Tumgik
#planification
letraindemanu · 11 months
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mylovethinspo · 1 year
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La loi de Parkinson
On continue les articles sur la gestion de temps et la productivité avec la loi de Parkinson.
Nouvel article sur la gestion de temps et de projet, la loi de Parkinson. La loi de Parkinson énonce qu’importe le temps que l’on a à disposition, le travail s’étirera jusqu’à prendre tout le temps dont on dispose. Moins l’on a de temps pour réaliser ses objectifs, plus on mettra un plan d’action efficace pour achever le travail dans les délais impartis. D’où vient cette loi : La loi de…
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mirrorontheworld · 2 years
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Chaque jour me rend plus inquiet, car nous sommes devant les silences qui précèdent les grands périls. Une planification étatique est indispensable.
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reveetrealite-jh · 1 month
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Le monde de Rose (on Wattpad) https://www.wattpad.com/1410731466-le-monde-de-rose?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_reading&wp_uname=cad26jh Rose, une jeune fille adolescente, qui grandit vite, trop vite peut-être pour ne pas apprécier à sa juste valeur, toute la douceur de vivre des jeunes filles de son âge, en quête de réponses, de réflexions, sur le temps qui n'est pas vécu à sa juste mesure. Spectatrice impuissante, parce qu'encore enfant, elle ne peut qu'assister tel un panorama, le défilement incessant d'un quotidien qui se raccourci de manière systématique et inexorable, parce que trop chargé de tâches et autres actions jamais achevées. Bien que limitée dans ses envies, ses actions et même ses espoirs, parce qu'elle est encore adolescente, son imaginaire lui offrait cependant un boulevard pour construire un monde sans limite de temps, et hors du temps. Un monde qu'elle pourrait construire à sa guise comme un tuteur guidant ses figurines selon ses envies et ses désirs. Ce serait son monde, avec pour seule exigence, ne jamais être à court de temps, ne jamais manquer de temps, se laisser porter par le temps, et pour couronner le tout, savoir prendre son temps. L'obstacle qui se dressait devant elle, était moins sa jeunesse, que le temps accordé à la réalisation réelle de ses aspirations les plus profondes et les plus secrètes. L'image récurrente de sa mère, en défaut constant de temps, lui imprimait un regard différent du monde qu'elle voulait être le sien. Un monde à la mesure de ses ambitions fortes et dévorantes, avec pour seul et unique partenaire, le temps à sa juste mesure. Elle avait décidé qu'il en serait autrement. Bien que limitée dans ses envies, ses actions et même ses espoirs, parce qu'elle est encore adolescente, son imaginaire lui offrait cependant un boulevard pour construire un monde sans limite de temps, et hors du temps. Un monde qu’elle pourrait construire à sa guise comme un tuteur guidant ses figurines selon ses envies et ses désirs. Ce serait son monde, avec pour seule exigence, ne jamais être à court de temps, ne jamais manquer de temps, se laisser porter par le temps, et pour couronner le tout, savoir prendre son temps.L'obstacle qui se dressait devant elle, était moins sa jeunesse, que le temps accordé à la réalisation réelle de ses aspirations les plus profondes et les plus secrètes. L’image récurrente de sa mère, en défaut constant de temps, lui imprimait un regard différent du monde qu’elle voulait être le sien. Un monde à la mesure de ses ambitions fortes et dévorantes, avec pour seul et unique partenaire, le temps à sa juste mesure. Elle avait décidé qu'il en serait autrement. Mais comment donner force à des pensées et des idées qui se traduisent en rêve d’enfant avec toutes les limites qu’exige une éducation stricte, car il était bon ton que les jeunes filles n’avaient de personnalité qu’à travers les règles d’un tuteur adulte, quand elles n’étaient pas sous la direction d’un collégial : genre pensionnat, couvent, et autres structures éducatives très contraignantes. Le temps a joué en sa faveur, et sa seule exigence était de savoir attendre, de voir le défilement du temps, que les années de l’enfance la métamorphose en une jeune femme belle avenante et autonome. Le résultat fut au-delà de ses espérances.  LA PRISONNIÈRE DU TEMPS  Ce matin-là, je m'étais confortée, à l'idée d'une grasse matinée, bien au chaud dans mon lit, d'autant que l'idée de sortir de ce cocon douillet ne m’enchantait que peu. Le temps, au dehors ne semblait guère accueillant, du moins de la perception des faibles rayons du soleil, au travers de la baie vitrée de ma chambre. Ce n'était franchement pas une invitation à la balade, encore moins à y pointer le bout du nez, sauf pour cas d'absolue nécessité. Et en termes de nécessité, il y en avait une que j'avais volontairement ignorée tant l'idée de rigueur m’insupportait.  Je suis donc revenue à la réalité du temps présent, quand ma mère, un étage plus bas m’interpella de sa voix douce et ferme à la fois, par ces mots coutumiers et quotidiens : "Chérie tu vas être en retard à ton cours de solfège, et puis n'oublies pas que je dois passer chez ta tante Margaret, chez le traiteur prendre du rôti pour ce soir, et aussi déposer quelques vêtements chez le teinturier". Que de choses maman, que tu te dois de mener à bien dans cette petite et courte journée, que de chose, me répétai-je à voix basse du haut de mon adolescence. Car il était absolument impensable que je fisse une quelconque remarque à ma chère et tendre mère. Bien-sûr, l’envie et le désir de lui dire « mais maman jusque à quand te laisseras-tu submerger par toutes ces choses, ces petites choses à faire, tant de petites choses ». Ma frêle et jeune personne n’était ni assez affûtée, ni assez téméraire pour que le moindre mot, ne sorte de ma bouche à son endroit.  Le reste de la famille, c'est-à-dire mon frère et mon père, étaient déjà sur le départ. Moi, en revanche, j'avais le temps d'apprécier la douce chaleur de ma couette, du moins je le croyais, jusqu'à ce que ma mère réitère son appel à mon encontre.  Elle m'avait en quelques mots, dérouler l’organigramme de cette journée, qui comme à l'accoutumé commençait sous une légère pression, due à la somme d'activités à entreprendre, et à mener à bien dans un si court délai. J'entendais cette voix qui se perdait dans le firmament de la salle de bain après un léger claquement de porte, non pour préserver mon intimité, que de me libérer de cette prison temporelle dans laquelle nous étions enfermées elle et moi à ce moment précis. Ce léger claquement de porte, alors qu’elle égrenait son planning à venir, n'était pas, à mon sens irrespectueux, car j'aimais et j'admirais ma mère, mais il fallait m'y contraindre, pour mes ablutions quotidiennes et aussi me retrouver ne serait-ce qu’un court instant dans cet espace qui m'était totalement et pleinement réservé.  Un plus tard, nous nous retrouvions à partager dans une forte odeur de café, d'œuf bouilli, de confiture, de beur salé, et sans oublier les croissants, pour un solide petit déjeuner. A la vue de cette agape, l'entame de la journée était de bon augure tout du moins de mon point de vue. Ce rituel de détente et de partage matinal, avait le mérite de nous réunir et surtout de nous unir, mon père, ma mère, et mon frère dans une synergie affectueuse et consensuelle. C'était aussi l'occasion de s'enquérir des dernières nouvelles et informations de la nuit et les prévisions à venir pour cette journée.  Le dernier bulletin de la météo retenait toute notre attention, et plus particulièrement celle de mon père, car il en avait fait de la météo et de ses prévisions, sa passion et aussi son métier. Moi évidemment, je ne comprenais pas la globalité, et les subtilités énoncées, non moins d’un quelconque désintérêt, que de mon jeune âge. Je percevais néanmoins les interrogations, les inquiétudes ou l’acquiescement et le soulagement d'un point de détail annoncé sur le visage de mon père.  Nous étions, mon frère et moi, passés maître dans l'art de décoder les traits de son visage d'autant qu'il ne laissait échapper, aucun commentaire en notre présence, certainement pour nous préserver d'une inquiétude qui n'a pas lieu d'être à mon sens, ou était-ce le fruit d'une éducation particulière reçue, voici, il y a bien longtemps. Ma mère confirmait ou infirmait les informations ainsi décodées quand nous nous retrouvions seules en voiture, me conduisant à mon cours de solfège. Ce moment de partage était pour nous tous, l'occasion d’emmagasiné le plein d'énergies physiques morales et affectueuses, et dans ces domaines-là, nos parents en dispensaient à profusion.  Chaque paroles et sentiments partagés nous rendaient forts et presque invulnérables. Nous recevions beaucoup et nous donnions autant : c'est cela partager n'est-ce pas ! C'était avec impatience que je j'attendais les retrouvailles du soir, car chez nous, il faisait bon vivre. Mon père et ma mère veillaient à notre bien-être, et nous le leur rendions mon frère et moi, par beaucoup d'attentions particulières, par une obéissance affectueuse, dans une entente mutuelle, cordiale et respectueuse. Dans ces moments de profond délice, j'ai manqué à mon devoir élémentaire de vous présenter ceux qui me sont chers. Je commencerai par celle pour qui mon admiration est, et a été sans limite. Elle se prénomme Mary, en effet ses racines sont profondément ancrées dans les fins fond de l'est de l'Irlande, dans la ville d'ARDEE, du comté de Louth.  Issue d'une vielle famille d'aristocrate dont les armoiries, faisaient la fierté et la renommée. Elle a gardé cette prestance des noblesses d'antan, dans une droiture et une élégance empreinte de modestie naturelle et avenante. Oui en effet c'était bien ma mère dans toute sa jeunesse et sa splendeur. Le rayonnement qui émanait de sa personne était douceur, bonté et disponibilité pour autrui. Il n'était donc pas étonnant que mon père, lors de leur première rencontre y succomba à ce charme particulier, sincère, dénué de tout artifice. Elle était comme cela ma mère, oh pardon ; Mary ! elle était comme cela Mary, d’un naturel cordial et d’une amabilité toute convenue. Je comprends combien difficile pour mon père de passer outre d’une telle et unique personnalité. Aujourd'hui, quelques années plus tard, elle a conservé toute sa dignité dans un regard franc, la tête bien haute, et une prestance que sa noblesse lui conférait. Je me suis inspirée de cet état d'âme, et de cette prestance, de ce sentiment presque inné que lui concédait toute sa personnalité. Bien souvent, j'ai voulu lui ressembler, être elle, une Mary junior bis en quelque sorte, tant l'idée d'être comme elle m’obsédait ; belle et avenante. Elle en était consciente de sa beauté certes, mais surtout de l'admiration que je lui portais.  Aussi quand mes regards soutenus, et mon admiration étaient trop insistants, ce dont elle ne manquait de remarquer, elle me pinçait le nez en guise d'acquiescement et de complicité, avec un large sourire. C'est tout ce dont j'avais besoin pour me sentir vivante, chouchoutée et aimée : il y avait aussi mon père ; John de son prénom, digne représentant de la couronne, sans les armoiries. Il avait grandi dans le sud du pays dans la ville de Southampton, loin des fastes, et des intrigues qui lui étaient de plein droit réservé.  Il n'a pas été affecté par cette mise à l'écart de ses ascendants, en ce qui concerne les convenances. Pour autant que je me souvienne, je ne l'ai jamais vu manifester un quelconque regret sous quelque forme que ce fût. Jeune, il a dû comme beaucoup, passer par les chantiers navals pour se construire un état d'esprit de travailleurs. Alternant travaux et études, voyages et pensions, telle était la dure réalité de la vie à laquelle il était confronté pour se bâtir une perspective des plus heureuses, la sienne, avec sa force, sa sueur et son sang. Il voulait être lui et rien d’autre, construire sa propre histoire, sans passe-droit aucun.  Il s’est fait tout seul, avançant contre les courants et vents contraires pour se forger une personnalité en marbre brute. Plus d’un, aurait capitulé, préférant la douce révérence qui leur était due, et se laissant emporter sur un lit douillet de bienveillances de respects, de convenance, et dans une moindre mesure, de connivences, eu égard aux liens ancestraux qui lui allaient de droit. Mais John, mon père, était différent, il était fait de ces matériaux nobles et rigides qui ne concède aucune faiblesse, aucun découragement, et encore moins un quelconque renoncement. C’était le prix à payer du lien rompu volontairement. L’a-t-il regretté intérieurement dans ses moments de solitude ?  Peut-être ! Ma mère a su, je le suppose, combler ce manque et cette déficience, et la famille qui s’est agrandie en la personne de « Andrew mon frère et moi-même Rose », a couronné et stabilisé son bonheur. Il ne manquait jamais une occasion de nous le faire sentir et remarquer combien nous étions pour lui, non seulement une extension de sa personne, mais toute sa raison d’être et sa fierté. Nous étions, ma mère, mon frère et moi, et sans oublier par extension, Margaret, l’expression tangible de son amour. C’était un nid douillet et d’amour dans lequel la seule exigence de mise, était celle de se laisser choyer. Il en avait de la chance, et il en était pleinement conscient. C'est en effet au cours de l'un de ses voyages d’étude, qu'il rencontra Mary, une jolie brune aux yeux verts. Un concours de circonstances fit qu'il adressa la parole à Margaret la première, et ce fut Mary qui lui apporta les explications à sa requête. La suite est facilement imaginable, car mon frère Andrew et moi complétèrent quelques années plus tard les bases de sa famille, une famille qui allait marquer de son empreinte le temps.Que dire de mon frère Andrew ? Il est mon aîné de deux ans, un regard chatoyant, éclairé, et le sourire facile.  Sa passion est la nature brute et sauvage, les livres, et toutes les formes d'écritures. Il avait déjà très jeune, une propension à l’énigmatique, à tout ce qui vous fait transpirer du cerveau ; les cunéiformes, les hiéroglyphes, les idéogrammes chinois, l’écriture de l’Indus, les écritures de la Méso-Amérique, et autres pictogrammes. Il avait une certaine appétence pour le singulier et les non conventionnels. Ce qui en rebuterait plus d’un au contact de ces indéchiffrables, lui au contraire, s’en délectait. Il aimait cette expression : « ces pieds baignaient dans le lait », c’est dire combien il se sentait en osmose avec toutes ces découvertes, ces trouvailles. C'est un être relationnel, et son sourire y contribue pour une grande part à l'égard des deux sexes. Autan vous dire qu'en matière de conquête féminine, il n'est pas de marbre ; mais c’est un autre débat. Il est discret, et non volubile, avec ce quelque chose qui lui est propre : la capacité et le talent de vous mettre à l’aise. En sa présence, la situation se détend, on se sent bien, en pleine confiance. Il est des personnes dont la nature vous pousse à la confidence, à la conversation facile. Il est comme ça Andrew et j’en suis assez fière.  Un seul regret, c’est de n’avoir pas pu profiter comme je l’aurais espérée, de ce quelque chose qui le distinguait, et lui attirait de la part de l’autre, amitiés, égards, bonne humeur et ouverture consensuelles et consenties. Très tôt, il s’est émancipé de l’attache familial pour qu’à son tour, il se forgeât une personnalité des plus remarquée et intéressante qui soit. Sa passion pour les types d’écritures, lui ouvrait une voie royale, le menant au-delà des frontières. Dès qu’il entreprît ses recherches pour s’imprégner de l’âme des écritures, de leurs origines, du fondement de leur source, il lui fallait impérativement quitter sa terre natale, sa chère Irlande, pour s’investir au-delà des mers, sur les pas de ses ancêtres Celtes, non pour conquérir de nouveaux territoires comme ce fut le cas jadis, quand ils débarquèrent sur les côtes nordiques, venant de Grande-Bretagne et d’Espagne aux 6èmes siècles de notre ère. Mais pour trouver et donner sens aux sentiments et émotions, aux échanges inter ethniques, qui selon certains témoignages, se limitaient à des cris et vociférations, et des gestes d’intimidation. Et puis, de cris en gesticulations, la communication s’est anoblie, s’est étoffée, embellie pour prendre des formes et sens significatifs. Rendant ainsi le rapport entre humain de cet époque-là, plus domestiqué, plus noble, et plus pacifique. Sa soif de découvertes fut si forte et si puissant, que tous les peuples de la terre étaient comme à portée de jet de pierres, mais aussi un terrain de jeu d’une beauté et d’un intérêt rare. C’est ainsi qu’il narrait ses premières découvertes, et ses premiers contacts avec les indigènes Sumériens, les Egyptiens, les peuples d’Afrique noire, les Amérindiens, sans oublier les signes verticaux, les syllabaires, pour ceux du soleil levant. Je me limiterai et me contenterai de ces quelques notes de son carnet de bord, car je me susurrais qu’un jour viendrait où de vive voix, il pourra nous conter ses péripéties qui ont très certainement changé sa vision et acceptation du monde tel qu’il le voit et le conçoit. De retour de sa dernière épopée de la route de la soie, il fit halte sur les terres de Lutèce et plus précisément en Bretagne, je suppose que la notoriété et la phonétique du nom aiguisa son désir de connaitre les liens communs qui ont su vaincre la barrière de mer jusqu’à la grande île du même nom. La seule allusion qu’il me laissa supposer, est que peut être, il aurait marqué de son empreinte, de manière beaucoup plus tangible qu’il ne le laissait croire, qu’il aurait même laisser un peu de sa personne, lors d’une soirée d’anniversaire, à laquelle il était convié. Ce fut à cette occasion que son charme eu l’effet dévastateur chez la gent féminine, au point d’y demeurer quelques temps. Le temps de mieux apprécier la douceur du pays, mais surtout, le temps de s’enivrer d’une douce étreinte, dont le souvenir s’est, neuf mois plus tard, manifesté sous les traits chatoyant d’une paire d’yeux marron claires, d’un gazouillis à faire fondre n’importe quel marin en mal de port. C’était aussi cela, la vie de mon frère Andrew. Bien-sûr, Père et Mère étaient informés de cette extension, outre-manche, de la famille. Je n’avais donc aucune inquiétude à ce qu’elle soit, car il s’agit d’une nièce, de mon sang, partie intégrante de cette belle famille qui est la mienne. Je savourais déjà, comme un temps délicieux, cette rencontre avec celle qui est fille de mon frère. Andrew était parti de découverte en découverte sans en écarter ses semblables dont les recherches approfondies ont révélé tout ce qu’il a de merveilleux quand le désir et l’amour partagés sont au rendez-vous. Une autre question me tirailla ; quel serait la réaction de Martha ? Nul doute, qu’elle serait tout à fait accueillante, affable et avenante comme elle le fut avec moi aussi loin que je m’en souvienne. Nous sommes comme ça, ouvert à tout ce qui peut enrichir nos pensées et émotions, mais aussi ouvert à tout ce qui peut nous épanouir. En ce sens, l’expérience française en a été plus qu’une, non seulement pour Andrew, mais pour la famille dans son ensemble. La suite des évènements devait confirmer mes ressenties. Aussi, mon adulescence s’est étoffée sur et avec son absence. Loin de me faire de l’ombre du fait de sa personne, j’ai dû très vite éclore comme un oisillon pour définir toute seule, mon espace de vol. Il me fallait trouver, dans ma quête d’équilibre, un substitut à Andrew, ce qui fut quasiment impossible, car comment restituer l’aura d’un être cher et unique au travers de quelqu’un d’autre, fusse-il le plus agréable et charismatique qu’il soit ! son absence m’a accompagné longtemps, comme une présence invisible mais réelle jusqu’à ce que je rompe aussi, pour des raisons que vous comprendrez aisément, les liens du cocon familial. Et puis moi, celle qui admire sa mère, la puînée d'Andrew, celle qui décode les traits de visage, oui c'est bien moi. Je m'appelle Rose, et comme mon frère, j'ai aussi les yeux verts, les cheveux châtains, et de longs doigts me dit -on. Cette dernière particularité me sied à ravir pour le piano, car les cours de solfège m’ont conduit de facto à la pratique de la musique et en particulier celle du piano. J'en suis fière et très heureuse. C’est une vraie passion un peu comme mon père, seulement, je n'en ai pas fait un métier, juste un hobby, qui demandait : constance, rigueur, et assiduité. Ce trait particulier, je le tenais de mon père qui à bien des égards, était notre référence à nous deux, Andrew et moi. Alors me direz-vous, que faites-vous mademoiselle Rose, quel est votre occupation en dehors du piano ?« Je suis une prisonnière du temps ». Que voulez-vous dire ? Seriez- vous un peu comme votre mère, débordée par trop d'activités quotidiennes, à la recherche de ce temps qui sans cesse la fuyait ? Ce temps qu'elle aimerait comme indéfini, dépourvu de toute limite, de toute durée, qu'elle en disposerait comme bon lui semblerait ? Faudrait-il pour cela, qu'elle fût déesse ! Aux vues de toutes ses activités qui sans cesse se rallongeaient à n’en plus finir :  « je la définirais comme réellement : une prisonnière du temps, de son temps ».  Elle s’est construite elle-même sa cellule, dont chaque barreau était un trait caractéristique de sa personne, et par conséquent, elle n’avait pas le sentiment d’être enfermée. Car les bases de sa cellule, c’étaient nous, mon frère et moi, Margaret et mon père, de l’amour au sens le plus pur et le plus noble. Elle n’avait pas le sentiment d’être enfermée, ni de se laisser enfermer dans une quelconque et soi-disant prison. Le dévouement et la largesse étaient ses chevaux de bataille, et pour moi, les barreaux d’une prison. Aussi pour avoir le cœur net en ne restant pas sur une impression et sentiments inachevés, je décidai de lui poser la question qui me taraudait. « Pourquoi Maman, te dépenses-tu autan chaque jour à n’en plus finir ? Elle me regarda fixement, et avec son beau sourire, répondit : de quoi parles-tu ?  Elle avait très bien compris ma requête et mon interrogation. Cependant, sa réponse résumait toute sa vie, son dévouement, sa disponibilité, son engagement. En claire elle venait de faire tomber tous les barreaux de sa prison. Quand il n’y a plus de barrière, de cellule, vous n’êtes plus enfermé, et la prison n’est qu’un mirage, ou un lointain souvenir, si tant est, qu’il y en est eu une, selon que vous êtes au dehors, ou en dedans de la cellule. Je persistais néanmoins dans cette considération extérieure. Voulant trop la ressembler dans son quotidien, et remplie d’une empathie profonde pour elle, je crois avoir fait un transfert de ces faiblesses et petites imperfections sur ma personne, comme une sorte de délivrance de ces corvées journalières dont elle aimerait tant s’en affranchir.  « Je voulais lui dire simplement : « je suis là maman, permets-moi de porter avec toi ta charge de chaque jour, tu verras qu’à deux, cela se porte mieux, et c’est plus supportable ». C’est un peu comme une souffrance partagée dont je voulais la délester, alors qu’elle s’enfermait chaque jour dans cette prison délicieuse, de mon point de vue. Car la motivation qui guidait ses actions et ses allants, bien que trop nombreuses, était sa famille, l’intérêt pour l’autre, et si par miracle, dans un concours de circonstance heureux, il lui restait un peu de temps, alors et seulement alors, elle consentirait à s’accorder un peu d’attention, rien que pour sa petite personne. Pour mon grand bonheur elle était juste humaine et mère : la mienne, c'était assez et cela me suffisait amplement de la savoir abordable et proche, charnelle et chaleureuse, digne d'intérêt et d'être connue.  Durant mes jeunes années, j'ai beaucoup admiré, observé ma mère, parce que c'était ma mère, et parce que nous étions proches. Me souvenant de ses préoccupations quotidiennes et de ses listes d'activités égrenées tel un chapelet de bénitier, le matin pour me sortir du lit, j'en avais conclu qu'il me fallait dans la suite des temps, me libérer de ces contraintes, à la manière que je les percevais. Bien-sûr, nos deux conceptions divergeaient, parce qu'elle se les imposait, et pour la bonne cause. Car toutes ses actions étaient guidées et motivées par l'amour de sa famille, et pour sa famille, et sa disponibilité aux autres. Des intentions nobles et louables dont elle s’honorait, et ce, chaque jour que Dieu fait.  Ainsi, ce qui n'était pas accompli ce jour était remis au lendemain, et ainsi de suite. Cette procrastination n'avait aucune incidence sur les liens familiaux, ni en dehors du foyer. Elle aimait souvent dire que rien ni personne, ne devait subir, les aléas du temps, mais encore moins ses limites, fut-ce t - elles volontaires, accidentelles, ou impromptues. C'était une adaptation calculée et modulée en fonction de chaque situation. Après cette réminiscence parcellaire, si je puis dire, ma conception du temps a évoluée au fur et à mesure que je gagnais en maturité, en stature et en âge.  Je me suis faite à l'idée que le temps devait être en tout point mon allié. J'ai appris à comprendre et à accepter ses aspects et ses subtilités. J'étais à bonne école dans l'ombre de mon père.  J'ai aussi appris à décoder non seulement les traits du visage, mais les changements de temps, à deviner une averse, un temps calme, un soleil radieux, les soubresauts venteux bien avant qu'ils n'arrivent. J'ai appris à m’organiser en fonction de mes disponibilités, par rapport au temps défini, mais j'ai surtout appris à composer avec le temps, le mien, celui de l’autre, celui qui ne se laisse pas domestiquer, apprivoiser, pour avoir du temps de manière constante, et en disposer sans tenir compte de sa durée, et de ses limites.  Donner du temps, concevoir le temps et les temps, et m'adapter au temps. Le temps était devenu mon allier, jusqu’à n’en faire qu'une avec. De quel temps parlez-vous miss Rose ? Le temps limité, l’espace-temps, la durée, le temps défini (le kaïroï), ou le temps indéfini qui n'a ni début ni fin, qui est simplement étendu telle la voûte céleste, dans lequel se meuvent l'indicible, et l'irrationnel, concept philosophique, dont certains penseurs tel que Socrate, Platon, Gottfried Wilhem (ont nourri leur âme assoiffée d'éternité), ou de cet espace étendu : (le Khronos), entre deux intervalles de durée. Avez-vous une philosophie du temps ? « Oui très probablement, à tel point que ce fut comme une révélation quand j'ai saisi la pleine mesure du temps dont on pourrait disposer. A partir de ce moment, j'ai eu le sentiment d'avoir fait un grand pas vers la maîtrise du – temps -, de mon temps ».La perception du temps est définie comme favorable et non par la projection d'une somme d'activités à accomplir dans un délai ou une limitation de durée impartie, tenant compte de la situation de chacun dans son milieu, ou son espace défini : c'est ce que nous pourrions résumer par le temps défini, ou limité, les moments particuliers ou les saisons : le kaïroï. Nous en reviendrons un peu plus tard là-dessus. Il m'a semblé opportun de comprendre avec minutie, les données sur lesquelles je pouvais fonder un raisonnement qui soit recevable, acceptable et convenu sur l'énigmatique conception du temps : cette durée limitée, dans laquelle chacun peut à souhait combler.Revenons à ma mère, source féconde de mes réflexions structurées en devenir, et de mon approche cartésienne. Tout avait commencé par l'observation des traits du visage, et s'en est suivi celle du comportement, et des attitudes, l'attention portée, aux paroles, aux signes, aux intonations, aux réflexions, et aussi au silence qui paradoxalement est source inépuisable de non-dit, de révélations secrètes et surprenantes.  Mes jeunes années d'adolescence m'ont habilement projetées comme spectatrice avertie du défilement et du déroulement, d'un instant de leur vie, tel un panoramique complexe de mes concitoyens. Bien qu'étant jeune, le privilège de passer inaperçue, inintéressante et inexistante au monde des adultes, me donnait un ascendant et un recule qu'on pourrait qualifier de première loge. C'est un peu comme une sentinelle dans son mirador guettant et détectant, non pas un éventuel ennemi, mais comme dans un poste avancé, le déroulement tacite de leur habitude de vie, voyant sans être vue et entendant sans vraiment écouter, rêvant le temps d'une action, d'une parole, d'une idée émise, d'être actrice d'une phase, tel un cliché, de vie qui est la leur, et bien d'autres actions que je pourrais qualifier de privilège.  Je l’enviais, ma mère ; cette femme qui donnait beaucoup de sa personne, de son temps et qui malgré ses activités débordantes, ne manifestait jamais un signe de fatigue, de saturation, ou d’énervement. Toujours égale à elle-même, elle savait communiquer ses envies et sa passion, avec une capacité d’écoute et d’empathie qu’on qualifierait de psy. Le temps qu’elle consacrât aux autres lui revenait tel un boomerang en gratitude et reconnaissance. Donc j’en déduisais qu’à sa façon, le temps n’avait aucune emprise et ne l’affectait nullement. À sa réponse précédemment citée « de quoi parles-tu » ? fait écho à ma déduction. Elle n’était pas affectée par les limites du temps. Selon ma perception et ma compréhension de ce qu’elle vivait au quotidien, à sa manière, et pas la mienne, pour gérer son temps, une minute équivalait à un jour, voire une semaine. Elle était libre de toute pression et son épanouissement se voyait comme un parterre de fleurs au printemps, remplissant la vallée de couleur et parfums suaves. Tant de petites attentions douces et aigres à la fois, émanant de sa personne, ne laissait à quiconque la côtoyant, dans une indifférence banale. Je cherchais à capter et à comprendre, ce qui lui était propre, qui lui appartenait, pour avoir un peu de ce qui la définissait en moi, car un lien indéfectible nous unissait à tout jamais, elle et moi ; j’étais sa fille, son enfant, le fruit de tant d’amour, alors que je me définisse en elle ou à travers elle, semblait couler de source. C’est dire que sa réponse : « De quoi parles tu », ne me satisfît pas, au point que voulant une réponse plus précise et plus complète, je décidai de voir par moi-même, pas à pas, les raisons et les finalités de sa certitude.  J’endossai mon costume de détective en jupe courte, chignons et cheveux tressés. Jusqu’à présent, mon admiration pour elle, avait effacé tous les petits défauts et les scories qui pouvaient altérer mon jugement à son endroit, mais maintenant que j’étais investie d’une mission de la plus haute importance : démasquer les raisons de ses procrastinations, un nouvel élément s’était donc ajouté à mon champ d’investigation. Je venais de franchir un pas supplémentaire dans les degrés d’accès au monde des adultes. Je devais conjuguer et combiner les deux postures à la fois : celle de la petite fille sage, admirative de sa chère et tendre maman, et celle de la nouvelle détective de la ville d’Ardée dans le comté de Louth, que désormais, l’Irlande devrait compter parmi ses notables ;Rose, la nouvelle détective en jupette, taches de rousseurs, chignons et cheveux tressés, avec une ultime mission : « pourquoi être toujours à court de temps, et remettre sans cesse au lendemain » ? en un mot : Pourquoi procrastiner ? je savais que le défi serait double, car moi qui veux comprendre les raisons du manque de temps, je devais moi-même veiller à ne pas être prise en défaut de temps, si je puis m’exprimer ainsi. Fallait-il que je surveillasse ma mère, la prendre en filature, décortiquer son emploi du temps, et passer au peigne fin ses rendez-vous : chez le boucher, la teinturerie, le manoir de Martha, et les multiples associations où elle donnait de sa personne pour que chacun mange à sa faim, et ait une couverture à défaut d’un gîte pour la nuit.  Tout cela bien-sûr sans préjudice pour le cocon familial, car là aussi, elle ne ménageait pas ses efforts et savait se donner pour que nous ne souffrions d’aucun manque. Les éléments dont je disposais pour commencer et assoir mon enquête étaient claires et limpides, sauf une chose et une seule : « l’objectivité ». Ma mère et moi étions fusionnelles, doublé d’une totale admiration ; je ne pouvais donc pas prétendre une neutralité pour rendre crédible les conclusions d’une enquête que je dois mener envers et contre elle. Comment le pourrais-je ? j’aurais le sentiment de trahir quelque chose de profond entre nous, et je ne pourrais le supporter.  Il me fallait trouver un autre angle d’approche, et contourner l’incontournable, c’est-à-dire, aller sur son propre terrain, et essayer de jouer sa partition ; laquelle ! elle en avait tellement que je ne savais pas quelle était la clé la plus adaptée pour une lecture en douceur. J’avais besoin de temps de réflexion dont je ne disposais pas. Par conséquent, revenir à ses premières amours, me semblait incontournable, comme quand nous étions, mon frère et moi, encore enfant dans un nid douillet, dont la seule préoccupation était de jouir de l’attention particulière, doucereuse de nos chers parents. A ce moment-là, j’étais ce qui pouvais leur arriver de meilleurs, la petite dernière, celle à qui on ne refuse rien ou presque, mais celle aussi vers qui se concentraient regards, délicatesses, amours et affections sans nombre. Je n’étais pas à plaindre, et je pus en toute impunité, épier et décortiquer chaque geste, chaque soupir, chaque mouvement d’humeur, bonne ou moins bonne, pour que j’en profite à souhait de toutes les fantaisies qui me passaient par l’esprit. Une idée soudaine était soumise de facto à la vérité du terrain, et ce terrain, qui se trouvait être mon laboratoire de test et de recherche, n’était autre que le carré familial. C’était ma zone de couverture, mon territoire conquis avec la bénédiction de John et Mary.  Ma ligne de mire, mon seul client, pour une détective en herbe, était ma mère, et elle ne le savait pas. Plus je cherchais à comprendre, moins l’évidence me paraissait accessible. La notion du temps ne faisait pas encore parti de mes priorités, ni de mes centres d’intérêts. Cependant il fallait que les choses changent vite. J'avais besoin de résultats probants, de quelque chose qui démontra que je tenais le bon bout, que j'étais sur la bonne voie, et que coûte que coûte j’allais enfin percer le mystère de ma mère, à savoir : « pourquoi elle remettait systématiquement au lendemain, ce qu’elle n’avait pu terminer en temps et en heure, le jour dit ». —pourquoi : je revenais sans cesse comme une litanie, à cette fameuse question, car trouver la cause de sa posture « du lendemain », répondait du coup à cette question lancinante, et résolvait par la même occasion cette énigme.  Je ne pouvais compter en aucun cas sur sa collaboration, car elle m'avait donné une réponse, la sienne ; en me lançant en pleine face : « de quoi parles-tu » ? donc, Il fallait que mon enquête se fasse à son insu et en toute discrétion, en la surveillant d’un œil discret comme savent très bien le faire nos amis félidés. Les obstacles et les embûches ne manquaient pas, car ma mère était mon soleil, et enquêter sur un soleil radieux qui chaque jour, vous réchauffe de ses rayons bienfaisants, reviens en quelque sorte à restreindre la portée de ses rayons, et qui en souffrirait ? je vous le demande ! J'étais confronté à cette équation : comment faire ? Plus je me rapprochais d'elle, plus difficile était ma concentration et mon objectivité.  En revanche, quand pour des raisons qui sembles évidentes, j'essayais de me détacher d'elle, de m'éloigner un tout petit peu, de ma source, de mon soleil, eh bien, mon amour, mes sentiments, en prenaient un coup. J'avais décidé de souffrir en m'éloignant de la demeure familiale. Et mes cours de solfège et de musique à Londres, ont été pour moi, un déclencheur, un tremplin, un point de recul suffisant pour mieux comprendre les raisons qui peuvent pousser parfois à agir contrairement au bon sens. Oh bien sûr, il était hors de question que je veuille donner une quelconque leçon de bienséance, de tenue ou de moralité à ma mère, mais tout de même. J’étais toujours en quête de savoir. Plus je regardais, plus j'essayais de comprendre, plus les choses me paraissaient claires, limpides comme du cristal.  Toutes les pièces se mettaient en place et s'ajustaient parfaitement les unes aux autres. Il m'a fallu prendre de la distance pour mieux apprécier les choses de près. Une fois à Londres, et retrouvant le cocon familial deux fois dans le mois, je compris combien cet amour m'était indispensable. Et à chaque nouveau départ pour retrouver les bancs du conservatoire, me séparer des miens devenait insupportable, mais nécessaire. Le seul remède et antidote pour compenser ce manque, était une foi totale et inconditionnelle dans leur amour à mon endroit. Tout simplement, j’étais aimée profondément, et je perçu la puissance et la force de ce sentiment, le leur envers moi, et le mien à leur endroit, une fois que je n’étais plus à portée de leur embrassade.  Londres a été un facteur déclenchant, faisant émerger tout un monde enfoui au plus profond de nos subconscients. Oui, je crois avoir compris les raisons qui poussaient ma mère à remettre sans cesse au lendemain toutes les actions qu'elles n'avaient pas su terminer le jour dit. Il m'a fallu m'éloigner, prendre de la distance, sortir de ces jupes pour mieux l'apercevoir, pour mieux la comprendre, pour mieux la voir sous un jour différent que jusque-là, je n'avais pas perçu parce que j'étais enfant, et que mon admiration pour elle était sans bornes, m'empêchant de voir ce qui devait être vu., et sentir la justesse des choses. Ma mère était la bonté et l'amour sur pied. Elle avait beaucoup aimé. Elle avait trop aimé, mais c'était sa nature, elle ne pouvait s'en défaire.  C'était sa couverture, c'était sa carapace, c'était sa peau. Mais c'était aussi ma mère. Tous ceux qui s’y trouvaient à proximité, ont expérimenté et bénéficié de ses largesses. Il ne fut pas étonnant qu'elle ait beaucoup donné et peut-être trop donné. Alors, remettre au lendemain, ce qui n'avait pas trouvé une fin d’action le jour en question, était naturellement reporté au sur lendemain, et ainsi de suite. Son amour était hors limite, sans compartiment, le temps n’avait sur elle aucun impact. Elle ne maîtrisait pas le temps. Ses actions s’écoulaient au rythme du temps.  Elle avait tout le temps pour elle, et bien avant que je me sois investi de cette approche sur le rapport au temps que je voudrais relatif, elle avait déjà fait son allié. Plus de soubresauts, de veilles impromptues, d’insomnies inconsidérées, de réveilles difficiles, elle s’était libérée de tous ces carcans. Le voile était enfin levé, maintenant je comprenais tout ou presque dans sa posture du lendemain. Si donc, elle avait pris son parti dans son approche et son rapport au temps ; alors, qui était la prisonnière du temps ? elle ! peut-être pas ; moi ! pourquoi pas ! nos idées et nos perceptions divergeaient, à cela, rien de plus normal. Tout nous rapprochait, mais tout aussi, nous éloignait malgré mon désir infantile de fusion. Ma réflexion se porta alors, sur mes contemporains, que je pus épier dès que le raisonnement commença à structurer mon esprit d’adolescente. Bien-sûr, je commençai par ma ville d’Ardée, puis mon investigation me poussa à tutoyer les sujets de sa majesté dans cette bouillonnante city de Londres. Là, j’ai pris bien au pied de la lettre, le sens de ce vocable : le temps c’est de l’argent ! alors, réflexion toute faite : sont-ils eux, prisonniers du temps ? du temps ! peut-être ! de l’argent sûrement. « je me garderai bien de porter un jugement à leur endroit, car le temps se paie bien aussi en argent comptant, et pas seulement à la city ». Fin du chapitre
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coursesplanner · 2 months
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Comment bien organiser son réfrigérateur et son garde-manger ?
Dans cet article, nous explorons les stratégies optimales pour maximiser l’efficacité de votre réfrigérateur, exploiter au mieux l’espace de rangement disponible et améliorer la fonctionnalité de votre cuisine.
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Rangez vos aliments en les classant par type et par date de péremption. Il est recommandé de trier vos produits avant de les stocker, en mettant en avant ceux dont la date de péremption est la plus proche et en reléguant au fond ceux dont la date est plus lointaine. Distinguez clairement entre les produits qui se périment rapidement, comme les fruits, les légumes, les viandes, et les produits laitiers, et ceux qui ont une longue durée de vie. Les articles périssables devraient être conservés au réfrigérateur à une température idéale de 2 à 4 degrés Celsius pour garder leur fraîcheur optimale. Lorsque vous ajoutez de nouveaux produits à votre réserve, assurez-vous de les positionner derrière les produits semblables déjà ouverts ou ceux dont la date de péremption est proche. Cette approche vous aide à utiliser vos aliments de manière à préserver leur fraîcheur et à réduire le gaspillage alimentaire.
🔒 🥦 Améliorez la Conservation Alimentaire: Séparation Sécurisée
L’utilisation judicieuse de contenants et d’étiquetage joue un rôle clé dans l’organisation et la préservation des aliments au sein de la cuisine. En classant les aliments par catégorie, comme en isolant les fruits des légumes et en rangeant séparément les produits laitiers des sauces et condiments, on facilite non seulement l’accès mais on évite également les contaminations croisées. Pour assurer une fraîcheur prolongée, l’adoption de méthodes d’emballage adaptées à chaque type d’aliment est essentielle. Par exemple, les viandes et poissons peuvent être conservés plus longtemps lorsqu’ils sont emballés sous vide, une technique qui limite l’exposition à l’air et donc la prolifération bactérienne. Les légumes, quant à eux, bénéficient souvent d’un rangement dans des contenants hermétiques ou des bocaux, qui maintiennent l’humidité nécessaire à leur conservation.
🔒 🥦 Maîtrisez l’Organisation du Réfrigérateur: Hiérarchisation des Espaces
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📊 🍎 Maîtrisez l’Organisation du Réfrigérateur: Hiérarchisation des Espaces
L’organisation de votre réfrigérateur joue un rôle crucial. Il est essentiel de stocker chaque catégorie d’aliments — tels que les viandes, les œufs, les yaourts ou les légumes — à leur température optimale. Les boissons, conserves et œufs trouvent leur place sur la porte; les poissons, viandes et légumes cuits doivent être placés dans la zone moins froide; tandis que les produits frais, les viandes crues et les poissons crus vont dans la partie la plus froide. Pour les fruits et légumes, les bacs inférieurs sont idéaux, et il est conseillé de les poser sur du papier pour garder l’espace propre.
🥫 🔄 Gestion Efficace du Garde-Manger “Zéro Déchet”
Organisez les aliments stables à long terme, tels que les denrées sèches, les conserves et les produits en boîte, par ordre de fréquence d’usage dans votre garde-manger, en mettant en avant ceux à consommer en priorité. Il est recommandé de les garder à température ambiante. Assurez-vous de vérifier régulièrement leurs dates d’expiration et de les stocker dans des contenants étanches pour minimiser le gaspillage.
❄️ 📅 Principes de Congélation pour une Fraîcheur Prolongée “Congélation Consciente”
Pour maintenir la fraîcheur et le goût des aliments surgelés, il est recommandé de les stocker à -18 degrés Celsius ou moins dans le congélateur. Cette méthode de conservation permet de garder les aliments bons à consommer pendant plusieurs mois, aidant ainsi à limiter le gaspillage alimentaire. Par ailleurs, assurez-vous de dégeler les aliments de façon sûre en les transférant au réfrigérateur plutôt que de les laisser à l’air libre, afin de prévenir les risques d’intoxication alimentaire. Il est également important de ne pas recongeler les aliments une fois dégelés pour en préserver la sécurité et la qualité gustative.
L’optimisation de l’espace de votre réfrigérateur et de votre garde-manger/cellier ou placard va au-delà d’une simple question d’organisation et de planification; elle requiert également un engagement envers des pratiques alimentaires plus responsables et durables. Intégrer une planification minutieuse de vos repas est crucial dans cette démarche, car cela vous permet de structurer de manière efficace votre espace de stockage, tout en facilitant la gestion de votre cuisine. En adoptant cette stratégie, vous bénéficierez d’économies significatives de temps et d’argent, tout en jouant un rôle actif dans la lutte contre le gaspillage alimentaire.
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origami-mama · 2 months
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Comment Atteindre ses Objectifs : la Méthode « L.O.T.U.S » © pour Réussir
Comment rester motivé ✅ et atteindre les objectifs que l’on s’est fixé ? 🎯 Je partage avec vous la méthode L.O.T.U.S. pour réaliser TOUS vos rêves en 4 étapes 💪 Cliquez ci-dessous pour découvrir cette approche audacieuse ! 👇
La vie de maman est une aventure riche et complexe, mêlant avec grâce une multiplicité de facettes, telle un origami, et la (recon)quête constante d’une identité et d’une liberté individuelle. Dans ce périple parfois tumultueux, maintenir le cap sur ses propres objectifs personnels devient un défi inspirant. Alors que l’épidémie semble avoir quitté nos têtes, ses impacts sont toujours bel et…
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lours-file-a-telie · 2 months
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Philatélie 278
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ruemorinpointcom · 3 months
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Cabinet du conseiller désigné
Statu quo de la carte électorale à Saguenay, un autre manque de planification de Julie Dufour Continue reading Cabinet du conseiller désigné
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highlands11 · 3 months
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RE-Blog : relevé des articles significatifs en 2023, part III (Smartcity Dive)
Temps de lecture : 3 minutes + 16 minutes (vidéo)mots-clés : Best of, smart Cities, 2023, brightline, HST, TGV, USA, Europe, planification, rentabilité, gares, mobilités  Chers lecteurs, Chaque année, nous faisons un relevé des meilleurs articles lus de l’année précédente. Toutefois, ce type de relevé nous laisse toujours un peu mal à l’aise : une forme d’autocongratulation de ce qu’on a fait.…
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l-eclosion · 4 months
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C'est quoi un plan stratégique financier 🤔
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malibuzz · 4 months
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Retraite annuelle de l'APEJ à Ségou : Bilan 2023 satisfaisant et planification pour 2024 !
La retraite annuelle de l’APEJ à Ségou en 2023 a été marquée par un bilan satisfaisant et une planification prometteuse pour 2024. Mme le ministre a pris une part active à l’atelier d’évaluation des activités, mettant en lumière des projets clés tels que le partenariat avec la SNV pour le Projet Go Green, le Programme de Stage de Formation professionnelle, et la campagne de sensibilisation sur…
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information-2-0 · 7 months
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chezkekeli · 7 months
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COMMENT SAVOIR CE QUE NOUS VOULONS (ÊTRE-AVOIR-FAIRE) ? VOICI DEUX CLÉS
Supposons un voyageur qui entreprend un long voyage sachant bien où il va. C’est comme s’il y était déjà de façon mentale. En tout cas il a une image claire de sa destination. Il lui ai plus facile d’y parvenir sans tergiverser sur la route. Prenons un autre exemple dans la construction d’un bâtiment. Les entrepreneurs qui ont ce chantier ne construisent pas dans le vide. Ils se basent toujours…
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ferrolano-blog · 8 months
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Mariana Mazzucato : La sensación de ansiedad está en todas partes... por ello, los gobiernos debieran centrarse en la dirección de la economía... Después de todo, ¿de qué sirve un alto crecimiento económico si para él se precisan malas condiciones laborales o ampliar la industria de los combustibles fósiles? Significa alejarse de la financiación digital de la actividad económica y volver a comprometerse con invertir en la economía real... Los gobiernos que han tenido más éxito en catalizar el crecimiento lo han hecho cuando impulsaban otros objetivos, no el crecimiento por sí mismo. La misión de la NASA de enviar hombres a la Luna... hoy en día, si se considera la rapidez con la que está avanzando la inteligencia artificial, se precisan con urgencia gobiernos que puedan reformular la próxima revolución tecnológica en el interés de la gente... Para alcanzar un desarrollo inclusivo, debemos reconocer que los trabajadores son los verdaderos creadores de valor, y que sus intereses deberían tener un mayor protagonismo en los debates sobre ingresos y distribución de la riqueza... de ahí la necesidad de reformular el crecimiento y reexaminar el Estado empresarial... La economía no crecerá por sí sola en una dirección socialmente deseable... Para alcanzar una mayor producción económica que, al mismo tiempo, sea inclusiva y sostenible, los gobiernos necesitarán aceptar su potencial de ser creadores de valor y potentes fuerzas que dan forma a la economía. Si reorientamos las organizaciones públicas alrededor de misiones ambiciosas -en lugar de obsesionarnos sobre estrechas metas de crecimiento-, podremos estar a la altura de enfrentar los grandes desafíos del siglo veintiuno y tener la seguridad de que la economía crezca en la dirección correcta
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coursesplanner · 2 months
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Dites adieu au casse-tête de la planification des repas et des courses grâce à CoursesPlanner !
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Qu'allons-nous manger ce soir ? C'est la question que se posent la plupart des Français chaque soir après une longue journée de travail. Épuisés, fatigués et affamés, ils se retrouvent face à cette interrogation existentielle, certains armés de patience, d'autres optant pour un repas rapide comme la fast-food ou la pizza pour dépanner la soirée. Mais le lendemain, la situation se répète encore et encore... Que faire ? Heureusement, il existe plusieurs méthodes pour trouver des idées de recettes et se procurer les ingrédients à l'avance. La méthode la plus courante consiste à planifier les repas à l'avance en les inscrivant sur un calendrier dédié à la cuisine appelé "Calendrier Cuisine". Cependant, cette approche peut être répétitive, fastidieuse et chronophage, nécessitant également une bonne dose d'inspiration.
C'est là qu'intervient CoursesPlanner, une application conçue pour simplifier la vie des foyers en proposant des menus hebdomadaires équilibrés, sains et personnalisés. Cette application va au-delà de la simple planification des repas en générant également la liste des courses, rendant ainsi l'expérience d'achat en magasin plus agréable. De plus, le moment de cuisiner les plats devient un moment de plaisir et de partage. Grâce à l'automatisation de la planification des repas pour la semaine, les utilisateurs peuvent libérer du temps précieux pour leurs loisirs ou pour passer du temps avec leurs proches.
Pourquoi avoir choisi comme nom CoursesPlanner ? Le choix du nom CoursesPlanner est intentionnel et réfléchi. En effet, ce nom peut être vu comme "Courses Planner", ce dernier combine deux termes significatifs. Courses : Ce mot fait référence aux achats en magasin, notamment les courses alimentaires. L’application vise à faciliter la gestion de ces achats, en permettant aux utilisateurs de planifier leurs listes de courses de manière efficace. Planner : Ce terme anglais signifie “planificateur”. En associant “courses” à “planner”, on retrouve "Courses Planner" ou encore CoursesPlanner évoque clairement l’idée d’un outil de planification spécifiquement conçu pour les courses et les repas. L’objectif est de simplifier la vie des Français en offrant une solution pratique pour organiser leurs achats et leurs repas. En somme, CoursesPlanner reflète parfaitement le concept derrière cette application : un planificateur de courses pour une gestion plus efficace et pratique au quotidien. 🛒📆
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Fiverr workspace
Fiverr Workspace est un site dédié aux travailleurs indépendants et aux entreprises qui cherchent à collaborer de manière efficace et transparente. La plateforme offre une gamme d’outils , la gestion de projet et la communication entre clients et travailleurs indépendants. Sur Fiverr Workspace, les travailleurs indépendants peuvent créer des profils détaillés mettant en valeur leurs compétences,…
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