de brûler devant elle. La frustration l’étouffa : bien entendu qu’ils n’allaient pas l’accueillir à bras ouverts. Elle avait aussi dû faire ses preuves chez les résistants. Tout avait cependant été plus simple car elle avait les bons contacts. C’était cependant une chose que de l’anticiper et une autre que de le vivre. Une part d’elle ne supportait pas d’être traitée comme une espionne potentielle, jetée à la porte. Pas après tout ce qu’elle avait traversé ! Nourrie par l’impuissance, la colère monta alors en flèche : Enid ne comptait pas repartir et manquer les prochaines batailles. Les mots devancèrent alors toutes ses résolutions.
-Je ne suis pas venue ici pour cela, cracha-t-elle alors, je ne veux plus d’une lutte souterraine mais combattre ouvertement l’empire en tant que soldat. J’ai traversé nombre de situations difficiles avant de venir ici, mon bras ne tremble pas. J’excelle à l’épée et je tire bien à l’arc. Ne vous privez pas d’un tel atout.
Elle se maudit aussitôt le dernier mot lâché. Il avait été si aisé, si rapide de trébucher ! Sans la pression accumulée lors des dernières minutes avait-elle mis ses nerfs à rude épreuve, brouillant son jugement. Lorsqu’on cherchait à l’écraser, la riposte suivait aussitôt. Quoi qu’il en fut, le mal était fait. Sans doute cette marque d’arrogance leur déplairait-elle. Enid chercha aussitôt comment se rattraper. “Même s’ils me chassent, je trouverai un moyen de revenir” se promit-elle.
Mais Byleth crut reconnaître en elle une personne de son âge, luttant pour être prise au sérieux. Elle s’empara d’une lame et la lança à Enid avant de s’armer également :
-Dans ce cas, voyons ce que vous valez.
Enid attrapa l’arme au vol, trop heureuse de se voir offrir cette chance. Elle était prête, la sensation familière du pommeau entre ses doigts chassait les doutes. La jeune femme y revenait toujours lorsque les ombres s’agitaient. Ne comptait alors plus que l’art de la lame.
Elle laissa le premier coup à Byleth afin de la jauger. La générale était rapide, brutale et efficace. Son style n’était qu’économie de mouvements, taillé pour se débarrasser au plus vite de ses opposants. Enid avait beau la dépasser de quelques centimètres, elle n’en tirerait aucun avantage. La mercenaire s’était toute sa vie entraînée à affronter des adversaires plus grands qu’elle.
Mais Enid avait été entraînée par Nemain pour qui la mort était un art. Sa persévérance avait fait d’elle l’égale de son instructrice. Elle restait d’ailleurs plus expérimentée que son adversaire. Aussi vint-elle à sa rencontre en égale.
Byleth fondit sur elle comme un rapace. Enid esquiva d’un bon liquide. Avec une célérité redoutable, elle repoussa la générale de la pointe de sa lame et la contraignit au recul. Ce fut un échange incertain, fluctuant. Quand l’une semblait prendre le dessus, l’autre retournait aussitôt la situation. Les deux femmes dévoilèrent toute la mesure de leur dangerosité, car là où elles allaient, le combat changeait de nature.
Enfin, la commandante se figea et rengaina.
-Votre place est sur le champ de bataille, déclara-t-elle sans se départir de sa tranquilité, vous serez la bienvenue dans mes troupes. Nous avons besoin de tous les soldats compétents que nous pouvons trouver. Qu’en pensez-vous votre altesse ?
-J’approuve votre décision, générale, acta fermement Dimitri, avec la prestance que l’on attendait d’un monarque, les derniers affrontements nous ont grandement éprouvés et un combat tout aussi rude nous attend. Nous avons besoin de tous les bras que nous pouvons trouver. Je vous laisse décider de son affectation, ordonna-t-il alors.
Le prince comprenait les doutes de Seteth mais connaissait aussi la férocité de leur ennemi. De plus, il serait toujours possible de demander à un informateur ou à son responsable de troupe de garder un oeil sur cette femme.
L’éclésiastique pivota alors vers eux, les foudroyant du regard.
-N’avez-vous pas appris des événements de votre scolarité ? S’exclama-t-il alors.
Byleth s’avança alors jusqu’à lui, yeux comme la lisse surface d’un lac.
-J’ai pris ma décision, trancha-t-elle alors, sans hausser le ton.
Sans plus lui accorder un regard, elle se tourna vers Enid et lui détailla toutes les informations afférentes à son nouveau statut.
-Et vous garderez le silence sur vos origines impériales afin d’éviter de créer des suspicions inutiles et d’ébrécher la cohésion de votre troupe, conclut Byleth.
Elle respectait Seteth pour sa droiture et sa bienveillance. Cependant, la décision finale lui revenait. Elle connaissait les risques, avait pesé le pour et le contre. Byleth se devait de se faire respecter et ce quel que soit l’interlocuteur. Autrement, plus personne ne la prendrait au sérieux. Et il n’avait pas été aisé de se faire obéir des nobles, des dignitaires lorsque l’on était qu’une ancienne mercenaire. ll fallait pour cela se doter d’une poigne de fer.
-Je vous remercie d’accéder à mon désir, Enid s’inclina, posa la main sur sa poitrine.
Le poids s’était levé dans ses épaules, elle se trouvait désormais au bon endroit pour réaliser ses ambitions.
La sombre détermination, presque fiévreuse, avec laquelle elle insista sur le mot “désir” fit naître un frisson glacé chez Dimitri. Brûlant de venger ses proches, toute vêtue de noir…était-elle fiancée au trépas et venue pour s’unir à son promis ? Il fut tenté de faire marche arrière, de se ranger derrière l’avis de Seteth, ou de proposer un juste milieu en offrant à cette guerrière un poste de garde. Le jeune homme se souvint néanmoins qu’il ne pouvait se laisser gouverner uniquement par sa sensibilité. Un roi se devait de prendre des décisions difficiles.
Lorsqu’Enid se fut éclipsée, Seteth laissa éclater ses reproches :
-Je désapprouve toujours et vous le savez. Il faudra garder un œil sur elle, décida-t-il avec fermeté.
-Mieux vaut en effet rester prudents, confirma Dimitri, cependant, j’ai quelques doutes de mon côté. Une espionne aurait plus intérêt à se fondre dans la masse et à ne pas se faire repérer qu’à se signaler ainsi. L’Empire a peut-être déjà des agents parmi nous et nous devons nous y préparer.
Seteth se détendit un peu en voyant que ses acolytes partageaient son avis sur ce point. Il y avait dans l’ordre de Seiros des agents de confiance qui pourraient s’en charger et il y veillerait.
-J’ai immédiatement pensé à Solon à Kronya et à cet homme que nous avons vu converser avec Edelgard, rebondit alors Byleth, abimée dans sa réflexion.
L’identité de ces gens, la raison de leur apparence restaient un mystère. La scène se rejoua dans son esprit, les couleurs et les sensations encore vives, comme des coups de poignard dans ses entrailles. Le sourire sadique de Kronya, la dague qui s’enfonçait dans le dos de Jeralt…le magicien drapé de noir, corbeau funeste, qui venait emporter sa protégée, laissant le cadavre de son père dans son sillage. Son état d’épuisement général l’avait empêchée de faire de nouveau appel à l’impulsion divine. Occire Kronya n’avait rien changé, seul le temps éroderait peut-être la peine.
Elle maudissait parfois ce pouvoir, les espoirs qu’il faisait naître avant de les lui arracher. Byleth avait reçu la force de Sothis, mais cela ne faisait pas d’elle une déesse pour autant. Vidée de son énergie par les combats de Gronder où elle s’était démenée à coup de lame et de sortilèges, elle n’avait pu sauver messire Rodrigue. La générale s’en était de plus servie auparavant afin de sauver Dimitri. Ses réserves brûlées, elles n’avaient eu dans les mains que des cendres. La seule chose qu’elle pouvait faire était continuer tant bien que mal, préserver ce monde de l’effondrement afin que la mort du duc ne soit pas vaine.
“Où es-tu Sothis ? Se demandait-elle parfois, j’ai tant de questions, tant de choses que je ne comprends pas…”
-Surtout lorsque l’on pense aux exactions auxquelles se sont livrés ces gens, compléta Seteth, d’abord l’enlèvement de Flayn et ensuite Remire. Ces gens possédaient une magie et un équipement qui nous étaient inconnus. Tout est dans la même lignée que ce qu’elle vient de nous décrire.
Son attitude résolue était celle du guerrier prêt à abattre ses ennemis. Cependant, les deux autres décelèrent sous l’armure l’inquiétude d’un père meurtri, désireux que sa fille puisse vivre sans jamais plus être inquiétée.
Des transformations, des expériences basées sur le sang, un savoir que nul autre ne possédait…de vieux souvenirs remontaient à la surface. Les parallèles avec ce peuple dont l’arrogance avait transformé Ailell en enfer s’imposèrent à lui.
Mais la Déesse avait châtié leur fol orgueil. Mais une question le hantait depuis toujours : qui avait octroyé les emblèmes et les “reliques” à Némésis et ses compagnons ?
Une société secrète traversant les siècles dans l’obscurité…Il se devait de faire le jour sur cette affaire. Cependant, il était encore trop tôt pour en tirer des conclusions. Aussi garda-t-il ses craintes pour lui. Un verrou de fer scellait ses lèvres lorsqu’il s’agissait du massacre. Dimitri et Byleth étaient intègres, mais la vérité portait des conséquences trop terribles pour être révélée à la légère. Ce silence avait protégé ce qu’il restait de son peuple. L’horreur des siècles passait le hantait encore, les mots recelaient le pouvoir de la ramener.
Aussi continuerait-il à préserver son masque, comme il l’avait toujours fait, tout en ignorant les reliques que brandissaient leurs meneurs, d’obscènes restes de ceux qui avaient autrefois été ses frères et sœurs, incapables de reposer en paix. Seteth endurait le dégoût viscéral qu’elles lui inspiraient, jouait le jeu nécessaire de la dissimulation. Mais il les voyait pour ce qu’elles étaient : des morceaux de cadavres, la moisson du massacre. Il se souvenait des noms associés à ces emblèmes, comme un chapelet. Les siens avaient presque disparu sous les dents de l’avidité. Ne restaient que des larmes, emportées par les vents salés de Rhodos.
-Je pense aussi au changement de comportement chez le seigneur Arundel et à celui de Cornelia…et on retrouve ces mages à leur côté, nota Dimitri, il faudra être particulièrement vigilants lorsque nous reprendrons la capitale.
-Je suis du même avis, s’il s’avère bien que nous n’affrontons pas une seule mais deux menaces, alors nous ne devons pas laisser la seconde replonger hors d’atteinte, promit alors Seteth.
Il s’y tiendrait. Pour Flayn. Pour empêcher que de nouvelles atrocités ne se produisent.
*
Enid se dirigea vers les bains. La fatigue n’était qu’une sensation lointaine, bien trop familière. Sa réussite occupait le premier plan de son esprit. Peut-être était-ce enfin le début d’une avancée significative, la roue de fortune tournerait alors, laissant les tortionnaires connaître enfin l’effroi. Elle s’en assurerait personnellement lors de l’assaut de Firdhiad.
La fraîcheur du soir chatouilla alors son épiderme. L’atmosphère était paisible, un silence à peine troublé par les clapotis de l’eau et des conversations feutrées. Mais cette quiétude ne l’atteignait pas. Elle ne se connaissait que trop bien et observa sa propre méfiance avec une lassitude blasée. Se retrouver dans un tel état de vulnérabilité en compagnie d’inconnus la mettait toujours sur le qui-vive. Rien ne changeait malgré les années. Debout sur le bord, elle avait le sentiment d’être une cible désignée. Des picotements remontèrent le long de son dos, se répandirent dans tout son épiderme.
Allons bon. Ne restait-elle pas une arme, même dans cet état ? N’avait-elle pas veillé à le devenir ? Certes, le poignard était demeuré avec son pourpoint, mais il lui restait toujours ses membres et ses dents.
Sans plus tergiverser, elle s’enfonça dans l’eau, la laissa la submerger jusqu’au cou. Le sortilège de l’onde fit progressivement effet et ses muscles se délassèrent suffisamment pour rendre l’expérience supportable. Sa vigilance ne s’assoupit cependant pas, mais les autres femmes, sans doute absorbées par leurs propres balafres, ne se souciaient guère d’elle.
Son regard s’égara sur les hautes voûtes du plafond et les nuages de vapeur qui saturaient l’air. Ce monastère serait sa nouvelle base pour toutes les opérations à venir. Enid savait déjà qu’elle se l’approprierait : elle était une graine tenace, de ces herbes qui se plantaient où elles le désiraient, qu’importait l’avis du jardinier, et poussaient sur tous les sols, même les moins cléments. Il en était ainsi depuis son enfance, elle était passée d’une main à l’autre comme une balle. La guerrière n’avait pas d’endroit vers lequel se retourner. Et savait qu’elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. La coupe pleine de cendres et de larmes devait être bue jusqu’à la lie.
Elle se ramassa un peu sur elle-même, assise en chien de fusil. L’épuisement la rattrapa et elle s’accorda alors un instant de plus. Qu’avait-elle d’autre à faire ? Son instinct de préservation lui ordonnait de sortir, mais ses cris n’étaient plus qu’étouffés. Le contact de l’eau sur son corps fourbu était comme un baume miraculeux.
C’était de nouveau cette grâce salvatrice, la prêtresse qui humidifiait  son front fiévreux, régénérait corps embrasé. La fin de la douleur. Elle se pencha alors et vit, comme une fresque, les bleus et les cicatrices plus ou moins récentes, la suite logique de son existence. Mais rien qui ne l’empêcherait de combattre.
*
L’intégration d’Enid à son unité se déroula sans encombres. Elle était professionnelle, travailleuse et il lui fut aisé de faire accepter son histoire de volontaire venue du royaume pour soutenir le monarque légitime.
Sa session d’entraînement terminée, elle en profita pour faire un peu de repérage. Enid avait vu le réfectoire, mais fit un détour par les cuisines. On lui avait expliqué que si elle manquait le repas, elle pourrait toujours venir y demander quelque chose. Le personnel allait et venait sans lui accorder un regard.
Elle repéra alors par la porte ouverte une salle plus petite, un lieu où les étudiants préparaient autrefois des repas ? Une jeune fille y regardait ses ingrédients d’un air hésitant. L’habit sous son tablier était rehaussé d’or et le personnel l’ignorait, ce qui laissait supposer qu’elle n’en faisait pas partie. Elle commença alors à touiller maladroitement sa préparation.
Enid n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de cuisiner, mais c’était très mal parti. Cependant, la couleur de cheveux de l’inconnu l’interpella. Bien que d’un vert plus clair, ils lui rappelèrent aussitôt ceux de Seteth. Étaient-ils de la même famille ? Sans doute
n’apprécierait-il pas qu’elle s’approche ainsi. Mais Enid n’était pas du genre à se faire inutilement petite et elle avait en outre la générale et le prince de son côté.
Ce fut alors que l’apprentie cuisinière commença à débiter ses légumes d’une main malhabile. Le couteau passa bien trop près de ses petits doigts fins.
Elle soupira, hors de question de la laisser se mettre en danger et  gaspiller cette nourriture. Maugréant intérieurement, elle s’approcha alors lentement pour ne pas la surprendre.
-Attention avec le couteau, l’avertit-elle alors, il vaudrait mieux le tenir autrement. Je peux ?
-Bien entendu, s’exclama en retour l’intéressée, montrez-moi s’il vous plaît.
La guerrière prit doucement ses mains lisses et fines dans les siennes et ajusta leur prise. Elle la guida et le mouvement de coupe se fit plus assuré. Des étoiles s’allumèrent alors dans les étoiles de la jeune fille et l’expression d’Enid s’adoucit.
Les étapes s’enchaînèrent alors, elles passèrent à l’assaisonnement et mirent le tout sur le feu. Enid se laissa porter par la simplicité des actions, l’enchaînement des étapes. Désireuse de ne dépendre de personne pour sa subsistance, elle avait veillé à acquérir un niveau suffisant en cuisine. Son élève était tout heureuse de voir sa préparation hasardeuse se transformer en un véritable repas. Expressive, elle ne cachait pas sa joie, riant et souriant devant ses progrès. Bien qu’il tentât de garder ses distances, son allégresse réchauffait Enid comme les rayons du soleil matinal.
-Merci beaucoup, je suis sûre que mon frère va beaucoup apprécier, s’exclama la plus jeune une fois qu’elles eurent terminé, il travaille beaucoup et je voulais le soutenir en lui préparant quelque chose. Je m’appelle Flayn, et vous ?
Seteth était donc son aîné. Il y avait un certain écart d’âge entre les deux, mais c’était après tout des choses qui arrivaient.
-Enid, répondit-elle alors, vous devriez vite  aller le lui porter avant que ça ne refroidisse.
-J’y cours, Flayn prit alors le plat et le posa sur un plateau, merci encore pour votre aide ! Je suis une magicienne et une guérisseuse, annonça-t-elle fièrement, si jamais vous avez besoin que je soigne vos blessures. Oh ! Et si je vous revois, accepteriez-vous de me montrer de nouveaux plats ?
Enid fut tentée de répondre par la négative. Mais les manières, l'espièglerie de Flayn et son attendrissante joliesse l’en empêchaient. Elle ne devait pas s’attacher, elle le savait. Cela ne serait bon ni pour elle, ni pour la jeune fille.
-Je ne connais pas beaucoup de recettes et je m’entraîne souvent, objecta-t-elle alors, mais nous verrons si nous nous croisons de nouveau.
-Avec plaisir, Flayn n’avait retenu que le positif, j’y vais maintenant. A très bientôt !
Restée seule, Enid s’adossa à la table. Dans quoi venait-elle de se mettre ? Mais il aurait été inconcevable de ne pas lui venir en aide…
Un goût amer emplit sa bouche et elle comprit. Enid avait retrouvé l’espace d’un instant, un écho lointain, déformé, de la joie des instants passés avec Maeve.
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clickandtravel00 · 2 days
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Naviguer dans des voyages spirituels : explorer les agences Omra à Bruxelles
Au cœur de Bruxelles, là où les cultures se croisent et où la diversité s'épanouit, se cache un aspect moins connu de la mosaïque dynamique de la ville : les agences Omra. Ces agences servent de canal aux musulmans fervents qui se lancent dans le pèlerinage sacré de la Omra, fournissant des services et des conseils essentiels aux voyageurs cherchant un lien plus profond avec leur foi.
La Omra, souvent appelée le « petit pèlerinage », revêt une immense importance dans l'Islam. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire comme le Hajj, la Omra est un acte de culte profondément précieux entrepris par des millions de musulmans chaque année. Pour ceux qui résident à Bruxelles et dans les régions limitrophes, la présence des agences Omra est déterminante pour faciliter ce voyage spirituel.
Le voyage de la Omra implique généralement des rituels tels que le Tawaf (faire le tour de la Kaaba), le Sa'i (marcher entre les collines de Safa et de Marwa) et l'acte symbolique de se raser ou de se couper les cheveux. Même si les rituels eux-mêmes sont simples, la logistique nécessaire à la planification et à l'exécution d'un tel voyage peut s'avérer intimidante, en particulier pour ceux qui l'entreprennent pour la première fois.
C'est là qu'interviennent les agences Omra à Bruxelles, proposant une gamme de services pour simplifier le processus de pèlerinage. De l'assistance pour les visas et l'organisation du voyage à l'hébergement et aux visites guidées, ces agences répondent aux divers besoins des pèlerins, garantissant une expérience fluide et enrichissante.
L’un des principaux avantages du recours à une agence Omra est la tranquillité d’esprit qu’elle offre. Naviguer dans les subtilités des voyages internationaux peut s'avérer écrasant, en particulier lorsqu'il est associé à la signification spirituelle de la Omra. En confiant leur voyage à une agence réputée, les pèlerins peuvent se concentrer sur leurs objectifs spirituels tout en laissant les détails logistiques entre des mains compétentes.
De plus, les agences Omra fournissent souvent un soutien supplémentaire sous la forme de ressources pédagogiques et d’orientation spirituelle. Pour de nombreux pèlerins, la Omra représente une profonde opportunité d’introspection et de renouveau de la foi. La présence de guides et de mentors compétents peut grandement améliorer cet aspect du voyage, en offrant des informations et des encouragements tout au long du parcours.
À Bruxelles, ville célèbre pour son multiculturalisme et sa tolérance, la présence des agences Omra souligne l'importance de la diversité religieuse et de l'inclusion. Quelle que soit leur origine ou leur nationalité, les musulmans de la région ont accès à des ressources qui facilitent leurs obligations religieuses et approfondissent leur lien spirituel.
Cependant, il est essentiel que les pèlerins fassent preuve de prudence et de diligence lors de la sélection d'une agence Omra. Avec la prolifération d’agences offrant différents niveaux de service et de fiabilité, des recherches et des consultations approfondies sont primordiales. Les pèlerins doivent rechercher des recommandations auprès de sources fiables, vérifier les informations d'identification de l'agence et clarifier les conditions de service avant de prendre des engagements.
Pour plus d'informations:-
agence omra marseille
agence omra bruxelles
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omagazineparis · 4 days
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Mèche blonde, la tendance coiffure du moment
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Vous avez envie d'illuminer et d'apporter un peu de soleil à vos cheveux ? Avez-vous déjà pensé aux mèches blondes ? Vous verrez dans cet article que la mèche blonde est plus qu'une simple coiffure tendance. C'est une véritable révolution capillaire ! Les nuances de blond, c'est LA tendance coloration de cheveux depuis plusieurs saisons. Mais parmi toutes ces nuances, la mèche blonde est celle qui a su rester indémodable tout au long de ces années. Et il n'y a absolument rien d'étonnant à cela. En effet, cette mèche a non seulement le mérite de se renouveler et de se réinventer chaque année de suite. Mais ce n'est pas tout car elle est également capable de s'adapter à toutes les couleurs de cheveux. Mèche blonde : à quoi ça ressemble exactement ? Alors sachez que la mèche blonde est une technique de coloration. Celle-ci consiste à teindre des fines mèches. Et ce pour les rendre plus claires que la couleur naturelle de vos cheveux. L'objectif étant d'obtenir une couleur plus marquée que sa couleur naturelle. Mais les mèches ne doivent pas pour autant changer radicalement la couleur de vos cheveux. La mèche blonde est donc la pour réveiller une blondeur naturelle tout en se fondant au reste de la chevelure. Quelles différence entre mèche blonde, balayage blond et sunlight ? C'est vrai qu'on confond souvent le concept de mèche blonde avec le balayage blond et le sunlight. Après tout, ces 3 techniques de coloration ont pour même objectif d'éclaircir un peu plus les cheveux. Sachez pourtant qu'il y a une grande différence entre la mèche blonde, le balayage blond et le sunlight. Et cette différence, elle se remarque surtout au niveau du résultat obtenu. La mèche blonde Cette mèche se distingue surtout par le fait qu'elle est un peu plus marquée comparée au balayage blond. Ici, les mèches sont colorées d'une seule et même couleur. Ce qui fait que la teinte est donc plus visible et plus prononcée. Le balayage blond Contrairement à la mèche blonde, le balayage blond, lui, est un peu plus discret. Au lieu d'utiliser une seule couleur, on utilise plusieurs nuances de blond. La teinture se fond ainsi au reste de la chevelure de façon plus subtil. Le sunlight On peut considérer le sunlight comme une variante du balayage blonde. La technique de coloration est exactement la même. La seule différence est que le sunlight s'applique sur des cheveux foncés, du châtain foncé au chocolat. Crédit : Pixabay Les différents types de mèche blonde Peut-être que vous ne le saviez pas non plus mais il existe plusieurs types de mèche blonde. Il y a notamment la mèche dorée, la mèche platine, la mèche cendrée ou encore la mèche caramel. Zoom sur les colorations les plus tendances. Le blond doré La mèche blonde dorée se distingue surtout par ses couleurs chaudes et ses reflets lumineux. On l'appelle aussi le blond californien. La mèche dorée est surtout utilisée pour sublimer une couleur de cheveux naturelle blond foncé. La mèche blonde platine Plus rock'n'roll, la mèche blonde platine, elle, convient plus à des cheveux très clairs. L'objectif étant de donner plus de peps et de caractère à la couleur naturelle de vos cheveux. Lorsqu'on opte pour une mèche platine, on évite d'appliquer l'effet jusqu'à la racine. La mèche blonde cendrée Le blond cendré, pour sa part, tend vers des nuances plus froides et des reflets plus gris. Cette nuance apporte plus de profondeur et plus d'intensité à vos cheveux. La mèche cendrée est la couleur idéale si vous voulez mieux appréhender vos premiers cheveux blancs. Quelle mèche blonde choisir ? Sachez également que les nuances de couleur à utiliser sur une mèche blonde varient. Tout dépend de la couleur naturelle de vos cheveux. Par conséquent, les mèches à utiliser sur des cheveux blonds ne seront pas les mêmes que sur des cheveux bruns ou châtains. Tout dépend des pigments de vos cheveux. Sur cheveux blonds Il est recommandé pour des cheveux naturellement blonds d'opter pour des teintes un peu plus foncées. Cela vous évitera de trop éclaircir vos longueurs. Cela dit, il ne faut pas non plus que la teinte soit trop prononcée au risque de perdre l'effet "naturel" de la coloration. Sur cheveux bruns Sachez que c'est sur des cheveux bruns que vous pourrez oser toutes les nuances de blond. Les brunes peuvent par exemple opter pour une mèche qui tend vers la couleur miel ou une couleur plus foncée. Vous mettrez ainsi en avant la couleur naturelle de vos cheveux en adoptant la tendance bronde. Cela apportera également de la brillance. Sinon, vous pouvez aussi casser complètement la couleur de vos cheveux. Pour cela, on fonce vers des mèches plus froides et plus grisâtres. Sur cheveux châtains En général, c'est le balayage blond qui s'adapte le plus à des cheveux châtains. Car rappelons-le, la vocation principale de la skunk hair est de teindre des mèches d'une seule et même couleur. Or, cette technique ne permet pas toujours de valoriser des cheveux châtains. Mais attention, les cheveux châtains peuvent ajouter des mèches blondes. Il faut tout simplement apprendre à bien porter ses mèches pour mieux mettre en avant sa chevelure. Si vous avez des doutes, demandez conseil à votre coiffeur ou à votre coloriste. A lire également : Les coiffures qui redeviennent tendances Comment porter des mèches blondes ? En effet, contrairement aux idées reçues, il ne suffit pas d'avoir des mèches blondes pour avoir un look stylé. Il faut aussi apprendre à bien les porter ! Alors, faut-il opter pour les mèches blondes devant, les mèches blondes invasives? Ou bien les mèches blondes à la façon split hair ? Eh ben, voici quelques petits conseils qui pourraient vous aider : La mèche blonde devant Alors, on parle ici des deux mèches blondes qui viennent "encadrer" en quelques sortes la forme du visage. Cette coiffure très tendance et pleine d'audace existait déjà vers les années 90 et est revenue au goût du jour vers 2020. Mais pour bien la porter, il faut déjà que les mèches soient relativement éclatantes et contrastantes. Si vous avez assez d'audace, vous pouvez même colorer vos mèches blondes avec de petites de rose, de bleu ou de vert pastel. La mèche blonde invasive Aussi appelé "skunk hair", la mèche blonde invasive consiste à teindre des mèches plus importantes. Comment? Il suffit de décolorer tout simplement légèrement les cheveux au niveau de votre nuque. L'objectif étant de se rapprocher le plus possible d'un effet moufette. Le contraste entre l'éclaircissement vos mèches et votre chevelure naturelle sera ainsi encore plus marquée. Et ce grâce à cette décoloration. Pour bien porter une mèche invasive, nous vous recommandons d'opter pour un blond platine. Conseil valable sur une chevelure noir ou châtain foncé. La mèche blonde façon split hair On associe souvent le split hair à la chevelure de la chanteuse SIA. Ou celle de Cruella dans les Dalmatiens, c'est au choix! Certes, c'est peut-être une coiffure un peu "excentrique". Mais elle apporte une touche d'originalité sans égale ! Pour adopter cette coiffure, privilégiez un carré court plongeant. Le plus? L' associer à une petite frange. Croyez-nous, le résultat sera exceptionnel ! Read the full article
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storyai · 14 days
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(copilot) prompt de base : photo amateur, naturelle, objectif 70 mm, iso 25, noir et blanc, contraste élevé, d'une ville entièrement détruite, où la végétation a envahi les ruines, d'un groupe d'humains, en guenilles, avec toutes sortes de sacs et charriots, errent parmi les carcasses à la recherche de quelques fruits, leurs visages sont fatigués et sales, leurs cheveux sont hirsutes, ils sont édentés.
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lapleiade · 21 days
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Je tombai amoureux de cette inconnue rousse. C’était bien sûr avant tout un désir très physique, un émerveillement charnel devant sa taille d’une fragilité encore enfantine qui contrastait tellement avec son torse déjà féminin... Mais plus que le désir d’enlacer ce corps, de sentir sous mes doigts le vernis du bronzage, j’éprouvais un bonheur neuf et sans nom.
Il y avait cette table en grosses planches installée à l’orée d’un bois. Le soleil et l’odeur des dernières neiges réfugiées dans l’obscurité des fourrés. Tout était divinement simple. et lumineux. comme ce corps avec sa féminité encore distraite. comme mon désir. Aucune ombre du passé ne troublait la limpidité de ce moment.[...] Et avec une jouissance indicible, je sentais que le caillot de mes réflexions d’hiver, pénibles et embrouillées, se dissipait dans ma tête... La jeune rousse se déhanchait légèrement devant la mitraillette. Le soleil illuminait les contours de son corps à travers le fin tissu de sa vareuse. Ses boucles de feu rebiquaient sur le calot. [...] Je ne parvenais pas à croire que ma vie était autrefois composée de ces reliques poussiéreuses. J’avais vécu sans soleil, sans désir - dans le crépuscule des livres. A la recherche d’un pays fantôme, d’un mirage de cette France d’antan peuplée de revenants...
La rouquine se retourna, radieuse. Et, enlevant son calot, elle secoua la tête. Ses cheveux s’enflammèrent dans le soleil, ses taches de rousseur jaillirent comme des étincelles. Je fermai les yeux.
Et le lendemain, pour la première fois de ma vie, je découvrais cette volupté très singulière de serrer une arme à feu, une Kalachnikov, et de sentir ses tressaillements nerveux contre mon épaule. [...] Oui, ses secousses insistantes, sa force mâle étaient pour moi d’une nature profondément sensuelle. D’ailleurs, dès la première rafale, ma tête se remplit d’un silence bourdonnant. Ce carillon incessant dans mes oreilles, les gerbes irisées du soleil dans mes cils, l’odeur fauve de la terre sous mon corps - j’étais au comble du bonheur. Car enfin je revenais à la vie. Je lui trouvai un sens. Vivre dans la bienheureuse simplicité de ces gestes ordonnés: tirer, marcher en rang, manger dans des gamelles en aluminium la kacha de mil. Se laisser porter dans un mouvement collectif dirigé par les autres. Par ceux qui connaissaient l’objectif suprême. Ceux qui, généreusement, ôtaient tout le poids de notre responsabilité, nous rendant légers, transparents, nets. Cet objectif était, lui aussi, simple et univoque: défendre la patrie. Je me hâtai de me fondre dans la masse merveilleusement irresponsable de mes camarades. Je jetais des grenades d’exercice, je tirais, je plantais une tente. Heureux. Béat. Sain. Et avec stupeur je me rappelais parfois cet adolescent qui, dans une vieille maison au bord de la steppe, passait ses jours entiers à méditer sur la vie et la mort. [...] Si l’on m’avait présenté ce rêveur, je ne l’aurais sans doute pas reconnu. Je ne me serais pas reconnu...
— Andreï Makine, Le testament français
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triiiiiiiiiiiis · 1 month
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14.02.24. Capable d'Aimer.
NDA pour moi-même : Texte sur Kasley étonnant que je trouve assez cringos.
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– Je sais pas si je suis capable d'aimer.
Et il y a tant de mots qu'il aimerait avouer, tant de sentiments gâchés par ce simple silence au cœur crevé. Béant, léthargique, il existe puisqu'on se rappelle de son nom, simplement un sobriquet qui n'est pas véritablement son identité. Il est mort, et tout le monde le sait, personne n'a tenté d'y remédier. Il est pendu à ce grillage, ses mains serrant le métal, cette barrière empêchant le monde d'en bas de l'envoyer vers le haut. Il s'y accroche, le soleil se couchant, jouant avec ses cheveux de sa teinte réconfortante. La douceur de ses rayons caressent son visage. Il le sent s'engouffrer, il le sent l'apaiser. Les immeubles, les voitures, la plage s'effondrent : d'un tableau il reste son encre. Il force sur ses paupières, espérant vainement un paysage anthracite. Et lorsqu'un fin touché s'impose à sa main, il comprend les larmes qui esquintent son visage. Depuis combien de temps pleure-t-il, déjà ?
– Je voudrais, mais j'ai peur rien qu'à y penser.
Chaque parole, chaque affirmation, tue son âme. Sa gorge se resserre au fur et à mesure que les lettres se concrétisent. Le tourbillon ne cesse d'accroître. Ses doigts remontent, cachent son regard, traquent la moindre parcelle de lumières. Il refuse d'exister, là où d'autres cherchent sa flamme, il aspire à éradiquer cet espoir. L'humain, il ne le saisi plus. Il n'est qu'une bête. Un monstre. Une illusion marchant le long des vies, des familles, qu'il détruit. Son histoire est un film, endossant un rôle sali par les années, sali par sa réalité. Qui il est ? Quelles sont ses valeurs ? À interpréter les masques qu'on lui donne, il en oublie de les retirer. Il oublie d'apprendre à s'aimer.
Elle, elle est adossée à cette même barrière. Son dos au soleil, son regard ne se désintéresse pas du garçon qu'elle côtoie. Ses bras contre son torse, ses sourcils froncés, elle n'en reste pas moins angoissée. Elle est lui. Ses mèches brunes sont identiques à lui, la forme de sa mâchoire, ses vêtements... Son reflet est son âme. Elle se pince les lèvres. Elle connaît le mal-être qui l'emprisonne, elle a rêvée de l'aider, elle n'avait qu'un objectif à accomplir : les sauver. Il en est conscient, mais il l'a détestée.
– Tu peux encore changer, réplique-t-elle d'une voix solennelle. T'es parti du mauvais pied et t'es devenu un connard, mais tu peux changer. De ce que je sais... Tu peux encore appartenir à ce monde.
Mais ce monde est-il prêt à l'accueillir à nouveau ? Est-il prêt à tolérer le sang qui jonchent ses pardons ? Peut-il croire à l'avenir, à son avenir, sans peur d'un lendemain sans réveil ? Il n'est pas certain de réussir à le réparer. Il n'est pas sûr d'être légitime. Il ne sait plus s'il est capable d'aimer. Qui peut-il affirmer être, tout compte fait ? Le pion dans le script est voué à l'échec.
– J'ai le droit de vivre, moi ?, répond-t-il en rouvrant ses yeux. En quel nom, j'ai le droit de vivre ? Je... J'ai pas le droit de mourir non plus, mais certainement pas de vivre.
– Tu comptes le détruire, celui-là ?
Son regard rencontre celui de son âme. Elle le toise et elle n'est pas décidée à détourner sa lucarne. Sa question est concrète, basée sur des faits, ressemblant à toutes celles qu'elle avait lancée pour le provoquer : pourtant, ce n'est pas ce qu'elle veut ce soir. Ces mots ressortent les affirmations qu'il ressasse en secret. Ils portent les photos, détériorées – mais glorieuses, d'un homme qu'il pensait s'éprendre.
– Non. Mais...
– Donc, tu es capable d'aimer, Kasley.
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eurydicenomadsoul · 3 months
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Portrait d'un Acteur
Portrait d'un Acteur majeur
Sous un borsalino Yeux bleus et cheveux noirs Le guépard sans un mot trace sa trajectoire
Le voyou de Paname fit ses classes en prison
où il apprit du drame quelques bonnes leçons
La guerre du Vietnam a forgé son armure
de futur Samouraï qui pense ses blessures
De toutes les épreuves il sortira vainqueur
Sa beauté et son style le sacreront Acteur
De retour de la guerre à Saint-Germain -des-Prés
l'indocile félin est vite repéré
Femmes et objectifs Tout Paris se l'arrache
Le gamin instinctif travaille sans relâche
Il jouera désormais dans la cour des géants auprès de Visconti et de René Clément des rôles de gangster d'amant intransigeant Deux duels au soleil en mer ou en piscine Après la tragédie jouée avec Christine
L'amour avec Alain n'est jamais mince affaire Les femmes de sa vie sont toutes légendaires Crooner avec Dalida Fiancé de l'Europe avec Romy Marié avec Nathalie apaisé avec Mireille Rajeuni par Annette il eut aussi ses Delonettes dont Maddly la Clodette il choisit Rosalie nostalgie de Romy et la dernière... Hiromi
Les félins sont un peu farouches et ont souvent des escarmouches jouant au chat à la souris et gare au chaton qui grandit!
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deepthinker-society · 3 months
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Fiction. J'aime bien la fiction relatant des mondes imaginaires car on y découvre petit à petit un univers qui fonctionne différemment du nôtre. Parfois ce monde est bluffant. Parfois, ce monde est inspirant. Parfois, on se demande le pourquoi du comment. À ce titre, je me rappelle du livre intitulé "des milliards de tapis de cheveux". Cette œuvre présente un monde dans lequel les habitants, durant leur vie entière, conçoivent un tapis de cheveux. C'est à la fois leur quotidien, leur objectif de vie et leur héritage. Ce dernier point est important car chaque tapis, réalisé en plusieurs dizaines d'années, est vendu et sert à subvenir aux besoins des descendants pendant qu'ils conçoivent, à leur tour, leur propre tapis. Leur vie étant dédiée à la réalisation des tapis, ils n'ont pas le temps de travailler à autre chose. Un cercle vicieux s'installe. La conception de tapis devient indispensable à la survie. Comment cette boucle de conception de tapis a pu être mise en place ? Pourquoi chaque habitant accepte de passer sa vie entière à réaliser un tapis ? Ceci, de notre point de vue, semble absurde. Mais de leur côté, ceci est naturel. Les habitants sont conditionnés à le faire. Pour eux, il n'existe pas d'alternative possible. Cela fait réfléchir par suite sur notre propre condition. Quelles sont les règles de notre société qui sont tellement ancrées, présentes, réalisées par tout le monde que nous ne rendons plus compte qu'il existerait possiblement d'autres manières de faire ? Par exemple, faire le parallèle entre la réalisation des tapis et notre manière de trouver un travail et de passer nos journées à réaliser ce travail peut faire réfléchir. Je ne ferai pas de débat sur le sujet. Surtout sur une petite note comme celle-ci. Je pose ça là. C'est tout. On en déduira ce qu'on veut. Tous les pans de notre vie et de notre réalité peuvent d'une manière ou d'une autre être questionnés. Je pense que c'est ce que font ces œuvres à leur manière. Elles nous présentent une vie alternative sur laquelle il est "facile" de réfléchir car nous ne la subissons pas. Elle nous amène alors, par extension, à poser un regard nouveau sur notre existence et ce que cela implique.
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evaspleen · 2 years
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Date: 2022/09/20
Title: soumise à de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner à baiser à ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tête au sol et écarta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lèche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
Lèche là et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois à te baiser."
La main profite d'être trempée pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien écartées elle gémit il accélère et glisse deux doigts de plus dans le trou serré.
L'un d'eux viens àvec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivèrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maître s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulève la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il râle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derrière elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faîte pour ça.
Le troisième se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraît plus énorme encore qu'à l'écran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maître lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et écarte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obéi et s'assied sur le canapé jambes écartées le rustre se mets à genoux pour bien regarder le sexe trempé, il écarte les lèvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre àvec force dans le vagin de la fille qui commence à s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue à sucer , une queue trop longue à avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tête.
il fini par petit à petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pénètre le trou qu'il écarte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tête pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'après ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était très grand massif son sexe aussi . Il était très impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accès aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vînt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible écarte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux à queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir à ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maître se leva et revient àvec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maître se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pénétra la fente baveuse et serrée elle cria de plaisir et de douleur le sexe était énormeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'être si prise.
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