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#ombre chinoise
petitmonsieur1 · 6 months
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Blacklight
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chicinsilk · 1 year
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Marc Bohan for Christian Dior Spring/Summer 1963 Haute Couture Collection. An unidentified model wears the dress, "Ombre Chinoise". Photo by Pat Faure.
Marc Bohan pour Christian Dior Collection Haute Couture Printemps/ Été 1963. Un modèle non identifié porte la robe, "Ombre Chinoise". Photo Pat Faure.
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fantasyplusimpression · 2 months
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(via Coque et skin adhésive iPad avec l'œuvre « Portrait d'une danseuse lumineuse » de l'artiste Fantasyplus)
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innervoiceart · 3 months
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Les Ombres chinoises (1908) The Chinese Shadows (Pathé)
Director: Segundo de Chomón Production Company: Pathé frères 
Country: France
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ervitemonslip · 7 months
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yama-bato · 1 year
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Francisco Gonzalez Camacho
“ Fasciné par les œuvres du Japonais Masao Yamamoto, Francisco Gonzalez Camacho construit à son tour des compositions minimalistes, où les êtres vivants et les éléments deviennent des ombres chinoises, perçant l’horizon lointain de leurs silhouettes abruptes, graphiques. Ainsi, dans cet univers onirique, toute certitude s’efface, et le 8e art convoque la peinture et l’estampe, comme autant de tableaux abstraits bâtis à coup d’émotions. Un rapport à l’environnement évoquant également les sublimes compositions de Paul Cupido ou encore du duo Albarrán Cabrera. “( https://www.fisheyemagazine.fr/rdv/livre/francisco-gonzalez-camacho-reve-dune-nature-paisible/ )
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detournementsmineurs · 4 months
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"Les Contes de la Nuit" dessin-animé en ombres chinoise de Michel Ocelot (2011), janvier 2024.
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sloubs · 7 months
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très marrant le petit message d'alexandre juste avant le ciné-concert pour nous demander de respecter les règles et pas être des gros cons pendant le spectacle
c'est d'autant plus marrant quand on sait comment s'est passé le tout premier ciné-concert kv1 à lyon et comment il a pété un câble parce que des blaireaux placés devant la régie s'amusaient pendant toute la séance à passer leur main devant le projo pour faire des ombres chinoises sur l'écran 💀
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Les mots entre parenthèses sont les titres des œuvres de Jacques Prévert.
Venez donc découvrir la piste et ses artistes.
Le spectacle est offert, même les ''Cancres'' sont acceptés, surtout eux ! Je me présente, ''Barbara'', c’est moi qui détiens les ''Clés de la ville''
et sous ce chapiteau, je fais '' La pluie et le beau temps'' alors prenez place sur les strapontins et écoutez donc ma complainte.
Ce soir ''Les enfants de la bohème'' sont parmi nous, Il est hors de question de voir que '' Le désespoir est assis sur un banc''.
Il vont faire jongler vos soucis et les envoyez aux cieux, rejoindre les ''Pages d’écritures'' qu’ils ne feront jamais. A gauche, vous pourrez apercevoir,'' Fatras'', ''Ma petite lionne'', qui nous reviens de son ''Voyage en perse''. Elle à connu "Le temps des noyaux", mais aujourd’hui, c’est'' Le temps des festins'' car ici ''Les animaux ont aucun soucis''.
Puis à coté de Monsieur Loyal, ''Les mystères de la chambre noire'',qui le feront disparaître peut-être a jamais. Prenez place a ces cotes, si vous l’osez! '
'Les visiteurs du soir'' seront ''Les enfants du paradis'', ils nous feront les ombres chinoises des temps modernes, puis, certaines ''Choses et autres''aprés, ils repartiront pour un autre spectacle.Si cela vous intéresse, ils seront ''Quais des brumes''.
Vers minuit, sous le soleil de nuit, ''Les feuilles mortes'' disparaîtrons dans une piste aux ''Sables mouvants''. Spectacle unique au monde qui ne s’apprend pas '' L’école des beaux arts'' ! Pour les amoureux, nous les emmènerons '' Rue de la seine'', nous leurs présenterons'' Les temps modernes'', Nous vous assurons que ''L’affaire et déjà dans le sac''.
Monsieur Merlin l’enchanteur se fera un plaisir de vous faire disparaître dans cet autre temps. Ici il n’y a pas de '' Désespoir ni tristesse à notre fête foraine, venez et un jour, '' L'orgue de barbarie'' vous fera écouter les bruits de la nuit, il vous emportera vers le ''Ciel bleu de méthylène''. Vous pouvez voyager partout.
Garder votre imaginaire le plus longtemps possible, alors, entre ''Noces et banquets'', nous ferons la transhumance du bonheur,
 Avec ''Monsieur Prévert'', je vous offres SES mots.
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datura21 · 7 months
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Ça bouge, très légèrement, prends le temps de regarder animalcules, bribes, instants, fragments et lambeaux. Écritures et palimpsestes, pleins et déliés d’épines de pins
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moradadabeleza · 1 year
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Nadja Massün
Ombres chinoises. 2018
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alexar60 · 1 year
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Transylvanie express (41)
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Précédents épisodes
Sur le coup, je ne vis ni n’entendis le feu crépiter dans la cheminée. Il ne semblait pas chauffer tellement j’avais froid. Les murs présentaient aussi un aspect lugubre par leur éclat gris et terne. Ils s’associaient aux rideaux de la fenêtre qui, ne laissait rien passer de la lumière du jour. Une vieille armoire, une commode sale ainsi qu’un bureau en mauvais état, décoraient aussi les lieux. J’approchai du lit  recouvert d’une immense fourrure, tout en faisant craquer un parquet délabré.
Mon esprit fut soudainement attiré par un miroir accroché au-dessus de la commode. J’aperçus une ombre furtive passer devant. Dès lors, je m’approchai sans réaliser sur le coup, qu’un bruit de train vibra dans la pièce. Il sembla venir de l’extérieur. Le rideau cilla très légèrement. Pourtant la fenêtre était fermée et les carreaux intacts. J’approchai doucement de la glace. Petit-à-petit, une forme apparut. Elle représentait une jeune femme. D’abord entièrement noire telle une ombre chinoise, sa peau se mit lentement à rosir. Son visage se dessina clairement ; il était maquillé comme les vieilles poupées de porcelaine. Quelques boucles brunes qu’un reflet teintait en roux, s’échappaient de son épais chignon. Elle marcha, tout en laissant glisser une robe de soirée à froufrou qui, cachait aussi une guêpière écarlate.
Un frisson envahit la chambre en même temps qu’un semblant de nuage. Le brouillard s’invita dans le miroir. La jeune femme remonta à genoux le lit. Cependant, il n’y avait personne dessus. Seul son passage déplaçait avec légèreté la fourrure. Les genoux, les poings invisibles s’enfonçaient dans la couverture formant de rapides trous qui disparaissaient dans l’immédiat.
J’observai avec attention la femme du miroir. Sa tenue rappelait les prostituées des bordels parisiens. Des jointures marquaient ses épaules et ses coudes à l’apparence trop lisse. Plus, je détaillais son apparence, plus j’étais convaincu qu’elle n’était qu’une marionnette. Elle s’arrêta, leva la tête pour admirer un tas de vapeur inerte sur les coussins. Brusquement, la brume se transforma en une créature humaine ; il ressemblait au comte. Elle profita de sa nudité et commença à le combler de caresses et de baisers.
Nichifor Dosza soupira à chaque contact de ses lèvres. Son souffle se mêlait, au frottement des roues du train fantôme sur des rails inexistants. Il se détendit jusqu’à écarter les jambes, invitant la jeune femme à profiter au mieux de son membre viril. Pendant ce temps, le matelas du lit ressemblait à une route abimée en se marquant de nid de poules temporaires. Je tournai la tête au chuchotement derrière mon oreille :
-          Est-ce que tu me trouves belle ?
Dès lors, je m’éloignai du miroir en me collant au mur. La jeune femme me regarda avec insistance. Sous le maquillage se cachait le visage de Ludmilla. Elle mordit sa lèvre supérieure avant de retourner s’occuper du comte. Il soupira encore. Ses mains enlacèrent ce corps que je connaissais. Il caressa son chignon pendant qu’elle le suçait. Il frôla du bout des doigts sa peau blanche, délaçant son corset. Puis, se sentant prêt, il prit fougueusement Ludmilla pour la retourner et s’enfoncer entre ses cuisses.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Je restai immobile à regarder dans le miroir, les fesses du bellâtre qui remuaient au rythme du train. Les ongles de Ludmilla s’enfoncèrent dans son dos tout en le marquant de crevasses rouges. Elle jouissait. Elle était devenue une poupée soumise et acceptait tout de son nouveau maitre. L’angoisse associée à la jalousie s’amusaient à me torturer. Je sentais mes tripes se retourner comme transpercées par une lame.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Les doigts de mon amie s’enfoncèrent si bien dans la peau du comte que je ne vis plus ses mains. En fait, le corps de Nichifor fondait à vue d’œil. Je fus soudainement pris de terreur lorsque je compris que les corps fusionnaient. Les jambes de Ludmilla sortaient des hanches de cette créature à deux têtes. Il se releva, marcha sur les quatre pattes, tandis que ses mains inspectèrent le miroir. La figure du comte n’avait plus rien d’angélique. Il ressemblait à une poupée à moitié fondue. Par contre, celle de Ludmilla gardait sa beauté. Elle tourna la tête et, sans ouvrir bouche, prononça ces mots :
-          Et maintenant, est-ce-que tu me trouves belle ?
Je ne répondis pas, préférant sortir de la chambre. Mais au moment d’ouvrir la porte, je me retrouvai nez-a-nez avec un vide noir. Un vent violent frappa ma joue. Une locomotive siffla. Je n’étais plus dans le château mais dans un train. Aussitôt je refermai la porte afin d’empêcher le courant d’air d’entrer.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Je n’avais aucune raison de répondre. Un bruit de vitre cassé retint mon attention. Une main venait de sortir du miroir. La chose essayait d’entrer dans la chambre. Elle profita de la faille pour faire passer les deux têtes. Celle de Nichifor Dosza était encore plus horrible avec sa peau tombante telle une couche de fromage fondu ; Une effroyable grimace déformait le visage de Ludmilla.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Mon cœur battait de plus en plus fort. Il était aussi bruyant que le train fantôme dans la chambre. Je continuai à raser le mur. J’approchai la cheminée, une buche refroidissait lentement, et dégageait une étrange fumée opaque. Pendant ce temps, le monstre à deux têtes passa le buste à travers le miroir. Il n’avait pas de poitrine mais un dos de chaque côté. Je reconnus le grain de beauté de Ludmilla situé sur l’omoplate gauche.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
J’angoissai de plus en plus. Je me précipitai vers la fenêtre mais elle demeurait fermée. La chose s’appuya contre la commode pour mieux entrer dans la chambre. Elle réussit mais tomba maladroitement sur le parquet. Elle se releva, essaya de marcher, puis s’arrêta pour me regarder. Ludmilla sourit affichant des dents aiguisées :
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
La fenêtre ne s’ouvrait pas. La poignée tournait dans le vide. Alors, je pris une chaise et la tendis en direction du monstre qui avançait péniblement. Il y avait le lit entre lui et moi. Le comte respirait mal, sifflant à chaque inspiration. Ma compagne souriait bêtement, son maquillage commençait à couler. La créature allongea les bras comme pour m’étreindre :
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Sans attendre, je lançai la chaise dans la fenêtre. Les carreaux explosèrent subitement me blessant légèrement au bras. Un vent fort et glacial s’infiltra, en même temps que le bruit d’un train en pleine vitesse. Le jour avait disparu pour laisser place à une nuit effroyablement noire. En agrippant les bords tranchants de la fenêtre, je me coupai les mains. Je posai le pied, un dernier regard vers le monstre qui approcha.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Ni une ni deux, je sautai, sans me poser de question, dans un vide sans fond. Pourquoi avais-je fait ça ? Pourquoi avais-je sauté ? Je savais que j’étais en haut d’une tour. Je flottai, je chutai, je me sentis partir. Le train continuait de rouler. Il n’y avait aucun moyen d’atterrir. Je tombai avec le même chuchotement derrière l’oreille :
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Une lumière blanche apparut au-dessus de ma tête. Toujours en train de chuter, j’essayai de la toucher avec mes mains ensanglantées. Ensuite, vint le fracas de mon corps sur le sol. Je restai allongé pendant que la lumière grandissait ; elle m’aveuglait au point de ne voir qu’un immense mur blanc devant moi. Le train s’éloigna. Il siffla une dernière fois.
-          Et maintenant, est-ce que tu me trouves belle ?
Une main glacial frotta mon front. Je fermai les yeux avec l’image de ce mur blanc, le visage ou plutôt les visages du mutant, envahirent mes pensées. Et un étrange chut comme un murmure aux creux de mon oreille. Lorsque j’ouvris les paupières, j’étais allongé dans une baignoire. L’eau chaude reposait mon corps meurtri tandis que la vapeur dansait autour de moi. Assise dans un coin de la pièce, Ludmilla regardait son visage dans un miroir.
Alex@r60 – Décembre 2022
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fantasyplusimpression · 2 months
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mesouvenirdetoi · 1 year
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Ombres chinoises…
Acrylique 16 x 12
#mestoiles🎨🖌️
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malevolat · 1 year
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à la clarté des cierges, épuisés d’exister, Il y a trois siamoises entées au nombril. elles traînent leurs ombres Chinoises sur les tentures lubriques de l’empereur.
extravagante silhouette aux bijoux sonores L’orient imaginaire n’est plus une légende une trentaine de phalanges et de mantras Six mains endiablées Six paumes divines
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