Tumgik
#pfiou hein
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"Savoir que l’instant était éphémère - qu’il perdrait toute sa douceur et ses couleurs lorsqu’il se muerait en souvenir - le lui rendait déjà doux-amer, même avant qu’il prenne fin."
She Who Became the Sun, Shelley Parker-Chan
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i7traductionfr · 2 years
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HOSHIMEGURI/LES OBSERVATEURS DU PÈLERINAGE CÉLESTE
Index
Chapitre 15 : Bestia, La Planète des Forêts Profondes
Coda : Pfiou, cela faisait longtemps que je n’avais pas vu Bestia ! Ces odeurs me rappellent des souvenirs !
Hope : Donc, c’est ça, Dadang Harbour… C’est rempli d’énergie ! On dirait vraiment qu’il y a des gens venant de toute la galaxie !
Hope : Qu’est-ce que c’est ? Je peux sentir quelque chose comme de la verdure, c’est agréable !
Coda : Eh bien, Bestia est une planète avec une faune et une végétation florissantes.
Erin : C’est vrai, il y a de la végétation partout. Et les arbres et les fleurs sont énormes. Ahaha, c’est tellement éclatant que j’ai les yeux qui piquent !
Lazu : … Il fait également humide, malgré la chaleur.
Hope : Ouais. Alors même que je suis habitué à la chaleur d’Eterno, je n’arrête pas de transpirer.
Hope : La chaleur de Bestia est plus humide.
Fang : Cela choque les visiteurs qui viennent pour la première fois, mais pour ceux qui ont grandi ici, l’humidité fait du bien.
Erin : Hé, est-ce que tous ces bâtiments alignés, par là, sont des magasins ?
Coda : Hm ? Ah, oui. Ils vendent des choses plutôt intéressantes dans cette ville.
Hope : Hein ! Ah ! Les fruits qu’ils vendent là-bas brillent comme des arcs-en-ciel !
Hope : Et ils vendent même des vêtements par là–bas. Cet endroit a vraiment de tout.
Coda : À peu près. Mais essaye de ne pas trop fixer, d’accord ? Dès qu’ils te voient observé…
Marchand : Oh, c’est que vous avez l'œil, monsieur  ! Vous trouverez un autre article comme celui-ci nulle part ailleurs. Le fil d’or qui est tissé n’est-il pas magnifique ?
Marchand : On m’a dit qu’ils ont été utilisés dans le mystérieux Grand Temple de Mistero…
Shinkai : Est-ce qu’il me va ?
Marchand : … Hum, c’est un panier, pas un chapeau.
Coda : Attendez une seconde ! Désolé, monsieur, mais nous sommes pressés.
Marchand : *Tchip* Des lécheurs de vitrines !
Transition
Coda : Pfiou…
Shinkai : J’avais pensé que cela ferait un beau chapeau…
Coda : Certains de ces trucs peuvent être des contrefaçons, donc fais attention, tu veux bien ? Ils t'interpellent dès que tu commences à te promener dans les alentours.
Lazu : C’est un port bien animé.
Hope : Les magasins sont incroyables, mais les vaisseaux sont énormes, aussi. Tout le monde porte des bagages.
Hope : … Attends, quoi ?! Cette personne n’a aucun problème à emporter un tonneau gigantesque d’une seule main !
Hope : Une seconde, il y en a deux !
Shinkai : Les Bestians sont vraiment forts.
Hope : Sérieux ?! Ça veut dire que Coda et Fang peuvent aussi faire ça ?
Coda : Impossible ! Nos traits bestiaux dépendent de l’individu.
Hope : Traits bestiaux ?
Fang : Du sang humain et bestial coule dans les veines des Bestians.
Fang : Le sang bestial peut nous donner des habilités spéciales. Comme la super force que tu viens de voir.
Hope : Oh, je ne savais pas !
Coda : Pour te dire la vérité, on a plus de pouvoirs quand nos queues et nos oreilles sont sorties. Bien que, habituellement, on les cache au port.
Hope : Pourquoi ? On est sur Bestia, non ?
Coda : C’est quand même un grand port avec des visiteurs venant de partout. On évite les problèmes comme ça.
Coda : Ce n’est pas tout le monde qui accepte les traits bestiaux, même s’ils sont ici pour échanger avec nous.
Hope : Je trouve ça bizarre…
Coda : … Je suppose. Mais nos traits bestiaux ont tendance à surprendre ceux qui en ont jamais vu.
Erin : Hmm… Maintenant, que tu le dis, les traits Bestians peuvent être assez intimidants. Je me souviens être surpris par eux une fois. 
Erin : Mon dernier contrat était avec un Bestian.
Hope : Je comprends pas trop, mais peut-être qu’il y a une sorte d’aura autour d’eux.
Coda : Pour faire simple, oui.
Hope : Hmm ? Mais quand j’ai vu tes oreilles, je n’ai pas eu peur du tout, Coda…
Coda : Ben, désolé d’être aussi pathétique.
Hope : N-Non ! Je voulais dire dans le bon sens !
Erin : Ahaha, c’est vrai que tes oreilles n’ont pas vraiment le même effet. Elles sont mignonnes comme les oreilles d’un chiot.
Shinkai : Tout le monde est différent.
Coda : Je vais tous vous mordre !
Hope : Ahaha !
Fang : Je pense qu’on ne devrait pas les cacher. Aux alentours de la capitale royale, personne n’est forcé de cacher leurs traits.
Fang : Les corps qu’on a reçus de nos ancêtres devraient être la fierté de Bestia.
Coda : Je suis d’accord, mais…
Fang : Désolé, Coda. S’il te plait de fait pas une expression pareille. C’est mon problème.
Coda : Hein ?
Fang : Dans tous les cas, on devrait se dépêcher de se rendre au palais. Ce n’est pas le moment de traîner.
Hope : Tu as raison !
Fang : Désolé, Hope, mais il faudra que tu attendes encore un moment avant de chercher Curse.
Hope : Je sais. L’éclat prend la priorité pour l’instant.
Hope : On doit protéger les fragments restants !
À suivre…
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rewindthetimee · 10 months
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À LA CROISÉE DES CHEMINS—Malédiction 3
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Portail principal de l'école
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Keito: Hm, mais qu’est-ce que tu me veux vraiment, Kiryuu ?
Kuro: Ah, ouais. Un de mes potes, Morisawa, aimerait savoir où le jeune héritier Tenshouin a été embarqué.
Vous semblez plutôt proche lui et toi, alors j’me disais que tu serais p’têt au courant.
Keito: … Je ne me souviens pourtant pas avoir déblatéré de ma relation avec Eichi.
Kuro: L’autre jour, pendant la réunion matinale du bahut, tu l’as présenté comme étant le nouveau représentant du conseil étudiant.
T’as dit que c’était un ami d’enfance, un truc du genre. J’sais plus trop, j’ai pas retenu tous les détails.
Keito: Oh… Tu as écouté mon discours de l’autre jour. Je ne pensais pas que c’était ton genre d’assister à ça.
En fait, il n’est même pas obligatoire de se rendre à ces assemblées. Il n’y avait quasiment personne, et j’avais l’impression que ceux qui étaient là ne faisaient que discuter entre eux.
(Nous avons joué la carte de la politique, ainsi personne ne s’intéresserait à faire réviser les règles de l’école...)
(J’avais prévu de profiter de ce désintérêt pour étendre notre influence, de pouvoir tisser la réalité comme bon nous semble...)
(Bien entendu, j’aurais dû m’attendre à ce que quelqu’un écoute vraiment.)
(À partir de maintenant, je ferais plus attention à ce genre de détails. Pour m’assurer que personne ne comprenne nos vraies intentions, il faut que ce genre de choses restent privées.)
Kuro: Eh bah ? Tu dis plus rien ? J’te fous les jetons ou quoi ? … Jeune Maître~♪
Keito: Je n’ai pas peur de toi, non. Notre pays est régi par des lois ; si tu essayes de me faire quoi que ce soit, je n’aurai qu’à appeler la police.
Tu te ferais arrêter sur-le-champ. Le lycée ne rentre pas dans l’enseignement obligatoire, alors tu ne peux pas te reposer simplement sur tes muscles et espérer t’en tirer ainsi.
Kuro: J’sais bien. Contente-toi de répondre à ma question, tu veux ? Où est hospitalisé Tenshouin ?
Morisawa s’fait vraiment un sang d’encre… Faut dire qu’il a vu son état se détériorer en live, donc c’est compréhensible.
En tant qu’son pote, je veux le rassurer du mieux que j’peux.
S’il pouvait lui rendre visite, et s’assurer qu’il va bien, il se sentirait soulagé. Ou bien, est-ce que Tenshouin est trop amoché pour recevoir qui que ce soit ?
Keito: Non, il a été amené à l’hôpital par simple précaution pour passer quelques examens. Il se trouve… Bah, ce serait trop compliqué à expliquer. Je vais t’envoyer l’itinéraire, ce sera plus simple.
As-tu au moins un téléphone portable ?
Kuro: Haha. C’est pas parce que j’suis un délinquant que j’saurais pas en utiliser un. Tu ferais mieux de pas trop me sous-estimer… Attends, je vais te filer mon e-mail et mon numéro.
Tiens. J’veux pas te presser, mais envoie-moi ça aujourd’hui si possible.
Keito: Si ce Morisawa est bien ton ami, tu devrais avoir ses coordonnées, non ? Donne-les-moi, plutôt, ça ira plus vite.
Kuro: Hein ? J’vais pas te donner le numéro de quelqu’un sans sa permission.
Keito: … Je ne m’attendais pas à ce que tu aies un tel sens de la morale, Kiryuu. Visiblement, tu sais te montrer attentionné. Mon opinion à ton égard a légèrement changé.
Kuro: Yep. Je suis le genre de délinquant à recueillir les chiens errants les jours de pluie.
Keito: Un délinquant reste un délinquant. Ton attitude et ton apparence provoquent des malentendus. Tu devrais te comporter plus décemment.
Kuro: Haha, c’est pas si facile de vivre sa vie autrement qu’à laquelle on t’a habitué, Jeune Maître.
Enfin bref, désolé pour le dérangement. … À plus.
Keito: Mhm… Au revoir, Kiryuu.
Lieu : Temple Hasumi, hall principal
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Keito: (Pfiou… Je peux enfin souffler.)
(Il n’y a rien de mieux que chez soi pour se reposer.)
(J’hésite à l’avouer car cela ressemble à ce que Kanzaki pourrait dire, mais j’ai du mal à me faire au style occidental de Yumenosaki.)
(L’odeur des arbres, la sérénité… C’est de là que je tiens mes origines. C’est là que sont mes racines, entremêlées à mes souvenirs d’enfance.)
(D’ailleurs, Sakuma-san ne s’est toujours pas montré ?)
(Ce matin, il m’a envoyé un message qui disait : “je viendrai te rendre visite aujourd’hui~♪”, alors je me suis dépêché de rentrer.)
(Ça voudrait dire qu’il est déjà revenu, alors qu’il avait pourtant prévu de rester un moment à l’étranger…)
(Est-ce qu’il aurait fait quelque chose de mal, et se serait fait expulser ?)
(Peu importe, il me racontera. C’est une bonne chose s’il est déjà de retour.)
(Pour commencer, je le mettrai de corvée de nettoyage que ça lui plaise ou non, et lui demander de résoudre tous les problèmes liés à cette satanée salle de concert souterraine.)
(C’est de sa faute si les choses se sont compliquées, après tout.)
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Keito: (... C’est peine perdue. C’est trop dangereux de le solliciter, il fait évoluer les choses de manière bien trop inattendue. J’étais aux premières loges pour le constater moi-même, et pourtant, je me retrouve à me reposer de nouveau sur lui.)
(Il est humain, lui aussi. Il doit bien avoir des limites, des choses qu’il serait incapable de faire.)
(Il fait comme si ses problèmes de santé étaient une blague, à se faire passer pour un vampire à qui veut l’entendre.)
(Mais il n’a rien à voir avec ces démons que l’on peut voir dans les contes de fée.)
(... ?)
(... Qu’est-ce que c’est que ce boucan ? Serais-tu dans les parages, Sakuma-san ?)
Traduction FR : Yunaël
Correction FR : Rewind
Traduction anglaise : Soph
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dieuxcerf · 3 years
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j'ai rêvé que j'étais dans les bras de max après l'avoir rencontré peu de temps avant et je l'aimais déjà et je me disais : « mais qu'est-ce que j'ai fait ? pourquoi est-ce que j'ai fait ça ?? je me suis trompée s'il vous plaît non je veux pas partir » et je pensais ça parce que dans les bras de max dans une grande maison avec des gens qui font partis de ma vie maintenant et avant ça je faisais partie des gens qui refusaient de vivre - je voulais pas mourir mais je refusais de vivre donc j'avais passé un contrat avec des robots dans l'espace pour venir me chercher et m'envoyer dans l'endroit des gens qui ne voulaient plus vivre sauf qu'entre temps j'ai rencontré tout le monde et j'avais envie de vivre et dans les bras de max ils sont venus me chercher ces grands robots ils disaient quelque chose et j'étais juste remplie d'effroi et je pouvais même pas dire au revoir à max ou le voir et j'ai été emmenée parmis les gens qui refusaient de vivre
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saecookie · 2 years
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Le coup de vieux de merde quand le JDG fait du react à des "anciens épisodes". Que j'ai jamais vus.
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vismaviedemj · 7 years
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Quand j’ai une furieuse envie de lancer une campagne supplémentaire pour pouvoir jouer avec d’autres amis... mais que je risque d’y laisser le peu de sommeil et de temps libre qu’il me reste.
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le-chat-sur-mars · 4 years
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Heartstring : Un moment à eux
The french version of this story ( @fyoriginalstories )
L'heure venait juste de changer : 16h25
Johan attendait depuis maintenant plus de 20 minutes devant les grilles fermées de l'école élémentaire où se trouvait Lola, sa petite sœur. On était vendredi et il finissait toujours plus tôt ce jour-là, et c'était également lui qui allait la chercher après la classe. Comme d'habitude, le jeune homme arrivait toujours en avance, trop parfois. Aujourd'hui, il est arrivé 20 minutes avant la sonnerie, alors que Lola fini toujours à 16h30.
Johan savait que c'était idiot, car le magasin se trouve à 10 minutes à pieds de l'école. Mais bon, il ne voulait surtout pas manquer la sortie des classes de sa sœur, et encore moins la faire attendre.
Orlando, que son maître avait amené avec lui pour faire plaisir à Lola, attendait sagement assis à côté de lui, regardant quelquefois autour de lui. Quant à Johan, il pianotait distraitement sur son téléphone pour regarder les nouveautés concernant de potentiels concerts à venir et aller faire un tour sur son compte Facebook, Instagram et Soundcloud. Il y avait encore peu de monde devant les grilles ; c'étaient principalement des parents (la plupart des mamans) qui venaient récupérer leurs rejetons pour les ramener en voitures, d'autres des collégiens (peut-être) qui allaient repartir avec leurs frères et / ou leurs sœurs à pieds ou en bus. Cette vue des grands frères et des grandes sœurs sera le cœur du jeune homme : Lola avait eu 10 ans cette année, l'année prochaine elle rentrera au Collège, avec de nouvelles règles, de nouveaux cours, de nombreux professeurs, des nouveaux amis peut-être … et la naissance de béguins amoureux. Mon Dieu ! Elle grandissait si vite, et allait devenir un adolescente …
Pour le moment, il reste encore du temps. Et aujourd'hui, le grand frère a prévu d'emmener sa petite sœur prendre un goûter ensemble avant de rentrer à la maison et ça, ça n'avait pas de prix.
La cloche se mit à sonner, tirant Johan de ses pensées et faisant sursauter Orlando. Il rangeât son téléphone dans sa poche et se concentra sur les grilles que deux surveillants déverrouillaient et ouvraient les portes.
Plusieurs rangs remplit d'élèves sortaient du grand bâtiment en pierres accompagnés par leur professeur respectif. Johan savait que les classes de CP, CE1 et CE2 sortaient du côté gauche de l'école, donc qu'il n'aurait pas longtemps à attendre Lola. Une bonne partie des enfants se précipitaient vers leur parents ou leurs frères et sœurs, d'autres repartaient seuls vers les bus de l'autre côté de la rue, les derniers restaient dans la cour pour jouer avec leurs copains ou bien à côté des professeurs jusqu'à l'arrivée de leurs parents retardataires, ou encore aller en étude car n'ayant pas le choix.
Lorsque les deux classes de CM1 étaient parties, celles de CM2 sortirent finalement dans la cour accompagnées de deux enseignantes ; l'une bientôt retraitée, c'était celle de Lola, et l'autre avait commencé à enseigner il y a environ 2 ans si les souvenirs du jeune homme étaient bons. Parmi tous les enfants qui composaient ces groupes, Johan pu apercevoir Lola en pleine conversation avec une jeune fille du même âge aux couettes blondes, sa meilleure amie Juliette. A côté d'elles se trouvait une autre jeune fille brune au teint halé, Samia une autre de ses amies, et enfin les jumeaux Louis-Paul et Lison (Johan trouvait ces prénoms un peu ridicules, mais au moins ils étaient gentils). La discussion du groupe de copains avait l'air animée et Johan s'en amusait.
Lorsque Lola se dressait sur la pointe des pieds pour le chercher, Johan lui fit son plus beau sourire et agita la main jusqu'à ce qu'elle le repère. Une fois dans son champ de vision, la jeune fille lui rendit son salut toute excitée. Elle dit « au revoir » à ses copains et fila rejoindre son grand frère. Orlando s'était redressé en la voyant, il se mit à japper et à remuer la queue de bonheur.
Lola se jeta dans les bras de son frère qui la rattrapa au passage. « T'es venu me chercher ! » s'écria t-elle en le gratifiant d'un bisou sur la joue.
« Évidemment, et comme tous les vendredis. » lui répondit le jeune homme en lui retournant son bisou. Une fois relâchée, Lola s'accroupit devant le terre-neuve et entoura son cou de ses bras. « Et t'as ramené Orlando en plus ! Salut Orlando, comment tu vas ? » demanda-t-elle en lui caressant la tête.
Le gros chien lui répondit en jappant et en lui donnant quelques coups de langues, ce qui fit rire la jeune fille.
Johan gloussa. « Je savait que ça allait te faire plaisir, et en plus il est content. » dit-il en tendant la laisse à sa petite sœur. Lola ne se fit pas prier pour la prendre. Johan tendit de nouveau la main pour lui attraper son cartable, mais celle-ci refusa. « J'suis assez grande pour le porter, tu sais ? » dit-elle pour se défendre.
Le jeune homme n'insista pas et lui fait signe pour approuver les dires. Le trio commençait à s'éloigner pendant que l'un des surveillants fermait une des grilles de la cour d'école.
« Pfiou ! J'suis contente que ce soit fini ! » dit Lola en se frottant le front comme si elle venait de faire un gros effort, ce qui fit sourire son frère.
« Pareil, répondit ce dernier en se tournant vers sa sœur, et tu sais quoi ? J'aurais bien envie de manger une gaufre chez Sugar Rush avec un bon milk-shake avant de rentrer à la maison. Pas toi ? »
Lola ne put réprimer un gloussement de joie. « OH OUI ! Et je veux une gaufre au chocolat steuplé! »
« C'est noté. Dit Johan en se tapotant la tempe du doigt. Et comme ça tu me raconteras tranquillement ta journée en détails. »
« La tienne aussi. » renchérit la jeune fille.
« Comme tu voudras, ma puce. »
Soudain, elle s'inquiéta :  « Mais … Mamie sait qu'on rentre pas tout de suite ? » demanda-t-elle.
« Je lui ais envoyé un texto pour la prévenir. Tu sais, elle n'est pas encore sénile pour pas savoir se servir d'un portable. » lui répondit son grand frère qui en riait. Si Mamie Yolande l'avait entendu, elle lui aurait flanqué une claque sur le bras.
« C'est pas gentil, ça. » grogna Lola, mais Johan ne releva pas.
Ils arrivèrent au fameux Sugar Rush, un mignon petit restaurant spécialisé dans la nourriture sucrée et qui a ouvert il y a un peu moins d'un an. Johan s'attendait à trouver l'établissement bondé, mais fut agréablement surprit de voir qu'il n'y avait pas foule ; une aubaine pour le frère et la sœur. La queue avait l'air chargée, mais avançait plutôt vite. Et évidemment, un panneau représentant un pictogramme de chien barré d'une grosse croix rouge était affiché sur la porte d'entrée, donc oubliée la place à l'intérieur du restaurant. Heureusement que le temps n'était pas mauvais, même s'il était un peu venteux, on pouvait tout de même rester en veste ou en pull.
Devant la porte, Lola commençait un peu à s'inquiéter : « Tu crois qu'on aura une gaufre ? » demanda-t-elle à son frère.
Johan haussa les épaules. « Bah, y a pas de raisons qu'on en ait pas une. » répondit-il tout simplement. Et voyant la terrasse presque vide, il se tourna de nouveau vers sa sœur. « Dis, tu peux garder Orlando et nous trouver une place le temps que j'aille commander steuplé ? » demanda-t-il.
Lola fit le salut militaire en guise de réponse, ce qui fit sourire une fois de plus Johan. « Et un milk-shake banane, mon commandant. »
« Ça marche. » dit le jeune homme en pénétrant dans le restaurant, qui était remplit de clients dégustant leur commande, discutant et du bruit provenant de la cuisine. De nombreuses odeurs sucrées flottaient dans l'air ce qui rendait le lieu tout de suite plus agréable. Et la queue qui avançait vite, parfait.
Johan jeta un coup d’œil à l'extérieur et vit Lola installée à une table près de la grande vitre, son cartable et Orlando à ses pieds. Elle lui fait coucou lorsqu'elle le voit, et il lui fait la même ; puis elle recommença à papouiller le terre-neuve qui avait vautré sa tête sur les genoux de l'écolière. Cela rassurait Johan car, même s'il n'en a pas l'air, ce gros balourd d'Orlando est un très bon garde du corps donc elle ne risquait pas grand chose.
« Monsieur ? » interpella la voix de la vendeuse, ce qui sursauter un peu Johan. Bon sang, c'était déjà son tour ?
« Ah euh … » le jeune homme s’éclaircit la voix. « Pardon, j'étais distrait. » dit-il gêné en passant une main dans ses longs cheveux.
« Y a pas de mal. dit la vendeuse avec un sourire. Qu'est-ce qu'on vous sert ? » Et elle commença à pianoter sur l'écran de la caisse.
« Deux gaufres au chocolat et deux milk-shakes. Un banane et un chocolat, taille normale s'il vous plaît. » dit Johan.
« Très bien ! dit la caissière après avoir enregistré la commande sur sur le petit écran. Ça fera 8,60 € et je vous laisse attendre à côté, mes collègues vont s'occuper de vous. » En même temps, elle avait sortit deux tickets : un qu'elle donna à son collègue derrière elle et l'autre à Johan. Ce dernier paya la caissière et se mit sur le côté en attendant de recevoir les plats.
Encore une fois, la chance lui sourit. Un des serveurs disposa les gaufres fumantes dégoulinantes de chocolat et les gobelets de milk-shake un petit plateau qu'il tendit à Johan en lui demandant si c'était bien sa commande. Le jeune homme confirma ses dires, prit le plateau en le remerciant et sortit rejoindre sa sœur.
« Et voilà, mademoiselle ! » s'exclama-t-il en posant le plateau sur la table et vint s'installer sur la chaise d'en face. Orlando fit une petite fête à son maître que ce dernier réprima avec des caresses sur son flanc.
« Gaufre au chocolat et milk-shake banane comme tu me l'as demandé. » ajouta le jeune homme en prenant son propre goûter, laissant le plateau à sa petite sœur.
« Merci Jojo, dit la jeune fille avec un grand sourire, t'es le meilleur grand frère du monde ! »
Cette réponse donna au jeune homme du baume au cœur. Il eu un rictus et rectifia : « J'ai juste acheté à manger et à boire, hein. Si tu veux remercier quelqu'un, c'est plutôt l'équipe du resto. » dit-il en désignant les serveurs du pouce.
« Peut-être, mais en attendant c'est toi qui a payé mon goûter. » corrigea la jeune fille en buvant une longue gorgée de son milk-shake. Johan sait que sa petite sœur a souvent de bons arguments lorsqu'il s'agissait de le convaincre. C'était une très bonne qualité.
Johan bu également quelque gorgées du milk-shake. « Bon, parle-moi de ta journée d'école, tu veux ? » demanda-t-il.
Lola posa son gobelet et saisit sa gaufre encore chaude. « Bah, ce matin il y a eu le contrôle de français. Tu sais, celui sur la conjugaison de l'imparfait. » dit-elle en mordant dedans.
« Ah ouais ? Et ça c'est passé comment ? » demanda son frère.
« Bien, je crois. Dit Lola en reprenant une bouchée de gaufre. J'ai bien appris la leçon, et je l'ai comprise du premier coup. Mamie m'a même dit que j'étais prête pour le contrôle, tu t'en rappelles ? »
Johan se souvenait effectivement que Lola avait intensément révisé mercredi et jeudi. « Y a pas de raison que tu rates si tu la connaissais. » dit-il en mordant à son tour dans sa gaufre.
« Ouais. Puis elle se renfrogna. Et cette après-midi y a eu le contrôle de maths. » dit-elle.
« Ah ? Et ça c'est passé comment pour celui-là ? » demanda le jeune homme, sachant que les maths n'était pas le fort de sa sœur, comme lui d'ailleurs.
« Pas terrible. Je pense pas avoir la moyenne sur celui-là. répondit-elle en sirotant son milk-shake. C'était sur les fractions équivalentes. J'ai pourtant révisé hein, mais … je crois que j'ai rien compris. »
Johan soupira et prit la main de Lola. « C'est pas une fatalité si tu as moins de 5 sur 10, tu sais ? » lui dit-il gentiment.
« Mamie va être déçue. » souffla-t-elle, puis mordit de nouveau dans sa gaufre.
« Mamie ne va pas t'en vouloir pour ça, crois-moi. dit Johan pour la consoler. J'ai jamais été copain avec les maths non plus, Mamie peut le confirmer et ça ne m'a jamais empêché d'avoir le bac et mon job. »
« C'est censé me rassurer ? » demanda la jeune fille.
« Je fais de mon mieux. » dit-il. Et cela fit sourire l'écolière qui retrouva son enthousiasme.
« Ce midi y avait spaghettis bolognaise à la cantine, c'était trop bon. Ajouta Lola après avoir mangé d'autres morceaux de sa gaufre. Elle avait maintenant plein de chocolat autour de sa bouche. Et à la récré, Samia nous a montré des pierres précieuses. Y avais une améthyste, un œil de tigre et une … la … lapus lazi … Raaah ! J'sais plus le nom !» râla la jeune fille.
« Lapis Lazuli tu veux dire ? » corrigea Johan.
« OUI ! C'est ça ! » s'exclama Lola en tapant dans ses mains. « Samia nous a dit que c'était sa grande sœur qui les lui avait donné, et elle va faire un exposé dessus pour sa classe. Dommage qu'on soit pas dans la même … » soupira-t-elle.
Le frère et la sœur reprirent des gorgées de leur milk-shake. « Et demain, Juliette veut m'inviter chez elle. Elle l'avait demandé à Samia de venir aussi pour qu'elle nous montre ses autres pierres ; mais elle peut pas car elle part chez son oncle et sa tante pour le week-end, pareil pour les jumeaux mais eux, ils vont à l'anniversaire de leur cousine. continua la jeune fille sur sa lancée. Dis, tu crois que Mamie va bien vouloir que je dorme chez Juliette samedi ? »
Le grand frère déchira un morceau de gaufre qui n'avait pas de chocolat et le donna à Orlando, qui le goba avidement. « Je pense que oui. Tant que t'as fait tous tes devoirs pour lundi c'est bon. » dit-il.
Lola avala la dernière bouchée de sa gaufre. « J'ai prévu de les faire ce soir, comme ça je serait tranquille jusqu'à lundi. dit-elle. Et j'aurais ma dictée à préparer, tu crois que Mamie et toi vous pouvez m'aider pour ça ? »
« A ton avis ? » le questionna Johan qui savait pertinemment qu'elle connaissait déjà la réponse.
Elle souriait pour le remercier et saisit son gobelet. « Bon, à toi de me raconter ta journée Johan. » ordonna-t-elle.
Le jeune homme grignota un morceau de sa gaufre avant d'en donner encore une fois au terre-neuve. « Bah … rien d’exceptionnel contrairement à toi. Dit-il. J'ai réussis à vendre deux guitares sèches et un livret de solfège : la première guitare et le livret, c'était pour un gosse qui débutait les cours de musique, et l'autre c'était pour un gars qui allait l'offrir à sa fille. »
« Ah oui ? C'est cool ça ! Dit Lola. Et après ? »
« Ben … j'ai aidé Lionel à réparer une guitare électrique. Juste les cordes à changer, rien de spécial. Dit Johan, remarquant avec surprise que cela intéressait sa sœur. Puis à Midi, on a mangé pizza avec Lionel et Dorian, et cet après-midi on a dû préparer et envoyer une commande de livres, de pupitres et de claviers pour une école de musique dans le 15ème arrondissement. »
« Et c'est tout ? » demanda Lola étonnée.
Johan termina la dernière gorgée de sa boisson et répondit : « Ouais … c'est tout. Je sais, c'est pas très intéressant, mais c'est comme ça. Certains jours sont meilleurs que d'autres. Aujourd'hui, c'était pas le fun, voilà. »
Sa petite sœur haussa les épaules. « Bah peut-être que lundi ce sera ira mieux. » dit-elle.
Johan finit sa dernière bouchée de gaufre qu'il partagea avec Orlando. « Ouais. Déjà que je travaille demain matin, on verra ce que ça donne. » soupira-t-il.
Lola aspira le fond du milk-shake à la paille avant de changer de sujet. « Y a des nouveaux concerts ? » demanda-t-elle.
Johan eu un petit rictus. « Ben, ouais mais rien de vraiment intéressant. Dit-il. J'ai regardé mais les seuls qu'il y a sont les Fréro Delavega, Arcadian et Aya Nakamura. »
A l'évocation de la dernière chanteuse, Lola fit une grimace. « Sérieux ? Bleh ! Fit-elle en tirant la langue. J'comprend pas les gens qui l'aime bien, même Samia. Moi je la déteste. » grogna-t-elle.
Johan ricana. «Ouais, moi aussi. »
Il consulta l'heure sur son téléphone puis se leva. « Va falloir qu'on y aille, Chérie. Si tu veux avoir le temps de faire tes devoirs ce soir, faut pas traîner. » dit-il.
« D'accord. » dit la jeune fille en sautant sur ses pieds, elle saisit son cartable qu'elle jeta sur son dos pendant que son frère saisit la laisse d'Orlando, qui a été sage pendant tout ce temps, ainsi que le plateau dont il débarrassa le contenu dans la poubelle. Puis le petit groupe repartit tranquillement vers leur domicile où il achèverait leur journée
Ce fut une fin d'après-midi agréable entre un frère et une sœur, une fin d'après-midi comme ils les aiment.
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lamergelee · 4 years
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 27]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26] Le jour 27, son père téléphona. Parce qu’il avait pas mal de temps devant lui, des heures et des heures comme une grande Manche à la nage qui se répétait tous les jours, parce que toute l’époque était bouleversée, que chacun en son for sentait que rien dans le monde d’après ne serait plus pareil qu’avant, parce qu’il n’avait plus de café en poudre et qu’à ce stade les magasins de première nécessité n’avaient pas encore entrouvert leurs vitrines devant des files distanciées de particuliers hagards se toussant dans le coude, parce qu’enfin on était le matin et qui peut se passer le matin d’un tonique, n’importe lequel, sans le payer d’une humeur de rat jusqu’au soir ? parce que tout ça et pour d’autres motifs encore, Gustave s’était résolu ce jour-là à descendre du haut du placard, à désempoussiérer et à mettre à bouillir l’énorme samovar en cuivre embouti que son père lui avait offert, ramené prétendait-il d’un voyage diplomatique au Caucase, mais plus sûrement déniché aux Puces de Montreuil. Son père, pensait-il, son père qu’il n’avait pas rappelé depuis l’autre fois, combien de jours, de semaines même exactement ? Hum, il n’avait pas compté mais trop, c’était un fait – et à l’idée de son père, son vieux père à risque, tout seul dans son appartement désert de la rue de la Paix, son père peut-être catarrheux, bouillant de fièvre, à demi intubé, qui n’osait plus passer lui-même un coup de fil à son enfant de peur de le contaminer, à cette idée Gustave sentait son gros cœur lent dévoré de culpabilité ; et cette culpabilité même l’empêchait de faire l’effort de décrocher le téléphone. « C’est chaque matin le même cinéma », se rongeait-il devant sa tasse d’infusion noire, noire comme l’encre d’une seiche, poétisait-il vaguement en même temps, noire comme la nuit qui envelopperait le monde le jour où un astre du ciel rencontrerait la Terre pour mettre fin à l’incongruité des hommes. Il avait souvent comme ça des pensées complexes, parasitaires pourrait-on dire, des pensées à la Paul Ricœur ou à la Mathieu Ricard, il ne savait plus, les confondait toujours, quand il se morfondait. « Chaque matin, oui, continuait-il, pourtant qu’est-ce qui me retient d’appeler mon père ? Lui demander tout simplement : ‘Ça va, papa ? tu tousses toujours un peu ?’, et dire ensuite que j’étais débordé ces derniers jours, vraiment je m’en veux de ne pas t’avoir donné de nouvelles… Quoi, ça fait déjà autant de temps ? Non, sérieux papa ? tu es sûr de bien calculer ?... Pfiou ! on perd complètement la notion des jours, hein, avec ce confinement… » Et en méditant ainsi ce qu’il pourrait mentir, Gustave triturait son Huawei d'une main, le tournant et le retournant, se mastiquant les peaux autour de l’ongle du pouce de l’autre. C’est justement le moment où le téléphone se mit à vrombir et tressauter par surprise, lui provoquant un haut-le-corps – il lâcha l’appareil, qui fit un léger bond avant d’atterrir au fond de sa tasse de camboui. – Salut fils, c’est papa. – Ah tiens, bonjour papa, je pensais à toi… Bah oui j’étais inquiet, tu ne donnes plus de nouvelles, t’es fâché ? – Ah désolé, fils, j’ai pas une minute à moi en ce moment. On est sur le pont sans arrêt avec cette crise, si tu savais ! – C’est quoi que j’entends papa, c’est ta respiration qui fait ce bruit, tu as consulté ? – Figure-toi, fils, qu’Emmanuel s’est décidé à me re-confier les rênes de la communication présidentielle. Aller voir Raoult à Marseille, c’était moi !... Parce que ça suffit maintenant les conneries à la Patrick et Alexis : le discours de Mulhouse, mes genoux ! Faut qu’on avance ! Les gens qui crèvent partout comme des mouches, ça se peut pas chez nous… – Tu penses infiniment à la mort, papa, non ? Dis-le moi si ça ne va pas, j’aime mieux être au courant. – Et là, mercredi matin, je crois que j’ai joué un très gros coup ! Tu liras ça demain dans la presse : « Visite de Macron dans les réseaux sociaux. Le président thaumaturge en déplacement virtuel ». – Les réseaux sociaux, tu connais ça toi papa ? Mais t’as même pas d’ordinateur, et ton Nokia lit tout juste les SMS... – Donc on est partis de bonne heure en équipe restreinte sur le ouèbe avec Emmanuel pour une grande tournée numérique, il s’est mis en jaquette de cuir et pantalon de denim, t’aurais vu ça, une vedette de cinéma ! Comme la fois avec le Samu social ! On a hésité un peu pour le masque, est-ce qu’on le mettait ou pas, parce que le toubib de l’Elysée disait que les virus d’Internet étaient sans grand danger pour l’homme, mais bon, le FFP2, ça passe quand même vachement bien sur les photos de presse… – Papa, tu m’appelles d’où là ? J’entends du chahut derrière, est-ce que c’est une vieille femme qui crie ? – On a fait un dèj rapide avec des Twittos anonymes triés sur le volet, et on est arrivés sur Instagram en tout début d’après-midi. Mais là, c’était vraiment pas beau à voir, tu sentais les gens pas bien, misérables, sinistrés, tout… Et le président tout déconfit qui ne cessait de répéter : « Que de chats... que de chats !... » – J’imagine, papa, j’imagine… Sinon, je voulais te dire, enfin je ne sais pas si tu as su, comme vous êtes divorcés, mais il y a sept jours, maman est morte. Ou peut-être huit, je ne sais pas. J’ai reçu un appel de l’asile : « Mère décédée. Enterrement réglementé. Sentiments distingués. » Ça ne voulait rien dire. C’était peut-être il y a huit jours. Ici il y eut comme de la friture sur la ligne. Plusieurs voix égrotantes semblaient récriminer derrière Charles F., on entendit soudain même de fortes frictions, peut-être les conséquences d’une lutte, et le père de Gustave qui s’égosillait : « Assez ! assez ! Mais lâchez ce combiné, voyons ! J’ai pas encore fini ! il me reste des pièces !... », et là-dessus d’autres voix, de malabars celles-là, qui venaient mollement mettre de la discipline : « Wow, wow ! on se calme à la cabine de téléphone là, les timbrés ! Vous rentrez dans les chambres, ça va être l’heure du docteur… » (À suivre).
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pompadourpink · 6 years
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Onomatopoeias
Ouch : aïe, ouille / ew : berk, arkh, bouark / ewwwww : beêêêêeh / slap, snap : clac / pew : pan / beep : bip / tick tock : tic tac / click : clic / drip : flic floc / choo choo : tchou tchou ; phew : pfiou, fiouf ; huh : hein, hum ; ahem : hum hum / hiccups : hic / achoo : atchoum / yum : miam / hush : chut, chhh / klaxon : tut tut / car : vroum vroum / pop : bang / wow : waouh, wah / knock knock : toc toc / wee waa wee waa : pin pon pin pon / ring ring : dring dring / to hum : meumeuner / to fall in the water : plouf / to fall on the floor : patatra, boum / crying baby : ouin / zzz : ronnn pchiiii / spray bottle : pshit pshit (we call the bottles that way too lolz) / wham : vlan / ? : nananananère (kids stuff) / ha! that’s right! (teasing) : et toc!
Animal noises - cat : miaou / dog : ouaf, woof / rooster : cocorico / donkey : hi han / bird : cui cui / duck : coin coin / sheep : mêh / cow : meuh / pig : groin / chicken : cot cot cot / chick : piou piou / pigeon : rou rou / lion : groar / turkey : glou glou / horse : hiiii / owl : hou hou / toad : croa / clop clop : tagada tagada
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i7traductionfr · 2 years
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Hoshimeguri/Les Observateurs du Pèlerinage Céleste
Index
Chapitre 2 : Eterno, La Planète des Sables Chauds
Hope : Et fini ! J’ai des herbes médicinales, où cas où j’ai mal au ventre et j’ai pris le peu d’économies que j’ai. 
Hope : Et mon amulette de protection… Tout est prêt !
Hope : Je n’ai rien oublié ! J’y vais, maître !
Maître Forgeron : Attends… Hope, tu ne vas pas sérieusement partir ? Pas avec tous ses bagages ?
Hope : … Je suis désolé de ne pas pouvoir continuer à travailler dans votre forge.
Maître Forgeron :  Arrête de prétendre être un adulte, apprenti. Ce que je veux savoir, c’est si un morveux comme toi aura vraiment le courage de parcourir l’univers.
Hope : Curse a disparu ! J’ai retourné Eterno de fond en comble et je ne le trouve nulle part…
Hope : S'il n'est pas sur Eterno, il doit être sur une des autres planètes. Je dois le retrouver et vite !
Hope :  Il est peut-être en danger !
Maître Forgeron : Je comprends que tu sois inquiet par la soudaine disparition de ton père adoptif.
Maître Forgeron : Mais Curse est tout le temps en voyage d’affaires. 
Hope : Mais je n’ai plus eu de nouvelles depuis un mois, cela ne s'est jamais produit…
Maître Forgeron : Peut-être qu’il est juste fatigué de veiller sur toi ?
Hope : !
Maître Forgeron : Un érudit sagace comme lui n’est pas fait pour rester à un endroit comme Eterno, n’est-ce pas ? Il en a probablement eu assez de cette vie de brute et est parti.
Hope : Curse ne pourrait jamais être aussi cruel !
Hope :  Il m’a élevé, car je n'avais pas de parents et nous sommes ensemble depuis ! Le Curse que je connais ne pourrait jamais !
Maître Forgeron :  J’ai compris, calme-toi.
Maître Forgeron : Sérieusement, c’est toujours pareil quand il s’agit de Curse.
Hope : Je ferai tout pour trouver Curse et le ramener ! Je ne retournerai pas dans cette maison, tant que je ne l’aurais pas fait !
Hope : Maintenant, j’y vais pour de bon !!
Maître Forgeron : Ah, hé, Hope !
Maître Forgeron : Même si tu y vas, tu ne seras pas capable de te payer un billet de vaisseau. Personne ne va accepter un gamin sans-le-sou comme toi !
Maître Forgeron : Reviens dès qu’il t'arrive quelque chose ! Pour l’amour de Dieu…
Transition
Wouuuuuh
Hope : Pfiou… Les tempêtes de sable sont pires que d’habitude aujourd’hui. Et il fait tellement chaud.
Hope : Mais il y a beaucoup de vaisseaux spatiaux ! Et des gens de partout !
Hope : Je suis venu ici sur un coup de tête, mais il semblerait que j’avais raison de choisir le plus grand port d’Eterno.
Hope : Il y a tant de vaisseaux qu’au moins un me laissera monter à bord. Peut-être que si je leur dis qu’ils peuvent m’utiliser comme main d'œuvre. 
Hope : Non, pas de “peut-être” ! Je dois en trouver un.
Hope : Attends-moi, Curse !
Hope : Très bien ! Je vais faire de mon mieux !
Transition
Équipage du vaisseau : Tu es sur notre chemin ! Dégage !
Hope : Waouh !
Badaboum
Hope : Aouch…
Équipage du vaisseau : Tu as du cran, le mioche, essayer de monter dans notre vaisseau sans payer.
Hope : Ah ! Attendez !
Hope : … Et ils sont partis.
Hope : Je n’arrive pas à trouver un vaisseau qui pourrait me prendre. J’ai déjà essayé la plupart de ceux qui se trouvaient aux alentours.
Hope : Je ne trouverai pas un autre port aussi grand, mais je suppose que je dois tenter ma chance ailleurs…
Bam
Hope : Hmm ?
Jeune homme : Au voleur ! Quelqu'un, arrêtez-le !
Hope : Un voleur ?!
Jeune homme : Hé, attendez ! Laissez-moi passer !
Voleur : Haha, comme si j’te laisserai m’attraper, abruti !
Woooooouh
Jeune homme : Argh, je ne peux rien voir dans ce nuage de sable…
Jeune homme : Merde, où est-il passé ?! À ce rythme, les frais de transaction seront… Ah !!!
Passant A : Hein, des oreilles de chien ?! Ou seraient-ce des oreilles de chat ?
Passant B : Elles ont jailli subitement hors de sa tête !
Voleur : Oh, tu es donc une bête-oreilles Bestian. Pourquoi tu ne retournerais pas dans la cage dont tu t’es échappé, bête !
Jeune homme : …
Voleur : Les animaux ont pas besoin d’argent de toute façon. Nous, les humains, allons en faire bon usage, haha…
Hope : Prends ça !!!
Voleur : Aaaah !
Badaboum
Voleur : Laisse-moi partir !
Hope : Pas question ! Rends-lui ce que tu lui as volé !
Voleur : Merde !
Hope : Hé, toi !
Hope : Regarde, j’ai attrapé le criminel !
Jeune homme : !
Transition
Jeune homme : Merci de l’avoir attrapé. Tu m’as sauvé la mise.
Hope : Ce n’est rien ! C’était qu’une question de timing. J’étais juste au bon endroit, au bon moment.
Hope : Et puis, je m’assure toujours de faire quotidiennement une bonne action pour aider les gens de mon peuple !
Jeune homme : Mais, je ne suis pas quelqu’un de ton peuple…
Hope : Ça n’a pas d’importance, tant que tu es sur Eterno !
Jeune homme : Je vois… Mais j’ai tout de même envie de te remercier d’une manière ou d’une autre. Je suis vraiment reconnaissant pour ce que tu as fait.
Hope : Hé hé hé !
Jeune homme : Je savais que l’ordre public était mauvais sur Eterno… Mais je ne m’attendais pas à y faire face dès mon arrivée.
Jeune homme : C’était choquant de découvrir qu’il n’y avait aucun garde à qui remettre le voleur. Heureusement, il y avait ces justiciers.
Hope : Tous les touristes qui viennent ici disent la même chose. C’est comme ça depuis que je suis petit, donc je comprends pas trop.
Jeune homme : Je vois…
Hope : Et puis notre roi est mort à cause de cette guerre qui s’est produite il y a longtemps.
Hope : Apparemment la vie sur cette planète était plus facile avant. Il n’y avait pas autant de violence à cette époque.
Jeune homme : Mais même dans des endroits comme celui-ci, il y a de bonnes personnes, comme toi.
Hope : Évidemment ! Il y a plein de bonnes personnes ici.
Jeune homme : C’est vrai. Je suppose que l’endroit de naissance n’as pas beaucoup d’importance.
Hope : Exactement !
Jeune homme : D’ailleurs, cela fait un moment que j’y pense maintenant…
Hope : Oui ?
Jeune homme : Peux-tu arrêter de fixer mes oreilles ?
Hope : Hein ?
Jeune homme : Les oreilles-bêtes des Bestians sont-ils vraiment aussi rares ?
Hope : Désolé ! Je ne peux pas m’en empêcher… Alors, tu viens de la planète Bestia !
Jeune homme : Tu l’avais pas deviné ?
Hope : Je n’ai jamais quitté Eterno, alors c’est la première fois que je rencontre un Bestian. Et je n’avais jamais vu ce genre d’oreilles non plus…
Jeune homme : Je te suis reconnaissant de m’avoir aidé, mais je te prierais d’arrêter de les fixer.
Jeune homme : Quand les gens se mettent à les fixer, j’ai du mal à me concentrer pour les cacher.
Hope : Quoi ? Pourquoi les cacher ? C’est tellement dommage !
Jeune homme : Dommage ?
Hope : Oui, elles sont trop cool.
Jeune homme : Cool ? Mes oreilles ?
Hope : Elles ont l’air si soyeuses et jolies et comment elles s’affaissent, c’est trop bien !
Hope : Elles te vont vraiment bien. C’est pour ça que je ne peux pas m’empêcher de les regarder.
Jeune homme : …
Jeune homme : Tout le monde ne pense pas comme toi.
Hope : Vraiment ? Ils doivent être bien étranges alors.
Jeune homme : Je pense plutôt que c’est toi qui es étrange.
Hope : Quoiiiii ?!
Jeune homme : …
Hope et le Jeune homme : Pfff.
Hope et le Jeune homme :  Hahaha !
Coda : Je m’appelle Coda. Et toi ?
Hope : Je suis Hope ! Ravi de te rencontrer.
Coda : Hope, merci beaucoup pour tout à l’heure. J’étais justement sur le point d’aller vanter nos profits à notre chef à propos des bénéfices du jour.
Hope : … Chef ?
Homme : Chef, c’est ça. On fait partie de la caravane nommée Burst Roar. On voyage partout dans la galaxie.
Hope : !
Coda : Fang !
Fang : Hé, Coda. On dirait que tu as été bien amoché. 
Coda : Faut toujours que tu apparaisses de nulle part. Depuis combien de temps m’as-tu observé ? Si tu avais tout vu, tu aurais pu venir m’aider.
Fang : J’étais sur le point de le faire. Mais ce courageux jeune homme ici présent m’a devancé.
Hope : !
Fang : Merci, Hope. Tu viens de rendre un énorme service à notre caravane. 
Fang : Je suis Fang, le leader du Burst Roar ainsi que le capitaine du vaisseau.
Hope : Burst Roar… Capitaine !
Coda : On voyage à travers les planètes pour faire du commerce. Bien que nous venions rarement sur Eterno.
Coda : Ce n’est pas comme si Eterno avait des matériaux particulièrement estimables à importer… Ah, désolé.
Hope : ……
Coda :  Hope ? Tu n’es pas fâché… N’est-ce pas ?
Hope :  Hum !
Coda : Waah !
Fang : Qu’est-ce qu’il y a, Hope ?
Hope : J’ai besoin de vous demander quelque chose… Non, attendez, je veux dire, j’ai une requête à vous soumettre.
Hope : S'il vous plaît, laissez-moi monter à bord de votre vaisseau… Laissez-moi monter sur le Burst Roar !!
À suivre…
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J’suis pas Jesus, quoique ?
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Boulet, le retour. Et pas qu’à moitié. Cette sensation d’avoir tendu une main et que votre interlocuteur l’a prise pour se torcher l’c**. Vous voyez le genre ? Je viens de noircir presque 3 pages pour arriver à une conclusion-décision avec laquelle je ne me sens pas complètement à l’aise...
Pour la faire courte, un mec m’a piétinée, dans son absence de conscience. Actuellement je n’ai pas le choix de, pour le moment, continuer à cohabiter avec l’individu (coucou Covid version j’ai plus de maison et je suis à l’autre bout du monde) - enfin si, je pourrais trouver un autre hébergement mais faut pas pousser, j’aime bien ma maison temporaire donc hein. Voilà près d’une semaine que je dis bonjour, pardon, merci, mais rien de plus à Boulet. Sauf qu’en vrai, c’est pas tellement moi ça de pas desserrer les dents. Je suis pas la fille qui plombe l’ambiance, je suis la fille joie et pétillance, oui, oui. Et donc quand je plonge le nez dans mon tel à chaque fois que l’autre apparait, c’est suspect pour moi-même. Y’a conflit, je le sens bien, ça frémit à l’intérieur du dedans.
Donc, parce que j’ai pigé qu’il n’y a rien à attendre de plus de l’autre (pas même des excuses, même si je ne serais pas contre, j’avoue) (mais sa parole n’est pas fiable pour un sous, du coup...), que je peux seulement agir sur moi et ma façon de réagir à cette situation, j’ai convenu qu’il était temps de revenir à une interaction plus standard. Genre on sera clairement pas BFF, même pas F du tout, mais t’es un humain, je veux du mal à personne, j’ai même tendance à vouloir du bien, donc allez on va tourner la page et on va passer en mode small talk.
Mais b**del, cette sensation de cautionner la connerie du garçon, de lui dire vas-y t’as vu je te reparle comme si de rien n’était et donc même si tu as été abjecte et injuste cela n’a aucune conséquence. Youpi ta vie d’inconscient égoïste complètement dépassé par ses émotions (compassion, ça arrive, mais moi au moins je le reconnais et j’essaie d’éviter de balancer ça aux autres) peut continuer, tu peux continuer de faire n’importe quoi, de marcher sur les gens, c’est pas grave. En vrai c’est pas trop grave, mais ça fait ch**r quand même, ça fait mal, c’est pénible, on s’en passerait.
J’ai l’impression de tendre l’autre joue et par la même occasion de ne pas me faire respecter. Mais vu que me respecter moi-même c’est être tout amour (et pas haine quoi)... Jésus, en vrai, c’était pas son idée de passer pour un paillasson, je comprends bien le message de prise de hauteur toussa, mais pfiou... c’pas simple hein.
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kaleiyasims · 6 years
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Compte-rendu 101
Vous venez d’apprendre que votre série favorite a été annulée faute d’audience ? Bienvenue sur SimsTV dans notre Apocalypse ! Dern-
- Cher journal, j’ai trouvé les notes de grand-papy et c’est très intéressant. Vivement que je puisse attaquer le journalisme et déterrer tout ce que les voisins cachent !
... Ils sont mal barrés les voisins là...
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- Non Wasabi ! Ca ne se mange pas !
- Ah bah ?
Elle a tenté de manger quoi au juste ? Les crayons de couleurs ?
- Les cendres dans l’urne !
... Wasabi, toi pas manger cendres ! Ca c’est caca !
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Pendant que Salt veille au grain, Persil reconstruit sa fusée. Espérons que c’était son dernier crash car ça coûte cher en temps et en argent ce truc...
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- Bon, t’as bientôt plus besoin de moi on dirait. Tu te motives tout seul.
Vrai que Persil est... Oh ? Niveau 8 du Fitness ! Hé ben...
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- Anis, je te jure que si ce truc explose, tu vas m’entendre !
- Oui tatie...
... On aimerait d’ailleurs que vous ne vous en serviez pas pour mettre le feu car vous nous avez déjà fait de belles flambées dans cette famille...
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- Cher journal, j’ai entendu l’autre débile de Clément se foutre de ma tronche dans la rue. Demain, on va voir s’il aime se prendre une des couches pleine de Wasabi en pleine face...
... J’espère pour Menthe que seul lui a accès à tout cela car ça pourrait servir de preuve contre lui un jour...
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- Un peu de gris...
Whaou ! Ca me rappelle que Pepper a deux graines de Plante Vache dans son inventaire... quoique c’est fait pour être dehors ça donc tant qu’on peut rien faire du jardin, ce sera niet.
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Mais c’est que ça roucoule par ici... 
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- Ca va Pepper ?
- Bof. J’ai reçu un message me disant que mon heure était proche. J’ai vachement envie de claquer avant d’avoir cassé la gueule à l’autre folle...
Pepper étant sportive, avec du pot, elle aura un petit sursis mais bon, vu que Cannelle a prit la place de Paprika au grill et qu’aucun gosse n’est prévu avant un moment, Pepper est un peu inutile excepté pour nettoyer... et encore, Persil répare tout à sa place.
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Ca revient avec des bonnes notes... et une boule puante qui a raté.
- Mais pourquoi il avait une raquette ?!
- Ca faisait déjà six fois que tu lui jouais des tours aussi.
Ah ben oui... Au bout d’un moment, y a un risque de tomber sur quelqu’un qui sait se défendre.
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- Cher journal, ce débile de Clément m’a eu cette fois mais je l’aurais demain ! MOUA HA HA HA HA !
... Vivement que Menthe ait fini le lycée car ça doit être invivable là-bas...
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- Oh c’est pas... MENTHE !!!
Sale petit... Il a cassé un des ordis quand celui-ci n’a pas voulu faire ce qu’il voulait. 
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- Tiens ? T’as changé de coiffure ?
- J’avais envie.
- C’est pour convaincre Persil de faire un autre gosse ?
- Mais... Non !
En même temps, je peux comprendre que Cannelle veuille que sa fille reste enfant unique...
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Sur c... Heu Salt ?
- Je ne compte pas m’y endormir.
Pfiou ! On va quand même revenir dans un quart d’heure pour vérifier hein...
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A bientôt pour un prochain épisode !
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nayelleya · 7 years
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Et pour dire que je commence une nouvelle année scolaire en compagnie Lou, pfiou j'en reviens pas mais ça va être super (surtout avec mon humour hein @danslattentedunebellevie)
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showtimebanana · 4 years
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Et en même temps je regarde des vieux posts et pfiou, quel bordel. Le début de diag aura pas fait de mal hein.
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anazallard-blog · 7 years
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Jour 5 (et on ne compte plus le temps de retard !)
Une belle journée riche en balade et beauté d’architecture !! J’ai dû marcher pas loin de 7h, j’ai fini sur les rotules comme on dit !
J’ai commencé par le petit parc Juan Miro qui est à côté de la maison. Un joli petit parc comme il y en a beaucoup à Barcelone.
Ensuite je m’élance dans une grande balade pour aller à la Sagrada Familia, et j’en profite pour suivre l’itinéraire moderniste que proposes le guide du routard.
On arrive au passeig de Gracia et là, pfiou, c’est l’émerveillement. Des bâtiments tellement beaux :) Le plus beau, et une des plus belles choses à voir à Barcelone reste la casa Battlo de Gaudi bien sûr. De la mosaïque partout sur toutes la façade avec des milliards de couleurs !! **
Plusieurs autres casa : Amatller, Lléo Morera, la Pedrera (Gaudi aussi) que je découvre, redécouvre avec plaisir. Le Palau Baro de Quadras, est très beau aussi, j’ai pris en photo la magnifique porte !!
On arrive enfin à la majestueuse Sagrada Familia, en croisant une chouette au hasard du chemin ;). Toujours en travaux la Sagrada, et encore pour quelques années apparemment. La façade la plus récente n’est pas si mal mais ça n’a rien à voir, absolument rien de comparable avec la magie de la façade réalisé par Gaudi. Un génie du détail, c’est fou.
Passage et pause dans le beau et vaste parc de la Citadelle, proche du port. J’y vois des couples payer pour faire un tour en barque dans la mare avec les canards. Cela me laisse... pantoise.
Je repars pour aller faire le tour du Poblenou, petit quartier au Nord de Barcenoleta. J’y passe d’ailleurs, je longe un peu la plage, comme un air de vacances. Le Poblenou semble tellement extérieur à Barcelone, d’un coup, un petit village calme et paumé au milieu de nulle part ! par-fait :)
Et puis je suis rentrée à la maison parce que il y avait encore une bonne heure de marche hein !! Entre temps j’ai du monde au téléphone : Quentin, ma choupette, Elsa !
Je passe au bar d’Ivy qui n’est pas là... J’ai mal partout, je veux dodo ! Je m’arrête en chemin, presque arrivé à la maison pour boire une petite bière en terrasse (tout de même) et commencer à écrire mes cartes pour les copains et la famille :)
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mnzhthepirate · 7 years
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Aujourd'hui, j'ai rencontré Ariane
Je suis assise sur un banc de la place de V… Les yeux embués sous mes lunettes de soleil, un mouchoir à la main, mon téléphone dans l’autre.
« Eh ben pourquoi pleurez-vous ? »
Elle est apparue devant moi, sort une tablette de chocolat de son sac, entreprend de m’en couper un quart, et me prend la main pour m’inviter à m’assoir à côté d’elle sur son banc.
« Ben qu’est-ce qui se passe ? »
J’hésite entre continuer mon appel et répondre à cette surprenante femme aux yeux d’égyptienne, soulignés de khôl. Interloquée et indécise, l’incongruité de ma situation me fait rire. Finalement, mon interlocuteur raccroche.
« Qu’est-ce qui te fait pleurer comme ça ? T’as perdu quelqu’un ? Un amoureux ? T’as perdu ton boulot ? Ah, c’est le boulot donc. Qu’est-ce qui vont te faire ? Ils vont te licencier ? Non ? Tu es arrêtée et tu sais pas ce que tu veux faire ? Oh ben ça va alors ! Faut pas se prendre la tête tu sais. Dans la vie, tout va et tout vient, c'est comme ça, c'est un cycle. Tu sais, moi il y a 9 mois j’ai perdu mon mari, et dans un mois je quitte mon boulot alors… C’est pas des gros soucis que tu as là ! On a tous un chemin de Vie, y a toujours de l'espoir. 
Et tu fais quoi comme boulot ? Ah bon… Ça, j’en ai jamais entendu parler ! C’est assez flou quand même. Allez, tu vas pas te prendre la tête pour une boîte de cons ! Et puis après, tu as bien une passion, non ? Je sais pas moi, les enfants, la cuisine, les bijoux… Comment tu t’appelles ? Ah ! Ben voilà : on pourrait écrire des mélodies avec ton prénom ! Moi c’est Ariane. Tu sais, après mon licenciement, j’ai pu commencer à faire ce dont j’avais vraiment envie…
Tu sais, tu peux parler hein, ça sortira pas d'ici ! Tu voudrais faire quoi alors ? Contribuer au monde ? Ah ça il est bien mal en point le monde ! Mais c'est pour qu'on devienne plus conscients ! Si on est égoïste on peut pas vivre dans ce monde, c'est pas possible... Et quand on est trop sensible, on se fait tout le temps attaquer... Mais c'est pour ne pas se laisser faire ! 
T’es quoi comme signe ? Bélier ? Ah une bête à cornes! Ça, j'ai jamais vu une femme Bélier qui se laissait embêter hein ! Comment ça tu trouves que t’as plus d’énergie pour renvoyer la balle ? C’est pas vrai ça hein, j’y crois pas. On trouve toujours une façon d’avancer. Mais si on se met dans son lit, là c'est sûr personne ne viendra nous chercher.
C’est vrai qu’il faut être bien à l’intérieur. Si t'es pas bien à l'intérieur, ton chéri il peut essayer de te remonter le moral et tout… Mais il peut parler jusqu'à demain, ça fera rien du tout. Et je te dis, il peut même parler jusqu'à après demain hein !
Tu as quel âge ? Pfiou, tu es jeune ! Qu’est-ce que je devrais dire moi ? Tu ne le sais pas encore, mais il y a plein de choses qui t’attendent, c’est vrai ça hein ! Tu as la vie devant toi !
Tu sais, ton boulot, tout ça, il y a des choses, il faut que ça s'arrête. Et d'autres qui doivent démarrer, c’est comme ça. »
J’ai remercié Ariane et je suis partie.
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