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#poemefrancais
cyrtaregina · 1 month
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secicrexe · 1 month
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La lumière est utilisée de manière abusive
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Je me force à pousser la porte, alors qu’elle est ouverte depuis longtemps…
À courir sur les champs de mines plus longtemps...
A me couvrir plus lentement...
À choisir un corps, même en état de décomposition, à arracher un morceau de viande et à le recoudre plus lentement...
À danser alors qu'en réalité je me casse la figure avec un marteau tout le temps...
À être content…  
À rire d'une blague racontée lors d'un enterrement - le mien ! - je pense ? - je ne me souviens plus ! -  c'était il y a longtemps...
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Khalid EL Morabethi
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l0v3mi · 4 months
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--Dalida with a portrait of her.
"𝙲'é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚕𝚎 𝚝𝚎𝚖𝚙𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝚏𝚕𝚎𝚞𝚛𝚜
𝙾𝚗 𝚒𝚐𝚗𝚘𝚛𝚊𝚒𝚝 𝚕𝚊 𝚙𝚎𝚞𝚛"~ Dalida
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roiallard123 · 10 months
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Dans le haut de ton château
Je veux nager dans ton bateau
Tes photos sont magnifiques
La météo qui t’entoure
Elle entoure l’irrésistible personne
Tu n’es qu’un inconnu
L’étrange matelot que je n’ai jamais vu
Les nuages semblent si loin de toi
Le coup de foudre n’est que chez moi
Tu me donnes l’esprit d’un éclair
Tu m’envoies ces satanés nuages
Mais la pluie, ce n’est que dans mes yeux
Une paire d’ensemble brun
Qui ne voulait pas plus qu’une petite lueur
Celle du bleu que tu me prends
C’est original d’aimer un étranger
J’ai toujours trouvé ça inutile
Mais maintenant que tu existes
J’ai envie d’y croire
C’est en sanglot que je te dirai
Prend connaissance de mon existence
Au verso de ta vie, il y en a un qui t’observe
Quand j’ai vu qui tu étais
J’ai crié bingo
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sam-ben · 8 months
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Voilà mon nouveau poème sur la sagesse 🌚
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raven-runes · 5 months
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je veux écrire
libre
mais les syllabes qui se déroulent de ma langue ne sont pas à moi
je les prononce hâtivement
comme si elles me brûlaient les lèvres
alors qu'en réalité elles sont trop froides pour contenir cette éruption —
calottes glaciaires qui fondent
dans mon océan bouillonnant,
sucres surannés qui trempent
dans mon café,
métaphores effilées qu'épanche mon corps essoufflé.
alors j'écris en saxon —
les angles y sont plus arrondis,
les frises plus palpables —
et si l'emprise implacable
de cette langue traître
a eu raison de mes aïeux
au moins puis-je vociférer
par delà les cieux les mers
mes féroces incantations
à l'accent d'Ulster
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kylna · 8 months
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Writing |
(This text is in french but the english translation follows. Obviously, the translation isn’t here to be beautiful but for you to understand what my words means. this text is wlw, as i know it's less clear in english than in french)
Ma peine, mon démon, ma sirène,
J'ai tant rêvé de toi qu'il est indécent de le dire. J'ai tant rêvé de toi que la nuit connaît à présent tes yeux mieux que je ne le fais, tant rêvé de toi que souvent, je l'admets, mes rêves continuaient au soleil, illusions douloureuses dansant sous l'astre du jour.
J'ai tant rêvé de toi que j'en ai oublié de te haïr, perdue dans l'éclat de ces brumes où ton démon n'est plus. Tant rêvé de toi que sûrement, peut-être, ta vision serait étrangère à mes pupilles exposées ; ou peut-être, sans doute, brûlerait mes joues jusqu'à la naissance du flot de mes larmes.
J'ai tant rêvé de toi que ta présence en devenait tangible, comme une ombre qui ne me quittait jamais, tant rêvé de toi qu'en m'éveillant, je te croyais presque étendue à mes côtés, plus douce que tu ne l'as jamais été et n'es probablement capable de l'être ; tant rêvé de toi qu'il me semblait étrange que d'autres ne te voient pas, ni dans leurs jours ni dans leurs nuit, et soient libres de toute trace de ton image.
J'ai tant rêvé de toi, je crois, que je m'accrochais à ces rêves, moi et ma mémoire si courte, comme par peur de te laisser partir, de t'oublier ; tant rêvé de toi que je brûlais de tout te dire, au lieu de te laisser filer. J'ai tant rêvé de toi que je craignais de fermer les yeux autant que de les ouvrir, que je souhaitais rêver à chaque minute comme ne plus rêver du tout.
J'ai tant rêvé de toi, c'est vrai, qu'il m'arrive d'oublier que tu n'es pas qu'un rêve; que quelque part, foulant la même Terre, respirant le même air - infime proximité ! tu existes bel et bien, être de chair et d'os, riant et vivant, plus réel à présent pour d'inconnus que pour moi.
J'ai tant rêvé de toi, il me semble, que tu t'effaçais peu à peu de tout autre aspect de ma vie, de toute autre partie de moi. Tant rêvé de toi que je finissais par me demander si je ne t'avais pas inventée, reine cruelle qui m'infligea tant de maux, pour me sentir plus désirée que je ne l'étais, car il faut aimer quelqu'un si fort pour l'avoir à ce point meurtrie. J'ai tant rêvé de toi que je te confondais avec mes nombreuses fantaisies, tant rêvé de toi que tu perdais ta réalité.
J'ai tant rêvé de toi que c'est ce que tu es à présent, rien d'autre qu'un rêve, moins consistant qu'un souvenir, à peine plus lourd qu'une pensée, sorcière dont la trace quitte peu à peu mon cœur pour ne devenir, en fin de compte, que l'amère et si fine cicatrine d'une blessure passée.
Ma peine, ma sirène, mon démon,
J'ai tant rêvé de toi, à présent, que j'en oublie presque ton nom, et ne me souviens plus que de la haine qu'il m'inspire.
[My pain, my demon, my mermaid,
I dreamed of you so much that it is indecent to say so. I dreamed of you so much that the night now knows your eyes better than I do, dreamed of you so much that often, I admit, my dreams continued in the sun, painful illusions dancing under the star of the day.
I dreamed of you so much that I forgot to hate you, lost in the brilliance of these mists where your demon is no longer. Dreamed of you so much that surely, perhaps, your vision would be foreign to my exposed pupils; or maybe, no doubt, would burn my cheeks until the flood of my tears started.
I dreamed of you so much that your presence became tangible, like a shadow that never left me, dreamed of you so much that when I woke up, I thought you were lying by my side, softer than you never was and probably never can be; I dreamed of you so much that it seemed strange to me that others did not see you, neither in their days nor in their nights, and were free from any trace of your image.
I dreamed of you so much, I believe, that I clung to these dreams, with my memory so short, as if out of fear of letting you go, of forgetting you; dreamed of you so much that I was burning to tell you everything, instead of letting you slip away. I dreamed of you so much that I was afraid to close my eyes as much as to open them, that I wanted to dream every minute like to not dream at all.
I dreamed of you so much, it's true, that I sometimes forget that you're not just a dream; that somewhere, treading the same Earth, breathing the same air - tiny proximity! you do exist, a being of flesh and bones, laughing and alive, more real now for strangers than for me.
I dreamed of you so much, it seems to me, that you gradually faded away from every other aspect of my life, from every other part of me. Dreamed of you so much that I ended up wondering if I hadn't invented you, cruel queen who inflicted so much pain on me, to feel more wanted than I was, because you have to love someone so much to have hurt her so badly. I dreamed of you so much that I confused you with my many fantasies, dreamed of you so much that you lost your reality.
I dreamed of you so much that it's what you are now, nothing but a dream, less solid than a memory, barely heavier than a thought, witch whose trace gradually leaves my heart to become, in the end, only the bitter and so fine scar of a past wound.
My pain, my mermaid, my demon,
I dreamed of you so much now that I almost forget your name, and only remember the hatred it inspires in me.
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kaifougere666 · 2 months
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I wrote poems (yes, in French)
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charmedblogger · 8 months
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« well, there are people who are like prisoners of their destiny, they always encounter the same dramas, the same unhappy loves, one has the impression that they are being tricked into fate. bah for spychanalyse, they are prisoners of their unconscious. » 🦢🕊️🌷🩰🎬🎧📚📖
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sheisblackangel · 9 months
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atypiquepoesie · 18 days
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Le monde est tranchant et je suis si tendre.
Je me blesse en pensant inlassablement et panse mes blessures.
Les pièges sont légions et je me sens seule à combattre.
L'aventure de naître n'est pas si ludique
Mais je dois jouer le jeu.
Vivre pour moi n'est autre que risque mortel
Sans avoir pu accomplir avec sincérité.
Je voudrais rester éveillée cette nuit, pour jouir du calme et de la liberté que daigne me laisser la rue vide.
Comme il est heureux d'être sans casque au rez de chaussée, comme il est bon de n'être pas obligée de me confiner, dans un silence partiel en lequel je m'efforce tout de même de faire le tri, entre son, harmonie et bruit.
Mais que vais-je devenir si je savoure trop cet instant et que je ne dors pas ?
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unsoleiltimide · 4 months
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Il y avait des larmes sur la toile
Mais la palette etait la bonne
Maintenant, pour allumer les étoiles
Il nous suffit d'appuyer sur "ON"
Le soleil dessinait ton portrait
Dun melange doux de craie et d'aquarelle
De les rossignols emporte en été
Pour admirer ces montagnes éternelles
Le vent sifflait encore ton nom
Touchant presque l'ornement d'Orion
Tel que si tu avais etait une constellation, je taurais crée moi même
Ce soir, j'ai observé la nuit.
Tout était si calme comme si le monde s'était mit en pause.
Touchant le voile sombre de vers comme si le jour etait en prose.
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roiallard123 · 8 months
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J’ai arraché des pages pour toi
J’ai gribouillé dans un carnet des phrases insensées
Le mal m’atteint quand j’y repense
Dans une nuage de chaos
Un voyage de cendres
Ceux de mon corps brûlé
Des pensées envolées
Détruites par du rose
Je voulais chasser le rose ce soir
Mais à mon arrivé, le ciel était noir
La nature me fait de bonnes leçons
Même si je pourchasse ce qui est immobile
La terre continuera de tourner
De m’éloigner des couleurs
D’approcher la nuit
Celle froide et affamée
Celle qui mange mes os
Peut-être par jalousie du Soleil qui ne mange que ma peau
Ou par hypocrisie
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vaguenebuleuse · 10 months
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Pourrions-nous nous aimer ?
En soi, et ensembles, Se sentir libre d’aimer, De s’aimer, D’être aimé. S’affranchir des limites, des dogmes et des critiques.  Partir même, si notre cœur nous le dit. Libre de jouir de notre vie, Si tel est notre désire le plus intime. 
- Amour et vie
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raven-runes · 21 days
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habite mes bras
ton âme quand éclate l'orage 
s'y abritera
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