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#paul-joseph blanc
the-evil-clergyman · 2 years
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Perseus by Paul-Joseph Blanc (1869)
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joacomaduro · 9 months
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Perseus c. 1869 by Paul-Joseph Blanc
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sandmandaddy69 · 2 years
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Paul-Joseph Blanc
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a-book-is-a-garden · 1 year
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“Ruggerio and Angelica” by Joseph Paul Blanc (1864 - 1904)
1876, Oil on canvas
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Paul Joseph Blanc - The Birth of Venus.
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sunlilys · 1 year
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blanc, paul joseph. the birth of venus.
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vacantvisage · 2 years
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The character design is beautiful even if I’m not a fan of the work
Hope you like it!
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Paul Joseph Blanc (1846 -1904)
The Birth of Venus
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antonio-m · 10 months
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“Perseus”, c.1869, by Paul-Joseph Blanc. French painter. Musée d’Orsay, Paris, FR. oil on canvas
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eddy25960 · 29 days
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Paul Joseph Blanc - Perseu- 1869 - Musée D'Orsay
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1five1two · 2 years
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'The Birth of Venus'. Paul Joseph Blanc. 1846-1904.
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thefloweredblade · 4 months
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My favorite lesser seen depictions of the Goddess :)
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In order
Astarte Syriaca by Dante Gabriel Rossetti
Venus Verticordia by Dante Gabriel Rossetti
Venus Wringing the Water From Her Hair, Standing At the Water’s Edge by Marcantonio Raimondi
Venus At Her Birth Attired By The Three Graces by Benjamin West
Venus and Cupid by Evelyn de Morgan (filter added by me)
Aphrodite by Gustave Moreau
The Birth of Venus by Paul Joseph Blanc
Venus by Alexandre Cabanel
Terracotta bust of Aphrodite Pandemos
Aeneas and Achates Meeting Venus by Warwick Goble
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4x09 · 7 months
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ROUND N’ ROUND, FOREVER
Unknown // Le Meurtre de Laïus par Oedipe, Joseph Blanc // Sharp Objects, Gillian Flynn // Saturn Devouring His Son, Francisco Goya // Father, The Front Bottoms // The Murder, Paul Cézanne // Motion Sickness, Phoebe Bridgers // I Wanted to Be There When My Father Died, Sharon Olds // The Sacrifice of Isaac, Caravaggio // Unknown
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lenorecometh · 1 year
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The Deliverance by Joseph Paul Blanc
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
FATE MARABLE, PIONNIER DU JAZZ SUR LE MISSISSIPPI
"There was a saying in New Orleans. When some musician would get a job on the riverboats with Fate Marable, they'd say, 'Well, you're going to the conservatory.'"
- Zutty Singleton
Né le 2 décembre 1890 à Paducah, au Kentucky, Fate Marable était le fils de James Marable et d’Elizabeth Lilian Wharton. Marable avait deux frères, Harold et James, et trois soeurs, Mabel, Juanita et Neona. La mère de Marable, qui était professeur de piano, avait appris à son fils à lire la musique et à jouer du piano. Au début, la mère de Marable lui avait interdit de toucher à son piano, mais en son absence, il en avait profité pour expérimenter. De guerre lasse, sa mère avait finalement accepté de lui apprendre à jouer.
Enfant-prodige, Marable était si talentueux qu’il aurait commencé à se produire professionnellement à partir de l’âge de neuf ans.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
À l’âge de dix-sept ans, en 1907, Marable avait commencé à jouer sur les navires d’excursion qui naviguaient le Mississippi. À l’époque, Marable avait été recruté par John et Joseph Streckfus pour remplacer le pianiste Charles Mills, qui avait été engagé pour jouer à New York. Très consciencieux, Joseph Streckfus avait à coeur le succès de ses vapeurs, qu’il considérait comme une sorte de salles de danse flottantes. Streckfus assistait à toutes les répétitions et critiquait même les performances de ses musiciens.
Engagé comme pianiste de ragtime, Marable se produisait sur le J.S. No. 1, qui était basé à Rock Island, en Illinois. Le navire, qui faisait la navette entre La Nouvelle-Orléans, la Louisiane et la ville de St. Paul, au Minnesota, était la propriété de l’Acme Packet Company. Même si le premier engagement de Marable lui avait permis de jouer en duo avec le violoniste blanc Emil Flindt, ses talents de compositeur et de dépisteur de talents étaient rapidement devenus évidents. Le revenu d’appoint fourni par le travail sur les vapeurs était très apprécié des musiciens de La Nouvelle-Orléans, particulièrement après la fermeture de Storyville (comme on désignait alors le quartier des prostituées ou ‘’Red Light’’) en 1917. En effet, le travail sur les vapeurs procurait un salaire régulier (35$ par semaine avec le gîte et la nourriture, et 45$ sans).
Parmi les responsabilités de Marable sur le vapeur ‘’J.S.’’, on remarquait le maniement d’un calliope à vapeur, une sorte d’orgue format géant doté d’énormes tuyaux qui possédait une pression de quatre-vingt livres et qui servait à annoncer l’arrivée du navire aux riverains. Conçue pour être clairement entendue à partir du rivage, la machine était difficile à manier et exigeait l’utilisation de gants pour manipuler les clés qui étaient souvent très chaudes. Marable devait aussi bourrer ses oreilles de coton afin d’éviter de devenir sourd.
Décrivant les activités de son groupe, Marable avait expliqué: “It sailed to New Orleans that year with me at the piano, and a white fellow playing the violin. That’s all we had. Each year, we added one more piece until we had what we thought was a great big band. Four pieces — piano, violin, trumpet and drums. All of them were white boys but me, and playing strictly ragtime.” Le groupe de quatre musiciens de Marable s’était produit sur le ‘’J.S.’’ jusqu’en 1910, alors que le navire avait été la proie des flammes. Après avoir acheté la Diamond Jo Packet Company, le capitaine John Streckfus avait lancé une nouvelle ligne comprenant des navires comme le St. Paul, le Quincy (qui était devenu plus tard le second ‘’J.S.’’), le Dubuque et le Sidney. C’est sur le Sidney que Marable avait poursuivi ses activités. Il précisait: “We were going in and out of New Orleans all the time, and I began to notice the type of music they were playing there. It just got under my skin.’’ Parmi les membres du groupe de Marable, on remarquait Johnny St. Cyr au banjo, “Baby” Ridgeley au trombone, Davey Jones au melophone, Paul Dominguez au violon, Sam Dutrey à la clarinette, Norman Mason à la trompette, George “Pops” Foster à la contrebasse et Warren “Baby” Dodds à la batterie. C’est aussi en se produisant sur les navires à vapeur que Marable avait découvert Louis Armstrong, qu’il avait engagé par la suite pour jouer sur les navires d’excursion qui se rendaient à la Nouvelle-Orléans.
À l’époque, Armstrong, qui était alors âgé de dix-huit ans, venait tout juste d’apprendre à lire la musique avec Davey Jones. Ce dernier avait déclaré à Armstrong: “Louis, you can blow and you can swing because it’s natural to you. But you’ll never be able to swing any better than you already know how until you learn to read. Then you can swing in ways you never thought of before!” Au début, les spectateurs avaient été peu réceptifs, mais Marable avait rapidement effectué les ajustements nécessaires. Marable expliquait: “Finally, after the intermission, We got a little spasmodic applause, but the people were completely amazed at our type of music. You could tell, though, that they were beginning to like it.” Comme chef d’orchestre, Marable n’avait pas tardé à partager les leçons de sa mère avec ses musiciens. La plupart des musiciens de Marable jouant par oreille, il avait développé leurs aptitudes en leur apprenant à lire la musique. Comme l’avait expliqué un des batteurs de Marable, le légendaire Zutty Singleton: "There was a saying in New Orleans. When some musician would get a job on the riverboats with Fate Marable, they'd say, 'Well, you're going to the conservatory.'" En montrant aux musiciens à mieux exécuter les arrangements de danse pour les passagers des vapeurs, Marable a également conribué à lancer la carrière de plusieurs futurs grands noms du jazz comme Cab Calloway, Count Basie, King Oliver, Johnny St. Cyr, les frères Johnny et ‘’Baby’’ Dodds, Tommy Ladnier, ‘’Pops’’ Foster, Duke Ellington, Jimmie Lunceford, Fats Waller et Chick Webb.
Avec Armstrong, Marable avait remporté un grand succès avec la pièce ��’St. Louis Blues’’, une composition de W. C. Handy qui avait permis à l’orchestre de devenir un des meilleurs groupes de danse aux États-Unis. Indirectement, Marable avait même participé à l’invention du scat. Marable adorait raconter une anecdote au sujet de l’enregistrement de la pièce “Heebie-Jeebies.” Ce jour-là, Armstrong avait complètement oublié les paroles et s’était mis à enchaîner les onomatopées. L’innovation avait été reprise par la suite par de nombreux chanteurs et chanteuses comme Cab Calloway, Fats Waller et Ella Fizgerald.
À l’époque, le ragtime était à son apogée. Marable précisait: “It was an entirely different kind music, than the ragtime which preceded it or the swing which followed. While ragtime, like jazz, was born and bred in New Orleans, St. Louis accepted it and some of the finest ‘rags’ ever written were written here.”
Le premier ragtime majeur de l’histoire avait été publié en 1895 sous le titre de “Harlem Rag’’ par Tom Turpin, qui était également l’auteur de “St. Louis Rag” et de “Bowery Buck.” Quatre ans plus tard, Scott Joplin avait publié son célèbre “Maple Leaf Rag”. D’autres pianistes et compositeurs de St- Louis avaient suivi l’exemple de Joplin, dont Sammy Paterson (Patterson), Louis Chauvin, Charlie Thompson, Robert Hampton, Walter Farrington et Johnny Arnold.
Marable étant très exigeant, les membres de son groupe devaient être capables de jouer plusieurs styles de musique, allant des grands succès de l’heure aux classiques du jazz. Même si Marable demandait à ses musiciens de rendre le public heureux et d’être disciplinés, il leur avait aussi permis de développer leur potentiel. C’est dans cette perspective que Marable avait encouragé le talent d’improvisateur de Louis Armstrong et qu’il lui avait laissé toute latitude pour se lancer dans de grandes envolées même s’il s’écartait parfois de la partition. Le groupe de Marable avait aussi servi d’école à plusieurs futurs grands noms du jazz dont Red Allen, Baby Dodds, Johnny Dodds, King Oliver, Pops Foster, Erroll Garner, Narvin Kimball, Al Morgan, Jimmy Blanton, Tommy Ladnier, Johnny St. Cyr,  Red Allen, Elbert Pee Wee Claybrook, Earl Bostic, Al Morgan, Narvin Kimball, Gene Sedric, Joe Poston et Zutty Singleton. 
Décrivant sa passion pour le jazz, Marable avait commenté:
“Jazz was the outgrowth of Negro life in New Orleans. It developed from the chants of roustabouts loading cotton boats, singing with perfect rhythm as they lifted the bales. It grew out of the music played by bands[,] which accompanied funeral processions. On the way to a burial the music was solemn, with a sound marching tempo. But on the way back from the burial the musicians pepped up the marches to cheer the mourners. No matter how they deviated from the melody in improvisation, though, they still had the basic foundation of timing, and they never missed a beat. They took marches like ‘My Maryland,’ ‘High Society,’ ‘Panama,’ and ‘That’s a Plenty’ — playing them first just like a brass band marching down the street, every beat and every instrument clear. Then when they started improvising, the foundation was still there.”
C’est la transition du ragtime vers le jazz qui avait convaincu Marable de transformer son orchestre presque entièrement composé de musiciens blancs en groupe exclusivement de couleur en 1917. Appelé le Kentucky Jazz Band, le groupe était surtout formé de musiciens originaires de Paducah, même si du propre aveu de Marable, il était loin d’arriver à la cheville des musiciens de La Nouvelle-Orléans.
Après avoir engagé un nouveau pianiste, le  Kentucky Jazz Band s’était rendu dans le nord en 1918. Marable était demeuré à St. Louis pour faire la publicité du vapeur St. Paul. Pendant que Rodemich et ses joueurs de ragtime faisaient danser les spectateurs, Marable se produisait seul au piano au second étage de la cafétéria. L’année suivante, le groupe de couleur de Marable avait pris la place de Rodemich.
Même s’il était un excellent chef d’orchestre, Marable n’avait rien d’un compositeur. En 1916, Marable avait d’ailleurs  publié la seule composition originale de sa carrière. Intitulée ‘’Barrell House Rag’’, la pièce avait été co-écrite avec Clarence Williams.
Mais la célébrité est souvent ingrate. À la suite du déclin du Dixieland et de l’avènement du jazz symphonique de chefs d’orchestre comme Paul Whiteman, plusieurs des musiciens de Marable avaient commencé à le quitter. Le premier à quitter le groupe avait été Louis Armstrong, qui avait signé un contrat avec le cabaret de Tom Anderson à La Nouvelle-Orléans en 1921 avant de se joindre à l’orchestre de King Oliver à Chicago l’année suivante. En 1928, lorsque le jazz à Chicago était entré dans une période de déclin, Marable avait tenté de ramener Armstrong dans le giron de l’orchestre en lui offrant un salaire variant de 75$ à 125$ par semaine, mais ce dernier avait décliné la proposition.
Le batteur ‘’Baby’’ Dodds avaient quitté le groupe la même année qu’Armstrong pour se joindre à l’orchestre d’Oliver. Au début des années 1920, le batteur “Zutty” Singleton avait lui aussi quité le ‘’navire’’ pour se joindre au Pee Wee Russell Trio, aux Rhythmakers puis aux groupes de Louis Armstrong.
Boyd Atkins, le violoniste qui avait écrit le célèbre “Heebie-Jeebies’’ popularisé par Louis Armstrong, avait quitté en 1923 pour lancer son propre groupe à Chicago. Pour sa part, le trompettiste Sidney Desvigne avait tiré sa révérence en 1926. Quant au trompettiste Irving Randolph, il avait poursuivi sa carrière avec l’orchestre de Cab Calloway. À la même époque, le saxophoniste Earl Carruthers s’était joint au groupe de Jimmie Lunceford. Quant au trompettiste Henry “Red” Allen, Jr., il avait quitté le groupe en 1929 pour devenir membre du Mills Blue Rhythm Band.
Loin de s’arrêter là, les départs s’étaient poursuivis en 1935 avec l’engagement du saxophoniste Tab Smith avec l’orchestre de Count Basie. Pour sa part, le joueur de trombone Nathaniel Storey s’était joint à l’orchestre de Chick Webb, avant d’aller jouer avec le groupe Jeter Pillar au Club Plantation de St. Louis.
Le contrebassiste Jimmy Blanton avait quitté le groupe en 1939 pour se joindre à l’orchestre de Duke Ellington, dont il avait fait partie jusqu’à sa mort en 1942. Marable avait pariculièremen regretté le départ de Blanton au sujet duquel il avait déclaré: “The year before Jimmy died, a music critic asked me whom I considered the greatest instrumentalists in the country at the time. My answer was: ‘Give me Benny Goodman, Louis Armstrong, Jimmy Blanton and let the rest of the world go by.’ If Jimmy had lived, I know he would now be regarded as the greatest bass player.”
Pendant que le batteur Floyd Campbell avait formé son propre groupe à Chicago, le saxophoniste Eugene Sedric  s’était joint au groupe de Fats Waller. Pour sa part, le contrebassiste Al Morgan avait poursuivi sa carrière avec l’orchestre de Cab Calloway avant de devenir membre du groupe du chanteur Louis Jordan. Les trompettistes Charlie Creath et Dewey Jackson avaient dirigé leurs propres groupes à St. Louis.
Résumant cette période de sa vie, Marable avait commenté: “When Paul Whiteman arrived on the scene with his symphonic ideas, arrangements and what not, the Dixieland style of jazz began to peter out gradually, although with his entrance about 1921, my band was right on top of the list.’’ Très fier d’avoir contribué au développement de si grands musiciens, Marable avait ajouté:
‘’I have played ragtime, jazz-time and swing and I believe that the Dixieland style of jazz gives a man the best chance to play what’s in him. A real jazz musician doesn’t require the other man’s thought through arrangements. He plays as a solid musician of his own making. Furthermore, I can tell a New Orleans band from a Chicago type or a St. Louis type anytime. New York, of course, doesn’t have any particular type or style — it’s everybody’s style. Lots of those jazz musicians couldn’t read music — never mind an arrangement. I could read myself because my mother was a piano teacher and I studied at Straight University in New Orleans, but, sometimes, there was only one man in a jazz band who could read. I firmly believe that New Orleans and Louis Armstrong have done more for the present dance band than any other factors, for the simple reason that Louis is New Orleans style personified, and he is copied by instrumentalists and singers alike.”
DERNIÈRES ANNÉES
Marable avait quitté l’orchestre en 1940 pour se consacrer à sa carrière de pianiste. À la fin de sa vie, Marable avait travaillé comme dépisteur de talents dans les clubs de La Nouvelle-Orléans. Il se produisait aussi dans les jam sessions.
Fate Marable est mort de pneumonie à St. Louis, au Missouri, le 16 janvier 1947. Il était âgé de cinquante-six ans. Marable a été inhumé au Oak Grove Cemetery de Paducah, au Kentucky.
Comme plusieurs musiciens de La Nouvelle-Orléans, Marable n’avait jamais tellement apprécié le nouveau style de jazz, qu’il trouvait souvent dépourvu d’émotion. Marable expliquait:
“The music of today seems to lack the fire that it had in the old jazz days, and some of the present bands are using arrangements copied from things we did in New Orleans in 1912. My favorites in the field today are Benny Goodman — and let me tell you that white people can play the Negro’s jazz, although some people will say no — Louis Armstrong, Count Basie, Woody Herman, the King Cole Trio and ‘Red’ Allen.”
Marable a eu un fils, Fate Marable Jr. Celui-ci, qui serait toujours vivant, habiterait à Pittsburgh et serait aujourd’hui âgé de plus de quatre-vingt-sept ans. Marable, qui avait suivi les traces de son père, avait dirigé un groupe et joué du piano à Pittsburgh. Marable est aujourd’hui considéré comme le père spirituel de plusieurs pianistes de Pittsburgh comme Mary Lou Williams, Earl "Fatha" Hines, Erroll Garner, Billy Strayhorn, Ahmad Jamal, Horace Parlan, Dodo Marmarosa et Johnny Costa. ©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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rfsnyder · 1 year
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Paul Joseph Blanc (French, 1846--1904)
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