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#poisson combattant
aquariumfacile · 11 months
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Tout ce qu'il faut savoir sur le poisson combattant
Le poisson combattant (Betta Splendens) est un poisson populaire en aquariophilie, si ce n’est le plus populaire. Ses couleurs vives et ses nageoires spectaculaires font de lui la star des aquariums. Le poisson combattant est souvent victime de milieux inadaptés à ses besoins, souvent la faute d’un manque de renseignements. Heureusement, dans cet article, nous allons découvrir tout ce que vous…
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jeanfrancoisrey · 10 months
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Mon poisson combattant…
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2t2r · 10 years
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De splendides portraits de poissons combattants
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/splendides-portraits-de-poissons-combattants/
De splendides portraits de poissons combattants
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En ichtyologie, l'appellation poissons combattants regroupe 75 espèces
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christophe76460 · 8 days
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Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu… gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus. Philippiens 4. 6, 7
Dieu nous écoute
Dieu aime que nous lui disions tout ce que nous avons sur le cœur : petits soucis ou grandes inquiétudes, peines d’un jour ou tristesses profondes, besoins quotidiens ou grandes décisions. Apportons tout au Seigneur : une contrariété, une parole blessante, un problème d’argent, un chagrin. Ce que nous n’osons pas confier même à un ami, nous pouvons sans crainte en parler à notre Dieu. Il n’est pas trop grand pour nos plus petits problèmes, et n’est jamais dépassé par les plus grands.
Comment prier ? On peut prier seul ou avec d’autres, en silence ou à haute voix, à genoux ou au volant de sa voiture, ou encore cloué au lit… Pierre priait sur le toit en terrasse de la maison (Actes 10. 9), Jonas dans le ventre d’un poisson (Jonas 2. 2), Paul sur un navire en perdition dans la tempête (Actes 27. 35). Jésus priait sur la montagne (Matthieu 14. 23) ; il a prié dans un jardin la veille de sa crucifixion… et sur la croix, dans de terribles souffrances (Luc 22. 41, 42 ; 23. 34).
Nous pouvons également prier pour les besoins des autres : pour les malades, ceux qui souffrent, ceux qui sont persécutés à cause de leur foi, pour tous ceux qui ne connaissent pas Jésus comme leur Sauveur, pour les autorités qui nous gouvernent, pour les serviteurs de Dieu qui annoncent l’évangile, pour nos familles, nos voisins, nos collègues… et même pour ceux qui nous font du tort (Luc 6. 28).
Soyons des hommes et des femmes qui combattent par la prière, car notre Dieu aime répondre aux siens qui s’adressent à lui.
⦁ Mardi 16 avril 2024
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yes-bernie-stuff · 9 days
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Mardi 16 avril 2024
Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu… gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.
Philippiens 4. 6, 7
Dieu nous écoute
Dieu aime que nous lui disions tout ce que nous avons sur le cœur : petits soucis ou grandes inquiétudes, peines d’un jour ou tristesses profondes, besoins quotidiens ou grandes décisions. Apportons tout au Seigneur : une contrariété, une parole blessante, un problème d’argent, un chagrin. Ce que nous n’osons pas confier même à un ami, nous pouvons sans crainte en parler à notre Dieu. Il n’est pas trop grand pour nos plus petits problèmes, et n’est jamais dépassé par les plus grands.
Comment prier ? On peut prier seul ou avec d’autres, en silence ou à haute voix, à genoux ou au volant de sa voiture, ou encore cloué au lit… Pierre priait sur le toit en terrasse de la maison (Actes 10. 9), Jonas dans le ventre d’un poisson (Jonas 2. 2), Paul sur un navire en perdition dans la tempête (Actes 27. 35). Jésus priait sur la montagne (Matthieu 14. 23) ; il a prié dans un jardin la veille de sa crucifixion… et sur la croix, dans de terribles souffrances (Luc 22. 41, 42 ; 23. 34).
Nous pouvons également prier pour les besoins des autres : pour les malades, ceux qui souffrent, ceux qui sont persécutés à cause de leur foi, pour tous ceux qui ne connaissent pas Jésus comme leur Sauveur, pour les autorités qui nous gouvernent, pour les serviteurs de Dieu qui annoncent l’évangile, pour nos familles, nos voisins, nos collègues… et même pour ceux qui nous font du tort (Luc 6. 28).
Soyons des hommes et des femmes qui combattent par la prière, car notre Dieu aime répondre aux siens qui s’adressent à lui.
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maganimal · 3 months
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Reconnaître les signes de maladie chez un poisson combattant (betta)
Reconnaître les signes de maladie chez un poisson combattant (betta) est crucial pour une intervention et un traitement rapides. Voici quelques indicateurs courants indiquant que votre poisson betta pourrait être malade : Changements d’Apparence : Coloration délavée ou terne. Obscurcissement ou décoloration des nageoires. Apparition de taches blanches (points blancs) ou de croissances…
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palafoxiana · 6 months
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On se glisse dans le couloir. Quelle chance qu’il n’y ait pas d’autres pèlerins ! Au mois de juillet, c’était foutu, on aurait eu des Allemands, des Hollandais, un Suisse ou deux, sans compter des confréries entières de Français – car les pèlerins adorent se regrouper en confréries, un peu comme les anciens combattants du 75e RI ou les hémiplégiques de Seine-et-Marne.
Mais là, personne. Les abbés sont couchés, eux aussi, ils se lèvent tôt, pour la première messe, à cinq heures du matin – j’ai regardé sur Internet avant de partir, site Messeinfo.
Nous voilà dans les douches. Depuis mon dépucelage à la piscine Molitor, quand j’avais treize ans, ces endroits nickelés, sonores et ruisselants d’humidité m’ont toujours inspiré. Naturellement, il y a les douches femmes et les douches hommes. Pas d’hésitation, je précède Caro chez les femmes : qu’elle soit au moins en territoire ami pour me donner ce que j’attends d’elle !
Elle suit, muette comme une carpe, et reste sans rien dire ni faire tandis que j’ôte mon pull, mon sweat-shirt, mes chaussures, mes chaussettes et mon jean. J’ai pris soin de lui tourner le dos et je dépose mes effets au fur et à mesure sur la paillasse du lavabo – les cathos, ça aime l’ordre.
Quand je n’ai plus que mon slip, je la regarde dans la glace et j’ai le plus grand mal à ne pas éclater de rire à nouveau : je ne suis pas trop mal fichu de ma personne, certes, je n’ai rien d’un saint Jean Baptiste, et pourtant, ça lui fait le même effet. Elle est pétrifiée.
Je lui laisse tout le temps d’admirer le fascinant puzzle de mes muscles dorsaux et fessiers, puis je me retourne lentement et m’adosse au mur :
— Viens.
Elle fait un pas, puis deux, en titubant. Ses prunelles exorbitées sont scotchées sur mon string, et elle respire la bouche ouverte, comme un poisson sur la grève.
— Tu serais mieux à genoux, non ?
Elle acquiesce, docilement. Se mettre à genoux, ça fait partie de leur soumission instinctive au Principe Supérieur, aux cathos. Au Big Brother caché dans les nuages. Elle en plie donc un, puis l’autre.
Son visage s’immobilise à la bonne hauteur, si près que je peux sentir son souffle sur la partie la plus intime de ma personne. Elle reste comme ça un bon moment, comme en prière. L’éclairage fluorescent des lavabos projette une ombre flatteuse sur son visage : un roc, un pic, un promontoire, que dis-je, la tour de Pise ! Mon sexe, en fait, qui tend à le rompre le voile de mon minislip de Chippendale façon Compostelle.
Le silence est total, à part un robinet qui fuit quelque part et que l’écho réverbère. Tout ici est recueillement, profondeurs ténébreuses, espérance en quelque apparition magnifique. On s’attendrait presque à ce que s’élève un Dies Irae, chanté à pleine gorge par un chœur de cathédrale.
— Fais-toi plaisir, Caro, dis-je doucement.
J’utilise volontiers le mot plaisir, il est très nettement dévalué chez les cathos, mais chez les femmes, ça marche à tous les coups. Quand il ne s’agit pas du leur, il s’agit du vôtre, qui leur importe au moins autant. Les femmes, c’est généreux, c’est ce qui les distingue des hommes.
Elle avance une main tremblante et saisit l’élastique à la taille. Je crois que je vais exploser, là, tout de suite, et je ferme les yeux pour bloquer un verrou imaginaire, au ras des… heu, aines. Il y a un soupir très doux, et je sens la ficelle de ce foutu string se décoller d’entre mes fesses pour rejoindre le reste, quelque part en bas.
Quand je rouvre les yeux, Caroline est toujours en adoration, mais cette fois-ci devant l’objet réel de sa fascination, une lisse et roide colonne de chair couleur ivoire, si drue qu’elle semble m’avoir quitté et mener sa vie de son côté, en lévitation pourrais-je dire.
— C’est si beau ! souffle la prosternée. C’est si beau !
Beau ? Je ne dirais pas ça. Ce n’est jamais qu’un corps aussi caverneux que l’est ma voix quand j’articule avec difficulté :
— Alors, adore-le !
Elle gobe ma verge sans se faire prier. C’est exactement comme dans mes rêves, quand je la voyais avec Pierre-Alain. Ses lèvres coulissent sur toute la longueur, elle s’empale comme si je la poignardais jusqu’au cœur… Jusqu’au cœur, c’est une façon de parler, mais pas tant que ça, car là, surprise ! Cette bégueule est une pratiquante expérimentée du full contact ! La fellation intégrale, celle qui ne laisse rien dépasser, pas le moindre centimètre !
Si elle continue comme ça, je vais me laisser déborder et je ne serai plus bon à rien. Je la repousse aussi gentiment que je peux :
— Tu fais toujours comme ça ?
Son regard de noyée se fait humble :
— Pourquoi ? Ce n’est pas bien ?
— Mais si. C’est même tellement bien que… Mais qui t’a appris ?
Elle rosit :
— Mon curé, quand j’étais jeune.
Ben voyons ! Je claque dans mes mains, gentiment :
— Bon, alors, cette douche, on la prend ?
Si elle est surprise, elle n’en dit rien. Je l’aide à se relever – ses genoux craquent comme une vieille charrue après ces trois jours de marche non-stop – et elle enlève ses vêtements avec beaucoup de simplicité.
C’est une vraie blonde – c’est rare –, et elle est aussi dodue en bas que de partout. Un vrai Rubens ou un Botero. Sa peau pâle se hérisse de chair de poule tandis qu’elle fixe mon sexe avec une extraordinaire avidité :
— Tu ne veux pas que… ?
— Après.
Elle me suit dans le premier bac à douche, je referme le rideau, j’actionne les robinets. Je me place derrière elle. Avec le savon, je la frictionne, d’abord le dos, les reins, les fesses, puis je glisse mes bras sous les siens et j’empaume ses seins.
Ils sont vraiment gros et tombent un peu, mais n’en sont que plus émouvants. Je les enduis de mousse, dans le sens des aiguilles d’une montre, d’abord, puis dans l’autre, cerclant de plus en plus serré sur les aréoles grenues, à peine plus foncées que la peau.
Les bras un peu écartés, renversée contre moi, Caroline se laisse faire sans rien dire. Je pense à l’extase des saintes que l’on suppliciait sur les places publiques, et comme je suis collé à elle par-derrière, ma verge, dérapant sur sa peau mouillée, finit par s’immiscer entre ses fesses – ou est-ce elle qui s’est disposée ainsi pour que ma bosse comble naturellement ses creux ?
Toujours est-il que c’est délicieux. Mon gland ressort par-devant, dans la bande de duvet blond et bouclé qui orne son bas-ventre Je continue de lui savonner les seins, puis je descends, je caresse son ventre, j’y vautre mes mains gluantes tout en donnant des petits coups de reins contre ses fesses. Le savon est tombé maintenant, elle respire plus fort, je m’agenouille derrière elle, à la hauteur de son cul. Il est gros, bombé, je l’embrasse, je ramène mes mains, j’écarte ses deux fesses, je l’embrasse sur son trou du cul, elle a un petit mouvement d’évitement puis s’abandonne… Je me relève, elle est toujours le dos contre mon ventre, je glisse une main entre les deux globes, je caresse son anus, je glisse vers son con, il est large, ouvert, je la branle doucement, comme si je la savonnais, d’abord autour du trou, puis en remontant vers le clitoris…
Avec sa main droite, elle a attrapé ma queue. Sa main gauche est cramponnée à mes fesses, par-derrière. Avec son pouce, elle caresse mon gland, vite, de plus en plus vite, tandis que je plonge mes doigts en elle, un, puis deux, puis tous… Elle se tord en pliant sur ses genoux, elle serre les cuisses, elle jouit en criant. Le bruit du jet d’eau sur le rideau de la douche s’est fait assourdissant, ou bien c’est elle, je ne sais pas, je ne la lâche pas jusqu’à ce qu’elle soit allée au bout de son orgasme :
— Jouis ! Jouis !
— Je jouis ! Je jouis ! psalmodie-t-elle en râlant.
Elle glisse à mes genoux. Les cataractes d’eau chaude me masquent sa tête penchée, mais je sens ses lèvres qui glissent le long de ma verge et s’ouvrent pour me gober… Non, non, ce serait trop facile ainsi ! Je plie les jambes, coince ma verge entre ses deux seins et commence à m’agiter à grands coups de reins tout en la maintenant serrée contre moi.
Est-ce encore son curé qui lui a appris ce truc ? Elle a la bonne idée de m’agripper les fesses et de les écarter !
Ça ne manque pas : je gicle en trente secondes sur sa poitrine et sa gorge, des flots épais, furieux, que le jet de la douche finit par diluer, répandre en une fumée blanche qui disparaît comme par miracle…
Nous restons un long moment ainsi, elle à genoux, moi appuyé sur le carrelage humide, tandis que le pommeau de douche finit de goutter sur nos peaux nues. Caroline a refermé sa bouche sur mon gland pour ne pas laisser perdre les dernières gouttes, je caresse doucement le haut de son crâne. Je songe avec colère que cette femme s’est perdue pour l’amour de moi, qu’elle va devoir confesser sa faute à quelque eunuque professionnel, s’humilier devant son mépris, se repentir et promettre de ne pas recommencer, tout cela parce qu’elle est catholique. Ah, les joies de la chair se payent cher chez ces gens-là !
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omagazineparis · 7 months
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Réveillez votre beauté intérieure : les aliments anti-inflammatoires miraculeux.
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Bienvenue à vous, les femmes audacieuses et proactives qui cherchent à optimiser leur santé à chaque bouchée. Avez-vous déjà entendu parler des aliments anti-inflammatoires ? Si oui, en consommez-vous assez ? Si non, préparez-vous à être étonnée ! Pourquoi les aliments anti-inflammatoires sont-Ils essentiels ? Pour commencer, c'est l'inflammation qui est la grande méchante dans beaucoup de problèmes de santé. Du mal de dos chronique aux maladies cardiaques, elle joue un rôle non négligeable. Il est temps de faire connaissance avec les aliments anti-inflammatoires, ces héros méconnus de nos assiettes. Des aliments anti-inflammatoires au quotidien Inutile de chercher un régime miracle : les aliments anti-inflammatoires sont souvent des ingrédients que vous avez déjà dans votre cuisine. Les poissons gras Au sommet de notre liste, on trouve les poissons gras comme le saumon, le maquereau et les sardines. Ils sont riches en acides gras oméga-3, des champions de la lutte contre l'inflammation. Les fruits rouges Les fruits rouges, comme les fraises, les mûres et les cerises, sont aussi des aliments anti-inflammatoires incontournables. Leur secret ? Les anthocyanines, des antioxydants qui combattent l'inflammation. Le curcuma Enfin, un ingrédient exotique : le curcuma. Cette épice jaune vif contient de la curcumine, une substance qui a des propriétés anti-inflammatoires impressionnantes. A lire également : Plongée au cœur de la cuisine marocaine : au pays des épices Comment intégrer ces aliments anti-inflammatoires à votre régime ? Il est maintenant temps d'adopter ces aliments anti-inflammatoires ! Mais comment les intégrer à votre régime ? Ne vous inquiétez pas, c'est plus facile que vous ne le pensez. Un petit déjeuner énergisant Pourquoi ne pas commencer la journée avec un bol de yaourt grec garni de fruits rouges frais ? Un délice anti-inflammatoire pour bien démarrer ! Un déjeuner équilibré Pour le déjeuner, optez pour une salade de quinoa avec du saumon grillé. Vous obtiendrez une combinaison nutritive qui regorge d'ingrédients anti-inflammatoires. Un dîner réconfortant Enfin, pour le dîner, une soupe de lentilles au curcuma pourrait être votre nouveau plat réconfortant. Un repas chaleureux et bienfaisant pour clôturer la journée. Ainsi, intégrer ces aliments anti-inflammatoires à votre régime est un pas positif vers un mode de vie plus sain. N'attendez plus ! Faites le plein de ces ingrédients lors de votre prochaine sortie d'épicerie. Et n'oubliez pas, chaque bouchée compte ! Read the full article
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aquariumfacile · 9 months
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La vérité sur le bocal pour poisson rouge, l'erreur ultime
Nous retrouverons encore trop de bocaux à poissons rouges dans les foyers. Découvrez pourquoi il faut à tout prix leur dire au revoir dans cet article !
Non, non et encore non ! Le bocal pour poisson rouge n’est pas un aquarium. Avec cet objet, au lieu de maintenir vos poissons dans les meilleures conditions possibles, vous lui offrez du malheur, du stress et une vie déplorable. Le bocal pour poisson rouge, au même titre que la boule pour poisson combattant sont des éléments de torture. Dans cet article, nous allons découvrir le mensonge…
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lesecureuilsducaj · 2 years
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nous avons accueillis de  Nouveaux arrivants à L’arche a Lyon. un petit Lapin à la source et un betta splendens (poisson combattant) au rocher! 
Nous recherchons des petits noms pour nos nouveaux amis! A vos votes ! 
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luciasatalina · 5 years
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Ladybug, protector or the sea  ✨ 
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v0lva · 3 years
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"Petit cake" The second fish, far more agressive, of my friend (and yes again, it's his name!) and his arch ennemy the weird snail ! Watercolor and ink
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jeanfrancoisrey · 3 years
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Betta splendens dit poisson combattant, manquant d’adversaire …
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pyode-kantra · 4 years
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Here is a beta fish for the day 6 of the Inktober 
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christophe76460 · 8 days
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Mardi 16 avril 2024
Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu… gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.
Philippiens 4. 6, 7
Dieu nous écoute
Dieu aime que nous lui disions tout ce que nous avons sur le cœur : petits soucis ou grandes inquiétudes, peines d’un jour ou tristesses profondes, besoins quotidiens ou grandes décisions. Apportons tout au Seigneur : une contrariété, une parole blessante, un problème d’argent, un chagrin. Ce que nous n’osons pas confier même à un ami, nous pouvons sans crainte en parler à notre Dieu. Il n’est pas trop grand pour nos plus petits problèmes, et n’est jamais dépassé par les plus grands.
Comment prier ? On peut prier seul ou avec d’autres, en silence ou à haute voix, à genoux ou au volant de sa voiture, ou encore cloué au lit… Pierre priait sur le toit en terrasse de la maison (Actes 10. 9), Jonas dans le ventre d’un poisson (Jonas 2. 2), Paul sur un navire en perdition dans la tempête (Actes 27. 35). Jésus priait sur la montagne (Matthieu 14. 23) ; il a prié dans un jardin la veille de sa crucifixion… et sur la croix, dans de terribles souffrances (Luc 22. 41, 42 ; 23. 34).
Nous pouvons également prier pour les besoins des autres : pour les malades, ceux qui souffrent, ceux qui sont persécutés à cause de leur foi, pour tous ceux qui ne connaissent pas Jésus comme leur Sauveur, pour les autorités qui nous gouvernent, pour les serviteurs de Dieu qui annoncent l’évangile, pour nos familles, nos voisins, nos collègues… et même pour ceux qui nous font du tort (Luc 6. 28).
Soyons des hommes et des femmes qui combattent par la prière, car notre Dieu aime répondre aux siens qui s’adressent à lui.
la bonne semence
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